lundi 30 octobre 2023 - par Olivier Dusong (Oliver Starc)

Le temps, une illusion ? Le paradoxe de la dichotomie résolu par les théories du postulat PE/MR ?

 

©️ Olivier Dusong 1998 - 2023

 

Introduction 

 

Chapitre 1 :

J’étais avec mon chat, nous étions une nuit d’été de 1998, l'orage grondait à l'extérieur, et je m'occupais de préparer un repas dans ma cuisine lorsque quelque chose d'extraordinaire s'est produit. Comme un éclair de pensée, une révélation soudaine m'a frappé. Je venais de casser un œuf, un acte simple en apparence, mais qui allait changer à toujours ma perception du monde.

Alors que je nettoyais le sol de ma cuisine, j'ai rapidement saisi que la simple chute de l'œuf était bien plus qu'elle n'y paraissait. C'était une question en apparence simple, mais profondément paradoxale. J'ai compris que pour que cet œuf se brise au sol, son arrivée dépendait du moment précis où je l'avais accidentellement laissé tomber. Cela impliquait qu'il avait nécessairement suivi une trajectoire, traversé la moitié de cette trajectoire, puis la moitié suivante, et ainsi de suite, à l'infini. En toute logique, tant qu'une moitié restait à parcourir, le parcours demeurait inachevé, car il devait obligatoirement passer par un point géographique bien réel, un milieu. Il semblait donc logique qu'un parcours sans fin en découle. Voilà pourquoi, plus tard, j’ai nommé ce phénomène, le “Parcours Éternel des Moitiés Restantes” (PE/MR).

 

Comment se fait-il alors que l'œuf se soit effectivement brisé au sol ?

 

De plus, ce paradoxe du PE/MR ne se limitait pas à l'impact de la chute de l'œuf jusqu'au sol, mais il affectait également le moment où l'œuf avait commencé à tomber. Ainsi, l'instant où l'œuf atteignait le sol et se brisait dépendait du moment où il se trouvait vers la première moitié. Ce moment, à son tour, dépendait en réalité d'un moment antérieur où l'œuf était à mi-chemin de son parcours précédent, et ainsi de suite à l'infini, sans jamais atteindre le moment précis où je l'avais accidentellement lâché. Cela signifiait que le mouvement de l'œuf selon le PE/MR devait être éternel, sans début ni fin, se prolongeant indéfiniment à travers un continuum infini de moitiés restantes éternelles.

 

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Le PE/MR est-il un raisonnement erroné ?

 

Dans ce cas, pouvais-je vraiment trancher entre la logique et l'observation ? Les deux possibilités me semblaient envisageables. Si ma logique des moitiés restantes était faillible, il faudrait alors en identifier l'erreur. En revanche, si je considérais que ma logique était correcte, alors il m'aurait fallu expliquer pourquoi mon observation ne reflétait pas nécessairement la réalité. Cela aurait pu être dû à une illusion, peut-être causée par des limitations de mes capacités sensorielles ou une mauvaise interprétation du monde qui m'entourait. Dans ce cas, il m'aurait fallu comprendre le mécanisme de cette illusion ou de ma fausse interprétation de ce que j'appelais la réalité.

À mesure que mes pensées se développaient, j'ai réalisé que ce paradoxe allait bien au-delà de la simple chute d'un œuf. C'était une interrogation fondamentale sur la nature de l'espace, du temps et du mouvement, une véritable remise en question de la réalité elle-même.

Curieusement, j'ai découvert que ce paradoxe avait été formulé il y a plus de 2500 ans par le philosophe Zénon, bien que je n'aie pris connaissance de son paradoxe de la dichotomie que plusieurs années après. Cette découverte a été passionnante, car elle signifiait que j'avais abordé cette question sans être influencé par les travaux antérieurs, me permettant de développer des idées indépendantes et d'éviter d'être piégé dans des concepts de division préétablis.

Mon absence d'études supérieures m'a également offert une certaine liberté. Ce cheminement m'a permis de développer mes propres théories et de chercher des réponses. Chaque discussion m'a ouvert de nouvelles perspectives, et plus je creusais, plus le paradoxe du PE/MR révélait des couches de mystère et de complexité.

 

En quoi le PE/MR diffère-t-il fondamentalement de la dichotomie de Zénon et l'améliore-t-il ?

 

Le "Parcours Éternel des Moitiés Restantes" se distingue nettement de la philosophie de Zénon. Là où Zénon parlait de "dichotomie" pour évoquer une division mentale du mouvement en segments égaux, le PE/MR met en exergue un point crucial : chaque parcours, qu'il soit court ou long, présente une caractéristique intrinsèque. Ce milieu physique est indispensable à tout mouvement. 

Pour illustrer ce concept, imaginons un œuf lâché du 6ème étage. Cet œuf doit passer par la moitié de sa trajectoire, tout comme par chaque étage intermédiaire, avant de toucher le sol. Chaque étage, tout comme chaque moitié restante, existe en tant que position réelle dans l'espace et le temps et constitue une étape physique incontournable. Le point de départ, ces étapes intermédiaires et l'arrivée forment un tout indissociable, et aucune de ces étapes ne peut être soustraite, faute de quoi le mouvement ne peut exister.

Le terme "dichotomie" sème le doute. Il laisse croire que la division est volontaire, qu'il serait possible de diviser différemment le parcours ou de ne pas le diviser du tout pour répondre à la question. Ou encore simplement dépasser la distance parcourue pour ne plus avoir à faire aux divisions ou que l'addition simple des parties divisées pourrait résoudre le problème, ce qui n'est manifestement pas le cas. Le PE/MR, au contraire, ne repose pas sur une fausse idée de division mentale. Chaque déplacement intègre en lui-même des passages sur ses moitiés restantes, ce qui n’a rien d’une division et est une réalité physique non négociable.

Ainsi le PE/MR n'est pas plus qu’une "idée" et encore moins un problème philosophique abstrait, c’est un dilemme physique réel qui exige une explication scientifique. Il révèle un conflit entre deux réalités indiscutables : la nécessité de traverser les moitiés restantes et l'observation concrète de l'objet touchant le sol. C'est un défi qui va bien au-delà d’une fausse idée de divisions, et exige une réponse scientifique pour éclaircir ce paradoxe, d’où son statut particulier de postulat.

 

Mise en garde sur la prétendue réfutation mathématique du paradoxe du PE/MR. 

 

Aujourd'hui, une idée prise pour acquise prétend que la théorie des limites en mathématiques résout le paradoxe de la dichotomie de Zénon en montrant que la somme des moitiés restantes correspond à une valeur finie. C'est vrai, mais cette prétendue réfutation ne fait que réitérer ce que Zénon savait déjà, à savoir que si l'on lançait une pierre contre un arbre, elle finirait par atteindre une distance finie de 4 mètres sans la dépasser. Savoir que le parcours est fini est correct, mais n'est que la moitié du problème. La nécessité de traverser les moitiés restantes dans un ordre chronologique et temporel a été ici oubliée. En fait il y a deux réalités contradictoires :

 

  • Le parcours vers l’arbre est de 4 m et donc fini.

 

  • Tout trajet ne peut être accompli qu’en passant par sa moitié, donc cela est inévitablement vrai pour les moitiés restantes.

 

En réalité, le paradoxe réside dans le fait que bien que le parcours soit fini, c’est dans cette même finitude que s'exerce le passage obligatoire des moitiés restantes. Ces étapes sont aussi incontournables que le départ et l’arrivée d’un parcours. Elles font partie intégrante du parcours de la même manière et ne nécessitent d'ailleurs aucune division pour exister. Pour atteindre sa destination, le mobile doit invariablement parcourir la première moitié, puis engager la suivante, à travers un processus potentiellement infini. L’énigme sera résolue que lorsqu'il sera expliqué pourquoi le mobile semble bien arriver à destination malgré un "Parcours Éternel des Moitiés Restantes" obligé.

L'addition des moitiés restantes oublie complètement l'aspect temporel et donc évolutif entre le départ et l'arrivée. Un mobile ne peut parvenir à sa destination sans traverser les moitiés restantes de son parcours. Soutenir le contraire reviendrait à affirmer qu'il pourrait atteindre directement sa destination, sans parcourir l'espace intermédiaire, ce qui relèverait de la téléportation. L'addition des moitiés restantes donne un résultat instantané, tout comme la mesure du parcours, mais ce chiffre ne traite pas du caractère évolutif d'un parcours.

En résumé, il ne suffit pas de prendre pour acquis que le parcours est fini, cela est vrai. Mais il est crucial de souligner que l'aspect temporel et les moitiés restantes ne peuvent être simplement expliqués par une simple addition. La théorie des limites, malgré ses puissants outils mathématiques, échoue à résoudre cette équation bien plus complexe qu'elle ne le laisse paraître. Tant que nous n'aurons pas expliqué cette dualité, le mystère restera entier.

 

Nos sens nous trompent-ils ? 

 

Autrefois, nos ancêtres, en observant le soleil se lever à l'est et se coucher à l'ouest, étaient convaincus que le soleil, la lune et les étoiles tournaient autour de la Terre. Lorsqu'ils contemplaient l'horizon terrestre qui s'étendait à perte de vue, il leur semblait évident que la Terre était une surface plane. Le ciel au-dessus d'eux, avec ses constellations, ses lunes et ses étoiles, semblait se déplacer de manière régulière dans une voûte céleste, renforçant l'idée que le cosmos était un plafond. Dans l'ensemble, ces observations donnaient l'impression que la Terre était une sorte d'assiette au centre de l'univers, et que le ciel représentait une structure solide semblable à la voûte d'une grande cathédrale.

De nos jours, nous avons acquis la certitude que la Terre est une sphère et que ce qui induit la trajectoire apparente du soleil dans le ciel est en réalité la rotation de la Terre sur elle-même. Ces connaissances scientifiques ont considérablement transformé notre compréhension du monde qui nous entoure. Alors même si nos sens continuent à nous présenter des phénomènes similaires, nous les interprétons désormais de manière radicalement différente grâce à ces connaissances. Nous savons aujourd'hui que le ciel n'est pas une sorte de plafond voûté sur lequel les étoiles seraient accrochées comme une décoration. Au lieu de cela, il s'agit d'un espace infini parsemé de milliards d'étoiles et de galaxies, chacune suivant ses propres lois et trajectoires.

Il se pourrait que, tout comme nos ancêtres se sont trompés sur la nature du monde en se fiant uniquement à leurs sens, nous soyons également induits en erreur dans notre perception de la réalité. L'image de l'œuf se brisant au sol pourrait bien être une fausse représentation, tout comme l'idée autrefois répandue que le ciel était une voûte ornée d'étoiles.

Le PE/MR pourrait-il être une indication de cette tromperie sensorielle ? Sommes-nous en train de vivre dans un hologramme ? Ces questionnements m'ont poussé à m'engager dans des décennies de recherches et de spéculations, donnant naissance à mes propres théories hypothétiques que je partage ici.

 

Un temps pixelisé pour résoudre le paradoxe du PE/MR ?

 

Évidemment, le fait que l'œuf soit finalement arrivé au sol semblait contredire l'idée qu'un espace parcouru comporterait éternellement un milieu. Si l'espace se réduit progressivement jusqu'à ne plus exister, et si cela n'est pas une illusion, il était naturel que je me pose la première question : est-il réellement possible de trouver indéfiniment une moitié d'espace restante sans jamais réduire l'espace et le temps à des moitiés restantes si infimes qu'elles ne pourraient plus avoir un centre ?

Pourrions-nous imaginer que l'espace et le temps pourraient être granulaires, composés de quanta, sortes de pixels ? Dans cette hypothèse, le parcours du mobile serait constitué d'un certain nombre de ces pixels, et le mouvement se ferait de pixel en pixel de façon saccadée. Une fois les pixels épuisés, notre mobile atteindrait aisément sa destination.

