samedi 6 août 2011 - par doctorix, complotiste

Le pétrole ne serait pas d’origine biologique

Il serait synthétisé à partir du minéral dans les entrailles de la terre. Les réserves seraient quasi illimitées, et le pic pétrolier serait un mythe destiné à faire monter les cours.

Je mets un conditionnel, bie que j'en sois personnellement convaincu.

Les Russes ont découvert que le pétrole n’est pas d’origine biologique, mais abiotique.
Il serait élaboré dans les entrailles de la terre, à grande profondeur et à forte pression.
Expérimentalement, il suffit de mettre ne présence de la poudre de marbre, de l’oxyde de fer et de l’eau, sous une pression de 25.000 bars et à plus de 2000°C, pour obtenir tous les constituants du pétrole, de l’éthane au décane.
Ces matériaux et conditions sont réunis à 100 km de profondeur, et le pétrole ainsi produit remonte par les failles.
Par contre, il est strictement impossible de produire autre chose que du méthane, le plus petit des hydrocarbures, CH4, à partir de la décomposition d’animaux ou de végétaux.
De plus, le moindre puits koweitien correspondrait à la décomposition parfaite et totale d’un cube de cadavres de dinosaures de 30 kilomètres de côté (27.000 kilomètres cubes), ce qui est complètement loufoque.
Les occidentaux cherchent le pétrole au hasard dans les zones sédimentaires, et le taux de réussite est d’une exploitation rentable pour 27 forages.
Les Russes cherchent les failles, avec un taux de succès de 60%.
D’ailleurs d’anciens puits abandonnés depuis 15 ans se remplissent à nouveau, parce qu’ils sont au dessus de failles.
Ainsi, la réserve mondiale de pétrole officielle correspond à une couche de 2.5cm de pétrole sur toute la surface de la terre.
Mais en fait, elle correspondrait réellement à une couche de...10 kilomètres d’épaisseur.
Et le pic pétrolier ne serait qu’une escroquerie de plus, destinée à faire monter les cours artificiellement, ainsi qu’à semer la peur du manque pour mieux dominer, alors que nous aurions des reserves pour des milliers d’années.
Je ne sait pas si "Arbeit macht frei", mais la connaissance, peut-être ?
Cherchez vous-mêmes. Mot clé : pétrole abiotique
Pour ceux que ça effraierait de voir cette quantité astronomique de pétrole se transformer en gaz à effet de serre, sachez que ce pauvre CO2 n’est pour rien dans nos malheurs, qu’il est un facteur de vie (végétale) sur terre, et que l’élévation de son taux atmosphérique suit et non précède le réchauffement climatique, étant conséquence et non cause.
Ceci étant une des escroqueries du GIEC, connue par un nombre incroyable et grandissant de scientifiques de haut-niveau.
La totalité de l’énergie que nous consommons annuellement nous est offerte en une seule heure par ce bon vieux soleil, à qui il faut permettre quelques caprices cycliques, tels qu’on les a observés de tout temps. Lui seul est responsable du réchauffement passager actuel, que nous avons déjà connu en l’an 1000, période fastueuse pour la civilisation.
Craignez plutôt un petit âge glaciaire comme au moyen âge, époque de misère et de famine.
C’est beaucoup d’orgueil anthropocentriste de considérer que cette dix-millième partie de l’énergie offerte que nous consommons puisse avoir la moindre incidence sur quoi que ce soit sur cette planète, en dehors des polluants émis, dont le CO2 ne fait pas partie.
Et ne nous laissons plus manipuler par le mensonge et la terreur.
Bien sûr, cette théorie capitale sur le pétrole est contestée, notamment et sans surprise par Wikipédia. mais elle mérite d’être étudiée de très prêt, je vous l’assure.



126 réactions


  • Bcapai 6 août 2011 11:04

    Je suis d’accord avec la deuxième partie de l’article car je pense que je CO2 obéit aux lois des équilibres thermodynamique des gaz et le taux de CO2 ne devrait pas varier fortement même si nous produisons énormément de ce gaz. Les constantes d’équilibre en chimie ne dépendent que de la température ! Ces constantes d’équilibre gouvernent le cycle minéral du carbone à travers les carbonates et les bicarbonates et la température pilote la solubilité dans l’eau de mer de ce de gaz. Il ne faut pas oublier que les carbonates réagissent avec le CO2 pour former des bicarbonates et que dans l’eau de mer la teneur en carbonate est constante et elle dépend de la solubilité des sédiments calcaires dans l’eau (à une température donnée.)

    Je suis aussi d’accord pour dire que le CO2 est un bienfait dont nous avons besoin.

    L’effet de serre dont on nous parle ne peut pas avoir lieu dans une serre sans toit ! Ce qui est le cas de l’atmosphère

    Par contre, comme scientifique et chimiste, je ne vois pas comment l’oxyde de fer ou l’eau pourrait réduire le marbre (carbonate de calcium) en hydrocarbure. Chimiquement c’est impossible sauf s’il y a un réducteur puissant dans le milieu.

    En lisant les articles proposés je vois que seul l’oxyde ferreux (FeO) pourrait être ce réducteur et se transformer en oxyde ferrique Fe2O3. Mais ce dernier devrait à son tour être réduit en FeO pour recommencer le cycle ! Où cela se passe t-il ? Et dans quelles conditions de réduction ? A la limite le fer étant plus réducteur que l’oxyde ferreux, la réaction devrait mieux marcher avec du fer en poudre.

    Article qui bouscule les bases habituellement admises pour la formation du pétrole


    • Dudule 6 août 2011 13:39

      Si la constante d’équilibre ne dépend effectivement que de la température, la vitesse de réaction n’a aucun lien avec la constante d’équilibre... Je vous trouve très péremptoire d’affirmer ainsi que le rejet sur une durée très courte, et même quasi instantanée en regard des temps géologiques, de milliards de milliards de tonnes de CO2 dans l’atmosphère est sans conséquences.

      Je vous rappelle, et vous ne l’ignorez sans doute pas, que beaucoup de réactions thermodynamiquement possibles et même largement favorisées n’ont pas lieu sans catalyseur ou ignition. La thermodynamique et les équilibres chimiques ne sont qu’une petite partie du problème. Il y a la question du franchissement des barrière de potentiel, des surfaces de contacts, etc... la thermodynamique, c’est bien beau, mais ce n’est qu’un bilan (parfaitement juste) des échanges d’énergie par rupture et création de liaisons chimiques. Il y a bien d’autres paramètres en jeu dans l’étude des réactions chimiques, même si la thermodynamique est fondamentale, je vous l’accorde.

      L’augmentation rapide de l’acidité des océans, observée depuis plusieurs années, montrent que l’équilibre est fortement déplacé. Si effectivement, et je n’en suis pas certain mais vous fait confiance sur ce point, la thermodynamique devrait rétablir l’équilibre, dans combien de temps ?

      Là ou vraiment je doute de votre sérieux :

      « L’effet de serre dont on nous parle ne peut pas avoir lieu dans une serre sans toit ! »

      C’est une plaisanterie, ou il faut vraiment répondre à cet argument ? Une serre a un toit pour éviter que l’air qu’elle contient s’échappe par convection. L’effet de serre à lieu avec ou sans toit, le toit ne fait que bloquer la convection, l’air chaud reste dans la serre au lieu de s’échapper, ce qu’il fait à l’extérieur de la serre. Pour qu’il y ait convection, il faut une atmosphère... Si vous étudiez l’effet de serre global sur l’atmosphère, pas besoin de toit... L’atmosphère ne peut s’échapper par convection !

      Pour l’article : je n’est pas les compétences requises, mais je trouve tout ça assez douteux...

      L’argument qui consiste à dire que le taux atmosphérique de CO2 « suit et non précède le réchauffement climatique, étant conséquence et non cause », c’est un argument spécieux lancer par des gens qui ne savent pas lire un graphique : si vous tracez deux graphes représentant deux grandeurs différentes sur un même repère, suivant l’échelle que vous choisissez pour chaque grandeur, vous aurez une impression d’avance ou de retard d’une ou l’autre courbe. La dérivée donne la bonne information, et les dérivées des deux courbes sont parfaitement corrélées, dans le cas qui est mentionné.

      Quant au Soleil seul responsable des fluctuations climatiques, vous allez m’expliquer pourquoi les moyennes des températures augmentent alors que l’on est sur un minimum d’activité solaire jamais vu depuis qu’on l’observe (400 ans d’observation par l’intermédiaire des tâches solaires, même si on ne savait pas ce qu’on observait au début... c’est peu à l’échelle géologique, mais significatif quand même).


    • Daniel D. Daniel D. 7 août 2011 21:27

      Ils sont au fond sous forme de dépôts résiduels solides ?
      Ça mérite d’être creusé effectivement, où sont les autres éléments ... J’viens de me demander si il y aurais pas une zone de contact entre le pétrole et la roche qui inclue la poche du-dit pétrole ...


  • Redrogers 6 août 2011 12:18

    « De plus, le moindre puits koweitien correspondrait à la décomposition parfaite et totale d’un cube de cadavres de dinosaures de 30 kilomètres de côté (27.000 kilomètres cubes), ce qui est complètement loufoque. »


    Alors là, on touche le fond... A part des gamins en primaire, qui justifie le pétrole d’origine organique par de telles fadaises ? Où est-ce que vous avez vu ça ?
    L’immense majorité de la matière organique décomposée et transformée provient du phytoplancton et autres espèces végétales marines dont la biomasse cumulée au cours des âges géologiques est considérable.
    Même si la synthèse abiotique d’hydrocarbures est théoriquement possible et, pourquoi pas à l’origine d’une (petite) partie des gisements, l’étude des isotopes de C, O et H prouve l’origine (très, très) largement biologique des gisements d’hydrocarbures exploités ! 

    • Plus robert que Redford 6 août 2011 14:53

      Je vous suis sur ce point !
      Quand on parle d’évolution, de géologie, de phénomènes comme la formation des hydrocarbures, on raisonne à l’échelle de millions, voire de milliards d’années, ce qui est totalement hors de portée des valeurs accessibles à l’homme et à son entendement...
      Il n’y a pas si longtemps, les exégètes et maîtres à penser religieux estimaient l’age de l’humanité à -4000 à -6000 ans avant JC ! Alors que les peintures de Lascaux et autres grottes ornées remontent (à la louche) à -35 000 ans !
      C’est dire le chemin mental qui est encore à parcourir...
      Alors, les Km cubes de dinosaures, c’est billevesées et coquecigrues !!!


