mardi 4 décembre 2012 - par Michel Tarrier

Confession d’un végétalien prétendument repenti

Ou preuve par l'absurde de la vie anormale des gens normaux...

Avant d'entrer dans le crépuscule de mon existence, il me faut faire repentance. Ainsi l'exige ma culture judéo-chrétienne dont la fourberie n'a d'égale que l'indulgente contrition. Et l'athée n'y échappe pas, la tradition religieuse est immanente, inhérente, intrinsèque, inscrite dans nos gènes depuis la nuit des temps. Quoi qu'on en dise, quoi qu'on en pense, c'est une dotation et s'en défaire est illusoire.

Mais une longue vie austère à ne pas dévorer de chair animale, à ne pas m'inscrire dans le festin dogmatique, gargantuesque, pantagruélique et sanguinaire risque bien de me barrer l'accès au paradis. Végétarien, tu ne vaux rien... Les frugivores vont en enfer et l'extrême onction, imposée de justesse au moribond sans défense, ne sera d'aucun effet.

Né dans une famille extrémiste, fondamentaliste, intransigeante, intolérante car végétalienne et ainsi conditionné malgré moi, j'ai ignoré la viande toute ma vie. Aliéné par ce mode d'éducation sectaire, caressant mon chat et mon chien, je trouvais normal de ne pas manger l'agneau ou le porcelet. Je commettais l'erreur impardonnable et agronomique de ne pas être sélectif, d'être inapte à ce reflexe ordinairement ségrégatif de séparer les animaux compagnons que l'on aime dorloter de ceux comestibles que l'on aime manger. Un peu comme cet autre distinguo entre utiles et nuisibles, entre grillon et criquet. Pour moi qui n'avais rien compris, c'était blanc bonnet et bonnet blanc. D'ailleurs, tout petit, des deux jouets de caoutchouc que les adultes avaient déposés dans mon berceau : une pomme et un mouton, je ne mordais que la pomme. De bien mauvais augure si mes parents avaient été omnivores, incluant la dérive pervers du toujours plus carnivore.

Et le temps passa...

Aux limites de l'autisme, j'étais dans ma bulle idéaliste, atypique, non intégré, voire asocial, plus ou moins aboulique et anémique par tant de carences nutritionnelles qu'induit, selon la rumeur pseudo médicale, l'absence de protéines animales et de leurs acides aminés. Le teint blême, la peau blafarde, boutonneux jusqu'à l'extrême, j'avoue avoir été d'une santé si fragile que je suis mort depuis bien longtemps, sauf que personne ne me l'a dit... Toujours bougon car me levant du mauvais pied (celui végé...), je n'ai fréquenté que des pisse-vinaigre et des coincés du fion. Une vraie galère, un réel chemin de croix. Ne se nourrir que de fruits et légumes équivaut à une permanente auto flagellation, rien de moins, rien de plus.

Celui qui ne change pas est un imbécile. Bienheureusement, il y a quelques années, me vint la révélation... Je ne sais plus si c'était lors d'un voyage en terre musulmane où, suspendues aux crocs des bouchers des souks, on peut admirer à loisir les carcasses d'animaux écorchés ; ou bien devant l'étale d'un charcutier-tripier de ma douce France, ravi par la délicatesse d'une tête de veau garnie de son brin de persil, de pieds de porc avec sabots et d'une alléchante cascade de tripes et de cervelles. En tout cas, ce fut un déclic et, dès ce jour, je fus pris d'un dégout profond et d'insupportables nausées devant l'intolérable et exécrable spectacle de tout déballage de fruits et de légumes. Quoi de plus écœurant que les produits du verger et du potager ?

C'est alors que, franchement motivé, je décidais de m'informer davantage et d'aller à la découverte si pittoresque de ces antichambres des abattoirs que sont les fermes et les élevages en batterie. Je fus enthousiasmé par ces camps concentrationnaires de poulets dégénérés, de vaches laitières surexploitées avec - délicate intention - leurs petits veaux compartimentés, par ces porcheries industrielles où chaque truie est enserrée avec précautions dans son "loft" métallique... Et j'en passe...

Converti-convaincu, je suis maintenant en quête d'un nouvel horizon de vivres, carnées cette fois-ci. D'avance, je m'en lèche chaque fois les babines. J'ai perdu tant de temps à m'enferrer dans une nutrition erronée n'engendrant que déceptions gustatives et à cent lieux de la noble gastronomie franchouillarde que je n'ai de cesse de m'empiffrer de cadavre, de savourer saucissons, jambons et pâtés, d'imaginer, à travers chaque côte de bœuf à la moelle, chaque côtelette d'agneau, chaque demi porcelet de lait, chaque blanquette de veau ou chaque hamburger, ces charmants animaux qui ont été créés pour que l'on puisse les esclavager, les multiplier, les tuer, les découper, les étriper, les broyer, les bouffer et les déféquer. Désormais, je serai fidèle aux rendez-vous de ces émissions culinaires télévisées où l'on fait l'apologie de la viande morte, surtout quand elles nous renvoient à nos bonnes traditions campagnardes comme sait si bien le faire "Carte postale gourmande" et ses incontournables séquences d'agapes charcutières et tripières. Du bon goût bien de chez nous. Rien à voir avec la tristesse de la stupide carotte râpée ! Il va de soi que Jean-Pierre Coffe, maître-queue de la gastronomie zoophage, est mon idole.

Il me fallait encore monter d'un cran pour m'assurer que j'avais enfin rallié le bon camp, que j'avais définitivement et sans le moindre regret quitté ma secte d'anémiques distingués. Ce qui fut fait en visitant les usines de gavages d'oies et de canard du Sud-ouest de la France. Quel émouvant spectacle, quelle franche empathie, quel beau rapport entre l'homme attentionné et la volaille affamée quand le généreux gaveur enfonce le bâton et l'entonnoir pour l'embucquer jusqu'à l'œsophage et pousser chaque fois plus de grains afin que le foie atteigne dix fois sa taille normale en développant une stéatose hépatique ! Jamais, oh grand jamais je ne résisterai au foie gras, pas plus qu'au confit d'oie ou au magret de canard ! La bucolique campagne gersoise, entre autres, est ainsi devenue mon pays d'adoption et je ne jure plus - bordel - que par de telles contrées de bonne chair et de savoir-vivre.

Quelque chose de presque sublime vient enfin de me conforter irréversiblement dans ma conversion au vrai et seul régime alimentaire qui vaille la peine de vivre pour manger qu'est la zoophagie. C'est au célèbre cavalier Bartabas que je dois cette assurance finale, lorsqu'il avoua qu'il mangeait de la viande de cheval. Alors là, comment hésiter et résister davantage quand on sait que cet homme qui lui parle à l'oreille, le caresse, le dresse avec tout l'amour que comporte le dressage ( tu parles...), bouffe son cheval !

Quand parfois la bidoche vient à manquer dans mon réfrigérateur, pas de souci, je trouve toujours un dessert qui, en dépit des apparences, en contient sous la forme d'un additif d'origine animale (lécithine, mono- et diglycérides d'acides gras) ou d'une gélatine issue d'os et de peau de cochon. N'est-ce pas merveilleux que ma communauté carnivore et nécrophage soit si attentive et ne m'oublie jamais, même de façon subliminale dans quelques profiteroles ou flancs caramels ?

Et si au fil de mes courses en ville, si je n'ai pas ma dose en raison d'une certaine discrétion de présentation des viandes déjà découpées de nos boucheries bien de chez nous, ou déjà emballées tout au long des linéaires des grandes surfaces, je ne me refuse pas les expositions courageusement agressives de barbaque des boucheries halal, véritable exotisme de proximité.

La barbaque de cheval, cette noble conquête de l'homme sous forme de viande hachée, se faisant rare dans mon quartier, le manque est désormais largement compensé par le grand gibier, ou mieux, par les nouvelles viandes très tendance que sont celles d'antilope, de zèbre, de dromadaire, de kangourou, d'autruche, d'alligator et d'autres gentils animaux, peluches tant aimées du temps de notre innocente enfance.