Cette notion de granularité spatiale et temporelle est explorée par certaines théories spéculatives telles que la théorie des cordes ou la gravité quantique à boucles.

Cependant, il est essentiel de préciser qu'il n'existe actuellement aucune preuve concrète que le temps soit discontinu, même à des échelles microscopiques comme celles de Planck, c'est-à-dire en deçà de ce que nous connaissons du temps et de l’espace. La théorie de la relativité générale d'Einstein, qui est la physique conventionnelle, postule au contraire que le temps est continu indéfiniment, même en-dessous des échelles de Planck. Cette notion de granularité temporelle et spatiale fait l'objet d'un débat intense au sein de la communauté scientifique, et aucune réponse définitive n'a été trouvée à ce jour.

Si l’on arrivait à prouver que le temps et l’espace sont constitués de pixels, alors le mobile pourrait atteindre sa cible sans avoir à traverser un PE/MR infini. En revanche, si l'on envisage l'existence de telles entités tellement courtes qu'elles ne pourraient plus contenir de milieu, d’autres paradoxes surgissent tout aussi compliqués. En effet, si on envisage qu’au bout d’une certaine limite, un parcours ne serait plus capable d’avoir de milieux, alors un mobile traversant ce parcours infime verrait que son point de départ et d’arrivée seraient simultanément dans le même lieu et au même moment, le privant de toute possibilité de pouvoir se mouvoir. Si une telle propriété de parcours existait, assembler un ensemble infini de ces pixels sans milieu résulterait toujours en une addition de points d’espace nuls, et l’addition d’un nombre infini de ces points sans dimension donnerait toujours un parcours nul.

À l'inverse, si l’addition de ces points sans milieux permettait de reproduire un parcours, c’est nécessairement que ces points ne seraient pas totalement nuls et devraient nécessairement avoir un milieu par lequel le mobile doit passer pour les réaliser, ressuscitant alors le problème du PE/MR. Ainsi, il m'a semblé que cette solution semble incomplète et s'embrouille dans ses propres contradictions pour le moment. 

 

l'univers aurait-il des dimensions parallèles qui pourraient expliquer le PE/MR ?

 

Quelques années plus tard, en 2005, à la suite du PE/MR, et en relation avec les questions relatives au PE/MR, j'ai élaboré une expérience de pensée que j'ai nommée l'EterniGo. Dans le cadre de cette théorie, j'ai formulé trois postulats assez simples concernant la nature du vide.

 

  • Si le vide est défini comme l'absence de toute chose, alors il n'a pas besoin d'une cause pour exister. Dans ce cas, le vide peut exister de lui-même sans intervention extérieure.

 

  • Étant donné qu'il n'a pas besoin d'être fabriqué pour exister, il aurait toujours existé, ce qui implique qu’il aurait existé avant la formation de l’univers et donc que l'éternité existe.

 

  • Étant composé de rien, le néant ne peut être contenu dans quoi que ce soit et s'étendrait donc dans toutes les directions à l'infini. Donc, la dimension de l'infini existe.

 

Si l'univers est infini et qu'il n'a pas de bord, alors j'ai pensé qu'il serait impossible de se déplacer dans une dimension infinie sans bord. Que l'on se déplace d'un milliard d'années-lumière ou d'un nanomètre, on resterait toujours au même endroit par rapport aux "non-bords" de cette dimension infinie. Par conséquent, peu importe que l'univers soit composé de matière ou de vide, il serait contenu dans cette dimension ultime de l'infini. Celle-ci, n'étant pas mesurable en 3D, ne pourrait pas appartenir aux trois dimensions. Elle constituerait ainsi la 5ème dimension de l'univers, surpassant les 3D, et de par sa caractéristique unique sans frontière, tout déplacement par rapport à cette 5D deviendrait alors impossible.

De même, si le vide existe avant la matière, c’est que son existence n’a jamais eu de commencement. Il devait exister avant la formation des étoiles, donc avant le big-bang et la formation de l’univers. Mais cela pose un problème. Si l’éternité existe, comment le présent, qui est lié à ce passé éternel, aurait-il pu advenir sachant qu’il aurait fallu un temps infini avant d’atteindre le présent ? Il n'aurait théoriquement jamais pu être atteint. Il en serait exactement de même pour l’advenue de n’importe quel événement passé, aussi lointain que le big-bang, car n’importe quel événement passé ou futur serait toujours au même endroit par rapport au “Jamais Commencement” de l’éternité de l’existence du vide. Ce qui me suggère qu’il est possible que dans l’éternité, le temps cesse de s’écouler, puisque tout comme il est impossible de se déplacer par rapport à la 5D, il serait impossible de se déplacer par rapport au “Jamais Commencement” de l’éternité. Le temps ne pourrait plus s’exercer au sein de l’éternité, pas plus qu’il est possible de se déplacer par rapport à la 5D. J’ai alors proposé que l’éternité n’appartiendrait pas au temps et donc à la 4D, et devrait être, par déduction, la 6D de l’univers, où le temps cesse d’exister.

Dans cette hypothèse, j'ai envisagé la possibilité que le passé, le présent et le futur cessent d'exister par rapport à ce "Jamais Commencement" de l'éternité, et qu'ils pourraient se superposer dans une autre réalité parallèle. Notre esprit serait incapable de comprendre que la position de notre mobile entre son départ et son arrivée reste exactement au même endroit par rapport aux "non-bords" de la 5D de l'univers et du "Jamais Commencement" de l'éternité dans la 6D.

Cela pourrait potentiellement expliquer pourquoi un mobile semble atteindre sa destination malgré un "Parcours Éternel des Moitiés Restantes" du PE/MR. En somme, ce mouvement se produirait dans une réalité bien plus vaste que notre réalité observable. Dans cette hypothèse fascinante, un univers doté de deux dimensions supplémentaires, l'infini (5D) et l'éternité (6D), existerait. Dans ces dimensions, ni le temps, ni le déplacement ne seraient possibles tels que nous les percevons à travers notre compréhension limitée de la réalité en 3D. Dans ce monde, toutes les actions infinies du passé, du présent et du futur se superposeraient, similairement à la théorie de "l'univers bloc." Ainsi, l'instant où j'aurais accidentellement lâché mon œuf et celui où il serait cassé par terre seraient également superposés dans cette autre réalité parallèle où le temps n'existe plus.

 

Les PFT, pixels "temps" de notre conscience. 

 

Depuis 1998, j'ai pensé qu'il allait de soi que notre cerveau n'est pas capable de détecter des actions dans l'infiniment court, telles que dans le PE/MR et cela est vrai, comme l'exemple de l'allumage d'une lampe le démontre : la propagation de la lumière de l'ampoule à l'environnement est beaucoup trop infime pour être analysée comme une action temporelle. Donc, si l'on revient au PE/MR et à notre œuf parcourant un mètre en une seconde, si la seconde est perceptible, il sera rapidement impossible de percevoir les moitiés restantes successives de cette seconde, car elles se dérouleront dans l'infiniment court, et notre esprit sera incapable de percevoir la réalité éternelle du déplacement dans le PE/MR. C'est pourquoi, bien que la seconde soit infinie dans la réalité parallèle du PE/MR, elle ne pourrait être perçue par notre conscience qu'à travers des segments PE/MR d’une longueur suffisante pour susciter la perception temporelle dans notre conscience.

J'ai nommé cette limite le PFT, "point de fuite temporel". Pour le comprendre, imaginons une voiture sur une longue route rectiligne qui disparaît au loin vers l'horizon. Tout comme cette voiture devient un point à l'horizon, le PF (Point de Fuite) est le point où, en perspective, tous les objets qui s'éloignent finissent par se réduire à un simple point avant de disparaître à l'horizon. De même, le PFT (Point de Fuite Temporel) est à la temporalité ce que le Point de Fuite est à la perspective.

Le PFT représente l'horizon temporel. Si une action disparaît derrière l’horizon, elle cesse littéralement d'exister dans notre conscience. Cependant, de la même manière qu'un objet disparaît à l’horizon sans cesser d'exister, il en va de même pour les actions qui sont cachées derrière le PFT. C'est le cas de la propagation de la lumière de l'ampoule à l'environnement, mais également le cas des moitiés restantes une fois passées derrière le PFT dans le PE/MR. Ainsi, mon œuf se déplaçant sur 1 mètre en une seconde m’aurait paru non éternel, tel qu'il le serait dans le PE/MR, mais fini, car composé d'un nombre fini de points PFT mis côte à côte, nous donnant l’illusion d’un temps qui s’écoule.

Ici, bien que la seconde soit éternelle dans le PE/MR, elle nous paraîtrait finie dans notre conscience, étant composée d'un nombre fini de PFT, une fois ces PFT épuisés dans notre conscience, la seconde semblerait finie, donnant l'illusion qu'elle appartient au passé.

Les PFT seraient donc une juxtaposition de points finis qui ne pourraient être placés dans la seconde qu'en nombre limité, contrairement aux moitiés restantes du PE/MR. Cette théorie propose donc qu'il y aurait deux réalités parallèles : celle de la seconde perçue à travers les PFT et celle de sa réalité éternelle dans le PE/MR et la 6D.

La théorie du PFT propose que le mouvement de notre mobile soit segmenté par un nombre fini de points PFT, tout comme lors de la projection d'un film au cinéma, les PFT sont mis bout à bout, tout comme les images d’un film qui se succèdent à toute vitesse. Si seulement une seule image était projetée, nous ne verrions aucune image en mouvement ni ne ressentirions de sensation de durée. Cependant, lorsque des centaines d'images se succèdent, elles permettent de sortir du PFT et donnent l’illusion que l'image se met à bouger et de la durée. Bien sûr, il n'en est rien, c'est une illusion optique. La bobine du film est composée d'images parfaitement statiques, et ces images existent toutes simultanément du début à la fin.

De la même manière, dans la 6D de l'éternité, chaque PFT du mouvement de notre mobile serait exactement au même endroit par rapport au “Jamais Commencement” de l’éternité dans la 6D. Ce jamais commencement pourrait être représenté comme une spirale dont il n’y aurait pas de début en son centre. J’ai appelé cela une spirale 6D.

Grâce à cette spirale 6D, on pourrait envisager que le moment où l’œuf s’est mis à chuter serait exactement au même endroit des “non-bords” de la 5D infinie que du “Jamais Commencement” de la spirale 6D de l’éternité. Dans cette réalité parallèle, l’œuf serait parfaitement statique par rapport au “Jamais Commencement” de la 6D, mais également aux “non-bords” de la 5D. Il revêtirait, dans cette réalité parallèle de l’éternité, un caractère immuable et figé .Cette hypothèse suggère que notre perception du temps pourrait être une illusion créée par notre esprit. Notre cerveau, en réalité, serait incapable de discerner les actions qui se déroulent dans des intervalles infiniment courts, tels que ceux du PE/MR.

Imaginons que chaque seconde soit comme une bobine de film. Dans notre expérience, nous ne percevrions qu'une séquence d'images limitée, les PFT (Points de Fuite Temporels). À mesure que ces images défilent devant notre conscience, elles créent l'illusion du temps qui passe, tout comme un film au cinéma donne l'illusion du mouvement lorsque les images sont projetées rapidement.

Lorsque les PFT sont épuisés, notre conscience semble atteindre un moment spécifique, tout comme la fin d'un film. Cependant, dans cette hypothèse, le temps tel que nous le percevons n'est pas réel. Ce qui se passe en réalité, c'est que notre conscience voyage sur ces PFT, ce qui crée l'illusion de l'écoulement du temps, comme si le paysage défilait lorsque vous êtes dans un train en mouvement. En réalité, ce n'est pas le paysage qui bouge, mais votre position dans le train.

