vendredi 7 septembre 2007 - par bobbygre

Newton et le 11 septembre

La « thèse de la conspiration » concernant le 11 septembre souffre de nombreux défauts. Le plus patent est sans doute qu’elle n’est basée, soi-disant, sur aucune preuve directe. Elle rassemble de nombreux « indices », témoignages de survivants ou témoignages d’experts auxquels on aura vite fait d’opposer les témoins et experts qui valident la théorie officielle, si bien que, très vite, il sera impossible de distinguer le mensonge de la vérité. Je vous propose dans cet article de nous pencher sur un argument central repris dans toutes les thèses conspirationnistes, dans le but de dégager la vérité : l’argument selon lequel le fait que les tours soient tombées à la vitesse de la chute libre réduit à néant la théorie officielle.

1er point : les tours se sont-elles réellement effondrées à la vitesse de la chute libre ?

Le rapport officiel indique que les tours sont tombées en moins de dix secondes (page 322 du rapport).

Il faut se souvenir que le temps de chute pour une brique jetée depuis le haut d’une tour (417 mètres) serait de 9,2 secondes.

Tout le monde a vu et revu les images ; il est facile de prendre un chronomètre et de tenter de le calculer par soi-même...

Nous assumerons donc, comme le fait le rapport officiel que les tours se sont effondrées à la quasi vitesse de la chute libre.

2e point : cela viole-t-il les lois de la physique ?

Pour alimenter notre démonstration, nous n’allons utiliser qu’une seule loi physique : la loi de conservation de l’énergie, telle qu’elle a été établie par Newton et qui nous dit que la somme des énergies cinétiques et des énergies potentielles d’un système isolé est une constante.Cette loi, qui s’enseigne à un niveau terminale, mais elle est largement appréhendable par quiconque, n’est pas totalement allergique à la science. En voici une explicitation :

L’énergie potentielle Ep d’un système se calcule de façon trés simple.

Ep= masse * gravité * hauteur = m * g * z

L’énergie cinétique Ev se calcule quant à elle grace à cette formule Ev= 1/2 * masse * vitesse * vitesse = m * v² / 2

La loi de conservation de l’énergie nous dit simplement qu’à tout moment et pour n’importe quel système isolé Ep + Ev = constante.

Essayons de l’appliquer à notre étude sur la chute des tours.

Nous ferons les mêmes hypothèses que la théorie officielle à savoir que les étages n’ont offert aucune résistance dans la chute (sinon ça invalide la thèse officielle d’emblée).

Placons-nous à un moment quelconque de la chute et considérons les systèmes suivants :

- soit le système S1 composé de tous les étages supérieurs en train de tomber (on note Ev1 son énergie cinétique, Ep1 son énergie potentielle, E1 son énergie totale, m1 sa masse et v1 sa vitesse) ;

- soit le système S2 composé uniquement de l’étage sur lequel sont en train de tomber les étages supérieurs (on note Ev2 son énergie cinétique, Ep2 son énergie potentielle, E2 son énergie totale et m2 sa masse) ;

- soit le système S composé de S1+S2 (on note Ev son énergie cinétique, Ep son énergie potentielle et E son énergie totale).

Nous allons considérer l’instant t l’instant précis où les étages supérieurs (S1) entrent en contact avec l’étage S2 et l’instant t" l’instant suivant la rupture des ancrages de l’étage S2 et la reprise de la chute.

(Pour mieux comprendre, se reporter au schéma.)

Appliquons donc le principe de conservation de l’énergie et tâchons d’en tirer une conclusion.

à l’instant t :

  • Ev1 = m1 * (v1)² / 2
  • et donc E1 = Ep1 + Ev1 = Ep1 + m1 * (v1)² / 2
  • Ev2 = 0 (S2 est immobile)
  • et donc E2 = Ep2
  • E = E1 + E2 = Ep1 + Ep2 + m1 * (v1)² / 2

à l’instant t" :

les systèmes n’ayant pas bougé, leur énergie potentielle est restée inchangée, mais cette fois S2 a été entraîné dans la chute et a acquis de l’énergie cinétique. S1 et S2 vont à la même vitesse que l’on notera v.

  • Ev1"= m1 * v² / 2
  • et donc E1" = Ep1 + m1 * v² / 2
  • Ev2" = m2 * v² / 2
  • et donc E2" = Ep2 + m2 * v² / 2
  • E" = E1" + E2" = Ep1 + Ep2 + (m1+m2) * v² / 2

Et voilà, il est temps de conclure en appliquant la loi de conservation de l’énergie qui, dans notre cas, peut s’appliquer au système S puisque S est un système isolé donc :

E = E" ce qui nous donne en remplaçant les termes

  • Ep1 + Ep2 + m1 * (v1)² / 2 = Ep1 + Ep2 + (m1+m2) * v² / 2
  • donc m1 * (v1)² / 2 = (m1+m2) * v² / 2
  • donc m1 * (v1)² = (m1+m2) * v²
  • donc v² = m1 * (v1)² / ( m1+ m2 )
  • donc v² = (v1)² * ( m1 / ( m1 + m2) )

Or m1 / ( m1 + m2) sera toujours inférieur à 1 et donc v² sera toujours plus petit que (v1)² et donc :

v < v1

Traduit en français : la vitesse de chute à l’instant t" est strictement inférieure à la vitesse de chute à l’instant t.

Ce qui nous conduit à affirmer de manière certaine qu’il est impossible physiquement que les tours se soient effondrées à la vitesse de la chute libre puisque, même en considérant que les étages n’ont offert aucune résistance physique, la chute aurait été forcément ralentie à chaque étage par le simple fait de l’accroissement de la masse des débris.

Qu’en déduire ?

Nous observons pourtant bel et bien que les tours se retrouvent au sol en une dizaine de secondes. Puisque cela ne peut être le fait d’un effondrement, il nous faut forcément envisager d’autres pistes et la seule qui semble rester est bel et bien l’emploi massif d’engins explosifs qui explosent au fur et à mesure de la chute (il existe des sites conspirationnistes qui font d’autres hypothèses, mais aucune ne semble crédible).

Cet article n’a pas pour but de soutenir une théorie de la conspiration globale et cohérente, mais simplement de pointer le fait que la théorie officielle est tout simplement physiquement impossible. Le rapport officiel évoque la durée de la chute, mais ne semble y voir aucune anomalie. Le site Popular Mechanics, seul site à ce jour à avoir offert une réponse aux arguments des "conspirationnistes", ne fournit aucune explication sur ce point précis. En même temps, on voit mal ce qu’il pourrait dire à moins de prétendre que, ce jour-là, les lois de la gravité aient été mystérieusement suspendues...



254 réactions


  • Lambert85 Lambert85 7 septembre 2007 13:38

    Haha, encore un qui nous ressort une vieillerie avec plein de calculs soi-disants savants. Seul problème les tours se sont effondrées en plus de 15 secondes*, la démonstration ne tient pas la route, bonsoir ! smiley

    Rappelons-le une fois de plus : aucune démolition contrôlée n’accélère le temps de chute d’un immeuble ! Le temps de chute ne prouve RIEN ! freefall ?

    * les débris chutent le long des tours à la vitesse de la chute libre et arrivent au sol après 10 secondes, les tours ne sont pas encore au sol. Il suffit de chronométrer cette video


    • bobbygre bobbygre 7 septembre 2007 14:23

      Sur la durée de la chute des tours, je vous invite également à faire votre propre « enquete ». Il est en effet difficile de voir et de mesurer la chute en entier surtout vers la fin lorsque tout est noyé dans un immense nuage de poussières.

      Pour verifier ce point, j’ai procédé en évaluant la durée de la chute que sur ces 2/3. En effet, la tour disposait de 2 étages intermédiaires renforcées particuliérement visibles sur certaines images (précisément prévus d’aileurs en cas de chute des étages supérieurs, mais ils n’ont visiblement meme pas ralenti la chute) et on peut donc calculer la durée de la chute sur ses 2/3. Cette durée correspond à une vitesse de quasi chute libre (à une demi-seconde prés).

      D’autre part, je rappelle que le rapport officiel, se basant sur des relevés sismiques admet que la tour est tombée en 10 secondes.


    • Lambert85 Lambert85 7 septembre 2007 14:30

      Extrapoler la durée totale en se basant sur la chute supposée des 2/3 est puéril. Les débris tombent plus vite que les tours et entourent celles-ci, c’est donc plus long que vous croyez.


    • bobbygre bobbygre 7 septembre 2007 15:11

      je n’extrapole rien ; je dis juste qu’effectivement, il est difficile voire impossible de calculer visuellement la durée de la chute sur sa totalité mais qu’il est possible de le faire sur ses 2/3 ; Donc, on peut affimer que sur ses 2/3, la tour est en chute libre. Ce qui ne change rien du tout au problème posé. S’il est impossible que la tour soit tombée toute entière à la vitesse de la chute libre, il l’est tout autant, et pour les memes raisons, sur ses 2/3.


    • charmord 7 septembre 2007 15:17

      @ Bobbygire,

      Merci pour tron article.

      Tu en penses quoi de la théorie d’André ?

      Moi, je la trouve assez séduisante parce qu’elle est la seule à expliquer pourquoi le noyau a subi un tel sort et n’a pas offert de résistance.

      Elle permet en plus de réfuter l’argumentation voulant que des quantités phénoménales d’explosifs aient été réparties à différents étages des tours. Il ne suffisait plus qu’à les placer à dces endroits stratégiques, par exemple aux étages techniques...

      Qu’en penses-tu ?


    • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 7 septembre 2007 21:18

      j’ai dit que je considère ce dossier clos et que seuls ceux qui sont mal informé ou de mauvaise foi peuvent encore défendre la version officielle. Je n’interviens ici que pour annoncer que, selon le sondage Zogby d’hier, 51% des Américains ne croient plus à la version officielle. C’était 38 % il y a 4 mois. La majorité a changé. Victoire pour la recherche de la vérité.

      http://nouvellesociete.org/5142.html

      Pierre JC Allard


    • Halman Halman 8 septembre 2007 10:26

      Les mêmes 51% qui, gros comme une maison, croient plus au créationisme à la mode qu’à l’évolution, que Neil Armstrong n’a jamais marché sur la Lune, que les ovnis sont partout.

      Toujours les mêmes raisonnements du genre on nous cache tout on nous dit rien alors on invente des théories fantastiques pour satisfaire son gout du sensationnel.


    • Adama Adama 8 septembre 2007 10:30

      Euh Newton, pour faire simple, écrivez que les Américains sont des pourris et les juifs leurs sbires. ps

      Bravo les ouvriers de nos jours ne sont plus ce qu’ils étaient.