    • filendrick 6 août 2011 15:14

      le phytoplancton, organique donc... par accumulation... je veut bien en tant que ’source’ probable.

      comment expliquez vous l’evolution des chaines carbonnées que l’on y trouve(CH4, methane UNIQUEMENT pour les matieres organique) vers les chaines n-alcanes (chaine de carbone-hydrogene) que l’on trouve dans le petrole naturel ?

      apparament en laboratoire il est uniquement possible de réalisé cela spontanément a partir de 2000 °C et 25 Kbar. Temperature et pressions que l’on ne trouve que près du manteau et non en surface (quelques km) ou il est collecté.


    • doctorix, complotiste doctorix 8 août 2011 01:37

      @Redrogers
      Que ce commentaire fasse un top me laisse rêveur...
      Ainsi, il y aurait 20 personnes qui auraient un avis éclairé (et opposé) sur cette question ?
      Ou bien suffit-il d’employer des mots techniques sans référence pour convaincre ?
      Ce n’est probablement pas une petite partie des hydrocarbures, mais son immense majorité, qui serait d’origine abiotique.
      Et si vos isotopes n’étaient qu’une pollution au contact d’un peu de pétrole biotique ?
      Bien sûr, je ne peux prouver cette assertion (bien qu’il y ait des éléments de preuve dans les liens cités).
      Mais vous, pouvez-vous prouver le contraire ?
      Autrement dit, cet argument méprisant ne prouve strictement rien. Sauf que vous ne respectez pas vos contradicteurs. Je ne vous ai pas traité, moi, de vieillard attardé du tertiaire.
      Vous demandez où j’ai vu ça ? C’est donc que vous n’avez pas lu...
      Je n’en retiens qu’une chose, c’est que vous envisagez l’origine abiotique comme possible.
      C’est toujours ça.
      Vous savez, moi, je n’affirme pas : j’envisage. Et je donne des éléments. C’est tout.
      La véritable science est modeste, et n’hésite pas à remettre en cause les vérités impératives.
      Ce n’est pas facile de bousculer les habitudes de pensée, et c’est pourtant capital.
      Je suppose que certains voudront reprendre leur plussage au profit d’une abstinence, c’est malheureusement impossible.

      Mais je ne vais pas répondre à chacun : je préfère faire une synthèse, que vous trouverez un peu après le 100ème commentaire.


  • Login 6 août 2011 12:21

    A propos de la corrélation entre Le taux de CO2 et la température : lien  le premier étant la conséquence de la seconde....

  • Bcapai 6 août 2011 15:22

    Quelques précisions :

    En ce qui concerne la réaction du gaz carbonique avec le carbonate, c’est une réaction élémentaire acido-basique qui ne nécessite nul catalyseur et qui est presque instantanée (Cf. la différence des pKa).
    La teneur en carbonates des océans est fixée par la solubilité du carbonate de calcium dans l’eau de mer à 20°C. On trouve exactement la valeur de cette solubilité pour cette teneur.
    La cinétique est effectivement lente surtout à cause de la diffusion des ions carbonates qui est lente et dépend des conditions locales et surtout des courants marins.

    On observe bien une augmentation de la teneur atmosphérique en CO2 mais sans aucun lien avec les apports anthropique de CO2 lesquels devrait amener à un taux plus élevé en CO2 que celui observé.

    En ce qui concerne l’effet de serre.
    Il y a bien sur dans une serre des convections. Elles sont naturelles car un gaz qui s’échauffe se dilate (pour se refroidir) et donc s’élève jusqu’à arriver au toit de la serre
    Juste au dessous de ce toit, la température est élevée ainsi que la pression. En ouvrant une lucarne, on libere la chaleur et on fait baisser la pression.

    Dans l’atmosphère augmentation de volume n’est pas bridée et l’augmentation de volume non plus.
    En physique le produit PV (pression x volume) est assimilable à des joules donc à une énergie.
    A pression constante, l’absorption de l’énergie d’un gaz je fait par l’augmentation de son volume
    A volume constant, l’absorption de l’énergie d’un gaz se fait par l’augmentation de sa pression.
    En d’autres termes le volume de la tropopause (la partie supérieure de la troposphère) varie et c’est là que se situe amortissement de l’énergie absorbée par les composés à effet de serre.

    C’est ainsi qu’on observe dans un local vitré, fermé, rempli de CO2 , et éclairé par le soleil une augmentation importante de la température intérieure. Il y a aussi augmentation de la pression.

    Enfin et dernier point : la teneur en H2O (qui est aussi un gaz à effet de serre) est telle qu’il y a 300 fois plus de molécules d’eau que de CO2 dans un volume donné.

    Pourquoi un rayon infrarouge (IR) se ferait-il préférentiellement absorber par une molécule de CO2 plutôt que par une molécule d’eau sachant, en plus, que les modes de vibration (donc les bandes d’absorption des IR) sont plus nombreux dans le cas de l’eau que du CO2 ?


    • sissa 6 août 2011 17:23

      Pour une réponse à la question finale, je conseille les articles référencés sur cette page de cet excellent blog.
      Ceci dit, la réponse à la question est assez simple, les longeurs d’ondes absorbées par l’eau et le CO2 ne sont pas les mêmes.


    • Dudule 6 août 2011 21:19

      Oui, bon, d’accord, PV = nRT pour un gaz parfait (qui n’existe pas, même si le comportement des gaz de l’atmosphère dans des conditions « normales » s’en rapproche).

      Non, l’augmentation de l’énergie d’un gaz se fait aussi par l’augmentation de sa température, même si le système, dans le cas d’une transformation isobare, répond en se dilatant, ce dernier phénomène diminuant la variation d’énergie interne... mais bien sûr, ça ne compense pas... Le rayonnement absorbé par le gaz ne peut qu’augmenter son énergie, sinon, ce n’est plus la peine de faire de la physique...

      D’ailleurs, en ce qui concerne un gaz parfait, l’approximation qui est faite est justement que toute son énergie interne est cinétique. Bien sûr, pour un gaz réel dilué (c’est à dire dans des conditions normales, pression atmosphérique, etc...), il y a l’énergie potentielle d’interaction entre les molécules (les forces de Van Der Waals), mais l’énergie cinétique reste nettement prépondérante (d’où l’intérêt de l’approximation du gaz parfait). L’agitation thermique due à une augmentation de température augmente l’énergie cinétique des molécules, ce qui dilate le gaz, mais sa température a bel et bien augmenté. D’ailleurs, l’énergie interne absolue d’un gaz parfait ne dépend que de sa température : E = 3/2 RT par mole de gaz parfait (monoatomique). Notez que ni la pression, ni le volume n’intervienne.

      Augmenter la température à pression constante augmente le volume, très bien... La variation d’énergie interne, c’est la variation de quantité de chaleur + la variation de travail. -pdV (la variation de travail à pression constante) diminue dans ce cas mais dQ augmente si on chauffe un gaz à pression constante (isobare). L’effet de serre a bien lieu même à pression constante. La loi des gaz parfaits ne suffit pas, il faut le 1er principe : dU = dW + dQ
      La dilatation du gaz à effectivement tendance à diminuer son énergie interne, mais ça ne compense pas, sinon les paysans n’utiliserait pas de serres. En plus, comme écrit plus haut, si un gaz absorbe de l’énergie, et bien son énergie interne augmente, ça ne peut pas être autrement...
      Si vous appuyez sur l’accélérateur de votre voiture, son énergie cinétique augmente en même temps que le travail des forces de frottements, mais ce dernier ne compense pas, sinon vous n’accéléreriez pas... ben là, c’est pareil.

      Dit autrement, si on apporte de l’énergie à un gaz dans des conditions isobare et isochore (pression et volume constant), il s’échauffera plus que dans des conditions isobares uniquement, mais il s’échauffe quand même dans des conditions isobares. C’est très logique en fait...

      Un autre exemple : une serre n’est pas étanche : la transformation est aussi isobare dans une serre. Le chauffage serait effectivement plus efficace dans une serre étanche (exactement ce qui est expliqué plus haut) , mais bon, ça poserait d’autres problèmes...


  • filendrick 6 août 2011 15:24

    SVP, Il existe deja un paquet d’articles concernant le réchauffement climatique sur agora, ce topic n’en est pas le sujet.


  • chems eddine Chitour 6 août 2011 15:43

    Cet article est inexact sur plusieurs points.


    Quand on parle de décompostion de matière à l’état fossiles, c’est à la fois la faune et la flore et pas seulement les dinosaures
    Les tempèratures sont de 1° tous les 30m de profondeur et la pression est généralement hydrostatique. A 3000 mètres ( gisement de Hassi Messaoud) dans une ancienne mer intérieure ( le Sahara) la température est de l’ordre de 100 C , il sort en surface à environ 130 C et à une pression de 300 kg/cm2, nous sommes loin des 2000 C et 25 000 atmosphères

    La deuxième erreur est que l’auteur a oublié de citer la synthèse de Fisher Tropsch qui permet à partir de gaz ( CH4 ou plus) de synthétiser des hydrocarbures (une sorte de polymérisation du groupement CH2)

    En clair, le pétrole n’a pas besoin des températures et pression aussi élevées, par contre la cinétique est catalysée par des bactéries et demande du temps beaucoup de temps des millions d’années..

    Enfin ces théories abiotiques ont été énoncées il y a 150 ans par l’ecole russe avec notamment Mendeleev. De plus elles ont été abandonnées du fait notamment de la présence de coquillages dans les carottages des puits, et surtout de la présence d’eau salée avec le pétrole Ce qui démontre sans conteste l’origine marine du pétrole.

    Pour les élucubrations sur une théorie du complot, nous quittons le rationnel pour aller sur le continent de la fiction... C’est un autre débat

    Prof.C.E. Chitour


    • filendrick 6 août 2011 16:20

      avez vous lu les liens données en sources de l’article ?

       Vos arguments sont abordés des le début ou presque, et démontrés non suffisants d’apres les auteurs. Quand pensez vous ?