En dehors de cette illusion, chaque PFT n'est qu'une image statique qui existe simultanément dans l'éternité, comme chaque image sur une bobine de film. Dans cette perspective, l'action ne disparaît pas derrière l'horizon temporel des PFT. Au lieu de cela, elle continue d'exister éternellement selon le "Jamais Commencement" de la spirale 6D, car si le temps dans la 6D n'a jamais commencé, alors le début du présent et l'écoulement du temps ne sont qu'une illusion.

 

Ma conclusion : 

 

D'une part, nous avons le postulat selon lequel un parcours ne peut être achevé sans avoir d'abord franchi la moitié du trajet. Cette idée est profondément enracinée dans notre logique élémentaire. D'autre part, il y a l'expérience courante et profondément intégrée selon laquelle notre mobile atteint sa destination après une seconde. C'est précisément ce que nous observons. Toutefois, peut-on vraiment faire confiance à nos sens ? Si la réponse est oui, alors cela défie cette logique fondamentale et nous avons besoin d'une explication.

Ici, nous sommes confrontés à quelque chose d'immensément déconcertant. Ces deux affirmations, totalement contradictoires, défient notre compréhension traditionnelle de la réalité et ouvrent un débat passionnant sur la nature de la réalité et de l'éternité. J'ai présenté ici quelques propositions d'explication. Bien qu'aucune de mes hypothèses ne soit définitive, je crois fermement qu'il est important de les réfléchir, de les partager et de les discuter. Après plus de deux décennies de travail en solo sur cette question, je suis enthousiasmé à l'idée de partager mes réflexions avec le public et la communauté scientifique pour la première fois. Bien sûr, je reste ouvert à d'autres propositions explicatives et je les accueille avec enthousiasme. Dans cet esprit de libre échange d'idées et de collaboration, j'ai créé une page Facebook dédiée au PE/MR et aux questions connexes sur l'espace, le temps et les réalités parallèles. J'invite quiconque est intéressé à rejoindre la discussion. Je suis également ouvert à partager mes travaux et idées dans des forums scientifiques pour stimuler un débat libre et collaboratif avec d’autres chercheurs. J'espère qu'ensemble, nous pourrons approfondir notre compréhension de ces questions complexes et peut-être un jour contribuer à leurs résolution. 

Cet article est conçu pour évoluer en parallèle avec la théorie sur mon blog. Vous consultez la version 11 datée du 21 octobre 2023.

                 

 

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Chapitre 2 : L’EterniGo : un outil pour explorer les dimensions cachées d'un monde parallèle aux 3 dimensions



132 réactions


  • Jean Keim Jean Keim 31 octobre 2023 13:11

    Si l’œuf progresse par moitié de la distance restant à parcourir, mais que vous preniez comme base de calcul non pas le bord inférieur de la coquille de l’œuf, mais son centre de gravité, il finira par s’écraser sur le sol, dès que la distance au sol sera inférieure à distance existant entre le centre de gravité et le bord inférieur de la coquille de l’œuf, ; de plus le mouvement n’est pas saccadé comme au cinéma.

    Il me semble qu’en MQ est définie la plus petite dimension possible, elle est la distance que parcours la lumière pendant le plus court temps également possible, elle pourrait-être également définie par la dimension d’un photon, et donc votre manière de calculer va se heurter à une impossibilité dimensionnelle.

    Au sujet du vide, à quoi servirait-il, si rien ni personne ne peut le constater ou ne serait-ce qu’en parler ?


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Olivier Dusong 31 octobre 2023 15:04

      @Jean Keim

      Bonjour et merci beaucoup pour vos réflexions. Le Parcours Éternel des Moitiés Restantes (PE/MR) est une réflexion qui s’applique de la même manière à n’importe quel point le long du trajet de l’œuf, que ce soit au centre de gravité, au bord inférieur de la coquille ou à tout autre point. Le concept clé ici est que pour atteindre sa destination, l’œuf doit inévitablement traverser les moitiés restantes de son parcours, quel que soit le point de référence. Cette tentative de résolution n’est donc pas satisfaisante pour résoudre le PE/MR.


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Olivier Dusong 31 octobre 2023 18:37

      @Jean Keim

      « Il me semble qu’en MQ est définie la plus petite dimension possible, elle est la distance que parcours la lumière pendant le plus court temps également possible, elle pourrait-être également définie par la dimension d’un photon, »


        • Pas exactement. La mécanique quantique se concentre sur les phénomènes microscopiques, mais elle ne définit pas une dimension minimale pour l’univers ni la dimension d’un photon. Les échelles de Planck définissent nos limites en termes de connaissances, mais cela ne garantit pas nécessairement que le temps et l’espace soit pixelisée au-delà de ces limites dans le contexte du « Parcours Éternel des Moitiés Restantes » (PE/MR). La relativité d’Einstein considère le temps et l’espace comme continus, formant ainsi une séquence infinie de moitiés restantes.


      En ce qui concerne la granularité du temps, il existe des théories spéculatives, comme la théorie des cordes, mais elles ne sont pas encore confirmées. L’idée que le temps soit discontinu est une possibilité, mais il n’y a pas de certitude. Cependant, si le temps était constitué de pixels, le mouvement serait également pixélisé et saccadé, ce qui pourrait aider à expliquer le PE/MR.


    • Ouam (Paria statutaire non vacciné) Ouam (Paria statutaire non vacciné) 31 octobre 2023 19:19

      @Olivier Dusong
      "En ce qui concerne la granularité du temps, il existe des théories spéculatives,

      "

      bonjour
      avec un trait d’humour
      vous devriez boursicotter (lol)
       
      Ah oui ca ne vous parais peut-etre pas (encore) tres clair ?
      Cherchez pour voir l’histoire de l’equivalenbt d’une action en bourse qui est symbolisée par
      une citrouille jetée en haut d’un gratte-ciel ^^

      avec les différentes étapes, ca peut vous amuser smiley


  • cétacose2 31 octobre 2023 18:14

    La moitié restante d’une bombe israëlienne qui tombe sur un palestinien fait en sorte qu’il va être pulvérisé , mais qu’il n’a pas le temps de l’éviter......


  • Olivier Dusong (Oliver Starc) Olivier Dusong 31 octobre 2023 18:38

    « Il me semble qu’en MQ est définie la plus petite dimension possible, elle est la distance que parcours la lumière pendant le plus court temps également possible, elle pourrait-être également définie par la dimension d’un photon, »


      • Pas exactement. La mécanique quantique se concentre sur les phénomènes microscopiques, mais elle ne définit pas une dimension minimale pour l’univers ni la dimension d’un photon. Les échelles de Planck définissent nos limites en termes de connaissances, mais cela ne garantit pas nécessairement que le temps et l’espace soit pixelisée au-delà de ces limites dans le contexte du « Parcours Éternel des Moitiés Restantes » (PE/MR). La relativité d’Einstein considère le temps et l’espace comme continus, formant ainsi une séquence infinie de moitiés restantes.


    En ce qui concerne la granularité du temps, il existe des théories spéculatives, comme la théorie des cordes, mais elles ne sont pas encore confirmées. L’idée que le temps soit discontinu est une possibilité, mais il n’y a pas de certitude. Cependant, si le temps était constitué de pixels, le mouvement serait également pixélisé et saccadé, ce qui pourrait aider à expliquer le PE/MR.


  • Olivier Dusong (Oliver Starc) Olivier Dusong 31 octobre 2023 18:39

    « Si l’œuf progresse par moitié de la distance restant à parcourir, mais que vous preniez comme base de calcul non pas le bord inférieur de la coquille de l’œuf, mais son centre de gravité, il finira par s’écraser sur le sol, dès que la distance au sol sera inférieure à distance existant entre le centre de gravité et le bord inférieur de la coquille de l’œuf, ; de plus le mouvement n’est pas saccadé comme au cinéma. »


      • Bonjour et merci beaucoup pour vos réflexions. Le Parcours Éternel des Moitiés Restantes (PE/MR) est une réflexion qui s’applique de la même manière à n’importe quel point le long du trajet de l’œuf, que ce soit au centre de gravité, au bord inférieur de la coquille ou à tout autre point. Le concept clé ici est que pour atteindre sa destination, l’œuf doit inévitablement traverser les moitiés restantes de son parcours, quel que soit le point de référence. Cette tentative de résolution n’est donc pas satisfaisante pour résoudre le PE/MR.

  • HClAtom HClAtom 31 octobre 2023 18:41

    Merci pour cet article très intéressant.

    Avec votre propre méthode vous abordez des sujets fondamentaux pour lesquels il est vrai notre science explore encore. Votre logique est correcte, à mon avis, et vous mène aux bons endroits, même si vous allez un peu loin pour moi. Permettez-moi de vous partager mon point de vue.

    Comme vous le rappelez très justement, la question que vous posez avec vos PE/MR a déjà été soulevée par Zénon d’Ellée. On parle du paradoxe de Zénon, ou de Achille et la tortue. La tortue défie le grand guerrier Achille à la course à pied. Grand seigneur Achille laisse la moitié du chemin d’avance à la tortue, car il est sûr de sa vitesse à la course, et de la lenteur de la tortue. Le départ est donné. En quelques instants seulement Achille rejoint la moitié du parcours ... mais pendant ce temps là, la tortue a avancé. Qu’à cela ne tienne, sur sa lancée Achille parcours très vite cette distance ... mais pendant ce temps la tortue a avancé, et ainsi de suite, tant et si bien que Achille ne devrait jamais parvenir à doubler la tortue.

    Les mathématiciens ont proposé une solution à ce paradoxe, avec le calcul infinitésimal (ce que vous appelez la limite). Ils ont démontré qu’une somme infinie d’éléments si petits qu’ils tendent vers zéro, aboutit à un résultat tendant vers une valeur finie (tout du moins pour des sommes dites convergentes). Ainsi vos 4 mètres de distance à l’arbre sont bien une valeur finie résultant de la somme mathématiquement convergente de vos PE/MR.

    Tout cela est fort bien en mathématiques, mais ne convient pas pour la physique. En effet l’infini n’est pas un objet qui possède une réalité physique car il n’a jamais été mesuré. L’infini en physique signifie « très grand nombre », ou « négligeable », selon que votre infini est grand ou petit. Ce dont la physique est certaine c’est que l’infiniment petit n’existe pas physiquement, car on a mesuré qu’il était impossible de diviser les parties d’un système à l’infini. Après la dernière division possible reste le quantum insécable. Et à cette échelle la nature est en effet pixelisée, comme vous l’évoquez. Mais attention, il n’y a pas de quantum universel absolu (certains prétendent que c’est le temps de Planck, mais c’est pure spéculation), chaque système possède son propre quantum de temps ou d’espace, ainsi la taille des pixels varie selon les systèmes.

    Par exemple, prenez un film d’un objet en mouvement, le résultat sera une suite d’images, mais vous ne saurez jamais ce qui s’est passé entre deux images, c’est à dire à l’intérieur du quantum de temps du système. Et aussi rapide votre caméra soit-elle, vous obtiendrez toujours une mesure quantique de la réalité, pixelisée, sous la forme d’une succession d’images. J’ai d’ailleurs commis un article à ce sujet.

    C’est ici qu’à mon avis vos PE/MR pêchent. Autant ils s’insèrent bien dans le calcul mathématique infinitésimal, autant ils sont problématique pour la physique. En effet il n’existe aucune « moitié » de quantum, car il est insécable. La notion même de moitié de quantum ne relève d’aucune réalité physique mesurée.

