dimanche 27 septembre 2020 - par Bernard Dugué

Il est urgent de changer de stratégie sanitaire face à la Covid-19

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Il est urgent de changer de stratégie sanitaire face à la Covid-19

 

Dans cette tribune, près de 200 scientifiques, universitaires et professionnels de santé (hospitaliers ou libéraux) critiquent la dérive de la politique sanitaire du gouvernement français. Ils estiment qu'elle conduit à des interprétations erronées des données statistiques et à des décisions administratives disproportionnées. Ils demandent que l'on remette à plat nos connaissances pour définir démocratiquement une stratégie sanitaire consensuelle.

 

Tandis que le gouvernement prépare une nouvelle loi (la quatrième en 6 mois !) prolongeant le « régime d’exception » qui a remplacé « l’état d’urgence » sanitaire, le ministère de la Santé a encore annoncé mercredi 23 septembre des mesures restrictives des libertés individuelles et collectives qu'il prétend fondées scientifiquement sur l'analyse de l'épidémie de coronavirus. Cette prétention est contestable. Nous pensons au contraire que la peur et l’aveuglement gouvernent la réflexion, qu'ils conduisent à des interprétations erronées des données statistiques et à des décisions administratives disproportionnées, souvent inutiles voire contre-productives.

 

Que savons-nous de cette épidémie et de son évolution ?

Le SARS-CoV-2 menace essentiellement les personnes dont le système immunitaire est fragilisé par le grand âge, la sédentarité, l'obésité, des comorbidités cardio-respiratoires et des maladies sous-jacentes de ces systèmes. Il en découle que la priorité sanitaire est de protéger ces personnes fragiles : le respect des gestes barrières et le lavage des mains en sont deux des clés.

Le SARS-CoV-2 circule dans le monde depuis environ un an. Il continuera à circuler, comme l'ensemble des autres virus qui vivent en nous et autour de nous, et auxquels nos organismes se sont progressivement adaptés. L'espoir de faire disparaître ce virus en réduisant à néant la vie sociale est une illusion. D’autres pays, en Asie comme en Europe, n’ont pas eu recours à ces pratiques médiévales et ne s’en sortent pas plus mal que nous.

Quant à l’évolution, l’idée d’une « deuxième vague » reproduisant le pic de mars-avril 2020 n’est pas un constat empirique. C’est une théorie catastrophiste issue de modélisations fondées sur des hypothèses non vérifiées, annoncée dès le mois de mars et ressortie des cartons à chaque étape de l’épidémie : en avril lors du soi-disant « relâchement » des Français, en mai avant le déconfinement, en juin pour la Fête de la musique, en été pour les « clusters » de Mayenne ou les matchs de foot, et à nouveau cet automne face à une augmentation des cas certes significative, mais lente et grevée d’incertitudes diagnostiques. Au final, cette prétendue « deuxième vague » est une aberration épidémiologique et l’on ne voit rien venir qui puisse être sérieusement comparé à ce que nous avons vécu au printemps dernier.

 

On ne compte plus les mêmes choses

Nous voyons enfin que, pour des raisons difficiles à cerner (panique, pression politique ou médiatique… ?), les autorités sanitaires françaises ne parviennent pas à stabiliser une communication honnête sur les chiffres de l'épidémie. Elles ont surtout abandonné l'indicateur fondamental, la mortalité, pour ne retenir que celui de la positivité de tests pourtant incapables de distinguer les sujets malades des personnes guéries. Cette politique du chiffre appliquée aux tests conduit à une nouvelle aberration consistant à s'étonner du fait qu'on trouve davantage aujourd'hui ce qu'on ne cherchait pas hier. Elle conduit par ailleurs à des classements des départements ou des régions en zones plus ou moins « dangereuses » à qui l’on donne de jolies couleurs qui cachent la fragilité et l’arbitraire du comptage : untel se retrouvera en « zone rouge » alors qu’il y a moins de dix patients en réanimation, un autre verra tous ses restaurants fermés sans que l’on ait la preuve que ce sont des lieux de contamination majeurs. Tout cela n’est guère cohérent.

Les autorités sanitaires ne s'interrogent pas non plus sur la surmortalité à venir des autres grandes causes de décès (cancers, maladies cardio-vasculaires) dont la prise en charge est délaissée, ni sur le fait qu'une partie des sujets classifiés parmi les personnes « décédées de la Covid » sont en réalité mortes en raison d’une autre pathologie mais classifiées Covid parce qu’elles étaient également porteuses du virus. Or des études récentes montrent que ce groupe pourrait constituer jusqu’à 30% des décès au Royaume Uni ces dernières semaines. Cette façon de compter de plus en plus comme « morts du Covid » des personnes en réalité atteintes avant tout d’autres maladies est probablement l’explication principale du fait que, comme cela est écrit en toutes lettres sur le site de l'INSEE : « depuis le 1ᵉʳ mai, on ne constate plus en France d’excédent de mortalité par rapport à 2019 ».

 

Il découle de tout ceci qu'il n'y a pas de sens à paralyser tout ou partie de la vie de la société en suivant des raisonnements qui sont parfois erronés dans leurs prémisses mêmes. Il est urgent d'arrêter l’escalade, d'accepter de remettre à plat nos connaissances scientifiques et médicales, pour redéfinir démocratiquement une stratégie sanitaire actuellement en pleine dérive autoritariste.

 

 

Les signataires

 

Jean-François Toussaint, professeur de physiologie à l’Université de Paris, ancien président des Etats Généraux de la Prévention

Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS

Laurent Toubiana, chercheur épidémiologiste à l’INSERM, directeur de l’IRSAN

Jean Roudier, professeur de médecine, rhumatologue, directeur de l’unité INSERM UMRs 1097

Louis Fouché, médecin, anesthésiste réanimateur à l’Hôpital de la Conception

Olivier Lhoest, médecin anesthésiste réanimateur

Olivier de Soyres, médecin, réanimateur à la clinique des Cèdres

Elise Carpentier, professeur de droit public à l'Université d'Aix-Marseille

André Comte-Sponville, philosophe

Christian Perronne, chef du service d’infectiologie à l’hôpital de Garches, professeur à l’Université de Versailles Saint Quentin-Paris Saclay

Anne Atlan, directrice de recherche au CNRS, généticienne des populations et sociologue

Alain Wurtz, professeur émérite de chirurgie thoracique à l’Université de Lille

Bernard Swynghedauw, biologiste, directeur de recherche émérite à l’INSERM

Catherine Gire, chef de service de réanimation, soins intensifs et néonatologie à l’Hôpital Nord de Marseille

Bernard Dugué, docteur en pharmacologie, docteur en philosophie

Jean-Louis Rouvillain, médecin, orthopédie traumatologie, CHU La Meynard (Fort-de-France)

Jean Bulard, médecin généraliste (Polynésie française)

Marta Barreda González, médecin généraliste, spécialiste en Santé Publique

Laurent Durinck, médecin, anesthésiste

Lisbeth Girard-Claudon, médecin généraliste

Tamara Baron, psychologue à la Maison Centrale de Saint-Martin-de-Ré

Charles Menard, médecin, psychiatre 

Françoise Robinson, docteur en médecine (Bron)

Richard Rodriguez, médecin généraliste

Elisabeth Pouffier, médecin généraliste 

Emmanuelle Lemonnier, médecin généraliste

Lionel Ferrier, médecin généraliste

Sabine dé Monvallier, médecin généraliste

Didier Montet, docteur en sciences et technologie alimentaire, HDR en biochimie

André Burnol, ingénieur ENSTA Paris, docteur en hydrogéochimie

Arnaud Plagnol, psychiatre, professeur de psychologie à l’Université Paris 8

Isabelle Vinatier, professeur émérite en sciences de l’éducation, université de Nantes

Marnix Dressen-Vagne, professeur de sociologie à l’Université Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines

Nicolas Sembel, professeur de sociologie à l’Université d’Aix-Marseille

Pascal Ragouet, professeur de sociologie à l’Université de Bordeaux

Pascal Roman, professeur de psychologie à l’Université de Lausanne

Bruno Péquignot, professeur émérite de sociologie à l’Université Paris Sorbonne Nouvelle

Marianne Bordenave-Jacquemin, maître de conférences en physiologie végétale à la Sorbonne-Université

Éric Desmons, professeur de droit public à l’Université Sorbonne Paris Nord

Dominique Andolfatto, professeur de science politique à l’Université de Bourgogne Franche-Comté

