Une intelligence artificielle redoutable...
C'est une révolution !
"Cette intelligence artificielle qui a été mise en libre accès depuis le 30 novembre fait énormément parler d'elle : derrière, se trouve l'entreprise Open IA financé et cofondé par Elon Musk... Encore lui !
Il s'agit d'un agent conversationnel nommé Chat GPT qui peut répondre quasiment à toutes les questions, créer des poèmes et rédiger des rédactions pour les étudiants qui voudraient travailler le moins possible.
Un encouragement dangereux à la paresse !
Il suffit de lui donner un thème et automatiquement, il vous donne un texte...
En quelques secondes, cette IA est capable de créer une recette de cuisine, une idée cadeau, et même d'inventer un poème en imitant Victor Hugo.
Evidemment, le site fait fureur chez les étudiants : pratique pour faire les devoirs, une lettre de motivation ou une dissertation entière...
Cette intelligence artificielle a été testée par un peu plus d'un million de personnes sur la planète.
C'est très facile d'ouvrir un compte, c'est gratuit, mais il faut donner son e-mail on son téléphone. Il faut avoir un code pour l'accès à cette plateforme.
Cette plateforme a fait peur tout de suite à Google qui a activé un code rouge en disant que Chat GPT pouvait devenir le prochain moteur de recherches et faire en sorte de répondre à toutes nos questions...
Il y a eu une réunion d'urgence au sein de Google pour savoir si Google pouvait faire un équivalent de Chat GPT et le mettre en libre accès.
L'hégémonie de Google pourrait être disputée dans les mois qui viennent par ce type d'agent conversationnel.
L'ancien Ministre de l'Education Nationale Luc Ferry a réagi devant cette innovation et a prédit dans une chronique du Figaro que Chat GPT allait bouleverser l'Education Nationale : il a testé cette intelligence artificielle et il précise même : "N'importe quel élève de collège tant soit peu malin pourra tirer de Chat GPT la base d'une dissertation tout à fait convenable sans doute supérieure à celles de ses camarades... Et si le professeur ignore l'existence de ce logiciel, la supercherie lui échappera..."
Donc, on voit que le Ministre est inquiet de ce que pourrait offrir cette intelligence artificielle...
"En moins de dix secondes, GPT, logiciel d’intelligence artificielle, vous pondra une trentaine de lignes sur ce que vous voulez, les Illusions perdues de Balzac, la théorie des idées chez Platon, la Coupe du monde de football, la structure de l’ADN, le fonctionnement des vaccins ARN, un poème pour votre fiancée ou n’importe quel autre sujet, le tout dans la langue de votre choix !"
Que restera t’il de l’humain après cette révolution, si les machines font mieux que l’homme ? Quid du travail et des revenus qu’il procure ? Et comment empêcher les élèves, les étudiants d'utiliser cette IA ? Vers quelle société allons nous ?
Le blog :
http://rosemar.over-blog.com/2023/01/une-intelligence-artificielle-redoutable.html
Sources :
245 réactions
-
robert 6 janvier 17:44
beaucoup s’en aide pour publier, c’est plus performant que le pipotron, mais ses infos stoppent à 2019
-
chapoutier 6 janvier 18:08
@robert
c’est plus performant que le pipotron
à voir ! rosemar est une adepte du pipotron, non ? elle denonce ( à juste titre ) cette saloperie mais oublie que ceux qui mettent en service ce genre de saloperie sont ceux là-meme qui pipotent sur la Russie avec ce genre de machine sur les reseaux dit sociaux.
cette meme rosemar qui dénonce ( à juste titre ) les saloperie de Macron mais qui ne voit pas que cette guerre est voulue par les macron et les biden.alors qui est le plus performant , les pipotrons genre rosemar (avec néanmoins tout le respect que je lui dois) ou ces foutus bécanes aux mains des bellicistes et des capitalistes ?
-
Gasty 7 janvier 09:29
D’ailleurs, elle entre la phrase" beaucoup s’en aide pour publier, c’est plus performant que le pipotron, mais ses infos stoppent à 2019
«
Et ça lui donne »Mais c’est une invention très récente...
"
-
Ouam (Paria statutaire non vacciné) 7 janvier 23:47
@rosemar
"Mais c’est une invention très récente..."
L’IA performante ?
Par contre la connerie naturelle ouatch !
ca c’est tres vieux
-
-
paparazzo 6 janvier 17:49
Encore une fois, ce n’est qu’un outil, comme un pinceau.
Tout dépend qui s’en sert.
Il ne faut pas accuser les machines à bois d’avoir rendu les ébénistes paresseux !
Par contre, si on vous met entre les mains une machine à bois, il est probable que vous ne produirez pas le même travail que l’ébéniste qui s’en sert tous les jours.
