vendredi 18 octobre 2019 - par delepine

Gardasil modifie l’histoire naturelle du cancer du col. A Buzyn n’en tient pas compte. Pourquoi ?

Question écrite à l’assemblée de JC Lagarde sur augmentation du taux de cancer du col chez les vaccinées par Gardasil. Réponse de la ministre et commentaires

 

G Delépine chirurgien cancérologue et statisticien. N Delépine pédiatre oncologue 

 

Madame la Ministre A Buzyn répond « l’infection est vaincue », quand un député[1] s’inquiète de l’accroissement des cancers du col après vaccination par le Gardasil, dans une question écrite à l’Assemblée nationale.

M. Jean-Christophe Lagarde, député, a interrogé Mme la Ministre des solidarités et de la santé sur le Gardasil, et sur les effets que celui-ci pourrait avoir en ces termes « d'après les analyses de médecins, il apparaît que chez les populations largement vaccinées, le Gardasil au lieu de diminuer, à long terme, le nombre de cancers du col de l'utérus les maintiendrait à un niveau élevé et pourrait même les augmenter rapidement en quatre à cinq ans. Ce paradoxe serait observable en comparant l'évolution de l'incidence du cancer invasif du col utérin en Grande-Bretagne, en Suède et en Norvège, pays à forte couverture vaccinale… Autrement dit, dans les pays ayant mené une campagne de vaccination massive anti-HPV l'incidence des cancers du col de l'utérus serait supérieure à la France. Aussi, il l'interroge sur l'authenticité de ces chiffres et, le cas échéant, sur l'interprétation de ces augmentations. Enfin, il lui demande si toutes ces données ont été prises en compte avant d'affirmer la volonté de rendre ce vaccin obligatoire. »

A ces interrogations précises, la ministre a répondu, en reconnaissant les chiffres présentés mais en refusant d’en tenir compte et en réaffirmant sa foi dans le vaccin Gardasil, attitude commune chez les religieux et rare chez les scientifiques. La science progresse habituellement par la confrontation des hypothèses dominantes aux faits avérés pour vérifier leur cohérence. En cas d’incompatibilité paradoxale, on conçoit de nouvelles hypothèses pour remplacer les anciennes. C’est ce que résumait Niels Bohr[2] en s’exclamant « quel bonheur de rencontrer un paradoxe, nous pouvons espérer faire des progrès »

Dans sa réponse, Madame Buzyn ne tient pas compte des faits avérés et innocente le Gardasil en affirmant que « le délai d'évolution d'une infection par les HPV vers un cancer du col de l’utérus est relativement long et dure plusieurs annéesCette période (2015) est bien trop proche du début des campagnes de vaccination (2007-2011) pour observer un impact de la vaccination sur l'incidence du cancer du col. » Cela est peut-être vrai pour l’évolution naturelle, mais rien ne permet d’affirmer que cela est vrai après vaccination. La vaccination peut considérablement modifier l’évolution naturelle d’une maladie (c’en est même le but !) et, dans le cas du Gardasil, l’essai qui a permis d’obtenir l’autorisation de mise sur le marché n’a pas étudié l’effet sur le cancer mais seulement sur l’infection et les dysplasies bénignes. Or, la vaccination obtient parfois des résultats paradoxaux.

 

Résultats paradoxaux d’autres candidats vaccin

Ainsi les premiers candidats vaccins contre le Sida ont été abandonnés parce qu’ils augmentaient le risque de la maladie[3] [4] [5].

Et la catastrophe toute récente du Dengvaxia aux Philippines nous rappelle qu’une vaccination mal étudiée peut aboutir à l’effet contraire de ce qui était espéré et dans des délais beaucoup plus courts que l’évolution naturelle pourrait le laisser supposer. Le vaccin Dengvaxia de Sanofi prétendait éradiquer les formes graves de la dengue.

Après que Janette Garin, ministre de la santé philippine ait elle-même autorisé la mise sur le marché du vaccin présenté comme « efficace et sans danger », elle a organisé une campagne de vaccination scolaire touchant plus de 800000 enfants malgré les mises en garde de nombreux scientifiques. Dans l’année qui a suivi, les formes hémorragiques graves de la maladie ont été considérablement multiplié faisant des milliers de victimes et des centaines de morts[6] alors que l’histoire naturelle de la maladie est marquée par la bénignité habituelle de la première attaque, les rares formes graves survenant habituellement à l’occasion d’une nouvelle inoculation plusieurs années après la primo infection. Cette catastrophe sanitaire a entraîné le retrait de l’AMM[7] aux Philippines et la chute du gouvernement de Benigno Aquino III lors des élections qui ont suivi et une cascade de mises en examen dont celles de la ministre, du docteur Rosario Capeding responsable de la publication initiale trop optimiste des résultats[8] et de nombreux responsables locaux de Sanofi qui ont aussitôt regagné la France. Il est regrettable que notre ministre n’ait pas médité les leçons de cette catastrophe et que ses déclarations et décisions au sujet du Gardasil ressemblent autant à celles de son ex homologue philippine sur le vaccin contre la dengue. Souhaitons-lui de ne pas connaître le même sort pour les mêmes raisons.

 

 Arguments sur le temps nécessaire à l’évaluation : valable pour l’effet sur le cancer mais pas pour l’obligation !

Dans la suite de sa réponse à JC Lagarde, Madame Buzyn a repris les arguments de langage habituels des vendeurs de vaccin anti HPV qui proclament le succès de la vaccination en Australie en brandissant l’efficacité du vaccin contre l’infection par les souches visées par le vaccin, oubliant de rappeler que le succès australien contre l’infection est associé à une augmentation d’incidence du cancer invasif ! [9]

Mr Lagarde est inquiet de l’augmentation du risque de cancer chez les vaccinées, mais la Ministre a voulu le rassurer en chantant victoire sur l’infection ! Mais l’infection n’est pas le cancer.[10] Et la prévention d‘infections qui ne donnent aucun trouble, aucun signe et qui disparaissent sans traitement dans plus de 90% des cas ne constitue pas un réel bénéfice pour les femmes.

De plus, chasser 9 souches d’un virus dont on connait au moins 150 souches à tropisme humain (dont 18 supposées cancérigènes) n’aboutit qu’à créer une niche écologique pour les autres souches comme le démontre une étude norvégienne toute récente[11].

 

 Pourquoi les françaises seraient-elles protéger de changements de comportement sexuel ? Des nonnes ?

Dans le second paragraphe de sa réponse, Madame Buzyn, pour innocenter la vaccination, reprend les arguments des avocats des vaccins en accusant le dépistage et les nouveaux comportements sexuels, mais sans s’inquiéter, que cette augmentation touche essentiellement les classes d’âge vaccinées et épargne les femmes de plus de cinquante ans, (non vaccinées) et les jeunes françaises (peu vaccinées) dont le comportement sexuel ne paraît pourtant pas en retard sur celui de leurs homologues australiennes, britanniques ou scandinaves.

 

 Le modèle usé de l’Australie [12]

La ministre cite comme modèle l’Australie, mais elle oublie de comparer l’évolution des incidences standardisées monde de ce cancer depuis la vaccination. En France peu vaccinée, l’incidence, en baisse constante, est passée au-dessous de 6/100000 (seuil qui définit les maladies rares d’après l’OMS) en 2018, alors qu’en Australie vaccinée à plus de 80%, elle a augmenté depuis la vaccination (7,2 en 2018) comme en Grande bretagne (9,4 en 2016), Norvège (10,3 en 2016) et Suède (8,6 en 2016). Pourquoi veut-elle absolument nous aligner sur des pays dont les résultats sont moins bons que les nôtres ?

Les expérimentations de vaccination anti HPV qu’elle propose sont inutiles ; ces expérimentations sont déjà réalisées sur des populations entières depuis onze ans en Australie et dix ans en Grande Bretagne et leurs résultats cancérologiques actuels sont mauvais. Plutôt que d’utiliser nos compatriotes comme cobayes et de dépenser l’argent public inutilement, envoyons plutôt des experts[13] analyser les résultats cancérologiques récents de nos amis australiens, britanniques et scandinaves. Cela coûtera infiniment moins cher que la vaccination[14] et évitera des victimes dans notre pays.

 

 On ne peut que s’étonner de la légèreté de la réponse de la ministre qui compte bien imposer la vaccination par Gardasil très largement, tant aux filles qu’aux garçons pour un coût humain en effets secondaires parfois graves[15] qu’en cancers du col invasifs évitables, et un coût financier majeur dans un pays qui cherche l’argent magique pour ses hôpitaux, ses policiers, ses pompiers etc…

Mais n’oublions pas que le chiffre d’affaires mondial pour le Gardasil en 13 ans est supérieur à 50 Milliards de dollars pour big pharma, sans calculer ce que rapporterait l’offensive mondiale actuelle d’obligation et d’extension aux femmes et hommes de 27 à 45 ans jusqu’ici épargnés. N’en doutons pas, l’argent est le nerf de la décision tragique de la « prévention » tout azimut, les populations bien portantes étant plus nombreuses que les malades et les bénéfices pour les labos, leurs affidés et les actionnaires incomparables.

Tragique ! A nous tous de nous défendre, de défendre nos enfants, petits -enfants, en signant les pétitions contre cette vaccination dangereuse et inefficace, en distribuant la lettre aux élus, si possible directement[16], et en répandant l’information que ne vous donneront pas les médias.