      Adama du mossad

      שלום ןשבת שלם ושנה טובה


    • Dragon 8 septembre 2007 11:25

      première vidéo en VO uniquement deuxième vidéo en VO sous-titrée en français

      http://keep-smiling-through.typepad.com/bgkst/2007/09/911-mysteries-e.html


    • Dragon 8 septembre 2007 11:29

      la deuxième vidéo en VO sous-titrée en français

      http://keep-smiling-through.typepad.com/bgkst/2007/09/911-mysteries-e.html


    • charmord 8 septembre 2007 13:53

      Quelles sont tes sources pour les visites des WTC avant leur effondrement par la société ayant assuré le déblaiement du site ?

      J’avoue ne pas en avoir entendu parler.

      Merci


    • Dragon 10 septembre 2007 14:38

      La première vidéo est en VO uniquement. En revanche la deuxième est sous-titrée en français.

      http://keep-smiling-through.typepad.com/bgkst/2007/09/911-mysteries-e.html


    • Dégueuloir Dégueuloir 16 septembre 2007 22:05

      ce qui n’est pas puéril,c’est que temps de chute a été calculé avec des sismographes,verdict 10 s peu ou prou,ou bien les tours n’étaient que des chateaux de cartes bien fragiles ou alors ,on leur à donné un coup de main.....le batiment wt7 lui s’est écroulé tout seul....quant au 737 dans le pentagone,il est rentré dans un trou de souris (-de 15 m ,mesuré avant son effondrement)le moins que l’on puisse dire dans cette abomination,c’est qu’il y a un plus qu’important faisceau de doutes et de présomptions.On dirait que ce fait géne du monde sur AV,mais pourquoi ? je ne sais pas qu’elle est la version réelle,mais ce dont je suis sûr,c’est que la version officielle est honteusement erronée..... smiley


    • Dégueuloir Dégueuloir 16 septembre 2007 22:26

      alors ok,il y a eu conspiration,quelles questions devrions-nous nous poser ? est-ce que le gouvernement Français de l’époque a compris ?(je pense que oui...quelles preuves devra t-on fournir pour entreprendre un procés contre le gouvernement busch ,quelles peuvent être les tenants et aboutissants à cette ignominie ???


    • Laborit 18 septembre 2007 19:39

      Cher Trucmuche,

      Vous dites n’importe quoi ! De grâce, épargnez-nous vos errances ! Mangez du poisson, faites du sport, arrêtez le calva, changez de lunettes et de chronomètre... Quoi que vous puissiez délirer, vous ne pourrez jamais remettre en question le fait bien établi et vérifié que les 2 tours se sont bel et bien effondrées entre 9 et 10 secondes ; toutes vos « réflexions » ne nourrissent aucune conclusion et ne sont que du vent. Au lu de votre prose j’imagine aisément que les calculs « savants » ne doivent pas être votre tasse de thé mais ceux exposés plus haut sont pourtant bien exacts. Il est bien regrettable que vous ne puissiez les comprendre car, même si ce n’est pas un obstacle à la compréhension globale du problème soulevé, c’en est un autre que d’être dans la négation systématique et péremptoire (définition : page 1859 du Nouveau Petit Robert...) et de polluer ce site précieux qu’est AGORAVOX !

      Laborit


    • Laborit 18 septembre 2007 19:42

      Trucmuche = lambert85


    • Lambert85 Lambert85 19 septembre 2007 09:17

      Ben non mon pauvre ami, chronométrez une video montrant l’effondrement du début à la fin, vous verrez que les premiers débris arrivent au sol après ±10 secondes (comme le dit le NIST) en cachant la tour pas encore totalement effondrée. C’est marrant que des personnes qui mettent en doute le « rapport officiel » sont subitement très attachés à la phrase « l’effondrement en 10 secondes... » qui n’est qu’une approximations démenties dans les faits. smiley

      Bon, on en reparle dans un an ! smiley


    • Traroth Traroth 13 décembre 2007 00:15

      Mais chronométrez ce que vous voulez, mon vieux. L’auteur dit : la *thèse officielle*, basée sur une mesure sismographique, dit 10 secondes. Est-ce que vous la contestez ?


    • Lambert85 Lambert85 13 décembre 2007 09:05

      Je la conteste ! C’est faux ! Minimum 15 secondes, il suffit de regarder les videos, pas besoin d’experts. Les débris tombaient plus vite que les tours.


  • veda veda 7 septembre 2007 13:42

    Conclusion limpide et scientifique.

    Bon à rappeler :

    Température de fusion de l’acier = 1482 °C Température maximum du carburant = 982 °C

    une question simple peut-être posée : « Si vous laissez une poële sur votre gazinière, au bout de combien de temps fondra-t-elle ? ». La réponse est évidente : jamais


    • El Fredo El Fredo 7 septembre 2007 14:03

      A 982°, l’acier est suffisamment plastique pour qu’une poutre plie sous le poids qu’elle soutient. Les forgerons arrivent à travailler le métal à une température bien inférieure. De plus la flexion augmente considérablement la température du métal, ce qui explique qu’on puisse retrouver des morceaux de métal rougi ou fondu dans les débris.


    • FreeManu 7 septembre 2007 14:08

      @El Fredo

      y compris plusieurs jours après l’effondrement ??


    • El Fredo El Fredo 7 septembre 2007 14:19

      C’est quand même hallucinant de voir une telle persistance dans la désinformation 6 ans après le 11 septembre. C’est pourtant clair, les tours ne se sont pas effondrées à la vitesse de la chute libre. La preuve : les débris tombent plus vite que la tour (c’est très clair sur les vidéos). Quant aux 10 secondes de chute annoncées sur tous les sites conspirationnistes, c’est une vaste blague : ils sont calculés à partir d’une vidéo sur laquelle on ne voit pas la base de la tour, on ne peut donc pas calculer le temps que celle-ci met à atteindre le sol (à supposer que la base de temps de la vidéo soit correcte).

      Quant à la théorie de la destruction contrôlée, elle est encore plus ridicule :

      - Les deux tours commencent à s’effondrer au niveau des étages détruits. Les panaches de poussière suivent la progression de l’effondrement, étage par étage. Comment expliquer qu’on ne voie pas de panaches au dessus des étages détruits ? Ah, mais si : les conspirateurs sont tellement doués qu’ils ont prévu à quel étage les avions se crasheraient (avions qui, comme chacun le sait, étaient pilotés à distance...). Il est beaucoup plus logique de considérés que ces panaches sont dus à la compression de l’air exercée à chaque étage par l’effondrement des étages supérieurs.
      - La tour sud s’est écroulée avant la tour nord alors qu’elle a été touchée après. Or le point d’impact se situe à un étage inférieur, ce qui veut dire que le poids situé au-dessus du point d’impact est supérieur. Les forces qui s’exercent sur les poutres soumises à l’incendie sont donc bien supérieures, ce qui entraîne leur flexion plus rapide.
      - Enfin, une destruction contrôlée implique une préparation de plusieurs jours, voire plusieurs semaines dans le cas d’un ouvrage d’importance comme les tours du WTC. Les théoriciens du complot prétendent que les explosifs ont été mis en place en un week-end, ce qui est ridicule. Et il est impossible que ceux-ci aient pu être mis en place à l’insu des 50 000 personnes qui y travaillent en temps normal sans éveiller les soupçons, surtout compte tenu du fait qu’un précédent attentat avait été commis au même endroit en 1993, et que les terroristes avaient réaffirmé leur intention de frapper ce lieu hautement symbolique.


    • FreeManu 7 septembre 2007 14:30

      @El Fredo

      Ok, mais quid de la tour n° 7 ???


    • Dégueuloir Dégueuloir 7 septembre 2007 14:36

      MAIS QUI DIT QU’UNE ÉQUIPE AURAIT PLACÉ DES EXPLOSIFS,PEUT-ÊTRE QUE CEUX ÉTAIENT DÉJA PLACÉS DEPUIS LONGTEMPS,À LA CONSTRUCTION ??


    • El Fredo El Fredo 7 septembre 2007 14:37

      Oui. La quantité d’énergie est phénoménale, et doit se dissiper de 3 façons différentes :

      - La convexion. L’énergie thermique est dissipée sous forme d’énergie mécanique par contact avec un fluide, comme l’air ou l’eau : le fluide chaud monte, le froid descend. Le froid se réchauffe à son tour, le chaud restitue sa chaleur au milieu extérieur, etc... Or la masse de gravats et de poussière recouvrant les poutres sert d’isolant. Donc pas de convexion.
      - La conduction. La chaleur se transmet par contact avec d’autres solides ou liquides, en fonction de leur résistance thermique. Voir ci-dessus.
      - La radiation. La chaleur se dissipe sous forme de rayonnements (généralement des infrarouges, mais également de la lumière, comme le filament d’une ampoule, selon la température). Ces rayonnements se propagent en ligne droite et sont absorbés par l’environnement. Si les poutres sont enterrées, les rayonnements ne peuvent s’échapper et doivent être absorbés par la poussière et les gravats qui les recouvrent, ce qui annule les effets du rayonnement et revient à un cas de conduction. Voir ci-dessus.

      Calculer les déperditions thermiques par conduction d’une poutre chauffée au rouge et enterrée sous un tas d’isolants comme l’amiante (excellent isolant), le béton et toute sorte de poussière constituerait un exercice intéressant : il suffit de connaître la masse de la poutre, sa température moyenne, ainsi que l’épaisseur et le coefficient de résistance thermique moyen des isolants. On calcule ensuite le gradient de température en fonction du nombre de jours, sachant que l’énergie est conservée. C’est à la portée de tout étudiant en sciences (ou tout ouvrier du bâtiment spécialisé dans l’isolation) dès lors que les données sont connues ou approchées.


    • El Fredo El Fredo 7 septembre 2007 14:38

      AHAHAH LOL !!!

      (sauf si vous êtes sérieux, ce dont je doute)


    • El Fredo El Fredo 7 septembre 2007 14:39

      (le précédent commentaire s’adresse à Dégueuloir)


    • El Fredo El Fredo 7 septembre 2007 14:42

      @FreeManu,

      la tour 7 était sérieusement endommagée comme le prouve la photo suivante :

      http://judi.kw.nl/uploads/fok/wtc7-sw-corner1.jpg

      De plus son sous-sol abritait un réservoir de fioul pour alimenter des génératrices.


    • charmord 7 septembre 2007 14:43

      El fredo,

      J’ai répondu à tous ces arguments qui miltent selon toi contre une démolition contrôlée dans un post précédent où j’ai exposé une théorie développée par un certain André...

      Tu en penses quoi ?


    • FreeManu 7 septembre 2007 14:49

      Certes, mais si le réservoir de fuel en sous-sol avait joué un rôle, c’est par le bas que cette tour se serait écroulée, pas par le haut...