Mince satisfaction, je ne suis plus exclu, comme avant, des fêtes, traditions et ronds de familles. À moi la tuerie du cochon chez les cousins d'Auvergne, la fête du mouton ou le méchoui (avec l'appétissante tête de mort grillée) chez mes potes musulmans, le réveillon de Noël autour de la dinde ou de la Saint-Sylvestre à s'empiffrer de foie gras. Quand j'étais végé, putain la honte !

Le jour où je parviendrai à vaincre les ultimes barrières de mon regrettable sectarisme, à quitter les œillères de ma fieffée intolérance occidentale, j'irai manger du chien, du chat, du serpent, du scorpion... chez les Chinois ou les Vietnamiens, du cochon d'Inde chez les Quechuas, des larves d'insectes xylophages chez les Aborigènes... Pour la grenouille, l'huitre et l'escargot, je reste en France. Un p'tit effort, bon sang !

Enfin, fini pour moi de rechercher quelque chose sans viande, sans poisson, sans œufs dans un restaurant, et de constater l'attitude dépitée du patron ou du serveur me prenant en pitié et s'excusant de n'avoir aucun plat pour les personnes atteintes de végétalisme, sauf l'incontournable salade d'entrée, et encore...

Pour ce qui relève de la planète, de la pollution, de la déforestation, de la conscience écologique et du partage humanitaire, quand on me ressasse ce que coûte le prix de la viande en eau et en céréales et qu'on me reproche de participer ainsi à la disparité Nord-Sud, je réponds que je verse ma cotisation à Survival et au WWF, que ce n'est pas moi qui vais refaire le monde et que mon devoir citoyen, surtout en période de crise, est de soutenir les courageux éleveurs et la valeureuse filière bouchère, tueurs et équarisseurs compris.

Et si l'on m'agresse en voulant me protéger contre les maladies cardiovasculaires, une ribambelle de cancers, l’hypertension, les attaques cérébrales, le diabète de type 2, l’hypercholestérolémie, l’obésité, l'accoutumance aux antibiotiques dont la viande est bourrée..., je nique le moraliste en lui disant qu'on n'a qu'une seule vie, qu'elle est courte et qu'il faut en profiter ! Ce n'est pas avec les impôts que je paie, qu'on va venir me faire chier en me demandant de bouffer des tubercules et du foin ! Déjà qu'on ne peut même plus se faire sauter le caisson à la nicotine !

J'espère bien que ce billet de repentance par l'absurde saura me réconcilier au second degré avec la gente carnivore, j'en suis même assez sûr... Pourquoi ? Parce qu'ils n'y comprendront rien. À fréquenter toutes sortes de gens, j'ai noté que c'était chez les viandards qu'on enregistrait non seulement le plus de pathologies et de mortalité précoce, mais aussi la plus forte proportion d'abrutis. Cruauté et connerie marchent de pair, c'est bien connu, c'est même une tradition. Et il faut respecter les traditions. Toutes !



322 réactions


  • terrienne01 4 décembre 2012 11:04

    j’adore, j’adore, J’ADORE.
    Michel, je t’adore.
    mais c’est sûr qu’il y en a qui vont pas comprendre ce texte épatant, plein d’intelligence et d’humour.
    amitiés solidaires à tous les VG et vegan.


    • Romain Desbois 4 décembre 2012 15:21

      Oui c’est je crois son plus beau texte et super bien écrit.

      Je doute cependant que les mangeurs de cadavre passe à côté du second degré.

      Merci monsieur, sachez que vos graines finissent toujours par germer.


    • foufouille foufouille 4 décembre 2012 15:26

      aucun second degre
      typique du vegetaryen


    • Romain Desbois 5 décembre 2012 00:34

      si j’étais aryen connard , il y a longtemps que je t’aurais zigouillé de la même façon que tu zigouilles tes poules.

      Lequel des deux est le plus facho ?


    • al.terre.natif 5 décembre 2012 10:48

      celui qui n’a pas de second degré ? Celui qui insulte ? :P


  • Valéry Schollaert Valéry Schollaert 4 décembre 2012 11:15

    Bravo, bel article !


    Valéry

  • al.terre.natif 4 décembre 2012 11:24

    pas besoin d’être végétalien pour comprendre l’absurde de l’exploitation animale, la banalisation de la mort et l’excès constant de protéines animales. Texte sympa, mais qui mériterait peut être un peu de nuance.

    C’est dommage de dériver dans votre conclusion :

    « j’ai noté que c’était chez les viandards qu’on enregistrait non seulement le plus de pathologies et de mortalité précoce, mais aussi la plus forte proportion d’abrutis »

    Vous vous battez contre les préjugés qui vous visent au début du texte « Toujours bougon car me levant du mauvais pied (celui végé...), je n’ai fréquenté que des pisse-vinaigre et des coincés du fion », pour finir par emmètre des préjugés sur « ceux qui ne sont pas comme vous » : ceux que vous appelez les « viandards ».

    Mais il existe un monde entre votre vision de la nourriture et celle des viandards, un monde de nuances ou l’on peut manger de la viande lorsqu’on en a, et où l’on raffole aussi de légumes, où l’on varie l’alimentation. Ne pas être carnivore, ni herbivore, mais omnivore.


    • Valéry Schollaert Valéry Schollaert 4 décembre 2012 12:46

      Nuance oui,enfin... c’est un peu comme justifier l’assassinat occasionnel d’une ou deux personnes en disant que c’est plus nuancé que le tueur en série qui sévit toutes les semaines. c’est sur. smiley


      Sérieusement, il est temps ce comprendre que la viande, la chair animale (humaine ou non) n’est PAS de la nourriture pour l’être humain. On est au 21° siècle, parait-il... le moyen-âge, c’est dépassé...

      Manger de la viande ne tient ni la route sur le plan environnemental, ni sur le plan médical, ni sur le plan économique, ni sur le plan éthique. Alors pourquoi s’accrocher ? Le plaisir du goût et des habitude ne sont pas si difficile à remplacer... 

    • Guilhaume 4 décembre 2012 14:25

      "Sérieusement, il est temps ce comprendre que la viande, la chair animale (humaine ou non) n’est PAS de la nourriture pour l’être humain. On est au 21° siècle, parait-il... le moyen-âge, c’est dépassé..."

      Devons-nous comprendre que la chair n’est pas assimilable par le système digestif de l’Homme ? Si c’est le cas vous y allez un peu fort de café...


    • foufouille foufouille 4 décembre 2012 14:52

      "Devons-nous comprendre que la chair n’est pas assimilable par le système digestif de l’Homme ? Si c’est le cas vous y allez un peu fort de café..."

      sissi
      c’est dans leur religion


    • DésertSolitaire DésertSolitaire 4 décembre 2012 14:55

      Pas sans cuisson... Ce n’est donc pas un hasard. Tout comme les céréales.
      Sans feu nous serions frugivores. C’est ce que nous sommes biologiquement parlant.


    • DarkNightEagle 4 décembre 2012 14:59

      Steack tartare, vous connaissez ?


    • foufouille foufouille 4 décembre 2012 15:20

      nan, il connait pas


    • Romain Desbois 4 décembre 2012 15:30

      sisi c’est même la secte des oncologues qui ont lors d’un symposium ont conclu que tous les cancers du colon sont dus à la consommation de cadavre.

      Et tout le monde le sait que l’enfant ne peut naturellement passer au lait de vache. Il lui faut un temps d’adaptation qui va passer par des vomissements , des douleurs au ventre etc..
      Symptômes qui sont ceux de ...l’empoisonnement.

      Egalement, les ostéopathes ont découvert que loin de protéger les gens de l’ostéoporose , les produits laitiers pris régulièrement accélèrent l’ostéoporose !!!!