 

 

 

 Ci-joint la lettre que nous envoyons aux parlementaires en partenariat avec l’Association AMETIST

Association Ametist

50 Bis bd de la République

93190 Livry Gargan

 

 Le 4 octobre 2019

 

Messieurs et Mesdames les parlementaires

 

 En raison d’une publicité croissante pour une obligation du Gardasil pour filles et garçons, nous vous adressons les dernières informations objectives sur les effets réels de ce vaccin en matière de cancer. L’efficacité d’un politique nationale de prévention d’un cancer doit être jugée non pas sur les petits échantillons d’essais thérapeutiques mais, en vie réelle, sur l’évolution de l’incidence de ce cancer dans l’ensemble de la population, telle qu’elle apparaît dans les registres officiels des cancers iI est faux de prétendre qu’il faut attendre pour disposer de résultats fiables. A ce jour seulement quatre pays qui pratiquaient le dépistage cytologique et disposaient de registres nationaux du cancer ont obtenu une couverture vaccinale supérieure à 80% dans la population ciblée avec un recul suffisant : l’Australie, la Grande Bretagne, la Suède et la Norvège. Examinons leurs plus récentes données 

 

En Australie la campagne vaccinale a débuté en 2007 chez les adolescentes, avec un taux de couverture proche actuellement de 80%. Depuis cette date l'incidence standardisée monde des cancers invasifs dans la population globale n’a plus baissé (7,2 en 2019 contre 6,8/100000 en 2006), démentant la propagande permanentes des médias qui claironnent l’éradication future des cancers du col dans ce pays en diffusant des prédictions statistiques reposant sur des hypothèses fausses.

Chez les femmes de 20-24 ans (vaccinées à 80% entre 14 et 18 ans), l'incidence est passée de 0,7 en 2007 à 1,5 cas/100.000 en 2014 (tableau 1) Chez les femmes âgées de 25 à 29 ans (vaccinées en rattrapage lorsqu’elles avaient entre 19 et 23 ans) ces chiffres ont augmenté également, de 5,9 en 2007 à 8,2/100.000 en 2014. De même pour les 30-34 ans (qui ont subi des vaccinations de rattrapage jusqu’à l’âge de 26 ans en 2007) dont l’incidence a augmenté de Plus de 30% (de 9,9 en 2007 à 13,2 en 2014) augmentation statistiquement significative. A l’opposé, les femmes plus âgées (et donc non vaccinées) ont vu leur risque de cancer diminuer

 

En Grande Bretagne la campagne de vaccination a débuté en 2008, en obtenant une couverture de plus de 85%. Depuis sur l’ensemble de la population exposée au cancer du col (femmes de plus de 20 ans) l’incidence standardisée a augmenté, passant de 12.6 en 2007 à 14.1 en 2016 (Tableau 2)

 A partir de 2011 les statistiques officielles ont montré une augmentation brutale et importante du taux de cancer du col utérin chez les femmes de 20 à 24 ans (vaccinées pour plus de 85% d’entre elles, alors qu’elles avaient entre 14 et 18 ans) qui ont vu leur risque de cancer (incidence lissée sur 3 ans) augmenter de 70% en 2 ans de 2,7 en 2011-2013 à 4,6 en 2013-2015 (graphique 3) A l’opposé, l'incidence du cancer a diminué chez les femmes les plus âgées, non vaccinées (- 20% dans le groupe des 35-49 ans).

 

En Suède, le vaccin Gardasil a été introduit en 2006 et le programme de vaccination des préadolescentes mis en route en 2010 pour atteindre une couverture approchant les 80% avec un "rattrapage" des plus âgées (jusqu’à 18 ans). Depuis l’incidence (standardisée Monde) du cancer du col de l'utérus, qui s’était stabilisé jusqu’en 2011, a augmenté de 23% passant de 6,69 en 2011 à 8,6 en 2016. Cette augmentation globale est principalement due aux femmes de 20 à 24 ans en 2016, (vaccinées pour plus de 80% d’entre elles) qui ont vu leur incidence lissée sur 3 ans plus que doubler, passant de 1.49 en 2007-2009 à 3.73 en 2014-2016 ainsi que le montrent les données et graphique 5 publiés par Nordcan (registre des cancers scandinaves) ; cette augmentation est statistiquement significative. Dans ce pays, comme en Australie et en Grande Bretagne, aucune augmentation n’est notée dans la population âgée de plus de 50 ans, non concernée par la vaccination HPV.

 

La Norvège a suivi une politique similaire de vaccination. Depuis le registre du cancer Nordcan montre une augmentation de l’incidence standardisée monde du cancer invasif du col de l’utérus de 25% sur l’ensemble de la population (de 8.99 en 2007 à 11.31 en 2015). Dans le groupe d’âge le plus vacciné (les 15-24 ans en 2016 qui avait entre 9 et 18 ans en 2010) une augmentation importante d’incidence lissée sur trois ans (200% d’augmentation) est apparue à partir de 2013 de 0.84 en 2010-2012 à 2.46 en 2014-2016 ainsi que le montre ce graphiques 6 et ces données NORDCAN Et la recherche de la date des inversions de tendance (break point analysis graphique 7 ) montre que c’est trois ans après le début de la campagne de vaccination que cette augmentation significative est apparue

 

Cette progression inattendue, précoce et statistiquement significative de l’incidence des cancers du col dans tous les pays où la population jeune est largement vaccinée interroge à juste titre d’autant que l’incidence de ce même cancer a diminué durant la même période dans les mêmes pays chez les femmes de plus 50 ans, non vaccinées.

 

Rappelons que durant la même période qu’en France, peu vaccinée, l’incidence du cancer du col a largement baissé rendant cette maladie rare en France en 2019 d’après les critères de l’OMS (incidence inférieure à 6/100000). (graphique 8 Source : Santé France- Inca) plaçant d’après l’OMS notre pays en bien meilleure position que ceux qui ont largement vacciné contre les HPV.

 

Le refus des agences, autorités sanitaires, des experts (en particulier ceux liés aux firmes) et personnels politiques, dûment alertées, de tenir compte de ces données indiscutables engagerait leur responsabilité personnelle comme le montre le procès actuel du médiator et ceux en cours aux Philippines après la catastrophe du Dengvaxia

 

En attendant les résultats d’études approfondies indispensables pour préciser les raisons de cet échec cancérologique inattendu mais avéré du Gardasil, le principe de précaution exige de ne plus recommander, ni de faciliter, et encore moins d’imposer ce vaccin et d’arrêter de financer les publicités trompeuses afin de permettre à chaque citoyen d’évaluer librement le rapport bénéfice/ risque de la vaccination.

 

 Nous restons à votre entière disposition pour tout complément d’information et en particulier pour vérifier toute les données et informations que nous vous diffusons

 Avec toute notre considération.

 

 

Line Turco, présidente de l’association Ametist de soutien aux enfants atteints de cancer et pour la liberté thérapeutique.  [email protected]
 

 

 Gerard et Nicole Delépine, cancérologues pour les études scientifiques citées[17]

 [email protected]

 

Graphiques officiels sur l’annexe joint

 

 

Annexe présentant les captures d’écran des courbes officielles des registres nationaux du cancer. Nos commentaires et explications sont en rouge

Tableau 1

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Tableau 2

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Graphique 3

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Graphique 4 évolution de l’incidence du cancer du col dans la population 0-85 ans

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Graphique 5 sévère augmentation d’incidence chez les suédoises vaccinées

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Graphique 6 sévère augmentation d’incidence chez les norvégiennes vaccinées

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Graphique 7 L’analyse de Break point de Nordcan montre que c’est 3 ans après la vaccination que l’incidence a des norvégiennes vaccinées a commencé à augmenter

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Graphique 8 Evolution satisfaisante de la France peu vaccinée d’après Santé France

 

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[1] Question N° : 14813 De M. Jean-Christophe Lagarde (UDI, Agir et Indépendants Seine-Saint-Denis)

[2] Niels Bohr est un physicien danois qui a révolutionné la mécanique quantique et a reçu le Nobel de physique de 1922.

[3] l'un, appelé STEP, a eu lieu en Amérique et en Australie, tandis que le deuxième, nommé Phambili, s'est déroulé en Afrique du Sud.

[4] Girard MP, Osmanov SK, and Kieny MP (2006) A review of vaccine research and development : the human immunodeficiency virus (HIV) Vaccine 24(19):4062-4081.