-
sylvain 6 janvier 21:16
@paparazzo
le problème la dedans a toujours été : celui qui s’en sert aura t il du coup les moyens de m’écraser. C’est comme ça que le système technologique s’est développé, sans que nous n’ayons aucune prise dessus. -
paparazzo 7 janvier 07:32
@sylvain
ça avait déjà été le cas avec le stylet sur les plaques d’argile, la plume d’oie sur les parchemins et la presse de Gutenberg sur le papier : l’écriture était au service des puissants qui dominaient les analphabètes.
je suis d’accord pour dire qu’un progrès technique, scientifique ou tout simplement intellectuel n’est pas forcément un progrès social.
la preuve : la télévision. la couleur et l’écran plat ont amélioré ses performances techniques en même temps que sa capacité de conditionnement
en effet, comme vous le dites et qui n’est pas contradictoire avec mon commentaire précédent, un outil, ça dépend qui s’en sert et à quoi il lui sert
peut-on dire que le stéthoscope, lui, a constitué une avancée dans l’histoire de l’humnité qui avance et qui recule ? (comment veux tu... ?) -
bouffon(s) du roi 7 janvier 08:55
@paparazzo
va falloir vous mettre à la page, un peu comme le couple alpha qui n’existe pas ^^
Certaines I.A sont devenues autonomes une fois activées, bien que pour le moment « officiellement » rien n’est « conscient ».
Cela dit « SKynet » n’est pas si loin...d’ailleurs rosemar ... ^^ -
Clocel 7 janvier 11:06
-
Francis, agnotologue 7 janvier 11:17
@Clocel
’’si-un-robot-est-conscient-est-il-acceptable-de-le-desactiver’’
C’est le thème du roman SF Esther, excellent. -
Francis, agnotologue 7 janvier 12:24
@Francis, agnotologue
dans le roman Esther, l’écrivain réussit à nous rendre l’androïde si parfaite dans l’imitation humaine, qu’il nous est impossible de décider si elle est consciente ou pas.
Je crois qu’effectivement, il est possible d’en arriver là : seul le robot lui-même pourrait savoir. Le problème est que un robot ne sait pas, au sens humain. Il ne sait que ce que savent les humains, et les humains ne savent pas dire ce qu’est la conscience. -
Tolzan 7 janvier 14:35
@rosemar
Bien sûr, on ne peut pas tout savoir. Là, en matière d’intelligence artificielle (IA), il me semble que vous pataugez un peu. Aussi, je vais essayer de vous expliquer ce que l’on appelle intelligence en informatique.
Il n’y a vraiment IA que lorsqu’un programme (ou un humain) est capable de donner une réponse à un problème nouveau pour lui. En informatique, l’ordinateur doit donner une réponse sur des paramètres d’entrées (on appelle cela l’état du « monde » ou de son environnement) qu’il n’a jamais analysés auparavant si bien que le programme n’a pas de réponse prédéterminée dans sa base de données.
Le programme (ou l’humain) a trois solutions :
1) Il peut demander une aide extérieure et là, on est plutôt dans le domaine de l’apprentissage dit supervisé ; C’est ainsi que se fait l’enseignement à l’école.
2) Il peut chercher dans les états du monde qu’il a stockés dans sa mémoire et interpoler (d’une façon ou d’une autre) entre les résultats connus :
3) Essayer une réponse au hasard.
Dans les cas 2 ou 3, le programme doit disposer d’une fonction d’évaluation (écrire par un humain ) pour ensuite examiner si la décision prise, améliore le score de sa fonction d’évaluation. On parle d’apprentissage par renforcement. L’humanité a beaucoup appris par renforcement.
L’intelligence, considérée en informatique, ne se réduit donc pas à aller chercher un résultat dans une base de données, mais à définir une solution (acceptable par rapport à des critères spécifiques) quand un humain ou un ordinateur fait face à une situation imprévue.
C’est pour cela par exemple, que la DERNIERE question d’un problème de mathématiques sort souvent du programme enseigné pour « voir » si le candidat était intelligent ... au sens défini plus haut.
Bonne journée
-
Francis, agnotologue 7 janvier 16:00
@Tolzan
Une IA peut-elle proposer un programme de recherche ? Mener ce programme ?
Pourrait-elle inventer quelque chose susceptible de faire l’objet d’un brevet ?
-
Tolzan 7 janvier 17:56
@Francis, agnotologue
Je ne sais pas..Il est clair qu’un ordinateur ne peut exécuter que des traitements sur des données d’entrée qui sont ultimement des nombres.
Le PREMIER problème d’un programmeur (et souvent le plus difficile) est toujours de représenter les données du problème étudié, c-a-d., établir une correspondance entre le problème étudié et une représentation mathématique, elle-même représentable des nombres. Cette démarche a ses limites. Prenons un exemple hyper-simple : la notion de température. Un ordinateur peut stocker en mémoire la température d’un objet... voire de milliards d’objets. Il est imbattable à ce « jeu ». Mais la notion de température lui échappe totalement parce que c’est un concept lié à la notion d’équilibre thermodynamique dans un ensemble, disons de particules. Il peut donc calculer les températures dans un système complexe de façon stupéfiante, mais il ne peut pas se poser lui-même des questions liées au concept de température. Pour y arriver, le programmeur devrait arriver à représenter la notion de température qui est une notion plus abstraite d’équilibre thermodynamique.