      De plus, pourquoi il n’y a que cette tour qui soit tombée ? Ce n’était ni la plus haute, ni la plus près des 2 WTC ; par contre, il semblerait qu’il n’y ait eu que cette tour à renfermer des locaux « sensibles » (ce qui me laisse à penser qu’elle était sûrement construit « solide »)


    • charmord 7 septembre 2007 14:49

      Ta photo semble tronquée hélas ? Des études le soutiennent en tout cas !

      http://forum.reopen911.info/viewtopic.php?id=4238

      http://forum.ixbt.com/post.cgi?id=print:64:627&page=5

      Par ailleurs as-tu entendu parler du témoignage recueilli à chaud par un certain B. Jennings ?

      Cette homme était monté au 23ème étage (centre de commandement de crise du maire) de l’immeuble 7 fraichement déserté de ses occupants lorsqu’il a vécu une explosion massive qui lui a fait dire qu’il ne restait plus rien du lobby...

      A+


    • Lambert85 Lambert85 7 septembre 2007 14:54

      La tour 7 s’est bien effondrée par le bas justement, c’est ce qui justifie les thèses conspirationistes. Toutes les tours du complexe WTC entourant celles-ci ont été fortement endommagées ou détruites ce jour-là ! Certaines ont été détruites les jours après à cause des risques d’effondrement. La tour 7 était plus haute que celles-ci et d’une autre conception.


    • El Fredo El Fredo 7 septembre 2007 15:03

      @charmord

      La théorie d’André me paraît un peu fumeuse. Les explosions et les autres phénomènes observés avant l’effondrement peuvent parfaitement avoir une autre cause, comme la chute d’objets ou d’ascenseurs le long des conduits techniques, provoqués par les incendies des étages supérieurs (ce qui explique aussi les incendies secondaires aux étages inférieurs). Quant à son modèle de « double immeuble », bien qu’intéressant, il est à mon avis inutile : la charge étant supportée à la fois par les colonnes centrales et l’enveloppe externe, l’effondrement peut parfaitement s’expliquer par les affaiblissements combinés de la structure externe détruite par le crash (ça représente au moins un quart de la façade), et de la structure interne ramollie par l’incendie. Je tiens à rappeler qu’on voit clairement les tours plier au niveau des étages où ont lieu le crash.


    • charmord 7 septembre 2007 15:10

      @ Fredo,

      Les freins d’ascenseurs ?


    • Onegus onegus 7 septembre 2007 18:30

      el fredo :« Quant aux 10 secondes de chute annoncées sur tous les sites conspirationnistes, c’est une vaste blague : ils sont calculés à partir d’une vidéo sur laquelle on ne voit pas la base de la tour »

      Vous le faites exprès ou vous avez des problèmes de lecture ?

      On reprend encore une fois pour ceux qui ont du mal :

      La durée de chute des tours est reconnue OFFICIELLEMENT dans le rapport de la Commission OFFICIELLE sur le 11 septembre, comme l’auteur de l’article le précise : « moins de dix secondes (page 322 du rapport) ». Elle a pu être déterminée grâce aux enregistrements sismiques du Earth Observatory de l’Université de Columbia, situé à une trentaine de kilomètres au nord.

      La seule désinformation sur cette page c’est vous qui la faites.

      La démolition contrôlée des 3 bâtiments du WTC est une évidence scientifique. Les lois de la physique ne mentent pas. smiley


    • Onegus onegus 7 septembre 2007 19:21

      el fredo :« Les explosions et les autres phénomènes observés avant l’effondrement peuvent parfaitement avoir une autre cause, comme la chute d’objets ou d’ascenseurs le long des conduits techniques, provoqués par les incendies des étages supérieurs »

      Totalement stupide. Cela aurait provoqué un effondrement progressif et partiel, jamais cela n’aurait pu entraîner un affaissement vertical parfait en 6,5 secondes, réunissant bien proprement les débris dans les fondations sans abîmer les immeubles voisins, comme dans toute bonne démolition contrôlée. Regardez bien la photo ci-dessous :

      http://a248.ac-images.myspacecdn.com/images01/113/l_874ad7a5943c150a2499219cde1e9ccf. jpg

      Vous remarquez deux choses :
      - Les 2 bâtiments attenant au WTC sont intacts.
      - Les bâtiments 4, 5 et 6, situés eux directement sous les tours, bien qu’éventrés ou pratiquement détruits, ne se sont pas effondrés. Pourquoi ? Tous les bâtiments du WTC étaient des immeubles à structure métallique : aucune chance qu’une structure métallique disparaître intégralement sans qu’elle soit sapé à sa base.

      Seuls 3 bâtiments à structure métallique se sont effondrés de la sorte dans toute l’histoire de la contruction, et tous les trois le 11 septembre 2001 à Manhattan... smiley


  • charmord 7 septembre 2007 13:46

    Petite correction : La théorie officielle ne dit pas qu’il n’y a pas eu de résistance mais que celle-ci a été faible, voire négligeable.

    Je ne sais pas si cela implique des corrections à la démonstration de cet article mais il vaut^mieux être parfaitement rigoureux, je pense...


    • bobbygre bobbygre 7 septembre 2007 14:25

      Oui, tu as raison. Et si j’avais tenu compte d’une resistance meme moindre, cela n’aurait été que plus accablant pour la théorie officielle car la durée de chute n’aurait pu s’en trouver que rallongée.


  • Lambert85 Lambert85 7 septembre 2007 13:52

    l’avatar de veda lui va bien : on n’a jamais dit que l’acier avait fondu !


    • charmord 7 septembre 2007 13:55

      Lambert,

      Dans le genre, tu te défends pas mal...

      Tpon affirmation basée sur une vidéo que l’effondrement des tours aurait duré 15 secondes, c’est du sérieux, à n’en point douter !


    • veda veda 7 septembre 2007 14:01

      Cela signifie simplement que la température n’aurait pas été suffisante pour que la fragilisation des structures métalliques provoque l’écroulement


    • quen_tin 7 septembre 2007 15:08

      Effectivement, sur la vidéo, on voit clairement un débris tomber plus vite que la tour !!!

      Comme quoi c’est bien beau un raisonnement dans le vide... C’est ce qu’on appelle de la masturbation conspirationniste. Mais ça vient d’où cette volonté de s’imaginer des trucs dingues comme ça ? L’attitude scientifique juste, ce n’est pas partir d’une conclusion hypothétique et tout faire pour la démontrer. Pas du tout. C’est partir de la réalité.

      Il y a franchement trop de gens sur agoravox qui croient ce qu’ils voudraient vrai, qui pensent avoir la science infuse et pouvoir découvrir de monstruseuses théories et refaire le monde sans sortir de leur appartement (ni trop étudier non plus). On a tous tendance à croire vrai ce que l’on voudrait vrai, ce que l’on imagine vrai, et moi le premier mais c’est une discipline que de lutter contre cette tendance naturelle et je vous invite tous à l’adopter.

      Alors tant que personne n’aura entendu georges bush en personne dire « oui effectivement c’etait un complot », je vous propose de ne pas trop vous poser de question sur ce qui est hors de votre portée. De ne pas vous prendre pour des physiciens en étudaint un phénomène énormément plus complexe que ce que vous imaginez (l’éffondrement d’une tour) avec des formules de lycéeen.

      C’est l’exces d’informations qui vous tue... Je vous propose à tous d’aller prendre l’air, de respirer un bon coup dans la nature.


    • quen_tin 7 septembre 2007 15:14

      A quoi bon contredire franchement ? C’est s’user pour rien.

      voir mon commentaire plus haut... http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=28488&id_forum=1495317&var_mode=recalcul#commentaire1495317


    • bobbygre bobbygre 7 septembre 2007 15:19

      Que des dechets tombent plus vite que la vitesse de la chute libre ne fait que renforcer l’hypothèse des explosifs puisque cela veut dire qu’ils ont été propulsés.

      Je rappelle que pour affirmer que la vitesse de la tour est en chute libre, je me base simplement sur la loi physique correspondante : temps de chute = racine carré de (2*altitude/gravité) Je ne me base pas sur la chute des débris alentour.

      Et je le repete, le rapport officiel, se basant sur des relevés sismiques admet une durée de chute d’une dizaine de secondes.


    • El Fredo El Fredo 7 septembre 2007 15:20

      @quen_tin

      100% d’accord. Je vois que la majorité des commentateurs et des lecteurs sont acquis à la théorie du complot (mais laquelle ???), à en juger par les notes que reçoivent mes commentaires mes mieux argumentées (par exemple celui sur la dissipation de l’énergie thermique). Je crois qu’ici on touche au domaine de la foi et du religieux. Le Complot est Grand, et Thierry Meyssan est son prophète. Inutile d’argumenter plus longtemps, je retourne à mes occupations.


    • El Fredo El Fredo 7 septembre 2007 15:23

      @bobbygre

      Les déchets ont effectivement été propulsés, mais horizontalement. Leur mouvement vertical est le seul effet de la gravité. Vous venez de discréditer complètement votre argumentaire. Révisez vos cours de physique.


    • Lambert85 Lambert85 7 septembre 2007 15:25

      Haha les débris tombent plus vite que la chute libre, bel exercice de rattrapage en vol mon clown... smiley


    • bobbygre bobbygre 7 septembre 2007 17:07

      En cas d’explosions, les débris sont envoyés dans toutes les directions ; vers le bas, vers le haut, horizontalement, dans toutes les directions. Je ne vois pas pourquoi une explosion ne devrait envoyer les débris qu’horizontalement ? smiley


    • bobbygre bobbygre 7 septembre 2007 17:08

      Et bien, oui, si une force leur a procuré une accéleration supplémentaire (comme la force d’une explosion), ils tomberont plus vite que la chute libre.


    • Romain de Pescara 7 septembre 2007 19:11

      J’ai un rosier qui est mort dans mon jardin. Alors Al Quaïda ou Bush ??? j’enquête........


    • Dégueuloir Dégueuloir 7 septembre 2007 21:25

      il ne s’agit pas d’un rosier cher ami,mais de 3500 sacrifiés sur l’hôtel de la connerie et de la haine, quoiqu’il en soit des vrais responsables.... smiley


    • Halman Halman 8 septembre 2007 11:34

      Ca va leur faire plaisir aux victimes de se faire appeler déchets.

      « Leur seule vitesse verticale est due à la gravité ».

      Ah ? Et sinon à quoi d’autre serait elle due ? J’ai beau être pilote et astronome amateur, je cherche une Xème loi de la physique hypotétique qui pourrait expliquer un mouvement de chute.


    • Halman Halman 8 septembre 2007 11:39

      Mais elle l’a été quand même sinon les tours ne se serait pas éfondrée.

