samedi 19 avril - par Cassandre G

Le Naufrage Mémoirel de l’Europe

Révisionnisme, Russophobie et Dérive Belliqueuse par Cassandre G

 
 

En tant qu’autrice de cet article, je suis une citoyenne préoccupée par l’évolution géopolitique actuelle et par la manipulation croissante des mémoires historiques par certaines élites européennes. Mon point de vue reflète un sentiment populaire de révolte face à ce que je perçois comme une instrumentalisation de l’histoire au service de politiques internationales dangereuses et déconnectées des aspirations profondes des peuples.

Je préfère pour l’instant conserver l’anonymat et publier sous pseudonyme, pour des raisons personnelles, notamment afin de préserver la sécurité de ma famille. Ce choix n’est pas un retrait, mais une protection dans un climat de plus en plus tendu, où la parole dissidente peut entraîner des représailles.

Le pseudonyme que j’ai choisi, Cassandre G., n’est pas anodin. Cassandre, dans la mythologie grecque, est cette figure tragique et lumineuse à la fois, dotée du don de vérité mais condamnée à n’être jamais crue. Elle voit juste, elle dit vrai, mais ses avertissements sont ignorés, au prix du désastre. En endossant ce nom, je revendique ce rôle difficile mais nécessaire : celui de tirer la sonnette d’alarme, même au risque de l’oubli ou du rejet. Car il est parfois plus important d’être juste que d’être entendu.

Cet article, par sa sincérité et sa vigueur, vise à alerter, à susciter la réflexion, et je crois qu’il a pleinement sa place sur un média comme AgoraVox, afin que le plus grand nombre puisse prendre conscience de la menace qui pèse aujourd’hui sur la mémoire historique, et au-delà, sur la paix mondiale.

Il est des moments où l’Histoire, que l’on croyait solidement gravée dans la conscience collective, vacille sous le poids de l’ignorance, de l’orgueil et d’un cynisme politique devenu doctrine. L’un de ces moments, profondément choquant, s’est récemment produit lorsque Kaja Kallas, aujourd’hui commissaire européenne aux Affaires étrangères, a publiquement menacé les États et dirigeants qui participeraient aux commémorations du 9 mai, date de la victoire contre le nazisme.

Ces propos ne sont pas une maladresse. Ils sont révélateurs d’un révisionnisme assumé, d’une haine viscérale maquillée en vertu, et d’une politique étrangère européenne désormais réduite à une seule obsession : provoquer et isoler la Russie, coûte que coûte. Le fait que Kallas soit non élue n’est pas anodin : elle incarne cette technostructure européenne hors sol, coupée des peuples, et animée d’un zèle idéologique dont les relents historiques devraient alarmer tous les esprits lucides.

Faut-il rappeler que l’URSS a perdu plus de 26 millions de vies dans la lutte contre le nazisme, dont 16 millions de civils ? Que sans le front de l’Est, l’issue de la guerre aurait été tout autre ? Faut-il rappeler que cette victoire du 9 mai n’est pas uniquement russe, mais européenne, humaine, universelle ? Qu’elle marque la défaite du mal absolu, et que toute tentative de la souiller ou de l’effacer constitue un acte ignoble, indigne et profondément dangereux ?

Mais plus que l’indignation, c’est l’analyse froide qu’il faut convoquer. Car le révisionnisme rampant ne naît pas d’un oubli accidentel, mais d’une stratégie mémorielle, souvent liée à un héritage familial, social, ou national refoulé. Kallas, comme tant d’autres figures des élites baltes ou germaniques, s’inscrit dans une longue tradition où la collaboration avec le nazisme fut parfois massive, souvent minimisée, et aujourd’hui recouverte du vernis fragile de l’amnésie choisie.

Ce n’est pas un hasard si certains responsables européens évitent soigneusement de rappeler le rôle de leurs propres pays dans les crimes de la Seconde Guerre mondiale, préférant détourner les commémorations vers un anticommunisme flou, ou vers une diabolisation de la Russie qui finit par gommer les crimes nazis au nom d’une nouvelle croisade morale.

De là à légitimer les néo-nazis ukrainiens comme “défenseurs de la démocratie”, il n’y a qu’un pas — franchi allègrement par certains médias, par des parlementaires, voire par des dirigeants européens. L’envoi de tanks Leopard, les discours martiaux de Macron, le “kit de survie” distribué par une commissaire, la multiplication des budgets militaires délirants (800 milliards d’euros prévus), ne sont pas des signaux de défense : ce sont les symptômes d’une société qui a perdu le lien entre mémoire, réalité et vérité.

Et dans cette frénésie, les citoyens européens eux-mêmes deviennent les otages d’un jeu d’ombres où la peur est cultivée, la paix marginalisée, la vérité travestie. La stratégie est claire : détourner les peuples de leurs souffrances économiques, de leur désillusion politique, en fabriquant un ennemi extérieur absolu. La Russie n’est pas un adversaire géopolitique, mais un exutoire symbolique. Et pour cela, l’Histoire elle-même doit être falsifiée.

Mais l’Histoire ne pardonne pas qu’on la piétine impunément. Il existe, contre ces manipulations, une realpolitik des justes : celle qui refuse la compromission, qui garde intacte la mémoire des résistants, des libérateurs, des anonymes qui se sont battus contre l’absolutisme, le fascisme, la haine. Celle qui ne confond pas l’héritage du nazisme avec les fantasmes d’une croisade moderne.

Alors oui, il est temps de nommer les responsables. De rappeler ceux qui, dans les années 30 et 40, ont soutenu Hitler, collaboré avec lui, ou fermé les yeux sur ses crimes. De dénoncer ceux qui, dans leurs familles, leurs milieux, leurs institutions, ont transmis une mémoire déformée, honteuse, parfois fière, de cette époque. Ce sont souvent les mêmes qui aujourd’hui accusent la Russie de tous les maux, tout en blanchissant l’histoire des véritables criminels.

Et si l’Europe veut encore mériter son nom, elle devra retrouver la voix des justes, et se souvenir que le 9 mai n’appartient pas à la Russie seule, mais à l’humanité entière. Ceux qui veulent l’interdire, le salir, ou l’oublier, ne sont pas les gardiens de la paix : ils en sont les fossoyeurs.

 


220 réactions


  • xana 19 avril 14:40

    Merci pour votre article et bienvenue sur ce site.

    Soyez certaine que vous y rencontrerez aussi des commentaires haineux...

    Puisque sur ce site ne pas détester Poutine et la Russie en général est considéré comme criminel par beaucoup de commentateurs.

    Nous avons même une « auteure » qui prétens que haïr Poutine est une preuve d’amour !

    Je sais, c’est ahurissant de sottise...


    • chapoutier 19 avril 14:49

      @xana
      je partage xana !
      une nouvelle voix qui nous changera des adorateurs du reich !


    • PaulAndréG (PàG) PaulAndréG (PàG) 19 avril 16:10

      @xana
      .
      « xana 19 avril 14:40
      Puisque sur ce site ne pas détester Poutine et la Russie en général est considéré comme criminel par beaucoup de commentateurs. »

      .
      Il y a quand même Pat’Brav’ qui rétablit bien l’équilibre avec ses copiés/collés quotidiens (quand pas plus fréquents) d’ObservateurContinental et ses rafales de posts si poilants qu’applaudissent une majorité de suiveurs qui cachent vraiment trop bien « détester Poutine et la Russie »  smiley
      .
      Xana... t’es pas tout seul à applaudir à l’est, et à dézinguer l’hexagone smiley


    • Et hop ! Et hop ! 21 avril 14:39

      @xana : «  Nous avons même une « auteure » qui prétens que haïr Poutine est une preuve d’amour ! »

      On va avoir un débat entre deux auteurs : une autrice et une auteure

      L’utilisation par une femme de lettres d’une de ces trois formes n’est pas insignifiante, c’est déjà un parti pris. 

      Auteur
      est l’usage neutre admis par l’Académie Française pour désigner les auteurs des deux sexes, autrice un barbarisme créé avec une flexion régulière (instituteur-institutrice, sénateur-sénatrice, ambassadeur-amabassadrice, etc) reconnu depuis peu par l’Académie qui fait remarquer que la forme auctoresse, d’un emploi rare, est attestée depuis longtemps, et auteure une cacographie qui a l’inconvénient de ne pas s’entendre, créée par les féministes avec docteure (pour doctoresse, etc.), vendeure (pour venderesse, fonction distincte de vendeuse).


    • jakem jakem 21 avril 14:55

      @Et hop !
      On peut aussi imaginer « auteresse » en tant qu’autrice ou auteure ( ce mot ne me choque pas ) indigeste, en s’inspirant de « l’emmerderesse » de Brassens.


