lundi 29 janvier 2007 - par benevole

Les dessous de la politique antitabac

Peut-être croyez-vous que l’interdiction de fumer sur les lieux de travail ou dans les restaurants a pour but de protéger les non-fumeurs ? Peut-être croyez-vous que la propagande antitabac a pour but de sauver la vie des fumeurs ? Peut-être répétez-vous que les fumeurs coûtent cher à la sécurité sociale ? Peut-être êtes-vous persuadé que le tabagisme passif est responsable de nombreux décès ? Si vous croyez tout cela et que vous le répétez à l’envi, vous êtes à votre insu un collaborateur de la nouvelle forme de pouvoir qui s’installe : la « démocrature ». Je ne vous demande pas de me croire. Ne croyez jamais personne mais réfléchissez et jugez par vous-même !

Protéger les non-fumeurs ?

S’il ne s’agissait que de protéger les non-fumeurs, aucune loi ne serait nécessaire. Notre système économique s’appuie sur la loi de l’offre et de la demande. Un restaurateur non-fumeur était déjà en droit d’interdire de fumer dans son établissement et d’y attirer un personnel et des clients non-fumeurs. Certains l’ont d’ailleurs fait bien avant la loi et c’était parfaitement leur droit.

Si l’Etat estimait qu’il n’y en avait pas assez, il lui suffisait d’inciter les restaurateurs à déclarer leur établissement non-fumeur par l’octroi d’une prime ou une réduction de la fiscalité. Ainsi chacun, restaurateur , client ou travailleur, fumeur ou non-fumeur, aurait pu effectuer un choix libre et, au lieu de se haïr, nos concitoyens auraient pu gérer leurs différences à l’amiable.

Trop simple, n’est-ce pas ? Trop logique pour des élus qui, en principe, devraient refléter les avis de toute la population !

C’est pourquoi toute personne intelligente comprendra que le but n’est pas de protéger les non-fumeurs mais de s’en servir à leur insu. Le véritable objectif est de restreindre les libertés individuelles et le droit à la propriété privée.

Car un restaurant, tout comme un lieu de travail, n’est pas un espace public. C’est une propriété privée, achetée à gros prix, dans laquelle l’entrepreneur a, de plus, investi beaucoup d’argent pour pouvoir y travailler et assurer son avenir. Il est donc normal qu’il soit seul responsable des décisions qui concernent son bien. S’il omettait de payer les cotisations sociales de ses employés, l’Etat serait d’ailleurs le premier à le sanctionner. Cette omission pourrait pourtant avoir pour cause la perte de clientèle orchestrée par les décisions irresponsables du gouvernement.

Nous verrons plus loin pourquoi nos dirigeants tiennent tant à restreindre la propriété privée et les libertés individuelles, mais poursuivons d’abord notre analyse.

Réduire le coût des soins de santé ?

Nombreux sont les citoyens qui croient dur comme fer qu’ils paient les soins de santé des fumeurs. C’est encore un des nombreux mensonges du gouvernement et un simple petit calcul peut vous permettre de vous en rendre compte.

Je l’ai fait pour la Belgique, puisque j’y vis, mais vous obtiendrez sans doute pour la France des résultats proportionnellement identiques. En 2004, le total des remboursements de frais médicaux pour l’ensemble du pays s’élevait à 3.790.030.000 € . Le ministre de la Santé insistait sur le fait que le tabac était la cause de 10% de ces coûts (ce qui n’est pas beaucoup quand on sait que les fumeurs constituent 30% de la population).

Sur un paquet de cigarettes à 5 €, le détaillant perçoit 0,40 €, le fabricant 0,581 € et l’Etat le reste, décomposé en "taxe de droit à la consommation" et en TVA. Le gouvernement touche donc plus de 4 € par paquet de cigarettes. Puisqu’il y a 3 millions de fumeurs en Belgique, pour une moyenne d’un paquet par jour, les recettes du tabac s’élèvent donc à 12 millions d’euros par jour, soit 4.380.000.000 par an, c’est à dire plus que le coût des soins de santé pour l’ensemble de la population. Et les fumeurs cotisent aussi à la mutuelle.

Si les recettes en provenance du tabac ne sont pas consacrées aux soins de santé, est-ce la faute des fumeurs ou bien celle des militants antitabac qui relaient sans aucun discernement les mensonges les plus grossiers ?

Les taxes sur les cigarettes et le tabac

Pratiquement chaque année, les gouvernements augmentent les accises sur le tabac. La dernière augmentation en Belgique date du premier janvier et elle est de 53 centimes.

"Bien fait pour eux" s’exclament les antitabac, s’imaginant avec une naîveté qui fait peine à voir qu’ils sont ainsi eux-mêmes épargnés.

Ce qui est faux car le tabac et les carburants ne sont pas repris dans l’indice des prix à la consommation et les taxes sur ces produits ne sont donc jamais compensées par des hausses de salaire qui pourraient bénéficier à tous les citoyens.

Pire, les 4 € par jour que chaque fumeur verse en taxes à l’Etat (et on a vu ce que ça faisait par an) échappent au chiffre d’affaires des commerçants qui ne cessent de souffrir de la baisse de pouvoir d’achat de la population. Si le commerce décline, les entreprises ferment et le chômage grossit. Et qui paie les allocations de chômage ? Seulement les fumeurs ?

Mais, me direz-vous, il faut bien que l’Etat prenne ses taxes quelque part. S’il ne les prenait pas aux fumeurs, il les prendrait ailleurs.

Sans doute, mais s’il les prenait sur des produits liés à l’indice des prix à la consommation, cette perte de pouvoir d’achat serait bientôt compensée par des augmentations de salaires, ce qui permettrait aux commerces de retrouver leur chiffre d’affaires et aux entreprises de continuer à produire de la richesse.

Pour le bien des fumeurs ?

Soyons sérieux ! S’il se souciait du bien des fumeurs, le ministre de la Santé n’aurait-il pas d’abord commandé une étude sur les risques inhérents aux comportements et produits de substitution que les fumeurs sont susceptibles d’adopter pour rééquilibrer leur vie en cas de sevrage ?

Nous vivons tous dans des conditions de stress et de frustrations accumulés : exigences de rentabilité, administration pesante, grève des transports en commun, pertes d’emploi, baisse du pouvoir d’achat, multiplication des interdits et des obligations légales...

Chacun essaie de se rééquilibrer comme il peut. Les uns ne peuvent maîtriser des accès de violence qui tournent au vandalisme ou à l’agression, d’autres s’adonnent aux drogues dures, d’autres encore à l’alcoolisme, certains se suicident, d’autres enfin fument et ce ne sont pas les plus dangereux ni pour les autres ni pour eux-mêmes.

S’il se souciait du bien des fumeurs, le ministre de la Santé les désignerait-il à l’opprobre public ? Les contraindrait-il contre leur gré ?

Le tabagisme passif serait la cause de milliers de décès ?

Voilà encore une pseudovérité qui va bientôt apparaître au grand jour suite à une action en justice pour faire cesser les nuisances des campagnes antitabac. Je suis en train de contacter à cette fin un panel d’experts, professeurs d’université en médecine et en psychologie. Je les choisis de préférence parmi ceux qui sont déjà engagés dans la lutte contre le cancer ou pour le sevrage du tabac afin d’assurer la crédibilité de leur expertise.

Sans préjuger de celle-ci, nous sommes déjà cependant d’accord sur les points suivants :

1) Il existe effectivement un certain nombre de patients qui, sans avoir eux-mêmes fumé, présentent les mêmes symptômes que les fumeurs. Leur exposition à la fumée des autres est cependant difficilement quantifiable. Certains ont vécu dans l’entourage de gros fumeurs, d’autres n’y ont été exposés qu’épisodiquement. Par ailleurs, l’intervention d’autres facteurs que le tabac n’est pas à exclure. Ce sont les décès dans cette catégorie de patients que les militants antitabac annoncent comme victimes du tabagisme passif.

2) Tout médecin et tout psychologue connaît l’effet placebo et son correspondant négatif appelé "nocebo"... Je vous invite à taper "placebo" dans Google et à lire l’explication qu’en donne Wikipedia. Tous les experts sont d’accord sur le fait que les prédictions alarmistes en matière de santé ont tendance à produire le développement de la maladie. Tous les médecins et psychologues le savent mais peut-être pas le ministre de la Santé ?

3) Les études entreprises sur les méfaits supposés du tabagisme passif sont postérieures à la naissance de la propagande antitabac. Auparavant, il faut croire qu’on n’en ressentait pas le besoin.

4) Il existe une évolution dans le temps quant à la manière dont le public perçoit la fumée de pipe ou de cigarette. Dans les années 60, elle était rarement perçue comme dérangeante, de nombreux non-fumeurs la trouvaient même plutôt agréable. Aujourd’hui, elle provoque plus souvent la répulsion. Il s’agit là d’une manifestation psychosomatique qui tend à accréditer l’influence de la propagande sur le développement de maladies tant chez les fumeurs passifs que chez les fumeurs actifs.

5) Le nombre de fumeurs reste stable ou se tasse et le nombre de cancers augmente. Il faut donc incriminer un autre agent que la cigarette.

6) La nicotine et les additifs placés dans le tabac pour renforcer l’assuétude ne semblent pas provoquer la moindre dépendance chez le fumeur passif. Ceci démontre à tout le moins que les effets de la cigarette ne sont pas les mêmes pour les fumeurs passifs. Pourquoi alors développeraient-ils les mêmes symptômes ?

En conclusion, il est plus probable que les méfaits du tabagisme passif dénoncés par les propagandistes antitabac soient dus à la propagande elle-même plutôt qu’au tabac des fumeurs.
Relayer cette propagande est donc dangereux pour sa propre santé et pour celle d’autrui.

Pourquoi alors cette charge contre les fumeurs ?

Ils vont faire l’Europe. La Communauté européenne, c’est une population presque deux fois plus importante que celle des Etats-Unis et la plupart des nouveaux adhérents n’ont pas l’héritage culturel de la liberté que nous a apporté la Révolution française.