[6] C Isoux Les décès d'enfants aux Philippines sont-ils liés au vaccin contre la dengue ? Post magazine actualisé le 22 4 2019 https://www.scmp.com/magazines/post-magazine/long-reads/article/3006712/philippines-suspicion-dengue-vaccine-linked

[7] Janella Paris DOH upholds permanent ban of Dengvaxia The ban makes it illegal to import, sell, or distribute Dengvaxia in the Philippines Published 11:55 AM, August 22, 2019 https://www.rappler.com/nation/238274-doh-upholds-permanent-ban-dengvaxia

[8] Qui a reconnu depuis que sa nièce travaillait comme directeur chez Sanofi Jamaine Punzalan Head of Dengvaxia study admits she has relative in Sanofi ABS-CBN News Jan 22 2018

[11] Espen Enerly and al An observational study comparing HPV prevalence and type distribution between HPV vaccinated and -unvaccinated girls after introduction of school-based HPV vaccination in Norway Plos Published : October 10, 2019

[12] docteur.nicoledelepine.fr/evolution-du-risque-de-cancer-du-col-de-luterus-en-australie-depuis-la-vaccination-par-gardasil-de-2007-a-2014/

[13] indépendants des laboratoires

[14] Coût annuel estimé de l’obligation vaccinale Gardasil : 200 millions d’euros pour les filles, et 200 millions d’euros supplémentaires pour les garçons

[15] Voir la pétition du père d’Océane gravement handicapée depuis sa vaccination : http://chng.it/x6C8qRrpRD

[16] Vous pouvez utiliser notre texte librement à votre guise :

[17] Toutes les références sont dans le livre Hystérie vaccinale, Gardasil et cancer un paradoxe » éditions Michalon 2018 et articles (www.docteurnicoledelepine.fr )

 



60 réactions


  • njama njama 18 octobre 2019 16:36

    Dans sa réponse à la Question 14813 ["Les données d’incidence du cancer du col citées datent de 2015, ces données d’incidence n’ont pas de lien avec les campagnes de vaccination HPV. En effet, cette période (2015) est bien trop proche du début des campagnes de vaccination (2007-2011) pour observer un impact de la vaccination sur l’incidence du cancer du col.« ] Madame Buzyn ne fait qu’ânonner ce que le Dr Jean Gondry président de Société française de colposcopie et de pathologie cervico-vaginale déclarait en réponse au député Gérard Bapt :

     » Les données épidémiologiques sont bien réelles, mais elles datent de 2014, relève Jean Gondry. Or, le vaccin a été mis en place en 2007. Les jeunes filles vaccinées à l’âge de 11 ou 12 ans ne pouvaient donc pas avoir 20 ans au moment de l’enquête, d’autant plus que la maladie met environ dix ans à se déclarer, rappelle le médecin."

    LEXPRESS.fr , publié le 11/01/2019

    Or, le Dr Jean Gondry prennait un raccourci commode qui masquait le fait que dans ces pays britannique ou scandinaves, de même qu’en Australie ou aux États-Unis des adolescentes de 9 à 16/17 ans, et des jeunes femmes de 18 ans et + ont également  été vaccinées sur la même période.

    Son argument ne pourrait résister aux registres des vaccinations.


    • njama njama 24 octobre 2019 14:49

      Dame Buzyn nous dit dans sa réponse « On observe, par ailleurs, ces dernières années, une augmentation de l’ensemble des cancers liés aux HPV comme le cancer de l’anus ou le cancer de l’oropharynx. »
      Elle n’est pas la seule à avancer cet argument dans le business plan du vaccin Gardasil dont l’utilité ne convint pas vraiment les françaises. Peut-être flairent-t-elles intuitivement un coup tordu dans cette histoire digne de grands camelots ?

      La dernière mode : les cancers oropharyngés liés au sexe ! (article de 2010)
      Depuis quelques semaines, la dernière maladie à la mode dans les médias, ce sont les cancers oropharyngés liés au VPH.[...]
      Les cancers oropharyngés
      Comme la vaccination des garçons se justifie encore moins que celle des filles (des effets secondaires inconnus pour un intérêt discutable, ça ne peut pas vraiment remporter l’adhésion des parents), la nouvelle vague de persuasion repose sur les cancers oropharyngés.

      Suivez bien la logique : chez les personnes qui ont un cancer oropharyngé, on trouve des traces de VPH. Donc, les VPH doivent contribuer aux cancers oropharyngés, comme ils contribuent aux cancers du col. Or, le nombre de cancers oropharyngés « explose » (disent les médias) chez les hommes, probablement en raison de l’évolution des mœurs et de la « généralisation » de la sexualité orale. Évidemment, il serait inopérant de déconseiller la fellation ou le cunnilingus. Mais heureusement, nous avons déjà un vaccin contre le VPH ! Et voilà comment on va pouvoir inciter filles ET garçons à se faire vacciner. C’est pas beau, ça ???

      Seulement, cette belle logique, spectaculaire et surmédiatisée, ne tient pas la route. D’abord, les cancers oropharyngés (en particulier des glandes salivaires) sont très, très rares. Même leur « explosion » est toute relative et les pourcentages (de 22 % à 51 % ! ) en eux-mêmes ne veulent rien dire quand on sait quels chiffres réels ils cachent. En effet, d’après le très sérieux British Medical Journal, aux États-Unis, entre 1999 et 2006, l’incidence de ces cancers, chez les hommes (ah, donc, ce sont eux surtout qui sont concernés par le sexe oral ? C’est bizarre, non ?), a augmenté de 22 % - c’est-à-dire que le nombre de cas est passé de 1,53 à 1,87 cas pour 100 000 hommes ! Au Royaume-Uni, entre 1989 et 2006, elle a augmenté de 51 % chez les hommes et elle passée de 7 à 11 cas pour 100 000 hommes. Quatre cas de plus par an au bout de 15 ans, on ne peut donc pas vraiment parler d’une épidémie.

      De plus, ici encore, on oublie que les 2 facteurs les plus importants de cancer sont la consommation d’alcool et de tabac (bien plus élevée chez les hommes que chez les femmes), bien avant les relations sexuelles orales. Les facteurs environnementaux, comme la pollution, les additifs alimentaires et les pesticides ne sont pas pris en compte. (Le sexe de notre partenaire est loin d’être ce qui nous passe le plus souvent par la bouche, si vous me permettez cette image)

      Et donc, quand on regarde les choses calmement, encore une fois, à qui profite une information de santé spectaculaire (cancers en augmentation !), culpabilisante (c’est le sexe incontrôlé !) et destinée à nous faire peur, quand on ne regarde pas ce qu’elle recouvre exactement ?

      Elle profite toujours à ceux qui ont quelque chose à nous vendre.

      Martin Winckler (Marc Zaffran, M.D.)

      https://www.passeportsante.net/fr/Communaute/Blogue/Fiche.aspx?doc=la-derniere-mode-les-cancers-oropharynges-lies-au-sexe


    • njama njama 24 octobre 2019 14:55

      "Les cancers ORL, comme les autres néoplasies, sont favorisés par des facteurs de risque multiples

      Comme pour les cancers du col de l’utérus et le cancer anal, les facteurs statistiquement liés aux cancers ORL sont multiples : alcool, tabac, infection par virus de l’immunodéficience acquise (Sida) ou virus HPV, virus Epstein Barr, bétel, amiante, maté, émanations d’acides, gaz moutarde, caoutchouc, formaldéhyde, poissons salés, poussières de bois, nickel, cuir et bois, solvants."

      Source : Vaccin Gardasil et cancers ORL, une indication médicale ou une recherche de nouveaux marchés ?
      par delepine
      mardi 23 octobre 2018


    • foufouille foufouille 24 octobre 2019 15:12

      @njama

      « Les facteurs environnementaux, comme la pollution, les additifs alimentaires et les pesticides ne sont pas pris en compte. »

      si pour la pollution mais le reste ne donne aucun cancer.


    • njama njama 24 octobre 2019 22:34

      Cher foufouille

      Vous gagneriez beaucoup en crédibilité sur ce site que vous fréquentez de plus longue date (mars 2008) que moi (juin 2009) en ayant publié 3 fois plus de commentaires que je n’en ai publiés sur cette décennie en documentant vos interventions qui, sans au moins ce faible crédit qui ferait que l’on pourrait s’y intéresser et le corroborer un tant soit peu, font passer vos interventions pour des éructations lapidaires dignes de propos du café du commerce.
      Je ne désespère pas toutefois qu’en compagnie d’un certain nombre d’agoravoxiens vous vous améliorerez au fil du temps... mais évitez s’il vous plait vos interventions intempestives pour ne rien dire, ou si peu.


    • Legestr glaz Legestr glaz 24 octobre 2019 22:43

      @njama
       
      Merci d’’avoir apporté cette réponse à foufouille. Je partage totalement votre avis. 
      Foufouille croit savoir mais il ne vérifie jamais rien. Dans mon dernier post, je lui disais qu’il était totalement inintéressant d’échanger avec lui tellement il se refusait à vérifier les renseignements qui lui était apportés. 


    • foufouille foufouille 25 octobre 2019 09:52

      @njama

      je n’ai aucun lien vert a te donné.

      et aucun ordre à recevoir de la part d’un khmer vert qui peux tout soigner avec des méthodes magiques.


    • njama njama 30 octobre 2019 12:19

      « Or, le cancer du canal anal et celui de l’anus ne représentent que peu de cas. En France, en 2015, on comptabilisait 285 cas de cancer du canal anal avec 60 décès[5], alors que le cancer de la prostate avoisine 48.000 cas dont 8.000 décès, ou celui du poumon chez les hommes 32.000 cas et 21.000 décès[6]. De plus, ces cancers sont liés à des groupes à risques : les personnes sous traitement immunodépresseurs, chez qui le risque est multiplié par cinq, et surtout les personnes pratiquant le sexe anal passif, pour qui les risque est 60 à 90 fois plus élevé. D’autres facteurs que le VPH sont également asociés à ces cancers : la séropositivité par le virus HIV, le tabagisme et le nombre de partenaires sexuels. En l’absence du moindre lien de causalité, la seule chose que l’on peut actuellement affirmer, c’est que le VPH est un marqueur d’activité sexuelle importante, susceptible comme les micro-traumatismes répétés et les autres infections sexuelles transmissibles, de maintenir un terrain inflammatoire chronique prédisposant au cancer. La recommandation du vaccin anti-VPH est ici à nouveau hasardeuse.