      Le calcium d’origine animale s’assimile de toutes façons beaucoup moins bien par l’humain que le calcium d’origine végétale.

      Que tous ceux qui ne cesse de prêcher la défense de la nature sur d’autres sujet , viennent nous dire un peu leur pratique contre nature de la consommation de cadavre.


    • Romain Desbois 4 décembre 2012 15:57

      ca me fait toujours marrer ceux qu moisent des faits rien que des faits.

      Mais aller vérifier par vous mêmes, bandes d’autralopithèques !!!


    • al.terre.natif 4 décembre 2012 16:06

      @Valéry Schollaert

      Ah oui, effectivement, on voit que la notion de nuance vous parle ....

      De mon point de vue, il s’agit avant tout de modération, tout comme le vin. C’est 100% végétal, et pourtant trop boire nuit à la santé. Pour la viande, vous refusez toute consommation et considérez chaque animal comme votre semblable, c’est très bien, mais s’il vous plait, pourquoi jugez vous ceux qui ne font pas pareil que vous ?

      Pouquoi les autres seraient automatiquement des monstres ?

      Et entre VG et végan, n’y a-t-il pas ce même mépris que vous affichez envers les « omnivores » ?


    • al.terre.natif 4 décembre 2012 16:12

      @ROmain Des Bois

      « Le calcium d’origine animale s’assimile de toutes façons beaucoup moins bien par l’humain que le calcium d’origine végétale. »

      Ca doit être pour ça que le lait maternel est végétal, c’est bien connu ;)

      Blague à part, il ne s’agit pas d’appliquer le même extrémisme que vous !

      Moi je tolère très bien ceux qui ne veulent pas manger de viande, je ne les pourris pas en leur disant que leur santé est impactée, que ce sont des monstres sanguinaires et des malades en puissance. Je ne dit pas non plus que les légumes c’est que pour les cons cruels !

      C’est juste ça que je reproche : un manque de nuance.


    • al.terre.natif 4 décembre 2012 16:15

      @DésertSolitaire

      il me semble que votre assertion est fausse : sans feu, nous macherions beaucoup plus longtemps pour assimiler la viande (ou son jus), c’est ainsi, il me semble, que faisait nos ancètres avant de découvrir le feu.

      Nous sommes avant tout opportunistes, et non pas spécialisés en végétaux. Nous mangeons ce que la nature met à notre disposition. Il y a plus de légumes / fruits à manger que de viandes, c’est sûr, mais de la à être exclusif .... 


    • Ronald Thatcher Ronald Thatcher 4 décembre 2012 16:33

      la class’, c’est être végétalien - homo - immigré d’extrème gauche et de bosser dans le fonctionnariat, c’est ça la class’ sous flamby au soja


    • Javascript Javascript 4 décembre 2012 16:48

      la class’, c’est être végétalien - homo - immigré d’extrème gauche et de bosser dans le fonctionnariat, c’est ça la class’ sous flamby au soja

      Incroyable ! Même sur ce genre de sujet y en a qui peuvent pas s’empêcher de ramener sur le tapis leur « idéologie » en amalgamant tout et n’importe quoi !

      Un jour vous finirez par voir du bobo-islamo-coco-nazi-bolchévo-socialisme (biffez les mentions inutiles) dans un article traitant de la sexualité des castors lapons.


    • Valéry Schollaert Valéry Schollaert 4 décembre 2012 18:50

      La viande humaine aussi se digère... pourquoi n’en mangez-vous pas ?


    • musebox3 4 décembre 2012 18:53

      Certain le font. Mais les pigmés sont très certainement des barbares assoiffés de sang.


    • zic_quili 4 décembre 2012 20:27

      psscchhhhh fort ce pseudo (al.terre.natif), je suis toujours tres admiratif de ces jeux de mots sur-puissants :)),

      pour parler du meme ton que l’auteur de ce billet, exquis a devorer :)

      Ca finit sur une apotheose de la provoc’, qu’on pourrait un peu prendre a la legere, vu qu’on peut quand meme reconnaitre que ca n’a pas du toujours etre evident pour les vegetaliens de trouver leur place dans notre societe, surtout par le passe d’ailleurs.
      Qui n’a pas retrouve les propos de proches dans la description jouissive des vegetaliens blafards ?

      Felicitations a l’auteur.
      De la part d’un amateur de viandes, de plus en plus perplexe/degoute quant a leurs origines/productions.



    • DésertSolitaire DésertSolitaire 4 décembre 2012 23:58

      Ce qu’il veut dire par là c’est que le calcium issu du lait de vache n’est pas bien assimilé, il se barre dans les urines. Pour preuve les plus gros taux de fractures ostéoporatiques sont parmi les pays les plus grands consommateurs de lait (usa, Norvège, nzl..).
      En ce sens il est bien plus préférable de consommer des sources végétales de calcium. Au Japon où le lait n’est pas un aliment faisant parti de leur culture, l’ostéoporose est quasi absente. Leur source de calcium venant de tofu ou des algues.


    • DésertSolitaire DésertSolitaire 5 décembre 2012 00:23

      Dans le tartare c’est le citron qui cuit la viande. C’est formidable la chimie vous savez.


    • Mmarvinbear Mmarvinbear 5 décembre 2012 13:43

      « Sérieusement, il est temps ce comprendre que la viande, la chair animale (humaine ou non) n’est PAS de la nourriture pour l’être humain. On est au 21° siècle, parait-il... le moyen-âge, c’est dépassé...


      Manger de la viande ne tient ni la route sur le plan environnemental, ni sur le plan médical, ni sur le plan économique, ni sur le plan éthique. Alors pourquoi s’accrocher ? Le plaisir du goût et des habitude ne sont pas si difficile à remplacer... »

      Bah merde alors, on se plante depuis deux ou trois millions d’années ? C’est con quand même !

      On dirait que même Mère Nature s’est plantée en nous donnant des incisives et des canines au lieu de tout un jeu de molaires bien mieux adaptées !

      Plus sérieusement, si tu ne comprends pas pourquoi les végés et les végans sont pris pour des cons, relis toi, tu comprendras peut-être...

    • Mmarvinbear Mmarvinbear 5 décembre 2012 13:46

      « Et tout le monde le sait que l’enfant ne peut naturellement passer au lait de vache. Il lui faut un temps d’adaptation qui va passer par des vomissements , des douleurs au ventre etc..
      Symptômes qui sont ceux de ...l’empoisonnement. »


      Conneries. Un gosse gerbe tout le temps ou presque. Le fils d’une amie gerbe le lait maternel alors qu’il n’a rien d’autre.

      Serait-elle une vache à son insu ?

      « Mais alors... les femmes sont les vaches des hommes ?!? »

    • Mmarvinbear Mmarvinbear 5 décembre 2012 13:47

      « La viande humaine aussi se digère... pourquoi n’en mangez-vous pas ? »


      C’est fade...

    • DarkNightEagle 6 décembre 2012 16:01

      Dans le tartare c’est le citron qui cuit la viande. C’est formidable la chimie vous savez.

      ça voudrait dire qu’un acide peut « cuire » la viande. Hors, quand on digère, il me semble que l’on génère de l’acide chlorhydrique !!! C’est formidable la digestion vous savez.