Pour gérer l’Europe, d’aucuns estiment qu’il faut un gouvernement fort et autoritaire.sans lequel les décisions supranationales ne seront jamais respectées dans les Etats membres.

Pour instaurer ce type de gouvernement, ils ont simplement pris exemple sur la dernière méthode efficace utilisée en Europe. Souvenez-vous qu’au cours des années 30, les nazis ont progressivement désignés les Juifs coupables de tous les maux, qu’ils les ont spolié de leurs biens , qu’ils ont petit à petit créé un climat d’intolérance à leur égard, les ont éloignés des lieux de travail, les ont rendus infréquentables aux yeux de la population qui, relayant le discours officiel, a collaboré à la mise en place d’un pouvoir dictatorial.

Aujourd’hui, les fumeurs sont présentés comme des pestiférés, comparés à des animaux, pris en photos assouvissant leur vice par un temps à ne pas mettre un chien dehors. Si l’interdiction sur les lieux de travail est absolue, même pour le fumeur qui occupe seul un bureau, c’est pour l’obliger à sortir et ternir son image, pour lui faire perdre plus rapidement son emploi aussi.

Chassés des lieux de détente, condamnés à vivre en exclus et, sous la pression des taxes, à dégringoler d’une classe sociale, les fumeurs d’aujourd’hui sont dans la même situation que les Juifs des années 30. Vous croyez que leur sort est plus enviable parce qu’ils peuvent retrouver un statut normal en arrêtant de fumer ? Deux tiers ont essayé... sans succès.

Je ne veux pas d’une telle Europe, ni d’une telle Belgique, ni d’une telle France. L’Europe est une chance si elle reste démocratique et sait prendre ses distances avec le modèle anglo-saxon.

Hélas, ce ne semble pas être le cas. Les Chirac, de Villepin, Schroëder, Verhofstadt qui avaient osé s’opposer à Bush lors de la question irakienne (et on sait à présent combien ils avaient raison) ont disparu ou sont en perte de vitesse tandis que se profilent pour leur succéder un Sarkozy qui n’a jamais caché sa sympathie pour Bush et une Ségolène qui avoue son admiration pour Blair.

La seule réaction que nous pouvons avoir est d’offrir aux fumeurs et à tous les non-fumeurs qui souhaitent défendre leur liberté, l’occasion d’exprimer leur poids démocratique.

C’est pourquoi s’est créé en Belgique un parti politique qui prendra ouvertement la défense des fumeurs pour les législatives du 10 juin. Et je peux vous assurer, pour être en contact avec les gens lorsque je distribue mes affiches, que le vent de la contestation est fort. Si les médias nous relaient dans l’ensemble du pays, nous pouvons faire passer aux partis de pouvoir, et pour longtemps, le goût des lois liberticides.



253 réactions


    • Rocla (---.---.107.78) 29 janvier 2007 10:35

      Ce qui est bien c’ est qu’ on n’ est pas obligé de fumer ,ni obligé de ne pas fumer , pas obligé de lire cet article , ni obligé de ne pas le lire .

      La liberté quoi ...

      Rocla


  • pierrarnard (---.---.86.85) 29 janvier 2007 10:48

    Ecellent article qui va a l’encontre de la bien pensance actuelle.C’est vrai que les fumeurs sont un bouc émissaire parfait presque autant que l’automobiliste. On les stygmatise mais c’est pour mieux les proteger, c’est pour leur bien...Les automobilistes tuent des qu’ils touchent un volant, les fumeurs tuent des qu’ils approchent un non fumeur, le bon citoyen est terrorisé. Mais heureusement l’état veille pour protéger le bon citoyen de tous ces méchants éléments subversifs. Et pendant ce temps on à dérogé pour utiliser l’amiante jusqu’en 1997 dans l’industrie. Petit rappel, en France il meurt 550 000 (cinq cent cinquante mille) personnes par an, dont 5000 (cinq mille) sur les routes, et 60000 (soixante mille) de maladies liés au tabac et à l’alcool.Il en meurt donc 4850000 (quatre cent quatre vingt cinq mille) d’autre chose... Dans les sondages lorsque l’on interroge le quidam, il pense que les deux premièreds causes de mortalité sont la route et le tabac.... Manipulés, nous ????


    • Petit 29 janvier 2007 10:53

      Mais c’est qu’il grogne le petit !


    • Rocla (---.---.107.78) 29 janvier 2007 10:55

      Mais c’ est donc quel jour qu’ on mourira (pour un peu de gaieté) d’ une mort naturelle à nouveau ?

      Rocla


    • msajusfr (---.---.215.23) 29 janvier 2007 15:44

      Ce qui m’étonne, c’est le fait que l’on n’ait pas préalablement envisagé d’interdire aux cigarettiers l’ajout de produits nocifs et surtout addictifs dans la cigarette. Ceci semble pourtant découler du bon sens.


    • soaz (---.---.210.104) 30 janvier 2007 00:01

      Oui ; j’avoue que la fumée est désagréable pour les non fumeurs, donc il faut respecter cela, mais il faut aussi réfléchir et je vois que les belges sont beaucoup moins atteints cérébralement que les autres ;

      d’ailleurs pour avoir travaillé 10 ans en hôpital je dois dire que c’est l’enfroit où il y a le plus de morts ; pourquoi ? à cause de la chimie médicamenteuse et de la promiscuité.

      je dois aussi rappeler aux ignorants que les industriels ont transformé la plante nommée tabac en y ajoutant plus de 4000 substances dangereuses et cancérigènes et que c’est cela qui est criminel ; ce qui est encore plus bizarre comme comportement politique, c’est qu’aucun état au monde n’interdit l’ajout de ces substances dangereuses.

      il est encore plus incompréhensible qu’au vu de la liste interminable de substances nocive ajoutées autabac, aucun consommateur, organisation de consommateur, médecin ou organisme de prévention ne souligne ce fait et en demande l’interdiction.

      Notez bien ça.

      car, on a les même problèmes avec l’alimentation industrielle et autres substance transformées actuellement, qui sont responsables des épidémies de gastros, d’asthme et autres allergies et autres maladies intestinales, et de cette fameuse obésité dont les américains ont déjà prévenu qu’elle tue maintenant plus que le tabac et plus vite.

      Notez bien ça ; on n’avait pas cela il y a 40 ans.

      nos enfants à l’avenir ne mourront pas du tabac, lequel n’a jamais tué personne dans l’antiquité, aucun écrit ne le signale bien que l’usage de fumer date de plus de 2000 ans, mais de ce qu’ils mangent, y compris des pillules bien chimiques faites avec des plantes transformées.

      Et ceci est déjà en cours.

      voyez-vous, moi, quand j’étais au lycée, au moment où on commençait à rajouter des additifs alimentaires, jai eu des profs intelligents qui avaient tout de suite vu le problème, ayant l’esprit clair et qui nous prévenaient de cela. et, moi, j’écoutais pendant les cours, ce que les gosses d’aujourd’hui ont bien du mal à faire vu leur état de délabrement précoce.

      ils serait temps de se refaire quelques neurones et de demander l’interdiction de transformer la nature car nous sommes en bout de chaîne alimentaire ; merci pour eux.

      soaz


    • dégueuloir (---.---.86.133) 30 janvier 2007 02:23

      fumer peut provoquer une mort lente et douloureuse...... ! lol...donc l’état est un tortionnaire puisqu’il commerce sans vergogne avec ce marché juteux....incohérence ! interdire la vente !! c’est comme pour l’arsenal nucléaire,comment peut-on empécher les autres de se doter de l’arme atomique quand on en possède soi-même..... smiley allez tiens j’m’en allume une petite nom d’un chien !!! pfffffffff smiley


    • (---.---.215.174) 31 janvier 2007 13:45

      TOUS LES SOIRS ! En montant dans mon lit, je tremble et j’ai peur : Statistiquement c’est le lieu ou l’on a le plus de « chances ? » de mourir.


  • levoisin (---.---.84.10) 29 janvier 2007 10:55

    Il ne faut pas non plus oublier que le coeur du problème n’est pas les clients des restaurants mais les employés des restaurants. Le restaurateur doit assurer leur sécurité et donc ne pas les exposer à la fumée toxique.

    Comme le chômage trop élevé empêche la majeure partie des employés de quitter leur poste, et que la jurisprudence protège les patrons sur ce sujet, les restaurateurs n’ont cure de la santé de leurs employés. Je rappelle qu’il a fallu imposer des lois dures pour que l’amiante soit réellement prise en considération dans les lieux de travail, alors que c’est un produit interdit et classé dangereux depuis des années.

    La solution la plus simple aurait été de laisser les employés poursuivre en justice leurs patrons pour obtenir des milliers d’euros d’indemnité, ce qui aurait entraîné la faillite de la plupart des restaurants. Donc on est encore obligé d’en passer par la loi. Dommage, mais c’est la vie. Quant à croire que l’augmentation de la tva sur des produits de base aboutirait à une augmentation des salaires, c’est un raisonnement de fonctionnaire. Dans le privé, c’est devenu largement décorrélé.


    • connaisseur (---.---.146.118) 29 janvier 2007 17:40

      Et les extracteurs, c’est fait pour les chiens ?


  • benalgue (---.---.139.175) 29 janvier 2007 11:02

    bonjour, je vous ecris tout en machant ma gomme de nicotine...c’est vrai que le fumeur pue lorsque l’on ne fume plus soi même... maintenant je suis pour la tolerance et les espaces fumeur non fumeur sont suffisants... si l’etat n’était pas hypocrite il interdirait carrement la vente du tabac comme il le fait malheureusement pour l’herbe...la prohibition ça s’appelle et parait que ça marche pas y a qu’à voir en amerique pour l’alcool dans les années ??? et en france pour les drogues douces. l’etat est un des plus grand beneficiaire de ce marché et pour cela l’auteur a parfaitement raison l’etat ne fait que semblant de nous inciter à ne pas fumer


    • Petit 29 janvier 2007 11:07

      Drogues douces ? L’alcool ue drogue douce ? Arf première nouvelle. Je vais en parler à mon père.