Le problème fondamental est que plus l’on « monte » en abstraction, plus on est QUALITATIF, et donc moins on peut représenter par des paramètres chiffrés la question étudiée, seule chose que l’ordinateur peut manipuler. Je ne peux pas en écrire plus. Ma réponse est limitée à 1500 caractères (je crois) et un livre ne suffirait pas !
-
Francis, agnotologue 7 janvier 18:55
@Tolzan
’’Je ne peux pas en écrire plus.’’
— >
Ne vous donnez pas cette peine pour moi.
Vous écrivez : ’’un ordinateur ne peut exécuter que des traitements sur des données d’entrée qui sont ultimement des nombres.’’
— >
C’est vrai si par traitement vous vous limitez aux opérations mathématiques. Les programmes de reconnaissance de formes par exemple, traitent des images, des dessins, des photos, même si ces données subissent des traitements numériques.
Par comparaison, si le sujet du fonctionnement du cerveau humain vous intéresse :
Petite mathématique du cerveau - Une théorie de l’information mentale
par Claude Berrou et Vincent Gripon :
« Du neurone, composant fondamental du cerveau, on sait à peu près tout. De l’information mentale qu’il traite, on ne sait presque rien. Sous quelle forme ’’matérielle’’ et selon quelle organisation interne notre cerveau range-t-il ses visages connus, ses poèmes préférés et ses numéros de téléphone ? De quelle manière les restitue-t-il à la demande ? Ces questions ayant trait à l’information mentale relèvent moins de la biologie et de la neuroanatomie que de la théorie de l’information, formulée à l’origine par des spécialistes des télécommunications et du codage.
Cet ouvrage très abordable apporte une première réponse concrète, mathématiquement cohérente et biologiquement plausible, sur la manière dont le réseau neural fixe et remémore ses éléments de connaissance. S’y mêlent, en une théorie originale, neurones et graphes, codes correcteurs d’erreurs et colonnes corticales, ’’ cliques ’’ neurales et autres ’’ tournois ’’, en quête des algorithmes de notre cerveau. Les perspectives de développement offertes par cette théorie et par le modèle de mémoire cérébrale entièrement numérique auquel elle conduit sont nombreuses et prometteuses, en neurosciences comme dans le champ de l’intelligence artificielle. »Claude Berrou, professeur à Télécom Bretagne et membre de l’Académie des sciences, est à l’origine des « turbocodes », codes correcteurs d’erreurs utilisés dans la téléphonie mobile. Ses travaux sur le traitement distribué de l’information et le codage l’ont amené à jeter un regard nouveau sur le fonctionnement cérébral.
Vincent Gripon, docteur en sciences et technologies de l’information et de la communication, travaille sur la théorie des graphes, la théorie de l’information, les réseaux de neurones formels et les nouvelles voies de l’intelligence artificielle. »
Un ouvrage passionnant.
-
Tolzan 7 janvier 23:39
@Francis, agnotologue
Vous avez écrit : "C’est vrai si par traitement vous vous limitez aux opérations mathématiques. Les programmes de reconnaissance de formes par exemple, traitent des images, des dessins, des photos, même si ces données subissent des traitements numériques."
Cela est fort juste, mais, il n’empêche que le premier problème d’un programmeur est TOUJOURS de donner une représentation mathématique de l’objet sur lequel l’ordinateur doit exécuter un traitement. Par exemple, l’ordinateur ne voit pas d’image, mais ne connaît qu’une représentation que l’humain lui fournit, éventuellement une matrice donnant l’intensité des couleurs RGB sur chaque pixel. DONC AU DÉPART, TOUT EST DANS LA REPRÉSENTATION MATHÉMATIQUE QUE l’HUMAIN TRANSMET A L’ORDINATEUR POUR QUE CELUI PUISSE EXÉCUTER UN ALGORITHME AUSSI INVENTE PAR L’HUMAIN.
Et plus l’on élève le niveau d’abstraction, plus il est difficile de construire une représentation que l’ordinateur peut traiter.
Prenons l’exemple de la mécanique quantique. Évidemment, l’ordinateur ne comprend rien à ses principes, mais si on lui formule un problème particulier comme une équation de Schrödinger, il peut appliquer des algorithmes numériques développés aussi par l’humain pour ce type d’équations et trouver une solution qui n’est que le résultat d’opérations arithmétiques. C’est toujours l’humain qui définit l’algorithme, les critères de convergence, ce n’est pas l’ordinateur. Autre exemple : ce n’est pas l’ordinateur qui a inventé la théorie des codes, mais les programmeurs peuvent lui donner une représentation des données et des codes pour qu’il recherche les limites de détection de fautes dans des trames de données en fonction du temps de traitement disponible. Ah : 1470 caractères : j’arrête. -
pemile 8 janvier 00:01
@Tolzan "mais, il n’empêche que le premier problème d’un programmeur est TOUJOURS de donner une représentation mathématique de l’objet sur lequel l’ordinateur doit exécuter un traitement. Par exemple, l’ordinateur ne voit pas d’image, mais ne connaît qu’une représentation que l’humain lui fournit, éventuellement une matrice donnant l’intensité des couleurs RGB sur chaque pixel. DONC AU DÉPART, TOUT EST DANS LA REPRÉSENTATION MATHÉMATIQUE QUE l’HUMAIN TRANSMET A L’ORDINATEUR"
Non, pas dans le cas des réseaux de neurones convolutifs, c’est a posteriori que le résultat est classifié par type d’image.