      C’est très curieux ces forumeux qui essaient de trouver des explications physiques pour prouver que quelque chose qu’on a tous vu ne s’est pas passé comme on veut nous le faire croire qu’on a pas bien vu...

      Ils sont peut être au courant de lois de la physique que même les physiciens ignorent.

      60% des forumeurs qui sont convaincus que l’effondrement des tours est un complot et pas forcément du aux chocs des avions, et si dans les avions il y avait eu des mini trous noirs dont on nous aurait caché l’existence, genre zone 51 tant qu’on y est.

      Je comprend mieux le succès du créationisme et des sectes religieuses en France au vu de ce fil de discussion.


    • Dominique Larchey-Wendling 8 septembre 2007 11:49

      @ Halman,

      La question porte sur la durée de la chute et sur son caractère symétrique.

      Si l’impact avait été suffisant pour provoquer la rupture de la structure métallique, on aurait du observer dans des délais brefs un basculement de la partie supérieure laissant la partie inférieure debout. Evidemment, les dégâts sur le voisinage auraient été encore plus grands et les travaux post-attentats bien plus périlleux et couteux.

      Il existe d’autres éléments qui sont incohérents avec la VO. Acier en fusion des semaines après le 11/9, explosion préalables, pulvérisation du béton ...


    • Halman Halman 8 septembre 2007 12:02

      J’ai beau visionner des vidéos des éffondrements des tours, y voir des explosions autres que celles des avions, en particulier dans les étages inférieurs, provoquant la chute des étages supérieurs, il faut vraiment avoir fumé des choses hallucinogènes !


    • Halman Halman 8 septembre 2007 12:06

      Juste APRES le début des éffondrements, on voit bien au niveau des étages inférieurs de la partie qui s’éffondre, des flammes sortir des fenetres, mais forcément dues aux particules de produits chimiques inclues dans la construction des matériaux, qui s’enflamment sous l’effet de la chaleur, mais ce ne sont évidemment pas des explosions qui auraient causé la chute des derniers étages.

      Il suffit de regarder les vidéos.


    • El Fredo El Fredo 9 septembre 2007 00:44

      @Michel Maugis

      Je m’étais juré de ne plus poster de commentaires sur cet article, mais les attaques que vous me portez me poussent à réagir.

      Mais quelle est cette obsession qui vous pousse à prétendre que les non partisans de l’hypothèse de la démolition contrôlée seraient pro-Bush donc de droite ? Je suppose que vous êtes de gauche, ce qui prouve bien que la stupidité n’a pas de camp (ni la science d’ailleurs).

      Séparons bien les deux hypothèses que sont l’implication du gouvernement US dans les événements, et celle de la démolition contrôlée. Selon vous, réfuter la seconde implique de réfuter également la première, ce qui dans votre logique binaire me range immédiatement dans le camp des pro-Bush, et donc de la droite. Triste ironie de vous voir utiliser la même réthorique simpliste que celui que vous prétendez combattre.

      Alors pour vous faire plaisir : oui je crois à l’implication de l’équipe Bush dans les événements, ne serait-ce au minimum que par simple incompétence crasse, plus probablement un laisser faire qui ferait d’eux les complices objectifs de ces attentats. Les documents du Project for a New American Century laissent peu de place au doute, et les odeurs de pétrole sont trop forte.

      Pour autant la thèse de la démolition contrôlée ne tient debout ni scientifiquement ni politiquement. Politiquement, l’écroulement des tours était inutile car les attentats étaient déjà bien assez spectaculaires et symboliques pour prendre le risque d’une telle opération, au coût logistique faramineux. Même sans effondrement, le 11 septembre aurait quand même été la plus grosse opération terroriste de l’Histoire, tant du point de vue logistique que du coût humain (256 morts rien que dans les avions, plus les morts du Pentagone et du WTC). L’équipe Bush aurait eu le champ libre de toute façon pour envahir l’Afghanistan et l’Irak.

      Enfin scientifiquement, car aucun indice sérieux ne vient corroborer l’hypothèse de la démolition contrôlée. Je parle bien d’hypothèse et non de théorie, si vous avez une formation scientifique vous devez connaître la différence. Un scientifique digne de ce nom doit également connaître le principe du rasoir d’Occam. Autrement dit, si on élabore plusieurs théorie à partir de l’observation d’un phénomène, celle présentant le plus petit nombre d’hypothèses est la plus probable. Les études effectuées après le 11 septembre prouvent que l’écroulement des tours était probable sans recourir à des explosifs, leur usage constitue donc une hypothèse supplémentaire invérifiable et donc toute théorie faisant appel à cette hypothèse est de probabilité inférieure. Inutile de recourir à un Deus Ex Machina si la théorie développée donne un résultat conforme à l’observation.

      Pour en revenir à votre remarque sur les débris :

      « l’hypothèse que les débris spient tombés plus rapidement que la chute libre parce qu’ils ont reçu une accélération de départ avec une composante verticale dirigée vers le bas, confirmerait l’utilisation d’explosif »

      Si vous avez étudié la physique, vous devriez savoir que cette phrase n’a aucun sens : les débris ne « reçoivent » pas « une accélération de départ » car l’accélération est due à l’application d’une force au cours du temps. Je suppose que vous voulez parler d’impulsion, ce qui revient à l’application d’une force verticale un court instant (ce qui donne une accélération assez faible). Or si l’hypothèse de l’usage d’explosifs est correcte, alors la composante principale de l’explosion est bien horizontale : les explosifs étant situés au centre de la tour, les débris sont « canalisés » horizontalement par le sol et le plafond, du centre jusqu’aux fenêtres, ce qu’on observe très bien sur les vidéos sous forme de panaches d’éjectats, clairement horizontaux. L’explosion crée à chaque étage un front d’onde cylindrique d’axe vertical centré sur l’explosif (et non sphérique car le sol et le plafond constituent ce qu’on appelle un guide d’onde). De même en l’absence d’explosifs : l’effondrement du plafond expulse l’air et les débris horizontalement. C’est assez facile à vérifier expérimentalement si vous avez des doutes. Donc la force appliquée aux éjectats est bien horizontale ce qui confirme ce que je disais :

      « Les déchets ont effectivement été propulsés, mais horizontalement. Leur mouvement vertical est le seul effet de la gravité »

      Concernant les métaux, j’affirmais :

      « De plus la flexion augmente considérablement la température du métal »

      Ce que vous mettez immédiatement en doute :

      "La flexion ferait donc augmenter la température du métal au point qu’il rougisse et fonde !

      Vite, donnez moi une explication physique !"

      Replaçons dans le contexte : je pars du principe que les métaux sont déja chauffé à forte température. A partir de là, un travail mécanique fait fortement augmenter la chaleur, tous les métallurgistes savent cela. Pourquoi croyez-vous que les ateliers de métallurgie utilisent de grandes quantités de lubrifiant lors du travail du métal ? Pour le refroidissement. Si vous avez accès à une presse hydraulique, placez-y une barre de métal et pliez-là, vous constaterez une augmentation de sa température.

      Petite digression : pourquoi tous les modèles « amateurs » qui traînent ci et là sur le Net négligent toujours les effets thermiques, comme la dilatation ? Saviez-vous que la chaleur avait entraîné la déformation des planchers, qui eux-mêmes ont fléchi la structure externe, déjà fortement endommagée, entraînant à leur tour un affaiblissement de sa résistance, et donc un transfert de masse sur les poutres internes ? Je vous laisse faire votre propre recherche sur le Net, c’est assez facile à trouver.

      Pourquoi personne ne mentionne jamais les marges d’erreurs des mesures effectuées ? C’est pourtant le B-A-BA de l’expérimentation. 0.5s sur un temps de chute de 10s, c’est énorme et ça change tout.

      Pourquoi ne pas mentionner les facteurs humains, comme les erreurs de mesure ou de transcription, voire même l’incompétence, dans la critique de telle ou telle étude ? Critiquer la version officielle ne valide pas les versions alternatives.

      Pourquoi toujours comparer l’écroulement des tours avec des démolitions contrôlées, alors que le cas du WTC est unique et constitue la seule observation effectuée à ce jour, et qu’elle fait donc foi dans l’élaboration des modèles ?

      Moi qui ai suivi de longues études scientifiques, je suis atterré de l’absence totale de culture scientifique réelle des experts auto-proclamés qui rodent sur ce forum. De plus de nombreux phénomènes scientifiques défient l’intuition et le bon sens commun. Essayez par exemple de reproduire ces petites expériences (en y associant vos enfants qui ne manqueront pas de s’émerveiller) :

      - Un cube de glace fond-il plus vite plongé dans de l’eau bouillante, ou sous l’eau du robinet ? (réponse : sous l’eau du robinet)
      - Plongez un thermomètre dans de l’eau très froide, attendez un peu, puis retirez-le. Que se passe-t-il et pourquoi ? (réponse : la température diminue encore, car l’évaporation de l’eau absorbe la chaleur du thermomètre)
      - Soufflez entre deux feuilles de papier légèrement rapprochées. Les feuilles vont-t-elle s’écarter ou se rapprocher ? (réponse : elles se rapprochent car la pression entre les 2 feuilles diminue alors que la vitesse augmente, c’est l’effet Venturi, célèbre phénomène anti-intuitif)

      Pour conclure, je tiens à vous affirmer que je suis de gauche et fier de l’être, mais certainement pas de la même gauche que vous, qui utilise le qualificatif de « droite » comme une insulte, et qui se livre à des attaques ad hominem et des raccourcis inacceptables. Et je combat Bush, Berlusconi, Sarkozy et les frères Kaczyński avec la même force.

      Je vous prierais désormais de cesser de m’insulter. Ceci est mon dernier message sur ce sujet, libre à vous d’y répondre mais n’espérez pas de suite quelconque, car je déteste l’obtuserie.

      Je ne vous salue pas.

      (pour les autres : désolé de ce message fleuve, mais j’aime quand certaines choses sont mises au clair)


  • docdory docdory 7 septembre 2007 13:53

    @ Bobbygre

    Splendide théorie qui n’est contredite que par les faits . Avant le 11/9/2001 , on ne savait pas quel était le comportement de ce genre de tours percutées par un avion , maintenant , on le sait , c’est ce que l’on appelle une constatation empirique !

    Le seul moyen de contredire les conspirationnistes comme vous serait de reconstruire une tour du même modèle , d’y mettre la même quantité de papiers , chaises , bureaux et autres combustibles que dans le WTC , et d’y projeter au même endroit et à la même vitesse un avion du même modèle plein de kérosène . Le résultat serait exactement le même , mais ça serait payer cher une expérience de confirmation ...