      Là où le marketing des labos exprime son génie, c’est qu’il fait passer un produit pour lequel il n’existe pas la moindre démonstration d’efficacité et qui ne concerne qu’une petite minorité de personnes à risques pour un bien indispensable à tous, objet d’une revendication identitaire et égalitaire. »

      [6] Jéhannin-Ligier K et al., « Projection de l’incidence et de la mortalité par cancer en France métropolitaine en 2017 ». Rapport technique : www.santepubliquefrance.fr et www.e-cancer.fr

      source : « L’ANTI-PAPILLOMAVIRUS ? comment vendre un vaccin qu’il faudrait INTERDIRE » auteure Senta Dupuyt, PAGE 51, NEXUS N° 120 / janvier-février 2019.


    • njama njama 31 octobre 2019 12:33

      Ça y est hier 30 octobre l’AFP a sonné l’hallali contre le vaccino-scepticisme concernant cette vaccination papillomavirus qui n’enthousiasme pas du tout les françaises, et en meute toute la presse aboie à l’unisson pour faire admettre qu’il faudrait vacciner les garçons aussi !
      franceinfo / BFMTV.COM / L’EXPRESS / Ouest France / 20 minutes.fr / Le Télégramme / Boursorama / Le Progrès / Le Dauphiné Libéré / Le Républicain Lorrain / DNA - Derières Nouvelles d’Alsace / Nice Matin / France Bleu / Destination Santé /Le HuffPost / Le Quotidien du Médecin / egora.fr

      Quel cheffe orchestre tout de même que cette Agence Française de Propagande ! et quelle manifestation d’ indépendance de la presse !!!! la Pravda n’aurait pas fait mieux aux plus grandes heures de la propagande soviétique.

      Le leitmotiv, à quelques variantes près, qui revient beaucoup est « La France envisage de recommander la vaccin pour les garçons » !

      Et voilà que « la France » ??? nous pondrait maintenant des directives de santé sexuelle pour les jeunes et bientôt peut-être des prescriptions vaccinales ! mais quelle France au juste ?


    • njama njama 31 octobre 2019 12:54

      La HAS soumet toutefois à la consultation publique un projet d’avis (document provisoire) dans lequel elle recommande de vacciner tous les garçons âgés de 11 à 14 ans contre les papillomavirus humains.

      PDF de 127 pages :

      Élargissement de la vaccination contre les papillomavirus aux garçons

      Projet de recommandation soumis à consultation publique

      https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2019-10/recommandation_hpv_garcons_consultation_publique_octobre_2019.pdf


    • njama njama 31 octobre 2019 13:24

      Il n’y a pas que la FDA qui retourne sa culotte !
      Pour mémoire :

      « Enfin, le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) a émis en février 2016 un avis défavorable pour la vaccination des hommes, notamment en raison d’un mauvais rapport coût-bénéfice de cette vaccination et en estimant que « les condylomes ne constituent pas un problème de santé publique » et que « le cancer anal reste rare (incidence faible notamment chez les hommes hétérosexuels) » [10]. »

      [10] Avis relatif aux recommandations vaccinales contre les infections à papillomavirus humains chez les hommes. HCSP, 19/02/2016, p12.

      source : Droit de réponse à l’« appel des 50 » https://drive.google.com/file/d/1ElydjHmNaQ2MwL6ZMlBGzhHb3i7m5Jum/view


    • njama njama 31 octobre 2019 23:35

      Et voilà que « la France » ??? nous pondrait maintenant des directives de santé sexuelle pour les jeunes et bientôt peut-être des prescriptions vaccinales ! mais quelle « France » au juste ?

      Il est quand même assez étonnant que la ministre actuelle précisément se préoccupe de la santé sexuelle des jeunes français(e)s compte-tenu de ses appartenances culturelles / religieuses (?) qui ne souffrent pas du moindre émoi à circoncire violemment les petits garçons au huitième jour.

      Pour l’éducation sexuelle, excusez-moi du peu Madame la ministre, mais s’il vous plaît faites-vous toute petite, transparente, retournez trois millénaires en arrière, vous êtes franchement très mal placée pour donner des leçons aux français.


  • njama njama 18 octobre 2019 17:05

    Madame Buzyn élude également le fait que les « recommandations » vaccinales qui relèvent de sa responsabilité ne sont pas dirigées vers « les jeunes filles âgées de 11 à 13 ans. », mais bien prescrites de l’âge de 9 ans à 14 ans et plus. La France devrait-elle être plus zélée que ses voisins européens ?

    « De 9 à 13 ans dans un schéma à deux doses, et à partir de 14 ans et plus dans un schéma à 3 doses » (sic) https://www.mesvaccins.net/web/vaccines/7-gardasil

    Comme bien d’autres supporters de cette vaccination elle ne s’exprime jamais sur la durée d’immunité que le vaccin pourrait avoir contre cette poignée d’ infections HPV, probablement parce qu’elle n’est pas connue, ou pas encore connue vu qu’il est encore à un stade expérimental, et qu’il ferait peut-être ses preuves contre le cancer dans deux ou trois décennies pas avant !

    D’ici à ce que des piqûres de rappel seraient organisées dans une demi-douzaine d’années il n’y a pas loin... surtout que la FDA qui a retourné sa culotte l’approuve aujourd’hui pour les femmes de 27 à 45 ans après avoir admis qu’il était inefficace dans cette tranche d’âge.

    Combien Merck a-t-il payé les contrôleurs de la FDA ?


  • GerFran 18 octobre 2019 17:25

    Gardasil controversy : Freedom of Information disclosure reveals more deaths in Australia after HPV vaccination

    https://changingtimes.media/2019/07/20/gardasil-controversy-freedom-of-information-disclosure-reveals-more-deaths-in-australia-after-hpv-vaccination/

    ON JULY 20, 2019change


    • ASTERIX 19 octobre 2019 10:00

      @GerFran

      ME BUZYN WEIL LEVY est ministre de la mauvaise santé et LOBBYISTE AUPRES DE BIG PHARMA une preuve a l’assemblée un député lui pose une question santé elle continue a discuter avec un autre ministre GARDESIL LEVOTHYROX MEDIATOR ISOMERIDE elle a merdé a chaque scandale pharmaceutique faisant tester le nouveau médicament sur les patients pour avoir le marché donc UNE TRES GROSSE COMMISSION !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


    • njama njama 25 octobre 2019 17:06

      @GerFran
      Pour l’instant le taux de mortalité par cancers en Australie n’est pas un indicateur qui confirme un effet positif du vaccin. La mortalité est d’une manière générale à la hausse « All cancers combined » Annual mortality, by sex, 1968 to 2018


      et si on sélectionne Cancer Type : Cervix
      on s’aperçoit que le taux qui avait nettement chuté en 1994 et 2007 d’un tiers (de 341 à 201 morts) en raison du dépistage ? repart à la hausse depuis malgré cette vaccination, 217, 230, 250, 254, 258 de 2014 à 2018.
      https://ncci.canceraustralia.gov.au/outcomes/cancer-mortality/cancer-mortality
      ça questionne évidemment !
      tout en venant contredire la modélisation Policy1-Cervix —  publiée dans The Lancet The projected timeframe until cervical cancer elimination in Australia : a modelling study (Le délai prévu jusqu’à l’élimination du cancer du col de l’utérus en Australie : une étude de modélisation)
      https://www.thelancet.com/journals/lanpub/article/PIIS2468-2667(18)30183-X/fulltext


    • njama njama 25 octobre 2019 17:34

      @GerFran

      Autre chose qui m’intrigue et non des moindres, c’est que si en Australie la mortalité par cancers du col se situait entre 210 et 250 morts / an entre les années 2004 et 2018 pour une population de 25 millions d’habitants, comment peut-il se faire qu’en France qui en compte 66 millions, la mortalité serait de 1000 / an selon les chiffres de l’Inca ?

      Soit une exagération statistique entre 80 % et 50 % de plus, ce qui est énorme, et si peu scientifique ! !

      A standard de vie égal entre les deux pays ce qui est le cas, le nombre de cancers du col devrait se situer en France à la louche entre 550 et 660 morts / an et non pas 1000 !

      Qui croire donc entre l’Australie qui tient un registre officiel des cancers vs la France qui n’en a pas et ne jugeait pas utile d’en avoir un, le nombre de cas étant peu significatif ni une priorité de santé publique !

      On devine à qui cette exagération statistique française peut servir... il s’agit avant tout de mettre en œuvre « un programme politique », le Plan Cancer !


  • njama njama 18 octobre 2019 17:33

    De 9 à 13 ans schéma à deux doses, à partir de 14 ans et + (19 ans révolus suivant le Vidal) schéma à trois doses EST-CE BIEN SCIENTIFIQUE ?

    Compte-tenu de la tranche d’âge très ténue 12-13/14-15, c’est très suspect, on peut se poser la question ? Où sont les données immunologiques qui en attesteraient la validité ?

    Ou est-ce seulement un argument pour faire accepter une vaccination plus précoce, donc sur des pré-ados à priori plus dociles que des ados, que des adultes ? ou la faire accepter plus précocement par les parents qui ont leur mot à dire, « et à y consentir », le reste à charge de cette vaccination au prix hallucinant étant réduit de 1/3 ?

    Le 23 mars 1998, le Journal de 20 heures sur la 2 présenta une note interne du laboratoire Pasteur-Mérieux : « Sur le marché de la vaccination, les adolescents sont un segment très porteur... Il faut dramatiser... faire peur avec la maladie ».