    • V_Parlier V_Parlier 23 avril 17:22

      @jakem
      « auteure » tout comme « professeure » défie tous les principes habituels du fonctionnement de la langue française. Ce sont de piètres bricolages à la mode. Pour ceux qui ne veulent pas écrire « auteur » avec un genre invariable, « autrice » c’est déjà mieux, même si ça n’a pas été retenu.

      Pour l’article : C’est aussi ce genre de constatations que j’ai eu en 2014 et qui m’ont profondément dégoûté du politiquement correct hypocrite européen. Maintenant j’ai jeté l’éponge et je ne suis tiré. C’est irrécupérable. Vivement l’effondrement de l’UE.


  • Seth 19 avril 15:16

    Pour saluer votre arrivée et votre pseudo, Les vaticinations de Cassandre et l’entrée du cheval, final du 1er acte des l’opéra de Berlioz « Les Troyens » : https://www.youtube.com/watch?v=K8CFKZKNcVg


  • L’autrice omet de faire référence à la collaboration entre l’URSS et l’Allemagne nazie de 1939 à 1941, notamment via le pacte Molotov-Ribbentrop et l’invasion conjointe de la Pologne :

    • Pacte Molotov-Ribbentrop (23 août 1939)  : Ce pacte de non-agression entre l’URSS et l’Allemagne nazie incluait un protocole secret qui divisait l’Europe de l’Est en sphères d’influence. Il a permis à l’URSS d’annexer les États baltes, une partie de la Roumanie (Bessarabie), et la moitié est de la Pologne.
    • Invasion de la Pologne : En septembre 1939, après l’invasion nazie de la Pologne par l’ouest, l’URSS a envahi l’est du pays le 17 septembre, conformément au protocole secret. Cela a conduit à la partition de la Pologne entre les deux puissances.
    • Collaboration économique et militaire : De 1939 à 1941, l’URSS a fourni des ressources (pétrole, céréales, métaux) à l’Allemagne nazie et a permis des échanges militaires, comme l’utilisation de bases soviétiques pour des sous-marins allemands.
    L’article ne mentionne aucun de ces faits, ce qui constitue une omission significative. En se concentrant exclusivement sur les sacrifices soviétiques à partir de 1941 (après l’invasion nazie de l’URSS via l’opération Barbarossa), l’autrice donne une vision partielle de l’histoire. De plus, elle évite de nuancer le rôle de l’URSS, qui n’a pas été uniquement victime ou héroïque, mais aussi, à une période clé, complice des nazis.

    L’autrice a raison de souligner l’importance décisive du front de l’Est dans la défaite nazie, un point reconnu par les historiens. Cependant, elle ignore le rôle des Alliés occidentaux (Débarquement de Normandie, débarquement en Sicile, débarquement en Provence, campagnes en Afrique du Nord, bombardements stratégiques), ce qui donne une vision unilatérale.

    L’article glorifie le rôle de l’URSS sans nuance, diabolise les critiques de la Russie, et utilise des tropes alignés avec des narratifs pro-russes, comme la mention des “néo-nazis ukrainiens”. Cela suggère un parti pris, même s’il est présenté comme une défense de la mémoire historique. L’absence de toute référence au pacte Molotov-Ribbentrop, à l’invasion de la Pologne, ou à la collaboration économique et militaire de 1939-1941 est une lacune majeure. Cela donne une vision biaisée et partielle de l’histoire, qui sert à idéaliser l’URSS.

    En omettant des faits historiques clés et en adoptant un ton polarisant, l’autrice compromet sa propre crédibilité et donne l’impression d’une instrumentalisation de l’histoire à des fins idéologiques, précisément ce qu’elle reproche à ses adversaires...


    • Jason Jason 19 avril 19:07

      @Giuseppe di Bella di Santa Sofia

      Merci, rien à ajouter. Votre conclusion est la mienne. Il s’agit d’un article très tendancieux. Cassandre (la vraie), elle, cherchait la vérité !


    • Octave Lebel Octave Lebel 19 avril 20:58

      @Giuseppe di Bella di Santa Sofia

      Pour se faire son idée par soi-même. Une fiche riche et équilibrée qui ne vous dit pas où est le bien et son contraire en cherchant à vous enfermer dans une propagande ou l’autre mais qui est utile pour mieux comprendre la complexité de la situation et mieux détecter les éléments de propagande.

      → Pacte germano-soviétique

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Pacte_germano-sovi%C3%A9tique

       

       


    • microf 21 avril 14:58

      @Giuseppe di Bella di Santa Sofia

      Le débat avec des arguements est très bien, car nous sommes ici pour cela, même si parfois le cadre dépasse le débat et entre dans des attaques personnelles.

      Pourriez-vous nous expliquer pourquoi la Russie après avoir collaborée avec le régime nazi a été envahie par les nazis ?

      Que s´est-il passé pour que les nazis envahissent la Russie ?


    • V_Parlier V_Parlier 23 avril 17:29

      @Octave Lebel
      J’y lis d’ailleurs : "Le 30 septembre 1938, la France et l’Angleterre (représentées respectivement par Daladier et Chamberlain) signent les accords de Munich avec l’Allemagne nazie et l’Italie (représentées respectivement par Hitler et Mussolini), laissant le champ libre aux nazis pour annexer la région des Sudètes en Tchécoslovaquie, peuplée d’importantes minorités allemandes.

      La proposition de Staline d’envoyer des troupes aider la Tchécoslovaquie se heurte au refus de la Pologne du colonel Józef Beck et de la Roumanie du roi Carol II de laisser passer l’Armée rouge, ces deux pays craignant que les Franco-Britanniques laissent les Soviétiques occuper leurs territoires au mépris des traités de Rīga et Paris.

      Ribbentrop signe le 6 décembre 1938 avec le gouvernement français, représenté par Georges Bonnet, une déclaration exprimant leur volonté de collaboration pacifique".

      C’est seulement le 23 août 1939 que ce signe le pacte germano-soviétique. Mais le reste avant, ça ne compte jamais... bizarre...


    • Durand Durand 25 avril 20:01

      @Giuseppe di Bella di Santa Sofia

      « L’autrice omet de faire référence à la collaboration entre l’URSS et l’Allemagne nazie »

      Je peux me tromper mais il me semble qu’il ne s’agissait pas d’un pacte de collaboration mais d’un pacte de non-agression.

      ..


    • Durand Durand 25 avril 20:16

      @Giuseppe di Bella di Santa Sofia

      « L’article ne mentionne aucun de ces faits, ce qui constitue une omission significative. »

      Vous ne parlez pas non-plus de l’aide américaine à l’Allemagne dès la fin de la première guerre mondiale et jusqu’en 1944…

      En omettant des faits historiques clés et en adoptant un ton polarisant, vous compromettez votre propre crédibilité et vous donnez l’impression d’une instrumentalisation de l’histoire à des fins idéologiques, précisément ce que vous reprochez à vos adversaires...

      ..


    • @Durand

      Effectivement, ce n’était pas un pacte de non-agression mais un pacte de collaboration (très) active. Je vous invite à faire quelques recherches. Avec Internet, c’est très facile ! Sinon, mon article de demain concernera le pacte Ribbentrop-Molotov et tous ses accords secrets.


    • @Durand

      Pouvez-vous être plus clair ? Qu’est-ce que vous ne comprenez pas à mon message initial qui est pourtant limpide, il me semble ?

      « L’autrice omet de faire référence à la collaboration entre l’URSS et l’Allemagne nazie de 1939 à 1941, notamment via le pacte Molotov-Ribbentrop et l’invasion conjointe de la Pologne :

      • Pacte Molotov-Ribbentrop (23 août 1939)  : Ce pacte de non-agression entre l’URSS et l’Allemagne nazie incluait un protocole secret qui divisait l’Europe de l’Est en sphères d’influence. Il a permis à l’URSS d’annexer les États baltes, une partie de la Roumanie (Bessarabie), et la moitié est de la Pologne.
      • Invasion de la Pologne : En septembre 1939, après l’invasion nazie de la Pologne par l’ouest, l’URSS a envahi l’est du pays le 17 septembre, conformément au protocole secret. Cela a conduit à la partition de la Pologne entre les deux puissances.
      • Collaboration économique et militaire : De 1939 à 1941, l’URSS a fourni des ressources (pétrole, céréales, métaux) à l’Allemagne nazie et a permis des échanges militaires, comme l’utilisation de bases soviétiques pour des sous-marins allemands.
      L’article ne mentionne aucun de ces faits, ce qui constitue une omission significative. En se concentrant exclusivement sur les sacrifices soviétiques à partir de 1941 (après l’invasion nazie de l’URSS via l’opération Barbarossa), l’autrice donne une vision partielle de l’histoire. De plus, elle évite de nuancer le rôle de l’URSS, qui n’a pas été uniquement victime ou héroïque, mais aussi, à une période clé, complice des nazis.

