samedi 22 août 2009 - par Mmarvinbear

Châteaux de cartes

Le 11 septembre 2001 fait partie de ces rares dates dont le simple énoncé suffit à désigner l’événement auquel on veut faire référence. Ce qui s’est passé ce jour-là est si fondamental que les suites s’en font encore sentir aujourd’hui.
Mais tellement de choses ont été dites, dans un sens comme dans l’autre, qu’un quidam ne saurait y retrouver ses petits et ne pourrait se faire une opinion. De plus, l’esprit humain a ceci qu’il modifie toujours un peu ce qui vient à lui. Il interprête, pour faciliter la compréhension de concepts qu’il ne maîtrise pas forcément. En général, c’est là que les ennuis commencent...

Les événements médiatiques ont ceci qu’ils imprègnent la mémoire des gens, sans pour autant leur donner les clés pour tout comprendre. Ce n’est que bien après, lorsque l’émotion fait place à la réflexion, que l’on peut se demander si ce à quoi on a assisté était réel ou non. Et si ce que les autorités nous en ont dit est la stricte vérité, un mensonge éhonté, ou pire encore, un mélange des deux.

Tout d’abord, que fut le World Trade Center ?

Ce fut un ensemble d’immeubles de bureaux construits à Manhattan. Le besoin de nouveaux espaces était tel que dès 1946, il fut décidé de concevoir un groupe d’immeubles destinés à l’activité économique. Le projet patina un temps, dut quitter le site originellement choisi et ce n’est qu’ en 1960 que les premiers plans furent dressés. Le projet était alors sous l’égide du Port de New York, un organisme public cogéré par les Etats de New York et du New Jersey. Le projet traina encore un peu, car les occupants du site choisi furent exigeant quand aux conditions de leur déménagement. Mais en 1964, les plans définitifs furent rendus public. Les travaux débutèrent en 1966 et s’achevèrent en 1972, pour une inauguration officielle l’année suivante.

Las, l’ouverture des bureaux à la location intervint au moment du premier choc pétrolier. La clientèle prévue ne se bouscula pas au portillon et les immeubles abritèrent les premières années les services gouvernementaux.
La renommée du site se développa tout de même. La proximité de Wall Street fit que de nombreuses firmes financières choisirent de s’y installer, contribuant à l’essor du site.

En 1998 cependant, le Port de New York décida de privatiser le complexe afin de réduire les dépenses publiques. Il fut acheté en Juillet 2001 par Larry Silvestein, un riche investisseur, qui était deja propriétaire d’un immeuble en bordure du complexe. La transaction effectuée, l’immeuble en question fut rebaptisé WTC 7. Larry eut la présence d’esprit de ne pas négliger d’assurer son nouvel ensemble, bien que tous les contrats n’aient pas tous été finalisés le 11 septembre, jour de la destruction du complexe.


Comment furent conçues les tours ?

Les tours 1 et 2 étaient baties selon le même principe, le prismatisme. Un concept révolutionnaire pour l’époque, qui permettait de contruire de hautes structures en un temps record. Autour d’un noyau central en béton, les étages avaient une structure en treillis et le plancher était fait de béton armé, qui prenait appui sur les poutres extérieures. On avait alors pour résultat une structure à la fois légère, stable et rigide, ou les forces étaient équitablement réparties, ce qui garantissait la solidité de l’ensemble.

Une fois construites, les tours furent vendues comme étant très sûres. Le noyau central (ou se trouvait les ascenseurs et les escaliers) portait 60 % de la charge et les poutres extérieures 40 %. Mais elles avaient été conçues pour pallier à un éventuel impact aérien. Les poutres restantes ainsi que celles du noyau central devaient alors supporter la surcharge.

Construites à la fin des années 60, les tours devaient résister à l’impact d’un boeing 707 à pleine charge, soit un peu plus de 100 000 tonnes.

Bien entendu, les risques d’incendies étaient aussi prévus. Le béton et le métal des tours étaient entourés de produits ignifuges. Mais même les plus performants de ces isolants ont leurs limites. Ces mousses n’ont d’ailleurs pas une durée de protection illimitée. Elles doivent permettre à la structure de résister le temps que les pompiers interviennent. La législation prévoit un temps minimum de deux heures de protection, ce qui est semble t-il suffisant.

Le problème, c’est que le temps ayant passé, les 707 qui avaient servis d’étalon pour la protection avaient été remplacés par des avions bien plus massifs.

Et surtout, la protection incendie allait se montrer défaillante à plus d’un titre.


La journée du 11 septembre 2001

Le 11 septembre, les tours furent frappées chacune par un avion de ligne détournés et jetés volontairement sur les immeubles.

A 8 h 46 (heure locale), un 767 heurta la première tour de plein fouet. Sa masse était d’environ 200 000 tonnes. Le double d’un 707.

A 9 h 03, alors que les caméras du monde entier (en tout cas celles de CNN et des autres grands networks...) filmaient l’incendie du premier impact, la tour sud fut frappée à son tour, en direct. L’avion était également un 767.

La tour sud s’effondra la première, à 9 h 59. La tour nord suivit une demi-heure après.

Les immeubles voisins subirent les ondes de choc des effondrement, ainsi que les impacts des débris projetés lors des crashs des avions. Jugés irréparrables, les batiments furent démolis dans les mois qui suivirent. La tour 7 n’eut pas une telle longévité car elle s’effondra en fin d’après midi ce même 11 septembre.

La chute des tours fut rapide. Très rapide. Certains disent même trop rapide.

Diverses théories ont été échaffaudées pour expliquer l’effondrement de ces structures censées résister à un crash aérien.

Si on excepte les tenants de la théorie des explosifs, tous les architectes et les ingénieurs sont d’accord sur le fil général des événements.

La tour encaisse l’impact. L’avion pénètre dans l’immeuble en détruisant une partie des piliers extérieurs et atteint le noyau central qui est en partie détruit. Pourtant, l’immeuble ne s’effondre pas immédiatement.

La raison en est sa structure : les piliers détruits sont compensés par ceux restés intacts, qui jouent leur rôle tout comme il avait été prévu dès le départ.

Hélas, le choc a aussi pulvérisé une partie des protections incendies, et le feu démarré au kérosène se poursuit et s’entretient avec les combustibles (bois, papiers, plastiques et autres) présents sur place. Ce feu atteint une température de 250 à 500 degrés selon les experts et les pompiers. C’est insuffisant pour faire fondre les piliers restant, mais assez pour leur faire perdre de la rigidité, d’autant plus rapidement que les piliers restant doivent supporter une charge supérieure. Et moins un pilier est rigide, moins il peut supporter de poids.

Les pompiers eux, ne peuvent accéder au coeur de l’incendie : les escaliers sont détruits. La tour est beaucoup trop haute pour y accéder de l’extérieur, et les systèmes anti-incendie automatiques ont été pulvérisés par l’impact de l’avion. Le feu est donc libre de se répandre, tant qu’il y a des carburants.

Amollis par la chaleur, les piliers du coeur restant finissent donc par lacher, entrainant les planchers solidaires de béton armé. L’avion ayant heurté l’immeuble au niveau du 92è étage, ce sont donc l’équivalent de plus de 20 étages qui se mettent à tomber sur le reste de la tour. La force de gravité fait le reste et en quelques secondes, il ne reste plus rien du château de cartes.


Le cas de la tour numéro 7


La tour numéro 7 est un cas à part du complexe. Parce que au départ, l’immeuble n’en faisait pas partie...
L’immeuble était propriété de Larry Silvestein. Quand ce dernier racheta le WTC, l’immeuble fut rebaptisé et intégré administrativement à l’ensemble.

Sa conception était aussi différente. L’immeuble remplaçait un batiment plus ancien dont il reprenait une partie des fondations. Ce qui expliquait la répartition étrange des piliers des fondations.
L’immeuble abritait de nombreux services étatiques, ainsi qu’une partie de divers organismes qui composent les services secrets (!) américains.

Pour cette raison, le batiment possédait ses propres groupes électrogènes, ainsi que des réserves de carburant pour les faire fonctionner.
Le 11 septembre, aucun avion ne heurta cet immeuble. Mais sa proximité avec la tour nord et le fait que la tour 6 du complexe n’était qu’un petit immeuble de 7 étages fit qu’il fut heurté par des débris incandescents de l’impact du premier avion. La structure fut fragilisée par le choc, puis les incendies qui s’y déclenchèrent. Constatant, en accord avec les pompiers de New York, que l’immeuble était perdu, le propriétaire accepta de faire retirer les derniers hommes du feu et de laisser le batiment à son sort. Le 7 WTC s’effondre en fin d’après-midi.



Le Culte du Complot

Avec tous les services sensibles présents au sein du 7 WTC, il n’est au final pas vraiment étonnant que beaucoup de questions restent encore sans réponses au sujet de son effondrement. La théorie actuelle de l’incendie et du choc qui a miné les structures d’un immeuble aux fondations peu conventionnelles est tout de même acceptée de la quasi-totalité des cabinets d’architectures, qui ne voient rien d’anormal dans le déroulement de la catastrophe.

Mais le culte du secret est aussi un terreau dont se délectent les conspirationnistes, pour qui rien ou presque n’est vrai dans la Version Officielle.

Il est vrai que les questions abondent. Et que des reponses sont parfois rares ou semblent tirées par les cheveux.

Ainsi le gros du bataillon des conspirationnistes est convaincu que les trois batiments, ou en tout cas un des trois, ont ou a été détruit de façon volontaire, avec des explosifs.
Pour les tours 1 et 2, les comploteurs s’appuient sur le fait qu’ aucune enquête n’a été dilligentée pour trouver des traces d’explosifs, ainsi que le veut la procédure criminelle américaine.

C’est un point exact. Mais comme je l’ai signalé dans un post précédent, ces deux immeubles ont été heurtés par un avion chacun. La théorie comme quoi les enqueteurs ont délibérément omis de rechercher des explosifs pour la bonne et simple raison qu’ils estimaient d’office que le choc puis les incendies étaient la cause première de la destruction me semble valable. D’un point de vue procédurier fautif, mais logique. Un policier qui voit un homme se faire abattre par une arme a feu ne va pas chercher sur la victime des traces de noyade.

En ce qui concerne la tour 7 (ainsi que pour certains, les tours 1 et 2), le problème est différent.

Les comploteurs s’appuient sur deux points. La chute rapide de l’immeuble, qui ressemble à ce qui se produit lors d’une démolition controlée, et une enquête indépendante qui affirme trouver des traces de thermite (ou de thermate, ce point n’est pas définitif comme vous le verrez après.).

Leur hypothèse de base est que la tour 7 a été rasée volontairement par les services américains afin de détruire facilement et rapidement des preuves montrant que le gouvernement de l’époque SAVAIT qu’un attentat de grande ampleur allait se produire (le Laisser-faire), ou que le gouvernement américain AVAIT programmé l’attentat (Théorie du Travail Intérieur).

L’apparente destruction contrôlée servant bien entendu de preuve. Ces images en feraient foi :
http://www.youtube.com/watch?gl=FR&...

Bien entendu, les complotistes laissent de nombreuses questions gênantes sans réponses.

Par exemple, comment les explosifs auraient pu être mis en place, sachant qu’une démolition controlée nécessite des semaines, voire des mois de travail de sape et de minage. Et même si l’immeuble appartenait à des services secrets, comment garder discrets des travaux très bruyants et nécessitant du matériel assez lourd ? Ce point n’est jamais dévelloppé.

Cette preuve est, malheureusement pour les complotistes, réfutée par les images qui suivent : http://www.youtube.com/watch?gl=FR&...

Cette vidéo montre les dégats subis par le 7 WTC lors de la chute de la Tour Nord. On peut également y voir les images des incendies qui y ont fait rage. On voit également la chute d’un autre angle, qui montre que loin d’être une démolition controlée, le 7WTC se brise en fait en deux : la façade avant et le toit-penthouse chutent en premier, suivis par le restant de l’immeuble deux secondes plus tard.
 

Le second point, qui a relancé la thèse du complot, serait la présence d’un explosif, la thermite, dont des résidus auraient été découverts dans les poussières du 7 WTC.