    Dans cette vaccination le cancer n’est là que pour faire peur, pour vendre un vaccin qui est seulement anti-HPV, la preuve qu’il serait contre le cancer n’est pas établie et forcement renvoyée aux calendes grecques. Madame Buzyn sera dans un Ehpad ou au cimentière d’ici là, vers 2060 elle flirtera avec ses 100 ans...


  • vesjem vesjem 18 octobre 2019 18:24

    bouzin et ses onze vaccins est probablement en train d’affaiblir le cerveau des enfants de france sauf les siens et ceux de ses compatriotes « élus », çà va de soi 


  • stef 18 octobre 2019 18:30

    J’ai tout de suite compris le leurre de Macron avec Buzyn laquelle bien evidemment pourfend l’homéopathie mais quelle bienveillance envers le Gardasil ! ! ! !


    • njama njama 18 octobre 2019 22:08

      @stef
      Justement Alternative Santé m’informait ce matin à ce sujet :

      Homéopathie : un nouveau clou dans le cercueil
      Après le déremboursement de l’homéopathie et la fermeture de plusieurs diplômes universitaires dédiés, voilà que le 3 octobre dernier le Conseil de l’ordre des médecins annonçait que désormais le titre d’homéopathe ne sera plus délivré aux futurs médecins *. L’ordre «  pourrait  » se pencher à nouveau sur la question si était mis en place un «  éventuel diplôme interuniversitaire  » intégrant les médecines complémentaires et alternatives respectant les règles de la déontologie médicale… Autant dire, à la Saint-Hahnemann* ... père de l’homéopathie...
       
      Sous prétexte de « fake news » ou de complotisme l’inquisition allopathique bat son plein !!!
      * https://www.conseil-national.medecin.fr/publications/communiques-presse/droit-titre-lhomeopathie


  • stef 18 octobre 2019 19:33

    Il faut également évoquer le cas de MarieOcéane , cette pauvre fille vaccinée au Gardasil

    https://www.lepoint.fr/societe/exclusif-gardasil-marie-oceane-je-ne-pouvais-plus-marcher-25-11-2013-1761448_23.php


  • Ruut Ruut 18 octobre 2019 21:05

    La question à se poser est Pourquoi la Ministre persiste elle ?
    Est-elle payée par les laboratoires d’une manière ou d’une autre ?
    Est-elle aux ordre d’une personne payées par ces derniers ou ayant financé sa campagne ?
    En tout cas éluder des faits est surprenant, voir inquiétant à ces niveaux de responsabilités.

    Pourrait-elle être tenue pénalement responsable si dans un futur nous apprenions que ce produit était, comme le médiator, plus néfaste que bénéfique ?


    • njama njama 18 octobre 2019 21:47

      @Ruut
      En tous cas, si l’on suppose qu’elle serait bien informée son attitude et ses prises de positions sur ce sujet n’ont rien de scientifique !
      Ils suggèrent plus qu’elle agit en bon commis des Labos


    • Odin Odin 19 octobre 2019 12:08

      @Ruut

      « Est-elle payée par les laboratoires d’une manière ou d’une autre ? »

      Peut être faudrait-il demander à son mari, Yves Lévy, Président-directeur général de l’Inserm entre 2014 et 2018, puis nommé le 11 octobre 2018 au conseiller d’État en service extraordinaire, sur proposition de la ministre de la Justice ?

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Yves_Lévy


    • vesjem vesjem 20 octobre 2019 18:40

      @Ruut
      non, elle ne peux pas être tenue pour responsable, car, à l’instar des étatsunis, il ont fait une loi qui les absout et ouvert une « caisse » d’indemnisation (avec nos sous) pour les cas les plus flagrants ;
      donc, bouzin agit pour dézinguer son peuple ennemi, la France, en toute impunité ;
      c’est une nouvelle forme de guerre par génocide des cerveaux


  • Désintox Désintox 19 octobre 2019 13:03

    Cet article n’a pas sa place sur Agoravox. En effet, il présente des éléments scientifiques originaux, et Agoravox n’a pas les moyens de valider ou d’infirmer ces thèses.

    Un article innovant d’un point de vue scientifique doit être présenté à une revue scientifique.

    Sur Agoravox, on peut présenter des articles de vulgarisation ou bien des articles ouvrant un débat sur l’impact sociétal des sciences et des techniques. Mais ce n’est pas le lieu pour présenter des « découvertes » scientifiques.

    J’ajoute que si l’article se trompe, il peut inciter à tort des personnes de ne pas se faire vacciner ou bien de ne pas faire vacciner leurs enfants, ce qui peut avoir de fâcheuses conséquences.


    • Parlez moi d'amour Parlez moi d’amour 19 octobre 2019 14:19

      @Désintox

      Cet article n’a aucune prétention scientifique, c’est une étude basée sur des chiffres, des statistiques, des constatations et démontre la perversité d’un propagande qui joue sur la peur, exactement ce que vous faites.


    • njama njama 19 octobre 2019 15:55

      @Parlez moi d’amour
      Desintox veut simplement jouer sur l’argument d’autorité, l’onction scientifique étant >> la publication dans une revue scientifique << (dont il se garde bien de dire les noms) pour valider ce qui serait bien de ce qui ne le serait pas.
      Il oublie de mentionner que ce critère si il a l’objectif de mettre la contribution à la portée de scientifiques dans le monde, on sait ou avons fini par savoir que de nombreuses études présentaient des biais, voire même étaient pourries au point que dans les méta-analyses de Cochrane un bon paquet avaient écartées pour leur manque de sérieux. 
      Concernant le vaccin anti-HPV, les biais et liens d’intérêts non déclarés ne manquent pas... faut-il lui rappeler ?


    • Désintox Désintox 21 octobre 2019 15:24

      @njama
      Non, je ne revendique aucune autorité.

      Je dis simplement qu’Agoravox n’a pas les moyens de valider des résultats scientifiques originaux et n’est donc pas le lieu pour les présenter.

      Prouvez moi le contraire !


    • Désintox Désintox 21 octobre 2019 15:25

      @Parlez moi d’amour
      Je ne vois pas en quoi je « joue sur la peur »...


  • Dr Destouches Dr Destouches 19 octobre 2019 18:16

    Vaers :effets secondaires du vaccin

    Description07/14/2019 TOTALDisabled3,031Deaths510Did Not Recover12,742Abnormal Smear681Cervical Dysplasia344Cervical Cancer179Life-threatening990Emergency Room15,413Hospitalized6,309Extended Hosp. Stay301Serious9,303Total Adverse Events62,687

    Access expanded report here


  • Dr Destouches Dr Destouches 19 octobre 2019 18:18
    Vaers :effets secondaires du vaccin

    Description 07/14/2019 TOTAL
    Disabled 3,031
    Deaths 510
    Did Not Recover 12,742
    Abnormal Smear 681
    Cervical Dysplasia 344
    Cervical Cancer 179
    Life-threatening 990
    Emergency Room 15,413
    Hospitalized 6,309
    Extended Hosp. Stay 301
    Serious 9,303
    Total Adverse Events 62,687
    Access expanded report here

    • njama njama 22 octobre 2019 16:59

      des chiffres en progression pour la plupart corrélativement à l’augmentation du taux de couverture vaccinale
      EVENTS REPORTED TO VAERS AFTER HPV VACCINES THROUGH July 14, 2018

      Disabled (infirmes) : 2.773
      Deaths (décès) : 430
      Did Not Recover (n’ont pas récupérés) : 11.860
      Abnormal Pap Smear (frottis du col anormaux) : 673
      Cervical Dysplasia (displasies du col de l’utérus) : 264
      Cervical Cancer (cancer du col de l’utérus) : 139
      Life Threatening (cas où le pronostic vital a été engagé) : 931
      Emergency Room (visites aux urgences) : 15.672
      Hospitalization (hospitalisations) : 5.894
      Extended Hospital Stay (séjours hospitaliers prolongés) : 540
      Serious (effets secondaires graves) : 8.636
      Total Adverse Events (Total effets secondaires) : 58.936

  • Un des P'tite Goutte un des P’tite Goutte 19 octobre 2019 19:49

    Cette ministre, avec la majorité des chimpanzés qui officient sous ce règne ridicule mais non moins néfaste, nauséabond et merdeux de freluquet 1er, arrivera, après quelque temps au top 5 (3 ?) des pires ministres de la santé. Chez elle, tout converge vers : le fric, l’incompétence, le fric, la cruauté involontaire mais dont, responsable, elle aura à rendre compte, le fric, la boboourgeoisie et, fait remarquable pour moi, il faut dire que je connais le milieu hospitalier, elle est maintenant aussi repoussante, répulsive, inaudible et nonvisualisable que son maqueron. petit coeur/petit coeur/petit coeur/petit coeur, (j’ai pas réussi mes émoptitconne)


  • njama njama 23 octobre 2019 16:52

    Il ne semble pas y avoir eu de suite parlementaire « directe » à la PROPOSITION DE LOI N° 1118 visant à ajouter le vaccin contre le papillomavirus sur la liste des vaccinations obligatoires déposée le 27 juin 2018.

    Il n’est pas impossible que des influences internes au ministère, au gouvernement, ou externes *(Sanofi, conseil en marketing,... ?) auraient dissuadé les huit députés porteurs de valises de ce Projet de loi d’aller plus loin, le cas s’est déjà produit :

    VR (AIMSIB)- Parlons de la vaccination obligatoire des professionnels de santé contre l’hépatite B imposée dès 1991.[...] Que penser de cette obligation en 2019 ?