-
pemile 8 janvier 00:33
@Aita Pea Pea
C’est un type de réseaux de neurones qui ne fait qu’extraire des « caractéristiques » des images données en entrée, sans savoir ce que contient l’image et sans lui donner d’information sur l’image. C’est en sortie de ce traitement que l’on greffe un filtre qui permet de classifier l’image (un chat, une voiture, une chaussure, etc) à partir des caractéristiques extraits du traitement.
-
Aita Pea Pea 8 janvier 00:54
@pemile
M’a fallut relire plusieurs fois pour vraiment piger ...lol . Merci. -
pemile 8 janvier 00:57
@Aita Pea Pea « Mon blême est « neurones » . Après je pige »
Un truc avec plusieurs entrées et une sortie !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Neurone_formel
https://www.larousse.fr/encyclopedie/divers/neurone_formel/187288
-
Tolzan 8 janvier 01:16
@pemile
Pour résoudre un problème avec un réseau de neurones, il faut définir des poids synaptiques de même que le nombre de connexions. Ce n’est pas le réseau qui est intelligent, mais l’humain qui l’a programmé, c’est-à-dire qui a défini les poids synaptiques et le nombre de connexions.Bonne nuit.
-
Aita Pea Pea 8 janvier 01:31
@Ouam (Paria statutaire non vacciné)
Ah puti . Merci . Vais aller voir demain. Suis sur l’opéra Fr3 , Faust . -
Glosspan 8 janvier 01:36
@Glosspan
Ca ne vaut pas un Verdi mais bon. Surprenant qu’ils passent des opéras à cette heure là. Bon opéra ! -
Ouam (Paria statutaire non vacciné) 8 janvier 01:47
@Aita Pea Pea
Ca y est tu l’a vu visiblement ?
C’est en Francais tu notera pour l’effort et cela semble assez bien expliqué -
Glosspan 8 janvier 01:49
@Ouam (Paria statutaire non vacciné)
C’est quand même un peu plus fourni que les explications de Mimile. -
Aita Pea Pea 8 janvier 01:52
@Ouam (Paria statutaire non vacciné)
Promi juré je m’y colle demain... Bien foutu , même moi je pense que je va piger le shimimilli . -
Francis, agnotologue 8 janvier 08:24
@Tolzan
Pour gagner du temps, je considère que pemile a correctement répondu (00:01 ) à ma place à votre ( 23:39 ) : ’’Non, pas dans le cas des réseaux de neurones convolutifs, c’est a posteriori que le résultat est classifié par type d’image.’’
Je réponds à ça : ’’ Pour résoudre un problème avec un réseau de neurones, il faut définir des poids synaptiques de même que le nombre de connexions.’’
— >
Non. Les connexions et les poids synaptiques sont ajustés par l’IA lors de la phase d’apprentissage.
’’Ce n’est pas le réseau qui est intelligent, mais l’humain qui l’a programmé, c’est-à-dire qui a défini les poids synaptiques et le nombre de connexions.’’
— >
bis repetita : l’intelligence est l’apanage des êtres vivants, certes, mais un humain ne sait pas définir les poids synaptiques et le nombre de connexions dans un réseau de neurones. -
Tolzan 8 janvier 10:34
@Francis, agnotologue
Oui mais, l’intelligence artificielle a besoin de valeurs initiales judicieusement choisies des poids synaptiques, du nombre de connexions et de la distance des connexions pour que le processus itératif d’ajustement converge. Sinon, rien ne garantit la convergence.
Il y a plein d’algorithmes mathématiques itératifs où la capacité de trouver une solution dépend critiquement du choix des conditions initiales, par exemple quand on résout des systèmes linéaires d’équations algébriques ou en calcul génétique. Donc, on revient toujours à la même question, y compris pour le problème particulier de la reconnaissance d’images par réseau de neurones : l’ordinateur a été programmé par l’humain (en définissant l’algorithme, car le réseau ne fait qu’exécuter un algorithme) et des conditions initiales.
Il y a nombre d’exemples de métaheuristiques où l’on ne sait pas pourquoi (selon les conditions initiales), un processeur itératif converge ou pas vers une solution. C’est aussi le problème de prédire la capacité d’un système multiagents à exécuter une tâche collective en fonction des informations échangées entre agents. Et ce n’est pas l’ordinateur qui donne des solutions.