    Pour le physicien le paradoxe de Zénon se résout simplement. La trajectoire de la tortue est quantifiée, son quantum d’espace est "une enjambée de tortue", dx1, et sa position sur la trajectoire x1 ne peut être qu’un multiple entier n1 de ce quantum : x1 = n1 * dx1. Il en va de même pour Achille dont le quantum d’espace est "une enjambée d’Achille", et la trajectoire x2 = n2 * dx2. Le temps s’écoulant, dx1 et dx2 sont constants, tandis que n1 et n2 évoluent, tout en restant des nombres entiers. Achille dépasse alors la tortue quand la limite quantique n2 * dx2 > n1 * dx0 est atteinte.

    Cordialement


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Oliver Starc 31 octobre 2023 20:07

      @HClAtom

      Merci beaucoup pour votre commentaire constructif, je vous répondrai, mais il me faut un peu de temps. 

      Cordialement 


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Oliver Starc 31 octobre 2023 21:41

      @HClAtom

      Que pensez-vous de ce passage de mon article : 

      « Cette notion de granularité spatiale et temporelle est explorée par certaines théories spéculatives telles que la théorie des cordes ou la gravité quantique à boucles.


      Cependant, il est essentiel de préciser qu’il n’existe actuellement aucune preuve concrète que le temps soit discontinu, même à des échelles microscopiques comme celles de Planck, c’est-à-dire en deçà de ce que nous connaissons du temps et de l’espace. La théorie de la relativité générale d’Einstein, qui est la physique conventionnelle, postule au contraire que le temps est continu indéfiniment, même en-dessous des échelles de Planck. Cette notion de granularité temporelle et spatiale fait l’objet d’un débat intense au sein de la communauté scientifique, et aucune réponse définitive n’a été trouvée à ce jour.


      Si l’on arrivait à prouver que le temps et l’espace sont constitués de pixels, alors le mobile pourrait atteindre sa cible sans avoir à traverser un PE/MR infini. En revanche, si l’on envisage l’existence de telles entités tellement courtes qu’elles ne pourraient plus contenir de milieu, d’autres paradoxes surgissent tout aussi compliqués. En effet, si on envisage qu’au bout d’une certaine limite, un parcours ne serait plus capable d’avoir de milieux, alors un mobile traversant ce parcours infime verrait que son point de départ et d’arrivée seraient simultanément dans le même lieu et au même moment, le privant de toute possibilité de pouvoir se mouvoir. Si une telle propriété de parcours existait, assembler un ensemble infini de ces pixels sans milieu résulterait toujours en une addition de points d’espace nuls, et l’addition d’un nombre infini de ces points sans dimension donnerait toujours un parcours nul.


      À l’inverse, si l’addition de ces points sans milieux permettait de reproduire un parcours, c’est nécessairement que ces points ne seraient pas totalement nuls et devraient nécessairement avoir un milieu par lequel le mobile doit passer pour les réaliser, ressuscitant alors le problème du PE/MR. Ainsi, il m’a semblé que cette solution semble incomplète et s’embrouille dans ses propres contradictions pour le moment. »


    • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 31 octobre 2023 23:30

      @Oliver Starc
      Tout ça est bien compliqué , mais moins que les femmes.


    • HClAtom HClAtom 1er novembre 2023 00:20

      @Oliver Starc

      « Cette notion de granularité spatiale et temporelle est explorée par certaines théories spéculatives telles que la théorie des cordes ou la gravité quantique à boucles."


      Il s’agit notamment d’un des passages de votre texte qui me faisait dire que vous raisonnez dans la bonne direction, que vous mettez le doigt sur ce qui fait mal.

      Permettez moi de répondre à vos arguments, depuis ma position de physicien. 

      Pour moi raisonner à partir du temps sur ce problème ne convient pas, il vaudrait mieux raisonner à partir de l’espace. En effet la relativité restreinte [1], que vous invoquez, nous enseigne que le temps s’écoule différemment dans les différents référentiels, et par suite un "grain de temps« estimé dans un référentiel ne sera plus du tout un »grain" dans un autre. Il vaudrait mieux dire, l’espace est granulaire (quantique), et par suite le temps nous apparaît lui aussi granulaire. Permettez moi de m’expliquer.

      De Broglie a démontré que l’impulsion P de tout corps quantique doit valoir la constante de Planck h divisée par la longueur d’onde dx caractéristique (quantique (granulaire)) du système : P = h / dx. Et ceci est tellement vrai que c’est sur ce principe qu’on a construit les microscopes électroniques. Il n’est donc pas contestable scientifiquement que les systèmes physiques sont associés à des quanta dx, indépendamment de tout observateur.

      Cela étant posé, car démontré, vous pouvez mesurer ce phénomène avec le dt correspondant à votre référentiel, donc relatif, il n’en restera pas moins que dx est une réalité, selon la relativité restreinte [1]. Selon de Broglie dx n’est pas continu, mais quantique, quel que soit votre référentiel, ainsi votre dt mesuré dans votre référentiel ne pourra que refléter la granularité de dx. Vous pourrez donc considérer que dt est quantifié (granulaire), dans votre référentiel, si cela vous intéresse, mais la réalité sera toujours dx.

      Ainsi pour le physicien* le temps n’est qu’une commodité, une référence bien pratique pour paramétrer les modifications réelles et physiques de l’univers. Le temps n’a pas de matérialité physique. Pour le physicien les débats sur dt sont hors d’intérêt, car relatifs comme l’a démontré Einstein, ce qui compte c’est la réalité physique de dx, la quantification réelle de l’espace dans son référentiel propre, qui contrairement à dt, a été amplement mesurée, dans tous les référentiels. Et nous permet d’avoir le microscope électronique.

      Cordialement

      * En réalité je veux dire : moi.


      Référence
      [1] L. Landau, & E. Lifchitz, Théorie des champs, Ed. Mir Moscou 1966. Lien

    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Oliver Starc 1er novembre 2023 17:36

      @HClAtom

      Merci,  mais il me semble que le concept de « quantum d’action » concerne la quantification des grandeurs à l’échelle microscopique, mais il ne fournit pas de preuves que le temps soit nécessairement granulaire plutôt que continu. Les théories quantiques nous montrent que la nature des particules subatomiques est quantifiée, mais cela ne s’étend pas nécessairement au temps lui-même. Les débats sur la granularité du temps sont encore en cours dans la communauté scientifique, et il n’y a pas de consensus absolu à ce sujet. Le fait que le « quantum d’action » impose des limites à notre compréhension de la position et de la vitesse des particules n’implique pas nécessairement que le temps soit nécessairement pixelisé. C’est l’une des questions ouvertes en physique qui suscitent de nombreuses recherches et discussions.


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Oliver Starc 2 novembre 2023 03:57

      @HClAtom

      Pour clarifier ma pensée, je pense qu’il est essentiel de ne pas confondre la nature du mouvement en mécanique quantique avec notre capacité à le mesurer avec précision. Le mouvement des particules subatomiques peut être continu, mais en raison du comportement probabiliste de ces particules, il peut sembler discret lorsqu’on effectue des mesures. Le principe d’incertitude d’Heisenberg établit des limites à la précision avec laquelle nous pouvons connaître la position et la quantité de mouvement d’une particule simultanément. Cela peut donner l’impression que le mouvement est discret, alors qu’en réalité, il ne l’est pas. Il est essentiel de comprendre cette distinction pour éviter des interprétations erronées du comportement des particules en mécanique quantique.


    • HClAtom HClAtom 3 novembre 2023 10:25

      @Oliver Starc
      « Le mouvement des particules subatomiques peut être continu »
      Par suite il serait possible de déterminer la position d’une telle particule à tout instant. Ce n’est pas ce que dit la MQ. 
      Grâce à l’expérience des fentes de Young nous savons qu’un électron est une onde probabiliste entre le canon et l’écran (à l’intérieur du quantum de temps), onde qui interfère directement avec elle même. Votre proposition pose donc problème : quelle est la « position continue de l’onde » ?


  • gnozd gnozd 31 octobre 2023 19:19

    Bonjour.

    Vous faites tout ça avec des moitiés.

    Petit joueur : essayez donc avec des tiers !!!


  • Hervé Hum Hervé Hum 1er novembre 2023 11:14

    Il me semble que la chute de l’oeuf et le fait qu’il se brise n’est pas une théorie, mais la réalité physique.

    De fait, on ne peut pas spéculer sur cette réalité sans remettre en cause la réalité de sa propre existence et alors se pose la question du pourquoi poser la question ?

    On peut seulement essayer de comprendre pourquoi la réalité existe avec ses lois physiques faisant que l’oeuf se brise au sol, de la nécessité de cette réalité.

    Il s’agit donc d’un raisonnement à rebours d’un phénomène dont le cogito humain n’arrive pas à donner une réponse simple et cohérente reposant sur une explication et démonstration capable de soutenir toute réfutation possible.

    Autrement dit, votre théorie est contredite par toute expérience de physiques y compris celles de la mq dans la réalité, mais est tout à fait valide dans l’imaginaire qui n’a d’autre limite que la réalité physique.

    En réalité, donc en respect du principe de causalité, :l’expérience de pensé que vous avez réalisé a consisté à changer d’échelles de mesures et où vous posez la question de savoir pourquoi s’arrêter sur une mesure une mesure défini ou fini.

    Ainsi, lorsque vous faites la première division entre un espace parcouru par un temps (en causalité, il n’existe pas d’espace sans temps) avec l’espace-temps restant à parcourir, vous avez établi une première mesure en divisant l’espace-temps total en deux parties, l’une parcouru, l’autre restant à parcourir.

    A partir de là, vous allez diviser l’espace-temps restant à parcourir en deux, une moitié parcouru et l’autre restant à parcourir. Donc, l’espace—temps total est divisé en 4 parties, dont 1/4 restant à parcourir. Et ainsi de suite à l’infini ! Mais quel est le sens de cette division infini ? Celui de ne jamais atteindre un but quelconque puisque vous ’tombez" dans un infini qui n’admet pas de fin, donc, de finalité autre que la chute infini où l’oeuf ne se brise pas, mais où il n’y a alors plus d’autres actions possibles de causalité et in fine, ou le principe de causalité n’existe pas.

    C’est là qu’entre alors en jeu la fameuse longueur d’onde de Planck :

    Sans cela, il n’y aurait tout simplement pas de réalité physique possible et nous n’existerions pas dans cette même réalité qui voit l’oeuf tomber et se briser au sol.

    Appliqué à ce que vous écrivez sur la pixélisation ou les pixels sont contigue, donc, sans milieu les séparant, le principe reste invariant sur le fait que le mouvement doit être défini par une valeur fini et c’est le mode de déplacement de toute onde dans son milieu !

    Ce que vous écrivez est donc vrai si et seulement si, il n’y a pas de valeur défini de vitesse du mouvement, que ce soit pour un corpuscule ou une onde, le principe reste fondamentalement invariant, il faut donner une valeur de vitesse de déplacement, sans cela, ce que vous écrivez s’applique.

    Bref, il peut très bien y avoir d’autres valeurs d’espace-temps définies dans un autre Univers, mais aucun Univers physique peut se passer du principe de causalité et établir des valeurs de mesures de l’espace-temps.


  • Olivier Dusong (Oliver Starc) Oliver Starc 1er novembre 2023 14:57

    « Il me semble que la chute de l’oeuf et le fait qu’il se brise n’est pas une théorie, mais la réalité physique. »


    • Vous faites bien de souligner que la chute de l’œuf est une réalité indéniable. Cependant, il est essentiel de se rappeler que l’œuf ne peut passer directement de son point de départ à son point final brisé au sol, sans devoir obligatoirement passer par la moitié du parcours. Par exemple, si vous lâchez l’œuf du 6ème étage, sa trajectoire devra inévitablement passer par le 3ème étage. Vous semblez penser que ce sont des divisions mentales, mais ce n’est pas du tout le cas. Le passage de l’œuf par le 3ème étage est une réalité parfaitement physique et tout aussi incontestable que l’est le point de départ et d’arrivée de l’œuf au sol.