Premier point faux, la thermite n’est pas un explosif à la base. C’est ce que les ingénieurs appellent un incendiaire. C’est un mélange de poudre d’aluminium et d’oxyde de fer. Incendié, le mélange réagit très fortement en atteignant une température de 2500 degrés. Le mélange est utilisé pour percer des poutres métalliques, ou bien pour souder.

Une variante de la thermite, la nanothermite, utilise une poudre plus finement moulue. La réaction n’en est que plus intense et violente. Son coût est apparemment très très élevé et elle n’est pas utilisée dans l’industrie. Par contre, c’est un excellent carburant solide pour fusées d’appoint.
Une autre variante de la thermite, la thermate, est composée de deux tiers de thermite et d’un tiers de nitrate de baryum et d’un peu de soufre. Le mélange a pour but de catalyser la réaction chimique de façon plus efficace.

Steven E. Jones a relancé la théorie du complot en prétendant avoir trouvé des résidus issus de thermite qui n’a pas réagi. Son article a été publié dans une revue danoise mais pour le moment, aucun grand journal tels que « Science » ou « Nature », les bibles du milieu scientifique, ne s’en font l’écho.
Outre le fait que Jones est connu pour certaines positions plus que controversées (tels que la défense de la fusion froide ou la visite de Jésus chez les Mayas), ses analyses sont très discutées car ses expériences ont de sérieuses failles procédurales, et ses conclusions apparaissent comme très peu concluantes.

Ainsi, pour justifier la présence de thermite, il argue de la présence de fer, de chrome et d’aluminium dans les poussières. Il ne doit pas savoir que l’acier, qui était abondant dans les tours, est composé de fer, de carbone, mais aussi de chrome et d’aluminium.
Il se base également sur la présence de soufre. Mais le soufre est un composant du gypse, que l’on retrouve dans le plâtre.

Le lecteur curieux en saura plus en cliquant sur ce lien : http://www.bastison.net

Plus précisément dans la rubrique « l’alchimie du complot », ou les failles de raisonnement de Jones y sont détaillées.


On voit donc qu’en ce qui concerne les tours du World Trade Center, nulle mauvaise magie républicaine n’est nécessaire pour expliquer la destruction du complexe. On peut bien entendu déplorer l’usage qui fut fait de l’événement par la suite, mais cela ne remet pas en cause la version actuelle du cours des événements.
Dans un prochain post, nous verrons ce qu’il en est des autres événemenst qui se produisirent également ce jour-là, à savoir l’attaque sur le Pentagone et ce qui advint du quatrième avion détourné ce jour-là.
P.-S.


397 réactions


  • Wondrak Wondrak 22 août 2009 11:21

    La masse d’un 767 « d’environ 200 000 tonnes » : ça me paraît beaucoup, non ? 


    • LeGus LeGus 22 août 2009 12:07

      Oui c’est à la grosse louche.
      En effet le B767-200ER a une masse maximum au décollage de 179 170 kg pour de 181 à 255 passagers, avec 90.770 litres de kérosène pour une autonomie de 12250 km. Source :
      http://fr.wikipedia.org/wiki/Boeing_767
      Considérant le cas du 11 sept. avec un plan de vol de 6000km et 100 personnes à bord,
      la masse devait être sensiblement équivalente au cas du B707 envisagé à la construction.
      C’est à dire un B707 pleine charge lancé à 950km/h. sources :
      http://fr.wikipedia.org/wiki/WTC
      La masse du B707 116.570kg source :
      http://fr.wikipedia.org/wiki/Boeing_707

      Compte tenu des marges prises en construction il n’y a pas de différences notables.

      Approximation, approximation, le reste est à l’avenant.


    • Mmarvinbear mmarvin 22 août 2009 12:33

      Héhé...

      Erreur de ma part oui, j’ai fait une petite erreur d ’unité de mesure, mais je ne l’ai remarqué qu’une fois l’article envoyé...

      Désolé pour la faute et merci de l’avoir corrigée...


    • Jean Lasson 22 août 2009 13:01

      Oui, je voulais poser la même question. Ce sont les tours jumelles qui pesaient environ 200.000 tonnes chacune, dont environ 100.000 tonnes d’acier.

      La question pour les avions est celle de leur énergie cinétique à l’impact (E = 1/2 m . v² , m la masse de l’avion et v sa vitesse) et de la façon dont les tours ont absorbé cette énergie.

      J’ai noté beaucoup d’omissions dans cet article - mais il est bien sûr impossible de tout évoquer dans un court article - ainsi que des imprécisions et erreurs qui conduisent à une conclusion - l’effondrement des trois tours sans explosifs - qui, à mon avis, n’est pas valide.

      Avant d’entrer dans ces détails qui posent problème, je tiens à rendre hommage à l’auteur : il est courageux de sa part d’aborder ce sujet, surtout d’un point de vue technique. J’espère qu’il est bien armé pour argumenter sur tous ces aspects...

      Pour commencer et pour savoir de quoi l’on parle, voici une représentation (modélisation 3D à partir des plans détaillés) de la structure des tours jumelles (WTC1 et WTC2). Puis voici la construction modélisée de leur structure. Les planchers étaient en tôle d’acier recouverte d’une fine couche de béton et soutenue par des poutres en acier assez légères (trusses). La portance du bâtiment était assurée à 60 % par les 47 colonnes du cœur central (core) et à 40 % par les 240 colonnes des façades formant un tube souple et très résistant en acier spécial. Le facteur de sécurité global était de 2,5 (de mémoire), c-à-d que le bâtiment serait resté debout avec seulement 40 % de ses colonnes intactes, 60% étant coupées...

      Voici maintenant une étude, par la méthode FEA (finite element analysis) de la résistance du WTC1 (ou WTC2) à la destruction de colonnes. Cette étude conclut que le bâtiment n’aurait pas dû s’effondrer.

      Voici enfin une représentation de la structure du WTC7. Comme vous pouvez voir, c’était aussi du solide...


    • ffi ffi 22 août 2009 19:12

      Franchement, il n’y a pas même à s’embêter à calculer.

      Selon le Principe de Moindre Action (Maupertuis), à la base de toute la physique moderne, si une poutrelle a le choix entre tomber du coté du vide et tomber au travers de 200 000 tonnes d’acier et de structures, même extraordinairement affaiblies, alors la poutrelle tombera dans le vide. D’où qu’un effondrement en général montre des blocs scindés en plusieurs morceaux.

      Or là ce n’est pas le cas, le toit de l’immeuble s’effondre en traversant tout la structure jusqu’aux fondations, comme s’il traversait le vide. C’est incompatible avec le Principe de Moindre Action.

      Il y a deux explications possibles :

      1°/ Des explosifs ont été posés dans les structures pour les affaiblir.

      2°/ Dieu, voyant que l’armée de l’air américaine avait déjà suivi le principe de moindre action, a décidé d’en dispenser les tours.

      http://www.ensmp.fr/aflb/AFLB-333/aflb333m568.htm


  • Deneb Deneb 22 août 2009 11:26

    Il est tout de même scandaleux que les entreprises de demolition ne se sont pas inspirées de la chute du WTC 7. Ces arnaquers nous font toujours croire qu’il faille des semaines de préparation et un budget astronomique pour démolir un gratte-ciel, alors qu’il suffit d’y mettre le feu.

    Aussi, on ne saura probablement jamais pourquoi NORAD, les gendarmes du ciel de la première puissance économique et militaire sont restés cloués au sol pendant les attentats, alors qu’il suffit en genéral qu’un avion dévie de sa trajectoire pour avoir droit à leur charmante compagnie. Panne du reveil ?


    • Mmarvinbear mmarvin 22 août 2009 12:35

      Putain Deneb tu peux pas faire un effort et écrire un nouveau post plutot que de recycler tes anciens ???

      Si les étoiles étaient aussi actives que toi à ce niveau, on serait pas éclairé souvent...


    • Deneb Deneb 22 août 2009 13:22

      Toi aussi tu aurais pu faire un effort au lieu de recopier la version officielle


    • Muadib 22 août 2009 14:43

      @deneb

      Oui, il faut des semaines pour détruire un batiment.
      Le WTC7 n’ayant pas été l’objet d’une DC, votre argument est un non-sens.

      Concernant le NORAD, les explications ont déjà été nommés maintes fois et l’interception d’avion sans transpondeur dans le délai imparti le 09/11 relevait du miracle. ( Elle était même chronologiquement impossible pour deux d’entre eux...)
      De plus, vous adoptez l’argument classique de « les USA première puissance économique et militaire » sans vous souciez des moyens mis en oeuvre pour la surveillance de leur espace intérieur.

      Informez-vous.


    • Deneb Deneb 23 août 2009 08:20

      Merci, Le Sudiste.

      Mmarvin avec ses nounours. Et ses articles neuneu.

      Bon, il ne faut pas tomber dans l’homophobie primaire. Les homos c’est comme la religion. Tant qu’ils sont discrets, tout va bien, on se dit : chacun son truc. C’est quand ils commencent a faire du militantisme identitaire, là ils sont aussi cons que le reste des fachos.


    • Deneb Deneb 24 août 2009 07:53

      Muadib

      C’est à l’ecole des ingenieurs que l’on apprend la mauvaise foi et la langue de bois ? Votre réaction est digne de la bureaucratie stalinienne, et je mesure mes mots.


  • Philou017 Philou017 22 août 2009 11:29

    Votre article est très rigolo tant il est truffé d’inexactitudes, de contre-vérités, d’approximations, sans parler des nombreux oublis.
    Naif à la limite. Belle innocence....


  • Fergus fergus 22 août 2009 11:35

    Un article bien écrit et bien argumenté qui rejoint ma propre opinion : contrairement à ce qui a été affirmé ici et là, il n’y a probablement pas eu de complot mais un dramatique enchaînement d’évènements. 


    • LeGus LeGus 22 août 2009 12:11

      Ah bon, vous n’êtes pas partisan de la thèse officielle c’est à dire un « COMPLOT islamiste en grotte afghane » ?
      huhuhu.


    • wesson wesson 22 août 2009 16:10

      Bonjour Fergus,

      « il n’y a probablement pas eu de complot [...] »

      Ces à ces insignifiant changements sémantiques que l’on s’aperçoit que les tenants acharnés de la théorie officielle ne sont plus aussi convaincu qu’il n’aient pu l’être.


    • ffi ffi 22 août 2009 22:55

      Qui certes rejoint votre opinion, mais qui s’éloigne fortement de la vérité.


  • Asp Explorer Asp Explorer 22 août 2009 11:40

    Merci.

    Correctif : il me semble qu’il s’agit de 100 tonnes, et non 100 000, la masse des avions.

    Sinon, bon courage pour « la suite ».


  • fred 22 août 2009 11:59

    Neger sioniste... (= + :-négationniste, rigolo non ? smiley


  • Arcane 22 août 2009 12:04

    A L’auteur,

    Euh , ca va pas la tete ? On est sur Agoravox ici ! Faut des theories mysterieuses et paralleles, pas de la realite !

    Y’a meme pas une once de complot ou d’amalgame dans ce papier ! Vous ne serez jamais bien note avec ca. Je predis un score catastrophique pour votre article et je crois que le fameux top 4 sera compose de commentaires complotistes.

    Pourtant meme le directeur du site vous montre l’exemple de ce qu’il faut publier et vous Marvin, vous faites l’inverse !

    Bon allez, ca va pour cette fois ; mais ne recommencez plus !

    Et rendez-nous les smileys !


    • ffi ffi 22 août 2009 23:17

      Et le Principe de Moindre Action, Mr chantecler ?