    MARC GIRARD – Ce qui est plaisant, c’est qu’après le colloque promotionnel de Cannes (22-24 novembre 1993) organisé par SKB sous couvert de l’OMS, les bourrins de l’administration française étaient partis bille en tête pour une vaccination scolaire obligatoire, et que c’est le fabricant qui a freiné des quatre fers au motif que l’obligation serait le meilleur moyen de susciter des résistances. Bingo ! rappelez-vous les files d’attente devant les pharmacies… Mais il est resté un noyau dur pour imposer la vaccination aux professionnels de santé, nonobstant des objections de bon sens : quid d’un directeur d’hôpital qui n’est jamais en contact avec des patients ?… Alors en 2019 ? Nous sommes toujours dans l’attente du moindre élément épidémiologique justifiant la nécessité de cette vaccination, a fortiori d’une obligation : la bêtise évidente de ceux qui avaient gobé l’argument de la vaccination « universelle » autorise un certain scepticisme quant à la rationalité des décisions qui ont suivi et qui continuent de suivre…
    SOURCE : AIMSIB Vaccin anti-HBV, rapport d’expertise judiciaire du Dr. Marc Girard : Suite et fin 6 Oct 2019


  • njama njama 23 octobre 2019 17:17

    Comme il n’ y a pas eu de suite législative à cette PROPOSITION DE LOI N°1118, il n’en reste pas moins que les autorités sanitaires et le gouvernement complice avance leurs pions et ont de la suite dans les idées, ce que je me propose de démontrer. Si on consulte la séance du Sénat du 16 novembre 2018 concernant l’Article 37 du PLFSS 2019, on découvre que son objet était de modifier le calendrier de telle sorte de diriger les pré-ados et ados vers une consultation médicale (présentée comme obligatoire). Je cite :

    M. le président. La parole est à Mme Patricia Schillinger, sur l’article.
    Mme Patricia Schillinger. Cet article vise à renforcer le suivi de la santé chez les jeunes, en répartissant davantage dans le temps les vingt consultations actuellement réalisées avant l’âge de 6 ans, jusqu’à l’âge de 18 ans.
    Notre groupe considère qu’il va dans le bon sens, en favorisant une meilleure politique de prévention de la santé tout au long de l’enfance. [...]
    M. Michel Vaspart. L’article 37 vise à modifier le calendrier des examens de santé obligatoires des jeunes. Il prévoit que trois des vingt examens aujourd’hui effectués avant les 6 ans de l’enfant soient réalisés entre l’âge de 6 ans et celui de 18 ans, en modifiant l’article L. 2132-2 du code de la santé publique. [...]

    --------

    Suivi médical de l’enfant : examens médicaux obligatoires
    Vérifié le 01 mars 2019 - Direction de l’information légale et administrative (Premier ministre)
    Les enfants sont soumis à 20 examens médicaux obligatoires au cours des 16 premières années.
    Entre 8 et 9 ans : 1 examen
    Entre 11 et 13 ans : 1 examen
    Entre 15 et 16 ans : 1 examen

    https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F967


  • njama njama 23 octobre 2019 21:59

    Un peu plus loin dans cette même séance du 16 novembre 2018 au sujet de l’Article 39

    Article additionnel après l’article 39
    M. le président. L’amendement n° 341, présenté par M. Amiel,...
    Après l’article 39
    Insérer un article additionnel ainsi rédigé :
    I. – L’État peut autoriser, pour une durée de trois ans, dans les trois départements du Nord, de la Guyane et des Bouches-du-Rhône, à titre expérimental, le financement, [...]

    M. Michel Amiel. Madame la ministre, l’objet de cet amendement s’inscrit pleinement dans la politique de prévention que vous menez.
    L’année dernière a été mise en place une consultation à l’âge de 25 ans pour tout ce qui concerne la prévention et le dépistage des cancers féminins.
    Par cet amendement, je vous propose de mettre en place une consultation autour de l’âge de 12-14 ans, aussi bien pour les filles que pour les garçons. Elle serait destinée à la prévention du papillomavirus et permettrait de proposer le vaccin contre cette maladie, sans pour autant le rendre obligatoire.
    On sait désormais que ce vaccin a un effet préventif pour certains cancers et que les jeunes femmes ne sont pas les seules concernées ; les garçons le sont aussi. Une étude australienne a démontré l’efficacité de ce vaccin.
    [...]
    Mme Catherine Deroche, rapporteur. Les actions visant à sensibiliser les jeunes aux infections sexuellement transmissibles et à la vaccination, notamment contre le papillomavirus, peuvent intervenir dans le cadre des cours d’éducation sexuelle ou à l’occasion de la consultation pour les jeunes filles âgées de 15 à 18 ans sur la contraception et la prévention des infections sexuellement transmissibles.
    En outre, l’article 39 bis de ce projet de loi prévoit déjà une expérimentation visant à développer la couverture vaccinale contre les infections liées aux papillomavirus humains.
    Les moyens du fonds d’intervention régional ne sont pas extensibles à l’infini et la commission a émis un avis défavorable sur cet amendement.

    M. le président. Quel est l’avis du Gouvernement ?
    Mme Agnès Buzyn, ministre. La mise en place d’une consultation à 25 ans découle du plan Cancer, dont l’un des objectifs est de personnaliser les dépistages en fonction des niveaux de risques, notamment pour le cancer du sein et du col, et donc de permettre un dépistage précoce pour les femmes à haut risque. Cette consultation permet d’éviter des cancers du sein très précoces chez des femmes qui échappaient aux dépistages spécifiques, qu’ils soient génétiques ou par IRM.
    Cette logique particulière est différente de la vaccination contre le papillomavirus, acte emblématique de prévention, qui doit être faite à l’âge de 11 ans.
    En ce qui concerne la vaccination des garçons contre le papillomavirus – je rappelle qu’elle est pratiquée dans tous les pays anglo-saxons –, j’ai saisi la Haute Autorité de santé pour connaître son avis. J’attends sa réponse pour modifier, le cas échéant, le calendrier vaccinal.


  • njama njama 23 octobre 2019 22:29

    On en déduit une corrélation évidente entre la modification du calendrier de santé (dit) « des jeunes » (Article 37) et l’opération visant à « la prévention d’infections sexuellement transmissibles » dès l’âge de 11 ans !!! dixit la ministre* pour introduire la vaccination, elle ne s’en cache pas ! (Article 39) :

    * « la vaccination contre le papillomavirus, acte emblématique de prévention, qui doit être faite à l’âge de 11 ans. »

    c’est à dire l’âge pour la plupart d’entre eux où elles (ils) rentrent au collège en sixième

    Est-ce bien un âge approprié pour introduire les enfants dans la sexualité, et ses problèmes connexes que ne connaîtront qu’une infime partie d’entre eux ? charge au médecin de leur expliquer ? on imagine...

    Pourra-t-il le faire simplement sur le très court temps d’une consultation tout en fournissant aux parents une information complète sur le bénéfice /risque de ce genre d’acte dit préventif ?

    N’est pas leur faire comprendre in fine à ces pré-ados que la sexualité pourrait conduire à des conséquences (rares) mais dommageables pour la santé ? et « pervertir » leurs jeunes esprits encore candides, par la peur,...en plus de « sexualiser » avant l’heure leurs relations qui n’en demandaient pas tant, et rien d’autre que d’évoluer au gré de chaque destin, de chaque maturité singulière.


    • njama njama 24 octobre 2019 14:08

      Ô combien cette phrase de la ministre est tristement révélatrice de la pensée pseudo-scientifique qui règne dans les hautes sphères des autorités sanitaires de ce pays !
      « la vaccination contre le papillomavirus, ACTE EMBLÉMATIQUE de prévention, qui DOIT être faite à l’âge de 11 ans. »

      C’en est à se demander combien de microgrammes de déontologie médicale il lui reste dans le cerveau pour cornaquer sans vergogne les français(e)s de cette manière avec son vaccin qui ne protégera jamais contre un cancer mais au mieux contre quelques infections HPV.


  • njama njama 23 octobre 2019 22:37

    La ministre ni les autres parlementaires qui ont voté cet Article 39 ne semblent pas avoir entendu cet intervention qui paraît de bon sens, ni avoir pris en compte l’avis défavorable de la commission concernant cet amendement :

    Mme Catherine Deroche, rapporteur. Les actions visant à sensibiliser les jeunes aux infections sexuellement transmissibles et à la vaccination, notamment contre le papillomavirus, peuvent intervenir dans le cadre des cours d’éducation sexuelle ou à l’occasion de la consultation pour les jeunes filles âgées de 15 à 18 ans sur la contraception et la prévention des infections sexuellement transmissibles.


    En outre, l’article 39 bis de ce projet de loi prévoit déjà une expérimentation visant à développer la couverture vaccinale contre les infections liées aux papillomavirus humains.


    Les moyens du fonds d’intervention régional ne sont pas extensibles à l’infini et la commission a émis un avis défavorable sur cet amendement.