    Par ailleurs , votre hypothèse d’explosifs ne tient pas debout : en effet , si ils avaient explosé simultanément , on aurait vu des explosions aux étages inférieurs avant que les tours ne tombent dessus . Si on avait voulu « synchroniser » ces hypothétiques explosifs de façon qu’ils explosent de haut en bas avec une progression simulant l’accélération de la pesanteur , il aurait fallu un montage électrique pour le moins complexe et des explosifs à chaque étage , voire à chaque pilier vertical , pour obtenir ce résultat sans bug visible : Un tout petit décalge dans le temps , et on aurait vu les explosions se propager plus vite que la chute de la tour !!!


    • charmord 7 septembre 2007 14:03

      On peut penser à ceci aussi :

      Principe d’effondrement des deux tours : en sectionnant la colonne interne à sa base par des explosions au sous sol, la totalité du poids de la colonne se trouvait reportée sur le toit de la tour dont les pans étaient en appui sur la grille périphérique (la structure métallique en façade). La rupture finale se produit au niveau des faiblesses de cette grille provoquées par le crash et le sructure interne n’offre plus de résistance à partir de la rupture...

      Théorie intéressante développée par un certain André


    • FreeManu 7 septembre 2007 14:07

      @docdory

      C’est bien ça qui est fatiguant avec les partisans de la version officielle : ils ont un avis, mais n’ont jamais poussé la curiosité à consulter les arguments de ceux qui contestent cette version officielle...

      Petite précision : regardez les vidéos disponibles, il y a bien des « traces » d’explosion aux étage inférieurs lors de la chute ; d’autre part, des pompiers ont signalé avoir entendu des explosions lors de la chute des tours (mais peut-être était-ce le mobilier de bureau qui explosait !...)

      Et, même en « oubliant » les 2 tours du WTC, quelle peut être l’explication pour la chute de la tour n° 7, qui, elle, n’a pas reçu d’avion dans le nez ?...

      Que vous croyez en la version officielle, c’est une chose, mais pensez-vous vraiment que ce serait une perte de temps d’aller consulter les arguments des « tenants du complot » ?...


    • charmord 7 septembre 2007 14:15

      Dans la suite de mon message précédent, je ne pense pas mieux faire que de citer l’intégralité de l’argumentation d’André qui me paraît intéressante :

      Deux théories s’opposent aujourd’hui, la première faisant l’hypothèse d’un effondrement “naturel” dû au seul impact de l’avion, la seconde faisant l’hypothèse d’un effondrement “assisté”. La toute première remarque que nous pourrions faire est que si l’effondrement a été provoqué par un emploi supplémentaire d’explosif, l’apparence générale de l’effondrement reste celle d’un effondrement naturel (rupture des édifices au niveau du point d’impact des avions). Nous réhabiliterons aussi partiellement le film EYEWITNESS pour ces judicieuses observations de fumées au sol qui apparaissent quelques secondes avant que les tours ne s’effondre, ainsi que pour la bande son qui met en évidence des explosions de forte puissance (ce dont de multiples personnes, y compris des pompiers, avaient déjà pu témoigner). Il va de soi, que ces éléments à charge (bande sonore, fumées apparentes, témoignages) ne peuvent être arbitrairement écarté au prétexte qu’ils ne collent pas avec la version officielle des faits (ou au prétexte qu’ils conduisent à des scénarios abérrants...), néanmoins, nous n’écarterons pas non plus la version officielle des faits au prétexte qu’elle ne colle pas avec une version conspirationiste des faits.

      L’analyse qui suit aura eu pour point d’entrée la question suivante : en quoi des explosions au sol auraient pu être utiles, puisque de toute façon l’effondrement s’est déroulé de manière bien visible à plus de 300 mètres du sol (les tours faisaient 415 et 417 mètres) ?

      Pour schématiser l’architecture des tours du WTC, nous pourrions dire que celles-ci étaient constituées d’une colonne interne très solide se terminant au sommet par un toit plat très large dont les pans venaient s’appuyer un grillage périphérique. Ainsi la structure que l’on voit de l’extérieur était porteuse (pour moitié) des planchers de chaque étage, mais restait également souple et flottante de manière indépendante des planchers. Le journal la recherche d’avril 2006 nous dit plus précisément : “Reliant le coeur et la façade, les planchers étaient constitués d’une charpente métallique recouverte de béton. Un système d’amortisseur permettait de réduire l’inconfort provoqué par l’oscillation naturelle d’un immeuble de grande taille. Enfin, des armatures métalliques coiffaient chacune des deux tours. Elles avaient été construite pour supporter deux antennes hautes d’une centaine de mètres, mais elles connectaient aussi le coeur des tours à leurs façades. Une redistribution des charges était ainsi assurée, et nous verrons le rôle que cette configuration joua dans l’effondrement des tours.”

      Dans le scénario officiel décrit par le journal la recherche, reprenant l’étude du NIST (ttp ://wtc.nist.gov), la colonne interne se serait “tassée” sous l’effet de la chaleur au niveau des points d’impact des avions, si bien que le poids des étages supérieurs auraient finis par peser sur la structure externe, qui à son tour aurait cédé. Le journal la recherche dit exactement : “Redistribution des charges : les évènements se sont déroulés de la façon suivante. Par les connexions de l’armature du toit, l’affaiblissement des colonnes du coeur a entraîné la redistribution des charges vers les colonnes périphériques. Cela eut pour conséquence d’accroître le fléchissement des façades. A un moment donné, ces colonnes sont devenues incapables de supporter la charge de la partie supérieure. Et à mesure que cette dernière a basculé, ni le coeur ni les façades ne soutenaient plus aucune charge. L’énergie libérée par le mouvement de la partie supérieure était alors telle que même la partie inférieure, intacte, n’a pu résister.”

      Ce scénario est plausible. Il l’est d’autant plus que WTC1 a mis deux fois plus de temps à s’effondrer que WTC2. Le journal évoque l’idée du point d’impact des avions plus excentrés et donc plus “fragilisant” sur le WTC2, en oubliant de mentionner la hauteur d’impact qui était plus grande sur le WTC1 que sur le WTC2. Plus bas sur le WTC2 la structure affaiblie avait une charge bien plus importante à tenir !

      A contrario, deux éléments permettent de contredire cette version des faits. Le premier concerne, la question de la fragilisation de la colonne centrale, qui après échauffement se serait tassée. Une colonne en acier bien isolée n’atteint les 300°C que quarante cinq minutes après le départ de l’incendie (réalisé en test). A supposer que l’isolement ait été endommagé par le crash... (scénario possible ???), la température atteint 500°C dans le même laps de temps. La recherche écrit alors : “A 500°C, les colonnes du coeur du WTC commencent à se racourcir dans un processus appelé “fluage”, qui entraîne leur fléchissement”. En oubliant de préciser qu’il faut aussi que cela se passe sur les 40 colonnes d’acier que compte le coeur, et que toutes aient perdu leur protection ignifuge. (Probabilité du scénario en 56 minutes ???). Ce qu’il faut voir ici, c’est que même prises au milieu d’un incendie, les barres d’acier ne sont pas comme celles que l’on plongerait dans des braises de charbon de bois. Le journal la recherche ne donne pas non plus le diamètre de ces colonnes, qui somme toute devait être assez conséquent pour un édifice de cette taille, pas plus qu’il ne montre de photo d’une colonne d’acier provenant du WTC présentant des indices flagrants de fluage... drôle d’expertise n’est-ce pas ? M’est avis qu’on ne retrouvera jamais de telles preuves dans les débris du WTC.

      Le second élément est bien plus clair. Il n’aura échappé à personne (j’espère) que la phrase du journal la recherche : “L’énergie libérée par le mouvement de la partie supérieure était alors telle que même la partie inférieure, intacte, n’a pu résister” est une contrevérité pure, pour ne pas dire un mensonge, puisque les images le prouvent, la partie inférieure a commencé à s’effondrer AVANT que la partie supérieure n’esquisse le moindre mouvement. Elle n’était donc plus intacte !. (revoir les images du film EYEWITNESS).

      C’est ici, qu’il faut bien se rendre à l’évidence, la théorie du “fluage”, ne colle pas avec un effondrement des étages inférieurs à la zone en feu, qui dure deux ou trois secondes, avant que le sommet ne vascille. Comment en effet expliquer que si la colonne se tasse au niveau de la zone d’incendie, cela puisse avoir des “effets antérieurs” d’effondrement aux étages inférieurs. C’est tout simplement IMPOSSIBLE. Même un film de fumistes comme EYEWITNESS n’a pas tenté pareil démonstration, et c’est pas peu dire ! La théorie de ce film, rappelons le ici est celle d’une série d’explosions “en cascade”... qui présente l’avantage d’être très conspirationiste, à défaut d’être vraiment réaliste.

      Nous en arrivons donc maintenant à l’évaluation des autres hypothèses. Les experts n’ayant pas trouvé mieux comme hypothèse “naturelle” que ce que nous venons de voir, nous leur laisserons le soin d’étudier d’autres hypothèses naturelles qui pourront coller aux observations ci-dessus mentionnées, pour nous interesser directement aux hypothèses “non naturelles” qui aussi ont l’avantage de coller aux différents témoignages que l’on peut réunir sur le sujet.

      Reprenons donc la question : en quoi des explosions au sol auraient pu être utiles, puisque de toute façon l’effondrement s’est déroulé de manière bien visible à plus de 300 mètres du sol ? Et rappelons la donnée architecturale de base : les tours étaient constituées d’une colonne interne très solide se terminant au sommet par un toit plat très large dont les pans venaient s’appuyer un grillage périphérique.

      La solution coule de source : en sectionnant la colonne interne à sa base par des explosions au sous sol, la totalité du poids de la colonne se trouvait reportée sur le toit de la tour dont les pans étaient en appui sur la grille phériphérique. La rupture finale se produit au niveau des faiblesses de cette grille provoquées par le crash.

      En détaillant un peu plus, tout se passe comme si la colonne interne était un immeuble à lui-seul. En sectionnant cet immeuble à sa base, on procède bien à un effondrement contrôlé comme cela se pratique habituellement. Or il se trouve que cet immeuble est en appui par son toit (redistribution des charges) sur un autre immeuble creux et périphérique (la grille de façade). La volonté d’effondrement du premier immeuble, entraîne nécessairement la fracture du second au niveau de sa faiblesse. Ainsi l’illusion est parfaite. On a l’impression que la tour se fracture à l’endroit du crash, alors qu’en réalité la véritable fracture se situe en sous-sol, et “l’effondrement par le bas” attendu comme dans tous les effondrements contrôlés reste totalement invisible vu de l’extérieur ! Diabolique, non ?

      Tous les éléments architecturaux étaient réunis pour créer un effondrement absolument bluffant et spectaculaire ! En vérité nous avons assisté à un tour de magie...