  • paul muadhib 22 août 2009 12:22

    sujet complexe, ..sans avoir tous les tenants et aboutissant, des le 1er jours , le 11/9 , j’ai trouve très suspect la disparition ultra rapide des images du pentagone, maladie oblige j’ai passe la journée devant la télé,des le début..naïf ,je me suis cependant laissé porter par la propagande , et me suis prit même a dire : « si les USA se servaient de cet événement pour infléchir leur impérialisme meurtrier »..j’étais si loin du compte...aujourd’hui je ne débat même plus avec ceux qui utilisent le mot de « complotiste » ,ce sont les mêmes qui utilise le mot qui peut vous valoir un procès, vous savez ceux qui peuvent par contre argumenter d’une guerre de civilisation contre l’islam..La cause est entendue, et j’avoue que je scrute des fois certains sites en attendant le prochain 9/11..
    @ bob graton, je suis allé sur votre site...très intéressant, ça a confirmé des doutes que j’avais depuis un moment ..salutations


  • Talion Talion 22 août 2009 12:49

    L’article manque de source et de liens pour étayer le point de vue de l’auteur qui par ailleurs accumule les affirmations qu’ils présente comme des évidences (ce qui est discutable).

    exemple :
    "Si on excepte les tenants de la théorie des explosifs, tous les architectes et les ingénieurs sont d’accord sur le fil général des événements.« 

    Belle affirmation, mais non appuyée par un quelconque lien... Navré de vous le dire, mais quand je lis ce genre de déclaration j’ai envie de dire  »Vraiment ?... En êtes-vous sûr ?... Dois-je vous croire sur parole lorsque vous affirmez cela ?..."

    L’argument est donc assez creux... D’autant plus qu’il me semble abusif de balayer d’un revers de manche l’avis des théoriciens du complot gouvernemental sans en dire plus sur leur nombre et leur degré d’expertise...

    Même chose lorsque vous déformez les propos des théoriciens du complots gouvernemental concernant le Thermate, la Thermite et leurs dérivées qu’ils n’ont jamais présenté comme des explosifs, mais comme des éléments utilisés pour l’affaiblissement de de la structure d’un immeuble que l’on souhaite démolir : Il n’y a en effet rien de mieux pour découper rapidement et à distance des poutrelles de soutient en acier...

    Bref... Cet article invite à la subjectivité en mettant en avant des déclaration me semblant douteuses ou nécessitant plus d’éléments pour les appuyer.

    Je me dispenserai de dire que je rejette la théorie du complot islamiste, tout comme je me refuse à considérer que la seule qui tient la route est celle du complot gouvernemental... Comme beaucoup ici je doute et je m’interroge...

    Par contre je trouve légitime de se poser des question et de refuser de croire sur parole la position d’un des pires régimes que l’histoire récente ait connue.
    Et pour ma part, les intégristes dans ce dossiers sont ceux qui affirment de manière péremptoire et condescendante que ceux qui doutent de la version officielle sont des « négationistes », des « abrutis » et des « illuminés ».

    L’intolérance n’est pas toujours là ou on la croit...


  • curieux curieux 22 août 2009 13:36

    Un propagandiste atlantiste ? Je suis sûr qu’il est pro-atlantiste. Le poids d’un avion s’évalue en tonnes et non en kilos. 200000 tonnes !!! que de fadaises. C’est pas une erreur, c’est de la désinformation. Et inutile d’insister avec les trolls


  • Jean Lasson 22 août 2009 14:14

    L’auteur mentionne la protection incendie (revêtement ignifuge de la structure d’acier) en écrivant « [...] la protection incendie allait se montrer défaillante à plus d’un titre. »

    Ça n’est vraiment pas de chance ! D’ailleurs, le 11-septembre se caractérise par une suite infinies de coïncidences malheureuses, toutes plus suspectes les unes que les autres.

    Concernant la protection incendie justement, celle-ci venait juste d’être refaite, en 1999 et 2000, précisément aux étages frappés par les avions (coïncidence découverte par Kevin Ryan dans le rapport du NIST). De plus, ce curieux revêtement qui s’est avéré complètement inefficace, était presque deux fois plus épais que ce qui était convenu dans le cahier des charges...


    • Muadib 22 août 2009 14:39

      Coincidence foireuse vu que pour le WTC2, seuls deux étages sur les 8 touchés sont concernés.

      Et j’ai hâte de voir votre conclusion sur le « deux fois plus épais ». De la thermite dans la peinture ?


    • Jean Lasson 22 août 2009 16:08

      @ Muadib,

      « Coincidence foireuse vu que pour le WTC2, seuls deux étages sur les 8 touchés sont concernés. »

      Fort bien, et pour le WTC1, vous qualifieriez aussi la coïncidence de foireuse ?

      « Et j’ai hâte de voir votre conclusion sur le « deux fois plus épais ». De la thermite dans la peinture ? »

      Oui, si l’on admet que, au moins pour le WTC1, la coïncidence n’en est pas une, ce serait une hypothèse : de la thermite (ou thermate, ou microtherm(i/a)te, etc...) pour tenter d’affaiblir les colonnes et leur connexions justement à l’endroit de l’impact. Ça me semblerait logique. L’état de corrosion de certains éléments de la structure après l’effondrement va dans ce sens. Mais, personnellement, je ne crois pas qu’un composé de type thermite soit, seul, à l’origine de l’effondrement. De vrais explosifs brisants ont dû aussi être utilisés.


    • Muadib 22 août 2009 23:09

      Donc, pour le WTC1, de la thermite...et pour le WTC2 ? Hum bah euh...

      Sic.

      Ensuite, la thermite sous forme de couche de peinture ( et même sous d’autres formes) n’est pas capable de faire fondre une poutre verticale.

      Elle est encore moins capable de pratiquer une DC.

      L’appel à la thermite des truthers provient du manque de déflagration...Ils ont voulu trouver un explosif silencieux...Manque de bol, la thermite ( disons, nano-thermite) n’est ni un explosif ni utilisé en DC sauf pour certains détonateurs.

      Mais tout ceci est de la pure fiction vu que la nano-thermite était au stade de la R&D en 2000-2001 et que les capacités de production se cantonnaient à la recherche scientifique.

      Et je passe sur l’absence totale d’explosifs conventionnels, de détonateurs et de nano-thermite dans les décombres du WTC.
      Et je passe sur la dynamique de l’effondrement anti-DC...
      Et je passe sur...ect...


  • Muadib 22 août 2009 14:37

    "Voici maintenant une étude, par la méthode FEA (finite element analysis) de la résistance du WTC1 (ou WTC2) à la destruction de colonnes. Cette étude conclut que le bâtiment n’aurait pas dû s’effondrer."

    Ce n’est pas du tout une étude.
    Et rien dans cette vidéo ne conclut que le batiment n’aurait pas pu s’effondrer.

    Essayer de reproduire le NIST d’une telle manière est ridicule.

    Et en plus faire appel à des techniques soit-disant sophistiquées alors qu’il existe des tonnes de logiciel utilisant les éléments finis laisse sans voix.

    Aucun test de résistance. Aucune modélisation des incendies. Rien.

    C’est totalement ridicule d’appeler cela une étude.


    • Jean Lasson 22 août 2009 15:52

      N’empêche que mmmlink, l’auteur de ces vidéos, semble bien s’y connaître et que la modélisation du WTC à partir des plans (transmis par un anonyme alors qu’ils étaient « secret défense ») est un gros travail utile.

      Concernant la résistance des matériaux, je comprends qu’il s’agit justement d’un test de résistance. Aurais-je tort ? Le début de cette modélisation aura peut-être l’heur de vous satisfaire plus. Elle traite aussi de l’énorme effet radiateur de la structure, qui a dû disperser la chaleur de l’incendie.

      Enfin, nous n’avons pas, nous sceptiques, les mêmes moyens que le NIST. Mais il faut bien tenter de refaire le travail du NIST, lequel a truqué ses paramètres (par exemple, il n’a pas tenu compte des résultats des expériences commandées à Underwriters labs, expériences qui ont montré que les planchers résistaient bien à l’incendie).


    • Muadib 22 août 2009 23:11

      Les plans du WTC7 sont présents dans le rapport du NIST. Etrange secret défense.

      La modélisation a déjà été faite et avec un logiciel bien plus développé que votre amateur.

      Une musique foireuse et quelques effets visuels ne sont pas une étude scientifique. Mettre sur le même pied le NIST et cet individu relève de la maladie mentale.

      Mais, pour une génération youtube, ce n’est guère étonnant.


    • ffi ffi 22 août 2009 23:21

      Et le Principe de Moindre Action Mr Muabib ?


    • Jean Lasson 23 août 2009 09:33

      « Les plans du WTC7 sont présents dans le rapport du NIST. Etrange secret défense. »

      Que vient faire ici le WTC7 ? Ce fil concerne les WTC1 et WTC2. Les plans (du WTC1 et WTC2) n’étaient pas publics (comme par hasard). Ils ont été communiqués par un anonyme.

      Quand on se pique de précision, il faudrait commencer par être précis soi-même. Seriez-vous de mauvaise foi ?


    • Muadib 23 août 2009 22:55

      Vous avez dit « WTC » et la vidéo à laquelle vous m’avez renvoyé en premier...c’était le WTC7.

      Quant aux plans du WTC1& 2 je les ai déjà vu traîner quelque part.

      Mmmhh...ha oui...le rapport du NIST. Vous voulez l’épaisseur des poutres du coeur en mm ou en pouces ?


  • Jean Lasson 22 août 2009 15:10

    Concernant la température dans les tours, l’auteur précise qu’elle n’a pas dépassé 250 à 500 °C.

    Mais alors, comment expliquer le métal en fusion qui s’écoule d’un angle de la tour sud (WTC2) avant son effondrement ? Ce métal ne peut pas être de l’aluminium, lequel fond à 600 °C et est argenté à l’état liquide à cette température.

    De même, comment expliquer les « piscines » d’acier fondu trouvées au pied des tours des semaines après leur effondrement ? Leur réalité est attestée par plusieurs témoignages, des vidéos et des photos, y compris une thermographie prise par la NASA.

    Voir par exemple ici, , et (noter le déni de l’évidence par l’ingénieur John Gross, du NIST).


    • Mmarvinbear mmarvin 22 août 2009 19:00

      C’est quand même bizarre qu’une fois les tours à terre, personne n’ai jamais pu prendre une seule de ces photos ou vidéo de ces lacs ou rivières d’acier en fusion...

      Les seules photos nous présentant du métal fondu sont prises après la catastrophe, et les écoulement sont dûs aux découpes faite au chalumeau oxygène-acétylène.

      Dans les liens donnés, je vois d’autres failles : l’imagerie thermique prise des lieux ne montre pas de point plus chaud que 750°. Or l’acier fond à 1500° environ. On me dira, mais oui, il était à 1500 mais il se refroidissait. Je veux bien. Mais à 750°, l’acier n’est plus liquide...

      En ce qui concerne ce qui s’écoule des tours avant leur chute, les experts pensent qu’il s’agit non d’acier, mais d’aluminium, un métal qui fond vers 650°. L’incendie qui a ravagé les tours a pu localement atteindre cette température et permettre la fusion du métal.

      Les conspirationnistes prennent cette couleur orangée comme preuve, l’aluminium gardant sa couleur argent même en fusion. C’est semble-t- il vrai pour l’aluminium pur : http://www.alu.ch/f/aluminium_recycling.php

      En revanche, il est certain que le métal du WTC n’était pas « pur », car n’étant pas fondu au creuset, il a forcément intégré des impuretés de toute nature. Il faudrait voir si un tel métal combiné garde effectivement sa couleur argent ou s’il rougit à l’écoulement. malheureusement, je ne connais aucun fondeur parmi mes proches alors si quelqu’un en connait un, qu’il se dévoue !


    • Jean Lasson 22 août 2009 20:08

      "C’est quand même bizarre qu’une fois les tours à terre, personne n’ai jamais pu prendre une seule de ces photos ou vidéo de ces lacs ou rivières d’acier en fusion...« 

       ??? Dans le dernier lien, il y a une photo où l’on voit une pelleteuse soulever une gros bloc rouge-orange. Il faut rappeler que la prise d’images était interdite à Ground Zero (comme par hasard). Donc, non, ce n’est pas bizarre qu’on n’ait pas plus d’images. Vous remettez en cause la photo et aussi les témoignages ?