  • njama njama 23 octobre 2019 22:47

    Suivi médical de l’enfant : examens médicaux obligatoires
    Vérifié le 01 mars 2019 - Direction de l’information légale et administrative (Premier ministre)
    Les enfants sont soumis à 20 examens médicaux obligatoires au cours des 16 premières années.
    Entre 8 et 9 ans : 1 examen
    Entre 11 et 13 ans : 1 examen
    Entre 15 et 16 ans : 1 examen

    https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F967

    Une modification du calendrier « calibrée » pour amener les « pré-ados » à une consultation pour les vacciner !

    "Elle serait destinée à la prévention du papillomavirus et permettrait de proposer le vaccin contre cette maladie, sans pour autant le rendre obligatoire." M. Michel Amiel, médecin généraliste, sénateur des Bouches-du Rhône membre de LREM


    • njama njama 24 octobre 2019 11:12

      Si le médecin vaccinateur aura loupé de convaincre lors de la consultation entre 11 et 13 ans, il aura sa seconde chance avec celle entre 15 et 16 ans  avec le schéma dit de « rattrapage » à 3 doses...

      rattrapage de quoi au juste ? rattrapage du taux de couverture vaccinale des pays anglo-saxons ?

      Ce programme présenté comme de la médecine préventive s’inscrit parfaitement dans la définition très équivoque de « la santé » suivant les critères de l’OMS :

      « La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. »
      https://www.who.int/fr/about/who-we-are/constitution

      Le Knockisme dans toute sa splendeur  ! une médecine qui ne peut vous concevoir que comme malade potentiel...

      Mais est-ce que ces consultations nouvellement imposées (réellement obligatoires ? vraiment ?) qui rendront captifs les pré-ados et ados sont elles encore de la vraie médecine ? ou plutôt quelque chose qui s’apparenterait au contrôle technique pour les automobiles ?


  • njama njama 23 octobre 2019 23:19

    Si le Gardasil modifie l’histoire du cancer du col, j’ai bien peur que la vaccination Gardasil modifierait les comportement sexuels « naturels », ou pour le moins ce que de jeunes âmes pouvaient en imaginer.

    Comment donc le médecin généraliste qui est en premier ligne au front avec sa seringue expliquera-t-il aux pré-ados de 11/12 ans qu’en plus des cancers du col, les cancers oropharyngés et anaux, et du pénis éventuellement, pourraient être causés par des infections HPV sans leur expliquer que oui, certain(e)s personnes adeptes d’une sexualité qu’on qualifiera pudiquement de « progressiste » pratiquent la sodomie et/ ou a fellation comme des bonobos, et que ce n’est pas sans risques pour la santé, évidemment, comme pour le mental.

    Ça risque d’être cocasse, on imagine les mamans attentives à ce que le docteur racontera à ce sujet à leur progéniture...


  • njama njama 25 octobre 2019 16:38

    Dame Buzyn nous dit dans sa réponse à la Question 14813 « En effet, le nombre de cas d’infections à HPV couvertes par le vaccin quadrivalent, à l’origine de 70% des cancers du col de l’utérus, est passé de 22,7% en 2005-2007 à 1,5% en 2015 chez les jeunes femmes de 18-24 ans en Australie où la vaccination contre les HPV a débuté en 2007. » Il s’agit donc des HPV [types 6, 11, 16, 18]

    , et on se demande bien de quels utérus serait sorti ce pourcentage de 70 % ?

    « On apprend que la protection du vaccin est de 14 à 27 % (p.52), c’est-à-dire ridicule ; que les statistiques sont surévaluées ; que 90% des infections à HPV disparaissent spontanément ; que le coût de la vaccination est absolument prohibitif par rapport aux économies réalisées sur le traitement des cancers du col déclarés ; qu’on a fait disparaître les témoins des études en les vaccinant après l’étude, ce qui supprime toute possibilité de faire des comparaisons plus tard ; que les contrats et lois sur la prise en charge des vaccins par les états étaient signés avant les conclusions des études !

    On a fait croire que le risque pour les jeunes filles d’être infectées par un HPV était de 70 % alors qu’on a montré aux USA qu’une infection à HPV 16 a été détectée chez 1,5 % des femmes et une infection à HPV 18 chez 0,8 % des femmes et que seulement 20 à 25 % de celles-ci , infectées à haut risque, développera un cancer in situ CIN 2 + ou un cancer. »

    Catherine Riva journaliste & Jean-Pierre Spinosa gynécologue-obstétricien

    http://www.coordiap.com/public4857-piqure-de-trop.htm

    La vaccination anti-HPV un enjeu de santé publique, vraiment ?


  • njama njama 26 octobre 2019 18:06

    @ Gérard Delepine

    Vous notez dans votre article « Les expérimentations de vaccination anti HPV qu’elle propose sont inutiles ; ces expérimentations sont déjà réalisées sur des populations entières depuis... »

    Pour tout dire je le comprenais comme vous que c’était le vaccin qui allait faire l’objet de l’expérimentation et d’un suivi « français » particulier de la HAS qui avait déclaré son efficacité très modeste, ainsi que de la pharmacovigilance dans deux régions tests, mais à lire Madame Buzyn je comprends qu’il n’en est rien, ce n’est pas comme cela qu’elle l’entend. Elle dit d’ailleurs pour clôturer sa réponse écrite à la Question 14813 :
    « Dans le cadre de la loi de financement de la Sécurité sociale pour 2019, un article visant à expérimenter des actions de promotion de cette vaccination auprès des professionnels de santé, pour in fine les inciter à plus souvent vacciner, a été adopté. Les expérimentations seront lancées en 2019 dans deux régions pilotes, dont une région ultra-marine. L’évaluation de ces expérimentations permettra d’identifier de nouvelles pistes d’action pour améliorer la couverture vaccinale du vaccin contre les HPV. »

    Les « expérimentations » qui viennent probablement en substitut d’une obligation vaccinale qui aurait été compliquée et très impopulaire ne portent donc que sur la mise en œuvre de la vaccination HPV, dont la modification du calendrier des examens médicaux obligatoires est un des vecteurs qui devrait diriger les ados vers le médecin référent...

    Les résultats de la vaccination (efficacité, innocuité, évolution de l’incidence etc...) ne l’intéressent en rien. Elle n’est là que pour appliquer le programme du Plan Cancer.


  • njama njama 27 octobre 2019 10:41

    @ Gérard Delepine

    Madame Buzyn met en œuvre le Plan Cancer c’est tout, c’est sa feuille de route au gouvernement, un programme politique qui se donne bonne conscience d’agir contre le cancer à hue et à dia.

    La validité du vaccin HPV n’est pas son problème et ce d’autant moins qu’il a reçu les insanes onctions de la FDA qui on l’a vu a retourné sa culotte, de l’OMS, de l’EMA, ... que le vaccin a son AMM, (obtenu en « fast-track », elle s’en fout), tel est son article de foi, son dogme qui ne se discute pas !

    Et quand cette papesse dit d’une manière on ne peut plus injonctive qui ressemble à une formule de commandement « la vaccination contre le papillomavirus, ACTE EMBLÉMATIQUE de prévention, qui DOIT ÊTRE FAITE À l’ÂGE DE 11 ANS »

    cela veut simplement dire qu’elle veut mettre sous la seringue des vaccinateurs des enfants pré-pubères, dont on pourra supposer qu’elles seront vierges à 99,xx %, et qu’elles n’auraient jamais « sexé » pour limiter les risques connus de cette vaccination sur des filles qui ne le sont pas , d’autant qu’il n’y a absolument aucune urgence épidémiologique à faire un tel vaccin aussi tôt et dont la durée d’immunité est pour l’heure une parfaite inconnue.


  • njama njama 27 octobre 2019 11:16

    AVIS AUX PARENTS DU GRAND-EST ET DE GUYANE

    L’expérimentation de la vaccination du papillomavirus humain (improprement appelé cancer du col de l’utérus) va débuter en automne, dans votre région, en milieu scolaire (école, collège, lycée), pour les filles et les garçons.

    Ce vaccin, à l’efficacité non démontrée et aux nombreux effets secondaires rapportés (certains fatals), est très controversé. Il n’est pas obligatoire.

    En cas de refus, nous vous encourageons à vous manifester auprès des directeurs, médecins, infirmiers scolaires et à engager leur responsabilité s’ils passent outre.
    Parlez-en à vos enfants. Expliquez-leur pourquoi vous refusez cette vaccination. Donnez-leur des armes pour se défendre.

    Plus d’informations auprès de nos associations :
     infovaccinsfrance.org // infovacin.fr // aimsib.org // alis-france.com

    ATTENTION ! [ Par dérogation à l’article 371-1 du code civil] La loi autorise les enfants à se passer du consentement des parents en ce qui concerne la santé sexuelle et reproductive (articles L 1111-5 et L 1111-5-1 du Code de la Santé Publique).

    http://www.alis-france.com/wp-content/uploads/Affiche_avis_aux_parents.jpg


  • njama njama 27 octobre 2019 12:22

    Autre feuille de route de Mme Buzyn, celle de l’OMS, ainsi elle n’a pas à réfléchir ! 
    Guide d’introduction du vaccin anti-PVH dans les programmes nationaux de vaccination Date de publication : février 2017 — Langues : français, anglais, portugais
    Overview : Ce guide est destiné aux administrateurs de programmes nationaux de vaccination et aux partenaires pour informer les débats politiques et les aspects opérationnels de l’introduction du vaccin anti-PVH dans les programmes nationaux de vaccination et de fournir des références à jour sur la politique mondiale et sur les questions techniques et stratégiques liées à l’introduction du vaccin anti-PVH.

    https://www.who.int/immunization/documents/ISBN_9789241549769/fr/

    voir plus particulièrement dans le PDF (à télécharger)

    2. PRISE DE DÉCISIONS AU NIVEAU NATIONAL
    Quel doit être le processus ? p.13
    Quelles informations sont nécessaires ? p.14
    La vaccination contre le PVH sera-t-elle viable financièrement ? p.15
    Quelle est la meilleure stratégie d’administration pour le vaccin anti-PVH ? p.17
    Comment la vaccination contre le PVH peut-elle être intégrée à d’autres interventions vaccinales ou sanitaires ? p.23
    Quelles politiques faut-il mettre en place ? p.26
    Quelles parties prenantes doit-on inclure dans le processus ? p.27

    3. PLANIFICATION p.28
    Quels plans doit-on élaborer ou revoir ? p. 29
    Comment planifier l’introduction nationale ? p.29

    ...