      Le tabac une drogue douce ? Deuxième nouvelle, je galère jour après jour d’avoir envie de fumer depuis des mois et des mois, alors que j’ai arrêté l’herbe du jour au lendemain sans aucun problème.

      Sinon oui le fumeur pue pour le non fumeur, et la prohibition totale ça sert à rien c’est vrai.


  • Voltaire Voltaire 29 janvier 2007 11:23

    Cet article est désolant.

    Que son auteur soit fumeur, cela ne fait guère de doute.

    Qu’il se sente un peu géné par cette interdiction de fumer dans les lieux publics, et donc brutalement obligé de prendre en compte la présence des autres autour de lui, cela est évident.

    Qu’il utilise autant d’arguments inexacts, voire mensongers, devient aussi nauséabond que sa fumée.

    Certains fumeurs (heureusement, une petite minorité), me font penser à certains automobilistes : pour eux, la route leur appartient, et le code de la route une privation de liberté ; pour ces fumeurs, les enfumés n’ont qu’à partir s’ils ne sont pas contents, et les laisser fumer en paix.

    Plus que les arguments de santé publiques ou économiques (que je ne détaillerai pas ici, faute de temps), vous devriez comprendre que cette interdiction de fumer dans les lieux publics est avant tout une mesure de respect pour autrui, une bienséance qui veut que l’on évite d’incommoder l’autre, surtout quand cette incommodation est dangereuse, tout comme les limitations de vitesses et autres régles de conduites sont faites pour éviter que les automobilistes ne tuent ou blessent les autres.

    Mais sans doute ce respect de l’autre vous est-il étranger pour que vous nous sortiez cet argumentaire égoiste.


    • Marsupilami Marsupilami 29 janvier 2007 11:33

      Je suis fumeur et je ne trouve pas cet article désolant mais scandaleux. Comparer le statut actuel des fumeurs européens à celui des juifs au temps des nazis est une ignominie.

      Et tout le reste de l’argumentation n’est que de la démagogie libertarienne de bas étage.


    • Petit 29 janvier 2007 11:38

      Bas-étage ou sous-sol ?


    • ZEN zen 29 janvier 2007 11:45

      @Marsu

      D’accord avec toi. Un bon moyen pour arrêter de fumer : se mettre ou se remettre au vélo.Je ne me suis sorti de ma drogue que par ce moyen , car on se rend vite compte que fumer et pédaler sont incompatibles.Si rouler peut être dangereux, fumer l’est à coup sûr...

      Un ami qui te veut du bien smiley


    • Petit 29 janvier 2007 11:49

      En plsu cet hiver fut clément ce qui à fait le bonheur de pas mal de cycliste. Enfin tout sport d’endurance ou qui dure longtemps est très efficace contre la cloppe.


    • LE CHAT LE CHAT 29 janvier 2007 11:49

      @zen

      moi j’ai arrété il y 9 ans et c’est à la course à pied dans la guarrigue que je prends mon pied !

      il y déjà des années que j’ai apposé les autocollants interdit de fumer là où je bosse , l’usine est assez grande pour qu’ils aillent fumer ailleurs que sous mon nez smiley


    • benevole (---.---.187.181) 29 janvier 2007 13:07

      Bonjour Voltaire,

      Vous avez pu identifier mon article comme un « argumentaire », ce en quoi vous avez raison.

      Toutefois, je ne trouve dans votre message aucune réponse à aucun argument. Je n’y trouve que des affirmations relayant la propagande officielle, ce qui démontre sa dangereuse efficacité.

      J’y trouve enfin des accusations d’égoïsme et d’insensibilité à la souffrance d’autrui qui font bien rire ceux qui me connaissent et qui vous auraient fait rire aussi si vous aviez visité mon site (notamment la partie non fumeur dont le concept « robin », et la biographie).

      Un bon conseil : cherchez l’information mais fuyez la propagande si vous voulez garder votre liberté de penser.


    • PIKI (---.---.184.177) 29 janvier 2007 13:08

      Bizarrement j’ai toujours constaté que les anti-fumeurs se comportait comme détenant la vérité et se comportaient comme des despotes ... ceci est aussi valable pour les certaines religions, les végétariens, etc ...

      Pour ma part je fume, mais ne bois qu’en « société », mange végétarien ou autre suivant les circonstances ... et je sais aussi calculer que par exemple les soit disant coûts de santé des fumeurs sont cent fois remboursé par les taxes ... qui contribuent a financer la santé d’autres maladies ...

      Mais il faudrait une taxe pour financer les malades détenants la vérité et voulant l’inscrire dans la constitution ! au nom de leur propre vérité ...

      Et comme partout il y a une minorité qui fout la merde ... que ce soit ceux qui veulent faire interdir de fumer comme les fumeurs qui ne respectent pas les non fumeurs ... mais me direz vous ... pour ma part je vais monter un lobby anti parfum avec tous ces gens qui schlingues d’essences en tout genre ... leur molécules pollue car d’autant plus qu’elles sont de plus en plus de synthèse ...


    • alberto (---.---.242.188) 29 janvier 2007 13:11

      Attention quand même : le vélo aussi ça peut être dangereux !

      D’ailleurs, je me demande s’il faudrait l’interdire...


    • alberto (---.---.242.188) 29 janvier 2007 13:14

      Attention, Zen, le vélo aussi ça peut être dangereux !

      D’ailleurs, je me demande s’il ne faudrait pas l’interdire ...


    • ZEN zen 29 janvier 2007 13:18

      @Alberto

       ?????????????????????????????????????????????????????? smiley


    • LE CHAT LE CHAT 29 janvier 2007 13:27

      @ZEN

      je pense qu’alberto parlait de la pratique du vélo sans selle sur les tôles ondulées smiley


    • Marsupilami Marsupilami 29 janvier 2007 13:50

      @ Zen

      J’ai énormément pratiqué le cyclisme tout en étant fumeur. Ça ne m’empêchait pas de pédaler allègrement après quelques premiers kilomètres très arheu arheu. J’ai cessé de pédaler il y a une quinzaine d’années quand j’ai commence à avoir peur devant l’incivisme routier grandissant.

      J’ai énormément pratiqué la grande randonnée tout en étant fumeur. Ça ne m’empêchait pas de marcher allègrement après quelques premiers kilomètres très arheu arheu. J’ai arrêté pour cause de vieilles entorses mal soignées.

      Cet article est essentiellement démagogique, même s’il pointe un fait sans doute vrai, même si l’auteur en fait une traduction complotiste paranoïaque et poujadiste : il est plus facile à nos gouvernants de s’en prendre aux fumeurs érigés en boucs émissaires aisément visibles et repérables, surtout après campagnes d’intox idoines que de s’attaquer aux grandes industries pollueuses. Y a qu’à voir ce qui vient de se passer récemment au niveau des 35.000 substances chimiques estimées dangereuses au niveau de l’UE : rideau de fumée sur la législation qui devait avoir lieu...


    • Denis (---.---.14.200) 29 janvier 2007 16:34

      votre avis est insultant pour la liberté des gens : La société que vous construisez est une société où la responsabilité personnelle n’existe plus. Oui fumer est dangereux, et je fume car j’aime ça. Oui la ceinture de sécurité protège et je la mets. Quel est le risque pour les autres que je ne mette pas la ceinture ? Votre société est une société de moutons bien tondus et irresponsables. Cela arrange les collectivistes comme vous et les capitalistes qui font font leur beurre avec toutes ces lois liberticides Au fait qui sont nos donneurs de leçons ? Pour qui se prennent ils ? En quoi sont ils plus sages que les autres, ou meilleurs ou exemplaires ? Face à cette société de démagos, laissez nous fumer notre clope tranqille. Et même mourrir de nos vices. Moi j’aimerais mourrir vivant.


    • msajusfr (---.---.215.23) 29 janvier 2007 16:38

      Continue à pédaler. Seules les 10 premières années d’abstinence sont vraiment difficiles.


    • chat huant (---.---.169.87) 29 janvier 2007 16:50

      Chat fume plus ? Les souris dégustent !


    • Dominique Dutilloy Dominique Dutilloy 29 janvier 2007 17:10

      Selon l’Hebdomadaire de rue, « L’itinérant », « l’espérance de vie d’un SDF ne dépasserait pas les 45 ans » ! Ce désastreux constat a été confirmé par des institutions sérieuses...

      Face à la mort de l’Abbé Pierre, beaucoup de nos élites politiques (pas tous, heureusement !) ont versé des larmes de crocodiles devant sa dépouille : QUELLE HONTE !!!! Pendant ce temps, la chèreté de la vie, alliée au chômage croissant et à la montée du prix de l’immobilier (au plan locatif), accroit de plus en plus les misères ! Pas un seul candidat ne s’est exprimé sur ce problème : C’EST LAMENTABLE !!!

      Alors, je pose à, Xavier Bertrand, Ministre de la Santé la question suivante : « Est-ce que vivre, sans toit, dans le froid, dans la canicule, dans un manque total d’hygiène, dans la promiscuité des foyers, dans la haine, dans l’indifférence généralisée, dans les multiples dangers de la rue liés aux agressions de toutes sortes, ne représente pas, pour tout SDF, bien malgré lui privé de logement décent, un problème de santé publique ? ».

      Autres problèmes de pollution dont notre Gouvernement ne s’occupe guère :

      - « est-il normal, alors qu’on parle de réchauffement climatique, de constater que, le soir venu, les tours de bureau de LA DEFENSE restent, pour la plupart, illuminées toute la nuit ? » ;

      - « Pourquoi ne pas augmenter la fréquence des transports publics (bus, transilien, métros, RER) et des taxis à Paris intra et extra muros la nuit, ce, pour éviter l’affluence de voitures dans la capitale française ? » ;

      - « Pourquoi ne pas augmenter le nombre de parkings payants à des tarifs avantageux à toutes les portes de Paris, de manière à inciter les automobilistes à fréquenter les transports en commun ou à prendre un taxi ? » ;

      - Pourquoi ne pas engager des recherches sérieuses destinées à développer l’énergie solaire, l’énergie hydrolique... ?"

