jeudi 5 juillet 2012 - par hommelibre

Un couple lesbien fait changer le sexe de son garçon

Le Daily Mail rapporte l’information : un couple de lesbiennes de Californie a décidé de faire changer de sexe à son garçon adoptif de 11 ans. Thomas, qui se fait désormais appeler Tammy, prend un traitement d’hormones depuis l’âge de 8 ans pour retarder sa puberté et le préparer à l’opération chirurgicale.

Selon la mère, le garçon a déclaré, tout petit, qu’il était une fille. Il aurait également tenté de mutiler ses parties génitales. Un diagnostic psychiatrique de désordre de genre a été posé. Le couple affirme qu’un tel désordre comporte un risque élevé de suicide, et qu’un changement de sexe avant la puberté est préférable pour l’enfant.

Le but du traitement hormonal est d’empêcher la puberté de se produire. Sa masculinité ne sera pas confirmée. Toutefois l’opération chirurgicale, qui serait simplifiée grâce au retard pubertaire, restera de sa propre décision. Le traitement hormonal actuel est réversible. Il suffirait de l’arrêter pour qu’il passe sa puberté et que sa masculinité soit entière.

Le garçon a été laissé libre de choisir ses habits et ses jeux depuis des années. Il a de lui-même choisi des habits de filles. Ses parents disent que depuis qu’il s’habille en fille il est bien dans sa peau.

Le changement de sexe et le sentiment de ne pas être psychiquement du genre biologique dans lequel nous naissons n’est pas exceptionnel, même si les personnes transgenre sont une infime minorité de la population. D’autre part les travestis ont toujours existé, montrant une passerelle entre les sexes. La théorie gender affirme que le genre, notion culturelle, est découplé du sexe, notion biologique. Les individus transgenres en seraient la démonstration. D'ailleurs, les hommes qui s'identifient au genre féminin restent génétiquement des mâles. On peut se demander comment ils gèrent le dédoublement censé les unifier. Mais c'est une autre question. Je la soulève ici au cas où de telles personnes voudraient y répondre.

Je conteste le découplage sexe-genre. Le genre culturel, qui codifie les comportements sociaux, est initialement construit sur le genre sexuel. Le masculin est identifié partout à l’homme, le féminin à la femme. La très faible proportion d’individus découplés ne permet pas de tirer une théorie générale. D’autant que les raisons du découplage ne sont pas connues. Il s’agit peut-être autant d’une particularité génétique non encore identifiée qu’un fait psychique.

Du point de vue psychique on peut se demander si le fait pour un garçon d’être élevé dans un couple lesbien peut avoir influencé son choix. Ce n’est ni certain ni démontrable. La plasticité et le mimétisme jouent un rôle jusqu’à un certain point. Il n’est pas rare de voir des garçons pré-pubères ou à peine pubères essayer les soutiens-gorges de leur soeur ou de s’imaginer femme et d’en prendre les attitudes dans un miroir. Il n’est pas non plus exceptionnel pour un homme d’avoir envie de ressentir comment une femme jouit sexuellement. Il y a une forme d’appropriation partielle de l’identité du féminin pour le connaître, parce que sa différence est si étonnante et si éloignée de soi. Cela ne conduit pas pour autant à un désir de changement dans l’identité de genre.

Je ne pense donc pas que le couple lesbien puisse à ce point influer sur le choix de l’enfant. D’autres enfants ayant un ou les deux parents homosexuels ne changent pas de sexe pour autant. Dans le cas précis on ne peut savoir exactement comment les parents se sont comportés avec l’enfant, et s’il y a eu une influence directe ou subliminale.

Un autre aspect de ce cas est la décision prise d’empêcher chimiquement la puberté masculine. Commencée à 8 ans on peut estimer que l’enfant a eu son mot à dire. Toutefois un tel changement, qui implique une reconnaissance sociale et civile totalement différente, doit-il être effectué si tôt ? Les mères affirment que c’est mieux pour l’enfant. Mais ce sont elles, majeures, qui prennent une décision grave pour lui, mineur. Le risque élevé de suicide dans ce type de désordre justifie selon elles d’avoir pris cette décision. On peut accepter cet argument même si le traitement entrepris est une mutilation (réversible, mais mutilation quand-même). Si un enfant développe une maladie qui exige de lui retirer la rate ou un membre pour qu’il reste en vie, les parents prendront la décision dans ce sens. C’est normal. Mais ici, l’enfant est-il en âge, à 8 ans, de bien évaluer les conséquences ? N’est-il pas encore dans le mimétisme parental ?

Ce cas soulève une autre question. Sans nier que le travestisme et le découplage de l’identité de genre existent, certains cas ne seraient-ils pas aujourd’hui pas favorisés par un déficit du masculin dans la société ? La différenciation sexuelle ne serait-elle qu'une erreur ?

A force de voir la virilité et la masculinité critiquées, culpabilisées, assimilées à la violence ; à force de neutraliser la différence de genre dans l’éducation et même d’en faire une théorie, n’arrive-t-on pas à une mise en cause profonde, grave, du masculin ? On sait déjà que les spermatozoïdes sont moitié moins actifs chez les hommes aujourd’hui. Si la culture efface toute identité masculine (qui existe aussi chez les homosexuels), on peut se demander simplement si notre société a encore un avenir.

Ce thème pouvant être très polémique merci de veiller à la tenue des commentaires.


La question du genre et sa critique est analysée et documentée à plusieurs endroits dans mon dernier livre :

FéministaCouv.jpg



151 réactions


  • bnosec bnosec 5 juillet 2012 12:46

    Pauvre gosse...


  • slipenfer 5 juillet 2012 13:22

    Adieu saussice


  • robin 5 juillet 2012 13:43

    ET je suppose évidemment que les gens qui s’insurgeront de ça passeront comme il se doit pour des homophobes arriérés d’extrême droite......la routine quoi.....terrifiant !


    • stanh 5 juillet 2012 14:18

      Heu non.
      C’est proprement aberrant .. ! Et la société californienne laisse faire ce genre de trucs sur un môme ?
      C’est un hoax ?


    • appoline appoline 5 juillet 2012 18:06

      Voilà où mène « il est interdit d’interdire », ces femmes sont très mal dans leur peau et à force de seriner cela devant un gamin, nous voyons le résultat. Un enfant doit être élevé par deux parents : père et mère sinon les repaires foutent le camp. Vouloir voter une loi sur le mariage homosexuel est une aberration tout bonnement, la société a toujours eu ses déviances mais de là à légiférer faudrait peut-être arrêter la déconade.