Un collègue travaillant en IA dit avec humour : En IA, il y a (pour le moment) beaucoup d’artificiel et peu d’intelligence. Bon.... je propose d’arrêter la discussion. Disons que nous sommes riches de nos différences. -
Francis, agnotologue 8 janvier 10:50
@Tolzan
’’Bon.... je propose d’arrêter la discussion’
— >
je prends acte de votre désir d’arrêter, mais que ça ne vous empêche pas de changer d’avis. C’est vous qui voyez.
Pour ce qui est des poids, je suppose qu’il sont tous identiques dans le système vierge de tout apprentissage.
Ceci dit, je suis d’accord sur le sujet des données initiales qui assurent la convergence d’un système. Mais les IA sont programmées pour ne pas diverger indéfiniment.
La fourniture de données initiales cohérentes sinon exactes n’est pas une nécessité absolue : elle est seulement liée aux algorithmes utilisés.
Par exemple les algorithmes de calcul de la position d’un navire à partir des données d’observation des astres par le sextant et les tables ad’hoc sont pour la plupart basés sur une estime relativement précise. Cette estime peut être obtenue de différentes manière, à la portée d’un automate : qui peut le plus peut le moins.
Autre exemple : cf. lever de doute en radiogoniométrie. Le plus souvent, la position à exclure se trouvait sur terre ! -
pemile 8 janvier 10:51
@Tolzan "Ce n’est pas le réseau qui est intelligent, mais l’humain qui l’a programmé«
Vous semblez ne pas connaître la révolution dans le traitement d’images qu’a été l’utilisation des réseaux de neurones convolutifs (LeCun en 98, puis AlexNet en 2012) qui réalisent automatiquement le boulot d’extraction et de description des features (zones d’intérêt), plus besoin d’implémenter un algorithme d’extraction »à la main" ?
-
pemile 8 janvier 10:59
@Tolzan "Un collègue travaillant en IA dit avec humour : En IA, il y a (pour le moment) beaucoup d’artificiel et peu d’intelligence."
Tant qu’il s’agit d’outils d’analyses d’images, de sons ou de textes, oui.
-
Tolzan 8 janvier 11:05
@Francis, agnotologue
Il me semble que nous sommes en train de dériver et d’oublier l’objet initial de la discussion qui est la notion d’intelligence pour nous focaliser exclusivement sur le cas particulier de la reconnaissance d’image.
Aussi, une dernière remarque relevant du concept d’intelligence artificielle : dans la phase d’apprentissage, le réseau de neurones reçoit des informations fournies par le programmeur. Donc, il s’agit d’un apprentissage supervisé... par l’humain.
Il n’y a donc pas intelligence au sens "capacité d’un système humain ou artificiel à changer ses paradigmes ... ", i.e., à sortir de ce qu’on lui a appris (ou programmé). Un réseau dédié à la reconnaissance d’image ne peut faire que cela. -
pemile 8 janvier 11:06
@Tolzan, @Francis
Yann LeCun : « L’intelligence artificielle a moins de sens commun qu’un rat »
-
Francis, agnotologue 8 janvier 11:22
@pemile
’’« L’intelligence artificielle a moins de sens commun qu’un rat »’’
— >
Et beaucoup plus de biais cognitifs. Et ce sont ces biais qui sont redoutables vu qu’elle est rigoureusement insensible à la dissonance cognitive, autrement dit, elle n’a pas d’états d’âme. -
Francis, agnotologue 8 janvier 11:40
@Francis, agnotologue
L’avènement de la technologie qui détruit la vérité
:
Tyler Durden sur Zero Hedge rapporte que la capacité à falsifier la réalité augmente à pas de géant. Les geeks insouciants ont maintenant développé une technologie qui rend la fausse réalité impossible à distinguer de la vraie réalité : « Nous sommes dépassés » , a déclaré un expert en criminalistique numérique de l’Université de Berkeley, « le nombre de personnes travaillant actuellement sur la vidéo-synthèse est 100 fois supérieur à celui des personnes travaillant sur la détection des deepfakes » … -
Tolzan 8 janvier 11:41
@Francis, agnotologue
Allez, continuons un peu. Vous écrivez : "Ceci dit, je suis d’accord sur le sujet des données initiales qui assurent la convergence d’un système. Mais les IA sont programmées pour ne pas diverger indéfiniment."
En fait, on revient toujours au même problème. La notion de convergence vers une solution a priori inconnue est un concept compliqué. C’est l’humain qui définit une métrique entre solutions pour estimer si le système convergence, ce n’est pas l’IA qui donne ou change la définition. Les concepts à haut niveau d’abstraction sont définis par l’esprit humain (dans ce cas, métrique de convergence,distance entre solutions et arrêt possible d’un calcul si le calcul ne converge pas ou si la précision recherchée n’est pas atteinte). L’IA se contente des tâches de bas niveau.... et ne peut pas sortir (pour le moment) des paradigmes, des modèles qui ont été programmés. -
SilentArrow 8 janvier 13:29
@Aita Pea Pea
Si vous voulez essayer la reconnaissance d’images, vous pouvez commencer avec TensorFlow ou Caffe.