      Non fumeur moi-même, je suis contre ce décret pour la simple raison que c’est aux chefs d’établissements publics d’interdire l’usage du tabac dans les lieux publics !

      Quant aux lieux dits de plaisir comme les restaurants, les bars, les cafés, les brasseries, les boîtes de nuit, les clubs discothèques, les cabarets..., l’interdiction de fumer devrait être laissée à la discrétion de leurs dirigeants... Personnellement, je connais un gérant, qui, bien avant la création de ce décret, a interdit l’usage du tabac dans son restaurant !

      Il est à se demander, puisque c’est un décret et non une loi qui a été pondu par le Ministre de la Santé, si cette interdiction ne va pas créer une jurisprudence ? En effet, les les bars, les cafés, les brasseries, les boîtes de nuit, les clubs discothèques, les cabarets... sont des propriétés privées « ouvertes à usage du public », et, non des établissements publics !

      Pour conclure, ce décret est une ode prononcée en faveur de la haine des non fumeurs à l’encontre des fumeurs...


    • pif le chien (---.---.146.118) 29 janvier 2007 17:43

      @ Voltaire:tu portes bien mal ton pseudo : Voltaire était connu pour son esprit caustique et sa tolérance, de plus il fumait en restant attentif aux autres:ce n’est pas ton cas. smiley


    • andree2 (---.---.248.85) 29 janvier 2007 20:36

      Il suffirait par exemple de ne pas rembourser les soins à ceux qui n’ont pas de ceinture


    • david (---.---.221.197) 29 janvier 2007 21:11

      De santé publique ou économique ? il faudrait savoir. Vous etes dressés et domestiqués comme des touotous et vous en redemandez en plus ! ah c’est bien vrai que la FRance est un pays de veaux !


    • dégueuloir (---.---.86.133) 30 janvier 2007 02:34

      excellent article ,et bonne analyse ...le tabac est révélateur de l’absurdité légiférante à tous crins ,bien sûr que fumer est nocif mais respirer l’oxyde de carbone à longueur d’année l’est encore plus, car respiré par tout le monde, mais ça, tant qu’il a des profits à faire........ smiley


    • dégueuloir (---.---.86.133) 30 janvier 2007 02:42

      Le bon tabac xı « Quand, sur les photographies de Jean-Paul Sartre, sa cigarette lui a été retirée de ses doigts, ses doigts ont présenté au regard public ce léger écartement qui en laissait le souvenir. En observant au plus près sa main sur le côté, on pouvait remarquer qu’on lui avait vraiment dérobé son éternelle dernière cigarette. Ce qui lui manquait, ce qui lui avait été enlevé au nom de la bienséance qui caractérise notre époque, c’est une partie de lui-même.

      tabac clopetabac clope

      Cette partie qui pourrait nous laisser abusivement croire que la cigarette aide à penser la société. Pourtant, les signes d’une consommation effrénée du tabac qu’offrent les images des temps passés semblent vécus dans la joie, si on en croit les visages réjouissants des stars avec leurs fume-cigarette. C’est cette vision anachronique du bonheur de fumer qu’il faut éradiquer aujourd’hui. La chasse aux fumeurs en s’inscrivant rétroactivement dans l’Histoire se donne les artifices d’une correction patrimoniale qui lui permet de prendre son envol pour l’avenir. Les images d’autrefois sont-elles une source de contamination ? Dans une logique prophylactique imparable, il vaut mieux ne négliger aucun risque. Les portraits des morts, sans cigarette au bec, auront au moins l’air de vrais cadavres avec leurs lèvres écartées autour d’un trou. »

      Henri-Pierre JEUDY, « Nouvelle terreur contre les fumeurs », Libération, 5 janvier 2007 allez tiens une petite .... !! ppppffffffffffff smiley


    • Maximumm (---.---.159.234) 31 janvier 2007 16:02

      Oui c’est vrai... je suis sur que c’est TOI qui détient la VERITE... smiley smiley


    • Mister Gottt (---.---.53.204) 3 février 2007 18:52

      @ Monsieur Demian West

      « s’adonner au tabac est un fléau social qu’il faut soigner et guérir, par toutes voies communes. »

      Ca fait froid dans le dos !!!

      Je me méfie énormément des soigneurs de fléau social. Vos propos sont bien plus nauséabonds que n’importe quel cendrier...


  • Rocla (---.---.107.78) 29 janvier 2007 11:37

    J’veux pas faire du négativisme , mais je crois que l’ auteur il est pas rano .

    Rocla


  • benalgue (---.---.139.175) 29 janvier 2007 11:37

    @ petit je n’ai pas voulu dire que le tabac ou l’alcool était des droges douces !!! mais je parlais bien de la bonne ganga que je ne fume plus non plus cause trop de ptit cons voleurs à croiser et qualité mediocre pour quantité minuscule


    • Petit 29 janvier 2007 11:40

      Appuies sur réagir au commentaire pas à l’article :)

      Désolé j’ai mal lu on va dire. Mais bon les commerçants c’est tous des voleurs par définition smiley


  • SERGIO (---.---.130.92) 29 janvier 2007 11:38

    Tout à fait d’accord avec cet article, bien que je ne sois pas fumeur. Je constate que les états et l’Europe légifèrent de plus en plus sur tout et n’importe quoi, ce qui fait qu’effectivement le champ de liberté des citoyens se rétrécit comme peau de chagrin. Et il est vrai aussi que si le gourvernement veut « s’occuper » d’un certain type de citoyens, il faut d’abord les diaboliser. Et c’est vrai que de dire, je me moque de cette chasse aux sorcières contre les fumeurs car je ne suis pas fumeur est une grosse erreur. En effet un jour, les législateurs s’occuperons aussi de moi qui rentre dans une autre catégorie de citoyens que l’on va déclarer diabolisable. Quand on a voulu faire rentrer encore un peu plus d’argent avec les automobilistes et bien on a créé les radars fixes que certains appellent les tirelires à Sarko. Et on a expliqué qu’en fait ce m’était pas pour faire rentrer un peu plus d’impôts mais pour sanctionner les vilains automobilistes qui roulent trop vite. Cette explication est vrai en parti, mais c’est formidable lorsque l’on peut trouver une taxe ou un impôt supplémentaire « vertueux », suivant l’expression à la mode.


  • Stéfan Stéfan 29 janvier 2007 11:39

    « Chassés des lieux de détente, condamnés à vivre en exclus et, sous la pression des taxes, à dégringoler d’une classe sociale, les fumeurs d’aujourd’hui sont dans la même situation que les Juifs des années 30. »

    N’importe quoi.


    • Dragoncat Dragoncat 29 janvier 2007 11:40

      Nous sommes d’accord !!!


    • Petit 29 janvier 2007 11:42

      En fait l’auteur a raison c’est ps le tabac qui lui detruit le cerveau, mais on se demande bien c’est quoi. smiley


    • benevole (---.---.187.181) 29 janvier 2007 13:29

      A tous ceux qui, faute d’arguments, tentent de jouer sur l’indignation des lecteurs en jugeant injurieuse ma comparaison entre le sort actuel des fumeurs et celui des Juifs des années 30.

      Si vous me citez, n’occultez pas la fin de la phrase : « des années 30 ». Au cours des années 30, il n’y avait encore ni chambre à gaz, ni four crématoire.

      Il y avait diabolisation des Juifs, confiscation de leurs biens, pression morale sur les Allemands à ne plus les employer, à ne plus les fréquenter.

      Je pense que les Juifs qui me liront se souviendront de cette époque (ne fût-ce que par leurs livres d’histoire) et considéreront au contraire ma comparaison comme venant de quelqu’un qui a compris comment un Etat peut provoquer la haine à l’égard d’une communauté et dénonce ces pratiques.


    • Nicolas (---.---.38.148) 29 janvier 2007 18:04

      Il n’y a pas de confiscation de biens pour les fumeurs, ils n’ont pas d’etoiles jaunes, ils ne sont pas discriminés. La seule chose qu’on leur empeche, c’est de fumer à l’interieur des lieux publics. Ils doivent donc se retenir de leur vice, et quand le besoin se fait trop pressant, ils peuvent sortir pour fumer sur le trottoir.

      Je pense que les juifs dans les années 30 et 40 n’avaient pas de trottoirs où ils pouvaient être parfaitement libre, et qu’ils auraient bien été heureux d’être seulement brimé comme le sont les fumeurs actuels.


    • benevole (---.---.187.181) 29 janvier 2007 18:31

      Dans les années 30, l’Etat nazi tolérait encore les Juifs qui restaient cloîtrés chez eux.

      Vous écrivez que la Communauté Juive n’avait pas le moyen d’échapper à sa nature. Et si elle en avait eu le moyen, aurait-elle dû la renier ?

      Vous supposez que le fumeur peut s’arrêter mais ce n’est vrai que pour une minorité d’entre eux. Que faites vous des 2/3 des fumeurs qui ont essayé mais n’y sont pas parvenus ?


    • freddy (---.---.73.241) 29 janvier 2007 23:23

      Pas d’étoiles mais dans une école de Flandre un badge représentant des poumons dégeux « ce n’est qu’un début continuez le combat »,et ce sont les mêmes cons qui écrivaient en 68 « il est interdit d’interdire » qui poussent à ce type de loi !!!


  • Dragoncat Dragoncat 29 janvier 2007 11:39

    @ l’auteur

    De deux choses l’une, soit vous êtes un fumeur aigri, soit vous habitez dans un village de trois habitants non-fumeurs et vous n’avez jamais mis les pieds dans un restaurant ou une boite de nuit.