    • Aldous Aldous 6 juillet 2012 10:38

      Vous attirez l’attention sur le veritable problème de cette situation effrayante :


      Ces deux femmes ne sont pas toutes deux les mères de ce garçon.

      L’une au moins est un parent adoptif.

      Cela veux dire qu’il a quelque part dans ce monde un père naturel a qui on a escamoté sa paternité pour la remplacer par une seconde mère fictive.

      Il n’y a pas besoin d’etre psychiatre pour comprendre que le modèle paternel a manqué à cet enfant et qu’on lui a substitué un modèle d’amour où le masculin n’a pas sa place.

      Pour etre aimé de ses ’mères’ lesbiennes il lui faut doncre se conformer a leur goût : etre feminin.

      Ce cas illustre parfaitement pourquoi il ne faut pas légaliser l’adoption par des couples homosexuels : il y a un risque considerable pour le developpement psychologique de l’enfant du fait de l’impossibilité de disposer dans ses patents d’un modèle de virilité pour un garçon elevé par deux femmes ou un modele de féminité pour une fille elevée par deux hommes.

      On m’objectera que les orphelins de pere ou de mere nonplus. Certes, mais le modele existe dans la relation affective de l’enfant meme décédé, alors qu’ici il n’y a qu’un seul modele affectif et il ne peut s’y identifier puisque qu’il est lesbien alors que lui meme est destiné a devenir un homme.

      Bref, tout cela est de l’ordre de l’experimentation et du tripatouillage chose qu’on devrait s’interdire de faire avec des enfants.



  • foufouille foufouille 5 juillet 2012 13:46

    « On sait déjà que les spermatozoïdes sont moitié moins actifs chez les hommes aujourd’hui. »
    ca vient des produits chimique et des hormones dans la bouffe


  • bernard29 bernard29 5 juillet 2012 13:57

    On peut avoir du mal à comprendre qu’une mutilation ou une transformation physique ne soit pas de la décision de la seule personne concernée. Au minimum il faut attendre que l’enfant devienne adulte.

    mais une remarque en forme de question. 
    on peut en déduire de la volonté du couple de lesbiennes que pour des homosexuels le sexe et les attributs sexuels sont quelque chose d’essentiel, puisque pour correspondre a leur sensibilité il est nécessaire de changer physiquement de sexe. Ainsi donc le lien entre un personne sexuée masculin et une personne sexuée féminin est quelque chose qui dépasse une relation normale entre personnes. Un couple bisexuel est donc plus « extraordinaire » qu’un couple unisexuel ?


    • hommelibre hommelibre 5 juillet 2012 16:27

      Remarque intéressante Bernard. En effet on est à l’envers de la théorie gender qui découple la biologie et la culture. Ici, et pour tous les trans hormonés ou opérés, c’est en fait le contraire qui se passe : on « recouple » biologie et culture autrement. Cherchez l’erreur.


    • gordon71 gordon71 5 juillet 2012 16:40

      bonjour freeman


      Ce thème pouvant être très polémique merci de veiller à la tenue des commentaires.

       smiley

      à priori on démarre assez soft....

    • johnford johnford 5 juillet 2012 21:02

      Oui Bernard, surtout que l’enfant passe par des incertitudes , surtout lors de la puberté, qui peuvent le faire passer d’un « côté » ou de l’autre.


  • morice morice 5 juillet 2012 14:02

    Goetelen se nourrit d’infos TRASH, cela résume sa pensée ici...


    le Daily Mail comme source, il a de quoi tenir des siècles....

    c’est un journal ouvertement de DROITE, celle sui plaît tant à Gpetelen

    « The paper is generally critical of the BBC, which it says is biased to the left. »

    la radio, tous des gauchistes !

    dernier gag :
    • 2012, May : Carina Trimingham, the partner of former Secretary of State for Energy and Climate Change Chris Huhne, was ordered to pay more the £400,000 after she lost her High Court claims for damages for alleged breach of privacy and harassment against the Daily Mail. Huhne, whilst married, had an affair with Carina, who herself was in a lesbian civil partnership and then later left his wife Vicky Pryce for Trimingham. This and a series of other events involving Pryce and Huhne, led to his resignation from the Cabinet, both of them being arrested for perverting the course of justice and the criminal prosecution R v Huhne and Pryce.

    • comme quoi, les lesbiennes, il s’en accommode fort bien le journal que cite le gourou d’Agoravox... pourvu que ce soit assez trash...
    [edit]

    • ottomatic 5 juillet 2012 14:49

      « un môme trans »

      Y a vraiment de gros problèmes dans votre tête...


    • morice morice 5 juillet 2012 16:09

      Bof, les trans existent depuis toujours 


      on parle d’un ENFANT, actias et votre « bof » on s’en passera... vaut mieux, je pense pour ne pas devenir méchant...

    • Aldous Aldous 6 juillet 2012 10:56

      Appoline, vous avez raison de rappeler le principe de réalité.


      Il faut y ajouter ceci : On pourra triturer la loi dans tous les sens, il faudra toujours un homme et une femme pour faire un enfant.

      Le reste n’est que psychose.

      Il est intéressant de voir que plus on prétend idéaliser la nature moins on est disposé a en subir les lois.



  • Ornithorynque Ornithorynque 5 juillet 2012 14:50

    Puisqu’on vous dit que « toutes les études sérieuses » démontrent que le fait d’être élevé par deux parents de même sexe n’a AUCUNE influence sur le développement de l’enfant .

    Ce rappel au réel ne peut pas aller contre des études sérieuses !
    Tout de même !


    • appoline appoline 5 juillet 2012 18:16

      Aucune influence, je me demande bien le con ou les cons qui ont sorti une ineptie pareille, vous imaginez seulement avoir chopé l’un de vos parents au lit avec un copain ou une copine du même sexe ? Moi je peux vous dire que cela m’aurait fait grincer des dents et puis les copains et copines à l’école ? 

      Nous n’avons pas assez de recul ni suffisamment de jugeotte pour avancer une telle idiotie

    • Aldous Aldous 6 juillet 2012 10:43

      et toi tu devrais te renseigner sur le darwinisme social...