Dominique Labbé, politiste, enseignant émérite à l’Université de Grenoble-Alpes

Bernard Marsigny, médecin anesthésiste réanimateur

Amandine Thomasset, psychiatre, praticien hospitalier en Loire Atlantique 

Romain Torrents, médecin hospitalier, pharmacologie clinique, Centre Antipoison et de Toxicovigilance

Laure Farnault, médecin, praticien hospitalier en Hématologie (Marseille)

Thierry Medynski, médecin généraliste

Christophe Leroy, biologiste, docteur en Biologie moléculaire et cellulaire

Béatrice Segurens, chercheuse en génétique et métagénomique au CEA

Jean-François Lesgards, biochimiste, chercheur au CNRS

Alain Deville, physicien, Professeur émérite à l’Université Aix-Marseille

Cécile Fortanier, docteur en Economie de la Santé, Cadre Hospitalier

Frédéric Schnee, Médecin gériatre coordonnateur en EHPAD

Gilles Perrin, médecin, anesthésiste réanimateur à l’Hôpital de la Conception

Yves-Marie Mattheyses, Infirmier Anesthésiste

Bernard Lamizet, ancien professeur des universités à l’Institut d’Études politiques de Lyon

Alexandra Henrion-Caude, chercheur, ancienne directrice de recherche INSERM

Vincent Pavan, maître de conférences en mathématiques à l'Université d'Aix-Marseille

Peter El Baze, médecin Ancien attaché des Hôpitaux du CHU de Nice

Hélène Banoun, pharmacien biologiste, docteur en pharmacologie moléculaire

Soizic Noël-Bourgois, infirmière diplômée d’Etat, docteur en ethno-anthropologie

Sophie Dessauvages, aide-soignante diplômée d’État

Monique Lamizet, médecin généraliste

Thierry Gourvénec, pédopsychiatre

Françoise Giorgetti-D’Esclercs, médecin Oto-rhino-laryngologiste

Arnaud Rey, chercheur en psychologie au CNRS

Alexandra Menant, chercheuse en biologie au CNRS

Philippe Brouqui, médecin, chef du pôle des maladies infectieuses au CHU de La Timone-IHU Méditerranée Infection

Claire Neirinck, professeur émérite de droit à l’Université Toulouse 1 Capitole

Pascal Sacré, médecin, anesthésie-réanimation

Jean-Michel Crabbé, médecin généraliste

Nicole Roattino, pharmacien hospitalier

Clotilde Branly, sage-femme à l’Hôpital de Sarlat

Brigitte Weiss, médecin généraliste

Hubert Sroussi, médecin généraliste

Valérie Giraud, sage-femme sexologue, Dordogne

Jean-Jacques Coulon, médecin généraliste (Bourges)

Christophe Dargere, sociologue, chercheur associé au Centre Max Weber

Stéphane Tessier, médecin de santé publique, docteur en sciences de l'éducation

Violaine Guérin, médecin endocrinologue et gynécologue

Alain Le Hyaric, médecin hospitalier honoraire

Guillaume Barucq, médecin généraliste à Biarritz

Franck Enjolras, psychiatre et docteur en anthropologie (EHESS, Iris)

Claude Gautier, professeur de philosophie à l’Ecole Normale Supérieure (Lyon)

Agnès Florin, professeur émérite de psychologie de l'enfant à l'Université de Nantes

Colette Anné, mathématicienne au CNRS (Nantes)

Jean-Luc Viaux, professeur émérite de psychologie à l’Université de Rouen

Benoit Marpeau, maître de conférences en histoire à l’Université de Caen-Normandie

Hervé Joly, historien, chercheur au CNRS (Lyon)

Bénédicte Helfer, médecin, risques sanitaires majeurs et gestion de crise

Jean Emsallem, médecin angéiologue, enseignant à la Faculté de médecine de la Sorbonne Université

Charalambos Apostolidis, professeur de droit public à l'Université de Bourgogne-Franche-Comté

Mathias Delori, politiste, chargé de recherche CNRS

Christopher Pollmann, professeur de droit public à l’Université de Lorraine

Farhad Khosrokhavar, professeur émérite à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales

Maryse Esterle, sociologue, enseignante-chercheure honoraire à l’Université d’Artois

Thierry Oblet, maître de conférences en sociologie, Université de Bordeaux

Bernard Lamizet, professeur émérite en sciences de l’information et de la communication à l’IEP de Lyon

Christophe Leroy, biologiste, docteur en biologie moléculaire et cellulaire

Docteur Jean-Pierre Letourneur, médecine, hépatogastroentérologue (Saint-Malo)

Morgane Miegeville, cadre de santé, responsable pédagogique (Paris)

Martine Mérour, médecin pneumologue retraitée

Brigitte Agostini, infirmière libérale (Corse du Sud)

Sybille Burtin-Philibert, médecin spécialiste de Santé Publique

Vincent Reliquet, médecin, Comité Médical AIMSIB (Tourcoing)

Marie-José Minassian, professeur émérite de philosophe à l’Université Paris 8

Bernard Banoun, professeur de lettres à Sorbonne Université

Gérard Ostermann, professeur de thérapeutique, médecine Interne et psychothérapeute

François Gastaud, chirurgien Orthopédiste (Strasbourg)

Alix Moulanier, médecin généraliste

Fouad Daoud, médecin, ostéopathe, psychanalyste

Laurent Sedel, médecin, ancien chef de service en orthopédie à l’hôpital Lariboisière

Jean-Michel de Chaisemartin, médecin psychiatre des hôpitaux honoraire (Finistère)

Patrick Bellier, médecin du sport, pneumologue allergologue (Sainte-Foy-les-Lyon)

Dominique Géraud-Coulon, médecin rééducateur (Gap)

Anne-Gabrielle Mottier, orthophoniste

Koryna Socha, médecin anatomopathologiste

Jean-François Pascal, médecine, chef de service SSR, gériatre

Jean-Luc Stanek, Santé Navale et chirurgien-dentiste

Rose-Marie Castello, médecin du travail et médecin généraliste (Paris)

Florence Laaziri, infirmière libérale

Véronique Orth-Weyers, médecin généraliste (Fort-de-France)

Pierre Concialdi, chercheur en sciences sociales

Rémy Marchal, professeur des universités à l’École Nationale Supérieure d’Arts et Métiers

Marc Richevaux, magistrat, maître de conférences à l’Université du Littoral Côte d'Opale

Laetitia Gorius, infirmière Diplômée d’Etat

Delphine Rive, médecin généraliste à Rezé

David Esfandi, médecin, psychiatre (Bordeaux)

Nadia Lamm, enseignant émérite à l’Université de Rouen

Paméla Pang, infirmière

Valérie Legrand, infirmière libérale

Nicole Chaudiere, pharmacienne

Mariane Huart, infirmière Diplômée d’Etat et ostéopathe

Véronique Ahari, médecin généraliste (Poitiers)

Éric Ménat, médecin généraliste (31)

Sandrine Thiou, médecin généraliste à Besançon

Patrick Roux, médecin libérale et praticien attaché au CHU de Clermont-Ferrand

Julien Petit, médecin du sport

Serge Rader, pharmacien (Paris)

Arnauld Cabelguenne, pharmacien, Docteur en Toxicologie et Cancers

Marie-Claire Cabelguenne, pharmacien, Coordinatrice MSP du Lectourois (Gers)

Katia Chaussepied, infirmière

Marc Roux, professeur honoraire de Zootechnie

Caroline Gautier, infirmière

Évelyne Gandais, médecin dermatologue

Jérôme Reynier, docteur en psychologie sociale, enseignant en BTS

Michaël Ramain, médecin, ancien Attaché des Hôpitaux de Paris

Roseline Marie, médecin généraliste (Balaruc-les-Bains)

Sébastien Aubert, professeur de génie mécanique à l’Ecole Nationale Supérieure d'Arts et Métiers

Michelle Zancarini-Fournel, historienne, professeur émérite à l’Université de Lyon

Patricia Melot, médecin généraliste

Delphine Pages, médecin généraliste

Sylvie Laval, psychiatre

Lucie Jouvet Legrand, socio-anthropologue, maîtresse de conférences à l’Université de Franche-Comté

Launay-Kong Hélène, infirmière libérale

Bernard Gaillard, psychologue, professeur émérite à l’Université de Rennes 2

Alix Moulanier, médecin généraliste

Philippe Raymond, médecin généraliste (Bourg-en-Bresse)