    • vegandurga 8 décembre 2012 12:57

      La chair est assimilable par l’organisme mais cela n’est pas sans contres indications. L’Homme est un omnivore opportuniste cad qu’il a le choix de manger de la chair ou non, de tuer ou de ne pas tuer ; de considerer que les animaux sont des etres sensibles qui ont droit au respect et a un minimum de consideration ou non ; de detruire les oceans en mangeant toujours plus de poissons ou d’etre en paix avec la nature et avec lui même.

      sur le fait de savoir si l’homme est fait pour manger de la viande, l’anatomie comparé nous apprend que non. je vous invite a aller voir la petite video ci dessous sur le sujet :

      http://www.youtube.com/watch?v=G2kT1Pwba4Y

      et celle ci sur les degats de la viande :

      http://www.youtube.com/watch?v=wZOZFLhSC1g&feature=plcp

      vegandurga


  • Javascript Javascript 4 décembre 2012 13:06

    À fréquenter toutes sortes de gens, j’ai noté que c’était chez les viandards qu’on enregistrait non seulement le plus de pathologies et de mortalité précoce, mais aussi la plus forte proportion d’abrutis. Cruauté et connerie marchent de pair, c’est bien connu, c’est même une tradition.

    Je vais forcément me faire modérer mais tant pis, je vais pas me laisser insulter gratuitement de la sorte car oui je mange de la viande donc oui je suis un « viandard » comme vous dites et je vous emmerde ! (Ben oui puisque je suis con en plus d’être cruel).

    Je me souviendrais de ce texte la prochaine fois que je croiserais un végéta-crétin (ouais moi aussi je fais des jolis mots nouveaux !!!).

    Merci en tout cas de m’avoir éclairé sur ce nouveau sectarisme. Personnellement je n’avais rien contre les gens qui choisissent de ne pas/plus manger de viande, je les regardais même d’un bon œil mais maintenant je sais grâce à vous que vous formez une secte de tarés haineux.

    Je suis officiellement votre ennemi depuis aujourd’hui.


    • DarkNightEagle 4 décembre 2012 13:47

      Je confirme, à chaque article, Monsieur, Tarrier, que vous nous prouvez qu’une seule chose, c’est votre propension à utiliser des idées dans l’air du temps pour prôner des extrémismes par le biai de votre ton haineux et auto suffisant. L’être humain « civilisé » des temps modernes ne respecte ni les autres, ni les idées, ni le sens de la Vie qui n’est qu’un cycle d’harmonie et de synergie duquel nous nous sommes écartés.

      Prions pour la paix et surtout pour celle de votre esprit perturbé, Monsieur Tarrier.

      Bien à vous.


  • foufouille foufouille 4 décembre 2012 13:13

    quelle idee de ne pas manger des legumes pourris
    ou des huitres gluantes
    ou encore un homard cuit vivant


  • foufouille foufouille 4 décembre 2012 13:17

    "Ainsi, l’Inde connaît une augmentation rapide de sa population. La population indienne augmente d’environ 19 millions d’individus par an (conséquence d’une fécondité de 2,7 enfants par femme en moyenne — contre 1,7 pour la Chine). L’espérance de vie est passée de 38 ans en 1952 à 64 ans en 2011."


  • DésertSolitaire DésertSolitaire 4 décembre 2012 13:31

    C’est la suite logique de « Non au bio carnivore dans ma cantine ! » et des nombreuses interventions sur ce même billet, la preuve que Michel lis bien chacune des contributions puisqu’on y retrouve nombre de mythes qui y ont étés évoqués.


  • Herbert Sogno Herbert Sogno 4 décembre 2012 14:19

    Javascript ( lire plus haut ) ignore qu’il est l’ennemi de la Terre depuis sa naissance, pas seulement depuis aujourd’hui.

    Je souhaite me permettre d’élairer la partie apparemment agressive du discours de Michel Tarrier à l’égard des viandards d’une certaine caution logique : eh oui, compte tenu de l’indénombrable quantité d’arguments qui plaide en faveur de l’abolition totale de l’exploitation d’animaux par l’homme, que ce soit sur le terrain de la dévastation écologique en cours d’achèvement, ou sur celui de l’indispensable orientation vers une morale empathique pour toute considération d’un salut quelconque de l’humanité, à partir d’un certain QI, d’un certain niveau de culture, de questionnement philosophique et de goût pour la réflexion, à partir d’un moment donné de ta vie, quand tu es prisonnier des dogmes et traditions, nécessairement, tu te dis « mais merde, ça va pas la tête, qu’est-ce que je déconne depuis toujours ? ». Il s’agit là de ce type d’intelligence qui te libère de l’égoïsme morbide qui gouverne le comportement panurgien ordinaire, celui qui t’empêche de remettre en question de façon radicale toutes les bases d’un paradigme suicidaire du fonctionnement du monde ( libéralisme, capitalisme, politique des partis, valorisation du luxe, etc .... ). Si ce déclic n’arrive jamais sur la consommation d’animaux, c’est que tu n’en n’a pas les moyens intellectuels, et cette déficience se retrouve dans tous les autres pans de tes discours, c’est normal, ce qui fait que globalement, tu as toute probabilité d’avoir l’air d’un gros abruti. Tu n’y peux rien, c’est comme ça, mais ne t’inquiète pas, ce n’est pas grave, l’empathie est de notre côté et nous avons donc pitié de toi, malgré le mal que tu fais partout et tout le temps, car à l’impossible nul n’est tenu et nous continuerons donc sans arrêt cet exercice sacrificiel de te réexpliquer sans cesse le b-a-ba du bon sens.
    Cordialement,
    Hervé.


    • Javascript Javascript 4 décembre 2012 14:40

      nous continuerons donc sans arrêt cet exercice sacrificiel de te réexpliquer sans cesse le b-a-ba du bon sens.

      C’est trop d’honneur que de recevoir votre connaissance maitre. Et si vous pouviez continuer à saupoudrer d’insultes votre argumentaire comme l’auteur le fait lui-même j’en serais enchanté derechef.

      c’est que tu n’en n’a pas les moyens intellectuels, et cette déficience se retrouve dans tous les autres pans de tes discours, c’est normal, ce qui fait que globalement, tu as toute probabilité d’avoir l’air d’un gros abruti.

      Blague à part, quand on commence à me traiter de con pour m’expliquer un concept j’ai tendance à me rendre imperméable à ce concept. C’est un truc perso remarquez bien. J’ignore quelle est la proportion exacte de masochiste dans la population française mais n’en faisant pas partie moi-même je vous confie que y a peu de chance que vous arriviez à me convaincre de quoi que ce soit de cette manière.

      Maintenant prenons le contraire, imaginons un instant que pour défendre une cause parfaitement légitime je vous traite de « gros con » ou « gros abruti » pour vous faire comprendre que vous suivez la mauvaise pente. Vous croyez vraiment qu’à un moment vous allez me répondre « mais oui, vous avez raison, je suis un gros abruti, vite, expliquez moi comment m’en sortir ».
      Si vous pensez vraiment que cette « méthode pédagogique » peut fonctionner c’est que vous êtes fou, tout simplement.

      PS : Arrêtez de me tutoyer, on a pas garder les cochons d’abattoir ensemble.


    • Herbert Sogno Herbert Sogno 4 décembre 2012 15:55

      Difficile effectivement d’être masochiste et sadique les deux ensemble, c’est ce que nous nous efforçons de vous expliquer depuis si longtemps ( Jésus lui-même était déjà un militant végétarien et d’en retirer les preuves fut le principal objet du Concile de Nicée qui écarta ainsi les évangiles dits apocryphes ).

      Biensûr que lorsque quelqu’un me traite de con, mon réflexe est immédiatement et spontanément de me demander d’abord ce qu’il a à me reprocher, et ensuite éventuellement quelle mauvaise interprétation erronée il fait de mes actes. Après analyse de son propos sur la question, s’il est fondé, j’avise naturellement et me dispose à modifier mon comportement. C’est ce qui me parait le plus intelligent à faire, et comme je m’efforce d’aspirer à me comporter de la façon la plus intelligente possible, je me plie à cette règle de bon sens. Si malgré tous mes efforts, je ne parviens pas à m’incriminer et que l’occasion m’en est donnée, alors je m’atèle à essayer de faire progresser mon interlocuteur. Mais ce n’est pas toujours facile car les gens ont toujours teriblement de mal à reconnaitre leur tort.