    • appoline appoline 6 juillet 2012 20:29

      @ Cadoudal,


      Si j’avais dû voir mon père se faire trombiner par un autre homme, je peux vous assurer que je n’aurais pas eu le même regard pourtant ma meilleure amie est homo mais elle sait et comprend que légiférer est une aberration.

  • Nums Nums 5 juillet 2012 15:36

    8 ans c’est bien trop jeune ! C’est même hallucinant qu’il soit légalement possible (en Zunie ou ailleurs peut-être) de faire ce qui est évoqué dans l’article.

    Il vaudrait mieux attendre la puberté donc les premiers frétillements d’hormones pour voir si l’ado sera attiré par le genre opposé à son genre actuel (masculin) et si finalement il ne se complait pas dans ce même genre actuel.

    • Mmarvinbear Mmarvinbear 5 juillet 2012 20:00

      Changer de sexe ? Ok.

      Mais pas si jeune.


    • Aldous Aldous 6 juillet 2012 14:09

      bah, ça peux pas venir du fait qu’elles son lesbiennes : l’une des maman fait visiblement l’effort de mettre une cravate pour que le petit ait un environnement quasi hetero !




  • akatasuna 5 juillet 2012 15:40

    Lu récemment  : "

    L’homoparentalité n’est pas l’égale de la parenté fondée sur le mariage hétérosexuel. Une étude capitale révèle que les enfants adultes de parents homosexuels et lesbiens subissent les conséquences économiques et émotionnelles de manière bien plus négative que les enfants élevés dans des familles biologiques intactes.

    La qualité de l’étude du Professeur Mark Regnerus, de l’Université du Texas, souligne les carences des études plus anciennes, sur lesquelles s’appuient les militants homosexuels pour obtenir un droit au mariage et à l’adoption aux couples homosexuels.
    « La prétention empirique, selon laquelle il n’existerait aucune différence importante, [entre parentalité homosexuelle et hétérosexuelle] doit disparaître », a déclaré le professeur Regnerus dans son étude publiée dans Social Science Research.


    • morice morice 5 juillet 2012 16:11

      Au final, il s’avère que les zétudes zaméricaines (et l’étude française de Stéphane Nadaud) ont une fâcheuse propension à cumuler les biais suivants :

          1. Les échantillonnages retenus sont ridiculement faibles : ainsi dans les articles recensés par Charlotte Patterson (psychologue militante de l’ »homoparentalité », elle-même lesbienne et élevant trois enfants), les questionnaires sont au nombre de 11 à 38… pour toute la population des Etats-Unis. L’ordre de grandeur est le même chez Stéphane Nadaud ;
          2. La quasi-intégralité des études porte sur la situation des enfants, négligeant celle des adolescents ou jeunes adultes alors que l’on peut penser que le devenir de ces enfants à ces âges-là est un enjeu véritable ;
          3. On interroge essentiellement (voire exclusivement, dans l’étude française) les adultes, qui sont nécessairement enclins à justifier leur mode de vie ;
          4. On interroge des adultes directement sélectionnés par des associations d’homosexuels (cas de l’étude française en particulier), bref des militants, qui se sentent une responsabilité politique dans leurs réponses ;
          5. La quasi-totalité des études ne compare pas la situation des enfants élevés dans des couples homosexuels à celle d’enfants élevés par des couples hétérosexuels mais étudie le comportement d’enfants élevés par une mère lesbienne au comportement d’enfants élevés par une mère hétérosexuelle seule ou ayant divorcé ;
          6. Ces études sont systématiquement univoques : elles conduisent toutes à considérer qu’il n’y a pas de différences entre les deux situations ou, lorsqu’elles en relèvent, c’est exclusivement en faveur des enfants élevés par des mères lesbiennes. Or, ceci n’est tout simplement pas possible, dans le cadre d’une répartition classique de la population selon une courbe de Gauss. Pour mémoire, personne n’affirmerait par exemple que tous les enfants élevés par des parents hétérosexuels vont mieux que des enfants dont un parent est homosexuel.

      Autant dire que ces études sont dépourvues de fiabilité


    • ottomatic 5 juillet 2012 17:08

      Morice, toujours en train de supporter coute que coute l’idéologie des frères maçons !


    • Henri Francillon Henri Francillon 6 juillet 2012 10:09

      Tiens, le collectif morice serait franc-maçon.
      Intéressant, et puisqu’on peut constater qu’il n’est ni franc, ni maçon, la probabilité est grande que vous ayez raison.


    • gordon71 gordon71 6 juillet 2012 10:15

      ni d’équerre ni très d’aplomb non plus

       le pauvre

       smiley


    • 雛罌粟 雛罌粟 25 octobre 2012 17:57

      Et, paru dans la même Social Science Research (numéro de novembre 2012), le compte rendu par le prof. Darren Sherkat (qui est membre de son Comité éditorial) du curieux processus qui a pu conduire à ce qu’un article aussi truffé d’erreurs soit publié.


      Il faut dire que — à en croire l’émotion de ces quelque 200 universitaires qui ont, dans une lettre ouverte au directeur de Social Science Research, demandé des explications — Regnerus n’y est pas allé de main morte avec les petites magouilles…

      Mais sans doute ce fils de pasteur calviniste, qui s’est converti au catholicisme juste avant de commencer son « étude », n’a-t-il cherché qu’à plaire à son principal mécène, le Witherspoon Institute, tentacule de l’Opus Dei.

    • 雛罌粟 雛罌粟 25 octobre 2012 18:01

      Texte copié-collé depuis le blog d’un catholique militant, qui régurgite ce que pense un théologien catholique des études sur l’homoparentalité…

      C’est dire si c’est profond !

    • 雛罌粟 雛罌粟 25 octobre 2012 18:26

      ☝☝☝☝☝☝☝

      Quand je parle de texte copié-collé je fais référence à ce qu’a écrit morice ci-dessus.

    • johnford johnford 5 juillet 2012 20:58

      Ben quoi elles ont changé d’avis en cours de route ; c’est comme changer de coque pour un smartphone voyons. Extrait d’une récente étude : "23% des enfants de mères lesbiennes étaient victimes d’abus par un parent ou un adulte, contre 2% chez les enfants issus de couples mariés" ; on sait peut-être pourquoi elles veulent une petite fille au lieu d’un garçon.. vue la folie de leur acte ça ne serait pas étonnant..