Murielle Dellemotte, médecin du travail

Sandrine Vansnick, infirmière

Isabelle Aubert, maitre de conférences HDR à l’Université de Bordeaux

Pascal Lardellier, professeur à l’Université de Bourgogne

Myriam Balsat, médecin généraliste

Vincent Manns, médecin généraliste (46)

Jean-Louis Thillier, médecin, immunopathologiste

François Alaux, médecin spécialiste à Montauban

Jacques Bassier, médecin nutritionniste

Guy Chapouillié, professeur émérite à l’ENSAV Université Jean-Jaurès

Catherine Schall Pruvost, médecin généraliste

Christophe Robin, médecin généraliste (Bayonne)

Frédéric Barbe, maître de conférences associé à l’Ecole d'Architecture de Nantes

Françoise Auban, médecin généraliste (Marseille)

Marc Arer, médecin généraliste (Saint-Etienne)

Pierre-André Bouillet, médecin généraliste

Michel Boudet, médecin généraliste

Nicole Karsenti, médecin, nutritionniste

Michel Soussalin, chirurgien AIHP ACCA des Hôpitaux de Paris

Jean-Baptiste Mouzet, praticien hospitalier, Gériatre, soins de suite

Caroline Mouzet-Heaulmé, Médecin généraliste

Joël Rezzouk, médecin, chirurgien

Sylvie merlier, Docteur en pharmacie

Patrick Sautereau, médecin généraliste, (Caen)

Michel Angles, médecin généraliste, (Rodez)

Sylvie Merlier, pharmacien

Didier Delaitre, médecin légiste, Le Bourget

Eugenia Lamas, chercheuse en éthique de la recherche biomédicale à l’INSERM

Élisabeth Delaygue Bevan, médecin nutritionniste

Didier Girard, médecin généraliste (Paris)

Véronique Mathevet, infirmière

Bénédicte Dassonville, médecin généraliste (Beaufort-en-Anjou)

Stéphanie Rochet, docteur en pharmacie

 



149 réactions


  • McGurk McGurk 27 septembre 2020 14:30

    « face à la covid »

    Ne connaît pas les bases élémentaires du français.

    Inutile de lire plus loin.

    CQFD.


    • zoreol il faudrait 27 septembre 2020 15:01

      @McGurk : « les bases élémentaires du français », faut-il comprendre que « la Covid » est faux ? De fait, en anglais c’est « the Coronavirus Disease », the étant aussi bien « le » que « la ». Si le féminin est « obligatoire » parce que « the disease » = « la maladie », on devrait aussi réformer quelques autres, et dire « la tétanos », « la botulisme », « la chikungunya », « la paludisme », etc.


    • McGurk McGurk 27 septembre 2020 15:22

      @il faudrait

      Calquer sur l’anglais parce qu’on aurait dit ça plutôt que ça est d’une stupidité affligeante. Je vous laisse y réfléchir.

      PS : rien à foutre de rien à foutre de l’anglais.


    • Bernard Dugué Bernard Dugué 27 septembre 2020 15:47

      @McGurk Face à la Covid parce que

      1. c’est la recommandation de l’académie française
      2. c’est le choix effectué par les auteurs ayant rédigé le texte
      3. pour ma part, je continue d’utiliser le masculin

    • alinea alinea 27 septembre 2020 15:58

      @Bernard Dugué
      Ajoutons à cela que cela n’a aucune importance : un mot qui se construit comme un acronyme, est un ovni ! alors on ne va pas se bagarrer sur le sexe des anges !
      Stupide réaction de maître Gurk


    • Patrick Samba Patrick Samba 27 septembre 2020 16:57

      @Bernard Dugué
      La tribune a été publiée dans le blog de L. Mucchielli, parce que le JDD l’a finalement rejetée. Après accord !

      "Avis au lecteur : cette tribune devait initialement paraître dans le Journal du Dimanche (JDD) ce 27 septembre 2020. Acceptée le samedi matin par le journaliste en charge de la rubrique « Tribune/Opinions », elle devait paraître intégralement sur le site Internet du journal et faire l’objet d’un article dans la version papier du lendemain. Le journaliste nous disait s’en féliciter car cela allait permettre un débat contradictoire avec d’autres opinions très alarmistes exprimées ce jour dans ce journal. A 16h, ce journaliste nous a pourtant prévenu que sa rédaction en chef interdisait la publication. Certitude de détenir soi-même la vérité ? Couardise ? Volonté de ne pas déplaire au gouvernement ? Nous ignorons les raisons de cette censure que personne n’a jugé utile (ou tout simplement courtois) de nous expliquer."


      Pourquoi ne pas le dire ? Ça a son importance ! La censure s’aggrave ! Trotta, etc.. Youtube est en train de supprimer de nombreuses vidéos...


    • Bernard Dugué Bernard Dugué 27 septembre 2020 18:17

      @Patrick Samba J’ai mis le lien vers le blog de Laurent
      Maintenant, ce que je peux dire, c’est que nous avons quelques clés pour sortir de cette mauvaise passe démocratique. La seule inconnue, c’est de savoir si les Français veulent en sortir, comme les juifs sortirent d’Egypte, ou s’ils veulent rester sous tutelle du régime sanitaire. Vous n’avez qu’une seule chose à faire, c’est de diffuser le plus possible cette tribune. Ils ne sont pas si forts qu’on ne le pense, c’est nous qui sommes faibles


    • Le421... Refuznik !! Le421 27 septembre 2020 19:45

      @McGurk
      En tant que bon idiot gauchiste de base, je suis comme vous.
      Le Covid-19 est pour moi le coronavirus...
      Le fait que le terme désigne « a disease », je m’en bats les gesticules car le franglais nouveau monde à la macronie me les brises menu menu.
      Donc, je laisse les lumières « coworker ou brainstormer en open space », perso, bon petzouille du Périgord, j’ai des tendances québécoises à privilégier le français.
      Tant pis pour les têtes d’ampoules de Paris !!
      Quand je suis à Londres ou dans l’Ontario, je parle anglais...
      Pas ici...


    • Bendidon ... bienvenue au big CIRCUS Bendidon 27 septembre 2020 21:59

      @Le421
      En tant que bon idiot gauchiste de base,
      Oh vairi goude I am totaly agree with that you wraite
      421 you are the best commentateur of the gogocircus
      I plousse you
      GOD BLESS YOU
       smiley


    • Iris Iris 27 septembre 2020 22:59

      @Bendidon

      I plousse you

      no tu dident, bloudi lieur !


    • Patrick Samba Patrick Samba 28 septembre 2020 01:30

      @Le421
      « Le Covid-19 est pour moi le coronavirus...
       »
      si ça t’amuse, mais covid-19 ce n’est pas le virus mais le sigle de la maladie, et le virus est un coronavirus qui est scientifiquement (et barbarement) appelé Sars-Cov2


    • Le Gaïagénaire Le Gaïagénaire 28 septembre 2020 02:06

      @Bernard Dugué 27 septembre 18:17

      Auriez-vous l’amabilité de nous fournir une seule étude ou un seul document de recherche d’une entité reconnue qui aurait satisfait clairement les 4 postulats de Koch dans le cas de ce qui est qualifié de « virus » SARS-Co2 et comme cause de la pneumonie « atypique » nommée COVID-19. Sortir de la fraude pasteurienne et considérer que des chocs psychosomatiques traités aux vaccins c’est totalement frauduleux voire criminel.


    • Le421... Refuznik !! Le421 28 septembre 2020 08:22

      @Patrick Samba
      Au cas où vous ne l’auriez pas remarqué, ce qui fait l’actualité en ce moment, ce n’est pas le H1N1...
      Alors je reste sur des termes simples et je n’étale pas une science que je ne maîtrise pas.
      Comme disais un copain adjudant à la base de Cognac, quand on ne sait pas, on ferme sa gu.... !!
      Ce que je fais !!  smiley


    • Le421... Refuznik !! Le421 28 septembre 2020 08:26

      @Bendidon
      Ça, pour me faire « blesser » par un gode, va falloir attendre encore un peu mon chat !!  smiley


    • Francis, agnotologue Francis 28 septembre 2020 09:45

      @Patrick Samba
       
      ’covid-19 ce n’est pas le virus mais le sigle de la maladie’’
       
       on peut dire aussi que covid est l’acronyme de Certificat Of Vaccination IDentity.
       
      en référence avec le brevet qui décrit le procédé permettant d’injecter dans l’organisme, des nanoparticules en même temps que le vaccin,

      nanoparticules dont la présence définitive attestera au regard d’un dispositif ad’hoc la réalité de l’injection. Plus besoin de carnets de vaccination dont ke gros défaut est d’être falsifiables.
       