       »Les seules photos nous présentant du métal fondu sont prises après la catastrophe« 

       ??? On a le film de l’écoulement avant l’effondrement de la tour sud.

       »et les écoulement sont dûs aux découpes faite au chalumeau oxygène-acétylène.« 

      Vous voulez dire que les chalumeaux seraient responsables des piscines d’acier fondu qui coulait »comme dans une fonderie« selon le témoignage des ouvriers du chantier. Vous êtes sérieux ?

       »Dans les liens donnés, je vois d’autres failles : l’imagerie thermique prise des lieux ne montre pas de point plus chaud que 750°. Or l’acier fond à 1500° environ. On me dira, mais oui, il était à 1500 mais il se refroidissait. Je veux bien. Mais à 750°, l’acier n’est plus liquide...« 

      750 °C en surface, révélant des poches plus chaudes, à 1500 °C, sous la surface, bien sûr. Comme tout liquide, l’acier en fusion descend dans les infractuosités...

       »En revanche, il est certain que le métal du WTC n’était pas ’pur’, car n’étant pas fondu au creuset, il a forcément intégré des impuretés de toute nature. Il faudrait voir si un tel métal combiné garde effectivement sa couleur argent ou s’il rougit à l’écoulement."

      C’est tout vu : ça a déjà été tenté, sans succès (voir ici). En fait, la couleur est une fonction directe de la température. Quand c’est rouge, c’est à une température x, largement supérieure à 650 °C. Quand c’est orange, c’est encore plus chaud. Puis jaune, puis blanc à 1500 °C. Il est donc complètement impossible que ce métal soit de l’aluminium. Le prétendre est avouer qu’on a aucune explication crédible. Ce métal en fusion ne peut être que de l’acier (ou du fer) fondu. Plus étonnant encore : il est resté en fusion des semaines !

      Il reste donc toujours à expliquer comment une température de 1500 °C a pu être atteinte (sans explosifs et/ou mélange incendiaire de type thermite). Ce fait est tellement inexplicable et donc gênant que John Gross, l’ingénieur du NIST interrogé sur la question, a préfèré carrément nier son existence...


    • Philou017 Philou017 22 août 2009 22:52

      C’est quand même bizarre qu’une fois les tours à terre, personne n’ai jamais pu prendre une seule de ces photos ou vidéo de ces lacs ou rivières d’acier en fusion...

      Le site était quasiment classé secret défense et très surveillé, notamment pas les services secrets. Les photos étaient interdites sur le chantier, sauf par des photographes agréés de la FEMA .

      "Les seules photos nous présentant du métal fondu sont prises après la catastrophe, et les écoulement sont dûs aux découpes faite au chalumeau oxygène-acétylène."

      Les nappes de métal fondu ont été confirmées par plusieurs témoins solides, dont Loiseaux, directeur d’une société de démolition mandatée pour évacuer les débris.

      "Dans les liens donnés, je vois d’autres failles : l’imagerie thermique prise des lieux ne montre pas de point plus chaud que 750°. Or l’acier fond à 1500° environ. On me dira, mais oui, il était à 1500 mais il se refroidissait. Je veux bien. Mais à 750°, l’acier n’est plus liquide...« 

      Plusieurs zones à 750° cinq jours apres les attentats indiquent des températures tres élevées au depart, ce qui est inexplicable. De plus, les débris ont fumé pendant cent jours et ont nécéssité de verser un lac d’eau pour combattre les incendies. Les pompiers ont du changer de bottes parce la semelle fondait sur le tas de débris.

      Ces températures ne peuvent être atteintes que par l’utilisation d’explosifs spéciaux.

       »En ce qui concerne ce qui s’écoule des tours avant leur chute, les experts pensent qu’il s’agit non d’acier, mais d’aluminium, un métal qui fond vers 650°. L’incendie qui a ravagé les tours a pu localement atteindre cette température et permettre la fusion du métal."

      Pure hypothese Qui n’a jamais recu le commencement d’une preuve. Même le Nist n’a pas relevé de traces de températures de plus de 275°C. Du reste, le principal de l’aluminium se trouvait dans les plaques qui formaient le revêtement extérieur des tours, donc peu susceptibles de fondre.

      "Les PARTISANS DU COMPLOT INTERIEUR** prennent cette couleur orangée comme preuve, l’aluminium gardant sa couleur argent même en fusion. C’est semble-t- il vrai pour l’aluminium pur : http://www.alu.ch/f/aluminium_recyc...«  »

      Le professeur Jones, professeur de Physique et chercheur universitaire a fait des expériences qui ont montré que jamais l’aluminium fondu ne prend cette couleur. Compte-rendu à voir sur le site Reopen911.info .

      ** Vous êtes vous même un partisan du complot extérieur qui n’a pourtant aucune assise sérieuse. Laissez le terme complotiste aux désinformateurs.


    • Muadib 22 août 2009 23:14

      Le professeur Jones ? Le même qui a truqué les images de pompiers sur le site de GZ pour prouver son assertion de lac d’acier en fusion ?

      Non, non...ça doit surement être quelqu’un d’autres.


    • Mmarvinbear mmarvin 22 août 2009 23:26

      « Vous remettez en cause la photo et aussi les témoignages ? » : Je me pose une question. S’il s’agissait d’un bloc d’acier porté à température de fusion, une pelleteuse telle que nous le montre la photo aurait-elle pu prendre ce « bloc » sans que ce dernier ne coule ? Sur l’image, il ne semble pas s’écouler tel un fluide, même pâteux.

      «  ??? On a le film de l’écoulement avant l’effondrement de la tour sud. » : Je parle de ces fameux lacs d’acier en fusion.

      « Vous voulez dire que les chalumeaux seraient responsables des piscines d’acier fondu »  : Cool tu vas pouvoir me donner les liens de ces interviews. J’en cherche mais impossible de mettre la main dessus. A chaque fois, on m’en parle mais personne ne met de lien. C’est toujours le pote du pote du pote du pote qui a vu l’ours...

      « Comme tout liquide, l’acier en fusion descend dans les infractuosités... »  : Donc vous déduisez que la température était de 1500° dans le sol uniquement parce que en surface elle était de 750... Méthode intéressante... Mais ne vous êtes vous pas demandé si ces 750° ne venaient pas aussi des incendies résiduels qui ont perdurés dans les débris ?

      « C’est tout vu : ça a déjà été tenté, sans succès (voir ici). » : C’est tout vu, c’est tout vu... pas vraiment. Cette vidéo me pose un problème : on y voit un individu touiller ce qui semble être de l’aluminium fondu, puis le verser au sol. Mais seuls des écrits nous disent qu’il y a mélangé des débris de toutes sortes : on ne le voit pas faire... Ma question est donc : a t-il véritablement mélangé des matériaux d’autre nature à l’aluminium ?
      S’ il existe d’autres images plus complètes, je ne me priverai pas de les regarder.


      « En fait, la couleur est une fonction directe de la température. » Il y a toutefois aussi la nature du métal qui entre en jeu : à 650°, l’aluminium est argenté, ce qui n’est pas le cas du fer quand il entre en fusion.

      « il est resté en fusion des semaines ! » : vraiment ? Comment expliquer alors que les ouvriers travaillant sur les ruines aient accepté de bosser à coté de lacs en fusion, au risque d’y être plongé ?
      Mais la question la plus importante est quand même : si cela était vrai, d’ou venait l’énergie nécessaire pour maintenir pendant des semaines une température supérieure à 1300 ° ? Le world trade center abritait-il donc un haut-fourneau clandestin ?


    • Jean Lasson 23 août 2009 09:45

      "Cool tu vas pouvoir me donner les liens de ces interviews. J’en cherche mais impossible de mettre la main dessus. A chaque fois, on m’en parle mais personne ne met de lien. C’est toujours le pote du pote du pote du pote qui a vu l’ours..."

      J’ai l’impression que vous ne comprenez pas l’anglais (ou l’américain). Parce que j’ai donné deux témoignages : lien 1 et lien 2. Ils sont irréfutables.

      Je constate que vous ne connaissez pas bien le sujet et n’êtes armé que d’une bonne couche de mauvaise foi, à défaut d’avoir des arguments. La discussion aura au moins servi à le montrer.


    • Mmarvinbear mmarvin 23 août 2009 12:34

      « J’ai l’impression que vous ne comprenez pas l’anglais (ou l’américain). Parce que j’ai donné deux témoignages : lien 1 et lien 2. Ils sont irréfutables. » : En fait, c’est la base du problème.

      Le premier lien nous montre des pompier parlant de lacs d’acier en fusion, mais :
      il n’y a aucune image
      on ne sait pas quel est l’origine de la vidéo
      on ne sait pas de quels pompiers il s’agit : il n’y a aucune indication de lieu, d’unité, de moment.

      Le second lien nous montre un exposé, des étudiants posant des questions et doutant de certains points de la théorie.
      Le soucis est que ces étudiants n’apportent aucun élément tangible. Juste leur opinion et leurs doutes. Aucun document, aucune référence.


    • Jean Lasson 23 août 2009 13:31

      Mauvaise foi.

      Vous êtes obligé de nier la présence d’acier fondu à Ground Zero pour défendre la thèse de la chute « naturelle » des tours. Les positions sont claires et chacun pourra donc se faire une opinion...


    • Mmarvinbear mmarvin 23 août 2009 14:39

      Pour être plus exact, je suis contraint de réfuter l’existence de lacs d’acier en fusion se maintenant des semaines durant car

      personne n’apporte la moindre preuve visuelle
      les témoignages s’y référant sont douteux (pas de source identifiée)
      les tenants se contredisent entre eux : une fois l’acier est totalement en fusion, une fois il ne l’est qu’en profondeur. Et pour le démontrer il ne peuvent produire rien d’autre que des imageries thermiques montrant une température de surface maximale de 750 degrés.


    • Mmarvinbear mmarvin 24 août 2009 00:01

      C’est gentil de me donner quelques munitions.

      Quelques relevés du lien en question :

      " The first such report to be widely publicized was one by American Free Press reporter Christopher Bollyn citing principals of two of the companies contracted to clean up Ground Zero. The president of Tully Construction of Flushing, NY, said he saw pools of « literally molten steel » at Ground Zero. Bollyn also cites Mark Loizeaux, president of Controlled Demolition Inc. (CDI) of Phoenix, MD, as having seen molten steel in the bottoms of elevator shafts « three, four, and five weeks » after the attack.Although reports of molten steel are consistent with the persistent heat at Ground Zero in the months following the attack, we find the American Free Press report suspect for two reasons. First, Tully Construction was one of four companies awarded contracts by New York City’s Department of Design and Construction to dispose of the rubble at Ground Zero, and CDI was subcontracted by Tully and was instrumental in devising a plan to recycle the steel. The involvement of Steve Tully and Mark Loizeaux in the destruction of the evidence of the unprecedented collapses would seem to disqualify them as objective reporters of evidence. Interestingly, CDI was also hired to bury the rubble of the Murrah Building in the wake of the Oklahoma City Bombing. That Loizeaux stood trial on charges of illegal campaign contributions casts further doubt on his credibility. A second reason to doubt this molten steel report is the fact that it has been used by Bollyn and others to support the dubious theory that the collapses were caused by bombs in the Towers’ basements.« 

      La suite du lien donne les témoignages jugés crédibles quand à la présence de lacs d’acier en fusion.

      Curieux comme tout, je suis allé voir ce qu’était l’american free press. Je suis pas déçu du voyage. Pour vous faire une opinion, en voici le lien : http://www.americanfreepress.net/

      En gros, ce site se présente comme la seule presse libre des USA. J’ai parcouru rapidement quelques articles qui semblent indiquer que ce site est convaincu qu’Obama n’est pas né américain (et que donc son élection est illégale).

      En bref, c’est pas gagné...

      Surtout que : »

      There are reports of molten steel beyond those cited by American Free Press. Most of these have come to light as a result of a research paper by Professor Steven E Jones, which has stimulated interest in the subject of molten steel at Ground Zero. *"

      Traduction  : il y a des témoignages d’acier fondu en plus de ceux cités par l’AFP. La sortie de l’obscurité de la plupart d’entre eux est le résultat d’un papier de recherche du professeur Steven Jones, qui a un vif intéret quand à l’acier fondu à Ground Zero.