      L’autrice a raison de souligner l’importance décisive du front de l’Est dans la défaite nazie, un point reconnu par les historiens. Cependant, elle ignore le rôle des Alliés occidentaux (Débarquement de Normandie, débarquement en Sicile, débarquement en Provence, campagnes en Afrique du Nord, bombardements stratégiques), ce qui donne une vision unilatérale.

      L’article glorifie le rôle de l’URSS sans nuance, diabolise les critiques de la Russie, et utilise des tropes alignés avec des narratifs pro-russes, comme la mention des “néo-nazis ukrainiens”. Cela suggère un parti pris, même s’il est présenté comme une défense de la mémoire historique. L’absence de toute référence au pacte Molotov-Ribbentrop, à l’invasion de la Pologne, ou à la collaboration économique et militaire de 1939-1941 est une lacune majeure. Cela donne une vision biaisée et partielle de l’histoire, qui sert à idéaliser l’URSS.

      En omettant des faits historiques clés et en adoptant un ton polarisant, l’autrice compromet sa propre crédibilité et donne l’impression d’une instrumentalisation de l’histoire à des fins idéologiques, précisément ce qu’elle reproche à ses adversaires... ».


    • Durand Durand 25 avril 21:52

      @Giuseppe di Bella di Santa Sofia

      https://www.wsws.org/fr/articles/2018/12/06/holo-d06.html

      ..


    • Durand Durand 25 avril 22:01

      @Giuseppe di Bella di Santa Sofia

      Le pacte Molotov-Ribbentrop a permis aux USA d’aider militairement et de manière décisive l’armée soviétique :

      https://archive-share.america.gov/fr/le-materiel-militaire-livre-par-les-etats-unis-a-lu-r-s-s-a-aide-a-vaincre-le-nazisme/index.html

      ..


    • @Durand

      Il s’agit d’une conséquence indirecte : c’est après l’opération Barbarossa que les Etats-Unis ont accepté d’aider l’URSS, de 1941 à 1945. 

      Avant 1941, les États-Unis n’envisageaient absolument pas d’aider l’URSS, car ils n’étaient pas en guerre et voyaient l’URSS comme un partenaire douteux en raison de son alliance de fait avec Adolf Hitler. Les Etats-Unis n’étaient pas au courant du protocole secret, qui ne sera dévoilé qu’à la fin des années 1980 par Mikhaïl Gorbatchev

      L’invasion de l’URSS par l’Allemagne nazie le 22 juin 1941 (Opération Barbarossa) a mis fin au Pacte Ribbentrop-Molotov. L’URSS est devenue un ennemi de l’Allemagne et, par extension, un allié potentiel des puissances occidentales, dont les États-Unis. 


    • Durand Durand 25 avril 23:57

      @Giuseppe di Bella di Santa Sofia

      « Avant 1941, les États-Unis n’envisageaient absolument pas d’aider l’URSS »

      Je n’ai pas dit le contraire… Par contre, DÈS LES ANNÉES 20 et jusqu’en 1944, les États Unis ont largement financé les nazis. Une grande partie des capitaux passaient de wallstreet à Berlin via l’Angleterre et la Hollande.

      De nombreuses technologies et de nombreux brevets ont également franchi l’Atlantique dans l’entre-deux guerres. De mémoire, le brevet BUMA, pour fabriquer du caoutchouc à partir du charbon et aussi, la technologie “sans plomb“ (ou avec ?) pour la Luftwaffe…

      https://www.historia.fr/guerres-conflits-contemporains/2eme-guerre-mondiale/comment-les-firmes-us-ont-travaille-pour-le-reich-2051615

      ..


    • Durand Durand 26 avril 00:44

      @Giuseppe di Bella di Santa Sofia

      « c’est après l’opération Barbarossa que les Etats-Unis ont accepté d’aider l’URSS, de 1941 à 1945. »

      Non, le prêt-bail c’est en Mars 41, Barbarossa c’est en Juin…

      ..


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 26 avril 09:39

      @Durand
       
      ’’de nombreux brevets ont également franchi l’Atlantique dans l’entre-deux guerres ’’
      >
      Un brevet n’est pas un secret : c’en est même tout le contraire. En revanche il n’est pas permis de l’exploiter sans licence d’exploitation, càd un contrat commercial passé avec le titulaire du brevet.


  • Mustik 20 avril 08:17

    sur un média comme AgoraVox, afin que le plus grand nombre puisse prendre conscience de  

    A ce propos, je pense que tu te fais des illusions, beaucoup de gens ont déserté ce site. Je suppose qu’ils ont été déçus par la « qualité » des échanges ( invectives, insultes, idéologues forcenés... ).

    Quant au reste, « que sera sera.. » selon la chanson

    il est courant de dénoncer

    l’illettrisme des générations,

    l’hédonisme consumériste,

    l’individualisme 

    mais, je ne suis pas certain que le moment venu, les Oligarchies ne seront pas en mesure d’aligner les populations pour une confrontation... ( Paul Valery )


    • Jason Jason 20 avril 09:49

      @Mustik

      Je partage et j’écris souvent pour moi, de petites notes pour fixer mes idées sur le papier. Je les mets sur Avox comme une bouteille à la mer.


      Merci pour la citation de Valery. Je propose celle de Montaigne étudiant dans sa tour. Il comparait ses idées aux rongeurs qu’il entendait dans son grenier. Il fixait ses idées pour arrêter leur sarabande. J’aime l’image.


  • Phil 20 avril 10:29

    Merci pour votre article nécessaire. Et bon courage.

    Il y en avait un qui avait apparemment des dons de divination, c’est le maréchal Gueorgui JOUKOV qui en parlant des occidentaux a dit le 9 mai 1945 :

    «  Nous les avons libérés du nazisme, ils ne nous le pardonneront jamais »

    https://www.vududroit.com/2024/06/nous-les-avons-liberes-du-nazisme-ils-ne-nous-le-pardonneront-jamais/


  • Goldo Du 21 avril 09:54

    « De rappeler ceux qui, dans les années 30 et 40, ont soutenu Hitler »

    Moscou, au hasard ? Qui s’était allié à Hitler ? Ou bien est-ce du révisionnisme que de le rappeler ?

    Tu nous parleras aussi des néonazis du groupe Wagner ?

    Du nazisme de Douguine, conseiller de Putin ?


    • Astrolabe Astrolabe 21 avril 10:09

      @Goldo Du
              
      En effet, l’auteure illustre ainsi son ’ naufrage mémoriel ’ et l’orientation partiale de son billet pro Putin. Tous les éléments de langage sont présents et y’a du gras partout.

      Sur agogoravox, on avait déjà le groupe Bravo et sa propagande quotidienne issue directement du kremlin , apparemment Cassandre reprend le flambeau... smiley


    • armand 21 avril 10:27

      @Astrolabe
      surtout que le compte a été ouvert sous le pseudo « gilles-dem » et changé immédiatement en cassandre...


    • Goldo Du 21 avril 11:58

      @armand
      Un nouveau troll issu des plaines slaves à la solde du pouvoir russonazi de Putin.
      Bref, un nouvel enfant de Putin.


    • microf 21 avril 15:19

      @Astrolabe

      La question que j´aimerai vous poser serait de savoir si Agoravox a été créer pour être contre le Kremlin.


    • Astrolabe Astrolabe 21 avril 15:21

      @microf
              
       smiley

      C’est cybion de rire un peu !
      Le miel est en premier lieu la propriété des abeilles qui le produisent.
      Le pot de miel quant à lui est approprié par ceux qu’il attire..


    • V_Parlier V_Parlier 23 avril 17:32

      @Goldo Du
      Ceux qui ont soutenu Hitler ? C’est ici :
      https://www.agoravox.fr/commentaire6824410


  • Astrolabe Astrolabe 21 avril 10:21

      

    Il est curieux de constater sur ce site le nombre la concentration de supporters a la guerre d’invasion de l’Ukraine décidée par Putin il y a maintenant 3 ans.

    Soutenus par l’extrême-droite française, ces gens là n’ont que faire des centaines de milliers de morts résultant de cette invasion russe.

    A propos de révisionnisme :

         

    Vladimir Poutine, le révisionnisme et la guerre

    « Le révisionnisme de Poutine et la véritable histoire de la nation ukrainienne »

    etc... smiley

              


    • armand 21 avril 10:22

      @Astrolabe
      d’où la question : à qui appartient ce site ?