       Big Pharma n’a pas confiance dans le petit peuple, mais le petit peuple continue à faire confiance dans Big Pharma.
       
      Ce que c’est tout de même, que la puissance de nuisance de ces maudits mass media !


    • Pimpin 28 septembre 2020 10:25

      @McGurk
      Quand on n’a que ce genre d’argument foireux .... Covid est un nouveau mot et visiblement tout le monde le met au féminin.


    • docpneumo 28 septembre 2020 10:27

      @McGurk j’ai toujours dit le covid et je dirai toujours le covid. C’est un virus. Pas une virus.


    • Pimpin 28 septembre 2020 10:29

      @Le421
      En réalité le virus s’appelle le sars cov 2 et la maladie qu’il déclenche s’appelle la covid 19. Féminin ou masculin on s’en tape, l’important c’est bien le fond de cette affaire. 


    • bebert bebert 28 septembre 2020 11:13

      @McGurk
      En fait votre commentaire très négatif démontre que vous êtes intolérant


    • Tesseract Tesseract 28 septembre 2020 11:54

      @McGurk

      Chef, doit-on dire le covid ou la covid ?
      On doit dire la covid
      Oh chef, vous avez une bonne vue ... !


    • bebert bebert 28 septembre 2020 11:56

      @Patrick Samba
      Et pas que youtube tout ce qui ne vas pas dans le sens du gvt que ce soit les blogs ou certains réseaux sociaux aussi, la liberté d’expression n’a jamais été aussi maltraitée dans notre pays depuis l’arrivée au pouvoir de Freluquet , d’ailleurs nous avons constaté cette aggravation depuis l’entrevue avec montagne de sucre = moins de taxes seront prélevés sur les GAFA


    • Jean Claude Massé 28 septembre 2020 12:04

      @McGurk
      En fait, le vrai problème n’est pas le « la »

      C’est l’article qui vous déplait. Faites juste l’effort d’argumenter.


    • simir simir 28 septembre 2020 13:15

      @Francis
       Vous oubliez : Et que l’on va pouvoir pister avec la 5G.
      J’en rigole encore !


    • Francis, agnotologue Francis 28 septembre 2020 13:43

      @simir
       
       mais qu’est-ce que vous racontez ?
       
      Je n’ai jamais établi le moindre lien entre les nanoparticules-attestations de vaccination et la 5G ; Vous amalgamez, comme le font les fascistes.


    • Francis, agnotologue Francis 28 septembre 2020 15:33

      @Francis
       
       un grand intérêt de ce brevet des nanoparticules-attestations, du point de vue des chercheurs en immunothérapie, c’est qu’il sera possible désormais d’associer les effets constatés ultérieurement sur les vaccinés avec le labo fournisseur de vaccins, chose impossible actuellement.
       
       Tous les labos en voudront ne licence, pour des tas de raisons plus ou moins avouables.


    • Iris Iris 28 septembre 2020 16:13

      @Francis

      Je n’ai jamais établi le moindre lien entre les nanoparticules-attestations de vaccination et la 5G 

      Vous non, mais Huysmam en revanche...
      https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/qui-a-demande-au-gouvernement-de-227211#forum5857983
      https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/qui-a-demande-au-gouvernement-de-227211#forum5858373

      Mais bon, il parait que je me fait des idées.


    • simir simir 28 septembre 2020 17:11

      @Francis
      « Vous amalgamez, comme le font les fascistes. »

      Argument d’autorité... s’il n’y avaient qu’eux....


    • Francis, agnotologue Francis 28 septembre 2020 17:59

      @Iris
       lui c’est lui, moi c’est moi.
       
      @simir,
       et sur l’intérêt de ce brevet pour les labos ? Pas d’avis ?


    • Iris Iris 28 septembre 2020 20:01

      @Francis

      lui c’est lui, moi c’est moi.

      Ok, d’ailleurs vous avez indiqué clairement que ces nanoparticules avait pour seul but d’attester de l’injection. Ce que vous n’aviez pas compris, mais l’ambiance était un poil tendue, c’est que je cherchai uniquement à rétablir cette vérité, et que je n’étais pas l’agresseur, d’où un petit sentiment d’injustice. smiley 
      Bon enfin c’est pas grave tout ça, je suis un peu trop chatouilleux je le sais, comme pas mal de gens ici d’ailleurs.
      Merci d’avoir répondu.

    • Francis, agnotologue Francis 29 septembre 2020 09:16

      @Iris
       
      ’’ Ce que vous n’aviez pas compris,’’
       
      Ce que je n’avais pas compris ?

      Qu’est-ce que je n’aurais pas compris ? ET où ?


    • eau-mission eau-pression 29 septembre 2020 09:41

      @Francis
       Laissez tombez, @JL. C’est un conseil amical.
      Dans la famille @pemile, on ne se trompe jamais.


    • Iris Iris 29 septembre 2020 11:45

      @Francis

      Le quoi, je l’ai expliqué dans mon dernier post.
      Le où, dans votre article du 20 Septembre.
      Mais ne vous tracassez pas, ce n’est pas important.


    • Iris Iris 29 septembre 2020 11:55

      @eau-pression
      Pemile je connais pas vous délirez aussi. Relisez l’échange entre Huysmam et moi sur l’article de Francis du 20 Septembre vous verrez qui est la bourrique. Après, si ca vous fais plaise de raconter des conneries cause que je pense pas exactement comme vous, ya pas de soucis.
      les petits plaisirs simples de la vie faut pas se priver ... smiley


    • Iris Iris 29 septembre 2020 15:18

      @Francis

      Tous les labos en voudront ne licence, pour des tas de raisons plus ou moins avouables.

      A quelles raison moins avouables pensez-vous ?
      Si elles ne permettent pas d’identifier le patient, ces nanoparticules permettent tout de même d’identifier le produit injecté, c’est ça ?

    • eau-mission eau-pression 29 septembre 2020 15:24

      @Iris

      Chatouilleux, c’est sûr. Puisque tu connais pas @P1000, y’a pas insulte, non ? Pas comme si je t’avais étiqueté Juju ...

      Pour avoir suivi de loin l’autre jour, j’aurais aimé un peu plus de prospective de votre part à tous. Si ce que craint PhH n’est pas dans les specs du jour (code perso injecté en même temps que le vaccin) est-ce inimaginable ?


    • Iris Iris 29 septembre 2020 15:45

      @eau-pression

      La prospective c’est bien, mais faut dire quand c’en est, sinon j’appelle ça de la manipulation.

      Est-ce imaginable ? Je dirais oui techniquement et non logistiquement.  

      En tout cas il faut surveiller tout ça c’est certain.


    • Francis, agnotologue Francis 29 septembre 2020 15:59

      @Iris
       
       Je ne suis pas madame Soleil.
       
       Mais je sais lire : « Le projet du Massachusetts Institute of Technology consiste en un carnet de vaccination sous-cutanée. Dans les faits, ce carnet de vaccination prendrait la forme de symboles placés sous la peau indiquant que la personne a bien reçu tel ou tel vaccin. »
       
      L’intérêt d’identifier le vaccin injecté c’est qu’on peut faire des études comparatives des vaccins. Pour un chercheur, ça me parait fondamental.


    • Eric F Eric F 29 septembre 2020 17:29

      @McGurk
      En anglais, covid n’est ni masculin ni féminin, mais neutre (« it »).
      En français, l’usage avait commencé à dire « le » covid, puis l’académie a ensuite mis son grain de sel en féminisant ...juste pour rappeler sa propre existence par jalousie avec le « comité scientifique » qui faisait la une des média smiley


    • Iris Iris 29 septembre 2020 18:02

      @eau-pression
      @Francis
      A regarder de plus près, je comprends que l’identification du produit injecté se fera par la position des micro-aiguilles sur le patch appliqué sur la peau du patient. 
      Pour identifier le patient, il faudrait donc une machine qui positionne les micro-aiguilles sur le patch en fonction de l’identité du patient. Bof !


    • Francis, agnotologue Francis 29 septembre 2020 18:33

      @Iris
       
      L’identification du patient par ce biais n’est pas possible, mais surtout, ne présente aucun intérêt, puisque l’identifiant de vous-même n’est autre que ... vous-même !

      La vaccination est une chose ; l’identification des personnes en est une autre. Est-ce que vous pourriez dire ici quel serait le danger supplémentaire que vous craignez avec un puçage ou un tatouage qui vous identifierait nommément ?
       
      Vous avez l’habitude de faire des transactions incognito ?
       