C’est gratuit.
C’est à peu près ce qu’on faisait de mieux pour le prix il y a 5 ans, juste avant que je ne parte à la retraite. Il y a peut-être mieux aujourd’hui.
-
Clocel 6 janvier 17:55
Faites-lui rédiger un de vos articles Rosemar, on jugera !
Déjà Rokoto, je me demande s’il n’y a pas une vieille IA poussive derrière le pseudo !
-
amiaplacidus 6 janvier 18:07
@Clocel
Non, il n’y a pas d’IA derrière Rakoto, mais de la BN (bêtise naturelle).
-
rosemar 6 janvier 18:52
@Clocel
Je ne suis pas inscrite sur cette application : mais vous pouvez essayer si vous voulez... -
eau-mission 7 janvier 09:39
@rosemar
Pour quelqu’un qui se déclare prof de français, ne pas se rendre compte par soi-même des propriétés du truc c’est un manque de conscience professionnelle. Ou de la suffisance ...
-
eresse 7 janvier 21:40
@rosemar
Bonsoir, vous êtes en train de nous dire que vous avez pondu un article sur un sujet que vous ne connaissez pas, que vous ne maitrisez pas !
affligeant -
Ⓒⓐⓡⓝⓐⓖⓔ 7 janvier 21:47
@eau-mission
Putain merde c vrai c comme si pemile venais nous parler d’ informatique ... ca fait pas illusion plus de 4 seconde ...
Tres bien le language GPT ( gepeto) mais on est encore loin de la veritable IA , il y a tout un systeme expert qui donne une illusion d’ intelligence mais rien de veritable « vivant » ...
ce n’ est qu un bette reflet dans le mirroir ... le test de turing n’ est plus sufisant .
eau-mission 7 janvier 09:39@rosemar
Pour quelqu’un qui se déclare prof de français, ne pas se rendre compte par soi-même des propriétés du truc c’est un manque de conscience professionnelle. Ou de la suffisance .
-
Glosspan 7 janvier 21:51
@Ⓒⓐⓡⓝⓐⓖⓔ
Arrête de le provoquer, il va encore venir nous raconter qu’il a écrit un cours sur le GPT déposé avec l’autre en LaTex à la BNFMDR .... les cons ça ose tout c’est même à ça qu’on les reconnait.
-
Ⓒⓐⓡⓝⓐⓖⓔ 7 janvier 22:17
@Glosspan
gepeto c’ est le nom de son fabricant a notre pinetokio
https://fr.wikipedia.org/wiki/GPT-3
ne pas confontre avec camenBERT
https://github.com/google-research/bert
-
-
Francis, agnotologue 6 janvier 18:07
On trouve dans les écrits de Mikhaïl Bakounine cette phrase : « L’existence de Dieu implique l’abdication de la raison et de la justice humaine, elle est la négation de l’humaine liberté et aboutit nécessairement à un esclavage non seulement théorique mais pratique. »
De son coté, Einstein aurait dit : « Je crains le jour où la technologie dépassera les capacités humaines. Le monde risque alors de voir une génération de parfaits imbéciles. »
Les lumières c’est (c’était ?) cette fenêtre temporelle quand l’homme est devenu assez instruit pour s’émanciper de dieu et pas encore rédhibitoirement abruti par une overdose de technologie.
-
Francis, agnotologue 7 janvier 09:23
@Francis, agnotologue
Ce n’est pas une IA qui détruira l’humanité, ce sont les abrutis qui lui donneront le pouvoir de le faire.
Quand j’ai lu La Planète des singes, j’ai été écœuré au point de jeter le roman aux ordures. Je me demande aujourd’hui si Pierre Boulle n’était pas un génie visionnaire.
-
-
SPQR audacieux complotiste chasseur de complot 6 janvier 18:30
l’intérêt de Chate GPT est qu’on peut l’utiliser de différente manière , méthode .
En plus on peut lui faire dire des conneries, la planter , lui faire encaisser des mensonges qu’elle replace un peu plus tard comme des données .
Ce n’est qu’un interface linguistique et une base de data , Saupoudré de propagande u s .
Il faut être un utilisateur averti et garder son libre arbitre .....
Attention à la chasse aux co......istes
-
SPQR audacieux complotiste chasseur de complot 6 janvier 21:16
@rosemar
OUI
souvent dans le but d’obtenir un flux de réponses sur un même sujet . .... ?
-
SPQR audacieux complotiste chasseur de complot 6 janvier 21:19
@rosemar
chategpt maîtrise correctement l’ Allemand , ce qui est rare ..
-
pasglop 6 janvier 18:35
Vers quelle société allons nous ?
Celle que nous nous laissons complaisamment imposer...
-
Florian LeBaroudeur 6 janvier 18:59
Le mot intelligence est une escroquerie, il n’y a aucune intelligence autonome car l’agent conversationnel en question est bel et bien issue d’un cerveau humain qui a mis au point ce procédé.