      Dans mon texte apparait clairement ( « égoïsme » ) que la bêtise que nous évoquons tous ne correspond pas forcément à une limtation de perfomance cognitive ou de vélocité cérébrale, mais le plus souvent à un emprisonnement des capacités et de l’émancipation intellectuelles par une étroitesse de l’âme.

      Je n’ai évidemment nullement cherché à insulter, mais à démontrer.


    • Valéry Schollaert Valéry Schollaert 4 décembre 2012 16:06

      Exact Herbert, bien expliqué.


    • Javascript Javascript 4 décembre 2012 16:36

      Vous êtes conscient Herbert que la réponse que vous venez de me faire est quand même plus « posé » que votre première réaction ? Certes vous répondiez à mon post plus haut qui était également très agressif mais qui venait en réponse à la FORME du texte qui est bourré d’insultes que d’autres commentateurs que moi ont relevé.

      Je vais pas m’étendre sur le FOND, je ne suis pas un gros mangeur de viande et comme je l’ai dit plus haut je vois d’un bon œil ceux qui sont végétaliens mais sur la FORME ce texte est tout simplement une baffe dans la gueule des non-végétaliens et je trouve :

      1- Que pédagogiquement l’auteur fait du contre-productif. Il aurait voulu dissuader les gens de s’intéresser au végétalisme qu’il ne s’y serait pas prit autrement.
      2 - Que plus grave encore que de décourager l’auteur présente les végétaliens comme des intolérants, ce qui ne va pas seulement entrainer l’indifférence mais le mépris (en tous cas l’auteur a gagner le mien).

      Bref, si ce texte avait posé le débat sans trainer dans la boue ceux qui suivent « la norme alimentaire » (dont je suis) on aurait pu avoir en commentaire des échanges plus intéressants que ce à quoi on a droit (et auquel je participe car j’aime pas me faire cracher dessus).


    • Herbert Sogno Herbert Sogno 4 décembre 2012 16:52

      J’avais eu le sentiment d’être posé depuis le début.

      Vous reprochez à l’auteur « d’insulter » des gens qu’il considère ( pour des raisons de fond et non de forme ) comme des criminels en série extrêmement massifs et à double titre : de façon directe et indirecte. Vous lui reprochez de ne pas tolérer ce qu’il vous décrit comme intolérable à longueur d’articles sur tous les plans de réflexion possibles.

      A mon tour de vous inviter à notre place : faut-il être tolérant à l’égard de tous les fachismes de l’Histoire ?
       
      Biensûr que les végétariens sont intolérants, comme tous ceux qui ont fait progresser le monde, parcequ’ils ont dit : « Stop, ça ne peut plus continuer comme ça car c’est intolérable ».


    • musebox3 4 décembre 2012 18:56

      C’est ton avis. Pas une vérité. 


  • annie31 annie31 4 décembre 2012 14:34

    Bonjour Michel,
    Je ne suis pas (encore) végétarienne pour plein de raisons, mais plus j’avance en âge, plus je me sens coupable de manger de la viande...
    J’ai entendu dans l’excellente émission de Mathieu Vidard, « la tête au carré » sur France Inter le lundi 26 novembre dont le titre était : « faut-il encore manger de la viande », un intervenant expliquer que, productivié oblige, 90 % des animaux étaient abattus dans des conditions effroyables engendrant un long calvaire à l’animal avant qu’il ne rende son dernier souffle. Alors soyons lucildes, on ne peut pas rendre les gens végétariens du jour au lendemain, en revanche, on peut éviter de faire souffrir les animaux. Ma question est donc la suivante : que pouvons-nous faire pour obliger les industriels à recourir à des méthodes moins barbares lors de l’abattage ?


    • foufouille foufouille 4 décembre 2012 14:37

      ne pas acheter industriel, tout simplement


    • DarkNightEagle 4 décembre 2012 14:50

      Oui, rien ne vous oblige à acheter en grande surface. C’est à vous de vous orienter vers des élevages plus axés vers le vivant et non l’industriel. La culpabilité fait partie de notre formatage de l’enfance, débarrassez-vous en...on vous fera faire n’importe quoi avec une telle dynamique...


    • Valéry Schollaert Valéry Schollaert 4 décembre 2012 16:16

      Annie,



      Je comprends ce message, mais soyons quand même un peu sérieux. Des scientifiques annoncent la possible fin de la biosphère et par là même de l’humanité d’ici à 2100. Ils peuvent se tromper, notamment de quelques décennies (dans un sens comme dans l’autre), mais voilà encore 50 c’était inimaginable. On fonce droite dans le mur ; sans un changement radical c’est perdu. Ce n’est plus seulement une vision de quelques écolos, c’est une réalité scientifique. Changeons ! C’est peut-être trop tard, insuffisant, mais au moins, essayons ! Hors, la viande, et personne ne discute ici ce fait (on discute du style de Michel Tarrier, de ses accusations à ceux qui ne changent pas - l’approche est discutable en effet) : manger de la viande tel que nous le faisons est un gaspillage innommable qui va à l’encontre de la bonne gestion de notre monde surpeuplé aux ressources limitées. Alors pourquoi attendre pour changer ? C’est une évidence : si on veut un changement radical et efficace, il faudra changer ses habitudes. On demande pas de vous passer de votre confort, du chauffage ou de la douche ou de vous priver de nourriture (ce que la nature nous obligera à faire - et oblige déjà certains dans le monde aujourd’hui) : juste changer d’ingrédients. Si ça vous demande des mois ou années d’adaptation, on y arrivera jamais !

      Pourquoi ne pas décider, ce soir : je ne mange plus de viande ? Je connais tant de gens qui ont changé du jour au lendemain ainsi ! Ils n’en sont pas morts, que du contraire. Je ne parle pas de mon expérience (j’avais 7 ans, c’est différent), mais d’autres, notamment ma compagne. Pas de blabla, pas de chichi : la viande c’est mauvais ? OK, j’arrête. Basta, terminé. Elle n’a jamais été en si bonne santé depuis. C’est pas si compliqué...

    • Mmarvinbear Mmarvinbear 5 décembre 2012 14:09

      «  Des scientifiques annoncent la possible fin de la biosphère et par là même de l’humanité d’ici à 2100. »


      Des scientifiques mayas ?

  • France 4 décembre 2012 14:37

    Se placer sur le plan éthique, c’est oublier que l’éthique n’a aucune signification dans la Nature, et aucune signification en diététique. Demandez au tigre, à votre chien, à votre chat, s’il faut qu’il cesse d’être carnivore par respect des autres animaux !

     La prédation est nécessaire à l’équilibre écologique. S’il n’y avait que des animaux sur terre, il n’y aurait aucun problème avec le carnivorisme : ils équilibrent leur alimentation avec leur seul instinct, et avec les seuls moyens dont la nature les a dotés : griffes, crocs etc. Ils s’inscrivent donc naturellement dans l’équilibre écologique, et ne peuvent commettre aucun abus.

    Avec les humains, c’est différent : ils ont acquis des moyens artificiels qui décuplent leurs forces, ils ont ainsi supprimé tous leurs prédateurs, augmenté leur nourriture disponible (par l’agriculture), puis échappant ainsi à toute régulation naturelle, ils se sont multipliés sans limites et ont consommé bien au delà de leurs moyens et de leurs besoins, grâce à la cuisine, qui leur a permis de rendre bons à leur goût des aliments qui ne le seraient pas pour eux à l’état brut, et de dépasser en quantités et en qualité leurs besoins nutritionnels.

     Pour nous, les humains, l’éthique s’impose donc comme une tentative pour freiner un peu notre boulimie. 

     Les peuples premiers qui vivent à très faible densité de population dans les derniers espaces naturels peuvent se permettre d’être carnivores. Mais nous, les 7 milliards d’humains dont plus de la moitié s’entassent dans les villes, nous devrions avoir une consommation de viande inversement proportionnelle à notre nombre, c’est à dire qui tendrait vers zéro à l’heure actuelle.