    Comme je l’ai expliqué dans mon article, je ne considère absolument plus ce passage comme une division... c’est un passage obligé et une réalité physique incontestable.

    Donc lorsque j’entends dire que je ne prends pas en compte la réalité de l’œuf brisé au sol, ce n’est absolument pas le cas. Au contraire, je prends clairement en compte ces deux réalités :


    1. Le constat que l’œuf est brisé au sol.


    1. Le trajet de l’œuf ne peut être accompli qu’en passant par sa moitié, donc cela est inévitablement vrai pour les moitiés suivantes restantes.


    Ces deux réalités sont parfaitement des faits vérifiables et physiques, d’où naît le paradoxe.


  • Olivier Dusong (Oliver Starc) Oliver Starc 1er novembre 2023 16:10

    L’idée d’un parcours pixelisé limité aux échelles de Planck soulève des problèmes intéressantes, comme je l’ai expliqué dans mon article, mais il est essentiel de noter que ces idées ne sont pas encore prouvées. Si nous pouvions prouver que l’espace et le temps sont constitués de pixels, cela pourrait potentiellement résoudre le Parcours Éternel des Moitiés Restantes (PE/MR), car un mobile pourrait atteindre sa cible sans devoir traverser un nombre infini de moitiés restantes.


    Cependant, actuellement, il n’y a aucune preuve concrète que le temps puisse être pixelisé. Les limites de Planck définissent la frontière de nos connaissances en matière d’espace et de temps, mais il reste incertain si l’espace et le temps sont véritablement faits de quanta (pixels), comme le suggèrent certaines théories spéculatives telles que la gravité à boucles.


    Les points de vue des scientifiques divergent sur ces questions. En relativité restreinte et générale, le temps est considéré comme continu en dessous des échelles de Planck. Cela signifierait que, contrairement à ce que je propose, avec mon hypothèse de temps pixelisée, un mobile pourrait traverser indéfiniment des moitiés restantes sans jamais rejoindre une moitié restante si minuscule qu’il n’y aurait plus de moitiés restantes.


    D’un autre côté, si ces entités étaient si courtes qu’elles ne pourraient plus contenir de milieu, de nouveaux paradoxes surgiraient. Par exemple, un mobile traversant un parcours infime verrait que son point de départ et d’arrivée seraient simultanément au même endroit et au même moment, le privant de toute possibilité de se déplacer. Si l’addition de ces points sans milieu permettait de reproduire un parcours, cela signifierait qu’ils ne sont pas totalement nuls et doivent avoir un milieu par lequel le mobile doit passer pour les réaliser, ce qui ramène le problème du PE/MR.

    Ainsi, il semble que cette solution soit pour le moment incomplète et s’embrouille dans ses propres contradictions.


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 1er novembre 2023 17:38

      @Oliver Starc
       
       Une conception erronée des phénomènes physiques soulève toujours des questions idiotes.
       
       Ce que nous appelons le temps est en réalité une illusion qui découle de notre perception de la durée des processus à l’œuvre dans l’univers physique, pocessus qui ne sauraient être instantanés, par définition : un univers fait de processus instantanés (la vitesse de la lumière y serait infinie) est inconcevable.
       
      Ces processus qui nous paraissent continus à notre échelle ne le sont pas du point de vue de la mécanique quantique.
       


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Oliver Starc 1er novembre 2023 19:12


      « Ces processus qui nous paraissent continus à notre échelle ne le sont pas du point de vue de la mécanique quantique. »


      L’échelle de Planck, qui représente la limite de ce que l’on peut connaître de l’infiniment petit, est de l’ordre de 10^-35 mètres, et la limite de la durée est d’environ 10^-44 secondes. Cependant, en deçà de ces échelles, nous ne sommes plus en mesure de mesurer ni l’espace ni le temps. Cependant, il est essentiel de noter que cette absence de mesure précise ne signifie pas nécessairement que le temps est granulaire. Selon la théorie de la relativité générale d’Einstein, le temps et l’espace sont considérés comme continus et divisibles à l’infini. En revanche, certaines théories, comme celles de la gravité quantique, suggèrent que le temps pourrait être granulaire à ces échelles infiniment petites. Actuellement, il n’y a pas de consensus scientifique sur la nature continue ou discontinue du temps à ces échelles, et cela reste un domaine de recherche actif.


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Oliver Starc 1er novembre 2023 21:24

      @Francis, agnotologue


      Je ne suis pas sûr d’avoir bien compris votre pensée exacte, mais

      il me semble que vous pourriez avoir mal interprété le concept du Parcours Éternel des Moitiés Restantes (PE/MR). L’idée sous-jacente n’est pas que les processus physiques se déroulent instantanément, mais plutôt que le PE/MR explore la notion que notre expérience du temps pourrait être une construction de notre conscience. Cette réflexion philosophique se penche sur la manière dont nous percevons le temps en considérant comment nous percevons le passage de moitiés restantes.


      Il est vrai que la vitesse de la lumière n’est pas infinie, ce qui est une caractéristique fondamentale de la physique. Toutefois, le PE/MR ne cherche pas à remettre en question cette notion, mais plutôt à examiner comment nous, en tant qu’observateurs, interagissons avec le temps.


    • Ouam (Paria statutaire non vacciné) Ouam (Paria statutaire non vacciné) 2 novembre 2023 00:50

      @Oliver Starc
      " En revanche, certaines théories, comme celles de la gravité quantique, suggèrent que le temps pourrait être granulaire à ces échelles infiniment petites.

      "
       
      Ah oui et pourquoi donc ?
      De plus la granularité ne signifie pas que à l’interieur d’une de ces granularités qu’une échelle inférieure n’existe pas ?
      pour llustrer 
      Comme un grain de farine et ensuite une echelle atomique de cette matiere constituant ce grain


    • Hervé Hum Hervé Hum 2 novembre 2023 13:02

      @Oliver Starc

      Notez que vous pouvez faire l’expérience de votre PE/MR très facilement en plaçant deux miroirs en face l’un de l’autre et de regarder la réflexion d’un miroir dans l’autre. Vous aurez là cette division à priori infini, mais dans la réalité physique, si vous faites suivre une caméra, vous arriverez à la limite posée par les atomes et la longueur dites de Planck. Par contre, vous pourrez continuer via votre imaginaire, mais cela n’aurait aucun sens ! Et c’est précisément le sens qui est la raison fondamentale qui explique que la PE/.MR ne s’applique pas à la réalité physique et obéit au principe de causalité.

      En fait, votre interrogation porte sur deux aspects nécessaires de regarder pour donner une solution à cet apparent paradoxe.

      Un aspect purement physique et abordé sous l’angle du principe de causalité, maître de toute physique et un aspect portant sur l’ontologie du principe de causalité ou autrement dit, de sa raison d’être.

      Pour faire court, l’espace-temps est l’expression d’une relation de causalité mettant en relation l’espace par le temps, où le temps défini le changement d’état de l’espace, ce qu’est par définition une relation de causalité, la cause produit l’effet.

      Ainsi, pour qu’un espace n’ait plus une valeur infini comme dans la PE/MR, il faut lui associer un temps propre MAIS sous condition que ce même temps n’ait pas lui même une valeur infini, sans cela, on tombe sous le coup de votre remarque tout à fait correcte et valide, qui est qu’on ne peut pas distinguer un point d’un autre point soit d’espace, soit de temps. Le temps peut donc être continu en absolu, tout comme l’espace, mais se brise par interaction causale entre les deux. Ici, le temps et l’espace prennent soit la valeur 1, soit la valeur 0, mais aucune autre valeur possible.

      Pour sortir de l’infini et de l’état PE/MR, il faut donc nécessairement donner une valeur fractionnaire de l’espace et c’est précisément la fonction, propriété du temps par rapport à l’espace (et réciproquement) et qui ne peut se faire que via ce qu’on appelle les particules de matières. Sans elles, on ne peut pas sortir de l’état PE/MR, on ne peut pas diviser l’espace en dimensions par l’espace lui même, c’est impossible, car on tombe sous le coup de votre remarque. Autrement dit, il ne peut pas exister une dimension quelconque sans le temps dans la réalité, ce n’est possible que dans l’imaginaire et c’est là que se situe l’erreur fondamentale que vous cherchez. Parler de dimensions d’espaces a donc aucune réalité physique, ni logique (qui est une échelle particulière), mais seulement imaginaire.

      Autrement dit, toute particule de matières est l’expression d’une relation causale fermé sur elle même en relation d’intrication avec toutes les autres particules élémentaires, car obéissant aux mêmes lois physiques.

      En causalité, les particules élémentaires, qui sont bel et bien une pixélisation de l’espace-temps, se divisent en trois catégories intriquées. Une première catégorie avec la propriété de récurrence, une autre avec les propriétés de récurrence + itération et enfin, une particule avec les propriétés de récurrence, itération et fractalisation de l’espace-temps et qui sont les atomes.

      Ici, la raison d’existence de la matière réside dans le fait que la causalité est la condition pour donner sens à l’existant, sans laquelle votre PE/MR s’applique et correspond à l’imaginaire pur, c’est à dire, sans causalité observable. L’être en tant que tel, Est sans conditions d’existences et ne prend sens que via la causalité.

      Sans causalité, de la même manière qu’on ne peut pas donner une limite physique à l’espace ou au temps, on ne peut pas donner un sens quelconque à l’existant.


    • Hervé Hum Hervé Hum 2 novembre 2023 13:33

      @Hervé Hum

      j’oubliai un détail, la nécessité de la réalité physique donc de la causalité est de deux ordres.

      Donner sens à l’existant ET permettre aux être de communiquer entre eux, donc, partant d’un seul Etre, de se diviser en une multitude d’êtres qui ne peuvent partager un lieu commun que par des lois communes, donc, des lois physiques définies par la causalité.

      Sans cela, deux êtres ne peuvent pas communiquer entre eux, chacun étant confiné dans son seul imaginaire.

      Un principe étant fondamentalement (dans ses conditions d’existences) invariant, seule la forme changeant, la validité de ce principe d’invariance est vérifiable empiriquement quel que soit l’échelle ou le domaine observé.

      Par exemple, une nation ne peut exister que s’il y a des lois communes et de manière stable que si ces mêmes lois communes sont acceptés par le plus grand nombre et imposés pour la minorité qui les contestes. Donc, où chacun limite le champ de son propre imaginaire pour se plier aux lois communes issues de l’imaginaire collectif et valant alors lieu de réalité physiques relatives à l’échelle considérée.

      Quid de la situation mondiale actuelle !!!


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 3 novembre 2023 17:16

      @Oliver Starc
       
      J’ai écrit : Ce que nous appelons le temps est en réalité une illusion qui découle de notre perception de la durée des processus à l’œuvre dans l’univers physique.
       
      À quoi vous avez répondu :

      ’’Je ne suis pas sûr d’avoir bien compris votre pensée exacte, mais il me semble que vous pourriez avoir mal interprété le concept du Parcours Éternel des Moitiés Restantes (PE/MR). L’idée sous-jacente n’est pas que les processus physiques se déroulent instantanément, mais plutôt que le PE/MR explore la notion que notre expérience du temps pourrait être une construction de notre conscience.’’

       

      Vu que nous disons la même chose, de deux choses l’une :

      ou bien vous n"écoutez pas ce qu’on vous dit, ou bien vous ne savez pas ce qu’est une illusion.

       


  • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 1er novembre 2023 17:26

    ’’Curieusement, j’ai découvert que ce paradoxe avait été formulé il y a plus de 2500 ans par le philosophe Zénon, bien que je n’aie pris connaissance de son paradoxe de la dichotomie que plusieurs années après’’

    >

    Si c’est de l’humour, où est-on censé rire ?