    • Romain Desbois 5 juillet 2012 23:27

      C’est facile de sortir des études sans en donner la source.

      C’est même minable.

      La plupart des viols sur enfant sont du fait de parents proches de l’enfant, est-ce que vous allez déduire qu’il faut interdire aux parents d’élever leurs enfants ?


    • johnford johnford 6 juillet 2012 00:27

      http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0049089X12000610
      Désolé pour un article en français je n’ai trouvé ça que chez de vilains catholiques attachés à des valeurs rétrogrades (genre « la vie c’est sacré » etc.. ah ah) : Lien

      Un enfant pour se construire psychologiquement a besoin idéalement d’un père et d’une mère. Penser au bien-être de l’enfant avant toute chose c’est mal ?


    • Aldous Aldous 6 juillet 2012 10:50

      le bien... le mal...


      C’est bien relatif tout ça.

      On fait bien des bombardements humanitaires et on a des philosophes pour nous expliquer leur bienfaits.

      pauvre epoque !

    • 雛罌粟 雛罌粟 25 octobre 2012 18:18

      johnford : « 23% des enfants de mères lesbiennes étaient victimes d’abus par un parent ou un adulte, contre 2% chez les enfants issus de couples mariés ».

      Sauf que… ce ne sont pas des « enfants de mères lesbiennes » mais des personnes interrogées qui, à la question From when you were born until age 18 (or until you left home to be on your own), did either of your parents ever have a romantic relationship with someone of the same sex ?” ont répondu Yes, my mother had a romantic relationship with another woman”.
      S’il suffisait d’avoir eu — ne fût-ce qu’une fois dans sa vie — une expérience avec une personne de même sexe pour être homosexuel, ça se saurait…

      Qui plus est il n’y a, dans l’« étude » bidon de Regnerus quasiment aucun répondant qui ait effectivement été élevé par un couple de deux femmes ou par un couple de deux hommes.
      Et ça c’est lui-même qui le déclare sur son blog ; par exemple il n’a trouvé que 2 (deux !) cas de répondants ayant été élevés de la naissance jusqu’à 18 ans par leur mère et la compagne de celle-ci… Si on réduit l’intervalle de la naissance à 15 ans, on peut encore en ajouter deux.
      Regnerus va même jusqu’à ajouter que — pour ce petit nombre de répondants élevés par un couple homo stable — les « performances » sont les mêmes que celles des « enfants IBF » (Intact Biological Families).

  • Zobi Aldo Rifort 5 juillet 2012 16:13

    Et que dire de tous les nouveaux-nés que l’on retrouve régulièrement dans les congélos (mères infanticides) ?
    C’est juste une preuve de plus que nous sommes une humanité à la dérive, homosexuelle ou pas...


    • Mmarvinbear Mmarvinbear 5 juillet 2012 20:01

      Ce n’est pas un grand changement en fait.

      Avant, ils étaient jetés à la rivière, ou laissés à crever sur les marches d’un temple.


  • LE CHAT LE CHAT 5 juillet 2012 16:28

    bientôt chez nous aussi , après quelques réformes sociétales socialistes ............


    • tiloo87 tiloo87 5 juillet 2012 17:40

      Il est bien connu que la californie est à l’avant garde du socialisme....


    • appoline appoline 5 juillet 2012 18:19

      @ Ttoo,


      Mais si ces tocards au gouvernement votent cette loi, ils pisseront de joie dans leur froc en pensant avoir fait avancer l’humanité (enfin dans sa connerie)

    • Aldous Aldous 6 juillet 2012 11:05

      y’en a encore pour tomber dans le panneau du bipartisme...


      La Californie socialiste... ha ha ha !

      Réveillez vous : republicains et democrates c’est deux marques de lessive appartenant au mêmes lessivier.

      Et ils lavent le cerveau aussi bien les uns que les autres.

      L’agenda qu’il y a derrière la destruction de la famille naturelle est politique : un individu déraciné est malléable.

      L’etat peut l’éduquer et le conditionner a sa guise pour en faire un esclave qui ne se rend meme pas compte de sa situation.

      Orwell et Huxley on tres bien explique la chose et ses motivations.





  • nemotyrannus nemotyrannus 5 juillet 2012 16:36
    Le genre culturel, qui codifie les comportements sociaux, est initialement construit sur le genre sexuel. Le masculin est identifié partout à l’homme, le féminin à la femme. 

    Pour une fois je ne suis pas d’accord avec vous Hommelibre,pas tout a fait du moins. 

    Toutes les décisions et positionnements sur ces points tiennent encore de l’idéologie je pense , même les neuro-biologistes et spécialistes de l’Evolution ne sont pas d’accord.

    Je vois 4 tendances là dedans. (et vive le copier-collé ^^)

    -c’est la nature qui influence la culture (on est programmés et on n’y peut rien

    -La culture existe par elle même (tout est culturel)

    -la culture qui fausse notre vision de la nature (ce qui nous paraît naturel ne l’est pas

    -ou les deux mutuellement ( on a des prédispositions mais on peut les passer sous silence et on en a eu la volonté , suite à un évènement quelconque , au point qu’avec le temps et l’évolution elles disparaissent et ne soient plus vraiment caractéristiques... ce qui , de fait , changera la culture a son tour. Car le cerveau est TRÈS MALLÉABLE.

    Je ne vois pas dans cet acte une négation du masculin , ni de misandrie , mais une intention de rendre heureux l’enfant , même si là aussi on ne peut être sûr de rien .


    • gordon71 gordon71 5 juillet 2012 16:47

      « Je ne vois pas dans cet acte une négation du masculin , ni de misandrie , mais une intention de rendre heureux l’enfant , même si là aussi on ne peut être sûr de rien ».


      vous me rassurez si c’est pour le bonheur de l’enfant, alors tout va bien 

      votre vision du bonheur donne vraiment envie d’y aller en courant smiley
       traitement de choc :


    • logan 5 juillet 2012 16:53

      Salut, c’est tout simple, ce qui est naturel est par définition invariant à toute l’espèce et à toute époque.
      Tout le reste est culturel et social.

