vendredi 10 avril 2020 - par eau-du-robinet

CHLOROQUINE : l’appel URGENT d’un groupe de médecins

Le 26 mars, le gouvernement a INTERDIT aux médecins de terrain de prescrire aux malades le médicament le plus prometteur contre le coronavirus.

Un médicament qui était sur le marché depuis 50 ans, en vente libre et qui a été soudainement interdit, ceci en pleine crise du coronavirus !

Voici l'appel des médecins (Dr. Erik Ménard)

 


 

On n’a jamais vue un scandale aussi énorme
 

On peut se poser des questions sur cette interdiction soudaine de la Chloroquine qui ne fait qu’aggraver la situation sanitaire, qui contribue aux débordements des services des urgences, qui ne fait qu’inutilement prolonger la durée du confinement, et qui a mis à l'arrêt notre économie.

De plus en plus de médecins se révoltent contre la politique menée par le gouvernement Macron !

J'ai décidé d'écrire cet article pour soutenir la demande des centaines de médecins en France, en vue de sauver des vies, car en interdisent la Chloroquine un médicament qui a démontré son efficacité dans plusieurs pays du monde, on ne fait qu’accroitre le nombre des morts.

Une partie du corps médical (essentiellement proche du pouvoir politique) comme le docteur Yves Lévy, le mari d'Agnes Buzyn, mènent une guerre médicale / médiatique inédite contre le Professeur Didier Raoult à Marseille et contre la chloroquine. J'espère que ses gens-là, ainsi le gouvernement Macron, devront plus tard s'expliquer devant des tribunaux, car des plaintes ont été déjà déposées...

Coronavirus : une plainte contre Edouard Philippe et Agnès Buzyn a été déposée
Un collectif de centaines de médecins et soignants a porté plainte contre le premier ministre et l'ancienne ministre de la Santé pour « mensonge d’État ».
 

Rassemblés dans un collectif nommé C 19, plus de 600 médecins ont porté plainte jeudi 19 mars 2020 contre l'ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn et le premier ministre Édouard Philippe qu'ils accusent de « mensonge d’État » dans leur gestion de la crise d'épidémie de coronavirus. Les trois médecins fondateurs de ce collectif - Philippe Naccache, Emmanuel Sarrazin et Ludovic Toro - ont pour ce faire saisi la Cour de Justice de la République, seule juridiction habilitée à juger les actes commis par les membres du gouvernement dans l'exercice de leurs fonctions.

Cette catastrophe sanitaire est amplifiée par la politique mondialiste et néolibérale dictée par la Commission européenne à notre gouvernement à travers les GOPE's, qui visent à tout privatiser, donc les conséquences sont la fermeture d'un nombre important de cliniques, voire la suppression d'un nombre important de lits d'hôpitaux ainsi une réduction du nombre du personnel hospitalier, voire un personnel mal rémunéré !

1 200 médecins hospitaliers démissionnent de leur fonction d’encadrement (Le Monde)
Selon eux, il manque 600 millions d’euros aux 200 millions supplémentaires débloqués pour 2020 par le gouvernement en faveur de l’hôpital public. 

Retraite, chômage, Sécu : « L’État ne sert plus le bien public » avec JACQUES SAPIR (REE)
 

L'appel d'URGENCE des médecins

Contre le nouveau coronavirus il existe un médiatement très prometteur, l'hydroxychloroquine appelé aussi Plaquenil.

Les Chinois en ont vérifié l'efficacité dans plusieurs études et l'ont recommandé à leur médecin.

La Corée du Sud l'a utilisé massivement, avec d'excellents résultat contre l'épidémie.

L'état marocain a décidé de donner ce traitement à tous les malades et les résultats épidémiologiques paraissent positifs.

Le Professeur Raoult à Marseille a des résultats préliminaires très encourageants avec ce médicament surtout quand il est associé à un antibiotique, l'azithromycine.

Même le directeur général de Novartis, un grand laboratoire pharmaceutique suisse, a déclaré que l'hydroxychloroquine est le "plus grand espoir de traitement" contre le coronavirus.