      Le certificat de vaccination sera une info comme une autre, votre date de naissance, votre groupe sanguin, votre ADN, et toutes ces infos que le Big Data recueille sur vous.
       
      Mais elle sera comme votre ADN ou votre groupe sanguin, inscrite dans votre chair ; ni plus ni moins. Si un ADN donné est partagé par peu d’humains, il n’en est pas de même du groupe sanguin.
       

       


    • Iris Iris 29 septembre 2020 18:33

      @Philippe Huysmans


      Et comment se fait l’identification du produit injecté ?
      Votre doctoresse n’en parle pas.
      https://www.sciencesetavenir.fr/sante/e-sante/un-carnet-de-vaccination-invisible-sous-la-peau_139973


    • Iris Iris 29 septembre 2020 18:40

      @Francis

      L’identification du patient par ce biais n’est pas possible

      Oui, je suis d’accord, ça serait trop compliqué.

      Est-ce que vous pourriez dire ici quel serait le danger supplémentaire que vous craignez avec un puçage ou un tatouage qui vous identifierait nommément ?

      Je ne veux pas être puçé comme un clébard.


    • eau-mission eau-pression 29 septembre 2020 20:32

      @Francis

      Même réaction qu’@Iris.
      Excusez les grands mots, mais accepter le puçage c’est comme refuser la souveraineté sur son corps. C’est entrer dans un processus où les protocoles sanitaires prendraient à votre place toutes les décisions de choix thérapeutiques.

      Sans compter qu’avec le vaccin vous acceptez que votre système immunitaire passe en mode assisté. Or, en l’état actuel des connaissances, ce système est statistiquement plus clairvoyant que le plus savant des immunologistes.


    • eau-mission eau-pression 29 septembre 2020 20:38

      @Iris

      A partir du moment où on peut écrire un code sous la peau par ce système, ça peut aller très vite.

      On parlait l’autre jour des temps anciens. Qui a vu venir des années avant l’ADSL et les capteurs de M.Fert ?


    • Francis, agnotologue Francis 29 septembre 2020 23:48

      @Iris
       
       ’’Et comment se fait l’identification du produit injecté ?’’
       
      Il y a 16 points de piqûre. En codage binaire, cela permet plus de 50 000 combinaisons ; une discrimination sur plus de 50 000 produits différents.


    • Francis, agnotologue Francis 30 septembre 2020 08:19

      @eau-oression

      @Iris,

       

      Il n’y a pas que la puce sous-cutanée qui devrait vous effrayer. Donnez vus seulement ma peine d’écouter ça, 2 mn seulement :

      TRAÇAGE vers fin de nos libertés individuelles

       

      Devrons nous porter des masques partout, tout le temps ? Lisez ça : 

      Millau : 33 procès-verbaux et une seule question, la méthode de la verbalisation ?

       

      Et ça ; Même masqués, les manifestants ont été identifiés

       


    • eau-mission eau-pression 30 septembre 2020 08:46

      @Francis

      D’accord sauf sur un mot. Il n’y a pas à être effrayé par les potentialités de ces techniques.

      Il faut faire de son mieux pour que la politique du fait accompli, par la vertu de laquelle ce qui pourrait n’être que projet (la prise de contrôle algorithmique de nos vies) devient réalité, que cette politique soit débusquée et expliquée.

      Ce qui m’effraie, c’est d’imaginer que les gens ne sont pas dupes. Cette délégation de responsabilité à la machine, ça commence par une petite dépendance, puis c’est une addiction, puis c’est l’acceptation du statut de mort-vivant.

      Vous savez peut-être que j’ai enseigné une dizaine d’années, si bien que je connais la lueur de vie dans l’esprit d’un jeune, aussi bien que les moyens qui sont mis en oeuvre pour l’éteindre.


    • Iris Iris 30 septembre 2020 09:21

      @Francis

      Oui, et c’est certainement la position de ces 16 points sur le patch d’application qui permet de former une sorte de QR code fluorescent sur la peau.

      Si vous pouviez expliquer cela à Huysmam, peut être qu’il ne vous insultera pas. smiley


    • Iris Iris 30 septembre 2020 09:31

      @Francis
      Oui, c’est très inquiétant. Je ne suis pas optimiste, je pense que ces technologies s’installeront définitivement. Tout ce qu’on peut faire, c’est agir pour un meilleur contrôle démocratique.


    • Francis, agnotologue Francis 30 septembre 2020 09:41

       
      @ eau-pression,
       je ne comprends pas bien votre commentaire.

       
       
      @Iris,
       je pense que Huysman a parfaitement compris depuis longtemps. Il a aussi compris que les liens entre les vaccins et l’identité du « piqué » ne se feront pas dans le corps de l’individu mais, à l’instar de notre ADN, dans le Big Data, et « ad libitum » pour les utilisateurs : banques, agences de voyage, hôpitaux, labos, bureaux de statistiques, police de la pensée, etc, etc.
       
      Précision : ce n’est pas le positionnement relatif des pointes qui forme le code, mais, je crois que vous l’avez compris, la présence ou l’absence en chaque point de piqûre, de nanoparticules fluorescentes.
       
      Ceci dit, ces particules s’effaceront probablement dans le temps. Par ailleurs, s’il est prévu une ou plusieurs vaccinations annuelles, la zone de « piquage » risque de devenir très vite illisible.

       
       


    • eau-mission eau-pression 30 septembre 2020 09:48

      @Francis

      Le post de 9h31 d’@Iris dit un peu comme moi.

      Pour moi cependant, le contrôle démocratique est illusoire. Il faut provoquer un électrochoc, sinon la passivité, le confort quotidien laisseront s’installer la main-mise des algorithmes sur nos vies.

      Vous avez sûrement lu bien des gens qui parlent de ça mieux que moi, aussi je n’insiste pas.


    • Iris Iris 30 septembre 2020 10:49

      @Francis

      je pense que Huysman a parfaitement compris depuis longtemps.

      Et bien il faut alors qu’il lise mieux les commentaire avant de réagir et d’insulter.

      Il a aussi compris que les liens entre les vaccins et l’identité du « piqué » ne se feront pas dans le corps de l’individu mais, à l’instar de notre ADN, dans le Big Data, et « ad libitum » pour les utilisateurs : banques, agences de voyage, hôpitaux, labos, bureaux de statistiques, police de la pensée, etc, etc.

      Oui, c’est une crainte que je partage. Il ne faut pas exclure le stockage d’informations in vivo pour faciliter les contrôles.

       

      Précision : ce n’est pas le positionnement relatif des pointes qui forme le code, mais, je crois que vous l’avez compris, la présence ou l’absence en chaque point de piqûre, de nanoparticules fluorescentes.

      Je me suis posé la question, mais deux choses m’ont fait pencher sur le codage par la position des aiguilles.
      1 : La lecture d’un article montrant un photo où la répartition est matricielle, et parlant aussi de répartition en forme de cercle ou de croix.
      2 : Alimenter les aiguilles avec deux différentes potions m’a paru plus difficile que modifier la position des aiguilles.

      Ou avez-vous lu cette information ? J’admettrai avec plaisir que je me suis fourvoyé sur ce point smiley


    • Francis, agnotologue Francis 30 septembre 2020 11:07

      @Iris
       
      ’’Ou avez-vous lu cette information ?’’
       
       Je dois dire que je ne l’ai lue nulle part : c’est ainsi que je procèderais si je devais designer le produit. Mais si vous pensez qu’il est plus facile de modifier les positions relatives des aiguilles ...


    • Iris Iris 30 septembre 2020 20:42

      @Francis
      Je n’en suis pas certain, il faudrait fouiller mais ça n’a pas d’importance.
      Merci pour l’échange.


  • Clocel Clocel 27 septembre 2020 15:36

    Urgent depuis quand ?

    Vous êtes vifs les gars, le pays est en train de sombrer et vous pétitionnez pour demander à nos bourreaux de réévaluer leurs analyses du big data !?


  • rogal 27 septembre 2020 15:51

    De la transparence dans les travaux du Conseil scientifique ne ferait sûrement pas de mal.


    • Occitan Occitan 29 septembre 2020 10:55

      @rogal
      Chut ! malheureux, vouloir la transparence ou la vérité est une utopie (où crime de lèse-majesté).
      La vérité se cache derrière le fard du minus poudré...


  • Le421... Refuznik !! Le421 27 septembre 2020 18:09

    Et en attendant, à Calais, les sicaires de Darmanin verbalisent ceux qui donnent simplement à manger à des êtres humains.

    Dans quel pays vivons-nous ?