      Un tel tour de magie présentait cependant des risques. Le premier était que que le toit cède et parte “en entonnoir” à l’intérieur de la grille (le tour de magie aurait alors complètement foiré, il y aurait eu un effondrement intérieur suivi d’un éclatement de la grille extérieure à une hauteur médiane de la tour). Voilà sans doute pourquoi, les hélicoptères étaient si préoccupés par ce toit... (cf. le film EYEWITNESS)

      L’autre risque était que la colonne intérieure, sectionnée à sa base, se rompe au deux tiers de sa hauteur sous l’effet de son propre poids et des planchers qui s’appuyaient sur elle. C’est “malheureusement” ce qui s’est sans doute passé : une rupture de cette colonne au niveau de la zone d’incendie à entrainé la chute en cascade sur plusieurs étages (une bonne dizaine au moins) de tous les planchers entrainés par la perte de l’appui que leur procurait la colonne. Cela a duré en tout et pour tout 2,5 à 3 secondes, avant que “heureusement” la structure externe ne vascille à son tour. Voilà comment s’explique la “cascade d’explosions” (cf. le film EYEWITNESS) située sous la zone d’incendie, juste avant que le sommet de la tour ne bouge. Une partie de “l’immeuble interne” était tout simplement en train de commencer à s’effondrer de manière interne.

      Il est à noter que la rupture au niveau de la zone d’incendie ne s’est sans doute pas faite en même temps sur les 40 colonnes d’acier. Par ailleurs, toute la structure de cette colonne centrale avait été conçu pour travailler en compression. En sectionnant la colonne à sa base, cette colonne commençait à travailler en étirement... Enfin, on peut supposer, vu le nombre d’explosions enregistrées (cf. le film), que le sectionnement à la base s’est fait petit à petit, afin de provoquer la rupture sur l’autre partie déjà endommagée de l’immeuble (comme cela se pratique pour provoquer une rupture sur le maillon faible d’une chaîne). Bref, cette analyse pourra encore être affinée, et je laisse aux experts le soin de le faire, si ce n’est déjà fait, ou d’y trouver des failles, ce qui est encore possible.

      Quant au “tour de magie”, ça ne s’est pas exactement passé comme prévu, mais presque... Il faudrait vraiment être tatillon pour émettre quelques critiques sur la qualité du travail effectué ce jour là... Rappelons seulement que ce travail à coûté la vie à 2800 personnes, et qu’il est à l’origine du déclenchement d’une guerre dimensionnée pour durer 30 ans (dixit Cheney).


    • Bobby Bobby 7 septembre 2007 14:42

      Bonjour,

      Vous très mal informé ! Ces exposions sont visibles sur la plupart des vidéos disponibles... la découpe des piliers du « core » effectuée selon l’angle exact des spécialistes de la démolition est parfaitement visible à « ground zéro »...

      Les preuves de la totale désinformation que le gouvernement us a opéré à cette occasion font foison !...

      Croire ou vouloir faire croire que la version officiele tient debout est un mensonge de plus tout simplement.


    • slimou 7 septembre 2007 15:33

      charmord, c’est certainement la meilleure synthèse que j’ai lu jusqu’à présent sur le sujet. elle explique les explosions en sous sols (film et témoignages), elle rend inutile l’usage d’explosifs à chaque niveau (très discutable à la vue des films), les piliers de fondations sectionnés net à 45%, et elle décrit parfaitement le comportement de la première tour qui s’est effondré. vraiment très intéressant.


    • Lambert85 Lambert85 7 septembre 2007 15:48

      Si c’est une explosion au sous-sol qui a détruit les piliers porteurs, pourquoi s’effondrent-elles par le haut ? La soi-disante « chute libre » n’a plus d’importance alors ? Vous pourriez rester cohérents dans vos délires svp ! smiley Au fait on a retrouvé des survivants dans les décombres, non ?


    • charmord 7 septembre 2007 15:52

      Toi, on voit que tu n’as pas lu le thèse dudit André ? Cela explique parfaitement tes troubles...


    • Lambert85 Lambert85 7 septembre 2007 15:53

      Post scriptum, des explosifs auraient coupé l’acier proprement à 45° ? Ah ben non, c’est le thermite. Oui mais le thermite n’explose pas, ah mais ils ont utilisé les deux alors ? Les soi-disantes explosions décrites ont eu lieu au moment de l’impact des avions bien avant l’effondrement, c’est étrange non ? smiley


    • bobbygre bobbygre 7 septembre 2007 16:55

      Précisément, ces explosions « mal reglées » (désynchronisées) appelées « cheminées de tir » dans le jargon des démolisseurs sont parfaitement observables. Il y en a de trés belles plusieurs dizaines d’étages avant le « front de chute ».


  • tmd 7 septembre 2007 14:01

    Mais continuez donc votre calcul ...

    v² / v1² = m1/(m1+m2)

    Si on considère qu’au début de la chute, m1 compte 20 étages, m2 en compte 1 seul par définition. On peut donc considérer que m1 = 20 x m2. Ainsi si m est la masse d’un étage (non nulle) :

    v² / v1² = 20 * m / (20 * m + m) v² / v1² = 20 / 21 = 0.95

    D’où v = 0.97 * v1. Votre inéquation était bien vue, v < v1.

    Mais la différence est vraiment faible vous l’avouerez. De plus, elle va en s’amenuisant puisqu’à chaque étage, on rajoute m à m1. Ainsi avec m1 = 50, on a v = 0.99 * v1.

    En fait, c’est ce léger ralentissement qui doit faire que les tours s’effondrent en 10,5 secondes au lieu des 9,2 secondes théoriques.

    —  « Ne cherchez pas la malhonêteté quand tout s’explique par l’incompétence. »


    • docdory docdory 7 septembre 2007 16:24

      @ TMD excellent commentaire . Cette fois , l’auteur est échec et mat !


    • bobbygre bobbygre 7 septembre 2007 16:31

      Cet argument est trés juste et j’admets qu’il manque une partie à ma démonstration. Comme vous le dites, il est encore nécessaire de déterminer l’ordre de grandeur de ce ralentissement. Dommage que vous ne l’ayez pas fait, vous vous seriez alors rendu compte que l’effet n’est ABSOLUMENT PAS NEGLIGEABLE.

      Je vous propose de le calculer sur les 5 premiers étages.

      La tour s’est effondrée à partir du 94ème étage ; les tours en comprenaient 110 et le dernier étage se trouvait à 413 mètres ; on assumera que les étages se trouvaient donc espacés d’environ 3m75 et que la vitesse initiale de l’effondrement est de 0.

      Je ne détaillerai pâs les calculs mais n’hesitez pas à les faire si vous en avez la possibilité (j’ai arrondi à trois décimales derrière la virgule) :
      - la tour arrive au contact du 93ème étage à la vitesse de v=rc de ( 2*g*z) = 8,577 m/sec elle repart à la vitesse de 8,321 m/sec
      - la tour arrive au contact du 92ème étage à la vitesse de 11,950 m/sec elle repart à la vitesse de 11,613 m/sec i.e. 6,874m
      - la tour arrive au contact du 91ème étage à la vitesse de 14,437 m/sec elle repart à la vitesse de 14,052 m/sec i.e. 10,064
      - la tour arrive au contact du 90ème étage à la vitesse de 16,463 m/sec elle repart à la vitesse de 16,046 m/sec i.e. 13,123
      - la tour arrive au contact du 89ème étage à la vitesse de 18,195 m/sec elle repart à la vitesse de 17,757 m/sec

      Si la tour n’avait pas eu à traverser d’étages et qu’il s’était agi d’une chute libre sur une hauteur de 5 étages, on aurait : v= 19,180 m/sec

      Il y a donc une difference de prés de 10% seulement au bout de 5 étages. Certes, le rapport (m1/m1+m2) est trés faible mais étant donné qu’il retarde la chute à chaque étage, on a cet effet démultipliant, propre aux calculs sur les séries ; au total, l’écart devient important comme le prouve les calculs.


    • Marco Marco 7 septembre 2007 17:41

      Concernant les temps de chute des tours, voici les observations du Prof. Stevens E. Jones, éminent physicien américain avec non nombreuses publications dans la revue scientifique Nature, dans un article traduit en français et intitulé « Réexaminer le 11/09/2001 en appliquant la méthode scientifique » (Notez bien le passage que j’ai mis en gras !) :

      « Le temps d’effondrement de la tour sud a été estimé à 10 secondes dans le Rapport de la Commission sur le 11/09 (page 322). Le temps de chute libre d’une brique jetée depuis le toit de la tour, à 417 mètres de hauteur (1368 pieds), serait de 9,2 secondes. Le rapport final du NIST évite tous les évènements qui surviennent après que la tour soit sur le “point de s’effondrer”, y compris le temps d’effondrement particulièrement court. En ignorant toutes les observations effectuées après que les Tours soient sur le “point de s’effondrer”, naturellement le NIST ne tient pas compte des preuves de métal fondu, des caractéristiques des effondrements qui ne sont pas décrites correctement par le mode de rupture supposé et de la plupart des preuves flagrantes contenues dans les débris, la poussière et les aérosols collectés dans les jours et les mois après les effondrements. Clairement, le NIST ignore une quantité considérable d’informations, ce n’est pas une bonne pratique de la science.

      Kevin Ryan, corédacteur du “Journal of 9/11 Studies”, a analysé la question : “Les incendies étaient-ils suffisants pour provoquer la rupture complète des colonnes centrales en acier des tours ?” Il démontre spécifiquement que le NIST a fait des hypothèses hasardeuses, voire dans certains cas scandaleuses qui contredisent les preuves physiques en arrivant à la conclusion que les tours étaient “sur le point de s’effondrer”. À ce propos, Kevin fut renvoyé de Underwriters Laboratories quand il a publiquement révélé que le NIST avait mandaté UL pour mener des expériences afin de tester l’acier. Des répliques d’assemblages des planchers du WTC furent soumises à des tests de résistance au feu pour voir ce qui se passerait. Lorsque Underwriters Laboratories a réalisé les tests, les assemblages n’ont pas cédé. Il y a eu une certaine déformation, Kevin Ryan note environ 8 centimètres (3 pouces) d’affaissement vertical, mais les assemblages des planchers n’ont pas cédé et n’ont certainement pas fondu !

      Ceci est un exemple de résultats expérimentaux qui contredisent le modèle du NIST basé sur l’incendie et les dégâts, un gros morceau de la théorie de la conspiration officielle. Le NIST utilise des modèles informatiques pour analyser la réaction au feu des tours du WTC, ce qui est très bien si cela est fait en accord avec les données et les lois de la physique. Cependant, le modèle néglige beaucoup de données. Dans la méthode scientifique, les données expérimentales représentent le fondement du modèle, et non l’inverse. Dans le cas présent, les expériences avec les assemblages de planchers du WTC n’ont pas eu pour résultat l’effondrement ou la rupture. Aussi le NIST, dans sa “boîte noire” informatique n’autorise pas seulement une déformation de 8 centimètres (3 pouces), basée sur les expériences, mais de plus de 100 cm (40 pouces) ! C’est une extrapolation considérable des données. Vous voyez à nouveau que le NIST s’éloigne d’une méthode scientifique rigoureuse.