Et pourtant, depuis le 26 mars 2020, la France interdit à la plupart des malades de bénéficier de ce traitement. Le gouvernement interdit à tous les médecins de terrain, de prescrire ce médicament prometteur aux patients victimes du Covid-19.

C'est un scandale inimaginable

Les médecins généralistes pourraient sauver des vies, mais on les en empêche.

Les médecins généralistes pourraient éviter des milliers d'hospitalisations, mais on les en empêche.

Les médecins généralistes pourraient même contribuer à permettre une sortie plus rapide du confinement, mais on les en empêche.

Il faut agir, et c'est pourquoi des centaines des médecins vous demandent de signer d'urgence la pétition.

Il faut faire ce que le gouvernement empêche les médecins généralistes à faire, sauver des vies, et sortir le plus rapidement de ce confinement généralise ou on met inutilement des gens en bonne santé en quarantaine !

"Un scandale absolu" : Comment Macron a refusé 150.000 tests de coronavirus par semaine

Depuis le 13 mars, le gouvernement dispose d'une solution pour augmenter considérablement les capacités de tests de la France. Mais rien n'a bougé.

 

Dans la clinique du Dr Raoult :  !!! sur 701 patients traités, 1 seuil décès !!!

FR - Hydroxychloroquine et Azithromycine - Entretien avec le Pr Éric Chabrière de l'équipe du Pr Didier Raoult à l'IHU Méditerranée Infection de Marseille, qui présente de nouveaux résultats : sur 701 patients traités, 1 seuil décès (0,14%) ; débat avec le Dr Roland Tubiana, infectiologue à l'Hôpital de la Pitié-Salpetrière, la Dr Marie-Laure Alby, médecin généraliste, et Georges Ruiz, Président de Labosud et du Groupe INOVIE (Sud de la France) - 27.03.2020 - Marseille et Boulogne-Billancourt, France.

Un blocage administratif

L'explication (parcellaire) fournie jusqu'à présent par les services d'Olivier Véran, qui refusent de répondre aux questions, tient en une formule sibylline, répétée hier encore par le Premier ministre : « C'est à l'étude. […] Nous avons des normes réglementaires à respecter. »

Mais quelles normes ?
Curieusement, elles n'embarrassent ni les Allemands, ni les Belges, ni les Espagnols qui mobilisent d'ores et déjà toutes les ressources disponibles, y compris leurs laboratoires vétérinaires. Mais en France, depuis une loi du 30 mai 2013, les laboratoires de biologie médicale vétérinaire n'ont plus le droit de traiter le moindre prélèvement issu d'un corps humain, et inversement.

Si bien qu'à ce jour, seul le laboratoire départemental des Bouches-du-Rhône réaliserait des tests Covid-19… Parce qu'il compte dans ses effectifs un médecin biologiste, habilité à traiter des échantillons que les vétérinaires biologistes ne peuvent pas toucher.

« C'est absurde. Il n'y a que l'homme pour se considérer comme non-mammifère  », s'étrangle Jean-Louis Hunault. «  Un virus est un virus, quel que soit le corps où il se loge. » Mais pour autoriser les vétérinaires à traiter des échantillons humains (ce que d'autres pays font sans problème), il faudrait modifier la règle. Et vérifier, bien sûr, la validité des tests. « Concrètement, nous en sommes là. Nos tests existent. L'Institut Pasteur doit les homologuer, et nous les rectifierons au besoin. Dès l'homologation reçue, et si le gouvernement donne son feu vert, nous pouvons déclencher la production de tests, disponibles sous 15 jours. Mais tant que nous n'avons pas ce feu vert, nous ne pouvons rien faire… »

Alors à qui profite cette obstruction du gouvernement Macron de combattre avec efficacité le coronavirus ?
A qui profite ce crime ?

Voilà mon analyse personnelle

J'ai 4 hypothèses :

- C'est un enjeux financier majeur pour l'industrie pharmaceutique de sortir, dans un an, un médicament "miracle" contre le coronavirus qui coutera certainement 100 fois plus cher que la chloroquine, sachent qu’un paquet de comprimées de la Chloroquine coute moins de 6 Euros et suffit à soigner un patient !!!