    Car notre prédation ne s’inscrit plus dans l’équilibre écologique, mais génère le déséquilibre avec les élevages intensifs hors-sol, l’alimentation animale à base d’OGM, la déforestation pour conquérir de nouvelles terres cultivables etc.

    Le problème de l’élevage intensif ne se résoudra pas avec la seule suppression de la consommation de la viande. Sachant que les vaches laitières représentent 80% des bovins en France, et que ce sont elles qui souffrent le plus de l’élevage concentrationnaire, on n’aura résolu que 20% du problème (pour les vaches )

    La consommation de produits laitiers fait plus pour le développement du cancer, des maladies auto-immunes, du cholestérol, des désordres ORL, de l’arthrose et des rhumatismes et même de l’ostéoporose, que toutes les consommations de viandes réunies.
     Elle fait aussi plus pour le développement des emballages plastiques (bouteilles de lait, pots de yaourt, fromages blancs etc. que toutes les consommations de viandes.
    Elle est championne pour la maltraitance des animaux : on sépare systématiquement les veaux de leur mère dès la naissance, pour réserver tout le lait pour les humains, violant ainsi l’instinct maternel de la mère. On tue tous les veaux mâles peu après leur naissance.

     Les vaches sont tellement sélectionnées qu’elles n’ont plus que la peau sur les os, et développent un pis tellement hypertrophié que ça les gêne pour marcher : il suffit de voir, en Bretagne, un troupeau de prim’holstein se déplacer péniblement, pour comprendre à quel point cet animal s’est éloigné son ancêtre sauvage.

    Alors, s’attaquer à la viande sans s’attaquer aux produits laitiers avec la même force, c’est juste faux-jeton !
    Est-ce l’addiction au fromage qui empêche presque tous les écolos de remettre en cause ce tabou des produits laitiers ?

    Un lien, avec de solides arguments contre les produits laitiers :
     
    http://www.lait-vache.info/

     

    • Valéry Schollaert Valéry Schollaert 4 décembre 2012 16:18

      France, vous n’avez pas tort. Mais déjà que c’est difficile à faire passer le message du végétarisme... Michel est bien conscient des problèmes des produits laitiers AUSSI.


    • France 4 décembre 2012 18:13

      C’est plus facile de se passer de produits laitiers que de viande, même ma mère l’a fait !

      Il vaut mieux commencer par là, car le gain en santé est si évident qu’il impose une remise en question des poncifs diététiques (3 ou 4 produits laitiers par jour !), et on en vient alors plus facilement à réduire la viande si ce n’est à la supprimer totalement.

    • Qaspard Delanuit Gaspard Delanuit 4 décembre 2012 19:14

      « Se placer sur le plan éthique, c’est oublier que l’éthique n’a aucune signification dans la Nature, et aucune signification en diététique. Demandez au tigre, à votre chien, à votre chat, s’il faut qu’il cesse d’être carnivore par respect des autres animaux ! »


      C’est bien pourquoi le fait de se nourrir sans tuer d’animaux, comme le fait de ne pas avoir d’esclave ou de ne pas pratiquer le viol, est un fait de civilisation et non un fait de nature. Je ne peux rien demander à mon chien tant qu’il ne parle pas. Mon chien peut être plein de tiques, mais il n’a pas d’éthique. 

  • ecolittoral ecolittoral 4 décembre 2012 14:37

    Je suis omnivore et je n’ai pas l’intention d’écrire un article sur les végétariens.

    Je note simplement leur mépris et leur petitesses d’esprit quand ils parlent des autres...c’est à dire de la majorité d’entre nous.
    Vivement la dinde de Noël !

    • DésertSolitaire DésertSolitaire 4 décembre 2012 14:51

      Ouin ouin, laissez moi être un meurtrier bon sang.


    • foufouille foufouille 4 décembre 2012 14:54

      Ouin ouin,tout le monde il doit etre comme toi


    • DésertSolitaire DésertSolitaire 4 décembre 2012 15:11

      Comme moi.. Donc compatissant, empathique, acharné, engagé, libertaire, solidaire, humaniste, antifasciste, écologiste, antispéciste... intolérant envers la violence et l’injustice envers nos frères animaux et les peuples autochtones, méprisant la barbarie.
      Ouin ouin que la grande majorité de l’humanité ne possède aucune de ses vertus.


    • foufouille foufouille 4 décembre 2012 15:19

      raciste, pollueur, meprisant .........


    • DésertSolitaire DésertSolitaire 4 décembre 2012 16:07

      Tu respires vraiment l’intelligence. Pollueur, ce qu’il faut pas lire, quand on sait qu’avec un régime 100% végétal on réduit par 10 ses émissions de GES liées à l’alimentation et dans un ratio sans doute supérieur sa consommation en eau. Un pollueur de cycliste végétalien qui fonctionne aux énergies renouvelable, cultive ses légumes&aromates.. et à une empreinte écologique 5fois inférieure au français moyen.
      Quant au « raciste », tu mériterais une plainte pour diffamation étant donné mes convictions.
      Et tu as déjà 3 votes positifs, et bien, sortez donc pas de la norme de la société, les geôliers sont là.


    • foufouille foufouille 4 décembre 2012 16:58

      c’etait en general
      donc y a pas de racistes vegetaryens
      pollueurs car tu en as qui prennent l’avion
      etc


    • DésertSolitaire DésertSolitaire 4 décembre 2012 17:40

      On se connait ?


    • musebox3 4 décembre 2012 18:59

      Mais enfin, les végétaliens sont la voix de la sagesse. Vous savez bien qu’ils détiennent toutes les vérités, et que nous, pauvres pêcheurs mangeurs de viande, ne pouvons que prier pour notre Salut.

      Bref, ils sont convaincus d’avoir raison. Laissons-les, ça s’excite derrière leur PC, mais ça fait pas grand mal.


  • Le péripate Le péripate 4 décembre 2012 14:56

    Visiblement de manger des légumes n’améliore pas le caractère. 


  • jean dupondal 4 décembre 2012 15:43

    Ce qui m’epatera encore longtemps c’est comment des gugusses ont le culot de venir se preoccuper de ce que je mange ?

    Le ventre fait partie de l’intimite. Et je ne reconnais le droit a personne de se preoccuper de ce que je mange parce que demain je les sens capable de m’interdire de lecher le cul de ma femme.

    La superiorite des viandards se trouve la : je n’en ai jamais rencontre un qui se permette de critiquer un vegetarien. Moi aux vegetariens je leurs fout la paix. Je respecte leur choix et mieux encore je les respecte tout court.

    Le respect de l’autre sapiens ca s’appelle.


    • Romain Desbois 4 décembre 2012 15:47

      tu as le respect à la bouche a en vomir Ducondal mais tu uses de la loi de la jungle quand tu revendique le droit de manger qui tu veux.

      « Le ventre fait partie de l’intimite. Et je ne reconnais le droit a personne de se preoccuper de ce que je mange »

      et donc moi je me reconnais le droit d’user de la même loi qui fera de toi ou moi un mort de plus (mais si c’est toi , des milliers de vivants en plus).

      Est-ce que l’on se comprend bien tous les deux ?

      Tu veux jouer au con , tu vas gagner.

      Hypocrite de spéciste.

      « le spécisme est à l’espèce ce que le racisme est à la race » RomainLutèce


    • Valéry Schollaert Valéry Schollaert 4 décembre 2012 16:23

      Le seul problème est l’échelle. si notre planète était de la taille d’un bateau, et qu’il y avait juste assez de salades pour manger jusqu’à l’arrivée, il y aurait unanimité pour ne pas laisser ta vache bouffer les salades et ainsi priver 3/4 des passager de nourriture au profit d’1/4 qui aura un steak à ingurgiter.


      Les 3/4 se révolterait contre le 1/4 élevant des vaches avec nos réserves de nourriture.