      (je ne vais pas tout copier coller ici)

      Je ne suis pas scientifique, mais étant un matheux dans l’ame, j’ai quelques notions de chimie, vos arguments ne tiennent pas.

      Effectivement la théorie du pétrole d’origine organique ne semble pas nouvelle, mais vous transformer la réalité en incluant Mendeleev, il en était un détracteur et l’a même démentie !

      les articles sont présents, lisez Les liens en 6 parties. (rien que les 2 premieres concernant vos propos).


    • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 6 août 2011 21:16

      Fischer Tropsch : l’avenir à court terme !

      On va transformer le charbon en pétrole et en gaz, d’ailleurs c’est ce qu’ils font déjà en Afrique du Sud ... et comme on l’a fait en Europe avant la deuxième guerre mondiale.

      Quand je pense qu’il y en a qui paniquent avec le peak oil !


    • epapel epapel 7 août 2011 20:37

      Dans le premier document source de l’article on peut lire :

      Wikipedia est de plus assez prolixe sur le sujet de l’origine abiotique du pétrole en déclarant d’entrée de jeu que “la théorie abiotique de l’origine du pétrole a été discréditée”, tiens donc… Donc, nous tapons dans la fenêtre de recherche interne de Wikipedia les termes “biotic origin petroleum” (puisque la terminologie de Wikipedia concernant le pétrole en anglais est “petroleum” et non pas “oil” ce qui est plus spécifique convenons-en), or que découvrons-nous avec stupeur ?

      Qu’il n’y a pas de page sur Wikipedia concernant une origine biologique / biotique du pétrole. Intrigant non lorsqu’il s’agit de fait de la théorie du “consensus scientifique” à cet égard ?

      Voici une page de Wikipedia qui traite de l’origine biologique du pétrole : http://fr.wikipedia.org/wiki/K%C3%A9rog%C3%A8ne

      Bonjour la crédibilité, il est très facile de ne pas trouver : il suffit de ne pas chercher au bon endroit.


  • Laury 6 août 2011 16:51

    Voici un autre lien qui nous explique la même histoire :http://www.karmapolis.be/pipeline/petrole.html


    • filendrick 6 août 2011 17:06

      Sympa merci pour le lien, je prefere les sources plus fraiche, mais ce texte est un peut plus accessible. (pas encore tout lu, mais d’accord sur le fond)


  • slipenL’air 6 août 2011 17:30

    @ Laury

    sur ton lien on peu lire :
    de nombreuses expériences réalisées en laboratoire ont confirmé qu’il est possible
    de produire du pétrole à partir des minéraux. Par contre, pas une seule n’est parvenue
    à en créer à partir des matières végétales et animales. C’est un fait connu des scientifiques

    ce qui contredit à priori ce qui suit Lien

    Le procédé biotechnologique
    Le procédé de synthèse breveté et développé par BFS s’inspire du processus naturel
     à l’origine de la formation du pétrole d’origine fossile. Il utilise des éléments
    comme l’énergie solaire (comme source principale d’énergie), la photosynthèse et les
    champs électromagnétiques associés aux propriétés organiques du phytoplancton
    (micro-algues marines) pour convertir le CO2 issu des émissions industrielles,
     en une biomasse puis en un pétrole artificiel similaire au pétrole fossile,
    sans soufre et sans métaux lourds, en quelque sorte un pétrole propre.
    La culture intensive des micro-algues et l’absorption massive du CO2 s’opère
     en milieu fermé et dans des photobioréacteurs verticaux pour une optimisation
    des surfaces d’implantation, un meilleur contrôle des propriétés physico-chimiques
     du milieu d’élevage et une rentabilité optimale.

    http://bfs-france.com/


    • filendrick 6 août 2011 17:44

      en quoi cela contredit ?

      c’est un element de plus, voir meme une bonne nouvelle que cette technique existe.

      (sinon pour revenir au pétrole conventionnel, la méthodologie vaguement abordée ne me semble pas réalisable dans des entrailles de la terre.(je peut me tromper, mais question temperature/pression, ca colle pas les algues vivante.)

      du marbre solide de laboratoire (CaCO3), de l’oxyde de fer (FeO), mouillés à l’aide d’une eau triplement distillée, ont été soumis à des pressions allant jusqu’à 50 kbar et des températures de 2000 o C. Sans aucune contribution hydrocarbonée ni de détritus biologiques, le système CaCO3-FeO-H2O génère spontanément et à des pressions prédites théoriquement au préalable, une suite d’hydrocarbones caractéristique du pétrole naturel.


    • epapel epapel 6 août 2011 21:16

      Comment se fait-il qu’on puisse faire des carburants à partir des plantes alors ?


    • filendrick 6 août 2011 23:43

      mais cela n’a rien a voir avec le sujet excusez moi.

      Je n’ai jamais remit en cause la possibilité de crée des chaines hydrocarbonées a partir de biomasse, d’organisme (algues ou autres) de catalyseur, d’enzyme ou autre, le tout dans un environnement controlé.

      Je m’interroge sur la genese. la transformation de la biomasse dans les conditions de son environnement amenant la transformation. point que vous evitez.

      -----

      Petit extrait des liens cités ci dessus, en parlant des experience avec de la biomasse :

      • De telles expériences ont été tentées par diverses personnes (qui étaient ignorantes des contraintes des lois de la thermodynamique) à plusieurs reprises ce dernier siècle. Toutes ces tentatives ont échoué sans aucune exception légitime. Les hydrocarbones peuvent être (et sont) synthétisés sous basse pressions par le processus connu de Fischer-Tropsch ou par les réactions de Kolb. Ce sont des processus induits et non spontanés.

      et plus loin :
      • La seconde loi de la thermodynamique prohibe la génèse spontanée d’hydrocarbones plus lourds que le méthane dans des régimes de pressions et de températures trouvés dans la croûte terrestre proche de la surface. Ce fait est connu par les physiciens, chimistes, ingénieurs chimistes, ingénieurs mécaniques et thermodynamiciens compétents depuis le dernier quart du XIXème siècle.

  • slipenL’air 6 août 2011 17:34

    La question

    que foutaient donc tout c’est dinosaures et plantes géanteS
    à 10 kM sous terre,qui ou quoi les à enterrés. ???????????????? (les ET)
     smiley smiley smiley


  • sissa 6 août 2011 17:51

    Article relevant purement et simplement du wishful thinking.
    Je résume : l’influence du CO2 sur le climat est nulle(non pas incertaine ou surévaluée, hein, nulle...) et les réserves de pétroles sont quasi-illimitées.
    Le premier point est bien connu et depuis déjà pas mal d’années un grand nombre d’arguments ont été avancés(et contestés) pour le défendre n’y revenons pas.
    Le second, lui est plus marginal, parce que la théorie à laquelle il prétend répondre, celle du pic pétrolier est elle-même plus marginale que celle du réchauffement climatique. Selon le point de vue des « piquistes »(qui défendent la théorie du pic pétrolier), le déclin du pétrole commencerait bien avant son épuisement, en fait à partir du moment où la moitié des ressources serait consommée. Certains affirment que cet instant est tout proche(voire dépassé). La théorie du pétrole abiotique, associée à l’idée qu’il s’en produirait des quantités bien supérieures à ce qu’on croit prétend donc écarter cette possibilité. Il faut quand même signaler que les géologues du pétroles qui la rejettent ne le font pas sans raisons : http://www.fromthewilderness.com/free/ww3/102104_no_free_pt1.shtml , et http://www.fromthewilderness.com/free/ww3/011205_no_free_pt2.shtml .

    Ces deux théories (pic pétrolier et réchauffement climatique) ont un point commun : si elles se vérifient, elles mettent en cause la durabilité de la civilisation industrielle. C’est la raison pour laquelle certains les rejfusent sans avoir la compétence requise pour le faire.


    • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 6 août 2011 21:26

      C’est surtout et avant tout une théorie Russe, le pétrole abiotique.

      Ceci étant dit, il me semble que le marbre est composé de coraux qui ont été compressés dans le coeur de la terre.

      En fait, tout se résume au comportement du carbonne : est ce que le carbonne redevient spontanément liquide ( voire solide ) ou subsiste sous forme gazeuse une fois consommé.

      J’ai l’impression que celui qui aura la réponse définitive à cette question pourrait postuler aux Nobel.

      Outre le fait que celui qui aura une théorie fonctionnelle pour la précipitation du carbonne gazeux en carbonne solide ou liquide pourra également postuler pour le Nobel et qu’en plus il va faire fortune au delà de tout ce qui est imaginable.

      S’il y a un amateur ....


    • doctorix, complotiste doctorix 8 août 2011 15:00

      N’y revenons pas.
      Mais si, revenons-y, au contraire. Ces arguments massue ne peuvent être écartés d’un revers de main. Mais on y reviendra dans un autre sujet.
      N’utilisez pas des « il est bien connu » ou des « tout le monde sait bien que... », qui ne sont pas des arguments mais des refuges pour dogmatiques.
      certains les refusent sans avoir la compétence requise pour le faire.
      Mais que diable savez-vous de leurs compétences ? Il me semble qu’il y en a un certain nombre, cités dans les commentaires, y-compris au sein de l’industrie pétrolière (des traîtres ?) qui ont tout à fait la compétence pour le faire.
      Vous faites dans le « Alkabach, taisez-vous » ?
      Vous ne donnez pas d’argument, mais votre opinion. C’est de peu d’intérêt, excusez-moi.
      Vous oubliez le taux de réussite des forages russes effectués sur ces données. A comparer au minable taux de réussite des occidentaux sur la base de l’origine sédimentaire.


    • sissa 11 août 2011 18:33

      @doctorix : LA production de étrole russe a atteint son maximum au cours des années 80, malgré la « théorie russe ».Il est facile de vérifier que les zones de production pétrolière russes sont des bassins sédimentaires, comme en occident.
       Vous me reprochez de ne pas avoir d’arguments alors que j’indique trois liens qui présentent des arguments solides que vous avez clairement choisi de ne pas lire.


  • Bcapai 6 août 2011 17:53

    Pour revenir à cet article :

    Une question me vient à l’esprit.

    Nous utilisons le pétrole comme source d’énergie et il est assez logique de penser que cette énergie viens de l’énergie solaire de l’époque préhistorique  conservée dans le pétrole sous forme d’énergie chimique et qu’en brûlant le pétrole on libère cette énergie qui sans cela serait restée enterrée.
    On peut donc estimer que l’énergie que nous avons est prise au dépend de l’énergie solaire primitive.