      La question du choix du sexe par les parents pose un problème moral et c’est le genre de chose qui peut mettre en péril toute l’espèce, notre survie reposant justement sur le fait qu’il y a une égale chance d’avoir une fille ou un garçon, toute intervention humaine créerait des déséquilibres qui pourraient s’avérer dramatiques. Cette question vaut que ce soit au niveau génétique ou après la naissance. Entre les chinois qui tuent les filles parce qu’elles sont moins productives selon eux, et les américains qui changent le sexe de leurs enfants, on peut dire que la folie a des beaux jours devant elle.


    • hommelibre hommelibre 5 juillet 2012 17:02

      Bonjour Nemotyrannus,

      Si l’on prend l’étymologie de masculin, il vient de « mâle », et féminin de « femme ». Les mots désignent donc des genres biologiques et culturel. Ces genres sont identifiés par les attributs sexuels et les fonctions sexuelles, ensuite par d’autres caractéristiques.

      D’accord avec la plasticité et la malléabilité du cerveau. Mais la désignation des genres à partir des attributs sexuels et de la génétique qui va avec demeure.

      Je ne tire de cela aucune conclusion à ce niveau : les sexes sont différenciés. Après, est-ce une forme d’idéologie : il me semble que la culture suit la nature. La culture en tant que représentation symbolique, structuration sociale, capacité d’abstraction me paraît postérieure parce que les premiers signes que l’on en a sont nettement postérieurs à l’existence physique de l’espèce. De plus il faut un outil physique, matériel, performant (cerveau, larynx) pour que la culture en tant que pensée, langage et organisation sociale apparaisse. Par de pensée ni de langage sans le corps. Le corps est le support antérieur, me semble-t-il.


    • nemotyrannus nemotyrannus 5 juillet 2012 19:13

      @Gordon

      Oui, bon , c’est fait en croyant bien faire , c’est ça que je veux dire. Je cautionne pas l’acte pour autant , je dis juste que ça n’a pas une visée purement misandre.
      C’est l’enfant lui même qui se sentait pas à l’aise en étant garçon :)

  • travelworld travelworld 5 juillet 2012 17:12

    Ce article qui choque les français ne choquerai personne ou presque en Thaïlande !
    Voyagez, voyagez ! Votre pays n’est pas une île !


    • nico31 6 juillet 2012 10:09

      Sauf qu’ici il ne s’agit pas d’un trans mais d’un enfant qu’on a confié très inconsidérément à une paire de femme et sur lequel elles projettent leurs fantasme.


    • hommelibre hommelibre 5 juillet 2012 20:40

      @ Edelweis :

      Je ne suis pas du tout convaincu qu’il sache à quoi il s’engage. Je suis resté mesuré dans mes propos parce que je ne pense pas que l’émotion soit bonne conseillère. Mais je pense aussi qu’il ne faut pas amener un enfant sur des voies aussi extrêmes.

      Mais si je compare avec d’autres situations, comme le divorce ou les abus sexuels, on entend très tôt la parole des enfants - à raison parfois, à tort parfois. Où est-ce juste, où ne l’est-ce pas ? Dans tous les cas l’enfant peut engager sa vie de manière irrémédiable.

      D’autre part s’il y a un réel risque de mutilation ou de suicide, je pense qu’un suivi médical devrait être la priorité. Là le changement de sexe est invoqué comme une thérapie. On ne sait pas s’il y a eu une thérapie mais les propos des parents ne semblent pas l’indiquer.


    • Aldous Aldous 6 juillet 2012 11:21

      la situation a risque (mutilation et suicide) dans laquelle il se trouve est bien plus vraisemblablement liee a l’anormalité de sa famille qu’a une cause intrinsèque au gamin.


      Ces deux cinglées on poussé le concept de jouir sans entraves au point de mettre un enfant qui n’a rien demandé dans une situation de détresse morale qu’elles prétendent résoudre par la castration.

      Quand on lit qu’à 8 ans ce garçon est en mesure de comprendre les conséquences du changement de genre on est en plein délire.

      Pourquoi ne pas lui demander aussi son avis sur la politique monnétaire US ou sur la guerre en Syrie ?

      Est on tombé si bas intellectuellement qu’on puisse avancer de telles absurdités ?

      Sommes nous si naïf aujourd’hui pour gober qu’on peut changer de sexe comme on change de garde-robe ?

      Ce qu’on offre comme vie a cet enfant, n’a rien a voir avec la vie d’une femme.

      Il sera mutilé physiquement, piqué aux hormones toute sa vie, stérile, aura une sexualité insatisfaisante (j’hésite à choisir entre frigide et impuissant), et pour couronner le tout sa transformation, même si elle est ’réussie’ au début, tournera a la monstruosité avec l’âge.

      Et tout cela sur un enfant prépubère qui n’a pas la moindre idée de ce qu’est le sexe.

      Quelle barbarie !






  • gordon71 gordon71 5 juillet 2012 17:33


    restons calme 

    il faut voir le côté positif et primesautier de la chose 




    • Aldous Aldous 6 juillet 2012 11:33

      en effet, cette situation est un progrès : dans les années 30 on l’aurait lobotomisé !


  • gordon71 gordon71 5 juillet 2012 17:44

    le changement de sexe doit être un droit 


    et remboursé par la sécu SVP

    pourquoi ne pas le faire voter avec le mariage gay ?

    d’une pierre.....

  • Le taulier Le taulier 5 juillet 2012 18:04

    Ce qui me dérange c’est la récupération politicienne que ce fait divers.

    Se cela devait toucher un couple hétéro on dirait ; « les parents sont givrés » mais comme concerne un couple lesbien on dit « les parents sont givrés, faut interdire aux homos d’adopter ».

    La seconde chose qui me dérange c’est le fait que comme l’enfant est adopté les parents auraient moins de droit que si il s’était agit d’un enfant naturel. On n’a pas le droit de balancer son fils du 4eme d’un immeuble même si c’est la chaire de sa chaire.

    Moi je prend ce genre d’info avec des pincettes. Même si je ne connais pas le système judiciare californien je ne pense pas que l’on puisse y faire tout et n’importe quoi même avec ses propres enfants génétiques.


    • gordon71 gordon71 5 juillet 2012 18:24

      moi ce qui me dérange 


      c’est la philosophie qui consiste à laisser croire aux gogos 

      que puisque la technique existe (ici la chirurgie), elle doit pouvoir répondre à tous les désirs et tous les délires 

      et bien sûr on peut être sûr que les labos et les charlatans de tous poil vont s’engouffrer avec délectation dans ce nouveau créneau 

      avec l’assentiment et le soutien de tous les « progressistes » en mal de nouveauté et de sensationnel



    • Le taulier Le taulier 5 juillet 2012 21:06

      Tu racontes n’importe quoi. Le problème c’est pas de changer de sexe. Après tout si un mec a envie de se la faire couper qu’est-ce que j’en ai a foutre si on ne m’oblige pas à faire pareil.