    Vous nous inventez une ènième théorie du complot - il y en a 20 par jour, simplement sur Agoravox - pour expliquer les politiques anti-tabac. Mais on peut retourner le raisonnement et justifier les décennies de tabac partout, de cancer généralisés, de frais de sécurité sociale exhorbitant et les morts du tabagisme passif, par la puissance des lobbies du tabac et leur influence sur les pouvoirs publics.

    Quand au bien des fumeurs, hormis les frais qu’ils occasionnent à la société, il est évident qu’on s’en tape. Mais de là comparer les « excès de violence et les agressions » aux dégats causés par le tabac... C’est un argument de discussion de comptoir. Sûr : comparé aux violeurs, aux terroristes et aux tueurs en série, les fumeurs ne nuisent pas à la société. Une fois que vous avez dit ça, vous n’avez rien dit. smiley

    S’il fallait compter sur la bonne volonté des gens - surtout en France - pour faire cohabiter fumeur et non-fumeur... Essayez d’aller dire avec le sourire à une table de fumeurs dans un restau d’éteindre leur cigarette et vous verrez comment vous êtes reçu.

    Si la bonne volonté suffisait, les radars routiers seraient inutiles. Il suffirait de demander poliment aux gens de rouler prudemment et de ne plus boire au volant. Il est évident que ce serait plus efficace que la répression... smiley

    Sur le tabagisme passif, allez dire au non-fumeur de 24 ans qui bosse dans une boite parisienne et qui a déjà un cancer des poumons que sa maladie est psychosomatique. Décidément, l’absurdité ne vous arrête pas...

    Et pour finir, la comparaison entre les fumeurs et les juifs des années 30 ! Avec une énormité comme celle-là, vous naviguez entre la propagande de la même période et le délire paranoïaque. Essayez le tranxen et si vous voulez défendre le droit de fumer, faites le avec des arguments qui tiennent la route.


    • Dragoncat Dragoncat 29 janvier 2007 12:30

      Hello LE CHAT

      Si tu ne parles pas de tabac, nous sommes d’accord, et c’est là un client sérieux qui en a bougrement besoin. smiley

      Je vais lui envoyer un lien pour télécharger « le mateur »...


    • Denis (---.---.14.200) 29 janvier 2007 17:28

      Vos arguments ne sont pas valables : Vous dites que l’on ne peut pas compter sur la bonne volonté des gens et que c’est pour cela qu’il faut faire des lois. Mais en fait, c’est le contraire : plus vous faites des lois moins vous pouvez compter sur la bonne volonté des gens. Au point où nous en sommes aujourd’hui, c’est la fuite en avant de la répression contre la mauvaise volonté.


    • Dragoncat Dragoncat 29 janvier 2007 18:00

      @ Denis

      Si on vous suit, transféré sur le problème de la sécurité routière, il suffirait de supprimer la répression policière pour voir une population responsable conduisant doucement, sans boire d’alcool, etc.

      Ca vous parait vraisemblable ?

      Je peux vous dire que je maudis les radars fixes mais force m’est de reconnaitre qu’ils ont fait baissé significativement le nombre d’accident et de mort sur la route. C’est quand même un résultat non ?


    • benevole (---.---.187.181) 29 janvier 2007 19:04

      "Si on vous suit, transféré sur le problème de la sécurité routière, il suffirait de supprimer la répression policière pour voir une population responsable conduisant doucement, sans boire d’alcool, etc.

      Ca vous parait vraisemblable ?

      Je peux vous dire que je maudis les radars fixes mais force m’est de reconnaitre qu’ils ont fait baissé significativement le nombre d’accident et de mort sur la route. C’est quand même un résultat non ?"

      Cela dépend du point de vue. Moi je pense qu’il est déplorable d’en être arrivé à une société où les gens ont davantage peur d’une amende que d’un accident ! Où l’obéissance à des lois se substitue au sens des responsabilités.

      Il me semble évident qu’un politique qui promeut ce type de société est un mauvais politique. Il prend ses concitoyens pour des gamins.

      Qui peut le mieux juger du danger de rouler à telle ou telle vitesse compte tenu de l’état de la route, de la fluidité du trafic, des conditions atmosphériques, de la visibilité, de son propre état de santé etc... Le ministre dans son bureau ou l’automobiliste sur la route ?

      Si les radars fixes obtiennent de bons résultats, cela signifie qu’une grande partie de la population est infantilisée par les méthodes d’éducation de l’école voulues par le gouvernement.

      Eduquer les gens à réfléchir par eux-mêmes est possible mais un peuple libre et conscient est plus difficile à gérer qu’un troupeau de moutons ;


    • Dragoncat Dragoncat 29 janvier 2007 22:30

      @ Benevole

      Certes, mais en attendant, il faut bien tenir compte des réalités...

      On ne peut diriger le pays en fonction de ce que le peuple devrait hypothétiquement être, mais en fonction de ce qu’il est...


    • benevole (---.---.35.118) 30 janvier 2007 01:18

      J’accepte cette remarque mais n’est-ce pas aussi l’Etat qui détermine les programmes d’éducation ?

      Et quel est son intérêt à avoir une population conscientisée, responsable, dotée d’esprit critique plutôt que des sujets dociles ?


  • (---.---.33.228) 29 janvier 2007 11:45

    Bonjour Jean-Marc,

    Merci de votre article, indispensable ; je suis entièrement d’accord avec vous, le tabac n’est qu’un prétexte.

    C’est une stratégie de manipulation que l’on retrouve dans les bases de méthodes de vente pour les commerciaux : il s’agit de canaliser l’interlocuteur dans un raisonnement en « entonnoir », en l’enfermant par étapes dans un réseau de vérités partielles auxquelles il est obligé de répondre toujours « oui ».

    Les débuts de l’équipe actuelle du gouvernement en sont un exemple parfait, avec ses deux projets-phares : la lutte anti-tabac et la lutte contre l’insécurité routière.

    Voyons, pensez-vous qu’il s’agissait des problèmes les plus urgents, les plus importants pour ce pays ? Non, mais les vrais problèmes nécéssitaient une maîtrise et un pouvoir qu’aucune équipe politique ne possède aujourd’hui ; on a donc choisi des domaines accessibles, et des arguments irréfutables car les plus simplistes :

    « Vous n’êtes pas pour le cancer du poumon, n’est-ce pas ? » Non bien sûr. « Vous n’êtes pas pour la mort sur la route, non plus ? » Non, évidemment. "Alors, vous voyez-bien que nous avons un bon gouvernement, qui s’est mis au travail pour le bien de tous !" Oui, en effet...

    C’est la base même des arguments d’un Etat populiste : simplistes, primaires, et d’autant plus forts qu’ils s’appuyent sur une majorité épargnée, présentée comme la norme de vertu, pour la jouer contre une minorité blâmable et donc à juste titre sacrifiée.

    Bien sûr, interdire de fumer, cela paraît très bénin, ce n’est pas du tout comparable à l’internement en camps d’une population. Mais c’est le processus qui est inquiétant, parcequ’il est, toute proportion gardée, le même dans les deux cas.

    Et surtout parce que ce n’est pas une chose accidentelle, ce n’est pas un méchant dictateur qui fait le populisme, mais la société elle-même qui le suscite, par son état d’évolution et d’ambiance, quand l’avenir devient illisible et donc angoissant.

    La question n’est donc pas le tabac, mais à qui va-t-on ensuite s’attaquer ? Qui sera le prochain bouc émissaire ? Qui fera l’objet du prochain nettoyage ?

    Cordialement Thierry


    • Petit 29 janvier 2007 11:52

      Vite la bible de la vérité t’attends rejoint le parti de la loi naturelle ! http://www.youtube.com/watch?v=IgDHlpX3rrQ


    • Rocla (---.---.107.78) 29 janvier 2007 12:02

      228

      Avec un bon entonnoir on peut aussi jouer de la trompette .

      Rocla


    • benevole (---.---.35.118) 30 janvier 2007 01:12

      Bonjour Thierry,

      Merci pour ton complément d’analyse.

      Il est très utile d’expliquer aux gens par quels procédés on les manipule. Cela leur permet de se défendre.

      On devrait enseigner ces techniques de manipulation dans les écoles car lorsqu’on les connaît , elles deviennent inopérantes.

      As-tu vu le spot télévisé dont j’ai réclamé et obtenu le retrait ? http://www.justicesociale.net/crbst_27.html

      Je serais curieux de voir si ton analyse corrobore la mienne.

      Pour moi, le message sous-jacent est : les fumeurs sont des cochons repoussants, des animaux dégénérés, ils laissent traîner leurs mégots partout, s’ils ne crèvent pas de leurs clopes il faudra les abattre.

      Le ministre belge de la santé a fini par le retirer non sans se plaindre de la propension du JEP à réagir souvent contre les spots anti-tabac.

      Cordialement ! Jean-Marc


    • dégueuloir (---.---.86.133) 30 janvier 2007 02:51

      allez encore une ptie clope vindieu !! ppppfffffffffffff...... smiley


    • aquad69 (---.---.100.34) 30 janvier 2007 12:27

      Bonjour Jean-Marc,

      je suis allé voir ton blog, et je te rejoint complètement : ce genre de message est ignoble, et surtout très inquiétant : il devient petit à petit normal et habituel de donner une image dégoûtante de l’adversaire ou seulement des gens « différents », de procéder par exclusion en permanence ; la mentalité « intégriste » se répand partout !

      Je te félicite d’avoir pu le faire retirer, je crois qu’en France celà aurait été plus difficile...

      Je suis allé aussi voir ce qu’était le système « Robin », que je ne connaissais pas ; je t’avoue que je suis un peu sceptique : qui contrôlera tout ça, et comment pourrait-on vivre indépendant en ne gagnant que des robins ?

      Je crois beaucoup plus au retour de l’économie de gratuité et de troc à l’échelle locale et des quartiers, et au développement d’une marge significative de micro-économies moins contrôlées, moins soumises à la dictature de la comptabilité actuelle.