    • Legestr glaz Legestr glaz 21 avril 10:27

      @Astrolabe

      Copié-collé : « Il est curieux de constater sur ce site le nombre la concentration de supporters a la guerre d’invasion de l’Ukraine décidée par Putin il y a maintenant 3 ans. ».

      Il est curieux de lire un tel commentaire qui ne fait strictement aucune mise en perspective comme « si » la Russie avait décidé d’envahir une partie du territoire ukrainien, d’un seul coup d’un seul, sans que rien, absolument rien, ne motive cet acte de guerre.

      Astrolabe il vous arrive de réfléchir au delà de l’image d’Epinal ?


    • Astrolabe Astrolabe 21 avril 10:30

      @armand
              
      C’est une très bonne question et il semblerait qu’un jour ce site fut reconnu d’utilité publique en Belgique.. !?  smiley


    • Astrolabe Astrolabe 21 avril 10:33

      @Legestr glaz
               
      Restez svp dans votre domaine du revisionnisme scientifique ou vous niez l’existence même des virus smiley comme le montre votre historique ! 
      Ceci dit entre révisionnistes, vous pouvez créer des ponts, agogoravox est fait pour ça !  smiley


    • Legestr glaz Legestr glaz 21 avril 12:33

      @Astrolabe

      Vous ne répondez pas à la question. Tandis que moi, je vais répondre à la vôtre.

      Le jour où vous trouverez une étude virologique qui utilise des contrôles négatifs, faites moi signe.

      Les virus sont des artefacts biologiques jusqu’à preuve du contraire. Que cela vous plaise ou non. Et si la virologie refuse d’appliquer la rigueur scientifique à travers des contrôles négatifs, vous avez bien le droit de croire en cette pseudo science.

      Par exemple. L’étude d’Enders et Peebles de 1954, qui a servi de base à toute la virologie de la rougeole, n’a pas intégré de contrôles négatifs stricts permettant d’exclure que l’effet cytopathique observé soit un artefact de la méthode.Les auteurs eux-mêmes ont reconnu cette limite, mais ont néanmoins conclu à l’isolement du virus.
      Selon les standards actuels, cette absence de contrôles est une faiblesse majeure, qui n’a jamais été corrigée dans la littérature dominante.


    • pemile pemile 21 avril 12:56

      @Legestr glaz « Le jour où vous trouverez une étude virologique qui utilise des contrôles négatifs, faites moi signe. »

      Un bel exemple de naufrage dans le ridicule ! smiley


    • Et hop ! Et hop ! 21 avril 14:44

      @Astrolabe : «  invasion de l’Ukraine décidée par Putin »

      En français son nom s’écrit Poutine (comme Pouchkine, Staline, Lénine), Beijing Pékin, et London Londres.


    • Legestr glaz Legestr glaz 21 avril 15:26

      @pemile

      J’attends avec impatience de lire « l’étude scientifique » qui évoquera un contrôle négatif. Vous avez la main pemile ! Nous allons bien rigoler ! Vous allez rengorger votre émoticône !

      Sortez les rames pemile ! 


    • pemile pemile 21 avril 17:18

      @Legestr glaz « Vous allez rengorger votre émoticône ! »

       smiley

      Et que tu oses tenter d’utiliser Enders, prix Nobel pour avoir simplifié la mise en culture de virus en 1949, pour nous vendre tes âneries sur l’inexistence des virus est caractéristique du naufrage d’AVox !


    • Legestr glaz Legestr glaz 21 avril 19:37

      @pemile

      Pas d’étude avec contrôle négatif pemile. Vous pissez dans un violon. Je vais donc attendre longtemps puisque ces études n’existent pas. Et c’est bien l’immense problème de la virologie. Elle fait des hypothèses qu’elle transforme en certitude ! Une mauvaise plaisanterie.

      Si vous avez le moindre argument concernant des contrôles négatifs réalisés en virologie, venez nous les présenter. Vous êtes pris à votre propre piège, comme les virologues devant Stefan Lanka. Les âneries, pour le moment, c’est vous qui les proférez.
      Lorsque l’on prétend quelque chose du genre : « les virus ont un effet cytopathique » alors on le prouve avec un contrôle témoin. Prétendre que l’effet cytopathique est le fait de « virus », sans le moindre contrôle négatif, ce n’est pas de la science c’est du charlatanisme ! 

      Les virus des virologues sont les « épicyles » de l’époque du géocentrisme. Ils viennent tenter de justifier l’action pathogène lors de maladies en fournissant des explications alambiquées et totalement déconnectées de la réalité biologique. 

      Si vous connaissez le principe du rasoir d’Ockham, il serait temps de l’appliquer !


    • pemile pemile 21 avril 20:47

      @Legestr glaz " Lorsque l’on prétend quelque chose du genre : « les virus ont un effet cytopathique » alors on le prouve avec un contrôle témoin. "

      Qui penses tu pouvoir abuser en tournant ainsi en rond ???!!! smiley

      https://www.agoravox.fr/commentaire6806965


    • Legestr glaz Legestr glaz 21 avril 20:56

      @pemile

      Ce sont les virologues qui tournent en rond avec leur raisonnement circulaire pemile, pas moi ! La virologie est une pétition de principe ! 

      Toujours pas d’étude qui prouve que l’effet cytopathique constaté est le fait de « virus » ? Rien à l’horizon pemile ? Vous séchez lamentablement comme toute la communauté des virologues qui voit leur mystification mise à jour ? 

      Maintenant pemile, soit vous avez une seule étude qui montre un effet cytopathique dans une étude qui a mis en place un contrôle négatif, et je la lirai avec plaisir, soit vous n’en avez pas, et vous n’en avez pas parce que cela n’a jamais été fait, et vous allez raser les murs. Lorsque l’on affirme que les « virus » existent, il faut venir avec des preuves, pas des hypothèses et des supputations ! 


    • Legestr glaz Legestr glaz 21 avril 21:03

      @pemile

      Vous gagneriez en visibilité en montrant le contenu de vos liens. Alors je vous viens en aide : 

      pemile 26 février 11:57

      @Legestr glaz « « Une solution serait, pour la virologie, afin de s’aligner sur la « rigueur scientifique », d’opérer des contrôles négatifs. Ainsi, il serait tout à fait possible de réaliser un « prélèvement » sur une personne « malade » et un autre sur un personne « saine » et de soumettre, à l’aveugle, ces deux prélèvements au même processus de culture. Si les résultats sont différents, c’est que ceci signale la présence d’un agent pathogène. Mais ce protocole n’est jamais suivi. La virologie s’exonère de ce type de contrôle négatif et se rend ainsi coupable d’approximations et de biais méthodologiques. »

      Oulalalalalalalala ! Sérieux ? Et tu veux ensuite pleurnicher quand on te dit que tu ne racontes que des conneries ridicules ???!!! 

      Vous avez bien fait de retranscrire mon commentaire. Parce qu’aucune étude de la recherche virologique ne met en place de contrôle. Vous avez l’air de trouver ça drôle ? Mais je pense que l’on prend les gens pour des imbéciles. chacun son avis. Mais, jusqu’à preuve du contraire, les virologues, dans aucune étude, n’ont été en mesure de faire état d’un seul « contrôle négatif ». La virologie est une supercherie, une discipline qui devrait disparaitre le plus vite possible tant elle est inutile, dispendieuse, trompeuse et misérable. Les conneries ridicules se sont les « virologues » qui les disent avec des études foireuses sans contrôle négatif faisant prendre des vessies pour des lanternes aux populations. Remarquez, cela présente un immense intérêt financier. Vous en tirez un petit bénéfice pemile ? Vous arrivez à gratter quelques miettes ?

    • pemile pemile 21 avril 21:08

      @Legestr glaz « Parce qu’aucune étude de la recherche virologique ne met en place de contrôle »

      Que dire d’autre que smiley


    • pemile pemile 21 avril 21:10

      @Legestr glaz «  Lorsque l’on affirme que les « virus » existent, il faut venir avec des preuves »

      Une seringue d’un échantillon de sang d’un séropositif pour te faire courir ou raser les murs ? smiley


    • @Legestr glaz

      @Astrolabe

      Vous ne répondez pas à la question. Tandis que moi, je vais répondre à la vôtre.