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Oliver Starc 1er novembre 2023 17:46

      @Francis, agnotologue

      Je vous oblige pas de me croire... 😉


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 1er novembre 2023 18:49

      @Oliver Starc
       
      vous n’êtes évidemment pas tenu de comprendre le sens de ma petite réaction amusée ici.
       
      En revanche je serais intéressé par une réponse à mon commentaire de 17H38.


    • Ouam (Paria statutaire non vacciné) Ouam (Paria statutaire non vacciné) 2 novembre 2023 00:43

      @Francis, agnotologue
      C’est pas jeune ca 1250 ans (dichotomie inside) ^^
       
      Pour ta question oui elle est interessant de la notion de temps
       
      La seule chose connue est plutot un fractionnement de temps dans un « univers stable » cad par exemple tu est sur une table avec un jeu de mirroirs et un lazer et tu possede un systeme assez rapide comme l’experience d’il y a quelques anées qui te permet en fonction d’un espace parcuru d’en déduire une « notion » de temps un quantieme, xieme, une tranche de ce temps pour parcourir cette distance, distance parcourue qui si tu le prends par l’autre bout de la lognette qui te donne ce xieme de temps... c’est plus ici une notion d’échelle, de divisions,
      car jusqu’a ou le temps peut il etre divisé ????
       
      Je pose cette question car la réponse semble etre infinie,
      enfin suivant notre référant le plus rapide cad la vitesse de la lumiere,
      n’en possédant pas d’autre encore plus malléable et rapide
      (sauf si tu en vois un autre ?)
       
      Bref t sera toujours dans l’échelle de temps que nous connaissons sera toujours de
      T total = T actuel + T utilisé sur ces références
      Je dis ca pour la suite
      Si tu decoupes le trajet de la lumiere, entre un mlillimetre de plus ou un micron etc .. que l’avance du faisceau le temps entre ce micro déplacement existera toujours donc t aussi
      (logique ceci par contre ...le seul truc qui tiens la route dans mon explication)
       
      Tu peut en fait descendre l’avance de ton lazer jusqu’a l’échelle du photon,
      (donc la découpe de t aussi sinon si un espace de t etais superieur a un deplacement d’un photon tu aurai un saut de déplacement de x photons et par accoups un peu comme le procédé dans un viel appareil de cinéma avec le disque rotatif)
      apres est-ce celui ci (l’espace d’avancement d’un photon) qui fixe le minimum d’une tranche temporelle ????
       
      Dans le monde que nous connaissons et ou dans le mesurable le jour ou nous saurons le faire, certainement..
       
      Mais qui dis que dans cet ecart minimaliste scientifique minimum ..
      d’autres écarts encore plus fins (du a notre ignorance actuelle) n’existent pas dans ces decoupes de temps ?
      La va savoir ?? et surtout le démontrer
       
      Que finalement ces découpes de temps que nous désirons faire finalement ne puissent pas etre vraiment divisées puisqu’infinies, seules nos references peuvent de celui ci cad nos referentiels, base de connaissances en physique actuelle puisse etre divisables sur ce que l’on nomme « temps » !!
       
      Enfin le vois comme ca, ici n’est que pure supputiations ouamiemmes sans aucune valeur ni rigueur scientifiques, au au doigt mouillé pour et dur
       
      Si j’ai bien suivi ta question ?
      j’avoue m’etre aussi posé cette question et tenté de comprendre comment et jusqu’ou surtout ...

      Le raisonnement etant bien sur faux car dans un déplacement temporel à la vitesse de la lumiere ce temps sera different suivant le referentiel sur lequel tu regarde, mais ca tu le sais
      pour essayer de rester simple suis resté sur un referentiel fixe cad
      la table et l’observateur du rayon qui avance qui symbolyse le temps de maniere « visible » et quantifiable.
      C’est un peu come l’exemple ici de l’oeuf a quel moment en fait se brise t’il ?
      Si quelqu’un me démontre dans une reference temps ou il s’est brisé avant d’etre entier, la il est champion du monde.


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Olivier Dusong 4 novembre 2023 01:46

      @Ouam

      Savoir si le mouvement est pixelisé, c’est-à-dire divisé en étapes discrètes, ou s’il est composé d’une moitié éternelle de moitiés restantes est toute la question soulevée par le PE/MR.


      Mais il est important de noter que parler de la vitesse des photons ou de la lumière n’apporte pas davantage d’éclairage. En effet, le problème du PE/MR subsiste, quelle que soit la vitesse à laquelle un objet se déplace. Que ce soit à la vitesse de la lumière ou à la vitesse d’un escargot, le dilemme du PE/MR demeure identique.

      La question concernant la division hypothétique du temps en pixels et le franchissement des moitiés restantes reste une préoccupation centrale dans le débat sur le paradoxe du PE/MR, et elle nécessite toujours une résolution adéquate.


    • Ouam (Paria statutaire non vacciné) Ouam (Paria statutaire non vacciné) 4 novembre 2023 03:02

      @Olivier Dusong
      Bonjour

      "Mais il est important de noter que parler de la vitesse des photons ou de la lumière n’apporte pas davantage d’éclairage.

      « 

      Si elle crée la différence et la division possible du temps dans votre théorie de granularité du temps (indirectement vu que c’est dans un monde de type »fini« )
      Et si à l’inverse mon autre supposition cette division temporelle est de nature »infinie« ca n’est plus possible, granularité ou pas.
       
      C’est comme si vous me demandiez de situer la moitié d’un univers infini, c’est impossible n’ayant pas de reperes possibles sur celui ci, ou son quart ou son 8eme ou la division de divisions successives du point bas comme avec l’exemple de la chute de votre oeuf en exemple
      C’est plus clair ?
       
      Donc tant que nous ne connaissons pas la »nature« ou »définiton" du temps (hormis les exemples ci dessus qui permette par de la physique brute de mesurer une echelle de temps minimale possible dans des champs qui nous sont connus cette fois, vous avoue que la je vois pas si c’est dans le domaine de l’infini possible)
      Bien à vous,


  • Olivier Dusong (Oliver Starc) Oliver Starc 1er novembre 2023 19:09

    @Francis, agnotologue


    « Ces processus qui nous paraissent continus à notre échelle ne le sont pas du point de vue de la mécanique quantique. »


    L’échelle de Planck, qui représente la limite de ce que l’on peut connaître de l’infiniment petit, est de l’ordre de 10^-35 mètres, et la limite de la durée est d’environ 10^-44 secondes. Cependant, en deçà de ces échelles, nous ne sommes plus en mesure de mesurer ni l’espace ni le temps. Cependant, il est essentiel de noter que cette absence de mesure précise ne signifie pas nécessairement que le temps est granulaire. Selon la théorie de la relativité générale d’Einstein, le temps et l’espace sont considérés comme continus et divisibles à l’infini. En revanche, certaines théories, comme celles de la gravité quantique, suggèrent que le temps pourrait être granulaire à ces échelles infiniment petites. Actuellement, il n’y a pas de consensus scientifique sur la nature continue ou discontinue du temps à ces échelles, et cela reste un domaine de recherche actif.


  • rogal 1er novembre 2023 19:24

    Au lieu de prendre en considération les longueurs à diviser sans cesse par deux, on pourrait examiner ce qu’il est est des durées de parcours de celles-ci, avec, éventuellement, différentes hypothèses sur la vitesse du mobile.


    • rogal 1er novembre 2023 19:31

      @rogal
      Ce que je propose est de reprendre l’analyse en son début, en se débarrassant de l’idée de distance à parcourir. N’y a-t-il pas là, déjà, un paradoxe, parallèle en quelque sorte à celui des ’’parcours’’ ?


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Oliver Starc 1er novembre 2023 20:47

      @rogal

      Sauf que la vitesse ne résout pas le fait que l’œuf doit passer par le milieu de la distance à parcourir et donc sur la moitié des moitiés restantes. Que le mobile avance vite ou lentement, le passage sur le “Parcours Éternel des Moitiés Restantes” (PE/MR) reste invariable.


    • rogal 2 novembre 2023 04:53

      @Oliver Starc
      Il pourrait bien y avoir à distinguer les mouvements uniformes des mouvements variés (qui ne le sont pas nécessairement uniformément).


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Oliver Starc 2 novembre 2023 05:28

      @rogal
      La question de savoir si le mouvement est régulier ou saccadé est intéressante.

      L’échelle de Planck, qui représente la limite de ce que l’on peut connaître de l’infiniment petit, est de l’ordre de 10^-35 mètres, et la limite de la durée est d’environ 10^-44 secondes. À ces échelles, le principe d’incertitude d’Heisenberg stipule que nous ne pouvons pas mesurer simultanément avec précision la position et la vitesse d’une particule. Cette limitation peut donner l’impression que le mouvement de la particule se comporte de façon saccadée, comme s’il effectuait des sauts quantiques. Mais il faut comprendre que cette impression est le résultat du manque de précision inhérent à nos mesures, et cela ne signifie pas nécessairement que le temps est granulaire. Au contraire, cela pourrait davantage s’apparenter à une illusion due au principe d’incertitude d’Heisenberg plutôt qu’à une réalité objective.


      Selon la théorie de la relativité générale d’Einstein, le temps et l’espace sont considérés comme continus dans ce cas le principe du “Parcours Éternel des Moitiés Restantes” (PE/MR) resterait valable également sous les échelles de Planck.


      En revanche, certaines théories, comme celles de la gravité quantique, suggèrent que le temps pourrait être pixelisée à ces échelles infiniment petites. Mais, actuellement, il n’y a pas de consensus scientifique sur la nature continue ou discontinue du temps à ces échelles, et la question demeure.


    • Hervé Hum Hervé Hum 3 novembre 2023 09:16

      @Oliver Starc

      En revanche, certaines théories, comme celles de la gravité quantique, suggèrent que le temps pourrait être pixelisée à ces échelles infiniment petites. Mais, actuellement, il n’y a pas de consensus scientifique sur la nature continue ou discontinue du temps à ces échelles, et la question demeure.

      Le principe de causalité n’interdit pas qu’il existe des échelles inférieures à celle que nous connaissons, mais il pose une condition incontournable, qu’il y ait un sens à ces échelles inférieures.

      Autrement dit, tant que vous ne pouvez pas donner un sens à ces échelles, alors, elles n’ont pas lieu d’exister.

      L’échelle inférieure qui peut se passer d’une pixélisation fondé sur la vitesse de mouvement comme celle de la lumière, est la logique pure qui n’implique pas de vitesse, celle-ci peut être infini, mais impose un ordre de précession. L’effet ne peut pas précéder la cause !

      C’est cette échelle logique qui vous permet de conceptualiser votre théorie, mais qui implique la notion de masse dès lors où vous appliquez la logique dans une processus évolutif spatio-temporel. C’est à dire, pour donner un sens à l’existant et à cette même logique dans une relation d’espace-temps, donc, par changement d’état de l’être en tant qu’espace infini.

      Si vous reprenez mes commentaires précédents, un élément sous entendu peut vous apparaître quasiment comme une révélation... !


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Oliver Starc 4 novembre 2023 02:43

      @Hervé Hum

      Je suis relativement d’accord, mais ce n’est pas du tout un problème de vitesse ou de masse... le « Parcours Éternel des Moitiés Restantes » (PE/MR) concerne un problème identique, que ce soit à la vitesse d’un escargot ou de la lumière, pour passer sur les lieux « géographiques » des moitiés restantes... et comme vous le dite très bien vous-même… « L’effet ne peut pas précéder la cause ! »


      Vous dites que…


      « Le principe de causalité n’interdit pas qu’il existe des échelles inférieures à celle que nous connaissons, mais il pose une condition incontournable, qu’il y ait un sens à ces échelles inférieures. »


      Ce sens est que pour parcourir une distance, quelle que soit sa vitesse ou sa masse, un mobile doit obligatoirement passer par sa première moitié, puis continuer sur le « Parcours Éternel des Moitiés Restantes » (PE/MR)...