      Mais cela impliquerait le retour des liens entre les gens, de la culture du respect, le retour de la dignité humaine, la science de refaire pousser un tissus social dans les quartiers, et les occidentaux ne sont certe pas prêts à celà aujourd’hui !

      D’autant plus que les Etats y sont clairement inscrits en opposition :

      Toutes les politiques de créations d’économies de « services », censées être l’avenir de notre développement, sont très exactement le contraire de cette démarche :

      Au lieu de favoriser les noyaux d’activités de voisinages gratuites, sécurisantes, basées sur une solidarité naturelle, et de protéger les gens d’une dépendance trop extrême vis de l’économie de système, de leur éviter d’être « pris à la gorge » en permanence, on veut justement mettre encore plus ces « métiers » sur le marché, et donc les intégrer et les soumettre complètement au système comptable et fiscal, tout en développant la propagande sur l’horreur de toute activité « au noir ».

      Pour changer d’orientation, il faudrait qu’il existe encore une société humaine capable de dominer des systèmes étatiques qui ne sont plus aujourd’hui ni efficaces ni bienveillants ou favorables, mais clairement nuisibles à la nature humaine.

      C’est dire à quel point cet espoir serait idyllique !

      Si le débat t’intéresse, tu peux me joindre sur [email protected]

      Amicalement Thierry


    • benevole (---.---.35.118) 30 janvier 2007 22:37

      Pour aquad69

      Bonsoir Thierry,

      Merci encore pour ton commentaire et pour avoir visité le site JRL.

      En ce qui concerne le concept du robin, il n’est pas question de vivre en indépendant en ne percevant que des robins. Les robins ne permettraient de régler que 20% du prix des biens et services, lesquels seraient donc toujours payés à 80% en euros.

      Mais ces 80% en euros ne constituent ni plus ni moins que les 100% actuels. Le volume d’argent en circulation n’est pas affecté par l’existence des robins. Donc, si je ne paie que 80% du prix d’un produit, je garde 20% pour en acheter un autre et je relance le commerce.

      Comme les robins s’ajoutent aux euros, le pouvoir d’achat de tout un chacun augmente et comme la manière de gagner des robins est d’investir du temps ou de l’argent dans un but social, humanitaire ou écologique, les problèmes de société comme la faim, la pauvreté, l’effet de serre, se règlent nettement plus vite grâce à des moyens financiers exponentiels/

      Par ailleurs, l’altruisme n’étant plus pénalisé mais récompensé, la société devient beaucoup plus conviviale et fraternelle.

      Enfin, puisque le robin rend possible l’augmentation du pouvoir d’achat sans risque d’inflation pour la monnaie officielle, le commerce se relance, les entreprises voient s’inverser le rapport entre l’offre et la demande, cette dernière étant actuellement insuffisante vu la réduction du pouvoir d’achat, et l’embauche reprend, soulageant le portefeuille du contribuable.

      Mais comme ce n’est pas le sujet du débat, je préfère y consacrer un prochain article. Ou, comme tu le suggères, dans une conversation privée.

      Amicalement Jean-Marc


  • Nathanael (---.---.252.222) 29 janvier 2007 11:46

    Sinon je peux aussi vous inviter dans le restaurant où je bosse et où je passe quasiment 10 heures par jour depuis 10 ans à respirer l’air avarié des fumeurs....

    Là peut être vous comprendrez pourquoi certains vont respirer (hélas dans 1 an avec la dérogation) d’ici peu...


    • benevole (---.---.187.181) 29 janvier 2007 14:02

      Pour Nathanaël

      Croyez-bien que je compatis à votre souffrance. Mais vous avez peut-être remarqué que je ne préconise pas l’autorisation de fumer partout et d’emmerder les non-fumeurs.

      Il doit être aussi pénible pour le non-fumeur de travailler dans un environnement fumeur que pour le fumeur de travailler dans un environnement non-fumeur.

      La loi de l’offre et de la demande justifie l’existence de restaurants non-fumeurs et de restaurants fumeurs. Si j’étais ministre de la santé, dans le cas où le nombre de restaurants non-fumeurs m’apparaîtrait insuffisant pour répondre à la demande de la population, j’en inciterais la création par des mesures d’exonération fiscale destinées à compenser le risque temporaire d’une perte de clientèle.

      En agissant ainsi, je respecterais tous mes électeurs, fumeurs, non-fumeurs et restaurateurs. Quant au personnel, en supposant qu’il se répartit, comme l’ensemble de la population en fumeurs et non-fumeurs, je suppose qu’il postulera plus volontiers dans les restaurants où il se sentira le plus à l’aise. Au besoin, s’il s’avérait que des fumeurs travaillent dans des restaurants non fumeurs et vice versa, je favoriserais les transferts.

      Je pense qu’il faut respecter tout le monde. Et que tout le monde doit lutter contre les mesures anti-démocratiques sous peine de se réveiller bientôt sous la dictature.


    • (---.---.54.69) 29 janvier 2007 16:48

      C horrible, je vis depuis 25 ans 24h/24 à respirer l’air avarié des conducteurs de voitures, des joyeux chimistes et des cheminées...

      La peut être pourquoi certains ne vont pas respirer d’ici peu !

      Soyons serieux quand même...


    • Dragoncat Dragoncat 29 janvier 2007 18:04

      @ Bénévole

      L’argument fumeur / non-fumeur sur la liberté réciproque est un argument fumeux.

      Il est pénible à un fumeur d’être dans un environnement non-fumeur, certes ! Il ne peut pas se faire plaisir, et pour les addictions les plus fortes, souffre de son manque de nicotine.

      Dans l’autre sens, il n’est pas QUE pénible à un non-fumeur de bouffer de la cigarette malgré lui, ça lui est aussi NOCIF, malgré toutes les théories extravagantes des cancers psychosomatiques des non-fumeurs que vous nous avez pondu. smiley

      La comparaison entre les deux situations est donc évidemment abusive.


    • benevole (---.---.35.118) 30 janvier 2007 00:52

      Dragoncat,

      Vous jugez extravagantes mes affirmations concernant la nocivité de la propagande anti-tabac ?

      C’est simplement parce que vous ne l’avez jamais lu nulle part. Sujet tabou par excellence. Un discours opposé à la propagande officielle vous paraît incongru et vous vous sentez donc le droit de le traiter d’extravagant.

      Pourtant, je ne m’appuie que sur des faits et quand je cite des avis extérieurs, ce sont ceux de professeurs de psychologie et de médecine précisément actifs dans le sevrage tabagique et la pneumologie. Sur mon site, je propose en téléchargement, l’étude d’épidémiologie du tabagisme effectuée par un professeur de Strasbourg.

      Il est évident que la médecine n’aime pas trop faire la publicité de l’effet placebo car elle l’utilise pour guérir des patients. Comme cet effet est basé sur la confiance du patient, il pourrait ne plus agir si le patient croyait qu’on ne lui administre qu’un placebo. Or, en règle générale, les médecins administrent des médicaments actifs. Le placebo est utilisé en médecine pour tester par comparaison avec un placebo un nouveau médicament.

      Comme un placebo (médicament vide) guérit 30% des patients par effet psychosomatique, un nouveau médicament doit obtenir un taux de guérison significativement supérieur pour être commercialisé.

      Je vous invite à vous documenter et à interroger vous-même des médecins ou psychologues en leur soumettant les 6 points énumérés dans mon article dans le chapitre tabagisme passif. Vous serez étonné.

      Je ne vous demande pas de le faire pour que vous me donniez raison. Je vous le demande seulement pour vous-même. Il n’est jamais bon de rester dans l’ignorance.


    • Fred (---.---.155.75) 30 janvier 2007 12:51

      @benevole

      Le fumeur peut toujours aller satisfaire son plaisir a l’exterieur. Le non-fumeur n’a pas ce luxe. Vous pouvez debattre de psychologie autant que vous voulez, le fait est qu’il n’est pas interdit de fumer partout donc si votre vice devient incontrolable, il peut etre assouvi alors que le non-fumeur doit subir sans rien dire puisqu’apparement il enfreindrait sur les droits du fumeur.


  • lyago2003 (---.---.62.106) 29 janvier 2007 11:49

    Bonjour, Quand certains citent des chiffres et les manipulent en faveur de leur thèse c’est répugnant. On ne traffique pas les chiffres de personnes décédées c’est immoral. Moi, j’aimerais bien mourir de mon vivant disait Coluche.


  • Darwin’s Beagle (---.---.177.84) 29 janvier 2007 11:59

    Voilà un article qui relève le niveau de cette agora. Quelle plaisir de voir Voltaire et autres Marsupilami et Dragoncat en baver de rage comme des limaces sur du gros sel !


    • Dragoncat Dragoncat 29 janvier 2007 18:09

      @ Beagle

      Personnellement, je ne consomme de gros sel que sur mon foie gras. Quand à consommer de la limace, je vous laisse ce plaisir. smiley

      Et sur le fond, je suis moi-même fumeur occasionnel, de cigare. Mais maman Dragoncat ayant soigneusement veillé à l’éducation de son fils, je ne fais pas une jaunisse à l’idée de savourer cela dans un environnement où je n’emboucane personne. Question de savoir-vivre, un art qui se perd... smiley


    • dégueuloir (---.---.86.133) 30 janvier 2007 02:54

      c’est la faute à Voltaire !! mais le pauvre !!le monde ne peut plus le porter,mais il est mort de la vérole le malheureux !!!...lol smiley


    • Mister Gottt (---.---.53.204) 3 février 2007 19:58

      @ Dragoncat

      Le fumeur de cigare qui veut interdire la clope parcequ’un plaisir est encore meilleur s’il n’est pas partagé, ça me fait penser à un curé du moyen âge qui interdit la sexualité à ses contemporains pendant qu’il s’en paye une bonne tranche, le salaud !


  • Romain (---.---.10.200) 29 janvier 2007 12:00

    Autant je suis d’accord avec la partie hypocrisie de l’état mais...

    « les fumeurs d’aujourd’hui sont dans la même situation que les Juifs des années 30 »

    Vous avez pas l’impression d’éxagérer la ?