      Le problème c’est que la personne dont il est question est un enfant.


    • perlseb 5 juillet 2012 21:34

      « faut interdire aux homos d’adopter »

      C’est évident. Que les homos se marient, aucun problème (le mariage n’est qu’un contrat). Mais la nature a décidé que pour avoir un enfant, il fallait 2 personnes de sexe opposé. Ce qui veut dire qu’en étant homo, vous faites le choix de ne pas avoir d’enfant. L’adoption ne devrait même pas se poser.

      Après, qu’il y aie des parents hétéros encore plus givrés (infanticide, torture et autre), ça ne change rien. On ne doit pas se servir des monstres pour autoriser l’impossible.

      Maintenant si vous êtes suffisamment moderne pour rejeter la nature rétrograde, OK, cessez de vous alimenter et on verra bien le résultat...


    • gordon71 gordon71 5 juillet 2012 22:48

      ah oui tu as remarqué 

      le gamin en question, lui, a très bien intégré le message implicite de l’homosexualité militante

      à savoir une négation et un refus forcené de toute ’altérité et en particulier de la différence sexuelle
      le mâle c’est le mal
      le gamin a tellement bien intégré ce discours dément, qu’il sera stérile 

      ben oui le refus de la sexualité engendre le refus et la déni de la reproduction sexuée

      bienvenue dans le meilleur des mondes 



    • hommelibre hommelibre 5 juillet 2012 23:15

      @ Gordon :

      L’altérité ? Ce doit être une maladie honteuse...

      La théorie gender supprime radicalement l’altérité en supprimant les différences. Comme vous l’écrivez l’homosexualité militante délivre un message. Les lesbiennes américaines ont produit des leaders des plus acharnées du féminisme radical et de la guerre au masculin.

      Mon analyse du pourquoi elles ont sauté sur le gender est qu’en imposant l’indifférenciation des genres, elles n’ont plus à souffrir de leur différence d’orientation sexuelle. Les homos ayant été ostracisés, et la reconnaissance actuelle n’étant pas encore définitivement acquise, il est plus simple de dire qu’il n’y pas de différence, que l’orientation sexuelle est une affaire de routine, et de retirer à l’hétérosexualité son rôle de référence. Ainsi elles ne sont plus différentes, n’ont plus à assumer leur différence. La motivation du développement de la théorie gender est la peur.

      L’homosexualité est bien la raison du développement gender. Par exemple dans l’école d’Egalia en Suède, où l’on élève les enfants sans référence à « il » ou « elle », il y a autant d’images d’animaux homos qu’hétéros. Or statistiquement les homos sont environ 5% je crois. Donc il y a une surreprésentation de l’homosexualité. Le prosélytisme lesbien n’est peut-être pas absent de la motivation.

      Pour moi les gens font ce qu’ils veulent en tant qu’adultes. L’homosexualité n’est pas mon truc mais c’est tout. La qualité individuelle prime sur l’orientation sexuelle. Mais je pense néanmoins que l’hétérosexualité doit rester la référence car c’est par elle que l’espèce se reproduit.

      Deux extraits de mon bouquin :

      1. « Les gender cherchent donc à déconstruire l’hétérosexualité en refusant de lui reconnaître une valeur fondatrice des relations humaines. L’aspect normatif de la relation hétérosexuelle, normatif parce qu’elle est la condition de la reproduction de l’espèce, n’est perçu que comme une sorte de mimétisme social, une habitude atavique, voire une contrainte ou une oppression imposée par la majorité. À l’école d’Egalia l’homosexualité est placée à égalité avec l’hétérosexualité dans les représentations sociales pour lui conférer une égale valeur de modèle. Ne serait-ce pas secrètement pour délégitimer l’hétérosexualité ?
       Le respect et l’accueil dans la communauté humaine sont dus à tous les humains quelle que soit la personne avec laquelle on se lie d’affection ou de désir. Pas de procès de l’homosexualité donc. Pourtant dans une inversion surprenante c’est l’hétérosexualité qui est en procès. Les gender veulent minimiser l’identité sexuelle transmise par la société - l’identité hétérosexuelle - parce qu’elle est à l’origine de la souffrance des homosexuels. Neutraliser l’hétérosexualité, éliminer toute représentation majoritaire et donc normative du bourreau hétérosexuel serait le moyen pour les personnes homosexuelles d’éviter un jour le retour de l’exclusion, du rejet, de la honte, d’éviter d’avoir à nouveau à raser les murs les yeux baissés, de devoir se cacher et mentir, de risquer la peine de mort ou le meurtre sordide dans une rue sombre, d’éviter la double peine d’être et femme et homosexuelle. Si l’hétérosexualité n’est plus le moteur de développement de l’espèce, celle-ci pourrait être menacée. Tout le monde disparaîtrait mais au moins la souffrance ne reviendrait plus. L’aboutissement de la victimisation est l’assassinat du bourreau. La boucle se boucle. En devenant symboliquement meurtrière à son tour la victime est libérée de son karma d’objet. Elle atteint enfin la même liberté d’être sujet que son maître. Mais pour aller au bout de sa logique elle doit se tuer elle-même dès qu’elle est devenue à son tour bourreau. »

      2. « L’école entend tout particulièrement mettre l’accent sur la promotion d’un environnement tolérant envers les homosexuels, les bisexuels et les personnes transgenres, souligne sa directrice Lotta Rajalin. D’une bibliothèque, elle sort un livre sur deux girafes mâles en mal d’enfants jusqu’à ce qu’elles trouvent un œuf de crocodile abandonné. Quasiment tous les ouvrages pour enfants traitent de couples homosexuels, de parents célibataires ou d’enfants adoptés. Ici, point de Cendrillon, de Blanche-Neige ou autres contes classiques considérés comme le ciment des stéréotypes. »