      — 

      Faut avouer que avec 25 millions de morts coté Russe pour lutter contre le Nazisme c’est assez difficile à soutenir et de repondre
      Comme il est assez difficile à expliquer les nombreuses statues encore présentes de Bandera en Ukraine et ses milices nazies qui défilent chaque année au flambeau et en pleine rue...
      Comme il est tout aussi difficile de parler du zele et je suis modeste a envoyer a Dachau (etc) tout ce qui sentais le Juif jusqu’a meme la en ce moment d’enlever tous les batiment s’y référants pour les effacer totalement de leur histoire
       
      Cela me fais bcp sourire lorsque l’extreme gauche sucotte les bottes à clous du national socialisme ou elle regrette aussi et en meme temps les periodes des masscres de l’extreme gauche par 10enes de millions de morts de Staline, Polpot et gtant d’autres
       
      Comme cette extreme gauche qui nous vantes les joies du crédit social à la Chinoise qui embastille les populations sans forme de proces, celle qui s’assoie aussi joyeusement sur le traité de Nuremberg pour le libre arbitre d’etre multi injecté ou pas ...
      Qui désormais en plus est ravie d’etre antisémite comme autrefois on ne change pas une equipe qui gagne, ici épinglée par frontieres et il n’y a pas tout
      https://youtu.be/Us686UsMTZI

      Comme dirais l’autre on ne change pas une équipe qui gagne et on retoune invariablement à ses fondamentaux ...
      La ca continue avec l’embastillement par milliers d’opposants à l’extreme gauche au Venezuela avec Maduro et etrangement nous n’entendons jamais ces personnes éprises de libertés et de démocratie parler de ce dictateur sanguinaire et de son régime ....


    • Legestr glaz Legestr glaz 22 avril 08:37

      @pemile

      Que dire d’autre ? Et bien que vous êtes sec ! Vous ne disposez d’aucune étude qui montre que la virologie utilise des « contrôles négatifs » pour s’assurer que l’effet cytopathique n’est pas le résultat de la méthode utilisée.

      C’est pathétique ! Il n’existe aucune preuve, la virologie est totalement décrédibilisée et vous demandez « que dire d’autre » ? Et bien vous taire par manque d’argument ! Le piège s’est refermé sur vous comme il s’est refermé sur tous les virologues incapables d’utiliser une méthode scientifique fiable. 
      La virologie est une pseudo science qui devrait disparaitre.


    • Legestr glaz Legestr glaz 22 avril 08:50

      @pemile

      Je vais vous dire un secret pemile : toute molécule du « non soi » introduite dans la circulation sanguine va être à l’origine de la production d’anticorps. Parce que l’organisme humain sait faire, toujours et tout le temps, la distinction entre « le soi » et le « non soi ». 

      Ainsi, comprenez bien que je n’ai aucune envie de m’introduire, selon votre « prescription », des molécules du « non soi » dans mon organisme. 

      La défense immunitaire de première ligne est particulièrement efficace. Lorsqu’elle cède, l’organisme est en danger. C’est dans cette perspective que la découverte des « antibiotiques » a été salvatrice pour l’être humain. Les molécules du « non soi », comme des bactéries, leurs toxines, ou des mycotoxines, qui pénétraient lors d’une blessure dans la circulation sanguine, pouvaient désormais être combattues avec vigueur. 
      Avant l’usage de la pénicilline, des infections aujourd’hui banales (angine streptococcique, pneumonie, syphilis, infections post-opératoires) étaient souvent mortellesDes chercheurs ont avancé que les antibiotiques, dans leur ensemble, pourraient avoir sauvé entre 100 et 200 millions de vies au 20e siècle.


    • PaulAndréG (PàG) PaulAndréG (PàG) 22 avril 08:51

      @Legestr glaz
      .
      « La virologie est une pseudo science qui devrait disparaitre. »
      .
      Mais l’anti-virologie est une maladie chronique avec des poussées quotidiennes qui se manifestent par une logorrhée écrite mono maniaque smiley


    • pemile pemile 22 avril 09:10

      @Legestr glaz " Ainsi, comprenez bien que je n’ai aucune envie de m’introduire, selon votre « prescription », des molécules du « non soi » dans mon organisme. "

      T’es aussi témoin de jehovah et contre les transfusions sanguine ? Pourtant cela serait une excellente opportunité de faire des contrôles positifs/négatifs aidé par Michel Garretta !


    • pemile pemile 22 avril 09:13

      @Legestr glaz « Je vais vous dire un secret pemile »

      Que tu tournes en rond sans fin en ânonnant les mêmes délires ridicules depuis des années n’est plus un secret !


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 22 avril 09:27

      @pemile
       
      « En mai 2017, à Berlin, pour la première fois de l’histoire, tous les ministres de la Santé des pays du G20 se trouvent réunis. À quoi se livrent-ils ? À un grand exercice de simulation de pandémie – un MARS (Mountain Associated Respiratory Syndrom) ce coup-ci – « pour faire face à la menace bioterroriste », une nouvelle fois. Il ne manque, à ce petit raout, ni le représentant de l’OMS, ni celui de la fondation Gates ou du Wellcome Trust – l’une des fondations les plus influentes mondialement en matière de politiques de santé –, ni Christian Drosten, le virologue en chef des plateaux télé allemands depuis mars 2020.
       
      En mai 2018, c’est l’exercice Clade X à Washington autour d’un virus imaginaire qui aurait la létalité du SARS mais la transmissibilité de la grippe. Il aurait été fabriqué en laboratoire par une secte apocalyptique japonaise visant à réduire la population mondiale. Dans la simulation, cette « plus grave pandémie depuis celle de 1918 » tuait 900 millions d’humains. C’est Tara O’Toole, l’auteur des scénarios Dark Winter, Atlantic Storm qui y jouait cette fois la secrétaire à la Sécurité intérieure. En guise de bilan, elle se désole comme toujours : « Nous sommes dans un âge d’épidémies, mais nous ne les traitons pas comme les questions de sécurité nationale qu’elles sont. »
       
      De janvier à août 2019, c’est la Crimson Contagion, une série de quatre simulations impliquant dix-neuf agences fédérales et toutes sortes d’acteurs privés dans douze États différents. C’est un virus respiratoire du type de la grippe provenant de Chine qui déclenche, cette fois, la pandémie. L’exercice est coordonné par Robert Kadlec, l’assistant du président Trump pour la lutte contre les épidémies. Enfin, en octobre 2019, c’est le trop fameux Event 201. »
       
       La suite on la connait pour l’avoir vécue.


    • Legestr glaz Legestr glaz 22 avril 09:31

      @pemile

      Vous contestez l’idée du « soi » et du « non soi » ? Vous avez du retard à l’allumage pemile ! Mettez vous au parfum !

      En revanche, vous validez l’idée de l’existence virale. C’est plus enfantin comme approche, et plus facile d’accès. Les « virus » sont méchants, causent de vilaines pandémies, se propagent insidieusement en venant de Chine, et les humains se contaminent les uns les autres. Et, hormis une « bonne vaccination », il n’y a rien à faire. Les « virus » expliquent les maladies « transmissibles », comme les « épicycles » expliquaient comment le soleil tournait autour de la Terre. C’est pas bien compliqué la science à la pemile ! 


    • pemile pemile 22 avril 09:39

      @Legestr glaz « Vous contestez l’idée du « soi » et du « non soi » ? »

      Dans ton post délirant qui parle de « molécules » ? smiley


    • Legestr glaz Legestr glaz 22 avril 09:44

      @Francis, agnotologue

      Les virus « expliquent » tout. Ils sont à l’origine de « pandémies », parfaitement invisibles, mais l’OMS, et tous les experts réunis, parviennent à identifier ces pandémies. Un « virus » qui contamine la planète entière. De quoi frémir !

      Extrait : « ... Les surinfections bactériennes surviennent habituellement 4 à 7 jours après les premiers symptômes grippaux et peuvent persister pendant plusieurs semaines. Elles touchent environ un tiers des patients grippés qui ont été hospitalisés en soins intensifs. Elles ont le plus souvent pour origine une surinfection par Streptococcus pneumoniae (le pneumocoque), Staphylococcus aureuset Haemophilus influenzae. S. pneumoniae, dont il existe plus de 90 sérotypes, représente la première cause de pneumonies bactériennes chez l’homme. Des examens post-mortem ont ainsi indiqué que la majorité des décès survenus lors de la grippe espagnole avait pour origine des surinfections bactériennes, notamment due au pneumocoque. L’infection secondaire par les bactéries se traduit par une exacerbation de l’inflammation pulmonaire (pneumonie) et par un déclin des fonctions respiratoires. Les bactéries à tropisme respiratoire peuvent secondairement disséminer dans l’organisme, pouvant entraîner possiblement une septicémie. Les mécanismes de cet effet additif, voire synergique, entre le virus et la bactérie sur la symptomatologie sont encore peu compris. »...

      Oui, les bactéries et les toxines bactériennes sont dangereuses pour l’organisme humain. Quant aux « virus » et bien, comme indiqué, on cherche toujours ! Le foutage de gueule est total.