    Si le pétrole est d’origine minéral quel est le système qui perd de l’énergie quand nous l’utilisons ?
    Je ne vois qu’une explication cette énergie est celle résultante de la chaleur de la terre et ce serait donc une énergie géothermique différée !

    Dans ce cas nous devons faire attention car ce n’est pas une énergie vraiment inépuisable même si elle nous parait très abondante.


    • doctorix, complotiste doctorix 8 août 2011 15:14

      La terre réémet dans l’espace tout ce que le soleil nous envoie, sauf ce qui est stocké par la photosynthèse ou sous forme de réchauffement. Dans certaines périodes, elle largue plus. Dans d’autres moins.
      Mais la terre stocke sans doute encore d’une autre manière, inconnue.
      Dans Science et Vie de Juillet, on parle de 1% dont on ne sait ce qu’il devient, 1% manquant.
      La Terre absorberait toujours plus d’énergie solaire, et les océans de moins en moins. Une énorme quantité de chaleur se cacherait donc quelque part. Où ? Mystère. L’article ne répond pas à la question. Et prouve nos lacunes. La modestie est de rigueur, car ce 1%, c’est cent fois ce que nous consommons, en gros.


  • filendrick 6 août 2011 18:10

    dixit Lavoisier :)
    « rien ne se perd tout se transforme »
    +1


  • karquen karquen 6 août 2011 18:50

    heu double remarque : si vraiment c’étais d’origine minérale, nous aurions un soucis majeur avec les volcans, et à la profondeur indiquée avec la pression nous aurions dû « bruler » par de grandes failles sismique plusieurs fois... or l’histoire des continents nous montre un scénario bien éloigné de ce principe « ésotérique »... 

    Maintenant je ne suis pas tout à fait contre cet article qui à le mérite de dire que le stock de pétrole est vraiment très important... et qu’une certaine manipulation sur la quantité existe vraiment, car le pétrole n’est pas une denrée rare bien au contraire, aujourd’hui on rebouche les puits découverts, pour faire flamber... son prix. 

    Mais on peux y voir également une certaine maitrise du concept de la production de CO2, pour notre atmosphère déjà au seuil du tolérable et la volonté de migrer vers des solutions plus écologiques... 

    donc en résumé non je pense pas que ce soit minéral et sous une pression qui me semble assez étrange, et oui, c’est un choix mondial pour pousser vers des énergie écologiques, car les ressources me semble encore « illimitée » pour nos besoins actuel (même avec la Chine) sur le pétrole... 


    • filendrick 6 août 2011 19:06
      • heu double remarque : si vraiment c’étais d’origine minérale, nous aurions un soucis majeur avec les volcans, et à la profondeur indiquée avec la pression nous aurions dû « bruler » par de grandes failles sismique plusieurs fois... or l’histoire des continents nous montre un scénario bien éloigné de ce principe « ésotérique »...

      pas compris, un probleme avec les volcans ? au pire ce sera consommé dans la cheminée, je vois pas le soucis.
      (et si on commence a parler en temps géologique, rien d’instantanné comme « bruler » risque de ce produire. meme lors d’un seisme).
      • donc en résumé non je pense pas que ce soit minéral et sous une pression qui me semble assez étrange

      Et pourtant énormément de gens on essayer de produire des chaines hydrocarbonnés a base de materiel biologique (a basse pression) et ont tous echoués. Largement documenté. voir lien donnée en source de l’article bon sang.

      Dans les liens sourcé de l’article ci dessus

      La seconde loi de la thermodynamique prohibe la génèse spontanée d’hydrocarbones plus lourds que le méthane dans des régimes de pressions et de températures trouvés dans la croûte terrestre proche de la surface. Ce fait est connu par les physiciens, chimistes, ingénieurs chimistes, ingénieurs mécaniques et thermodynamiciens compétents depuis le dernier quart du XIXème siècle.

      (décidement personne ne lit, meme l’impression que ce sujet CAPITAL, est a peine commenté, alors que tout le monde vote contre.)


    • Daniel D. Daniel D. 7 août 2011 23:40

      #Et pourtant énormément de gens on essayer de produire des chaines hydrocarbonnés a base de materiel biologique (a basse pression) et ont tous echoués. Largement documenté. voir lien donnée en source de l’article bon sang. #

      FAUX, le Docteur Jean Laigret médecin et biologiste français qui travailla a l’Institut Pasteur l’as fait !

      Procédé de production d’hydrocarbures gazeux et liquides et produits obtenus par ce procédé.

      Le procédé Laigret a pour objet un procédé qui permet de produire des hydrocarbures gazeux et des hydrocarbures liquides, en particulier des pétroles bruts, à partir de substances organiques par fermentation. Le pétrole produit étais d’origine biologique, ça as donc été fait ! Arrêtez de dire que personne ne l’as fait !

      http://www.econologie.com/brevet-du-docteur-laigret-les-revendications-articles-3958.html

      http://www.pasteur.fr/infosci/archives/lai0.html

      un autre site avec des informations sur ce Docteur, son cursus et ses recherches :

      http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Laigret

      Extrait :

      La revue L’Ere Nouvelle (BP 171 06407 Cannes cedex) a publié, dans son numéro 182 de janvier-février 2008 un article de Henri Durrenbach (déjà publié en 1991)


      Après avoir multiplié les expérimentations Jean Laigret, a pu constater que 100 g de savon donnaient 75 cm³ de pétrole grâce à l’action du bacille Clostridium perfringens.Selon les matières, les résultats varient un peu,1 tonne d’huile fermentée donne 800 litres de pétrole brut et 200 m³ de gaz combustible, 1 tonne de déchets de viande donne 450 litres de pétrole et 140 m³ de gaz combustible, les déchets de poisson fournissent 70 % de leur poids en pétrole, les écorces d’orange et de citron 37 %, et les feuilles mortes 25 %.


  • Rousquille Rousquille 6 août 2011 18:52

    Très bon article. Il est évident que si le pétrole est d’origine abiotique n’importe quel pays, pourvu qu’il fore à une profondeur suffisante, aurait du pétrole en abondance. Cela n’arrange évidemment pas les grosses compagnies pétrolières.


    • karquen karquen 6 août 2011 19:05

      mdr ! 

      il va falloir en faire des trous ! 

      Non ce n’est pas raisonnable, et la puce à l’oreille : 25 000 bars.... je pense que même sur Jupiter la pression n’est pas aussi grande... 

      Nous ne manquons pas de pétrole c’est sur ! mais par endroits ; par endroits seulement, justement par l’histoire de la dérive des continents. sur de vaste zones mais des zones limitées, et en quantitée bien plus importante qu’on nous le dit... je pense personnellement qu’il reste au moins 70 % de la consomation actuelle en pétrole... mais aussi très polluant et mal gèré, le poids de l’économie sur la réalité ecologique sur la planète... 


    • filendrick 6 août 2011 19:15

      raté, tiens un table de wikipedia pour les ordres de grandeur de pression : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ordre_de_grandeur_%28pression%29

      le diamand se forme a une pression superieure

      Sinon nous on parle de 100km de profondeur pour les 25Kbar, sur un rayon terrestre de 6370km dixit wikipedia.


    • filendrick 6 août 2011 19:19

      euh, pas de moyenne le rayon, max a l’equateur. dans l’axe Z on a "seulement 1210km.
      proportion de la terre : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Slice_earth.svg


    • karquen karquen 6 août 2011 19:34

      Autant pour moi...

      Mais en comptant la dilatation des matériaux à la chaleur ? si la densité est possible sur certains matériaux quid du pétrole liquide ? c’est pas un cristal à ce qui me semble et le rapport poids/masse me dérange un peu sur les possibles de ... fermentation.... on peu accélerer le processus avec des algues d’où les recherche en Espagne en ce moment...... 

      m’enfin je ne suis qu’un ignorant devant l’Eternel... 


    • epapel epapel 6 août 2011 21:19

      Aucun souci pour les compagnie pétrolières si le pétrole est d’origine abiotique, car le n’importe quel gars capable de creuser à ces profondeurs, c’est principalement elles.


    • doctorix, complotiste doctorix 8 août 2011 15:16

      @karquen

      25.000 bars n’est pas une pression si considérable.
      On la trouverait sous 250 km d’eau si cette profondeur existait sur terre.
      Mais la masse de 250 km d’eau doit pouvoir être approximativement comparée à 100 km de roches.
      Pas besoin d’aller sur Jupiter, donc.
      Quand à la température de 2500°C, à raison de 1° tous les 30 mètres de profondeur, et même si ce n’est qu’une supposition admise aujourd’hui, elle n’est dans ce cadre aux nombreuses incertitudes nullement invraisemblable à 100 km de profondeur. Le calcul donne précisément 3.300°C.
      Il est évident que personne n’a les moyens de le savoir précisément, mais ces température et pression sont parfaitement cohérentes à cette profondeur selon les données actuelles.


    • doctorix, complotiste doctorix 8 août 2011 15:20

      @karquen

      25.000 bars n’est pas une pression si considérable.
      On la trouverait sous 250 km d’eau si cette profondeur existait sur terre.
      Mais la masse de 250 km d’eau doit pouvoir être approximativement comparée à 100 km de roches.
      Pas besoin d’aller sur Jupiter, donc.
      Quand à la température de 2500°C, à raison de 1° tous les 30 mètres de profondeur, et même si ce n’est qu’une supposition admise aujourd’hui, elle n’est dans ce cadre aux nombreuses incertitudes nullement invraisemblable à 100 km de profondeur. Le calcul donne précisément 3.300°C.
      Il est évident que personne n’a les moyens de le savoir précisément, mais ces température et pression sont parfaitement cohérentes à cette profondeur selon les données actuelles.


  • Electric Electric Tof 6 août 2011 19:18
    L’auteur a bien raison de nous parler de cette possible origine abiotique du pétrole, théorisée par les russes, et exploitée judicieusement par leurs soins. Ainsi, les russes ont vu leurs capacité de production très largement augmentées en forant sur des failles, dans des roches très dures, des gisements très profonds, ou à priori, on n’aurait jamais du rien trouver.
     