      On peut s’interroger donc sur la sincérité de ces ajouts. Surtout que certains parlent de métal fondu plus d’un mois après l’événement, sans expliquer quelle source d’énergie aurait pu garder l’acier en fusion tout ce temps...


  • Nho 22 août 2009 15:12

    Que le gouvernement US réouvre une enquête complète sur les événements du 9/11, et cela en toute transparence, et il n’y aura plus ni comploteurs ni « complotistes »....


  • wesson wesson 22 août 2009 15:15

    Bonjour Mmarvin,

    C’est avec un plaisir non dissimulé que je voit enfin publié cet article pour lequel j’ai voté en modération. Ma joie n’est assombrie que par le seul fait que je n’ai pu être le premier à vous faire remarquer le poids quelque peu excessif de votre boeing, ou chaque kilo pèse littéralement une tonne.

    Je me suis moi-même emmêlé les pinceaux dans un article sur la finance, ce qui m’as fait dire et écrire que mes conclusions en devenaient complètement fausse et que mon propos en devenait nul. En ce qui vous concerne, votre erreur ne vous inspire que « huhuhu, j’ai corrigé » et vous ne changez rien à vos conclusions. Le lecteur jugera de leur crédibilité.

    Répondons plutôt sur le fond, à savoir vos allégations sur la thermate, qui sont en fait celle de bastison.net, une personne se présentant comme un scientifique mais agissant sous pseudonyme, de fait dont les compétences sont invérifiables.

    Concernant donc les allégations de bastison sur l’effondrement des 3 tours, elles sont entièrement analysées par Frederic Henry-Couannier, Enseignant à la faculté des sciences de Luminy, chercheur en physique fondamentale au centre de physique des particules de Marseille, et dont on peut vérifier la compétence technique, ne se cachant pas derrière un pseudonyme.

    Cette analyse se trouve ici : (page1, page2, page3). C’est didactique, mais très technique.

    En résumé, de la nanothermite de qualité militaire a bien été utilisée pour contribuer à l’effondrement de ces tours, mais cela ne suffit pas à tout expliquer. Il a également fallu un explosif assez discret et puissant pour volatiliser les étages de béton, et l’utilisation de bombes thermobariques à l’hydrogène fournissent l’explication manquante. Ce type de bombe ne provoque pas de boule de feu, n’a pas de signature chimique et serait la seule (en dehors du nucléaire) capable de pulvériser autant de béton en fine poussière.

     M. Henry-Couannier explique également comment la nanothermite aurait pu être appliquée sans éveiller le moindre soupçon : à l’occasion de travaux de peinture tout à fait banal, comme par exemple l’application d’un revêtement antirouille, des ouvriers auraient pu appliquer cette nanothermite sans qu’ils en aient la moindre conscience.

    L’effondrement de ces tours tel que nous l’avons vu soulève 2 questions fondamentales :

    • pourquoi les tours se sont effondrées ?
    • ou sont passé les gravats ?

    Pour la première question, effectivement le poids de l’avion - lorsqu’il pèse moins qu’un super tanker - peut effectivement vous aider dans votre démonstration. Néanmoins, pour la seconde question, les avions ne vous sont d’aucun secours et même, ajoutent encore une autre question sans réponse : mais où sont passé les débris des avions ? C’est pourquoi concernant toute la quantité de béton qui se seraient volatilisé en poussière, vous ne vous risquez même pas à nous fournir le début d’une explication.

    Au final, il ne vous reste plus que votre théorie du complot, à savoir celle du barbu qui du fond de sa « grotte ultramoderne (sic) » planifie des évènements qui vont servir de prétextes aux états-unis pour lancer 2 guerres contre des pays qui ne les ont jamais attaqués.

    On a quand même un peu de mal à vous suivre dans vos conclusions, même si lors de votre démonstration vous n’aviez pas commis au moins une erreur d’un facteur 1000.


    • wesson wesson 22 août 2009 15:24

      Et sur un plan plus personnel, lorsque vous vous décrivez comme « ennemi du politiquement correct », j’en sourit à chaque fois que vous défendez une thèse officielle, ou une allégation publicitaire.

      Vous voulez vraiment vous positionner comme politiquement incorrect ? Dites que la torture c’est bien, que le fondamentalisme religieux ne vous pose aucun problème et que vous en avez rien à foutre des gens qui crèvent dans le tiers monde et là vous pourrez effectivement vous présenter comme pas politiquement correct.

      Et socialiste en plus de ça !


    • Mmarvinbear mmarvin 22 août 2009 17:04

      "Vous voulez vraiment vous positionner comme politiquement incorrect ? Dites que la torture c’est bien, que le fondamentalisme religieux ne vous pose aucun problème et que vous en avez rien à foutre des gens qui crèvent dans le tiers monde et là vous pourrez effectivement vous présenter comme pas politiquement correct." : Tu vas être un peu épouvanté mais c’est à peu près ce que je pense...

      Bon j’exagère...
      Mais...

      La torture peut parfois se révéler utile, en temps de guerre notamment. Tous les camps l’utilisent alors pourquoi se priver ?

      Les fondamentalistes religieux font ce qu’ ils veulent : je n’ai aucun respect pour les personnes qui acceptent de mettre leurs vies et de laisser régir leur existence par des mains étrangères. S’ils veulent vivre une existence d’esclaves mentaux, je la leur concède, mais qu’ils ne viennent pas se plaindre s’ils se font marcher dessus, au sens figuré comme au sens propre...

      Quand à ceux qui meurent dans le tiers-monde... Cela fait deux génération qu’on leur dit que s’ils ne régulent pas drastiquement leurs naissances, le manque de ressources et les maladies feront des ravages dans leurs rangs. Quand à ceux qui survivent, ils ne font que perpétuer la tradition et ils sont trop peu nombreux encore à vouloir changer les choses. Ce sont eux, qu’il faudrait aider en priorité.


    • Mmarvinbear mmarvin 22 août 2009 20:49

      « C’est avec un plaisir non dissimulé que je voit enfin publié cet article pour lequel j’ai voté en modération. » : Moi aussi. J’avais un peu perdu espoir mais il faut croire qu’en Aout, on fait les fonds de tiroirs...

      "Ma joie n’est assombrie que par le seul fait que je n’ai pu être le premier à vous faire remarquer le poids quelque peu excessif de votre boeing, ou chaque kilo pèse littéralement une tonne.«  : Ne t’en fais pas, je suis certain que tu auras l’occasion un jour. Tiens dans mon prochain, je te mettrai une grosse faute que tu pourras corriger, promis.

       »Répondons plutôt sur le fond, à savoir vos allégations sur la thermate, qui sont en fait celle de bastison.net, une personne se présentant comme un scientifique mais agissant sous pseudonyme, de fait dont les compétences sont invérifiables.«  : Le net est le royaume de l’anonymat. Ne s’y montre que celui qui veut bien, s’y présente en tant que blonde à forte poitrine celui qui le veut...

      Mais s’il est vrai que je ne sais rien du tenant de ce site, je dois dire que pour le moment je n’ai pas pu trouver un défaut ou une erreur dans les formules ou théories physiques édictées. Je n’ai pas encore tout vérifié, loin de là, mais sa crédibilité me semble valable. Pour le moment en tout cas.
      Complément (désolé si ça semble décousu, je fais des ajouts au fur et à mesure de mes lectures...) : il semble que toi même tu n’aies pas lu ces liens, car le nom du tenant de bastison.org y est donné... Donc la question de l’anonymat est résolue, et tu ne le savais pas on dirait...

      Je suis, après début de la lecture, un peu dubitatif quand aux qualités humaines et scientifiques de ce monsieur. Il déclare ainsi » Ce n’est pas le support d’une prose qui en assure la valeur : voir mes propres analyses que je suis fier de ne pas avoir soumises au système féodal des revues à referee.« 
      Le papier ne fait pas la valeur, mais la pertinence d’un article est quand même jugée par sa validité scientifique. C’est la raison pour laquelle des revues comme »science« et »nature« vérifient en comité les articles qui leurs sont soumis, et ne publient que ceux qui sont fiables. Avec parfois des ratés mais bon, l’erreur est humaine.

      En clair, notre gars part du principe qu’il a forcément raison, et que les autres ont forcément tort. Humainement et scientifiquement, je plains ses collègues...

      En plus, en consultant son site, je constate que notre loulou est chercheur en physique fondamentale.

      Outre que ce n’est pas franchement une matière qui ait beaucoup à voir avec l’ingénierie et l’architecture, je m’interroge aussi sur ses arguments car à le lire, on voit beaucoup de »c’est faux« mais pas beaucoup de »parce que c’est comme cela...« . il croit aussi en l’existence des systèmes antimissile du Pentagone, dont la »preuve« est apportée par un dessin animé dans le film »zéro« . Il qualifie aussi de »détail insiginifiant« des données qui ne l’arrangent pas, comme la faible densité du béton qui explique sa désintégration facile en poussière du seul fait de la chute et non d’explosifs.
      Cela continue avec des affirmations, mais très peu d’informations, et surtout, aucun moyen de vérifier ses dires.

      Et, aïe... Que lis-je... Il justifie une expérience foireuse de Jones en disant de ce dernier : » En effet, au moment ou on aborde l’analyse de la courbe DSC le fait que la réaction soit de type aluminothermique n’est plus à prouver.".
      En clair, il se base sur une présupposition... C’est pas très scientifique tout ça... Normalement, une expérience se fait sans a priori, non ?

      Comme il est l’heure de manger, je vais finir par une petite question aux tenants de la thèse de la thermite : quelle épaisseur de peinture aurait-il fallu pour que la thermite appliquée puisse faire fondre une poutre de métal, ou du moins l’affaiblir suffisemment pour qu’elle lâche... ?


    • Philou017 Philou017 22 août 2009 23:01

      mmarvin : « La torture peut parfois se révéler utile, en temps de guerre notamment. Tous les camps l’utilisent alors pourquoi se priver ? »

      Tout le monde peut se rendre compte de la hauteur morale de MMarvin. Hauteur qu’il partage avec les néo-cons.

      Fin de la discussion.


    • Muadib 22 août 2009 23:16

      FHC a changé d’avis et pense que la nanothermite est un leurre.

      Il pense aussi que les échantillons qu’il a recu par la poste ont été trafiqués.

      Il n’est, de plus, pas ingénieur en structure et ses assertions sur la nanothermite ( notamment les sphères fondues) ont été démontées suite à son ignorance de l’utilisation de la DSC.

      Fin soit hein...si c’est didactique :p


    • Mmarvinbear mmarvin 22 août 2009 23:31

      Bien entendu, seuls les nazis et les japonais ont usé de torture pendant la dernière guerre...
      Ni les anglais, ni les américains ne s’y sont abaissés...
      Les alliés n’ont pas non plus bombardé les quartiers résidentiels allemands ou vivaient les ingénieurs et leurs famille, méthode horrible mais oh combien efficace pour amoindrir la puissance industrielle nazie...

      Règle numéro 1 des temps de guerre : Tous les coups sont permis.
      Règle numéro 2 : Les vainqueurs écrivent l’histoire, et décident de ce qui est moral et juste ou pas.
      Règle numéro 3 : Si vous êtes dans le camp perdant, faites vous vite oublier, ou chargez votre supérieur hiérarchique si vous en avez un.


  • Bill Grodé 22 août 2009 16:12

    Enfin un article sérieux sur le 11/9 et sur Avox.
    Heureusement que beaucoup sont encore en vacances, sinon c’était l’hallali !
    Dommage pour le petit bug sur les tonnes et milliers de tonnes. Après tout, ça donnera un os à ronger aux complotistes, reopenistes divers.
    Je regarderai avec attention votre score à la fin du week end. Ce sera révélateur.