      En choisissant de la viande vous affamer le monde. Ce n’est donc pas un choix personnel de manger de la viande. C’est un choix égoïste et dangereux. 

    • foufouille foufouille 4 décembre 2012 17:00

      ne gaspilles pas et fait pas 10 momes


    • Valéry Schollaert Valéry Schollaert 4 décembre 2012 18:51

      Pour les mômes on est d’accord, j’en ai pas et en aurai pas.


  • DarkNightEagle 4 décembre 2012 15:45

    Agoravox : site défouloir pour Doctorant en insultes.


  • foufouille foufouille 4 décembre 2012 15:46

    « Jeanne Calment attribue sa longévité et son apparence relativement jeune à l’huile d’olive qu’elle utilisait pour se nourrir et dont elle s’enduisait la peau, ainsi qu’à un verre de porto et à un kilogramme de chocolat par semaine[6]. Elle mettait toujours de l’ail dans les viandes et poissons. »


  • docdory docdory 4 décembre 2012 15:49

    @ Michel Tarrier

    Le régime végétarien, et encore plus le régime végétarien, contient en lui-même ses propres contradictions.
    Je vous propose, pour le démontrer, une expérience de pensée. 
    Imaginons que vous, grâce à votre pouvoir de persuasion, ayez réussi à convertir d’un jour à l’autre l’ensemble des Français au régime sans viande ( et même au régime végétalien, sans lait ni poissons ni oeufs ).
    Resteront en France des dizaines de millions d’animaux qui ne trouveront plus jamais d’acheteurs. Les agriculteurs, n’étant pas plus philanthropes que la moyenne de la population, ne vont pas s’amuser à nourrir et vacciner, payer des frais de vétérinaires pour des animaux devenus sans intérêt commercial. Il vont donc les libérer dans la nature.
    Que va t-il se passer ?
    Les animaux ainsi libérés, pour l’essentiel herbivores ( lapins, poules, canards, oies, vaches moutons, chèvres ) ou omnivores ( porcs ), exceptionnellement carnivores ( visons ), vont aller chercher dans la nature la nourriture qui ne leur est plus fournie par les paysans. ils vont donc se transformer rapidement en ravageurs des cultures. Les petits animaux ayant encore des prédateurs naturels se feront manger par les renards ou les chats sauvages et mustélidés divers ( les visons libérés retrouveront sans doute leur instinct de chasseur ). Il y aura prolifération des renards, avec les anthropozoonoses dont ils sont vecteurs ( telles que la rage ) . Les gros animaux ( bovins ovins caprins et porcins ) qui n’ont plus de prédateurs naturels, vont proliférer à toute vitesse, et s’attaqueront à tous les champs cultivés, les uns mangeant des céréales, les autres des légumineuses etc... Dans certaines régions des Alpes et des Pyrénées , il y aura prolifération de loups ou d’ours, qui parviendront à consommer une partie des animaux surnuméraires ( et par la même occasion, se mettront à consommer quelques enfants en prime ). Il faut d’ailleurs à ce sujet préciser que la mort d’un mouton mangé par un loup est nettement plus douloureuses que celle d’’un mouton en abattoir ! 
    Dans les autres régions, dans lesquelles l’homme est le seul prédateur des animaux, cela sera la famine, les denrées agricoles étant toutes consommées par des animaux en liberté. La famine touchera d’abord les êtres humains, qui mourront en masse, puis, dans un deuxième temps, les animaux dépourvus de prédateur, qui, s’ils ne sont pas tués par la famine, le seront par les épizooties induites par leur surpopulation.

    La France qui résultera après quelques années de ce végétarisme généralisé sera bien différente de notre pays actuel : quelques millions de Français survivants, faméliques, tentant vainement d’empêcher, sans les tuer, les animaux surnuméraires de dévaster les quelques champs restés intact, des hordes immenses de bovins et d’ovins sauvages également faméliques se nourrissant d’herbes rases, des porcs dans toutes les viles restantes ouvrant les poubelles, attaquant les êtres humains trop affaiblis, et divaguant en pleine rue, des loups et des ours dans toutes les forêts, 

    Ben oui, nous faisons partie d’un écosystème, nous sommes actuellement au sommet de sa chaîne alimentaire. Si nous n’assurons plus notre fonction de super-prédateur, tout l’écosystème s’écroule !
    Le végétalisme n’est tenable que s’il y a une faible proportion de végétaliens dans la population !

    • France 4 décembre 2012 16:14

      Non, en Inde, ils sont végétariens en grande majorité, et s’ils souffrent de famine, ce n’est pas parce qu’ils sont végétariens, c’est parce qu’ils sont beaucoup trop nombreux (280 habitants/km2, à comparer à 115 habitants/km2 en France). Le végétarisme ne viendra jamais d’un seul coup, le changement ne peut être que progressif, et l’idéal serait que la consommation de viande, oeufs, poissons soit tellement faible qu’on puisse se passer d’élevage concentrationnaire hors-sol, et qu’on puisse pratiquer un élevage sain, naturel, dans le respect des animaux. On en est très très loin, alors en attendant, vivent les végétariens !


    • Romain Desbois 4 décembre 2012 16:22

      Docteur Megelé

      Si vous êtes vraiment médecin et pas un mytho genre yohan, parlez nous donc médecine et prouvez nous que la viande et donc l’élevage a fait plus de bien à l’humain que de mal.

      Pour votre réflexion digne de la maternelle, sachez que des troupeaux entiers en France sont abandonnés par leurs « propriétaires » et les assoc croulent actuellement sous les demandes d’aides pour des animaux que l’on retrouvent souvent trop tard , à côté de cadavres d’animaux morts de faims et de soif.

      Bien sur vous ne le verrez pas au 13h de Pernaud Ricard.

      §Je vous laisse chercher les preuves de tout cela dans la presse de la protection animale.


    • Romain Desbois 4 décembre 2012 16:25

      Pardon je voulais écrire Docteur Mengelé , je ne voulais pas écorcher votre nom, je vous laisse cette spécialité, l’écorchage.

      Mais bon même mon correcteur orthographique a du mal avec vous.


    • Valéry Schollaert Valéry Schollaert 4 décembre 2012 16:30

      Désolé, votre démonstration est doublement fausse. On obtient des grande quantité d’animaux d’élevage à coup de reproductions parfois artificielle (insémination, césarienne, etc), mais si la demande en viande diminue, les élevages diminueront aussi jusqu’à disparaître (on peut rêver !). On sait bien que tout le monde ne deviendra pas végé du jour au lendemain... la transition n’est pas un problème, ce ne sera jamais trop rapide. 


      Mais votre démonstration est également fausse pour ceci.

      « nous sommes actuellement au sommet de sa chaîne alimentaire »

      Ha ha, on appele ça aussi, « pyramide alimentaire », car ceux qui sont au sommet de la chaine DOIVENT être beaucoup moins nombreux que les espèces qui sont au milieu et en bas. Hors, nous sommes le mammifères le plus abondant ; donc, de facto, nous sommes tout en bas. Dans l’idée de faire partie de l’écosystème, nous devons donc nous nourrir d’une ressource abondante qui demande peu d’espace et d’énergie : les végétaux. CQFD.

      Votre théorie tiendrait si nous étions environ 10 millions sur la planète. Alors nous pourrions prétendre à une position élevée dans la chaîne alimentaire... mais à 7 milliards, nous devons nous placer tout en bas.

    • Herbert Sogno Herbert Sogno 4 décembre 2012 16:38

      Voilà un argumentaire qui abonde tant dans le sens du triste constat que fait Michel à la fin de son réquisitoire. On a beau faire le maximum pour se retenir, quand même, il y a des discours qui font preuve de limites si sérieusement préoccupantes...... A moins que ce ne soit une grosse blague ( ? ).