      Les résultats de l’article de Gordon Ross sont particulièrement importants. La tour nord a été frappée aux alentours du 96ème étage et les dégâts se sont étendus sur quelques étages. Après l’impact, un bloc d’environ 14 étages reposait sur la zone affaiblie.

      Pour conceptualiser les arguments de Ross, considérons que nous soulevons le bloc de 14 étages de la hauteur d’un étage et que nous le lâchons sur la partie restante de la tour, environ 96 étages. Que se passe-t-il ?

      Nous allons répondre à cette question mais considérons d’abord que nous prenons le même bloc de 14 étages et que nous le lâchons dans le vide. Le temps de chute est facile à calculer et serait d’environ 9 ou 10 secondes. Maintenant lâchons le bloc de 14 étages sur la partie restante de la tour du WTC, soit 300 000 tonnes de béton et d’acier répartis sur plus de 90 étages (dont 47 énormes colonnes centrales et 240 colonnes extérieures). Cela représente une énorme quantité de matériaux sur son chemin.

      Par expérience nous savons que si en conduisant vous heurtez un obstacle fixe (comme une autre voiture), cela va vous ralentir, n’est-ce pas ? Ce ralentissement après la collision est dû à la conservation de la quantité de mouvement et de l’énergie. Maintenant, quel est le bloc qui va tomber le plus rapidement ? Celui qui tombe dans le vide ou celui qui tombe sur les 94 étages restants ? Évidemment, le bloc qui tombe dans le vide va tomber beaucoup plus vite !

      Lorsqu’on effectue des calculs, et c’est ce qu’a fait Ken Kuttler, la chute prend beaucoup plus de temps à cause de la conservation de la quantité de mouvement et de l’énergie. Les calculs de Ken donnent plus de 25 secondes pour l’effondrement complet de la Tour 1. C’est beaucoup plus long que la chute libre, et plus long que la destruction observée pour chaque tour. Si l’on ajoute dans ces calculs un facteur de sécurité raisonnable, Kuttler conclut alors que la tour 1 n’aurait pas du tout dû subir un effondrement total. Ce résultat corrobore les propos de Gordon Ross qui affirme que l’effondrement aurait dû S’ARRÊTER NET. Il y aura des dégâts, bien sûr, mais les poutres de soutien vont fléchir et absorberont l’énergie cinétique du bloc d’étages supérieur. En plus, vous avez du béton à briser et à pulvériser, ce qui enlève de l’énergie cinétique au système. Lorsqu’il examine la conservation de la quantité de mouvement et de l’énergie, il arrive à la conclusion que la destruction s’arrête et ne se poursuit pas jusqu’à l’effondrement total (c’est-à-dire sans utilisation d’explosifs).

      Pourquoi devrions-nous supposer que cette structure devrait simplement céder ? Toutes les colonnes et les matériaux en-dessous sont conçus pour tenir ; ces immeubles sont conçus pour supporter du poids et donc ça n’aurait pas pu s’effondrer du tout s’il n’y avait pas eu quelque chose qui avait affaibli la structure en-dessous, comme des explosifs. Et cela n’aurait certainement pas dû s’effondrer à la vitesse de la chute libre ou presque, sans que les matériaux soient évacués de la trajectoire. Dans une démolition contrôlée qui utilise des explosifs, les matériaux sont effectivement expulsés de la trajectoire avec pour conséquence des vitesses de chute des immeubles proches de la chute libre. Un regard critique sur ces données jette le doute sur la théorie officielle (celle du NIST) en faveur de l’hypothèse de la démolition contrôlée. »


    • Marco Marco 7 septembre 2007 17:44

      La mise en gras a disparu dans mon commentaire précédent. Le passage que je voulais souligner concernant le temps de chute est le suivant :

      « Lorsqu’on effectue des calculs, et c’est ce qu’a fait Ken Kuttler, la chute prend beaucoup plus de temps à cause de la conservation de la quantité de mouvement et de l’énergie. Les calculs de Ken donnent plus de 25 secondes pour l’effondrement complet de la Tour 1. C’est beaucoup plus long que la chute libre, et plus long que la destruction observée pour chaque tour. Si l’on ajoute dans ces calculs un facteur de sécurité raisonnable, Kuttler conclut alors que la tour 1 n’aurait pas du tout dû subir un effondrement total. Ce résultat corrobore les propos de Gordon Ross qui affirme que l’effondrement aurait dû S’ARRÊTER NET. Il y aura des dégâts, bien sûr, mais les poutres de soutien vont fléchir et absorberont l’énergie cinétique du bloc d’étages supérieur. En plus, vous avez du béton à briser et à pulvériser, ce qui enlève de l’énergie cinétique au système. Lorsqu’il examine la conservation de la quantité de mouvement et de l’énergie, il arrive à la conclusion que la destruction s’arrête et ne se poursuit pas jusqu’à l’effondrement total (c’est-à-dire sans utilisation d’explosifs). »


    • Dominique Larchey-Wendling 8 septembre 2007 09:51

      @ tmd

      « En fait, c’est ce léger ralentissement qui doit faire que les tours s’effondrent en 10,5 secondes au lieu des 9,2 secondes théoriques. »

      Oui vous avez raison, et j’ai même calculé ce ralentissement dans cette animation, qui suppose une épaisseur de 25cm pour les chapes de béton.

      - chute libre : 8,90s
      - WTC 1 : 9,03s
      - WTC 2 : 10,04s

      J’ai aussi un modèle avec une épaisseur de chape de 10cm qui donne des résultats un peu plus élevés.

      Alors ce modèle est-il pertinent pour démontrer l’impossibilité d’un effondrement sous le seul effet du poids ? Non mais c’est prometteur.

      Non, il n’est pas suffisant pour écarter définitivement l’hypothèse de l’effondrement gravitationnel.

      Mais, surtout dans le cas de WTC1, on approche « dangereusement » (pour la VO) de la durée de chute observée. En raffinant encore le modèle, par exemple en essayant de modéliser la pulvérisation ou alors la résistance structure en acier, on peut encore augmenter cette borne inférieure. Mais je vous accorde que les calculs deviennent nettement moins triviaux. Si vous vous sentez d’attaque ...


    • claude claude 8 septembre 2007 14:43

      bonjour doc et le chat,

      on approche du 11 septembre... donc, les « nouvelles théories » sur l’effondrement des tours vont surgir plus vite que leur ombre !

      on voudrait que l’effondrement des tours défie les lois de la physique traditionnelle. ouvrons donc la porte à l’imagination !... smiley

      je suggère une nouvelle hypothèse : les étages étaient pourvus de réacteurs (installés nuitamment et en toute discrétion les jours précédent l’impact) dont la poussée leur a permis de tomber plus vite que la vitesse de la gravitation... smiley smiley


    • docdory docdory 10 septembre 2007 11:49

      @ Claude

      Excellent . On pourrait envisager ausssi l’utilisation d’un micro trou-noir mis au point secrètement à Roswell , après analyse de restes de soucoupes ...


    • Dominique Larchey-Wendling 12 septembre 2007 16:59

      Quelques précisions par rapport au modèle élémentaire dont j’ai discuté pour essayer de trouver une borne inférieur à la durée de chute. Je viens de découvrir l’article suivant du professeur Kuttler qui prend le même modèle que le mien et le raffine ensuite. Il appelle ce modèle « the floating floor model » (le modèle des planchers volants, c’est à dire qu’il ne considère que la résistance des planchers des étages et pas celle de la structure en acier) avec deux versions, la version « hard top » et la version « soft top ».

      C’est la version « soft top » qui correspond à mon modèle. Dans la version « hard top », la partie au dessus du point de rupture reste intact et chute d’un bloc. Dans la version « soft top », cette partie s’écrase petit à petit sur les étages inférieurs.

      Mais Kuttler ne se contente pas du modèle élémentaire. Il y intègre de plus en plus de paramètres comme la pulvérisation du béton (qui fait perdre de la masse à la partie en mouvement) puis l’énergie nécessaire à cette pulvérisation, etc.

      Il obtient plusieurs estimations du temps de chute suivant les éléments qu’il rajoute au fur et à mesure :

      Je rappelle le temps de chute pour WTC1 que j’obtiens dans mon modèle avec une épaisseur de chape de 10cm (4 pouces), qui est apparemment la valeur exacte. Pour WTC1, en négligeant tout sauf l’inertie des étages, on obtient un temps total d’effondrement de 10,26s (modèle « soft top »)

      1/ en intégrant la perte de masse due à la pulvérisation du béton, mais sans prendre en compte l’énergie nécessaire à cette pulvérisation, il obtient un temps total d’effondrement de 14,85s.

      2/ en prenant en compte l’énergie nécessaire à la pulvérisation en particules de 400 microns, le temps total passe à 20,2s.

      3/ en prenant en compte l’énergie nécessaire à la pulvérisation en particules de 100 microns, le temps total passe à 40,28s.

      4/ en intégrant un modèle de taille de particules variables, de plus en plus fines à mesure que l’énergie cinétique grandit, le temps total est de 21.8s pour une taille moyenne de particules de 360 microns.

      5/ même modèle avec une taille moyenne de 90 microns, temps total de 28.97s.

      Il y a encore d’autres modèles dans le papier qui intègrent la masse de la structure d’acier tout en négligeant sa résistance.

      On voit donc suivant ces modèles que le temps de chute réel de la tour WTC1 est très largement en dessous de résultats obtenus par ces modèles. Or ces modèles n’intègrent même pas tous les paramètres susceptibles de ralentir encore la chute, voir de la rendre impossible par manque d’énergie.

      D’après ces résultats, la durée du chute réelle observée est tout à fait incohérente avec un effondrement uniquement gravitationnel.

      Cette conclusion avait déjà été obtenue par Jim Hoffman à l’aide d’un simple bilan énergétique intégrant la pulvérisation du béton, qui est très gourmande en énergie.


    • Lambert85 Lambert85 13 septembre 2007 10:18

      Vos calcules théoriques sont très amusants come masturbation intellectuelle mais les faits sont là, la vitesse d’effondrement n’est pas influencée par les explosifs ! Le temps d’effondrement ne peut qu’être estimé au delà de 15 secondes en voyant les videos. Pourquoi parler de pulvérisation du béton ? De quel béton parlez-vous ? Les structures internes et externes étaient en acier, la tour pouvait se déformer fortement.