       Aux oubliettes les contes de notre enfance. Et surtout mise à égalité totale de l’homosexualité avec l’hétérosexualité. Or il y a au moins 90 à 95% d’humains hétérosexuels. Ce sont eux qui repeuplent la Terre. Les couples de femmes n’enfantent qu’à condition qu’il y ait des hommes qui donnent leur sperme. Il y a dans la grossesse d’une lesbienne quelque chose de l’ordre de l’hétérosexualité : elles ne font pas des bébés avec l’ovule de leurs compagnes. Les couples gay quant à eux ne peuvent qu’adopter ou trouver une mère porteuse. Ce qui introduit là aussi une notion hétérosexuelle : l’enfant vient toujours de la fusion entre une ovule et un spermatozoïde, donc d’une situation hétéro. Il ne s’agit pas de méjuger l’homosexualité. Chacun est libre de ses partenariats. C’est l’un des acquis du libéralisme. Homosexuel ou hétérosexuel, tout humain est d’abord et définitivement un humain. L’orientation sexuelle ne doit pas être discriminante. Par contre poser à égalité de représentation les différentes orientations sexuelles induit une fausse image du monde. Il y a surreprésentation de l’homosexualité."


  • gordon71 gordon71 5 juillet 2012 18:19

    si jamais le gamin avait le moindre problème avec son identité sexuelle pas de problème le service après vente est assuré :


    Clinatec est là (à Grenoble) quelques électrodes, une puce 

    et roule ma poule plus de problème




  • robert 5 juillet 2012 18:44

    les lesbiennes devrais être la norme pour élever un enfant dans notre société, j’aurai été bien plus heureux à pouvoir choisir mon sexe imposer par des hormones lors de la gestion dans le ventre de ma mère porteuse, bravo les filles .

    sans déconner vivement que cette société merdique pète c’est lamentable.


  • Romain Desbois 5 juillet 2012 19:21

    C’est connu que tous les cas de transsexualismes sont dus au fait qu’ils avaient des parents homos.

    Tiens je ne vous ai jamais vu insulter les 99,99% de parents hétéros qui ont des enfants transsexuels.

    Allez, continuez à prendre un cas (dont on ne connaît que la version de journaleux) pour en faire une généralité et surtout pour démontrer que vous avez raison.

    Il y a des tarés partout mais il semble que la masse accepte plus facilement les tarés hétéros.


    • nenecologue nenecologue 5 juillet 2012 21:07

      romain , tu en connais beaucoup des parents hétéros qui donnent des medocs à un gamin de 8 ans pour qu’il puisse changer de sexe à 18 ?

      Les transsexuels ne se déclarent JAMAIS aussi jeunes dans un couple hétéro ...

    • Romain Desbois 5 juillet 2012 23:22

      nenecologue

      Vous affirmez sans savoir mais ça vous arrange.

      Un enfant qui montre des signes de transsexualisme sera vite recadré par ses parents et par l’entourage éducatif et familial.

      Intéressez vous au vécu des transsexuels et au calvaire qu’ils ont subi pendant toute leur enfance.

      Mais là personne ne trouve scandaleux que gosses ils aient été maltraités par leurs parents qui ne voulaient que leur bien certainement,. Comme ces deux femmes.


    • Aldous Aldous 6 juillet 2012 13:28

      et un enfant qui marque des signe de délinquance était aussi autrefois vite recardé par ses parents.


      C’est à ça que sert la famille, pas a officialiser qu’on s’envoie en l’air.



  • COVADONGA722 COVADONGA722 5 juillet 2012 20:03

    « Le Viril n’était pas encore mort. La cheftaine des chasseresses appuya son trident sur la poitrine de l’homme et l’enfonça d’un coup sec. Les filles de Misandra se réjouirent de la mort d’un ennemi de la cité. La chasse n’était cependant pas finie et le commando allait devoir s’engager à travers les Terres Désertes à la recherche d’autres Virils à débusquer. On racontait même que certains de ces animaux formaient des tribus et possédaient des femelles, physiquement semblables eux chasseresses, mais qui s’accouplaient comme des bêtes sauvages »

     « Misandra » de C Veillot


  • la pavana 5 juillet 2012 20:28

    Et qu’en disent les autorités de ce pays si promptes à s’alarmer pour un petit délit ?Comment un enfant de 8ans peut il faire un choix et accepter ou refuser la prise d’hormones ? la santé mentale de cet enfant est en péril !! quelle que soit l’issue de l’intervention ou non, parent mono parentaux ou non.


  • anty 5 juillet 2012 20:32

    Il n’ya pas si longtemps les lesbiennes américaines préconisaient d’avorter systématiquement de foetus mâles

    La culture gay est en marche ,sans doute...

    • Romain Desbois 5 juillet 2012 23:15

      Il ya des pays où l’on avorte plutôt quand c’est une fille, mais comme ce sont des hétéros , ca ne vous dérange pas.

      Votre réflexion est idiote car vous semblez ignorez que la « culture gay » concerne les deux sexes.


    • Aldous Aldous 6 juillet 2012 11:28

      c’est sans doute pour ça que dans la phraséologie homo militante on dit ’gay et lesbien’ ?


    • Aldous Aldous 6 juillet 2012 11:30

      c’est sans doute pour ça que dans la phraséologie homo militante on dit ’gay et lesbien’ ?



  • Lea Andersteen Lea Andersteen 5 juillet 2012 20:48

    Je ne peux que vous conseiller un supplément « Pour la Science » sur le sujet du sexe paru en 2010 ou 2011 sur le sujet.

    Eclairant de voir les faits scientifiques et non les faits quasi religieux que l’on peut lire dans vos commentaires.

     

    (un exemple : on n’est pas soit homme soit femme au niveau sexuel, on opère dans l’urgence, la mère encore dans la maternité pour que tous les enfants soient sexuellement soit homme soit femme, imposant d’ailleurs un choix de manière totalement arbitraire, au contraire de ce que font les mères de cet enfant. Il y a trois déterminants ; le sexe, les tissus gonadiques et le genre, et ils ne correspondent pas toujours)


    • Lea Andersteen Lea Andersteen 5 juillet 2012 20:50

      Je précise au cas ou : il y a de nombreux cas limites ou l’on opère pour forcer la dualité sexuelle, je n’ai plus les chiffres en tête, c’est dans le dossier, mais ce n’est pas négligeable, et personne ne parle de ces opérations la « pour faire rentrer dans le moule sociétal »).


    • anty 5 juillet 2012 21:24

      la théorie du gender est une vaste connerie démontrée par plusieurs sommités...