    • foufouille foufouille 4 décembre 2012 17:01

      en inde, il y a 40% de vegetariens


    • docdory docdory 4 décembre 2012 17:11

      @ Herbert Sogno

      Non, ce n’est pas une blague. J’observe que ni vous ni aucun de mes contradicteurs ne m’indique la solution qu’ils proposent pour éviter que les animaux, devenus dépourvus de prédateurs puisque non consommés par l’homme, une fois libérés par les éleveurs, ne mangent la totalité des champs cultivés d’une humanité devenue végétalienne .
      Qu’allez vous faire : tuer tous les animaux domestiques dans leurs étables, clapiers et poulaillers au lieu de les libérer ? Dans ce cas, qui va payer les éleveurs pour faire ce massacre ? Ou bien les chasser une fois qu’il seront libres et les laisser se décomposer sur place une fois tués ?
      Dans un cas comme dans l’autre, c’est une solution plus cruelle que les abattoirs !

    • Herbert Sogno Herbert Sogno 4 décembre 2012 17:51

      Doctory, Valléry vous a pourtant bien répondu et votre perception des éleveurs libérant leurs animaux dans la nature du jour au lendemain est une vision enfantine du problème. Tout le reste de votre raisonnement reposant sur cette conjecture ridicule, il est inutile de s’étendre dessus.

      Libérer le monde du carnivorisme, de sa barbarie et de ses conséquences incommensurables est un combat malheureusement encore décennial ; néanmoins, l’homme étant égoïste et l’urgence commençant à être effroyablement patente au niveau de la santé planétaire, il y a de bonnes chances pour que ce soit pour ce siècle-ci. Mais la décroissance suivra une courbe exponentielle ( exponentielle négative bien sûr, c’est-à-dire très progressive et asymptotique ).


    • Qaspard Delanuit Gaspard Delanuit 4 décembre 2012 19:30

      Je confirme : le commentaire de Docdory est vraiment extrêmement indigent sur le plan intellectuel. Ce n’est pas une insulte que de constater cela, c’est poser un diagnostic. 


  • foufouille foufouille 4 décembre 2012 16:05

    aucun vrai vegetovore chez les supercentenaires


    • al.terre.natif 4 décembre 2012 16:24

      non, ils sont tous exterminés avant par les cruels bouffeurs de chaire fraiche ;)


    • DésertSolitaire DésertSolitaire 4 décembre 2012 16:27

      http://www.azest4health.com/dr-walkers-story.htm

      « Un des crudivores les plus connus du siècle dernier, le Dr W. Walker, qui a vécu jusqu’à 118ans et a guéri du cancer grâce à un régime exclusivement à base de végétaux crus.. »
      Source : manger cru et sain

      Ouvrez donc un livre cela vous instruira, au lieu camper sur AV et passer votre temps à troller.


    • musebox3 4 décembre 2012 16:34

      Guérir du cancer en mangeant des végétaux crus. Et dire qu’on se tape 12 années de médecine alors qu’en mangeant des carottes on est sauvé...


    • foufouille foufouille 4 décembre 2012 17:02

      un sur combien ?
      il est pas sur wiki


    • DésertSolitaire DésertSolitaire 4 décembre 2012 17:17

      « Que ton alimentation soit ton médicament ».
      Hippocrate.

      Le serment d’Hippocrate est un serment traditionnellement prêté par les médecins en Occident avant de commencer à exercer. Le texte original de ce serment, probablement rédigé au IVe siècle av. J.-C., appartient aux textes de la Collection hippocratique, traditionnellement attribués au médecin grec Hippocrate. Le serment d’Hippocrate peut être considéré comme le principe de base de la déontologie médicale.

      Les végétaux (fruits&légumes) sont des aliments anti-cancers reconnus, le nier c’est être inculte ou de mauvaise foi. Leurs bienfaits sont connus depuis la Grêce Antique.
      http://www.passeportsante.net/fr/P/Bibliotheque/Fiche.aspx?doc=Biblio_6514
      Les couleurs de la santé :
      http://sante.canoe.ca/channel_health_features_details.asp?health_feature_id=323&article_id=1056&channel_id=44&relation_id=766
      Pas pour rien qu’on recommande 5fruitsélégumes par jour, ce sont les aliments santé par excellence. Et c’est la meilleure façon de réduire l’explosion de maladies chroniques.
      La médecine traditionnelle et son cortège de chimie a échoué lamentablement, tout simplement car elle ne s’attaque qu’au conséquence et non aux causes. On éteint le feu sans chercher à savoir pourquoi celui-ci a pris, ni à prendre ses précautions pour que celà n’arrive plus.
      Mais en même temps rien d’étonnant quand on sait que les sociétés qui sont sensé guérir sont les mêmes qui produisent les poisons. Industrie pharmaceutique et agroalimentaire, un grand amour qui brasse des milliards sur votre dos.

      On est ce qu’on mange !
      http://www.youtube.com/watch?v=6Zt0dCQ9NSI


    • foufouille foufouille 4 décembre 2012 17:19

      Top of Page

      Set of Seven Dr Norman Walker Books only $115.00. - PLEASE INCLUDE A CONTACT PHONE NUMBER FOR DELIVERY WHEN YOU PLACE YOUR ORDER.


      mdr



    • DésertSolitaire DésertSolitaire 4 décembre 2012 17:23

      Y en a plein au Japon est en Chine..

      Marie-Louise Meilleur :
      Personne ayant vécu le plus longtemps de toute l’histoire du Canada.
      Doyenne de l’Humanité entre le 4 août 1997 et le 16 avril 1998.
      Elle est morte à l’âge de 117 ans et 230 jours.
      Elle était Végétarienne.

      Christian MORTENSEN
      (16 août 1882 - 25 avril 1998)
      Il a été le premier homme à atteindre l’âge de 114 ans de manière avérée et il est le plus vieil homme qui ait jamais vécu dont l’âge est incontestable.
      Il est mort à l’âge de 115 ans et 252 jours.
      Il était végétarien.

      DU PINHUA
      (22 avril 1886 - 11 décembre 2006)
      Proclamée doyenne de l’Humanité par guiness des records à Shangai en 2002.
      Elle est morte à l’âge supposé (âge non avéré de manière incontestable) de 120 ans.
      Végétarienne jusqu’à l’âge de 110 ans.

      Maria de Jesus DOS SANTOS
      (10 septembre 1893 - 2 janvier 2009)
      Elle a été la doyenne du Portugal le 11 juin 2008 puis la doyenne de l’Humanité le 26 novembre 2008.
      Elle est la 20 eme personne la plus âgée de tous les temps.
      Elle est morte à l’âge de 115 ans et 114 jours
      Pesco végétarienne.


    • foufouille foufouille 4 décembre 2012 17:27

      donc calment etait aryenne ?


    • DésertSolitaire DésertSolitaire 4 décembre 2012 17:44

      T’es un peu simplet comme garçon dans tes raisonnements.


    • France 5 décembre 2012 09:51

      Il n’y a pas que les carottes dans la vie ! réduire le crudivorisme au fait de manger des carottes caricatural, et montre votre mauvaise foi. Il est évident qu’une alimentation doit être variée et équilibrée, en cru comme en cuit. Et en cru, la variété s’impose d’elle-même, de manière plus impérieuse qu’en cuit, vu l’absence de préparation culinaire qui aurait pour effet de changer les goûts et l’aspect des aliments sans changer d’aliments.


    • musebox3 5 décembre 2012 13:32

      Non mais c’est vous l’inculte, de croire que la médecine moderne n’est pas un progrès. Pire qu’un inculte, un vulgaire arriéré qu’on devrait enfermé avant qu’il ne persuade des gens de foutre leur santé en l’air en refusant, par exemple, de se faire vacciner.

      Je pensais que vous étiez juste un végétalien qui croyait en ce qu’il faisait, mais là vous prouvez qu’en fait, vous n’êtes qu’un abruti. 


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