      Tant qu’on n’aura pas expliqué le dilemme entre :


      1. le « Parcours Éternel des Moitiés Restantes » (PE/MR)
      2. l’arrivée à destination


      On n’aura pas répondu à la question de pourquoi et comment le mouvement est possible.


    • Hervé Hum Hervé Hum 4 novembre 2023 17:38

      @Oliver Starc

      Si vous ne voyez pas le fait que la solution réside dans la division de l’espace par le temps qui donne des particules physique, vous ne verrez jamais la solution.

      Ce que vous écrivez n’étant valide que si vous ne donnez pas une valeur d’espace-temps unitaire et c’est ce que vous faites avec votre PE/MR. Mais le seul sens est précisément d’une chute sans fin où vous ne pourrez en sortir qu’en arrêtant la chute, donc en touchant, un fond. C’est à dire, où la dernière moitié restante à parcourir prend la valeur 1 et non plus 1/2 et donc par conséquence le temps restant à parcourir prend la valeur 0.

      Bref, la solution est en soi élémentaire, mais vous refusez tout simplement de la considérer et le résultat est que vous ne cessez de « tomber » dans un vide sans fond, mais dénué de sens ou finalité autre que de tomber dans un puits sans fin, sans fond et où votre existence n’a alors pas d’autre sens que cette chute sans fin et fermé sur elle même.

      Si vous appliquiez réellement la PE/MR à votre vie, vous seriez déjà mort ou enfermé dans un asile parce que votre esprit continuerait à suivre une chute imaginaire de l’oeuf et nierait le fait qu’il a depuis longtemps, puis très longtemps atteint le sol.

      La question porte donc sur pourquoi et comment l’Univers en tant qu’Etre fait pour définir des valeurs d’espace-temps via les particules de matières et qui donne alors obligatoirement un parcours fini.

      La réponse au pourquoi est pour donner sens à l’’existant car l’être existe sans cause, donc, de manière éternelle, sans commencement tel l’espace vide sans dimension d’espace défini. Le comment est lui par le principe de causalité. Reste toujours la question du comment ce comment à t’il pu advenir, émerger ?!

      Le principe de causalité, tout comme l’intelligence n’ont pas de sens propre car c’est le domaine exclusif de l’être, mais des conditions d’existences qui fait que la fin ne justifie pas les moyens, elle les nécessites.

      Ce que révèle le PE/MR, c’est la nécessité de définir un espace-temps via les particules de matières pour sortir de cette chute sans fin.

      Nécessité qui peut se voir de différentes manières et en l’abordant sous différents angles. Comme le fait qu’il soit impossible d’imaginer quoi que ce soit partant de l’imaginaire pur, car on tombe dans une forme de PE/MR !!!


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Oliver Starc 5 novembre 2023 05:35

      @Hervé Hum

      « Si vous appliquiez réellement la PE/MR à votre vie, vous seriez déjà mort ou enfermé dans un asile parce que votre esprit continuerait à suivre une chute imaginaire de l’oeuf et nierait le fait qu’il a depuis longtemps, puis très longtemps atteint le sol. »


      Une erreur courante est de considérer les moitiés restantes comme si c’étaient de l’imaginaire. Le fait que l’œuf doit passer par ses moitiés restantes est une réalité physique tout aussi incontournable que son arrivée au sol.

      Il y a donc deux constats que personne ne devrait pouvoir réfuter facilement :


      1 Avant d’arriver au sol, l’œuf doit impérativement passer par la première moitié de son trajet, puis par les moitiés suivantes. Ces moitiés sont des lieux « géographiques » physiques bien réels. Il est impératif de ne pas les prendre pour des points placés là par l’imagination. Ainsi, le PE/MR n’est pas simplement un problème imaginaire.


      2 Malgré le PE/MR, nous constatons effectivement que l’œuf est au sol, observation tout aussi indéniable. Pourtant, cette observation s’oppose à la réalité du PE/MR, ce qui exige une explication.


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Oliver Starc 5 novembre 2023 05:37

      @Hervé Hum

      « Bref, la solution est en soi élémentaire, mais vous refusez tout simplement de la considérer »


      N’allez pas dire que je nie l’hypothèse selon laquelle le parcours pourrait être pixelisé. En fait, c’est l’une des solutions que je propose dans le sous-titre :



      « Un temps pixelisé pour résoudre le paradoxe du PE/MR ? »


      Comme je l’explique, il n’y a aucune certitude ni consensus scientifique quant à l’existence réelle de cette hypothétique pixelisation. Par exemple, selon la relativité générale, elle n’existe pas.

      Cependant, j’explique également les limites de cette proposition qui est aussi la votre :


      « Si l’on arrivait à prouver que le temps et l’espace sont constitués de pixels, alors le mobile pourrait atteindre sa cible sans avoir à traverser un PE/MR infini. En revanche, si l’on envisage l’existence de telles entités tellement courtes qu’elles ne pourraient plus contenir de milieu, d’autres paradoxes surgissent tout aussi compliqués. En effet, si on envisage qu’au bout d’une certaine limite, un parcours ne serait plus capable d’avoir de milieux, alors un mobile traversant ce parcours infime verrait que son point de départ et d’arrivée seraient simultanément dans le même lieu et au même moment, le privant de toute possibilité de pouvoir se mouvoir. Si une telle propriété de parcours existait, assembler un ensemble infini de ces pixels sans milieu résulterait toujours en une addition de points d’espace nuls, et l’addition d’un nombre infini de ces points sans dimension donnerait toujours un parcours nul.


      À l’inverse, si l’addition de ces points sans milieux permettait de reproduire un parcours, c’est nécessairement que ces points ne seraient pas totalement nuls et devraient nécessairement avoir un milieu par lequel le mobile doit passer pour les réaliser, ressuscitant alors le problème du PE/MR. Ainsi, il m’a semblé que cette solution semble incomplète et s’embrouille dans ses propres contradictions pour le moment. »


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Oliver Starc 5 novembre 2023 05:54

      @Hervé Hum

      « Ce que révèle le PE/MR, c’est la nécessité de définir un espace-temps via les particules de matières pour sortir de cette chute sans fin. »


      Je pense que la notion des moitiés restantes est souvent mal comprise. Une moitié restante est une portion du parcours, purement immatérielle, et elle est indépendante de la structure atomique de la matière. Le concept selon lequel un parcours est constitué de nombreuses moitiés restantes est une réalité incontestable et n’a rien à voir avec la structure atomique de la matière. C’est mon point de vue.


    • Hervé Hum Hervé Hum 5 novembre 2023 23:48

      @Oliver Starc

      La réalité obéit au principe de causalité, pas à l’imaginaire de qui que ce soit, même Dieu.

      Or, votre PE/MR appliqué à la chute d’un oeuf n’obéit pas à la causalité dans votre point 1, puisque l’oeuf touche le sol, mais seulement au point 2. La réfutation du point 1 est donc le fait que l’oeuf se brise, inutile d’aller chercher plus loin puisque cela consisterait à dire que l’oeuf ne touche pas le sol, autrement dit, ralentit sans cesse au fur et à mesure qu’il approche du sol, jusqu’à paraître immobile et finalement jusqu’à sembler toucher le sol, ce qui arrive dans aucune expérience sur Terre. Encore une fois, seul votre imaginaire peut le faire, mais parce que c’est vous qui êtes le maître de la causalité et non l’inverse comme dans la réalité.

      Ici, votre point de vue est totalement contredit par la réalité et prouve qu’il s’agit de votre imaginaire.


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 6 novembre 2023 11:37

      @Hervé Hum
       
      ’’La réalité obéit au principe de causalité, pas à l’imaginaire de qui que ce soit, même Dieu’’
      >
      Non.
       Le réel est aussi vaste qu’inconnaissable et le principe de causalité y a nécessairement une place de choix sans quoi ce serait le chaos ou le néant - et nous ne serions pas là pour en parler.
       En revanche, la réalité que beaucoup confondent avec le réel, est subjective autant qu’imaginaire.
       
       Une bonne explication, là, amha.


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Olivier Dusong (Oliver Starc) 6 novembre 2023 11:41

      @Hervé Hum


      Je vous remercie… Il est compréhensible que l’on puisse considérer cette notion comme relevant de l’imaginaire, surtout lorsque l’œuf se brise au sol. Toutefois, le fait indéniable que l’œuf doit inévitablement passer par le centre de son parcours pose une problématique lorsqu’il est appliqué aux moitiés restantes.


      Il existe deux réalités en conflit :


      1. Nous avons effectivement observé l’œuf se briser au sol.


      2. À moins que nous puissions prouver le contraire, il est impératif pour un objet mobile de passer par la zone médiane de son parcours.


      Rejeter simplement la logique des moitiés restantes en la qualifiant d’imaginaire ne résout pas le problème. Nous sommes confrontés à deux options : soit la logique des moitiés restantes est incorrecte, et il nous faut identifier cette erreur, soit la logique est correcte, et il convient d’expliquer pourquoi notre observation de l’œuf ne concorde pas avec la réalité des moitiés restantes.


      Affirmer que cela relève de l’imaginaire revient non seulement à nier l’une de ces deux réalités, mais aussi à ne pas fournir une réponse satisfaisante à la question de savoir si le PE/MR constitue un raisonnement erroné. Pour rester objectif, il est essentiel d’aborder ce conflit. Sinon, on ne traite pas le problème dans son ensemble.


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 6 novembre 2023 12:15

      @Olivier Dusong (Oliver Starc)
       
       «  La dissonance cognitive nous joue des tours : nous déformons la réalité pour concilier nos croyances, nos biais cognitifs et nos comportements. »
      (En fait nous ne déformons pas la (notre) réalité, nous la conformons. Nuance 
       
      Dans son livre « votre cerveau vous joue des tours », Albert moukheber, docteur en neurosciences et psychologue clinicien, rappelle que, quand des informations entrent en désaccord avec nos préférences, nos convictions, nos croyances ou nos comportements, nous éprouvons un état de tension qui rompt notre homéostasie. L’homéostasie est un état d’équilibre interne pour conserver un fonctionnement moteur cérébral optimal. Naturellement, le cerveau aspire à vouloir réduire cette tension.

      Leon Festinger, psychosociologue américain, a théorisé ce mécanisme et l’a nommé “dissonance cognitive“. Festinger a défini trois étapes dans le processus de réduction de la dissonance cognitive :
      — identifier l’événement qui nous fait entrer en dissonance,
      — modifier son comportement ou sa croyance pour résoudre la tension interne,
      — si nécessaire, ajouter de nouvelles informations qui peuvent atténuer les effets de la dissonance.
      La réduction de cette dissonance cognitive est un phénomène qui s’opère fréquemment dans notre vie quotidienne et qui démontre à quel point nous sommes capables de déformer (notre) réalité pour concilier nos croyances et nos comportements.

      Albert Moukheiber prend l’exemple de la fable du Renard et les Raisins de Jean de la Fontaine pour mieux comprendre la dissonance cognitive
      « Je suis oiseau : voyez mes ailes ... - Je suis souris, vivent les rats ! » Jean de La Fontaine


    • Hervé Hum Hervé Hum 6 novembre 2023 14:04

      @Francis, agnotologue

      Je suis allé lire votre lien et pour ma part, je ne donne pas la même définition de la réalité qui ne peut être séparé du réel par la perception, car c’est le fait de l’imaginaire.