    Quelques références supplémentaires :
     
     
     
     
     
    Réchauffement :
     
    Un climatologue du meilleur niveau a remis le nez dans les travaux du GIEC. Il en ressort, que tout l’édifice repose sur les mesures de CO² au XIX ème siècle pour attester d’une augmentation du taux de ce dernier. Par décision axiomatique (et en écartant les chiffres génants), il a été décidé que ce taux était en moyenne au XIXème siècle de 280 ppm à rapprocher des 350 actuels. Il suffit de corréler mathématiquement l’augmentation du taux avec la température, le tour est joué.
     
    Seulement, Z Jaworowski montre que le taux de 280 ppm est faux, et que le taux moyen de CO² au XIX est en tout point comparable au notre, avec des pointes à 400 ppm :
     
     
    Voilà comment on construit un roman scientifique sur la base d’un seul paramètre. Même chose qu’avec le redshift pour décider de l’expansion de l’univers.
     
    Enfin, les équations qui ont été utilisées pour modéliser les projections climatiques sont amplifiantes. En gros, on passe les paramètres au carré au lieu d’une multiplication par 2 par exemple.
     
    Un judicieux choix d’équations mathématiques, un mauvais choix de référentiel, et en avant pour le grand délire.
     
    Il n’empêche que tout le système solaire se réchauffe depuis 40 ans, le phénomène est global, inquiétant, le réchauffement anthropique une probable blague.
     
    Si le taux de CO² est fortement corrélé sur le long terme (400 000 ans) avec les températures, l’augmentation des températures précède toujours l’augmentation du CO², l’auteur a raison sur ce point.
     
    Force est de constater que plus on en sait, et plus les questions sont nombreuses. Il me semble qu’il est un peu rapide de passer par dessus bord des théories divergentes, ce qui est l’exact contraire de l’esprit scientifique.
     
    Soyons un peu plus modestes, et ça ira mieux.

    • karquen karquen 6 août 2011 19:56

      « Il n’empêche que tout le système solaire se réchauffe depuis 40 ans, le phénomène est global, inquiétant ... »... 

      mdr ! 

      encore encore ! j’en veux plus ! je veux les statistiques martiennes et celle de l’ex-Pluton ou de Sedna ! je veux l’amplitude bi-directionnelle du champs électique et magnétique du soleil et sa longueurs d’onde, je veux toutes les données possibles ! à savoir si on peu se faire cuire un oeuf sur Io ou astéroïde de saturne... la chaleur sert à cuire les aliments pas à les réchauffer forcément mdr ! 

      ça serait bien de savoir si sur mars un humain peu respirer de l’air et si les martiens sont gentils comme nous les français... nous on apporte pas d’armes pour faire la guerre mais des philosophes à la con pour comprendre ce petit bout de grain de sable dans le bras d’une galaxie que l’on appelle communément la voie lactée... 


    • sissa 6 août 2011 21:13

      C’est marrant de voir comment on retrouve sans cesse les même arguments.

      Par décision axiomatique (et en écartant les chiffres génants), il a été décidé que ce taux était en moyenne au XIXème siècle de 280 ppm à rapprocher des 350 actuels. Il suffit de corréler mathématiquement l’augmentation du taux avec la température, le tour est joué.
      Non, ce n’est pas axiome mais par utilisation des carottes glaciaires. Quant aux chiffres « génants » ils n’ont pas été écartés sans raison mais parce que le taux de CO2 peut être variable d’un point à l’autre ou à divers moment de la journée, et qu’en conséquence certaines mesures ne sont simplement pas représentative de l’atmosphère.

      Enfin, les équations qui ont été utilisées pour modéliser les projections climatiques sont amplifiantes. En gros, on passe les paramètres au carré au lieu d’une multiplication par 2 par exemple.
       
      Un judicieux choix d’équations mathématiques, un mauvais choix de référentiel, et en avant pour le grand délire.
      C’est tellement évident que vous n’avez aucune idée de la façon dont un modèle est fait.

      Il n’empêche que tout le système solaire se réchauffe depuis 40 ans, le phénomène est global, inquiétant, le réchauffement anthropique une probable blague.
      Mais bien sûr..

      Si le taux de CO² est fortement corrélé sur le long terme (400 000 ans) avec les températures, l’augmentation des températures précède toujours l’augmentation du CO², l’auteur a raison sur ce point.
      Un grand classique, fondé sur une entourloupe simple : faire croire que l’effet du CO2 sur le climat est déduit de corrélations, alors que c’est la compréhension d’un processus physique qu’on l’établit. Dans le passé le CO2 est venu amplifier un réchauffement du à des paramètres astronomiques.


    • Lucknow 6 août 2011 21:19

      Intéressants les liens sur la réponse, surtout celui sur le soi-disant réchauffement des planètes du à un Soleil dont l’activité diminue très légèrement en ce moment.


    • karquen karquen 6 août 2011 21:32

      Oui mais ça pour notre planète Terre ! 

      pas pour le système solaire ! il ne faux pas tout mélanger.... 

      Et pour notre planète le taux de Co2 ne fait parti que de 20 % de l’équation, c’est plutôt la préservation de l’ozone, et sa destruction par cfc, et la dilatation des océans qu’il faux craindre... 

      On pourra toujours respirer, même difficilement, , mais sur une terre inondée et avec une géopolitique modifiée et de nouvelles guerres pour les terres fertiles au pôle nord... et avec peu de graines pour fertiliser les sols appauvris eux-mêmes d’éléments nutritifs par manque d’exploitations... bref scenario catastrophe ! 

      mais nous sommes là pour eviter ça tous ensemble, et penser à l’avenir... il suffit d’éliminer les « banksers » , et de rendre neutre la virtualité boursière pour engendre la vie naturelle sur notre planète... avec malthusianisme quand même. 


  • Mor Aucon Mor Aucon 6 août 2011 19:29

    Le pic pétrolier pose problème ? Pas de soucis, on arange ça vite fait. Le pétrole n’est plus le pétrole, c’était une conspiration. J’en ai une autre de solution magique. En fait le pétrole est du caca de dinosaure à très haute pression. Reste plus qu’à synthétiser de l’ADN de Brontosaure (plus c’est gros, mieux ça chie) en le copiant sur celui trouvé emprisonné dans un moustique mort empêtré dans de la résine jurassique et faire un élevage de ces gentils pachydermes. Dans les Cévennes par exemple, on pourra en faire un attractif touristique interplanétaire pour les générations de vénusiens à venir.


    • doctorix, complotiste doctorix 8 août 2011 15:29

      Le pic ne me dérange ni ne m’arrange.
      Mon seul souci : y a-t-il un pic ?
      Les retombées de la réponse nous concernent tous, et il serait facile d’exploiter notre ignorance (n’est-ce pas ce qui se fait ?).
      Alors, trêve de commentaires oiseux, cherchons la réponse. Sans a-priori, et sans esprit partisan.
      Je n’aime pas le pétrole, et suis de ceux qui pensent que les pétroliers nous privent d’une énergie bien plus intéressante, propre, illimitée, gratuite, pour satisfaire leurs intérêts. Je ne suis donc pas leur avocat, mais bien plutôt à la recherche de leurs mensonges.


    • filendrick 6 août 2011 20:37

      Merci, lecture tres interessante, surtout un truc daté de 2005 (comme quoi l’omerta, ca marche)

      ----extrait----

      Voilà un intéressant message daté d’avril 2005 posté sur Futura science, de la part de quelqu’un ayant le pseudo « click » qui dit avoir appartenu à la société Schlumberger :

      "bonjour,

      J’ai travaillé pendant plusieurs années pour la société Schlumberger, leader mondial de la prospection pétroliére (et de trés loin) auquel font appel la plupart des compagnies pétrolières pour leur exploration et leur forages.
      Bien qu’electronicien ne travaillant pas a proprement parler dans la division pétrole, j’ai pu à de nombreuses occasions discuter de cela avec des géophysiciens de la compagnie. Et je vous assure qu’en interne la questions du pétrole abiotique est largement admise.
      Je vous parle d’un sujet concret, vécu, donc ne généralisez pas tout de suite en théorie du complot. Mais la doctrine de la société est « No-comment » car cela ne correspond pas aux interet économiques a court/moyen terme."

      Ca, à la vue de mon message précédent, on imagine bien que cela ne corresponde pas du tout aux intérêts économiques à court/moyen terme de cette boite. Ni a long-terme non plus d’ailleurs. Le long-terme étant du genre « jamais ». On imagine bien que les responsables de Schlumberger ne vont pas venir dire "heu, finalement, la théorie du pétrole abiotique est vraie, il y a du pétrole pour 100.000 ans. Et on le savait depuis quasiment le début. On vous a menti pendant toutes ces années. Et, heu, du coup... le pétrole ne vaut plus rien. Haha, marrant hein ?". Oui, no-comment, ça vaut mieux pour eux, c’est clair.

      -------


  • Toto Toto 6 août 2011 20:00

    C’est amusant cela me rappel roswell, la fusion froide....

    ça fait pas de mal de rêver smiley

    pas de panique après le pétrole il restera toujours le solaire, l’éolien, l’hydrolique, la biomasse et le bois toujours renouvelable, il chauffe 3 x, quand on le coupe, quand on le rentre et dans la cheminée.

    • filendrick 6 août 2011 20:39

      la fusion froide ca y est, ils on craqué a cause de fuku peut etre.

      On va en avoir des application commercial, l’année prochaine normalement.


    • doctorix, complotiste doctorix 8 août 2011 15:44

      La fusion froide nous vient de deux savants maudits, Pons et Fleishman, les Galilée du vingtième.
      Calomniés et persécutés comme lui. Mais qui ne se sont jamais rétractés.
      Voilà le type d’énergie qui existe et qu’il nous faut. Cadarache est une dangereuse foutaise.
      Le photovoltaïque, l’éolien, ne sont qu’une tentative pour remplacer le pétrole non en temps qu’énergie, mais en temps que moyen de nous piquer nos sous.
      Les véritables énergies nouvelles sont probablement du genre de la fusion froide, et des travaux de Tesla, le plus grand génie de cette terre, mort dans la misère.
      Nous avons le choix d’accepter notre esclavage selon les consignes du N.O.M., ou de nous battre pour nos libertés, qui passent par la récupération de ces énergies volées.
      Filendrick, pouvez-vous citer votre source concernant l’application prochaine de la fusion froide, merci.