    • Aldous Aldous 6 juillet 2012 13:08

      confusion et n’importe quoi Léa : vous parlez des malformations genitales de nouveaus nés indifférenciés sexuellement du point de vue anatomique.


      C’est en effet discutable d’operer des bébés hermaphrodites pour les sexualiser, mais c’est un autre débat.

      Ce garçon est anatomiquement un garçon complet et il deviendra un homme a la puberté.

      Il n’est pas question de l’operer pour le sortir de l’hermaphodisme mais pour lui faire changer de sexe.

      A cet age, il n’a pas encore subit les effets des hormones su son corps ni sur son cerveau.

      Je vous assure que l’effet de la testosterone sur le cerveau d’un jeune homme lui change radicalement sa perception des femmes.

      Les projections que font ces deux femmes sur la sexualité future de ce garçon sont purement conjoncturelle. Rien ne prouve qu’il ne deviendra pas un homme sexuellement epanoui une fois la puberté passée.

      Et le modele maternel rejeté comme savent si bien le faire les adolescents.

      Si on lui en laisse la chance evidemment, ce qu’elles ne semblent pas disposées à faire.




  • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 5 juillet 2012 21:04

    Le 3e sexe est courant dans certaines sociétés et ce depuis longtemps ,voire la Polynésie,tapez MAHU (se prononce maou ) dans wiki ou google .
    Quant à ces deux femmes ,ce sont des tarées !


    • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 8 juillet 2012 18:24

      Salut Cogno,le « mahu » et le « raere » sont différends en culture Polynésienne .
      Il y aurais tant àdire,de la culture ancienne à la contemporaine à Tahiti ....


  • soimême 5 juillet 2012 21:33

    Merci pour une fois hommelibre, tu tombes pas dans la caricature.
    C’est tellement absurde que mes bras n’en tombe.


  • panpan 5 juillet 2012 22:14

    Heureusement que Gordon 71 est là pour l’humour.
    Car cette histoire est à pleurer. On y va ! On y va à grands pas et tout le monde (ou presque) trouve ça bien.
    Les enfants ont souvent été utilisés comme des jouets jetables tout au long des siècles. Comme les animaux, d’ailleurs. Mais là c’est le pompon !
    Vive le 21ème siècle !


  • deovox 5 juillet 2012 22:48

    le plus drole serait que le mome devienne lesbienne à l’age adulte. comme on lui aura retiré la queue il sera obligé d’en utiliser une en plastique. les boules !


  • deovox 5 juillet 2012 22:50

    dans tous les cas cet enfant sera homo, c’est mathématique.


    • Romain Desbois 5 juillet 2012 23:11

      l’homosexualité et le transsexualisme sont deux choses différentes.

      On peut ne pas être soi dans son corps d’homme et aimer les femmes, comme on peut être homo et ne pas avoir une seule fois avoir envie de changer de sexe.

      Dommage pour certains que l’homosexualité ne soit pas contagieuse car il y a longtemps qu’elle aurait été éradiquée par tout les obscurantistes , intolérants de la terre.

      C’est curieux de voir les mêmes sur d’autres articles prêcher l’amour de son prochain : leur bonté d’âme est très sélective.

      Après les homos , vous avez prévu de vous occuper de qui ? Les gros, les nains, les noirs, les juifs ?


    • deovox 5 juillet 2012 23:13

      qui ose moinsser un raisonnement mathématique ?

      si le gamin est attiré par les hommes il sera gay, vu qu’á la base c’était un male (à moins qu’on lui greffe un appareil génital féminin dans sa totalité, ce que la médecine est incapable de faire). si le gamin est attiré par des femmes ce sera une gouine, puisque il aura des relations de lesbienne avec des lesbiennes. mathématique, j’vous dis. pour lui (elle) la seule solution pour échapper à l’homosexualité sera de se mettre en couple avec un transexuel mais dans l’autre sens (une femme transformée en homme). 


    • gordon71 gordon71 5 juillet 2012 23:17

      romain bonsoir 


      le jour où vous aurez compris que les officines qui se servent des homos pour vendre leur philosophie de destruction n’en ont rien à foutre des homos

      comme les sionistes se servent des juifs comme boucliers humains et sont ravis de les voir se faire trucider pour perpétuer leur petit commerce shoatique 

      vous aurez fait un grand pas en avant 

    • gordon71 gordon71 5 juillet 2012 23:30

      je pourrais dire la même chose des palestiniens et de leur élites, qui vivent et s’engraissent sur leur martyre et sa pérpétuation


    • francesca2 francesca2 5 juillet 2012 23:36

      Bonsoir Gordon

      je crains qu’il y a méprenitude...Romais Debois, l’écolo-libertaire, en fait partie de ces officines...

    • gordon71 gordon71 5 juillet 2012 23:45

      salut francesca 


      peut me chaut qu’il en fasse parie ou non je ne m’adresse pas qu’à lui
      j’ ose espérer qu’il existe un grand nombre d’homosexuels qui cherchent à se dégager du terrorisme intellectuel de ces officines 

      les marchands de pétrole, d’armes et de drogues qui sont aussi les magnats de la presse et des médiats ont un objectif détruire tout ce qui constitue le lien et le ciment de nos sociétés 

      famille, nation, respect des aînés, fraternité, cohésion sociale, spiritualité, 

      un individu intégré enraciné, qui a des valeurs est un très mauvais consommateur il importe de détruire tout ce qui peut en faire un être historique, dépositaire d’un passé et porteur d’un avenir 


    • francesca2 francesca2 5 juillet 2012 23:55
      les marchands de pétrole, d’armes et de drogues qui sont aussi les magnats de la presse et des médiats ont un objectif détruire tout ce qui constitue le lien et le ciment de nos sociétés 

      Oh, mais il n’y a pas qu’eux...il y a, et ils sont bien plus dangereux parce qu’ils façonnent les mentalités, ces idéologues post soixante-huit qui ont décidé de foutre parterre nos vieilles sociétés occidentales, trop réacs à leurs yeux.
      Le truc grave c’est que, petit à petit ils y arrivent...

    • gordon71 gordon71 6 juillet 2012 00:00

      francesca 


      le pire n’est jamais certain 

      ma foi est ma boussole et ma fidelité est mon honneur 

    • francesca2 francesca2 6 juillet 2012 00:10

       smiley excellent. 


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