    • PIKI (---.---.184.177) 29 janvier 2007 13:10

      Il ne faut pas confondre la situation des juif en 1930 et celles des juifs en 1940 ... et actuellement la société conduit justement dans la direction émise par l’auteur de cet article ...


    • benevole (---.---.187.181) 29 janvier 2007 14:21

      Je ne pense pas manquer de respect aux victimes de l’holocauste , au contraire.

      Celles-ci ne savent que trop bien comment tout a commencé : culpabilisation, diabolisation, exclusion des lieux de travail , exclusion tout court, confiscation de droits et de biens.

      Je ne dis pas que l’Etat a déjà en vue la création de camps de concentration mais il crée un climat d’extrême droite en jouant sur la peur des gens qu’il renforce à grands coups de propagande....et ce faisant, il tue déjà par effet nocebo (plus exactement, il accroît les risques liés au tabagisme actif et est responsable des victimes du tabagisme passif).


    • dégueuloir (---.---.86.133) 30 janvier 2007 02:58

      en tous les cas les 10 millions de juifs morts dans les camps l’ont été par la fumée...de gaz sarin......


  • andree2 (---.---.37.216) 29 janvier 2007 12:19

    La vraie raison, pour moi, nous l’avons appris ce matin : si un fumeur doit sortir de l’entreprise pour fumer, il ne travaille pas pendant ce temps-là. L’entreprise pourra donc demander aux fumeurs de récupérer le temps de travail perdu.


  • Bruno (---.---.109.53) 29 janvier 2007 12:33

    Soyez plus gentil avec les fumeur !

    c’est vrai quoi !

    pensez qu’ils vont bientot mourir smiley


  • (---.---.0.27) 29 janvier 2007 12:39

    Sur la propagande fumeurs passifs, a propos des chiffres etonnants qu’on nous annonce (plusieurs milliers par an en France) : si tu lis le rapport remis a l’assemblee nationale, et que tu remontes aux etudes scientifiques sur lequel il est base, tu constates que ces chiffres incluent... les fumeurs victimes du tabagisme passif smiley En gros, t’es fumeur, mais fumeur passif aussi, donc tu meurs plus vite du tabac, mettons de 1% plus vite, donc on rajoute 1% des cancers de fumeurs aux cancers de non-fumeurs, et ca gonfle les chiffres sur le tabagisme passif.

    D’autre part, il s’agit indeniablement d’une confiscation de la capacite des citoyens a vivre ensemble, d’une de-responsabilisation, puisqu’il appartient desormais aux pouvoirs publics de faire comprendre au fumeur qu’il incommode, ou au non-fumeur qu’il exagere. Projet de societe ?


  • Christophe (---.---.51.7) 29 janvier 2007 12:43

    @l’auteur,

    Il est évident, pour ceux qui osent encore réfléchir, qu’il existe une approche faussée du problème du tabac. Je n’irais cependant pas jusqu’à faire le comparatif que vous faites avec l’époque sombre européenne.

    Etant dans le monde associatif dans le domaine de la scolarité, j’ai eu maintes discussions avec des professeurs de pneumologie compte tenu du fait que les rejets d’une usine chimique passaient au dessus d’une école maternelle et primaire.

    Etant donné les symptômes des enfants (entre 3 et 10-12 ans), pour ces professeurs, il ne subsistait aucun doute que ces personnes (à l’état d’enfants) seraient tous atteintes de maladie des voies respiratoires. Mais le sujet n’est pas là. J’ai donc poursuivi la discussion sur le domaine de l’usage privé de produits dont on nous expliquait, à l’époque, la nocivité prouvée.

    Ces professeurs étaient tous unanimes sur la question. Le tabac est un facteur agravant, à n’en pas douter ; pour le fumeur s’entend. Est-il la cause des maladies des voies respiratoires ? C’est la question primordiale dont la réponse nous est jetée en pâture sans autre forme de procès. A cela, les chercheurs me répondaient qu’il était quasiment impossible de définir par la preuve si une mort due à une maladie des voies respiratoires pouvait être exclusivement attribuée au tabac ; bien que cela soit le cas au niveau de la comptabilité du nombre de morts du tabac.

    Scientifiquement, il est difficile d’isoler l’influence du tabac (actif) sur la durée (une quarantaine d’années). D’autre part, attribuer la mort à une raison n’est possible que si l’on parvient à démontrer que, si la personne n’avait pas absorbée ces produits, elle ne serait pas décédée d’une maladie des voies respiratoires ; ce qui reste très difficile, voir impossible. Il est encore plus difficile d’isoler l’influence du tabac passif.

    In fine, pour les gosses qu’ils suivaient, ils ont exprimé clairement que ceux qui fumeront viendront grossir les morts du tabac alors que la source même est déjà certaine et sans ambiguité aucune ; les rejets chimiques.

    Il n’y a pas d’ambiguité dans les colloques des pneumologues sur les sources diverses et variées des maladies des voies respiratoires ; les sources sont très nombreuses. Ce qui n’empêche d’être clair ; fumer reste un facteur agravant !


  • Vincent 29 janvier 2007 13:35

    Article intéressant, fumeur moi-même j’appréhende le 1er Février 2007 date à laquelle il sera interdit de fumer dans les entreprises.

    Nous aurons juste le droit d’aller dehors, au début dans une sorte d’abris bus, puis après si l’on retrouve des mégots et des gobelets de café éparpillés, l’interdiction sera totale, la loi l’y autorise.

    Donc en gros au mois de septembre fini la clope sur le lieu de travail.

    Quand vous passez une dizaine d’heure par jour sur votre lieu de travail, et que vous avez pris l’habitude de fumer 5 à 6 clopes par jour, ça va être difficile au début, et après aussi je pense. Sans compter les risques d’incendie liés à ceux qui vont fumer en cachette.

    Je travaille dans une usine qui produit en 3x8, environs 600 personnes dont au moins la moitié de fumeurs, nous allons bien voir dans les mois à venir les conséquences sur la productivité, elle risque d’augmenter, puisque les anciens fumeurs passerons moins de temps en dehors de leurs postes de travail.

    Nous vivons de plus en plus dans une société aseptisé, la loi nous contraint de plus en plus et nous pousse à transgresser un peu plus chaque jours, entre le permis à point, l’interdiction de fumer, ......

    Bientôt nous allons tous avoir le droit au cours de gym matinal obligatoire pour diminuer les risques cardio-vasculaires, l’obésité.......

    Je suis d’accord pour l’existence d’un cadre légal, mais plus on réduit la dimension de ce cadre, plus les tensions internes vont être importante et plus les risques d’explosions sont grands.

    Sous couvert de décisions humanistes, émotionnelles, bien pensantes les lois nous font progressivement rentrer dans le rang.

    A force de nous brider on va finir pas s’emballer, nous sommes informés des risques que nous prenons, nous cotisons, donc nous avons le droit entre-nous (fumeurs) de nous enfumer les uns les autres.

    Cette loi, sectorise encore plus la population, et une population divisée est plus facile à gérer qu’un peuple uni.

    Bientôt les grandes reformes vont pointer, donc plus les classes seront divisée plus les réformes seront faciles à appliquer.

    Voilà mon avis.


    • (---.---.112.201) 29 janvier 2007 14:50

      « Nous aurons juste le droit d’aller dehors, au début dans une sorte d’abris bus, puis après si l’on retrouve des mégots et des gobelets de café éparpillés, l’interdiction sera totale, la loi l’y autorise. »

      Un truc de fumeur que je n’ai jamais compris. Pourquoi balancer systématiquement son mégot par terre ? J’ai 25 ans et de toute ma vie je n’ai jamais balancé mes ordures dans la rue ! Le pire, c’est justement dans les abris bus. Il y a une poubelle à trois mètres et le gars va balancer son mégot par terre ?!

      « Quand vous passez une dizaine d’heure par jour sur votre lieu de travail, et que vous avez pris l’habitude de fumer 5 à 6 clopes par jour, ça va être difficile au début, et après aussi je pense. Sans compter les risques d’incendie liés à ceux qui vont fumer en cachette. »

      Vous vous êtes jamais demandé au non-fumeur si c’était dur pour lui de supporter la fumer de vos 5 à 6 clopes par jour ?

      « Nous vivons de plus en plus dans une société aseptisé, la loi nous contraint de plus en plus et nous pousse à transgresser un peu plus chaque jours, entre le permis à point, l’interdiction de fumer, ...... »

      C’est vrai, le code de la route sert strictement à rien. Conduisons tous comme bon nous semble. Non mais franchement, vous avez imaginez ce qui se passerait si il n’y avais pas de code la route ? Ca fait 7 ans que j’ai mon permis et je n’ai pas perdu un seul point. Je ne dit pas que je respecte tous le temps les limitations de vitesse mais je suis qu’en même bien content qu’a chaque fois que je prends la voiture je suis presque sur d’arriver à bon port et de ne pas me prendre un taret de la vitesse ou un alcoolique dans la tronche. Le code de la route, c’est comme l’interdiction de fumer dans les espaces publics. Ce n’est pas pour vous protéger vous mais pour protéger les autres de vous !

      « Bientôt nous allons tous avoir le droit au cours de gym matinal obligatoire pour diminuer les risques cardio-vasculaires, l’obésité....... »

      Et non. Vous pouvez être obèse. Ca ne risque pas de tuer votre voisin.

      « Je suis d’accord pour l’existence d’un cadre légal, mais plus on réduit la dimension de ce cadre, plus les tensions internes vont être importante et plus les risques d’explosions sont grands. »

      Et oui, 15 ans de loi Evin pas appliquer et on en arrive toujours à des extrémités.

      « Sous couvert de décisions humanistes, émotionnelles, bien pensantes les lois nous font progressivement rentrer dans le rang. »

      Excusez moi. Je ne savais pas que le fait de ne pas vouloir respirez votre fumer fait de moi quelqu’un d’humaniste, d’émotionnelle et bien pensant.