    • sissa 11 août 2011 18:42

      @ Doctorix.
      L’allusion à Galilée, c’est encore plus fort que le point Godwin : à chaque fois qu’il est question de thèse marginales en science, on peut être certaiin que Galilée va être évoqué.
      Des Galilée ? Il y en a des milliers aujourd’hui


    • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 6 août 2011 21:52

      T’inquiètes, on fait les deux !

      L’Union Européenne ( le bidule qui fait ch..r Kriegsmarine où elle est parlementaire mais qu’elle veut voir quand même disparaître ) dépense beaucoup d’argent pour des solutions alternatives au pétrole.

      M’est avis que si la théorie russe avait un peu de crédibilité, on ne s’amuserait pas à faire un potchalak d’une telle ampleur !


    • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 6 août 2011 21:59

      Heeeeeu

      je voulais dire, POTLATCH, désolée !

       smiley smiley smiley


    • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 6 août 2011 22:01

      ... au lieu de potchalak of course !

      Si jamais quelqun n’avait pas pigé le fond de ma pensée.

       smiley smiley smiley


    • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 6 août 2011 22:03

      Puisse Erzebeth Bathory avoir pitié de l’inconduite notoire de son humble servante !

       smiley smiley smiley


    • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 6 août 2011 22:07

      Puisse Vlad Sepes avoir pitié de moi pour la même raison !

       smiley smiley smiley

      Et Amon Amarth aussi !

       smiley smiley smiley

      Et aussi Behemoth  !

       smiley smiley smiley

      Et aussi Craddle of Filth !

       smiley smiley smiley

      Hoooouuuu la HONTE !


    • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 6 août 2011 22:38

      Oooops !

      J’oubliai Hunyadi Janos !

       smiley smiley smiley

      Je suis un peu sotte ce soir !

       smiley smiley smiley


    • doctorix, complotiste doctorix 8 août 2011 15:46

      Les troll, au vestiaire. C’est la mi-temps.


  • Electric Electric Tof 6 août 2011 20:18

    http://www.dakotavoice.com/2009/06/nasa-study-shows-sun-responsible-for-planet-warming/

    Je n’aurai peut-être pas du parler de réchauffement du système solaire, mais de modifications.

    Si nous devions subir les mêmes modifications que sur Uranus, on ne serait déjà plus là. Les calottes polaires de Mars fondent comme neige au soleil, la luminosité de Vénus est augmentée, l’atmosphère de Jupiter est toute tourneboulée, bref, on n’est pas tout seul à voir se modifier nos conditions météo.

    Et je ne vois pas en quoi le fait que le système solaire connaisse des changements importants pose problème. C’est un paramètre, c’est tout, rien d’alarmiste ou autre.

    Et les mecs qui pensent tout savoir me font bien marrer.

    ça sent Montauban, et son terminus des prétentieux.

    La science avance en crabe, et à quelques exceptions près, toutes les grandes théories élaborées depuis les lumières n’ont cessé d’être balayées pour laisser place à d’autres.

    D’ailleurs, c’est ce qui rend la science si bandante.


    • Mmarvinbear Mmarvinbear 6 août 2011 23:54

      Ce genre de message circule encore ???


      Je l’ai déjà vu il y a deux ans... J’avais cherché son origine et je l’avais trouvé sur un site d’un fondu qui est convaincu que Star Trek est en réalité un documentaire réalisé pour nous préparer à la réalité des visites extraterrestres...

      Le gars croit aussi aux ruines sur la Lune et aux pyramides martiennes...

      C’est dire.

    • doctorix, complotiste doctorix 8 août 2011 15:50

      Oui, ça circule encore : la gouvernance mondiale n’a pas réussi à l’étouffer.
      Les trolls non plus.
      Et ça n’a pas fini de circuler...
      Toujours compter sur la lassitude ou la faculté d’oubli n’est pas nécessairement un bon calcul.


  • Terradelie 6 août 2011 20:22

    Claude Allègre, sort de ce corps !!!


  • aobc 6 août 2011 20:45

    Bonjour,
    dans ce contexte, voici un lien vers 1.20h d´explications interessantes de N.Begich ( en anglais ) concernant la technique de « HAARP » et sans en faire trop d´idéologie - qui en faite sert notamment a la recherche de petrol + gas etc - et pour explication « comprehensible » des termes ==> ondes et ionosphère
    Cordialement, aobc







  • gonehilare gonehilare 6 août 2011 21:29

    Mes études scientifiques étant limitées, je me garderai donc bien de me prononcer dans un sens ou dans un autre.

    Pour autant, la connotation sarcastique de certains commentaires me laisse subodorer ce qu’à pu entendre un certain Galilée, condamné par l’Inquisition pour délit de... « Géocentrisme » - la Terre tourne autour du soleil et non l’inverse !

    Se souvenir aussi de la polémique déclenchée par un certain Claude Allègre contestant l’origine anthropique du « réchauffement » climatique ... dont une équipe israélienne vient de mettre scientifiquement en évidence qu’il était directement lié à l’alternance du passage de notre système solaire dans les bras d’enroulement de notre galaxie, la Voie lactée, perturbant ainsi périodiquement l’activité de notre étoile....



    • karquen karquen 6 août 2011 21:41

      Gonehilare...

      autant pour moi... 

      mais où sont les données ? où sont les statistiques réelles de groupes indépendants de chercheurs  ? 

      Claude Allègre ! mdr ! vous me faites une farce là ! avec les compliments de la maison j’imagine !!! les bras d’enroulement de notre galaxie mdr !!!! 

      vraiment très drôle ! vous m’avez pleinement convaincu et vais dans votre sens finalement : je viens de fumer une clope pleine de pétrole et me sent comme un minerai en fusion.. je .. je... arbglll.. je suis mort. 

      A part les rayons gammas, imprévisibles, je ne vois pas trop ce qui pourrai nous empêcher d’organiser un barbeuq tous ensemble demain... vous êtes des personnes formidables tous ! je vos adore ! 


    • sissa 6 août 2011 22:05

      La référence à Galilée, c’est vraiment la tarte à la crème de tous ceux qui défendent des théories en marge voire qui refusent certaines avancées de la science. Outre l’immodestie que cela suppose, il faut quand même noter que pour être dans le vrai il suffisait d’adopter des idées à l’encontre de l’opinion dominantes des chercheurs, cela se saurait depuis longtemps.

      Pour ce qui est de la « théorie israélienne », je ne sais pas d’où vous sortez cela, mais cela ne tient pas debout, les échelles de temps du réchauffement climatique et du trajet du soleil à l’intérieur des bras galactiques sont totalement différentes : quelques dizaines d’années pour le premier des millions pour le second.


    • gonehilare gonehilare 6 août 2011 22:19

      Je vous l’ai dit : j’ai mes limites ! 

      Je m’incline donc devant tant d’arguments imparables, impuissant que je suis à vous apporter la moindre contradiction !
      Bonne fumette !


    • gonehilare gonehilare 6 août 2011 22:32

      @ sissa

      Le nez collé au « pare-brise », vous faîtes sans doute partie de ces privilégiés à avoir une bonne vision « d’ensemble » des cycles climatiques à l’échelle planétaire ...

      Bon vol !


    • doctorix, complotiste doctorix 8 août 2011 15:53

      @sissa
      Si c’était vrai, ça se saurait...
      Vous continuez dans le cliché, je vois...
      En 1850 et sans remonter à Galilée, il se trouvait des savants pour estimer qu’il n’y avait plus rien à découvrir...


  • epapel epapel 6 août 2011 21:56

    "Par contre, il est strictement impossible de produire autre chose que du méthane, le plus petit des hydrocarbures, CH4, à partir de la décomposition d’animaux ou de végétaux."

    C’est pourtant le composé qui est le plus facile à obtenir à partir de la fermentation des plantes et des lisiers, procédé d’ailleurs couramment utilisé de nos jours dans les exploitations agricoles.

    De plus, le moindre puits koweitien correspondrait à la décomposition parfaite et totale d’un cube de cadavres de dinosaures de 30 kilomètres de côté (27.000 kilomètres cubes), ce qui est complètement loufoque.

    C’est votre invention, vous partez d’une idée fausse pour mieux la réfuter. En fait la théorie organique dit simplement que le pétrole est issue de la sédimentation d’organismes marins en mer peu profonde. Pour obtenir de cette façon 3000 milliards de barils (réserves ultimes estimées) en 100 millions d’années, il suffit d’un flux de 30.000 barils/an, c’est loufoque d’après vous ?. Les réserves connues étant réparties sur une surface d’environ 1 millions de km² il suffit alors d’un flux de 5 litres/km²/an, toujours aussi loufoque ?.

    Ainsi, la réserve mondiale de pétrole officielle correspond à une couche de 2.5cm de pétrole sur toute la surface de la terre.
    Mais en fait, elle correspondrait réellement à une couche de...10 kilomètres d’épaisseur.

    Ce ne serait pas plutôt cette affirmation qui est loufoque ? Et comment-se fait il qu’on ne constate jamais de remontée spontanée de pétrole par les failles connues et par l’activité volcanique et sismique s’il existait de telles quantités. ?

    Les Russes cherchent les failles, avec un taux de succès de 60%.
    D’ailleurs d’anciens puits abandonnés depuis 15 ans se remplissent à nouveau, parce qu’ils sont au dessus de failles.

    Comment se fait-il que les Russes n’ont pas toujours pas réussi à dépasser leur pic de production de 1989 s’ils sont capable d’exploiter le pétrole abiotique sous leur sol alors qu’il représenterait selon vous 1000 fois les réserves officielles ?

    Et le pic pétrolier ne serait qu’une escroquerie de plus, destinée à faire monter les cours artificiellement, ainsi qu’à semer la peur du manque pour mieux dominer, alors que nous aurions des réserves pour des milliers d’années.

    Alors comment se fait-il que le pic pétrolier est nié par la plupart des compagnies pétrolière et des pays exportateurs de pétrole (y compris l’Arabie saoudite) si c’est leur intérêt ?


    • filendrick 6 août 2011 22:24

      De quel composé parler vous du méthane ? ou d’une autre chaine carboné ?