- Le coronavirus « au service du Gouvernement » ! D'un coup plus de manifestations dans les rues, plus de contestations sociales, et je le prédis, les rassemblements de masses seront certainement interdits au moins jusqu'à la fin de l'année. On parie ?

- La plupart des banques françaises sont gravement surendettées, proche de la faillite, c'est que la planche à billets qui les tient en vie ! C'est ainsi que le coronavirus fait le bouc-émissaire idéal pour être désigné comme coupable de la faillite bancaire, à laquelle on ne pourra pas échapper. Car le passé nous a démontré ou l'usage abusive de la planche à billets nous amène.
Vers un tsunami bancaire


- Le laisse aller, laisser trainer le coronavirus, servira aussi à instaurer des nouvelles lois liberticides, comme l'installation des applications de surveillance de masses dans nos smartphones, bref comme la Chine le fait déjà depuis plusieurs années  !

Une remarque concerne la manipulation de la comptabilisation du nombre des morts due au coronavirus. Un malade qui a le cancer, pour ne prendre qu'un exemple, et qui rattrape le coronavirus, dans quel statistique va-t-on l’enregistrer ? Dans celles du mort du cancer ou celle du coronavirus ?
Devinez ?

Pour rappel : la Lettre ouverte de médecins du mois dernier
« Nous médecins, nous voulons redire que notre engagement contre la maladie sera sans faille, aucun d’entre nous ne manquera à l’appel. Nous ferons tout pour soigner le plus possible de malades dans les meilleures conditions, mais aujourd’hui nous ne pouvons plus nous taire. »

Le gouvernement fait-il vraiment la guerre au coronavirus ?
Alors que nous manquons déjà de lits de réanimation, de masques, de respirateurs, de bras,... la loi d’urgence sanitaire prise par le gouvernement ce mercredi 18 mars 2020 donne tous les droits aux préfets aux employeurs pour remettre en cause le code du travail et les statuts de la fonction publique.

Était-ce réellement l’urgence ? 
Mais rien sur les usines réquisitionnées pour fabriquer masques, respirateurs...

Rien sur la réouverture des lits nécessaires

Rien sur le dépistage systématique qui a fait ses preuves en Allemagne et en Corée du Sud

Qu'en est-il aujourd'hui, dans notre pays de cette logistique nécessaire pour gagner le combat contre le coronavirus ?

Le pouvoir exécutif semble en décalage entre les annonces rassurantes, la volonté affichée de transparence et la réalité du terrain que les soignants font remonter sans cesse et de tous lieux. Deux exemples, ils sont aussi simples que vitaux.

Alors que depuis des années les structures hospitalières sont matériellement asphyxiées par les enveloppes budgétaires, on nous annonce la fabrication de masques sans que soient donnés d'éléments précis : combien sont produits ? Où ? Quels délais ? Quels moyens de livraison ? Quels modes de distribution ?

Alors que depuis des années, les politiques gouvernementales ont supprimé des milliers de lits de réanimation et soins intensifs (passant d'environ 26 000 lits à 13 000), le pouvoir exécutif nous annonce la mise en œuvre de moyens exceptionnels. Soit, mais la logistique étant cruciale, la confusion est mortelle : combien de respirateurs sont en cours de fabrication ?

À ce jour, quel préfet est en mesure de répondre aux soignants qui sont sur le front ? La responsabilité, l'urgence, du gouvernement est de fournir les armes et les moyens de combattre. La transparence est d'en rendre compte précisément.

Nous, médecins, refusons de devoir choisir entre un malade grave que nous allons soigner et un très grave que nous allons laisser mourir.

Voici une analyse intéressante de Radio Québec

Vous pouvez aider les médecins, le personnel hospitalier en France de combattre efficacement le Coronavirus en signant la pétition lancée par des médecins.

Diffusez ce message, cella doit être viral ... Merci à vous.



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