    Je vous le demande.

    Hein ? Ah oui, c’est vrai, si c’était à des chiens, personne ne dirait rien. Surtout si ce sont des bergers allemands...


  • rogal 27 septembre 2020 19:41

    Sur Reporterre, Pierre-Henri Gouyon développe un point de vue de scientifique insatisfait du rapport entre la science et la société sur la question de la covid. Clair et bienvenu.

    https://reporterre.net/Covid-19-Elle-a-bon-dos-la-science


    • Le421... Refuznik !! Le421 27 septembre 2020 19:49

      @rogal
      Ben oui...
      En bon disciple de Machiavel, Macron sait que la peur permet de maîtriser les foules, voire de les emmener à la guerre si nécessaire.
      Peur du coronavirus pour les uns, peur de l’étranger pour les autres, peur de son ombre pour beaucoup !!


    • Le421... Refuznik !! Le421 27 septembre 2020 19:51

      @rogal
      Sondage institut OPIF et MOI !!
      « Êtes vous plutôt MDT ou MPP face au coronavirus ? »
      MDT 92%
      MPP 8%


    • Le421... Refuznik !! Le421 27 septembre 2020 19:52

      @Le421
      Pardon...
      MDT Mort De Trouille
      MPP Même Pas Peur


    • Eric F Eric F 29 septembre 2020 17:38

      @Le421
      "En bon disciple de Machiavel, Macron sait que la peur permet de maîtriser les foules, voire de les emmener à la guerre si nécessaire« 
      A vrai dire, dans cette affaire nos gouvernants ne font que suivre la tendance mondiale. Macron est même moins alarmistes que ses ministres ; dans la com officielle, il est le »good cop« et eux les »bad cops« . Pour lui, le business devrait prédominer, il est donc réticent face aux mesures induisant une réductions d’activité économique. Son bilan sera considérablement plus catastrophique que ses prédécesseurs en terme de PIB et déficits publics, et ça l’afflige devant la postérité...

      PS : concernant la »peur de l’étranger", cela ne l’empêche pas d’accueillir d’autres mineurs de 23 ans


  • Fergus Fergus 27 septembre 2020 21:07

    Bonsoir, Bernard

    Je n’ai rien d’un scientifique, et pourtant ce que je perçois de la situation sanitaire m’incite à soutenir très largement cet appel visant à changer de stratégie face au Covid-19 (moi aussi je préfère le masculin).

    Cela dit, au delà de la question purement sanitaire, la palme de l’ânerie semble être à décerner à Esther Duflo et son collègue Nobel, tous deux appelant à un confinement de 3 semaines en amont des fêtes de Noël. Cette suggestion est irresponsable au plan économique, et de ce fait porteuse potentielle de désastres humains. Le mois dé décembre est en effet crucial pour des commerçants déjà rudement affectés. Or, confiner durant cette période reviendrait à transférer vers Amazon des milliards d’euros de transactions. Cela ferait un heureux à n’en pas douter : M. Bezos !


    • Bernard Dugué Bernard Dugué 27 septembre 2020 21:14

      @Fergus Bonsoir Fergus
      tu te doutes que j’ai vu passer la connerie de Duflo, non sans relier le délire climatique au délire sanitaire. Véran reste prudent et ne suit pas l’autre délire de Mégarbane et compagnie qui voudraient tout bloquer, se croyant les maîtres de l’épidémie alors qu’ils pratiquent une science lyssenkiste et cherchent à sauver leur peau. 
      Ce qui m’inquiète, c’est la soumission des Français, qui ont perdu la raison
      Je suis étonné que cette tribune ne circule pas plus


    • Ecométa Ecométa 28 septembre 2020 10:20

      @Bernard Dugué

      « Véran... ça va ... il reste prudent !

      Qui demande la fermeture des lieux de convivialité où se rendent sans crainte les français. Qui plus est à Marseille et à Paris ; deux municipalités auxquelles il convient de faire payer leur outrecuidance d’avoir été perdues aux dernières élections municipales pour la majorité présidentielle. 

       »Ce qui m’inquiète, c’est la soumission des Français !« 

      Excusez-moi Bernard, mais que voudriez-vous que les français fassent ? Ils ne savent plus ces français sur quel pied danser : il y a de quoi être totalement paumé ! C’est aux médias qu’il faut s’en prendre, à tous ces  »présentateurs« et »trices« , ces »pseudo-journalistes« , ces »journaleux« , qui sont le déshonneur du journalisme ou il n’y a plus de »fouille merde« mais que des »béni-oui-oui" à la solde du pouvoir politique et économique ! 


    • gruni gruni 28 septembre 2020 13:42

      @Bernard Dugué

      « Ce qui m’inquiète, c’est la soumission des Français, qui ont perdu la raison
      Je suis étonné que cette tribune ne circule pas plus »

      La soumission par la peur mon cher Bernard Dugué. Et puis, comme moi, beaucoup de Français sans tomber la tête la première dans l’ignorance lorsqu’ils étaient écoliers. Même si par la suite on peut progresser, on ne s’en remet jamais complètement, je le prouve souvent.
      Merci pour cet excellent texte. 


    • Eric F Eric F 29 septembre 2020 17:41

      @Fergus
      Le confinement pendant l’Avent pour éviter l’épidémie pour Noël, j’ai sincèrement cru que c’était un canular smiley


  • binary 27 septembre 2020 21:32

    Ils sont 200. Combien en face ?


    • Bernard Dugué Bernard Dugué 27 septembre 2020 22:07

      @binary
      En face ils ne pèsent pas lourd
      C’est juste que les Français sont soumis, pour preuve, l’absence de relais de cette tribune qui végète dans les 500 vues. Ne vous plaignez pas, Français, d’être malmenés, vous ne faites rien pour vous sortir de la mouise, vous ne réfléchissez pas, vous ne connaissez pas le devise de Kant sapere aude, vivez en esclaves, c’est ce que vous avez décidé


    • Francis, agnotologue Francis 28 septembre 2020 09:29

      @binary

      Le Pr Rabaud dit  :
       
      « Une situation qui pourrait s’avérer désastreuse pour les malades, les familles, mais aussi les médecins. Car, en plus des patients Covid, les personnes qui souffrent d’un cancer, qui seront victimes d’un accident ou d’un infarctus, devront elles aussi se faire soigner.

      Qui soigner ? Les jeunes, les anciens, les personnes qui ont un cancer ou celles qui ont le Covid ? Pire encore, si ça continue de monter, on ne pourra même plus soigner tous ceux qui ont le virus. Une situation qui serait catastrophique pour les familles, les patients et nous médecins. »
       
       En clair comme en français, le Pr Rabaud ne dit pas que c’est la deuxième vague qui est inquiétante, mais le manque de moyens de nos hôpitaux.
       

      Le second lien renvoie à un article qui confirme cette crainte : « Face à l’aggravation de la pénurie de médicaments contre le cancer, l’association donne la parole aux personnes malades pour recueillir plus d’informations sur la situation. »


    • Ecométa Ecométa 28 septembre 2020 10:47

      @Bernard Dugué
      Décidément vous avez la dent dure vis çà vis des Français qui subissent généralement un « système collusif », des « systèmes collusifs », des systèmes de prévarication sophistes et cyniques... ce qui n’est normalement pas la nature d’un système... sauf à le détourner ; donc ils subissent bien plus qu’ils ne se soumettent... de mon point de vue !

      Savoir pour quoi faire : pour bien comprendre ou pour mieux manipuler ? La réponse est très claire : pour mieux manipuler !

      C’est la raison qui fait la logique, qui fait le savoir et la civilisation dans laquelle nous vivons ; à raison, logique et savoir paranoïaque et schizophrénique : civilisation forcément paranoïaque et schizophrénique ! On se croirait revenu au temps de « sophistes » et des « cynique » sous l’Antiquité grecque !

      Il se trouve que notre « Savoir » tout entier est tourné vers vers la prévarication, la manipulation ; au point que l’on peut se demander si le savoir, celui que l’on nous a appris, n’empêche pas de réfléchir : empêche l’intelligence !


    • Nicolas_M Nicolas_M 28 septembre 2020 11:33

      @binary
      Environ 1,2 millions de professionnels de santé en France.