      5 litres/km²/an, ok bon non pas loufoque, acceptons cela comme ’source’ potentiel,
      il reste a expliquer comment l’evolution de ces matieres organiques dans les conditions thermodynamiques de l’exterieure de la croute terrestre. (car les articles propose des theories, que vous evitez soigneusement)

      La moitié de vos arguments sont démontés dans les 2 premieres pages liés en source de l’article, les avez vous lues ?


    • epapel epapel 7 août 2011 19:58

      De l’éthanol par exemple, produit depuis la nuit des temps par fermentation et aujourd’hui massivement comme carburant.


    • epapel epapel 7 août 2011 20:04

      Autant pour moi, l’éthanol n’est pas un hydrocarbure.


    • doctorix, complotiste doctorix 8 août 2011 16:06

      Vous retardez.
      Le pic était nié par les pays producteurs de pétrole.
      Le concept en est maintenant valorisé, afin de faire monter les cours.
      Il est paradoxal de penser que lorsqu’ils croyaient au pic, ils le niaient, et que maintenant qu’ils ont compris que c’était un mythe, ils le proclament comme vrai...
      On estime qu’on trouve actuellement 5 litres de pétrole pour 3 vendus.
      Mais cela, on ne le clame pas.
      Le pétrole remontait spontanément en surface, dans le temps, avant d’être exploité. Parce qu’il est plus léger que l’eau.
      Et les puits abandonnés il y a 15 ans se sont remplis après l’abandon de leur exploitation intensive, par suite de leur mise en repos. La remontée est lente, mais réelle.


    • epapel epapel 8 août 2011 22:44

      Procurez-vous les statistiques de l’EIA et vous constaterez que le pic de production du pétrole conventionnel est passé depuis 3 ans déjà.


  • joletaxi 6 août 2011 21:59

    @Tof


    bonsoir

    concernant le réchauffement,oups, le bouleversement,le climate disruption, le chaos climatique, le bazar climatique,je crains que toute discussion sensée soit inutile.
    Et cela se comprend, les scientifiques, les organisations, les politiques qui se sont fourvoyés à fond dans cette théorie sont dans une position impossible.
    Pourtant, l’édifice craque de toutes parts.Et de plus en plus de scientifiques sortent du bois.
    Un petit dernier en ce qui concerne notre contribution aux taux observés de CO2


    Pour ma part je n’en discute plus, je considère que l’affaire est « pliée » et je meuble mes moments de loisir à couper du bois pour l’hiver qui est déjà quasi à nos portes(les prévisions d’un nouveau la Nina se précisent)


  • Electric Electric Tof 6 août 2011 22:09
    Et si je dis que le soleil n’est pas une machine thermo nucléaire, mais la focale d’une décharge permanente d’électricité venant des bras de la galaxie vous faites quoi ?

    Un AVC ?

     
     
     
     
     
    http://www.ieee.org/index.html : la référence en matière électrique depuis 100 ans.
     
     
    http://www.haltonarp.com/ : le Galilée du XXIème sicèle
     
    http://plasmascience.net/ : site du Los Alamos Laboratory
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    http://www.thunderbolts.info/tpod/00current.htm : une mine au quotidien, à savourer comme un bon Lagavullin.
     
    http://www.thunderbolts.info/tpod/00subjectx.htm : de quoi passer en revue tout l’univers électrique à travers l’historique des « pics of the days ».
     
    http://www.thunderbolts.info/predictions.htm : chaque nouvelle sonde envoyée réjouit les théoriciens de l’univers électrique.
     
    http://www.youtube.com/user/ThunderboltsProject : quelques vidéos de vulgarisation
     
    Traductions sur le Post, nombreux autres articles en liens en bas de page, de quoi se faire une bonne idée sur la question :
     
     
     
    Sur un forum scientifique :
     
    http://www.techno-science.net/forum/viewtopic.php?t=5706

    Et toujours, le site du Natural Philosophy Alliance, 2300 chercheurs, plus de 5000 publications :

    http://www.worldnpa.org/main/

    Evidemment, que des rigloos !

    Bon, c’est en anglais, comme 100% des publications scientifiques, et je pense que les jesaistout n’en n’ont bien entendu jamais entendu parler. Normal, sur le net, y’a les chercheurs et les trouveurs.

    Deux boulots très diffrérents.

    Y’a un monde fou à Montauban ce soir.


    • sissa 6 août 2011 22:25

      Et si je dis que le soleil n’est pas une machine thermo nucléaire, mais la focale d’une décharge permanente d’électricité venant des bras de la galaxie vous faites quoi ?

      Un AVC ?

      Ne vous en faites pas, j’en ai vu d’autres...

      Pas mal votre truc de mélanger dans vos sources des sites sérieux avec des gros délires.


  • Electric Electric Tof 6 août 2011 22:24

    Tiens, Jo, bien le bonsoir. Couper du bois, la meilleure idée, les british vont se les geler l’hiver prochain comme jamais. Nous ? on verra, l’océan et la Med jouent les régulateurs naturels.

    Mais bien OK, on se tape une sévère Nina.

    Selon les théoriciens de l’univers électrique, quand l’acitivité solaire baisse comme en ce moment, cela laisse passer plus de rayons ionisants venant de l’espace, et cela provoque une augmentation de la couverture nuageuse et donc, y flotte et on caille.

    Bon, je vais me tricoter une petite mitaine pour l’hiver.

    Bien entendu, cela n’obère pas la capacité de notre soleil à se foutre en rogne et à nous envoyer de quoi griller tous nos chers circuits électriques, le véritable pb de notre civilisation.

    Le reste, on s’en fout, on n’y peut rien. En revanche, blinder l’electronique, on peut. (et notamment, les circuits de nos chères centrales nucléaires).


  • epapel epapel 6 août 2011 22:34

    Ainsi, la réserve mondiale de pétrole officielle correspond à une couche de 2.5cm de pétrole sur toute la surface de la terre.

    Reprenez vos calculs, car vous vous êtes trompé d’un facteur 10 :
    Surface de la terre : 500 millions de km2 (6300*6300*4*3.14) ou 5.10^14 m² soit 3100 milliards de barils par mm (160 l/baril et 1 l/mm) ou la totalité des réserves ultimes c’est à dire 1/2.5 fois les quantités existantes.


  • epapel epapel 6 août 2011 22:40

    Sur nos têtes il y a 10,5 tonnes d’air/m² dont 2 d’oxygène, c’est à dire la quantité nécessaire pour brûler 1 t de pétrole soit 1 m sur les 10 km d’épaisseur qui existeraient.

    A quoi bon exhiber 10 km d’épaisseur de pétrole alors qu’il n’y a assez d’oxygène que pour en brûler 10.000 fois moins ?


  • Daniel D. Daniel D. 6 août 2011 22:48

    Le pétrole biologique existe, sa création as même été breveté par un Français le Docteur Jean Laigret (qui travaillais a l’Institut Pasteur) dans les années 60 et fut testé en Tunisie pour traiter les boues d’épuration de Tunis, ou il prouva son efficacité dans ce domaine là.

    Les feuilles, graisses végétales, déchets verts, algues et autres déchets ultimes étaient utilisable en matière première et les rapport de transformation de matières étais impressionnants. Les articles et détails laissent rêveur, quand on pense aux progrès que l’on aurais fait en cherchant dans cette vois plutôt que dans le nucléaire… ainsi que les ennuis évités (farines animales et autres qu’on retrouve dans nos assiettes…)

    La base de son procédé est la fermentation des matière organique par le bacille perfringens en milieu anaérobique et na température ambiante.

    Les couts de production de ce pétrole d’excellente qualité étais équivalent a ceux de la prospection classique en 1970, a un époque ou le pétrole étais 30fois moins cher qu’aujourd’hui.

    Cette méthode a été caché pour empêcher l’autonomie facile des régions agricoles par leur force en étant maitre du carburant EN FRANCE SANS DÉPENDRE DE L ÉTAT.

    Ce camouflage est presque au niveau de ce que l’on fait en Lie-by actuellement en terme d’indécence et de gravité, et tout autant invisible ….

    http://www.econologie.com/forums/du-petrole-renouvelable-par-jean-laigret-vt5802.html

    Corrigez votre article je vous en prie, ne participez pas a noyer cette vérité !

    Cordialement,
    Daniel


    • filendrick 6 août 2011 23:25

      euuh, mais je crois que personne n’a remit en cause la possibilité de transformer les molécules de méthanes par l’utilisation d’organismes et de catalyseurs en environnement controlé.

      C’est le mythe de la génèse qui est questionnée, lisez les sources présentées bon sang.


  • Daniel D. Daniel D. 7 août 2011 00:48

    Les premier morts de l’article :
    "
    Le pétrole ne serait pas d’origine biologique

    Le pétrole est d’origine biologie, qu’il puisse aussi avoir un autre origine n’empeche pas que la composition du pétrole extrait actuellement est au moins pour partie d’origine biologique."

    Des le titre, ce n’est pas de l’information, vous me parlez des sources ? je vous parle du fondement.


    • filendrick 7 août 2011 02:30

      d’accord avec vous sur le fond (si on parle de l’indépendance energetique de ce qui reste des nations)

      mais je vous invite une fois de plus a lire les liens proposés par l’article, ce sont les détracteurs du pétrole abiotique qui accepte (ou concede) que oui finalement peut etre, parce qu’on a plus d’arguments a mettre en face, le pétrole abiotique existe peut etre.

      Les auteurs eux la défende pleinement et remettent en cause, raisonnement scientifique a l’appui ; la genese pur et simple du pétrole, et le mécanisme que l’on nous a ériger en dogme sur la miraculeuse transformation de systeme C-H dans des condition contredisant les loi de la thermodynamique.


    • doctorix, complotiste doctorix 8 août 2011 16:36

      Un point positif est que vous admettez qu’une partie du pétrole pourrait bien être abiotique, et c’est un bon début.
      La question est : « dans quelle proportion ? »
      Si le pétrole biologique se retrouve au milieu du pétrole total dans la proportion d’une alouette pour un cheval, le titre n’est pas nécessairement inapproprié.
      Et je me suis bien gardé d’oublier le conditionnel.


    • Daniel D. Daniel D. 8 août 2011 18:15

      Vous savez, c’est uniquement le titre qui me pose problème.