  • wesson wesson 22 août 2009 16:42

    Autre petite règle de 3 amusante :

    la masse du WTC1 et 2 est donnée à 500.000 Tonnes par un site équivalent Anglais de bastison, par le docteur Frank Greening . Chiffre étant d’ailleurs fortement controversé, car un rapide calcul sur le bâtiment vide donne un poids structurel de l’ordre de 170.000 tonnes, en tenant compte des matériaux utilisés. Il resterait donc 330.000 tonnes de marchandise de bureau à l’intérieur, ce qui compte tenu du nombre d’employés (15000) ferait 20 tonnes de matériel de bureau par employé ... passons

    Donc, prenons le chiffre le moins favorable pour notre démonstration, à savoir 170.000 tonnes.

    Et d’un autre coté, nous avons un avion de 200 tonnes donc, vous noterez que je prends le poids le plus défavorable.

    si nous ramenons le poids du bâtiment au point d’un homme un peu grassouillet (moi, par exemple), disons 100 Kg.

    Le poids de votre avion, ramené à cette échelle là ferait donc 117 grammes.

    Votre démonstration consiste donc à expliquer sans rire que l’effondrement TOTAL et la mise en poussière d’un objet de 100 Kg s’explique parfaitement par un surpoids de 117 grammes. Et n’allez pas me parler de vitesse de l’avion, l’effondrement ayant eu lieu bien après l’impact.

    et si l’on reprends la masse admise de 500.000 tonnes, c’est encore pire, le poids de l’avion ramené à notre échelle de 100 Kg ferait alors 40 grammes.

    Y’a pas à dire, j’attends avec impatience votre second article qui nous promets de longues heures de bidonnage !


    • Mmarvinbear mmarvin 22 août 2009 17:10

      Il fait beau, il fait chaud, et j’ai pas envie de travailler encore, alors je vais faire court pour le moment.

      "Votre démonstration consiste donc à expliquer sans rire que l’effondrement TOTAL et la mise en poussière d’un objet de 100 Kg s’explique parfaitement par un surpoids de 117 grammes."  : Une question, que fais tu de l’affaiblissement de la structure du à la force d’impact ?
      Parce que je ne sais pas si tu les as vus, mais les avions, ils ne se sont pas posés gentilment sur les tours, comme le ferait une feuille de papier. C’est l’énergie cinétique de elur impact qui a fragilisé les pilliers, et le coup de grace est venu ensuite, quand les incendies ont terminé le travail en provoquant le flambement (au sens architectural du terme...) des colonnes restantes.

      Ils devaient être jolis, tes devoirs de physique...


    • wesson wesson 22 août 2009 18:38

      Bonjour Chantecler,

      « Vous ne vous souvenez plus de vos cours sur l’énergie cinétique ? »

      Justement si, et suffisamment pour savoir qu’un projectile mou d’une centaine de gramme propulsé horizontalement sur un corps dur d’une centaine de kilo ne provoque pas sa pulvérisation et son effondrement vertical.

      Pour filer une métaphore compréhensible si on vous tire une balle de fusil dans le coeur, vous aurez plus tendance à tomber de suite sur le coté que à vous enfoncer dans le sol une heure après, réduit en poussière ...

      « Enfin, personnellement , je n’ai vraiment pas envie de me prendre le chou avec les arguments des « complotistes »... »

      Et c’est effectivement une sage précaution, surtout lorsque l’on accepte sans broncher n’importe quoi pourvu qu’on l’enrobe d’une aura « officielle »


    • Mmarvinbear mmarvin 22 août 2009 19:31

      "qu’un projectile mou d’une centaine de gramme propulsé horizontalement sur un corps dur d’une centaine de kilo ne provoque pas sa pulvérisation et son effondrement vertical.«  : donc selon toi, un avion d’un peu moins de 200 tonnes, c’est »mou«  ?

       »Pour filer une métaphore compréhensible si on vous tire une balle de fusil dans le coeur, vous aurez plus tendance à tomber de suite sur le coté que à vous enfoncer dans le sol une heure après, réduit en poussière ..." : C’est une métaphore complètement pourrie, tu dois quand même t’en rendre compte... un être vivant ne réagit pas de la même façon qu’une structure inerte de béton et d’acier. L’analogie de tient pas, j’espère qu’après réflexion tu es d’accord...

      Quand à la force d’impact, je prend le risque d’user de cette formule : E = mv(exp2) / 2, qui sert justement à en définir la puissance transmise par l’énergie cinétique. Cette formule est fausse quand on use des vitesses proches de celle de la lumière mais je crois qu’on peut l’utiliser ici sans trop de risques...

      Pour être clair :
      E = la force cinétique, ce qui sera transmis aux tours lors de l’impact. La solution, quoi.

      m : la masse (en kilo)
      v : la vitesse, exprimée en m/s, élevée au carré.

      on a donc : m = 130 000 kilos (valeur choisie car l’avion n’était pas plein)
      v = 710 km/h (vitesse la plus faible des deux avions, l’autre était à 870 km/h, mais on va pas chicaner et on va prendre la plus faible et le convertir en m/s soit 197,22 m/s)

      Ce qui donne : 130 000 * (197,22*197,22) = 130 000 * 38 895,72 = 5056444692, que je n’oublie pas de diviser par deux : 252 822 346 joules.

      Vu que je me plante parfois en maths, merci de vérifier quand même, on ne sait jamais...
       
      Pour info, un homme qui se prend une balle de revolver reçoit un impact variant selon la munition et l’arme. Mais j’ai la flemme de faire le calcul alors je te met ce petit lien vers un site ou un fondu l’a fait... http://briconique.free.fr/mitrailleuse.html. Cela devrait aider à relativiser.


    • Mmarvinbear mmarvin 22 août 2009 22:11

      Tu confonds avec l’équation de la relativité d’Enstein, qui s’écrit E = mc(2), et qui n’est valable que dans le domaine de la Relativité.


    • Mmarvinbear mmarvin 22 août 2009 22:13

      Rappeller les bases n’est jamais une perte de temps.

      Et puis je sais bien que je ne le convaincrai jamais. Il est de ceux qui ne changent jamais d’avis une fois son opinion faite.

      Les échanges faits sont plus pour les autres, ceux qui se posent des questions et qui surtout acceptent de se remettre en question.


    • ffi ffi 22 août 2009 22:43

      c’est faux Wesson, sachant que c’est les 20 étages supérieur qui tombent sur les 100 étages inférieurs...

      L’analogie adéquate est donc d’imaginer un enfant de 20 kg tombant d’une hauteur de 10 cm sur les épaules d’un homme de 100 kg, lequel à une patte cassé.

      Or il est bien connu, que dans telles conditions, l’homme se désintègre à la verticale jusqu’aux chaussettes, car il a le tibia fragilisé. Il y a eu un accident comme cela près de chez moi récemment :

      Un père s’amusait à faire sauter un enfant sur ses épaules et il s’est désintégré jusqu’aux chaussettes, et l’enfant avec par la même occasion.

      C’est très dangereux de faire sauter un enfant sur ses épaules... Ne le saviez-vous pas ?


    • wesson wesson 23 août 2009 01:36

      Re bonsoir mmarvin,

      « donc selon toi, un avion d’un peu moins de 200 tonnes, c’est »mou« ? »

      Et bien oui, un avion qui est creux, composé dans son immense majorité d’aluminium, comparé à un immeuble fait d’acier et de béton, c’est un corps mou ! Et le fait qu’il pèse n’a strictement rien à voir avec cela.

      Mais revenons sur votre calcul dont je ne vais même pas vérifier la validité, prenons directement le résultat, une force de 252 822 386 Joules.

      1 joule, c’est aussi 1 watt pendant une seconde. Donc, 1 WattHeure, c’est 3600 joules, 1 KilowattHeure, c’est 3.600.000 joules.

      Votre impact de 252 822 386 joules correspond donc à une énergie de 70,2 KIlowattHeure.

      Autrement dit, c’est pas plus que l’énergie que consommera un gros radiateur électrique pendant une journée.

      Et vous me dites toujours que cette énergie aurait pu pulvériser un bâtiment de 170.000 tonnes ??? amusant !

      @chantecler

      "Petite question : si les tours ont été détruites par explosifs, comment se fait-il qu’elles aient résisté plusieurs dizaines de minutes à l’impact et aux incendies« 
      Parce que un bon explosif n’explosera que lorsque son détonateur le mettra dans les conditions de le faire. Prenez par exemple le C4, cet excellent explosif tchèque qui se présente sous forme rappelant de la pâte à modeler. Vous pouvez le choquer, le bruler, le laisser tomber, le déformer, il n’explosera pas. Son détonateur est indispensable pour obtenir l’explosion.

       »En général une implosion donne un résultat instantané ?« 
      Oui, dès que l’on appuie sur le bouton relié au détonateur ...

      Au passage, je remarque ce lors de cette dernière question vous parlez d’implosion. Vous aurez des informations privilégiées là dessus ?

      En effet, niveau irrationnel vous semblez être expert en la matière.

      @ffi,

      Bonsoir ffi,

       »L’analogie adéquate est donc d’imaginer un enfant de 20 kg tombant d’une hauteur de 10 cm sur les épaules d’un homme de 100 kg, lequel à une patte cassé."

      Je me doit de contester votre application numérique. La construction du WTC 1 et 2 est telle que les étages supérieurs étaient conçus moins solides que les étages inférieurs (car ayant moins de poids à supporter), ce qui fait que l’étage le plus haut n’avait un poids structurel que de 30% comparé à l’étage le plus bas.

      Ce qui fait que votre enfant ne pesait pas 20 Kg, mais probablement moins de la moitié, disons 10 Kg pour vous faire plaisir
      sur votre conclusion par contre, rien à redire. :: smiley)


    • wesson wesson 23 août 2009 02:17

      Allez mmarvin, je vais vous exprimer votre énergie en temps de marteau-piqueur. Non, ne me remerciez pas, je sais que ça vous fait plaisir.

      Prenons le Makita HM 1400 - moins puissant qu’un modèle pneumatique (pour rester quand même avec un modèle transportable par un homme).

      Donc, il fait 31.7 joules efficaces d’impact, avec une dizaine d’impact par secondes.

      ça nous fait 1 141 200 joules par heures, 9 129 600 joules par jour (j’ai compté 8 heures de fonctionnement par jour).

      Pour arriver à l’énergie que vous avez calculée, il faut donc 27.69 jours à notre vaillant marteau piqueur.

      Donc, la thèse que vous défendez revient à dire qu’il faudrait moins d’un mois à une personne équipée seulement d’un marteau piqueur portatif pour affaiblir suffisamment la structure d’un immeuble de béton et d’acier de plus de 100 étages au point qu’il s’effondre tout droit sur lui même ...

      A ce niveau de ridicule, franchement je commence à avoir de la peine pour vous !


    • ffi ffi 23 août 2009 02:18

      Pardonnez Mr Wesson,
      je me bats la coulpe de mon approximation et je consens volontiers à votre correction.

      Mais n’oubliez pas : c’est le principe de moindre action qui est violé dans cette histoire. Faites passer le message... C’est absolument imparable ... Et ça remettra les idées en place à tous ces sophistes ...


    • ffi ffi 23 août 2009 02:40

      J’ai aussi oublié de préciser au sujet de l’horrible fait divers que j’ai rapporté (celui de l’homme ayant fait sauter un enfant sur ses épaules qui s’est désintégré jusqu’aux chaussettes) que, bien évidemment, ses semelles avaient fondues et que ses os ont été retrouvés éparpillés sur des dizaines de mètre.

      Mais, naturellement, vous l’aurez compris, tellement c’est logique.

      Veuillez encore me pardonner mon inexactitude.


    • ffi ffi 23 août 2009 02:46

      Décidément,
      J’ai aussi oublié de préciser que l’on avait réussi à identifier l’homme grâce à ses papiers qui, eux, sont restés intacts.

      Ca à l’air de rien ces papiers, mais c’est vraiment du solide.