      « A force de nous brider on va finir pas s’emballer, nous sommes informés des risques que nous prenons, nous cotisons, donc nous avons le droit entre-nous (fumeurs) de nous enfumer les uns les autres. »

      Tous à fait et vous avez toujours se droit. Vous pouvez toujours fumez chez vous et dans les espaces réservés aux fumeurs ou même dans la rue. D’ailleurs n’hésitez pas à fumer 2 ou 3 paquets de clopes par jours si vous voulez. Tant que vous ne fumez pas dans le même endroit que moi ça me va. C’est prouvez, les fumeurs améliorent le niveau de vie des non fumeurs. Je n’ai aucune raison de voir les fumeurs disparaître. Juste de bonne raison de ne pas les avoir à coté de moi.

      « Cette loi, sectorise encore plus la population, et une population divisée est plus facile à gérer qu’un peuple uni. Bientôt les grandes reformes vont pointer, donc plus les classes seront divisée plus les réformes seront faciles à appliquer. »

      Vous avez parfaitement raison. Mais ce n’est pas parce que vous fumez que je ne vous écouterai pas. Ce n’est pas parce que vous fumez que je ne vous parlerai pas et que je ne vous aprécierai pas. Mais, s’il vous plait, quand je vous demande de ne pas fumez à coté de moi, écoutez moi.


    • Vincent 29 janvier 2007 15:23

      Vous vous êtes jamais demandé au non-fumeur si c’était dur pour lui de supporter la fumer de vos 5 à 6 clopes par jour ?

      Heu non, en fait nous avons une salle fumeur, qui ne répondant plus a la norme (>35m²) va être fermée ou reconditionnée en salle non fumeur.

      Personnelement je ne jette ni mes gobelets, ni mes mégot, mais dès que vous avez un lieu avec une fréquentation d’au moins 300 personnées, dans le lot il y en aura toujours une qui ne se conduira pas correctement (enfin cela est une autre histoire)

      Mon point de vue signifie simplement qu’à force d’interdire et de vouloir légiférer sur tous et n’importe quoi, à vouloir contrôler l’ensemble, ce la devient ingérable et provoquera tôt ou tard l’exaspération.


    • Luc DUSSART Luc DUSSART 29 janvier 2007 22:45

      (Pub) En entreprise il existe des stages d’aide à l’arrêt assez performants. Ce n’est le plus souvent ni médical ni validable médicalement, et marche assez bien avec les fumeurs non malades.

      Si la médecine savait faire, toutes ces solutions plus ou moins miraculeuses auraient disparu depuis longtemps, d’autant qu’en France avec la couverture de soins que l’on a le coût n’est pas un problème. D’ailleurs en quoi fumer est-elle une maladie ? La médecine n’est pas forcément la bonne science à mobiliser pour inciter et aider à l’arrêt du tabagisme...

      Faites passer !


    • dégueuloir (---.---.86.133) 30 janvier 2007 03:01

      lol.........clic,,PFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFF !!!!! smiley VIVE LA CLOPE !!!!


  • le hérisson (---.---.121.162) 29 janvier 2007 13:55

    votre article est nul et non avenu ! je me suis arrêté de fumer il y a cinq ans, mon père est décédé d’un cancer du poumon, j’ai perdu un autre ami à 42 ans... Le tabac libre est un vrai scandale de santé publique. Point barre.


    • benevole (---.---.187.181) 29 janvier 2007 14:34

      Mon père n’a jamais bu ni fumé, même passivement. C’était un sportif (maître d’armes et cyclotouriste). Il a été atteint de la maladie de Parkinson (contre laquelle la nicotine vaccine) du diabète, d’un ulcère à l’estomac chronique (mais il se soignait), d’un infarctus et il est mort à 69 ans d’un cancer généralisé qui a débuté à l’estomac et s’est tout de suite propagé aux poumons.

      Point barre !

      (Juste pour vous dire que votre argument ne prouve rien.)


  • JP (---.---.98.190) 29 janvier 2007 14:00

    Mouais. Je ne suis pas convaincu par le raisonnement. D’accord sur le fait que l’Etat trouve son compte dans les taxes sur les cigarettes. Mais pour le reste. Qui n’a pas vu autour de lui agoniser un fumeur d’un cancer des poumons ou de la gorge ? Le cancer est une lente agonie effrayante. Et je trouve normal que les Etats tentent des nouvelles politiques.


    • benevole (---.---.187.181) 29 janvier 2007 15:43

      Vous avez raison, le cancer est une longue et horrible maladie. J’ai vu en mourir mon père (qui ne fumait pas) et mon frère (qui fumait un peu -beaucoup moins que moi- mais buvait.

      Une de mes chiennes en est morte aussi et le cancer tuait déjà à des époques où les cigarettes n’existaient pas.

      Il faut donc soutenir la recherche sur les soins du cancer. Et surtout ne pas en rajouter en faisant peur aux gens. Si, dans le public, la majorité ignore encore les effets psychosomatiques (et même la signification de ce mot)de type placebo, croyez bien que les psychologues, médecins et ministres les connaissent.

      Croyez-vous que quelqu’un ignore encore que le tabac accroît les risques de cancer ou de maladie cardiaque ? Croyez-vous qu’il soit impossible de renvoyer le public vers une information objective comme je le fais sur mon site http://www.justicesociale.net/crbst_19.html ?

      Alors, à quoi sert la propagande sinon à implanter la peur dans les cerveaux et à provoquer ainsi ces maladies qu’on prétend vouloir éviter ?


  • jcm (---.---.145.144) 29 janvier 2007 14:08

    S’il est bien question de santé : « On estime à une centaine de cas par an le nombre de cancers du poumon dus au tabagisme passif »

    A lire sur le site de « La ligue contre le cancer ».

    Plans anti-cancer : le tabac en rideau de fumée...


  • dread (---.---.131.14) 29 janvier 2007 14:21

    Et l’alcool alors ? Drogue dure par excellence. Autant de décès par an que le tabac(+ n° incalculé de buveurs « passifs » victimes de violences, crimes, etc...). Quel est son cout « social » ?? Hein, hein ??

    Mais bon on va pas non-plus s’attaquer au bon vieux pinard. C’est du français ça Monsieur ! smiley


    • Mister Gottt (---.---.53.204) 3 février 2007 20:44

      @ dreadmachin

      La ganja aussi c’est nocif (et je sais de quoi je parle)


    • dread (---.---.131.14) 5 février 2007 14:04

      @ Mister Gottt : Tu sais de quoi tu parles... mais tu parles de quoi ? Je parles d’alcool et tu réponds ganja. Expliques-moi STP le lien.. (ahhh mon pseudo.... au moins je ne me prends pas pour Dieu... smiley )


  • troll (---.---.82.128) 29 janvier 2007 14:23

    article vraiment stupide !... (ca faisait longtemps que je n’avais pas lu un truc aussi foireux sur avox)

    il ne vous est pas interdit de fumer si je ne me trompes, il vous est interdit de m’empester !...

    est ce que vous trouveriez normal que je laisse mon scooter allume dans le bureau tout ca parce que j’adore le son du scooter avec un carbu de 18 ?... et bien non !... remarquez qu’on n’a pas eu besoin de voter de loi pour interdire ca, mais la connerie humaine etant sans limite peut etre qu’un jour il le faudra...

    un ex-fumeur...


    • (---.---.54.69) 29 janvier 2007 16:54

      ex-fumeur et neo-tolérant ?!...

      Sais tu que l’air le plus pollué de Franc est l’air intétieur des maisons ? Et pas que des maisons des fumeurs...

      Ceci est du à tous ls produits de nettoyage, peintures, colle, etc., etc. Et c’est pas REACH ni cette exclusion des fumeurs qui y changera quoi que ce soit. smiley


    • troll (---.---.82.129) 29 janvier 2007 17:04

      tres drole : je dois tolerer les fumeurs, mais vous vous ne voulez pas tolerer les non-fumeurs !... pour demeler cet assertion, rien de plus naturel que de prendre comme reference celui qui ne fait aucune action...

      ca m’a toujours fait marrer comment on pouvait essayer de tordre la logique pour essayer d’en sortir une verite....


  • Ender (---.---.39.193) 29 janvier 2007 14:45

    Le non-fumeur n’agit pas par son comportement sur autrui. Le fumeur agit par son comportement sur autrui.

    Fumer est un acte délibéré, ne pas fumer est un acte naturel.

    On ne peut comparer une action avec une non-action ! Ce n’est quand même pas pareil !

    Alors bien sur ! et la libeté individuelle du fumeur ? Ben oui mais elle marche dans les deux sens...

    Ceci étant, ça ne me dérange pas quand des amis fument quelques clopes devant moi en soirée. Il faut aussi être tolérant coté non fumeur et ne pas virer Ayatollah.


  • Ark (---.---.85.6) 29 janvier 2007 14:53

    Le rapprochement avec les annees 30 allemandes me paraissent abuses. « comparaison n’est pas raison ». Cela etant dit, quel est la liberte du fumeur de fumer, en partant du fait que le tabac est une drogue dure, et qu’il est difficile d’arreter. Certains ancien fumeur vont me dire , il faut de la volonte, j’ai bien reussi moi. Ce qui sous entend une egalite parfaite de tous devant les effets de la dependance psychique et physique. Ce qui me parait faux. Je suis moi meme fumeur et je ne me sens certainement pas libre, je serais libre de fumer si je pouvais me contenter d’une clope par jour ou moins , d’un bon cigare de temps a autre. Or a quelques exceptions la cigarette plaisir je la croise peu. L’industrie du tabac devrait etre condamne et controle sur leurs soit disant additifs et autres extrait de saveurs ( ammoniac entre autre pour accelerer l’absorption de la nicotine). Stigmatiser le fumeur c’est effectivement ce qui en ressort et apres on passera a qui ? Et si tous les fumeurs pouvaient stopper ne serait-ce qu’une semaine tiens ! Quelles en seraient les consequences ?


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