    • Bernard Dugué Bernard Dugué 28 septembre 2020 12:27

      @binary Professeur Rabaud est en dessous de la réalité, c’est pas une vague, mais un tsunami,
      3 réanimations en cours (contre 180 en avril)
      et 47 hospitalisations en cours, soit moins que début août
      La preuve par les chiffres donnés par SPF

      https://www.cascoronavirus.fr/stats/france/departement/meurthe-et-moselle


  • Régis DESMARAIS Régis DESMARAIS 27 septembre 2020 22:45

    Il est heureux que cette tribune puisse être relayée largement, très largement. La Covid, l’Académie française a tranché de façon argumentée pour le féminin http://www.academie-francaise.fr/le-covid-19-ou-la-covid-19 ) est une maladie qui s’est inscrite dans notre paysage à l’instar de la grippe sans doute. Arrête-t-on le pays pour la grippe ??? Mais ici la question est ailleurs : dans la censure de cette tribune par le JDD. On nous parle désormais de « régime d’exception » et cette expression n’est pas sans rappeler les lois d’exception de Vichy et les souvenirs non moins heureux du Conseil d’Etat veillant scrupuleusement à l’application de ces lois du régime pétainiste. La censure, par un organe de presse qui devrait agir en tant que 4ème pouvoir, en dit long sur la décrépitude de notre démocratie. L’heure est grave. Tandis que le CDC (Etats-unis) reconnaît désormais qu’il n’y a pas de preuve que le Coronavirus se propage dans l’air (à quoi bon les masques), que de nombreuses études montrent qu’il est possible de soigner la Covid en début de maladie, que des scientifiques contestent les positions de notre Gouvernement, que se passe-t-il ? On CENSURE, CENSURE, CENSURE. Le JDD, Facebook, YouTube et autres pratiquent la méthode des régimes fascistes. L’heure est grave. Minuit va sonner à Marseille et les bars, et les restaurants vont ouvrir, bravant les mesures gouvernementales. Braver ce qui est injuste, injustifié est légitime. L’heure est grave car jamais les dangers n’ont été aussi grands d’une explosion sociale. La violence est toujours une réponse incertaine à la tyrannie. La violence est comme l’eau qui inonde une ville. Rien ne l’arrête rapidement et elle est difficilement contrôlable. L’heure est grave car le pays souffre de cette censure et de la politique du Gouvernement et demain, plus que jamais, est incertain et lourd de perspective anxiogène. La censure doit cesser. Les contre pouvoirs (justice, parlement) doivent vite jouer leur rôle avant la catastrophe.


  • Reflexo78 Reflexo78 28 septembre 2020 08:52

    La réponse de l’Etat à ce “virus” n’est rien de plus qu’une arme de soumission massive

    « Les grandes masses d’hommes, bien que théoriquement libres, sont considérées comme soumises à l’oppression et à l’exploitation de cent manières détestables. N’ont-elles aucun moyen de résistance ? Il est évident que si. Le pire des tyrans, même sous la ploutocratie démocratique, n’a qu’une gorge à trancher. Au moment où la majorité décidera de le renverser, il sera renversé. Mais la majorité n’a pas de détermination, elle ne peut pas s’imaginer prendre des risques ».

     H. L. Mencken (1926). « Notes sur la démocratie », p. 50, Alfred A. Knopf

    https://nicolasbonnal.wordpress.com/2020/09/27/barnett-les-mesures-draconiennes-de-letat-contre-les-masses-necessitent-la-cooperation-des-masses-cest-lessence-de-la-soumission-politique-et-par-consequent-cest-le-fondement-du-plan-de/

    • Legestr glaz Legestr glaz 29 septembre 2020 16:38

      @Reflexo78

      Lien d’une très grande qualité d’analyse. 

      Merci Reflexo78 !


    • Legestr glaz Legestr glaz 29 septembre 2020 16:55

      @Reflexo78

      J’ajouterai que ceux qui ont sans cesse le substantif « Révolution » à la bouche sont les grands cocus de l’histoire. 

      En effet, une grande partie du Peuple, surtout à gauche, pense que les Révolutions ont été l’oeuvre des Peuples. Or, pour mener une Révolution il faut nécessairement posséder une « organisation ». Les révolutionnaires ne peuvent pas se fédérer par hasard, il faut des mots d’ordre, il faut des rendez-vous précis, il faut de la réflexion. 

      Par le passé, au temps béni des Révolutions, ce sont bien les « sociétés secrètes », qui ont fomenté les Révolutions en utilisant les Peuples comme un outil. Puis « on » a laissé penser à ceux-ci qu’ils étaient à l’origine des Révolutions. Les Peuples sont manipulés depuis le début. 

      Dans notre siècle actuel, malgré l’internet, on voit bien un mouvement comme « les gilets jaunes » souffrir d’un manque de coordination, souffrir d’une manque d’organisation.
      Avec le coronavirus covid19, nos élites savent que les Peuples souffrent fatalement de « désorganisation ». L’organisation est de leur côté. Le projet a été préalablement muri. Gouverner par la peur pour un projet politique ambitieux. 

      De ce fait, toute révolte est presque impossible. Quelques échauffourées de ci de là, non structurées, non organisées, auxquelles les « forces de l’ordre » mettront fin très facilement.

      Est-ce que l’internet peut nous permettre de nous sortir de ce guêpier ? Il faudrait pour cela que le Peuple examine avec acuité l’histoire et comprenne que les mouvements révolutionnaires étaient des projets des « sociétés secrètes », particulièrement bien organisées, avec un but bien déterminé.

      Mais les mythes ont la dent dure et c’est tout simplement merveilleux de facilité de faire gober au Peuple qu’il peut être révolutionnaire. Nos élites doivent bien rire sous cape et se pavaner dans des bains à bulles sans souci de l’avenir qui se présente radieux pour elles. Le mensonge, la peur et la manipulation sont des armes efficaces.


  • Inquiet 28 septembre 2020 09:11

    Je ne permettrais pas de contester une analyse dont je ne suis pas capable de faire.

    Cependant, si cela est possible, j’aimerais qu’on envisage davantage la possibilité que le gouvernement et alliés, ne sont pas les « charlots » dont on veut nous faire croire, car cela les exonéreraient de leurs fourberies.

    Non, ce ne sont pas des décérébrés, et si il y a peur, ce n’est pas de LA covid mais plutôt qu’ils ne puissent s’en servir suffisamment longtemps pour mettre en place leur projet final.


  • docpneumo 28 septembre 2020 10:42

    Il est incroyable qu’un Professeur (Rabaud) puisse dire de telles bêtises. Un Professeur qui ne sait même pas lire une courbe alors qu’un enfant de CM2 le pourrait (3 courbes en réalité : hospitalisations, réas, et décès) qui toutes 3 sont au plus bas, n’amorcent en aucun cas un ré ascension comparable au printemps, que personne ne souligne le parfait parallélisme et le synchronisme entre la remontée des ces quelques cas et l’obligation du port du masque vers le 15 aout. Je suis sidéré de tant d’aveuglement de la part de ces catastrophistes de bas étages qui ne méritent en aucun cas leur titre de « Professeur ». J’ai l’impression que la nomination de ces « professeurs » tient plus du politique que de leur compétence.

    Quant aux prix Nobel d’économie, sans commentaire. Mengele était bien médecin....Servier a eu la légion d’honneur. Comme quoi on peut donner des prix a n’importe qui !

    Que les Français se réveillent de cette dictature Macron, j’ai bien peur que non. Il suffit de se promener dans les rues de Lyon et de voir tous ces moutons masqués....


  • DACH 28 septembre 2020 10:44

    A BD l’auteur. Le prof W Rozenbaum m’avait dit, lors d’un interview et sur le ton de l’humour, la vie est aussi une maladie, sexuellement transmissible et constamment mortelle. Comment s’en protéger ? Donc, la COVID-19, le SARS-CoV-2, est moins létale que la maladie qu’on peut appeler la Vie !!!!! Donc quel choix ? Ou on applique à la Vie les méthodes sanitaires françaises, et alors l’espérance de mortalité va devenir exponentielle au rythme XXL, ou on applique à cette pandémie les méthodes qu’on applique à la VIE !!!!! Plus sérieusement, concrètement, il est en effet urgent de changer de stratégie 

    sanitaire comme le recommandent les signataires. merci à l’auteur de son analyse et de ses positions.


  • DACH 28 septembre 2020 10:52

    Toujours pour B Dugué=Ce qui m’inquiète, c’est la soumission des Français, qui ont perdu la raison.Je suis étonné que cette tribune ne circule pas plus=

    Soumission en parallèle à ce qui s’observe avec le procès Charlie.