  • njama njama 27 octobre 2019 12:33

    On en déduit facilement que les « expérimentations » programmées dans les deux régions GRAND EST et GUYANE ne visent stratégiquement qu’à évaluer la quantité de vaccins qui sera commandée à l’industriel, régions tests avant de passer à une échelon plus large...

    Le ministère doit se souvenir du gros bide de la vaccination H1N1 et des millions de vaccins qu’il a dû payer pour ensuite devoir les détruire.

    Qui sait si le ministère de l’Éducation nationale ne fournira pas les chiffres du nombre de filles scolarisées, par tranches d’âge ... pour préparer cette vaccination que l’on peut qualifier de « vétérinaire ».


  • njama njama 1er novembre 2019 21:23

    Par quel tour de passe-passe la FDA approuve-t-elle le Gardasil pour les femmes de 27 à 45 ans alors que Merck le fabricant reconnaît dans sa Notice que le Gardasil n’a fait preuve d’aucune efficacité après l’âge de 26 ans !

    La Dame Buzyn répondra-t-elle à la question ?

    https://www.merck.com/product/usa/pi_circulars/g/gardasil/gardasil_pi.pdf

    Page 2
    GARDASIL has not been demonstrated to prevent HPV-related CIN 2/3 or worse in women older than 26 years of age. [See Clinical Studies(14.7).]
    page 21
    14.7 Studies in Women 27 through 45 Years of Age
    Study 6 evaluated efficacy in 3253 women 27 through 45 years of age based on a combined endpoint of HPV 6-, 11-, 16- or 18-related persistent infection, genital warts, vulvar and vaginal dysplastic lesions of any grade, CIN of any grade, AIS, and cervical cancer. These women were randomized 1:1 to receive either GARDASIL or AAHS control. The efficacy for the combined endpoint was driven primarily by prevention of persistent infection. There was no statistically significant efficacy demonstrated for CIN 2/3, AIS, or cervical cancer. In post hoc analyses conducted to assess the impact of GARDASIL on the individual components of the combined endpoint, the results in the population of women naïve to the relevant HPV type at baseline were as follows : prevention of HPV 6-, 11-, 16- or 18-related persistent infection (80.5% [95% CI : 68.3, 88.6]), prevention of HPV 6-, 11-, 16- or 18-related CIN (any grade) (85.8% [95% CI : 52.4, 97.3]), and prevention of HPV 6-, 11-, 16- or 18-related genital warts (87.6% [95% CI : 7.3, 99.7]).
    Efficacy for disease endpoints was diminished in a population impact assessment of women who were vaccinated regardless of baseline HPV status (full analysis set). In the full analysis set (FAS), efficacy was not demonstrated for the following endpoints : prevention of HPV 16- and 18-related CIN 2/3, AIS, or cervical cancer and prevention of HPV 6- and 11-related condyloma. No efficacy was demonstrated against CIN 2/3, AIS, or cervical cancer in the general population irrespective of HPV type (FAS any type analysis).

    Copyright © 2006, 2009, 2010, 2011 Merck Sharp & Dohme Corp., a subsidiary of Merck & Co., Inc.All rights reserved. uspi-v501-i-1504r021 Printed in USA


  • njama njama 1er novembre 2019 21:30

    Et siiiiiiiiiiii le Gardasil n’a fait preuve d’aucune efficacité après l’âge de 26 ans

    comment pourrait-il faire preuve d’efficacité avant l’âge de 26 ans... quand ce type de cancer du col se déclare vers 50 ans ???!!!

    Avec cette vaccination anti-HPV nous vend-t-on de l’air de Montcuq ?... à beaucoup plus cher en plus !!!!!!

    http://www.airdemontcuq.fr/


  • njama njama 2 novembre 2019 16:09

    La vaccination anti-HPV Un problème de santé publique vraiment ? ce n’est pas ce que disait le HCSP le Haut Conseil de la Santé Publique en 2016 ! faudrait-il donc vacciner 400.000 garçons (1/2 tranche d’âge) pour quelques rares voire très rares ? pour des cancers qui se révèlent plusieurs décennies après !

    source : Avis relatif aux recommandations vaccinales contre les infections à papillomavirus humains chez les hommes. HCSP, 19 février 2016
    cancer du pénis (page 2/18) L’incidence du cancer invasif du pénis est faible en Europe ou en Amérique du Nord (0,1 à 1,5/100 000) [34,35]. Les âges les plus touchés sont les 50-70 ans.
    cancer anal (page 3/18) Il s’agit d’une pathologie rare dont l’incidence mondiale se situe en moyenne autour de 1 cas pour 100 000 ...mais qui augmente d’environ 2 % par an, tant en Europe qu’en Amérique du Nord, chez les hommes comme chez les femmes [36-38].

    Le risque de cancer du canal anal est 20 fois plus élevé chez les HSH [les hommes ayant des relations sexuelles avec les hommes] que chez les hétérosexuels [41]

    (page 4/18) En conclusion, en France, le cancer anal est en progression mais reste un cancer rare en population générale. Les cancers du pénis sont très rares.

    (page 12/18) « dans le contexte actuel de la vaccination HPV en France, la vaccination universelle des garçons selon des modalités comparables à celles des filles n’est pas pertinente d’un point de vue santé publique. »

    https://www.mesvaccins.net/textes/hcspa20160219_recovaccinfhpvhommes.pdf


  • njama njama 2 novembre 2019 16:37

    Dans le document (provisoire) que vient de nous présenter la HAS (PDF de 127 pages :Élargissement de la vaccination contre les papillomavirus aux garçons—Projet de recommandation soumis à consultation publique

    est cité page 123/124 : Consultation publique / Les contributions reçues dans le cadre de la consultation publique sont présentées ci-après : en Annexe 5. Compte-rendu d’audition : Le Dr Laurent Abramowitz, Responsable de la proctologie, Hôpital Bichat Claude Bernard...

    ----------

    Il n’est peut-être pas superflu de rappeler les liens d’intérêts entre cette personne et la fabricant du vaccin MSD car celui-ci a dirigé une étude financée par ce Laboratoire comme nous le précisait les 15 médecins qui s’opposent à cette vaccination anti HPV dans Droit de réponse à l’« appel des 50 » https://drive.google.com/file/d/1ElydjHmNaQ2MwL6ZMlBGzhHb3i7m5Jum/view

    pages 3 & 4  :

    « Il faut savoir qu’il n’existait pas jusqu’à présent de suivi épidémiologique régulier des cancers de la vulve, du vagin et du pénis en France, car on estimait que le nombre de cas était trop faible pour justifier d’un tel suivi. Ces estimations n’ont été intégrées qu’en 2018. Mais les estimations citées dans l’« appel des 50 » sont tirées d’une étude conçue et financée par MSD [8], fabricant du Gardasil® et avec la participation de plusieurs de ses employés et de la société de conseil Stève Consulting (c). »

    [8] Abramowitz L, et al. (2018) Epidemiological and economic burden of potentially HPV-related cancers in France. PLoSONE 13(9) : e0202564.

    Funding : The study was supported by MSD Vaccins. ...

    "Competing interests : The study was supported and funded by MSD Vaccins. André Dahlab, Xavier Bresse and Mathieu Uhart are former employees of MSD Vaccins. MSD Vaccins is the market authorization holder of Gardasil®, Human papillomavirus 9-valent vaccine, recombinant. Charlotte Cancalon, Laura Catella and Stève Bénard are employees of stève consultants. As a private pharmaceutical industry, MSD Vaccins is not allowed to access French hospital information from the PMSI database ; it has to contract with consultant firms such as stève consultants that comply with the criteria of confidentiality, expertise and independence defined by ministerial order (July 17, 2017).

    Note page 11/14 du PDF

    c - Stève consulting est une société lyonnaise spécialisée dans la conception d’études destinées à faciliter l’accès des médicaments aux marchés dont les clients sont les laboratoires pharmaceutiques.
    Stève consulting s’est déjà illustrée en fournissant à plusieurs Etats européens des modélisations médico-économiques favorables au vaccin quadrivalent. Il en a été ainsi de l’Allemagne, de la Belgique, de la Grande-Bretagne, et de l’Italie. Il n’y a eu, à cette époque, que deux modélisations médico-économiques indépendantes, la modélisation française et la modélisation faite en Autriche à la demande de la ministre de la Santé, qui concluait qu’avec un vaccin efficace à 100% et une protection à vie en vaccinant toutes les filles de 12 ans, il aurait fallu attendre 52 ans pour observer une réduction de 10% du nombre de cas.

    http://www.steve-consultants.com/


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