      Admettre plusieurs moyens pour arriver a obtenir du pétrole ne me pose pas de problème. Je sais que cela as été fait.

      Cela as été fait par les tres serieux chercheurs dont vous parlez, pour la partie abiotique ; et leur travail apporte un eclairage nouveau et interressant sur une partie des choses qui étaient des « artefacts » plus qu’une règle supplémentaire pour l’ensemble des theologiste du pétrole biotique et qu’ils ne comprenaient pas. Ils sont une avancée importante vers la connaissance globale, et merite le soutiens.

      Pour la création d’un pétrole de même composition que celui trouvé en prospection classique, le Dr Laigret l’as fait, et ceci a une échelle humaine. Le petrole extrait est tres majoritairement d’origine biotique, les puits abiotiques russes ne se situent pas sur les mêmes strates géologiques, ils sont de compositions différentes. Le procédé de Laigret a fait l’objet d’études économiques qui l’ont fait mettre a l’écart.( les couts étais équivalent, mais les conséquences étaient ailleurs, et l’entonnoir énergétique étais maintenu)

      Depuis le prix du pétrole a été multiplié par 30, mais le procédé Laigret reste identique ;), le pétrole est au niveau de l’or en valeur et est la base du dollar... le plomb en or ruinerais l’or ; l’herbe en pétrole ferais ?

      Je suis si triste des conséquences de tout ce que nous avons sur le dos, et si peu de gens s’intéressent a toutes ces choses biaisées qui nous empoisonnent , et si peu voient ces choses sous le bon angle, se pose la bonne question :

      Mais a qui profite le crime ? Qui devrais gérer ca ? et comment ?

      Nous devons changer, comprendre et transmettre, avant de demander compte de nos vies.

      Cordialement,
      Daniel.


  • trazibule 7 août 2011 01:31

    J’ai lu avec attention tous ces commentaires très compétents, mais je reste sur ma faim concernant deux questions :
     
    Au moment de la création de la terre par accumulation de matériaux issus de l’espace, sous quelle forme se présentait le carbone ? Il semble que Titan satellite de saturne, contienne beaucoup d’hydrocarbure. Ne pourrait-il pas exister encore une part de pétrole (ou de charbon) natif, constituant parmi d’autres accumulés à l’origine de la planète ? Quitte à ce qu’après utilisation par des circuits biologique ce carbone se reconstitue sous une autre part de pétrole ?
     
    C’est la même question qui se pose pour le calcaire, constitué par les restes de coquillages marins, mais ces coquillages ont du trouver à l’origine une forme de calcaire natif pour se créer, logiquement. N’existe-t-il pas des massifs de calcaires « natifs » en géologie ?
     
    Pourquoi aurait-on un cycle du méthane bien connu à ce jour et pas un cycle du calcaire ou des hydrocarbures du même ordre mais sur des périodes de temps plus longues ?
     
    L’autre question dont je n’ai pas trouvé la réponse sur internet à ce jour, est sur le taux de co² : Un taux est mesuré par rapport à une référence, donc l’atmosphère, mais il est relatif aux autres gaz. S’il y a plus de co² il y a moins de quoi ? Sachant l’énormité de nos consommations d’oxygène par les combustions de pétrole, et autres activités industrielles, sachant aussi que l’oxygène n’est pas spontané mais uniquement issu de la vie végétale sur terre plantes algues et plancton, est ce que le vrai phénomène ne serait pas une diminution du taux d’oxygène par plus de consommation et moins de production ?
     
    Si c’est le cas peut importe l’origine du pétrole, la question essentielle est d’arrêter de le bruler pour conserver notre oxygène !

    Si quelqu’un peut apporter une réponse ...

    Trazibule


    • filendrick 7 août 2011 02:45

      Lorsqu’une sphère de gaz atteint une certaine densité, une réaction de fusion nucléaire devient possible, fusionnant deux atomes d’hydrogène pour former de l’hélium. Lorsque l’étoile devient plus âgée et que la quantité d’hélium produit augmente, la fusion nucléaire produit des atomes plus lourds : carbone, oxygène, etc

      dixit wikipedia

      pour le taux de co², a prioris on parle du ratio par rapport au total.
      total qui va dependre de ce que l’on recherche.
       pour des echantillons en provenance de carottage de glace par exemple, on compare avec les taux mesurés selon l’age de la glace. Mais un scientifique doit pouvoir expliciter mieux que moi.


    • sissa 7 août 2011 12:00

      Filendrick se trompe. Le taux de CO2 est exprimé en proportion de volume vis vis de l’atmosphère en entier. C’est ce qu’on dit lorsqu’on affirme que le taux de CO2 est de 380 ppm (part par million en volume) 

      Il se trouve que l’augmentation de la concentration en CO2 s’accompagne d’une baisse de la quantité d’oxygène. Seulement, cette baisse est insignifiante par rapport à la quantité globale : il y a 21% d’oxygène dans ’atmosphère alors le CO2 représente environ 0,04%(il représentait0,03% avant l’ère industrielle)


    • doctorix, complotiste doctorix 8 août 2011 16:54

      Pour répondre à votre question, concernant le calcaire, vous trouverez grand intérêt à la lecture des écrits d’un savant maudit, Louis Kervran, qui suppose que les animaux sont capables de transmuter n’importe quel élément ou presque.
      Ainsi, des poules privées de calcium, produisant des œufs à coquille molle, voient du jour au lendemain leurs œufs se recouvrir de calcium si on leur donne des cristaux de mica, donc de la silice.
      Il me semble me rappeler qu’il affirmait que les invraisemblables quantités de calcaire fossilisé qui forment nos falaises provenaient de la transmutation de magnésium, surabondant dans l’eau de mer, en calcaire, par les petits animaux marins.
      Ayant dénié la nécessité d’une énergie colossale pour obtenir une transmutation, ce savant merveilleux a été enterré, tout comme ont failli l’être Pons et Fleishman pour avoir défendu la même idée.
      Pourtant, il est facile de vérifier qu’une poule, qui ne fréquente pas les savants, transmute la silice en calcium à moins de 40°C.
      « Tout le monde savait que c’était impossible : un imbécile, qui ne le savait pas, l’a fait ! »
      Il ne fait pas bon se mettre à dos la communauté scientifique et ses croutons bien assis sur leurs certitudes...
      Pour ceux qui oseraient prendre ce risque insensé, je vous offre cette saine lecture :
      http://www.claudegagnon.net/Kervran/AlchimieKervrantexte.pdf
      Mais ceci fera l’objet d’un futur article.


  • Daniel D. Daniel D. 7 août 2011 12:16

    Bien, je vais être plus précis alors.

    La nature des pétroles extraits actuellement prouve la nature multiple de ses formes. Il existe des gisements de pétrole abiotique et d’autres d’origine biotique.
    Toute théorie visant a dire qu’il n’y as qu’une sorte est fausse.

    Le procédé de création du pétrole du Dr Laigret, est reproductible par la nature.
    Le bacille perfringens est est celui qui donne la gangrène et il est présent partout, dans la terre, ainsi que l’air. En géologie, les couches sédimentaires diverses, les fossiles et leurs localisations prouvent quant a eux la possibilité d’avoir de grande masse organiques sur de faibles strates, entre des strates quasi sans sédiments.
     Entre les extinctions de masses les périodes de volcanisme important, les périodes a fort bouleversement géologique on peut imaginer comment des organismes biologiques se sont retrouvé dans un milieu anaérobique(sans air), on finit par se transformer naturellement ...

    La possibilité de la formation du pétrole de cette manière là a été prouvée, et ce par des scientifiques.

    Vos auteurs se trompent de guerre, c’est pas l’origine du pétrole la question, mais le fait que l’on pourrais ne pas utiliser celui piégé dans nos sols en le rajoutant a celui que nous utilisons dans notre cycle de vie.

    Nous modifions les conditions globales de la vie terrestre en restant sur ce rajout permanent de procédé carboné dans le cycle actif, plutôt que tourner sur un cycle fermé d’énergie carbone, ce que le procédé Laigret permet !
    On n’utilise pour le pétrole Laigret uniquement du carbone déjà présent dans le cycle biologique actif, aucun supplément ! Plutot que chercher a se flageller on pourrais penser durable ... Serais ce si choquant ?

    http://www.econologie.com/forums/du-petrole-renouvelable-par-jean-laigret-vt5802.html

    Regardez bien, plusieurs articles, des détails, le brevet, etc ...
    Ne désinformons pas, ne participons pas a de vaines choses, la Vérité est simple.

    Cordialement,
    Daniel


    • filendrick 7 août 2011 16:48

      merci, enfin un vrai commentaire qui parle du sujet, et avec un lien super interessant egalement.

      Je ne suis pas un défenseur du pétrole abiotique, surtout que je découvre le sujet ou presque.Mais les démonstrations présenté dans les liens source de l’articles, me paraissent assez précis, argumenté et démontrable.

      Je reste dubitatif quand au procedé du Dr Laigret, n’ayant pas peut en trouver le protocole, meme succin (je continue de chercher), il est seulement dit que la bacterie transforme la biomasse en pétrole. Et que c’est surement de cette maniere (encore une fois rien qui le prouve) qu’il s’est accumulé. Bon pourquoi pas, mais n’ayant trouvé aucunes infos sur la technique employée. (je trouve cela un peut leger, surtout qu’apparament le petrole synthétique reste peut utilisé il me semble)

      Mais bon pourquoi pas, je ne suis pas qualifié pour de toute facon.

      En revanche comparer a la qualité des informations et de la démonstration des techniques russo-ukrainniennes. Me paraissent beaucoup plus concretes. Pourquoi si cela fait 60 ans que l’on sait synthétiser du pétrole a partir de la biomasse, ne le fait-on pas ? (ratio ?procedé long ? couteux ? dangereux toxique ?)
      Les villes produisent une quantité industrielle de dechets (egout, produit de consommation jeté par les grandes surfaces)
      De mémoire c des millions de tonnes par ans de jeter, juste concernant les magasins.

      Si on pouvais tout mettre dans une cuve (ou plutot des piscines creusée, qu’importe), et attendre que cela se transforme pourquoi cela ne se fait t’il nul part ? (ou pourquoi tant de silence ? je ne suis pas au faite de tout non plus)


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