    • Dominique Larchey-Wendling 13 septembre 2007 18:35

      @Lambert85

      C’est exact, les structures internes étaient en partie en acier mais chaque étage était matérialisé par une chape de béton de 10cm d’épaisseur (ce n’est pas très épais, dans mon immeuble, c’est plutôt 25cm mais il n’y a que 20 étages). Par contre, c’est effectivement la structure en acier qui portait le maximum de charge, comme dans presque tous les grattes ciel. C’est d’autant plus étonnant d’affirmer ensuite qu’elle n’a offert aucune résistance ...

      Il y avait aussi du béton au niveau des cages d’ascenseurs, en plus du noyau central en acier. La structure est détaillée en partie dans l’article que je donne en référence.

      Si vous ne me croyez pas, vérifiez sur Wikipédia par exemple. Au passage, le nuage de poussière qu’on voit sur les vidéos, c’est quoi à votre avis ?

      L’estimation la plus grande que j’ai trouvée pour le temps de chute observé est de 15s mais ce n’est pas la valeur qui a été retenue par le rapport officiel de la commission Kean & Hamilton. Ils ont retenu « une valeur entre 10 et 12s » à partir de la vidéo et des mesures sismiques.

      De toutes façons, 15s c’est toujours bien trop faible par rapport aux grandeurs obtenus dans les modèles pré-cités.


    • Lambert85 Lambert85 17 septembre 2007 11:06

      Vous tronquez ce passage de la NIST : ils ont estimé qu’il a fallu entre 9 et 11 secondes pour que les premiers débris atteignent le sol ! Ce qui peut se voir sur les videos effectivement. Le reste de l’effondrement ne peut être qu’estimé. NIST estimated the elapsed times for the first exterior panels to strike the ground after the collapse initiated in each of the towers to be approximately 11 seconds for WTC 1 and approximately 9 seconds for WTC 2. These elapsed times were based on : (1) precise timing of the initiation of collapse from video evidence, and (2) ground motion (seismic) signals recorded at Palisades, N.Y., that also were precisely time-calibrated for wave transmission times from lower Manhattan (see NCSTAR 1-5A).


  • moebius 7 septembre 2007 14:02

    @l’auteur. Tout vos arguments ne peuvent que renforcer la conviction des « complotistes » Rien ni personne ne les fera changer d’avis. Vous etes, nous sommes la victime d’une conspiration machiavélique. Le monde est une totalité dans lequel le « mal » et la violence ont une origine et un sens absolu.


  • LE CHAT LE CHAT 7 septembre 2007 14:03

    et Darwin dans tout ça ? Si les tours ont pas résisté , c’est qu’elles n’ont pas su évoluer smiley


  • Moonz 7 septembre 2007 14:07

    Je veux pas me faire l’avocat du diable, mais sans même lire les calculs, deux hypothèses implicites me semblent fort criticables :

    - nous sommes en présence d’un système indéformable... haem smiley

    - les seules énergies en présence sont de nature mécanique... Les avions ont apportés de l’énergie thermique par la combustion du carburant, et cette théorie fait totalement fi du bilan d’énergie « chimique » non nulle provenant de l’énergie de liaison entre les molécules du bâtiment...


    • bobbygre bobbygre 7 septembre 2007 16:40

      Ces remarques sont exactes. Il n’est pas possible de prendre tous les paramètres en compte, tellement ils sont nombreux. Mais je me suis contenté d’eprouver la théorie officielle aux lois physiques de la conservation de l’énergie. C’est à dire, simplement en essayant de voir comment cette loi pouvait influer sur la durée de l’effondrement des tours. Lorsque j’ai du faire des choix de simplification, je l’ai toujours fait dans le sens de la version officielle (temps pour que les ancrages cedent égale à zéro et resistance de la structure nulle).

      1. Je ne vois pas en quoi, ni de quelle manière des déformations pourraient influer sur la loi de conservation de l’energie.

      2. Si tu veux dire que des explosions (qu’elles soient dus à la violence des incendies ou à des dispositifs explosifs) ont du accélerer la chute, c’est précisément ce que j’essaie de pointer ici. Nous n’avons pas eu affaire à un effondrement classique suite à un affaiblissement de la structure comme le prétend la VO. En aucun cas, la VO ne prétend que des explosions ont « assisté » la chute pour la bonne et simple raison qu’elles seraient, en réalité, inexplicables.


    • Moonz 10 septembre 2007 11:18

      Pour le point 2, j’ai toujours été un tel cancre en chimie que je n’essaierai même pas de dire dans quel sens et dans quel ordre de grandeur l’énergie chimique a influée.

      Pour le point 1 par contre, Ec = 0.5 . m . v^2 n’est valable que pour un solide indéformable ! Pareil, il me semble, pour l’énergie potentielle (mais je n’en mettrais pas ma main à couper). La loi de conservation de l’énergie est toujours vraie bien sûr, mais encore faut il calculer correctement l’énergie !


  • Chichile Chichile 7 septembre 2007 14:08

    Et qui peut à ce moment m’expliquer pourquoi, comme par hasard, la date américaine du 11 septembre, 911, est, comme de par hasard (je me répète), le numéro des urgences de New York ?

    Tout a été calculé !


    • Adama Adama 7 septembre 2007 14:14

      Non chichile le 11 septembre ; c’est le yohrzeit de ma grand-mère et c’est vrai encore, morte un 11 septembre, incroyable non ? parole de juif ashkénase !


    • Adama Adama 7 septembre 2007 18:23

      Non chichile le 11 septembre ; c’est le yohrzeit de ma grand-mère et c’est vrai encore, morte un 11 septembre, incroyable non ? parole de juif ashkénase !


    • Dégueuloir Dégueuloir 7 septembre 2007 21:38

      le problème avec les juifs(ashkénase ou pas !) c’est qu’ils voient des antisémites à tous les coins de rue,(on peut les pardonner au regard de leur passé martyre),autrement dit ,« si tu n’es pas avec moi,tu es contre moi »,ça me rappelle quelque chose......


    • Adama Adama 7 septembre 2007 14:17

      La métaphore du beurre et de l’aiguille, c’est pour nous faire rire, n’est-ce pas Rexus ? smiley


    • Julien Julien 7 septembre 2007 14:26

      Des cas similaires ??? Vous avez d’autres exemples de crash d’avion de ligne sur un building de 417 mètes vous ? Si c’est le cas, alors c’est sûr, on nous cache beaucoup de choses !


    • Lambert85 Lambert85 7 septembre 2007 14:38

      Un petit bombardier qui s’écrase contre un immeuble en béton n’a rien de comparable justement ! Les WTC étaient d’une conception unique, tout en acier. Votre logique pazysanne ne suffira pas...


    • Bobby Bobby 7 septembre 2007 14:48

      Bonjour,

      Oui, il y a des exemples ! les tours ont été construites précisément en prévision d’un tel crash ! car un bombardier américain s’était crashé sur l’empire state building en 45 !

      Et les tours ont donc été particulièrement étudiées pour reçevoir l’inpact d’un 757, le plus gros porteur à l’époque de leur conception !


    • Lambert85 Lambert85 7 septembre 2007 14:59

      Elles n’ont pas été « étudiées » pour ça, un rapport signale simplement qu’elles résisteraient à l’impact d’un 707 (pas 757 !) qui raterait son atterrisage. Les tours ont bien résisté à l’impact des 767 mais pas aux incendies qui ont suivi.


    • Bobby Bobby 7 septembre 2007 15:01

      Bonjour,

      J’ai réagi à deux commentaires vraiment « en dehors de la plaque » Tout constat sur les videos disponibles ne peut pour moi que remettre en question la théorie officielle qui n’est qu’un tissu de mensonges éhonté.

      Le véritable but de cette opération est pour moi un impact psychologique sur l’ensemble de la population mondiale, un nouveau « Pearl Harbour » pour justifier les interventions militaires des E.U. dans des régions qui comme par hazard sont de gros producteurs de pétrole ??? vous avez dit bizarre ?

      Bien sûr vous pouvez vous faire une opinion identique à celles-ci : http://www.reopen911.info/11-septembre/oil-smoke-mirrors-vo-st-fr/

      bien à vous.


    • charmord 7 septembre 2007 15:08

      Faux comme toujours, Lambert !

      In a 1993 interview the WTC’s principal structural engineer, John Skilling, stated that prior to construction he performed an impact analysis of a 600 mph Boeing 707 impact, and concluded "that the building structure would still be there. The architectural firm that worked with Skilling described his 1,200 page structural analysis as "the most complete and detailed ever made for any building structure. Frank A.Demartini, onsite manager during the construction of the WTC, seconded this view during a January 25, 2001 interview, in which he noted that the study involved « a fully loaded 707. » Demartini even declared that « the building probably could sustain multiple impacts of jetliners because this structure is like the mosquito netting on your screen door, this intense grid, and the jet plane is just a pencil puncturing that screen netting. »Demartini kept an office in the North Tower and was last seen on 9/11 assisting evacuees on the 78th floor. Voir étude approfondie :

      http://rense.com/general74/nist.htm ;

      De maniè !re générale, toutes les interventions de Lambert sont identiques à celles qu’il a affirmé tout au long du fil ouvert à ce sujet sur le forum de France 2 qui se trouve ici :

      http://forums.france2.fr/france2/jtfrance2/Le20heures/septembre-loose-change-sujet_19210_1.htm

      Quand on voit comment ce Monsieur n’a pas eu peur de se ridiculiser sur ce forum et qu’il sévit malgré ces épreuves encore sur Agoravox pour débiter les mêmes idioties débunkées depuis longtemps, on se dit que soit il est d’un masochisme qui confine au cas psychiatrique, soit plus vraisemblablement, c’est un désinformateur professionnel.

      A présent, je penche pour la seconde branche de cette option...


    • Lambert85 Lambert85 7 septembre 2007 15:15

      Mais oui mon petit avocaillon, je suis payé par la CIA et la NSA pour vous emmerder ! Mais chut on nous surveille ! smiley C’est vous qui vous ridiculisez mon petit charmord mais continuez donc ! Vous osez en parler avec vos collègues parfois ? Ca les ferait rire...


    • charmord 7 septembre 2007 15:33

      @ Lambert,

      Je ne sais pas si tu es payé et si oui par qui mais je sais que tu passes tes journées à désinformer...

      Pour le reste, je me fonde sur le droit pour affirmer que cette enquête est une parodie mais je ne suis pas avocat et donc pas non plus avocaillon...


    • Lambert85 Lambert85 7 septembre 2007 15:44

      Je passe mes journées à m’amuser surtout ! Vous m’auriez menti en vous disant avocat ? Rhoooo c’est méchant ça mon petit charmord. Bah vous pensiez que je faisais partie de la rédaction de france 2, on est quitte ! smiley


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