    • Mmarvinbear mmarvin 23 août 2009 03:40

      "Et bien oui, un avion qui est creux, composé dans son immense majorité d’aluminium, comparé à un immeuble fait d’acier et de béton, c’est un corps mou ! Et le fait qu’il pèse n’a strictement rien à voir avec cela.«  : Je ne sais pas si tu as pris un avion un jour, mais moi c’est le cas. Et je peux t’assurer qu’un avion, ce n’est pas mou. Mais alors pas du tout. Creux oui, mais mou, non... Avec ton argumentaire, on pourrait dire aussi qu’un immeuble est mou, puisque que creux. Tu crois pas ?

       »Et vous me dites toujours que cette énergie aurait pu pulvériser un bâtiment de 170.000 tonnes ??? amusant !«  : Ce qui est amusant, c’est de regarder les vidéo d’impact des avions dans les tours en relisant ce que tu viens d’écrire. J’imagine très bien les passagers des avions et les personnes qui se trouvaient dans les étages directement touchés se faire tuer par la puissance d’un radiateur électrique... Il me semble qu’il y a une grosse faille dans ton raisonnement, tu ne crois pas ?

       »Prenez par exemple le C4, cet excellent explosif tchèque qui se présente sous forme rappelant de la pâte à modeler. Vous pouvez le choquer, le bruler, le laisser tomber, le déformer, il n’explosera pas. Son détonateur est indispensable pour obtenir l’explosion." :Hum, tu devrais vérifier avant de parler trop vite... Il semble que choqué ET chauffé en même temps, le C 4 puisse exploser même sans détonateur...


    • wesson wesson 23 août 2009 10:42

      @chantecler

      "Le lycée Pailleron était d’une structure métallique qui s’est éffondré suite à un incendie car les poutrelles n’ont pas résisté à la chaleur« 

      Vous nous aurez vraiment épargné aucune comparaison foireuse. Les établissements dit »pailleron« étaient en fait des bâtiments construits entre 1960 et 1975 réalisés selon le procédé dit de »constructions modulaires« , comportant une structure métallique légère avec des panneaux de façade en béton, des toitures et des cloisons en panneaux de bois. Ce mode de construction hyper rapide et peu couteux était surtout totalement inapproprié pour les bâtiments à structures métalliques. On a utilisé les paillerons en réponse au baby boom d’après guerre et à une loi de 1959 qui portait l’obligation de scolarité jusqu’à 16 ans, on disait même à cette époque là »un collège construit par jour« , il ne fallait donc pas finasser sur la qualité des bâtiments.

      En tout cas, rien à voir entre ces bâtiments à bas cout quasi préfabriqués, et les 2 plus hauts immeubles du monde construit dans un endroit ou les conditions météo peuvent être exécrables (tempêtes, etc ...)

      Mais puisque vous avez parlé du collège pailleron qui s’est effondré en 1973, il suffit de le regarder un petit peu APRES son effondrement pour constater disons une légère différence entre cet effondrement là et celui du WTC. Ce bon vieux collège n’a pas eu le bon gout de s’effondrer totalement et raide sur sa propre marque. En particulier, les 2 premiers étages ne se sont pas effondrés, et tout une colonne du bâtiment est restée parfaitement debout. Extrait de l’article :
       »le lycée, aux « normes », était construit de telle sorte qu’il ne pouvait résister plus de 15 minutes à un feu. " voilà ce que vous comparez à un bâtiment qui lui était conçu selon ses constructeurs pour résister au choc de plusieurs avions.

      Et concernant les batiments type acier/béton - aucun dans le monde ne s’est jamais effondré consécutivement à un feu, ni avant le 11 septembre, ni même après comme dans l’inferno de la cctv tower à pékin qui a cramé en Février du sol au plafond et aux dernières nouvelles est toujours debout

      En fait, continuez comme cela, surtout ne changez rien à votre perception du monde et continuez à nous servir des arguments qui jettent aux orties plusieurs siècles de sciences et techniques, et continuez à regarder TF1 tranquille comme Gonzague !


    • Philou017 Philou017 23 août 2009 11:12

      Chantepasclair : vous, c’est la génération dépassée.


    • Philou017 Philou017 23 août 2009 11:18

      Comparer Pailleron avec des Gratte-ciels conçus selon des normes très sévères par les meilleurs architectes de l’époque est une ânerie.

      C’est pourquoi les gratte-ciels ne s’écroulent jamais suite à un incendie, même violent. Ils sont beaucoup trop solides et de plus prévus pour supporter un incendie important.


    • ffi ffi 23 août 2009 11:32

      Oui, pour Mr Chantecler, que l’on émette des doutes et des hypothèses cela se conçoit, mais que l’on dise une vérité, ohlala, surtout pas.

      Car l’effondrement des tours viole un principe physique ...

      Lequel déjà ?


    • ffi ffi 23 août 2009 12:01

      Mr Chantecler, vous vous répandez en discours sur la rationalité, et pourtant vous affirmez que la VO a des « invraisemblances patentes » tout en tenant celle-ci pour vrai.

      Je me permets de vous rappeler que « invraisemblances » signifie « visiblement le contraire de la vérité ».

      Donc comment parvenez-vous à tenir pour vrai, quelque chose que vous qualifiez « d’invraisemblable » ?

      Etes-vous vraiment sûr que c’est très rationnel comme raisonnement ?

      A moins que votre conception de la rationalité soit à l’image de votre conception de la vérité ?


    • ffi ffi 23 août 2009 12:07

      Non, non, la physique.
      Le principe de moindre action ...


    • ffi ffi 23 août 2009 12:40

      Vous avez un grand principe Mr chanteclerc. Celui de l’amalgame

      "Ce n’est pas parce qu’il y a certaines invraisemblances dans l’enquête que cela autorise à mettre en cause les bases mêmes de cet événement« 

       »Ce n’est pas parce que l’on semble en faire trop que le virus H1N1 n’existe pas ....(on peut aussi affirmer qu’il a été fabriqué de toutes pièces, comme le virus du sida...)« 

       »On peut affirmer que si l’on n’a pas encore équipé les voitures de moteur à eau ou d’un mouvement perpétuel , c’est à cause du lobby pétrolier....« 

       »On aurait pu nous faire croire par exemple que le Titanic n’a pas coulé en heurtant un iceberg , en montrant des trous sur la coque qui pourraient être la trace d’explosifs ,et en laissant flotter un cadavre avec les poches pleines de détonateurs, ce qui dédouanerait la compagnie et les responsables qui ont mené à la catastrophe , effectivement tout événement peut être retourné, à la limite ça s’appelle le négationnisme ."

      ....

      Vous mélangez absolument tout. Vous êtes persuadé de vivre dans un monde de fou ? Vous n’êtes pas loin de la vérité. Mais vous n’avez pas encore tout-à-fait compris qui sont les fous.

      ....

      Moi je vous demandais simplement votre avis, pour confronter, dans votre esprit, l’effondrement des tours sous le point de vue du principe physique de moindre action.

      Selon moi, cet effondrement viole le principe de moindre de moindre action.
      Donc, selon moi, il n’est pas naturel.
      Donc, selon moi, il a été organisé avec des explosifs.

      Si tel était le cas, pourriez-vous croire, qu’Al Quaïda ait mis des explosifs dans les tours du WTC ? Ce n’est pas mon opinion.

      Dites-moi simplement votre opinion à partir du principe physique de moindre action sans aller chercher le moteur à eau où je ne sais quel délire svp, merci.


    • Mmarvinbear mmarvin 23 août 2009 13:10

      En parlant d’effondrement, j’ai trouvé une petite vidéo qui n’a rien à voir...

      http://www.youtube.com/watch?v=nz-WVJ0zeXE

      Il s’agit de la Tour Windsor, qui a brulé à Madrid en 2005 sans trop que l’on sache pourquoi. Elle est présentée par certains comme étant une « preuve » comme quoi un immeuble en feu ne s’effondre pas.

      Vu que la vidéo fait 8 minutes, les moments les plus interessants se passent en fait les trois premières : on y voit l’incendie, des écoulement de métal fondu le long de la façade qui devraient vous rapeller certaines images du WTC (avec toute les réserves dues aux différences entre les deux événements, bien entendu...) et à la 2’30, la fin de la théorie comme quoi aucun immeuble en acier ne s’est jamais effondré suite à un incendie, selon certains. Là encore, avec toutes les réserves dues aux différences de structure des deux batiments.


    • ffi ffi 23 août 2009 14:27

      @ chantecler,

      je me passerais bien à avoir à vous expliquer en long et large le principe de moindre action, mais il semblerait que vous refusiez d’utiliser ce truc qui vous sert de cerveau.

      La résistance anti-impérialiste, c’est le mouvement pour la vérité sur le onze septembre, ce que vous ne semblez pas comprendre. Je puis comprendre que vous n’ayez pas un grand niveau un physique, mais je vous pris de croire que ce n’est pas mon cas, et dans ce cas, c’est une grande fatuité d’émettre des opinions sur des choses auxquelles on n’y comprend rien.

      Ce ne sont pas ceux qui recherche la vérité qui s’approprie dans le système, au contraire. Le 9-11 ressemble à un grand spectacle - la première superproduction mondiale - et a fait une excellente diversion quant aux problèmes économiques réels. Les délits d’initiés montrent qu’un certains nombre de gens dans la finance étaient concernés.

      Alors quand vous refusez de vous interroger, et bien en fait, vous collaborez avec les gens du système qui mettent le monde à feu et à sang. Et quand vous colportez des amalgames douteux, vous combattez à leurs cotés.

      Mais on vous a bien manipulé. On va a servi une soupe enraciné dans vos complexes des années 30, une légende sur les « théories » de la conspiration qui découlerait naturellement des moments de crise. Mais il n’empêche qu’historiquement, c’est le grand capital (du moins sa faction impérialiste) qui a abondamment financé Hitler, Franco et Mussolini pour ne pas avoir de comptes à rendre au peuple.

      Pas bêtes les mecs, ils ont investit le point sensible du système : la finance. On voit poindre les mêmes tentations eugénistes d’hier - et ça, ce n’est pas le fait de ceux qui recherche la vérité, mais le fait des gouvernants.

      Alors, interrogez-vous : soit vous collaborez, soit vous résistez.

      Parce que la vérité est que l’explication de l’effondrement des tours est incompatible avec les principes physiques les plus élémentaires. D’où qu’on nous prend pour des cons.

      De même sur les explications sur la crise économique, où là, on nous prend encore plus pour des cons.


    • ffi ffi 23 août 2009 14:47

      @ mmarvin

      Pas mal ta vidéo, ça brûle pendant des heures, mais la structure reste debout (voir à la fin). Les petits pans de murs qui tombent basculent dans le vide, et n’enfoncent pas la structure, ce qui est compatible avec le principe de moindre action.

      Nous avons bien ici une preuve visuelle de ce qu’est un incendie normal. Cela ne ressemble pas du tout au WTC (dont l’effondrement viole le principe de moindre action à moins de considérer qu’il ne s’agisse d’une démolition contrôlée).

      Allez mmarvin, cher camarade, tu finiras bien par convenir de la vérité.


    • Mmarvinbear mmarvin 23 août 2009 16:44

      « Cela ne ressemble pas du tout au WTC »  : Heureusement que j’ai précisé qu’il fallait tenir compte des différences de structures, sinon...

      Dis-moi, tu sais lire ?

      Parce que j’ai un doute...


    • Cascabel Cascabel 23 août 2009 21:48

      Et bien mmarvin, vous travaillez contre votre propre camp en montrant la tour Windsor.

      On voit un incendie nettement plus sévère que celui des twinn ou de la tour 7 (sans l’excuse de l’avion) consommer un gratte ciel et ho surprise, celui-ci ne se volatilise pas pour autant !
      Bizarre non ?
      Enfin non, rien de bizarre puisque dans un cas on parle d’un incendie et dans l’autre d’une démolition contrôlé.


    • wesson wesson 24 août 2009 01:50

      oups, j’ai commis une coquille, C’est le Semtex qui est de conception Tchèque, j’ai confondu avec le C4 qui est d’origine Américaine.

      Comme la question a été évoquée, le C4 est remarquablement stable, il lui faut à la fois la chaleur ET une très forte pression pour détonner. En pratique le jeter de toutes ses forces sur un sol dur, lui tirer dedans avec un gros calibre, le bruler ne présentent aucun risque d’explosion, il se consumera doucement, au point que les soldats américains utilisent parfois du C4 pour faire chauffer leur popote car il brule lentement et longtemps.