      Je vais tenté prochainement de présenter un article sur « l’hydroxychloroquine » et comment Didier Raoult avait raison mais sans avoir compris les mécanismes biologiques en jeu. Et ceci parce qu’il pense « virus » et qu’il réfléchit « virus ». Impossible pour lui de sortir de ce paradigme. 


    • Legestr glaz Legestr glaz 22 avril 09:45

      @pemile

      C’est délirant parce que vous ne comprenez pas. smiley


    • pemile pemile 22 avril 09:53

      @Legestr glaz « C’est délirant parce que vous ne comprenez pas. »

      L’utilité de maîtriser antigènes et anticorps lors des transfusions sanguines ? Ou que toute perfusion est source de « molécules » de non-soi ? smiley


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 22 avril 09:55

      @Legestr glaz
       
       ’’ Didier Raoult (...) pense « virus » et qu’il réfléchit « virus ». ’’
      >
      Et surtout : il en vit.
      Il inventorie les mutations ... des artefacts.


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 22 avril 10:11

      @Francis, agnotologue
       
      « Déclaration de pandémie mondiale -> confinement ->

      restriction insensée
      des libertés ->

      restructuration des habitudes ->

      accélération
      technologique ->

      reprise en main des réseaux sociaux ->

      vaccination
      biotechnologique ->

      « pass sanitaire » ->

      identité numérique ->

      environnements
      connectés ->

      numérisation générale ->

      traçage ubiquitaire ->

      société de contrôle ...
       
      un enchaînement somme toute logique est prévu, dont au moins la première
      moitié a été amplement répétée.
      Il y a des étapes dans le plan. Nul n’est censé y contrevenir. Nul n’est censé se mettre sur son chemin. C’est donc exactement ce qu’il nous faut faire. »
       
      Grippe, nouvel ordre mondial : « Nous irons ensemble vers un nouvel ordre mondial et personne, je dis bien personne, ne pourra s’y opposer » (N. Sarkozy, 16/01/09)


    • Legestr glaz Legestr glaz 22 avril 10:12

      @pemile

      Réfléchissez pemile ! Une injection de vitamine C ne portera pas à conséquence, la vitamine C est reconnue par l’organisme. 

      Ne vous faites pas plus bête que vous ne l’êtes en écrivant des inepties comme : « toute perfusion est source de »molécules" de non-soi ! C’est totalement stupide. Mais rien ne m’étonne venant du Cerbère d’Agoravox.


    • Legestr glaz Legestr glaz 22 avril 10:19

      @Francis, agnotologue

      Et oui, les « virus » sont un excellent outil pour des dirigeants à tendance totalitaire ou dictatoriale. Ils sont vraiment très pratiques. Eliminer ces virus « scientifiquement parlant », c’est tuer la poule aux oeufs d’or. 

      Sur les sur-infections bactériennes.

      ... Une étude française a révélé que 28 % des patients admis en unité de soins intensifs (USI) pour une pneumonie sévère à SARS-CoV-2 présentaient une co-infection bactérienne au moment de l’admission. Les pathogènes les plus courants étaient Staphylococcus aureus, Haemophilus influenzae, Streptococcus pneumoniaeet des entérobactéries.... 
      ... Une étude a révélé que 32,8 %des patients COVID-19 en soins intensifs présentaient une co-infection fongique. Candida était le champignon le plus fréquemment isolé (24,1 %), suivi par Aspergillus(4,3 %)... 


    • pemile pemile 22 avril 10:30

      @Legestr glaz « la vitamine C est reconnue par l’organisme. »

      wiwi, et la pénicilline aussi !


    • chantecler chantecler 22 avril 10:53

      @Legestr glaz
      C’est ça !
      Allez exposer vos théories à D. Raoult que je me marre !
      Entre nous : les atomes sont invisibles mais allez vous contester la matière ?
      Non , ne me répondez pas , merci bien !


    • Legestr glaz Legestr glaz 22 avril 11:04

      @chantecler

      N’intervenez pas si vous ne voulez pas de réaction. Je fais simple.

      Vous ne vous êtes jamais intéressé à la biologie ou à la biochimie. Et vous avez un avis sur la question. Vous êtes trop fort chanceler, c’est à ça qu’on vous reconnait. Merci bien ! 

      Les virus sont des artefacts biologiques, ce qui veut dire que c’est la méthode qui produit le résultat. L’effet cytopathique est produit par la méthode et non par des virus invisibles. Mais, si vous voulez croire en ces « méchants virus » qui contaminent l’humanité, c’est votre droit le plus absolu. Les enfants ont bien le droit de croire au Père Noël. Personne ne leur en fait grief. C’est bien d’avoir gardé une âme d’enfant chanteclerc ! 

      Vous êtes vous « intéressé » au « stress oxydatif » ? Avez vous progressé dans ce domaine ? 


    • chantecler chantecler 22 avril 11:22

      @Legestr glaz
      Non, maître mais je ne vous ai rien demandé .
      Par ailleurs j’ai mes propres sources, apparemment pas les vôtres .


    • Legestr glaz Legestr glaz 22 avril 11:28

      @chantecler

      Je ne vous ai rien proposé ! Je vous ai posé une question simple.

      Vous avez des raisonnements d’enfant chanteclerc. Savez vous que je crois en la gravitation universelle ? Etonnant non ? Et on ne la voit pas ? Etonnant non ?


    • Legestr glaz Legestr glaz 22 avril 12:05

      @chantecler
       
      Copié-collé : « Allez exposer vos théories à D. Raoult que je me marre ». 

      Le principe d’autorité exposé en pleine lumière. Vous n’y comprenez rien, mais la blouse blanche vous impressionne ! Je me marre, comme vous dites ! 

      L’hydroxychloroquine est un « ionophore » (indirect) du zinc. C’est parfaitement connu. Mais qu’est-ce que cela veut dire ? Et bien que l’hydroxychloroquine facile l’entrée du zinc dans la cellule. Et alors me direz vous chanteclerc, et vous aurez raison. Et bien, le zinc est utile, très utile, à une enzyme particulière : l’enzyme de conversion de l’angiotensine II. Ce faisant, pour faire court, cette enzyme « dépendante » du zinc, permet à l’organisme de produire une vasodilation des vaisseaux en transformant l’action « vasoconstrictrice » de l’angiotensine II en action « vasodilatatrice ». 

      Cette action vasodilatatrice de l’ACE2 est absolument déterminante dans les maladies respiratoires. Elle permet de lutter contre l’hypoxie et la détresse respiratoire. Ainsi, l’hydroxychloroquine, en favorisant l’entrée du zinc dans la cellule, permet une grosse production d’ACE2 et permet de lutter contre la vasoconstriction, de lutter contre l’hypoxie, de lutter contre la détresse respiratoire aiguë. L’hydroxychloroquine n’a aucune action sur des virus-artefacts mais elle a un sens profond en biologie puisqu’elle accentue la vasodilation lorsque certaines circonstances l’imposent. 
      Ainsi, en période de covid19, le choix « hydroxychloroquine + zinc + antibiotique » était une bonne option pour lutter contre le stress oxydatif, l’ischémie, l’hypoxie et la détresse respiratoire. Mais pas de « virus à l’horizon » ! 

      https://www.nature.com/articles/hr2010235

      ... « Cependant, dans des conditions pathologiques ( b), un excès de O 2 , principalement produit par la NAD(P)H oxydase, stimule la vasoconstriction et l’inflammation, entraînant un dysfonctionnement endothélial, principalement par la réduction de la biodisponibilité du NO et le déséquilibre entre les ROS et la capacité antioxydante. Ainsi, le SRAA classique est un puissant système prooxydant dans les vaisseaux, provoquant un dysfonctionnement endothélial. L’axe ACE2–Ang-(1–7)–Mas contrecarre ces effets ».…


    • Julian Dalrimple-sikes Julian Dalrimple-sikes 23 avril 16:28

      @Legestr glaz

      Merci de toutes ces info, petite video pour un début de changement de direction, pas pour vous car déjà fait bien sur.. :
      https://www.youtube.com/watch?v=8w9mcHZoZVI


    • Legestr glaz Legestr glaz 24 avril 09:16

      @pemile

      Depuis plusieurs décennies, les discours dominants sur les épidémies respiratoires se concentrent quasi exclusivement sur les agents infectieux, en particulier les « virus ». Ce paradigme, soutenu par des politiques sanitaires fondées sur le contrôle viral, évacue des éléments environnementaux pourtant déterminants. La pollution atmosphérique , et plus spécifiquement les épisodes d’inversion thermique, occupe une place marginale dans l’analyse publique, alors même que leur impact sur la santé respiratoire est massif.