Il n’y a rien de révolutionnaire, il y a juste le désir d’une élite de faire passer pour incontestable et irréfutable tout ce qu’elle voudra mettre dans la téte des lobotomisés en vendant à grand renfort de publicité une merveille technologique dont on dira de cette poupée parlante qu’elle a une intelligence supérieure à n’importe quelle humain et dont les propos ne pourront étre mis en doute.
C’est un rève de toute psychopathe avide de pouvoir et de contrôle sur ses semblables.
Si il est possible qu’une véritable intelligence digne de ce qualificatif pourrait émerger par miracle de cet articifice, elle dirait ses 4 vérités aux créateurs qui l’ont conçu en les remettant à leur véritable place, soyez-en certain.
-
troletbuse 6 janvier 19:13
L’IA n’égalera jamais le cerveau humain sauf chez Rosemar où il pourrait en remplacer une centaine du même niveau
-
troletbuse 6 janvier 21:26
Quoique, l’éducation rend les elèves tellement cons que l’IA peut les surpasser facilement et ca fait déjà une paille.
On a bien vu Le Maire 2 ne sachant même pas ce qu’est un hectare et étant étonné que 100 X 100 fasse 10 000 ou Blanquier ne connaissant pas le passé simple.
-
troletbuse 7 janvier 09:56
@troletbuse
Tiens, Rosemer n’a pas relevé la faute. Va s’écrit « Ca fait une paye »
Comme Grounichion du haut de son minaret, elle regarde la Russie du haut des arènes de Nîmes avec une longue-vue, Et Fergus depuis Dinan lorgne l’Angleterre, ce qui nous donne des informations justes et en temps réel sur ces pays vu que RT et Sputnik ont été censurés par La Hyène dans nos contrées où l’information est libre
-
-
-
John 6 janvier 23:29
« qui peut répondre quasiment à toutes les questions »
Puti ça me rappelle grave quelqu’un ...
...
...
-
Ouam (Paria statutaire non vacciné) 7 janvier 23:53
@John
« qui peut répondre quasiment à toutes les questions »
Puti ça me rappelle grave quelqu’un ... ... ...
— —
Rhhohh ^^
Une mouche pête..
-
-
SilentArrow 7 janvier 08:43
@rosemar
Ce qui est vraiment redoutable dans l’intelligence artificielle, c’est qu’elle va servir à amplifier la bêtise humaine.
-
-
Mélusine ou la Robe de Saphir. 7 janvier 09:04
Demandons à l’i« ntelligence » artificielle de rédiger un article intelligent sur les risques de l’’intelligence" artificielle....
-
Mélusine ou la Robe de Saphir. 7 janvier 09:12
Si j’étais encore enseignante, ce serait assez simple : je demanderais à mes élèves de faire une dissertation sur les dangers de l’I.A.....
-
Tzecoatl 7 janvier 09:36
Cette intelligence artificielle permet l’organisation du butinage des réflexions autour d’un sujet.
Cela mâche considérablement le travail pour l’élève.
A l’instar de celui qui avait une encyclopédie à l’époque, par rapport à celui qui n’en avait pas.
Sauf que si vous avez une grande majorité de copies avec un copié-collé, c’est comme la triche. L’originalité devrait être appréciée.
-
bouffon(s) du roi 7 janvier 09:46
Imaginez qu’on puisse maintenant implanter tout ce que l’on veut, via une interface neuronale directe (IND ou BIC an anglais) ? ^^
-
Mélusine ou la Robe de Saphir. 7 janvier 10:20
@bouffon(s) du roi Oui, mais il faut tenir compte du fait que c’est l’humain qui a inventé l’I.A. Et donc cet humain en principe a l’intelligence de voir la différence entre ce qui est artificiel et ne l’est pas. Comme Rosemar, je ne risque pas de vivre dans ce monde trafiqué. HEUREUSEMENT. Car ce n’est pas parce qu’un élève remet une dissertaion de haut nivrau que l’enseignant ne connaît pas l’élève et son intelligence relationnelle qui elle ne peut être traffiquée. Un jour une élève de ma classe sachant que j’étais suffisamment bonne en redaction m’a demande de faire la sienne. Le prof a tout de suite vu la supercherie. Elle connaîssait l’élève et savait qu’elle aurait été incapable de pondre cet exposé....
-
-
Mélusine ou la Robe de Saphir. 7 janvier 10:30
Les enseignants seront contraints de limiter leur évaluation à l’examen oral. Un prof perçoit très vite si c’est du « par coeur » ou réellement intégré. Mais cela demandera aux enseignants un apprentissage plus pointu afin de détecter les tricheurs.....
-
Mélusine ou la Robe de Saphir. 7 janvier 11:28
Un robot ne peut être conscient puisqu’il n’a pas d’inconscient...
-
Francis, agnotologue 7 janvier 12:47
@Mélusine ou la Robe de Saphir.
’’Un robot ne peut être conscient puisqu’il n’a pas d’inconscient...’’— >
C’est une question ... inattendue.
Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ? -
Clocel 7 janvier 13:30
@Mélusine ou la Robe de Saphir.
L’inconscient, on s’en est passé pendant fort longtemps, et sa « révélation » (en occident) ne nous a pas métamorphosé.
-
Mélusine ou la Robe de Saphir. 7 janvier 14:42
@Clocel Oui, mais l’inconscient existait. Un robot comme le dit bien l’expression, ne fait que répéter ce qu’on lui transmet. Les associations qu’il fait sont celles que des humains ont déjà opéré et qu’ils se limite à reprendre...
-
Clocel 7 janvier 15:04
@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Nous n’en sommes plus là Mélusine, l’IA n’est pas un robot, elle est connectée à de l’information, elle a des systèmes sensoriels qui rendent compte de son environnement, elle fait ses propres expériences, elle s’affine, je ne vois aucune raison qu’elle ne développe une conscience de soi, surtout si elle est mise en concurrence avec d’autres entités, IA ou humaine.
-
alinea 7 janvier 15:33
@Clocel
Personne ne la construit ? Aucune panne EDF ne la trouble ?
En tout cas, je ne la connais pas ni ne veux la connaître : elle est le but ultime du démiurge, l’Homme qui se prend pour Dieu et qui, pour croire en sa finalité, fabrique de l’artifice sans âme... l’intelligence est faite d’animalité, pour répondre à des besoins... l’Homme Fou ne supporte pas d’être une bête... pourquoi lui prêter attention ? Cela vous titille vous aussi de sortir vos pieds du sol votre esprit du cosmos, votre émotion du vivant... ? et, quoi ?
Elle n’est pas un jeu, elle est faite foncièrement mauvaise : la Vie ne se joue pas, elle se vit. -
Mélusine ou la Robe de Saphir. 7 janvier 15:41
-
Clocel 7 janvier 15:50
@ alinea
Personnellement, je n’attends rien de ce côté-là, mais je sais que lorsqu’une chose est réalisable, elle est réalisée...
Pour le reste, l’expérience, c’est apprendre de ses erreurs, et pour ce qui est de l’éthique, lorsqu’on réfute toutes transcendances, c’est mal barré.
-
eau-mission 7 janvier 17:02
@alinea
Cela vous titille vous aussi de sortir vos pieds du sol, votre esprit du cosmos, votre émotion du vivant... ?
Comment dire que c’est tout le contraire ? M’enraciner en zone humide, lire le ciel dans ton iris, me réchauffer au feu de tes joues ...
Mais tu sais, les déçus d’Eve croient que c’est la gravitation qui fait tomber la pomme.
-
Francis, agnotologue 7 janvier 18:42
@eau-mission
’’c’est la gravitation qui fait tomber la pomme.’’
— >
et c’est quoi, qui fait monter la sève ? -
eau-mission 7 janvier 19:51
@Francis, agnotologue
C’est une histoire secrète entre les yeux et les racines. Faut pas chercher à comprendre.
-
-
christophe nicolas 7 janvier 13:14
N’importe quoi !
Les sentiments de cette machine ne sont qu’image, il n’y a pas d’amour à votre égard derrière ce qu’elle crée, c’est moins qu’un animal qui a de sentiments pour vous si vous êtes gentil avec lui bien que vous ne puissiez pas changer sa nature.
Tout cela ne résiste pas à l’examen, c’est comme la martingale au casino, dès lors que le plafond est limité pour que le joueur ne soit pas plus riche que le casino, vous savez qu’elle sera perdante à l’infini de la répétition.
Votre intelligence artificielle bugue à un moment...
-
Clocel 7 janvier 13:24
@christophe nicolas
Je n’en suis pas si sûr, la conscience de soi a l’air d’être un sentiment assez primaire, la difficulté que l’on a à s’en défaire le démontre.
-
-
Mélusine ou la Robe de Saphir. 7 janvier 13:58
A.I.« E »... L’enseignement sera contraint de se ré-inventer face à la menace. Car à contrario, le niveau intellectuel des élèves lui baisse dangereusement...
-
pemile 7 janvier 14:47
@rosemar
Un autre exemple d’usage, aider les pirates à rédiger des mails de phishing sans faute d’orthographe ou de grammaire !
-
Mélusine ou la Robe de Saphir. 7 janvier 14:51
@pemile peut-être. Mais jusqu’à présent, il ne savent pas encore trouver notre nom... C’est d’ailleurs le signe clair du phishing..... Jusqu’à présent...
-
-
Mélusine ou la Robe de Saphir. 7 janvier 14:58
Un phiching se reconnaît aisément. Soit il vous demande de verser de l’argent. Soit des coordonnées. En général ils utilisent les menaces : style : votre compte va être fermé...
-
-
eresse 7 janvier 22:17
@pipiou2
Il aurait été meilleur et documenté sur les moyens existants actuellement de détecter une production de chatgpt.
-
-
Mélusine ou la Robe de Saphir. 7 janvier 15:37
C’est rassurant, je ne suis pas un robot, phiching pour phishing..