      C’est la combinaison d’un choc très violent ET d’une chaleur intense qui le déclenche.


    • Mmarvinbear mmarvin 24 août 2009 11:48

      Même si apparemment la hiérarchie interdit de le faire, car le C 4 dégage des fumées toxiques en brulant.


  • xray 22 août 2009 17:06


    Le 9 11,  une imposture ordinaire dans le cadre d’un montage de guerre classique. 

    Une version officielle digne d’un scénario de dessin animé pour enfants. 

    Un certain 11 septembre 2001 
    http://mondehypocrite501.hautetfort.com/ 


    Sur l’échelle des impostures, le 9 11 est insignifiant.  

    LES GRANDES IMPOSTURES 

    CONQUISTADOR SPACE 
    http://conquistador-space.over-blog.fr/ 

    Un certain 11 septembre 2001  Texte définitif 
    http://mondehypocrite501.hautetfort.com/ 

    L’IMPOSTURE DU SIDA 
    http://echofrance36.wordpress.com/2008/10/24/le-sida/ 

    La loi 1905 (France) 
    http://mondehypocrite.midiblogs.com/archive/2008/05/06/moralistes-par-devant-sans-scrupule-par-derriere.html

    Les virus de curés 
    http://levirusmachin.hautetfort.com/ 



  • xray 22 août 2009 17:07


    Le 9 11,  une imposture ordinaire dans le cadre d’un montage de guerre classique. 

    Une version officielle digne d’un scénario de dessin animé pour enfants. 

    Un certain 11 septembre 2001 
    http://mondehypocrite501.hautetfort.com/ 


    Sur l’échelle des impostures, le 9 11 est insignifiant.  

    LES GRANDES IMPOSTURES 

    CONQUISTADOR SPACE 
    http://conquistador-space.over-blog.fr/ 

    Un certain 11 septembre 2001  Texte définitif 
    http://mondehypocrite501.hautetfort.com/ 

    L’IMPOSTURE DU SIDA 
    http://echofrance36.wordpress.com/2008/10/24/le-sida/ 

    La loi 1905 (France) 
    http://mondehypocrite.midiblogs.com/archive/2008/05/06/moralistes-par-devant-sans-scrupule-par-derriere.html

    Les virus de curés 
    http://levirusmachin.hautetfort.com/ 



  • ffi ffi 22 août 2009 19:18

    L’effondrement est incompatible avec le Principe de Moindre Action.

    http://www.ensmp.fr/aflb/AFLB-333/aflb333m568.htm

    Selon le Principe de Moindre Action (Maupertuis), à la base de toute la physique moderne, si une poutrelle a le choix entre tomber du coté du vide et tomber au travers de 200 000 tonnes d’acier et de structures, même extraordinairement affaiblies, alors la poutrelle tombera dans le vide. D’où qu’un effondrement en général montre des blocs scindés en plusieurs morceaux.

    Or là ce n’est pas le cas, le toit de l’immeuble s’effondre en traversant tout la structure jusqu’aux fondations, comme s’il traversait le vide.

    Il y a deux explications possibles :

    1°/ Des explosifs ont été posés dans les structures pour les affaiblir.

    2°/ Dieu, voyant que l’armée de l’air américaine avait déjà suivi le principe de moindre action, a décidé d’en dispenser les tours.


    • Muadib 22 août 2009 23:20

      Les truthers ont vraiment les soutiens qu’ils méritent...

      Oserais-je parler de répartition des charges ?

      Peine perdue.


    • ffi ffi 22 août 2009 23:26

      Mais, je vous en prie, parlez-moi donc du Principe de Moindre Action


    • ffi ffi 23 août 2009 00:26

      Allez, Mr le lier Muadib, je vous aide ; extrait de Wikipedia
      ______________________________________________________

      En mécanique, le principe de moindre action affirme qu’un corps prend la direction qui lui permet de dépenser le moins d’énergie dans l’immédiat (ou d’acquérir le plus d’énergie dans l’immédiat), en tenant compte qu’il doit y avoir continuité du mouvement (positions et vitesses) s’il y a continuité des conditions physiques[2].

      En reliant deux points, la trajectoire prise par le corps n’est pas toujours celle qui lui fait dépenser globalement le moins d’énergie car c’est la dépense immédiate (ou plutôt instantanée) d’énergie qui est minimisée (comme si le corps ne percevait que les conditions de son environnement immédiat) et si le chemin parcouru est long, un chemin plus court avec une dépense d’énergie immédiate plus élevée peut permettre une dépense globale inférieure. Une analogie avec la consommation en carburant d’une voiture peut être faite.

      Dans ce « résumé », « énergie » signifie énergie cinétique, et une « dépense d’énergie » signifie que de l’énergie cinétique se transforme en énergie potentielle.

      _________________________________________________

      Je n’imagine pas que quelqu’un puisse croire que dépenser le moins d’énergie dans l’immédiat consiste à préférer enfoncer 200 000 tonnes de structures en acier plutôt que simplement basculer dans le vide.

      D’un certain point de vue, Mr Muadib, vous aussi, vous suivez parfaitement le principe de Moindre action : vous préférez jeter par la fenêtre 400 ans de physique par conformisme.

      En cela, vous réagissez comme toute objet inerte, mais en tant que sujet pensant je dirais que vous suivez le principe de moindre raison.

      Personnellement, je ne jette pas 400 ans de physique pour me plier à votre plaisir conformiste.

      L’effondrement est incompatible avec le Principe de Moindre Action. On peut retourner cela dans tous les sens, mais rien n’y fait, c’est la Vérité.


    • ffi ffi 23 août 2009 02:21

      Mr Muadib ? Mr Muadib ?
      Ouh Ouh, Mr Muadib ?
      Le principe de moindre action, vous connaissez ? Ca vous fait peur ?


    • ffi ffi 23 août 2009 05:56

      Mr Mouadib ?
      vous croyez vraiment que dépenser le moins d’énergie dans l’immédiat consiste à préférer enfoncer 200 000 tonnes de structures en acier plutôt que simplement basculer dans le vide ?


    • Muadib 23 août 2009 22:48

      C’est amusant votre théorie...

      Ma réponse : Ronan Point.

      Et puis des cours de mécanique des structures, ça pourra pas vous faire de mal.
      Mais d’abord de la physique de base...concept de force, théorie des poutres, tout ça tout ça...

      Le principe de moindre action n’est en rien violé.

      Un petit indice :

      « ’il doit y avoir continuité du mouvement (positions et vitesses) s’il y a continuité des conditions physiques[2]. »

      Les équations d’E-L ne sont pas vraiment utiles dans le cas de l’effondrement du WTC.


    • ffi ffi 24 août 2009 03:39

      « il doit y avoir continuité du mouvement (positions et vitesses) s’il y a continuité des conditions physiques[2]. »

      En effet. Selon la version officielle, il y a continuité des conditions physiques : l’immeuble est debout, subissant un incendie. Il doit donc y avoir continuité du mouvement : Eventuellement quelques lambeaux de matière enflammées, tombent sur le coté à la verticale en se détachant des parois à l’image de l’immeuble Windsor (http://www.youtube.com/watch?v=nz-WVJ0zeXE) en Espagne.

      Or on constate, lors de l’effondrement des mouvements incongrus par rapport aux conditions physiques :

      - des poutrelles de plusieurs dizaines de tonne vont s’encastrer dans les immeubles voisins.
      - le haut de l’immeuble que l’on voit d’abord s’incliner se désintègre en plein air.
      - des os humains sont retrouvés sur les toits des immeubles voisins à des centaines de mètres.

      Pourtant, tout objet quand il chute, en partant d’une position statique, le fait d’une manière verticale. Donc aucune chance qu’une poutrelle en acier ne parte quasiment à l’horizontale s’encastrer dans les immeubles voisins.

      Pour que le principe de moindre action soit respecté, c’est à dire pour considérer qu’il y a bien continuité des conditions de mouvement (car le mouvement est toujours continu, il suffit d’appliquer une impulsion à un corps pour qu’il change de direction), il faut donc considérer que les conditions physiques change soudainement

      Un changement soudain (voir explosif) des conditions internes à l’immeuble, qui transmet une impulsion horizontale aux éléments de l’immeuble ce qui leur confère une vitesse latérale. De par cette vitesse latérale, les éléments de la structure interne, par miracle, n’offrent dès lors plus de résistance à la chute de l’ensemble qui s’affaisse tout du long.

      Comme vous l’avez vous même compris, c’est bien la discontinuité des mouvements, qui informe sur la discontinuité des conditions physiques.

      Pour expliquer la raison pour laquelle le principe de moindre action ne s’applique pas, en apparance, il nous faut donc invoquer une discontinuité des conditions physiques.

      Conclusion :
      Comme Chanteclerc, qui a fait d’instinct l’analogie avec une démolition contrôlée, vous-même, vous remarquez la discontinuité des mouvements et constatez donc une discontinuité des conditions physiques.

      La formulation du principe de moindre action vous a donc permis de percevoir le problème, sous un nouvel angle - sans avoir à mettre en équation 200 000 tonnes d’acier et de béton.

      Mais, comme Chanteclerc, vous restez au milieu du gué : vous percevez le problème, mais refusez d’en tirer les conclusion (vraisemblablement parce que vous prenez les autres pour des cons et vous même ne croyez pas être suffisamment intelligent).

      Mais, si c’est comme une démolition contrôlée et si l’application du principe de moindre action montre qu’il y a une discontinuité des conditions physiques internes, et que des résidus d’explosifs ont été retrouvés sur le site, quelle conclusion logique peut on en tirer ?

      Ce dont on a trouvé les résidus, n’aurait-il pas provoqué les conditions nécessaires au phénomène ?


    • Muadib 24 août 2009 12:33

      « Pourtant, tout objet quand il chute, en partant d’une position statique, le fait d’une manière verticale. »

      Tout simplement faux.

      Tout dépend des conditions physiques auxquels l’objet est soumis.

      Je m’arrête là. Ce type d’absurdité démontre votre manque total de maîtrise du sujet.


    • ffi ffi 24 août 2009 13:56

      Effectivement, si pour vous un objet lâché dans le vide tombe de manière horizontale, mieux vaut en rester là.


    • Muadib 24 août 2009 18:57

      Haaaaa...C’est déjà mieux.

      « laché dans le vide »

      Bonne correction.

      Car lâcher un objet dans le vide revient à ne lui impose aucune contrainte physique.

      Si vous le lâchez sur terre, la seule force appliquée sera la gravité ( en négligeant les frottements) et il tombera donc vers le sol. Newton est notre ami.

      Oseriez-vous prétendre que les étages supérieurs sont tombés dans le vide ?


    • ffi ffi 25 août 2009 22:22

      @Muadib,

      Entre ce que je veux dire, comment je le formule, ce que vous voulez comprendre, ce que vous voulez me faire dire ...

      Vous n’utilisez pas les bonnes lois physiques, et ne faites que digressions.
      Répondez-donc en bas en utilisant le principe de moindre action, montrez où est mon erreur dans son application. Ou bien convenez de la vérité, sans mauvaise foi SVP. La mauvaise foi, c’est, parait-il, le fait des « complotistes » fanatiques de l’irrationnel.
      Pas vous quand-même ?


  • ffi ffi 22 août 2009 19:18

    ite missa est ...


  • Cascabel Cascabel 23 août 2009 01:06

    Marrant,pour l’auteur les « comploteurs » sont ceux qui rejettent les mensonges flagrants de la VO.

    http://www.cnrtl.fr/definition/comploteur


  • stephanemot stephanemot 23 août 2009 09:27

    La « VO » a le merite de tenir la route et d’etre confortee a chaque nouvel element apporte.

    Les scenarios alternatifs ne cessent d’evoluer depuis le debut parce qu’ils se fondent sur du vent. Mais cela n’emeut pas plus que ca les « truthers ».

    « La vérité toute nue ne fera jamais douter un Truther ».


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