      Or, il n’existe aucun épisode documenté d’augmentation soudaine et massive des pathologies respiratoires (pneumonies, syndromes grippaux, COVID-19, crises d’asthme, maladies cardio-respiratoires) sans que l’on puisse observer, au même moment, une dégradation significative de la qualité de l’air, souvent exacerbée par des conditions météorologiques particulières telles que les inversions thermiques. Ces phénomènes bloquent les polluants dans les basses couches de l’atmosphère, augmentant mécaniquement l’exposition des populations à des concentrations dangereuses de particules fines, d’ozone, de dioxyde d’azote, et autres composés nocifs.

      Et pourtant, dans l’analyse des vagues de maladies respiratoires, l’effet déclencheur de ces épisodes de pollution reste systématiquement négligé. L’attention se porte exclusivement sur les « agents viraux », dont la preuve d’action autonome reste pourtant indirecte, fondée sur des corrélations statistiques, des déductions in silico, et des méthodologies discutables. En revanche, les conditions physico-chimiques réelles, objectivables, respirées chaque jour, sont largement absentes des modèles de prévision et des politiques de prévention.

      L’inversion thermique, en particulier, est un phénomène physique méconnu du grand public, mais bien documenté en météorologie et en sciences de l’atmosphère. Lorsqu’elle survient, une couche d’air chaud surplombe une couche d’air plus froid près du sol, inversant le gradient thermique habituel. Cette configuration bloque la dispersion verticale des polluants et piège les toxiques respirés en continu par les populations pendant plusieurs jours. Ces pics d’exposition intenses et prolongés sont corrélés à des hausses d’hospitalisations pour causes respiratoires, à une mortalité accrue chez les personnes fragiles, et à une dégradation globale de la qualité de vie.

      Il ne s’agit plus seulement de reconnaître que la pollution « favorise » des infections : il faut admettre qu’elle provoque à elle seule des affections multifactorielles, inflammatoires, immunitaires, respiratoires et cardiovasculaires. La « maladie aérotoxique » est une entité pathologique autonome, déclenchée par l’inhalation chronique ou aiguë de composés atmosphériques toxiques.

      Plutôt que d’intégrer ces données environnementales dans les politiques de santé publique, l’approche dominante reste focalisée sur la lutte contre des entités biologiques, invisibles, souvent modélisées plus que directement observées. On mène une guerre contre des « virus », mais on ignore les conditions physiques et chimiques qui dégradent directement et concrètement la santé humaine.

      Il ne s’agit pas simplement de relativiser l’influence des agents infectieux. Il s’agit de changer de paradigme. De reconnaître que les véritables agents pathogènes contemporains ne sont pas nécessairement des « virus ». Ce sont, bien plus concrètement, les molécules inertes mais toxiques — oxydes d’azote, composés organiques volatils, particules fines et ultrafines, ozone troposphérique — que l’on respire chaque jour, en concentration parfois délirante. Ces substances agissent directement sur les épithéliums, sur les poumons, sur le cœur. Elles provoquent inflammation, dysfonction immunitaire, stress oxydatif, décompensations chroniques et exacerbations aiguës.

      Ces polluants sont la maladieIls ne sont pas un simple « terrain », ni un « co-facteur », ni une variable de confusion. Ils sont les acteurs, le déclencheur et l’agent pathogène principal. Le reconnaître, c’est poser les bases d’une médecine environnementale réellement préventive. C’est aussi sortir d’une obsession du « virus » pour affronter un autre acteur invisible, tout aussi dangereux : l’air que nous respirons.


    • PaulAndréG (PàG) PaulAndréG (PàG) 24 avril 09:21

      @Legestr glaz
      .
      "Legestr glaz 24 avril 09:16
      .../..sortir d’une obsession du « virus »

      .
      Sortir de l’obsession quotidienne du virus... chiche  smiley
       smiley


    • pemile pemile 24 avril 09:26

      @Legestr glaz

      Tu sais que t’es pitoyable en voulant utiliser la pollution de l’air, dont la nocivité est reconnue par tout le monde, comme argument pour nier l’existence des virus ?


    • Legestr glaz Legestr glaz 24 avril 10:17

      @pemile
       Pas du tout, les « virus » sont des artefacts biologiques, des chimères ! Et oui.


    • Legestr glaz Legestr glaz 24 avril 10:19

      @PaulAndréG (PàG)

      Comprendre les interactions de la pollution avec l’organisme, c’est mieux appréhender la maladie et se donner les possibilités de la soigner. C’est comprendre que les infections respiratoires entrainent un déséquilibre « redox » qu’il vaudrait mieux rétablir au plus vite. 

      Je dis ça, je dis rien. Si vous voulez vous faire vacciner, ce n’est surtout pas mon problème. C’est tout ce que je dis.


    • Legestr glaz Legestr glaz 24 avril 10:22

      @pemile

      Je vois que je vise juste à chaque fois. Le cerbère pointe son nez systématiquement.

      Il faut que ce changement de paradigme de pensée ne parvienne pas jusqu’aux populations. Et cerbère fait bonne garde. Il est très fort cerbère, il sait employer des mots comme « clown » ou « pitoyable » ! Ce sont des arguments puissants ! 


    • Legestr glaz Legestr glaz 24 avril 10:34

      @pemile

      La pénicilline est une toxine synthétisée par certaines espèces de moisissures du genre pénicillium. Et, parce que c’est une « toxine », c’est à dire une molécule du « non soi », elle déclenche la production d’anticorps, faiblement parce que c’est une molécule de faible poids moléculaire, mais quand même des IgE.

      La pénicilline, comme d’autres médicaments, est perçue comme un antigène par le système immunitaire. Bien que la pénicilline soit une molécule relativement simple, elle peut être associée à des protéines de l’organisme, formant ce qu’on appelle un complexe antigène-protéineLe processus de sensibilisation implique la production d’anticorps spécifiques, en particulier des immunoglobulines E qui peuvent déclencher des réactions allergiques. 


    • pemile pemile 24 avril 11:06

      @Legestr glaz « Je vois que je vise juste à chaque fois. »

      Toutafé, au centre d’un ridicule qui tourne en rond !


    • pemile pemile 24 avril 11:08

      @Legestr glaz «  Pas du tout, les « virus » sont des artefacts biologiques, des chimères ! »

      Mais tu n’es toujours pas prêt à le prouver en t’infectant avec le sang d’un séropositif ? smiley


    • Legestr glaz Legestr glaz 24 avril 11:25

      @pemile

      Toute molécule du « non soi » introduite dans l’organisme par injection va être à l’origine de la production d’anticorps.

      Quant à votre « proposition », vous savez pertinemment que c’est du délire parce que infaisable ! Vous me faites rire ! (sans émoticône !). 


    • PaulAndréG (PàG) PaulAndréG (PàG) 24 avril 11:42

      @Legestr glaz
      .
      « Legestr glaz 24 avril 10:19
      @PaulAndréG (PàG)
      Comprendre les interactions de la pollution avec l’organisme, c’est mieux appréhender la maladie et se donner les possibilités de la soigner. C’est comprendre que les infections respiratoires entrainent un déséquilibre « redox » qu’il vaudrait mieux rétablir au plus vite.
      Je dis ça, je dis rien. Si vous voulez vous faire vacciner, ce n’est surtout pas mon problème. C’est tout ce que je dis. »

      .
      Ok, je ne demande qu’à soigner le « déséquilibre « redox » qu’il vaudrait mieux rétablir au plus vite », mais plutôt qu’un développement scientifique, j’ai besoin de la prescription de Legestr glaz.... Du concret... alors quelle médecine m’administrer qui me tienne éloigné des traitements anti viraux ou des vaccins ?


    • Legestr glaz Legestr glaz 24 avril 11:49

      @PaulAndréG (PàG)

      Votre santé est votre problème. Je donne des pistes de réflexion et vous en faites ce que vous voulez.

      Vaccinez vous si cela vous chante. Ce n’est surtout pas mon problème. Que voulez vous que cela me fasse que vous suiviez des traitements anti viraux ou des vaccins ? C’est « votre » choix. 