    Que nous dit le procès de Charlie ?Le procès de Charlie révèle bien des choses de la vie de notre société à prétentions républicaines et démocratiques. La principale : nos libertés individuelles et collectives sont plus que menacées. En effet, elles commencent à être bannies de nos habitudes. Que ce soit celles d’agir ou celles de penser. Au point que certaines questions deviennent même interdites ! Dans le domaine de la Santé Publique, les décisions politiques du mercredi 23 septembre, qui se veulent médicales sous l’idéologie du principe de précautions, le démontrent une fois de plus. Mais c’est une raison de plus pour rentrer en rébellion face des incompétences avérées !

    Le procès de Charlie, lui, démontre quelque chose d’essentiel qui a été oublié depuis 1789-1793 et des années 30 à 50. Depuis également les années plus récentes d’Action Directe, des Brigades Rougesou de la bande à Baader. En 2020, l’assassinat politique prend ses justifications dans des idéologies religieuses à prétentions politiques. Et elles se prétendent aujourd’hui absolues, comme de droit divin !!! Supérieur au droit au blasphème ou simplement à celui de critiquer ??? Il faudrait donc se soumettre ? L’équipe de Charlie Hebdo, dont sa courageuse DRH, sont des exemples pour dire NON. Simplement NON. Avec une dignité ferme qui est une leçon d’humanité. Courage, lucidité, et bienveillance !

    Or, les comportements de certains acteurs politiques et médiatiques, inutiles de les nommer tant ils sont visibles et reconnaissables, nous imposent

    un spectacle prétentieux où la lâcheté cotoie le déni. Dans une jubilation maléfique des destructions créolisées qui s’annoncent ! Dans quelle atmosphère ? Lâchetés et dénis renouvelés sont noyés sous un océan d’indifférences que certains s’efforcent de faire croire protectrices ! Nombres de propos affirmés sans vergogne font de tous ceux qui défendent nos libertés des cibles impératives à assassiner. A assassiner dans la légèreté liberticide d’idéologies infantiles. NOUS devons nous lever TOUS pour dire NON, et peut-être rentrer en rébellion si les décisions politiques ne sont pas prises avec compétences et lucidités.

    Autrement, nous allons vivre ce qu’a vécu un pasteur allemand du temps impitoyable des nazis. Voici son témoignage. Quand on est venu chercher les communistes, personne n’a rien dit sur ces ennemis de la liberté. Ensuite quand on est venu s’occuper des sociaux démocrates, personne n’a protesté. Ils sont pour la liberté. Puis quand on est venu prendre les juifs, tout le monde s’est tu. Enfin, quand on est venu me chercher, il n’y avait plus personne pour protester !

    Signé = DAChH 25/09/20


    • serge.wasterlain 28 septembre 2020 11:50

      @DACH
      Ils sont déjà venu chercher Hervé Ryssen et l’ont mis en prison depuis plus d’une semaine et personne n’a rien dit... ...Vous devriez vous interroger sur cette contradiction.
      Je précise que je déteste ce qu’écrit Hervé Ryssen mais que je me bats pour qu’il puisse le faire, car quand on commence à mettre des limites à la liberté d’expression, on ne peut jamais prédire ou ça s’arrête.


    • DACH 28 septembre 2020 11:54

      @serge.wasterlain=précisez-moi où serait ma contradiction ? =Noam Chomsky, l’intellectuel américain qui dit : « La liberté d’expression n’a de sens que si elle s’applique aux opinions qui vous répugnent » ? Ou bien encore « Si l’on ne croit pas à la liberté d’expression pour les gens qu’on méprise, on n’y croit pas du tout » ?


  • ETTORE ETTORE 28 septembre 2020 11:06

    Inquiet

    @

    Non, ce ne sont pas des décérébrés, et si il y a peur, ce n’est pas de LA covid mais plutôt qu’ils ne puissent s’en servir suffisamment longtemps pour mettre en place leur projet final.


    Tout est dit !

    Le compte à rebours est commencé depuis 3 ans, il reste 2 ans pour arriver au « but », et le point de non retour est déjà dépassé. Donc, la seule solution consiste en une accélération constante, pour tout défoncer devant soi, ça passe ou ça casse, c’est le saut dans le vide avec juste un parachute pour bon nombre de suiveurs, des « poids inertiels suicidaires » !

    Si en fin de ligne, le butoir résiste, alors arriveras l’heure des comptes à rendre, et là, croyez moi, des sacrifiés « La Régi(na)e » « contrôleurs » « aiguilleurs » chefs de gare« ministre des transports » tout comme les simples tontons macoutes.....ça va dérouiller grâââve. !

    Mais c’est peut être bien de ce bal « fête aux sorcières », que les français ressortirons lavés et conscients que les urnes n’ont pas qu’une seule fente.

    Bientôt halloween, on pourrait commencer à exposer ces citrouilles omniprésentes, et déjà creuses ?


    • Occitan Occitan 29 septembre 2020 11:22

      @ETTORE
      Vous allez me dire que je chipote mais ce n’est pas 2 ans mais 1an et demi...
      Il leur reste à ces enflures encore 1 an pour nous massacrer...
      Mais parvenus à 6 mois (à la louche) ils vont ralentir à l’approche du rond-point de l’élection pestilentielle, et mettre la pédale (je parle de celle d’embrayage et pas de l’autre hein ?) et nous servir des discours pleins de belles promesses pour des lendemains qui chantent (faux) que certains pétochards vont encore croire...
      Cdt


  • serge.wasterlain 28 septembre 2020 11:43

    C’est marrant cet échange sur le genre du mot covid, ça me rappelle le dicton qui dit que c’est la lune qu’il faut regarder et pas le doigt qui la montre...


    • DACH 28 septembre 2020 11:55

      @serge.wasterlain=Nommer les choses selon des règles, sinon c’est le doigt dans l’oeil !!!!


  • libre penseur 28 septembre 2020 12:01

    En réponse a la clique qui se déchaîne depuis 6 Mois sur le gvt au nom Du « il n’y a qu’a il faut qu’on... » Alain Finkielkraut dans un article bien senti... : http://revuecivique.eu/articles-et-entretiens/quand-finkielkraut-fustige-la-betise-des-intelligents-de-bac-a-sable-qui-par-esprit-de-système-font-le-proces-des-dirigeants/


    • Hervé Hum Hervé Hum 28 septembre 2020 23:17

      @libre penseur

      ce que peut penser Finkielkraut n’a absolument aucune importance, sauf pour celui qui aiment les inepties et la médiocrité intellectuelle.


    • libre penseur 30 septembre 2020 07:39

      @Hervé Hum
      Ah mince....je suis tombé sur un nid de gilets jaunes...

      Désolé


  • Taverne Taverne 28 septembre 2020 12:36

    Cette tribune a le mérite de point ce qui pêche : il faut changer la stratégie sanitaire elle-même et pas seulement adapter la méthode (plus ou moins d’Etat ou de déconcentration, plus ou moins de fermeté ou de souplesse, etc. Etc.).

    En revanche, il me semble qu’il y a une contradiction dans les termes : vous dites qu’il y a urgence et vous réclamez une stratégie définie démocratique et de façon consensuelle. Dans l’urgence, c’est au préfet d’agir comme dans la Peste de Camus. La politique sanitaire est de la responsabilité régalienne de l’Etat, ce n’est pas un domaine où la démocratie s’exprime. L’urgence ne permet pas de recourir à des discussions et à des votes et elle ne permettra pas trouver le consensus que vous espérez (vous risquez même de creuser les divisions).

    Cela dit, cette démarche est justifiée dans le principe. Les mesures ne doivent être prises qu’avec les précautions nécessaires.

    Une cartographie des risques majeurs, réels, de toutes natures (besoins des populations, de la vie économique), devrait être établie par territoire au lieu de se positionner uniquement sur la base du critère du nombre de place à l’hôpital public car ce critère est trop restreint. Il se limite au sanitaire, au sanitaire hospitalier et public, qui plus est. C’est une stratégie qui prend un angle de vision trop petit.

    Il est clair que la stratégie de mars fut dévastatrice. Un confinement général provoqué sur les prédictions folles d’un Nostradamus et des aides déversées partout au lieu de les cantonner aux seuls territoires où l’économie devait être réellement bloquée. Que d’argent jeté en l’air et à présent on ne peut pas aider les petites entreprises, commerçants et artisans des secteurs sinistrés à la hauteur qu’il faudrait.


  • Adèle Coupechoux 28 septembre 2020 12:53

    Bonjour,

    Après avoir diffusé autour de moi votre tribune, il m’a été demandé comment il était possible de signer la pétition.

    Et elle n’est pas accessible sur le site www.laurent-mucchielli.org


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