    • Legestr glaz Legestr glaz 24 avril 11:54

      @PaulAndréG (PàG)

      En revanche vous pourriez vous intéressez à ceci ; 

      ... « Les efforts de politique de santé publique et de réglementation aux États-Unis ont stimulé les innovations technologiques et contribué à réduire la pollution atmosphérique. Bien que les avantages pour la santé des fortes réductions de la pollution dans les grandes zones métropolitaines au XXe siècle soient largement reconnus, il existe une résistance politique aux mesures qui permettraient de réduire davantage la concentration de polluants tels que les PM 2,5, plus récemment par le biais d’exigences qui limitent l’évaluation des effets de la pollution atmosphérique sur la santé aux ensembles de données accessibles au public. Notre analyse nationale directe du fardeau de la mortalité due à la pollution aux PM 2,5, en utilisant des données accessibles au public et avec une gamme de modèles analytiques, indique que la pollution actuelle aux PM 2,5continue de contribuer à la mortalité et à la perte de longévité aux États-Unis, avec des dommages plus importants dans les comtés les plus pauvres. Nos résultats suggèrent qu’une nouvelle réduction de la pollution aux PM 2,5est susceptible de bénéficier à la santé de l’ensemble de la population américaine et de réduire les inégalités de santé. »...

      Et je vous pris de noter ceci : « avec des dommages plus importants dans les comtés les plus pauvres ». Et oui, pourquoi ?

      https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31335874/

      Et puis encore ceci : ...«  il existe une résistance politique aux mesures qui permettraient de réduire davantage la concentration de polluants »... 

      Par conséquent, les « virus » sont une arme redoutable au niveau politique. Ils permettent de cacher la poussière sous le tapis. 


    • PaulAndréG (PàG) PaulAndréG (PàG) 24 avril 11:54

      @Legestr glaz
      .
      Legestr glaz 24 avril 11:49
      @PaulAndréG (PàG)
      Votre santé est votre problème. Je donne des pistes de réflexion et vous en faites ce que vous voulez.

      .
      Le prêcheur quotidien se dégonfle quand il s’agit de passer de la théorie à la pratique  smiley
       smiley


    • pemile pemile 24 avril 11:59

      @Legestr glaz « Quant à votre « proposition », vous savez pertinemment que c’est du délire parce que infaisable ! »

      En quoi te contaminer avec un virus qui d’après toi n’existe pas serait infaisable ?

      Quand auras-tu le courage d’assumer tes délires ? Si les virus n’existent pas prouve donc enfin que tu ne risques rien à exposer une petite plaie au VIH ou à soigner des malades Ebola dans protection ?


    • pemile pemile 24 avril 12:02

      @pemile
      sans protection


    • Legestr glaz Legestr glaz 24 avril 12:19

      @pemile

      C’est infaisable parce que je ne connais personne en mesure de satisfaire chaque point que vous évoquez. En parlant de « délires » vous en tenez une sacrée couche.

      Le « délire viral » consiste à faire croire aux populations que « l’effet cytopathique » dans les cultures virales est le fait de « méchants virus ». Mais cet effet cytopathique est le fait de la méthode de culture. Rien d’autre. C’est relativement facile à comprendre.

      Et comme jamais aucune étude ne met en place de « contrôle négatif », tout ce qui est raconté sur les « effets cytopathiques » sont des âneries. Il suffirait que la « virologie » mette en place des « contrôles négatifs » pour s’apercevoir de leur méprise. Mais, trop d’argent à la clé. Alors on continue avec cette escroquerie !


    • pemile pemile 24 avril 12:29

      @Legestr glaz « C’est infaisable parce que je ne connais personne en mesure de satisfaire chaque point que vous évoquez. »

      UN SEUL POINT à satisfaire, un échantillon de sang séropositif ! smiley


    • pemile pemile 24 avril 12:31

      @Legestr glaz "Le « délire viral » consiste à faire croire aux populations que « l’effet cytopathique » dans les cultures virales est le fait de « méchants virus ». Mais cet effet cytopathique est le fait de la méthode de culture. Rien d’autre. C’est relativement facile à comprendre. Et comme jamais aucune étude ne met en place de « contrôle négatif »"

      Ta SEULE expertise, répéter en boucle les mêmes âneries pendant des années ! smiley


    • pemile pemile 24 avril 12:55

      @Legestr glaz « je ne connais personne en mesure de satisfaire chaque point que vous évoquez »

      Non, tu ne connais personne qui nie l’existence des virus et qui osera se contaminer avec VIH ou Ebola pour le prouver !


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 24 avril 13:22

      @pemile
       
      Le bon lien :
      Allez, pour rire un peu : La France covidée, un asile à ciel ouvert


    • pemile pemile 24 avril 13:36

      @Francis, agnotologue « Allez, pour rire un peu »

      Merci, mais je préfère le Gorafi que Tocsin-media !


    • Legestr glaz Legestr glaz 24 avril 15:07

      @pemile

      Donnez le moi et qu’on en parle plus ! 


    • Legestr glaz Legestr glaz 24 avril 15:16

      @pemile

      Non ce n’est pas mon « expertise ». Parce que, voyez vous, il suffit de produire ici même, une seule étude, pas deux, pas trois, mais « une seule » étude, dans une recherche virale, qui évoque la mise en place d’un « contrôle négatif ».

      Si vous aimez être abusé, moi pas ! Tenez donc pour vrai que c’est un « méchant virus » qui provoque l’effet cytopathique. Mais de ceci il n’existe strictement aucune preuve. Et lorsque l’on veut « prouver, en science, l’existence » de « quelque chose », on en apporte des « preuves irréfutables ». 

      Comme j’ai eu l’occasion de vous l’écrire : vous êtes dans une impasse parce qu’il vous est impossible de prouver, comme toute la virologie d’ailleurs, que l’effet cytopathique, « attribué par hypothèse » à un « méchant virus », n’est pas le résultat de la méthode ! (emploi d’antibiotiques, emploi d’agents chaotropiques, cellules extraites de leur milieu naturel, etc).

      Tant que vous n’aurez pas produit « ici », une étude, n’importe laquelle, indiquant dans le séquençage d’un génome viral un « contrôle négatif », vous n’aurez rien prouvé. Et c’est pas demain la veille que cela va se produire parce que ces études n’existent pas. Et pour cause : les virus sont des « artefacts biologiques » ! Et la virologie est une pétition de principe, une énorme escroquerie ! 


    • Legestr glaz Legestr glaz 24 avril 15:20

      @PaulAndréG (PàG)

      Vous écrivez : « Le prêcheur quotidien se dégonfle quand il s’agit de passer de la théorie à la pratique   ».

      Vous n’êtes pas dans mon carnet de rendez-vous. Désolé ! 


    • pemile pemile 24 avril 16:47

      @Legestr glaz " il vous est impossible de prouver, comme toute la virologie d’ailleurs, que l’effet cytopathique, « attribué par hypothèse » à un « méchant virus », n’est pas le résultat de la méthode ! "

      Toujours fâché avec le scandale du sang contaminé, explique nous l’effet des dépistages des donneurs (test Elisa ou Abbott) imposés par certains pays, et comment agit le chauffage des lots ?


    • Legestr glaz Legestr glaz 24 avril 18:47

      @pemile

      Répondez donc à la question qui vous fâche tant ! Il n’existe aucune étude de séquençage viral qui montre la mise en place d’un « contrôle négatif ». Alors que ce point est « fondamental » aucune étude de séquençage viral ne met en place de contrôle négatif pour s’assurer que ce n’est pas la méthode qui produit le résultat ! Un comble ! Un biais méthodologique rédhibitoire ! 

      On peut dire que sans l’existence de preuve, les virus sont de simples « artefacts biologiques ». Il appartient aux expérimentateurs de prouver l’inverse ! Et comme toutes les maladies « attribuées à des virus » trouvent une explication dans d’autres phénomènes, il suffit pour cela d’utiliser le principe du rasoir d’Ockham, alors il ne reste rien à cette pseudo science qu’est la virologie : une arnaque démoniaque qui rapporte un fric fou !

      Vous avez carte blanche pemile pour trouver une « seule » étude qui aborde le sujet du « contrôle négatif ». La virologie est un « sophisme scientifique », la virologie est une escroquerie, la virologie est une pétition de principe.


    • PaulAndréG (PàG) PaulAndréG (PàG) 24 avril 19:39

      @Legestr glaz
      .

      « Legestr glaz 24 avril 18:47
      @pemile
      Répondez donc à la question qui vous fâche tant ! Il n’existe aucune étude de séquençage viral qui montre la mise en place d’un « contrôle négatif ». Alors que ce point est « fondamental » aucune étude de séquençage viral ne met en place de contrôle négatif pour s’assurer que ce n’est pas la méthode qui produit le résultat ! Un comble ! Un biais méthodologique rédhibitoire ! »

      PaulAndréG (PàG) 22 avril 08:51
      @Legestr glaz
      .
      « La virologie est une pseudo science qui devrait disparaitre. »
      .

      Mais l’anti-virologie est une maladie chronique avec des poussées quotidiennes qui se manifestent par une logorrhée écrite mono maniaque"
      .

      mais le Docteur Legestr glaz se débine dès qu’on lui demande un peu de précision sur les traitements qu’il préconise smiley


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