      Dans votre lien la réalité est définie comme "ce qu’un individu perçoit et comprend du réel

      « . Sauf que dans ce cas là, il n’existe pas de réalité commune, mais particulière à chacun, or, la réalité d’un fait ne repose pas sur la perception que chacun à de l’évènement, mais sur le fait que toutes les personnes présentent au moment du fait, attestent que l’évènement a eut lieu et ceci, indépendamment de la perception qu’ils ont de l’évènement où elle va porter sur son importance, conséquences, compréhension, analyse, mais pas sur son existence. Eux disent que c’est le réel, moi je dis que c’est la réalité selon sa définition communément admise.

      Comme le faisait remarquer Philip K Dick »la réalité est tout ce qui refuse de disparaître une fois que je n’y crois plus« . Mais il aurait pu tout aussi bien écrire »le réel". Lui aussi ne donne pas la même définition que le ou les personnes de votre lien, puisque d’après eux, chacun peut faire disparaître ce qu’il veut, quand il veut, comme il veut selon qu’il veut ou non percevoir la réalité. Sauf qu’on appelle cela le déni et dont votre lien parle.

      Autrement dit, le réel ou la réalité entrent en collusion avec notre imaginaire qui va donner notre perception de la réalité et non pas la réalité telle qu’en elle même et qui est le réel.

      Conséquence logique, c’est le principe de causalité qui seul permet de dire ce qui relève de la réalité et ce qui relève de l’imaginaire, sans lui, il est impossible de faire la différence et c’est pour cela que le principe de causalité est le moyen pour tout scientifique quel que soit le domaine, pour tester la validité de sa théorie.

      La causalité n’a pas une place de choix dans le réel, c’est sa condition d’existence, sans principe de causalité, je vous met au défi de me montrer quelque chose de réel.Toute particule de matière est de ce point de vue, l’expression d’une relation de causalité et rien d’autre et toute expérience empirique, quel que soit le domaine en fait la preuve à chaque instant et partout où notre regard se porte.

      Pour faire court, selon le mode de pensé que je suit, l’imaginaire est le propre de l’être et le principe de causalité l’unique moyen pour lui de sortir de son imaginaire particulier et entrer en communication avec les imaginaires des autres êtres. Sans cela, chaque être est confiné dans son propre imaginaire sans pouvoir communiquer, sauf via la causalité qui consiste à définir des lois communes, condition pour communiquer avec autrui.

      A partir de là, on peut définir une réalité relative, comme celle des lois d’un pays et qui sont l’expression d’un imaginaire collectif qui permet à des êtres de vivre dans un même espace-temps physique, sans cela, c’est le chaos.

      ¨Bon, il y a une autre raison de la nécessité du principe de causalité, donc, de la réalité, mais je vais pas en reparler ici !


    • Hervé Hum Hervé Hum 6 novembre 2023 14:30

      @Olivier Dusong

      Je vais faire une dernière tentative pour vous faire voir mon point de vue, sur le fait que ce que vous ne voyez pas dans ce que je ne cesse pas d’écrire, c’est l’importance de la notion de sens.

      Prenons l’exemple d’un gâteau et appliquons lui la PE/MR

      Disons que la personne souhaite manger une part de gâteau tous les jours de manière infinie, il ne pourra pas le faire en divisant le gâteau en part égale, car il obtiendra toujours un résultat fini, donc, un nombre de jours défini. Vous pouvez vérifier, dès l’instant où vous définissez une quantité en part égale d’un même ensemble, vous aurez toujours un nombre fini. Pour qu’il reste infini, il ne faut pas couper le gâteau en parts égales.

      Par contre, s’il applique le principe de la PE/MR, alors, il pourra effectivement découper son gâteau de manière infini, mais revers de la médaille, chaque part sera toujours la moitié de la précédente, ma première part sera la moitié du gâteau, la seconde, le quart, puis 1/8ème, etc.

      On voit que très vite les parts deviendront de plus en plus petites et qu’au delà de la 4ème division, les parts ne voudront plus dire grand chose ou alors, il faudra que le gâteau soit d’autant plus gigantesque !!!

      Et même relativement vite, chaque part restante à partager seront au delà de la limite de Planck ! Et cela n’a alors plus aucun sens sinon d’être prisonnier de cette division infini.

      C’est donc toujours le sens qui détermine la limite physique au niveau fondamental. 

      ainsi, vous voulez sortir de la PE/MR ? alors, définissez une unité de mesure. Vous voulez au contraire rester ou entrer dans la PE/MR ? Alors, ne définissez pas d’unité de mesure et interdisez vous d’en trouver une.

      Bref ; votre PE/MR prouve l’existence d’une unité de mesure physique fondamentale que vous niez vous même !

      On dit qu’il y a des chercheurs qui cherchent uniquement sous le lampadaire parce que c’est éclairé alors que la clé se trouve ailleurs, vous, vous faites le contraire, la clé est sous le lampadaire mais vous vous obstinez à la chercher ailleurs !


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Olivier Dusong (Oliver Starc) 6 novembre 2023 19:43

      @Hervé Hum

      Je comprends que vous essayez d’utiliser une analogie pour expliquer le Parcours Éternel des Moitiés Restantes (PE/MR). Cependant, il est essentiel de noter que l’analogie du gâteau ne capture pas pleinement la complexité du PE/MR. Le PE/MR ne consiste pas simplement à diviser un objet en morceaux de plus en plus petits, mais il explore comment un objet se déplace à travers une série d’étapes intermédiaires pour atteindre sa destination finale.


      Dans le cas du gâteau, les tranches de plus en plus petites ne représentent que des subdivisions finies, et leur somme totale est toujours finie. Cependant, dans le contexte du PE/MR, l’objet traverse réellement chaque moitié restante de manière continue. La difficulté réside dans la compréhension de la progression à travers ces moitiés pour atteindre la destination finale, ce qui implique un concept temporel.


      Le PE/MR se concentre sur la façon dont un objet se déplace dans le temps et l’espace, en traversant ces moitiés intermédiaires, tandis que l’analogie du gâteau ne traite pas de ces questions temporelles et conceptuelles. Par conséquent, il peut ne pas être le meilleur moyen d’expliquer la complexité du PE/MR.


      Je vous encourage à considérer que le PE/MR est une exploration des séquences d’étapes réelles dans un événement temporel, ce qui le distingue des simples divisions mentales d’une entité, comme dans l’analogie du gâteau.


      Cordialement,


    • Hervé Hum Hervé Hum 7 novembre 2023 09:14

      @Olivier Dusong

      Le principe de la PE/MR s’applique fondamentalement de la même manière au gâteau qu’à votre exemple de l’oeuf ou à n’importe quoi, seule la forme évolue en fonction de l’échelle ou du domaine auquel on applique un principe. Cette loi qui veut qu’un principe est invariant fondamentalement (dans ses conditions d’existences) découlant directement du principe de causalité, n’a jamais été pris en défaut jusqu’à maintenant et est vérifiable empiriquement partout dans la réalité physique.

      Le problème étant que vous n’apportez pas de contre arguments, vous affirmez sans rien démontrer. Il n’y a aucune difficulté à comprendre que pour atteindre la destination finale vous devez définir une unité de mesure dans votre division mentale, chose que vous ne faites pas avec votre part restante qui est « une division mentale infini » et qui donc ne permet pas d’atteindre la destination finale appliqué à la réalité observé où pour « résoudre » l’aporie, vous dites qu’il ne s’agit pas d’une division mentale. 

      Si vous avez une réponse à donner qui soit éclairante, donnez là, car pour l’instant, la seule chose à comprendre, c’est que votre raisonnement est une aporie !

      Sans cela, je ne vous importunerai plus et vous souhaite bon courage !


  • chapoutier 6 novembre 2023 16:28

    Votre « théorie » des moitiés restantes s’applique à toute quantité mesurable, donc une feuille de papier peut être pliée en deux à l’infinie, un cheveu peut être lui aussi plié en deux à l’infini, ou en quatre dans votre cas.

    Prenons un fil hypothétique de longueur n, on divise par 2 et on obtient un fil de longueur n/2 que l’on divise encore par 2, et on obtient une longueur n/4 et ainsi de suite n/8 , n/16, ….n/2048....à l’infini.

    On peut donc prendre un fil de n fois la longueur de planck et si on le divise par deux à l’infini qu’obtient-on ?

    Et si n est =1 que se passe t-il pour la longueur de Planck ?


    Mais comme tout ce qui est mesurable peut être divisé par deux à l’infini, prenons la vie de Chapoutier, il me reste x années à vivre, dans x/2 années il me restera encore x/2 années qui seront divisées par 2 donc avant ma mort il me restera x/4 années ensuite x/8 et encore x/16 et ainsi de suite, donc je suis immortel jusqu’à ma mort dans des séquences de vie tendant vers l’infiniment court laps de temps.

    Mais personne ne sait quand je vais mourir !

    Et votre œuf ne sait rien de sa condition, ni de sa finalité qui est de s’exploser sur le carrelage de votre cuisine.

    Vous seul, extérieur à la condition de l’œuf, avez le luxe de vous triturer le cerveau avec ces paradoxes, mais l’œuf ne peut se soustraire à l’accélération de la pesanteur terrestre qui le mène jusqu’au carrelage, comme je ne peux me soustraire à la mort bien que je puisse « théoriquement » séquencer le temps qui me reste à vivre en une suite infinie tendant vers l’infiniment petit intervalle de temps.

    Reprenons votre exemple de l’œuf et du carrelage, disons à la 20 000 eme itération de votre division du parcours restant, que se passerait-il si tous les atomes du carrelage et de l’oeuf concordaient parfaitement et que votre oeuf traverse le carrelage sans jamais l’atteindre ?


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Olivier Dusong (Oliver Starc) 6 novembre 2023 20:44

      @chapoutier

      Je pense que vous avez bien saisi la problématique du PE/MR dans son ensemble. Cependant, il me faut clarifier un point essentiel. Appliquer la division infinie à des objets inanimés, comme une feuille de papier ou un cheveu, ne reflète pas la complexité du PE/MR. Le cœur de la question réside dans la notion de progression temporelle.


      Le PE/MR ne se résume pas à de simples divisions infinies d’espace ou d’objets. Il examine comment un objet se déplace concrètement d’un point A à un point B en passant progressivement par chaque moitié restante de cette trajectoire. Ces moitiés ne sont pas des divisions arbitraires, ni des entités imaginaires créées de toutes pièces, mais des étapes réelles et physiques, tout aussi incontournables que les points de départ et d’arrivée.


      Ainsi, la comparaison avec des objets inanimés qui sont divisés en continu ne correspond pas à la complexité du PE/MR, qui implique une évolution continue dans le temps. L’objet doit traverser ces moitiés successives progressivement, créant une dynamique temporelle unique. C’est cette singularité qui fait que le PE/MR s’oppose à deux réalités contradictoires.


      1. L’arrivée de l’œuf au sol.


      2. La nécessité pour tout mobile de devoir passer par la moitié de sa trajectoire.


      Ces deux constats, en apparence simples, sont en réalité en totale contradiction. Appliquer la division infinie à des objets inanimés ne reflète en rien la complexité du PE/MR, car ce dernier est intrinsèquement lié à une dimension temporelle, engendrant le paradoxe de la coexistence de ces deux réalités contradictoires.


    • chapoutier 6 novembre 2023 21:08

      @Olivier Dusong (Oliver Starc)

      Ces moitiés ne sont pas des divisions arbitraires, ni des entités imaginaires créées de toutes pièces,

      et bien si elles sont totalement arbitraires et ce qui est arbitraire par dessus tout est la façon de poser le probleme, chaque gamin à joué dans son enfance à ce genre de jeux, dessiné un espacement avec deux traits verticaux, et ensuite placé un autre trait vertical de la mesure de la moitié de l’espacement précédent et ainsi de suite jusqu’a ce que tous les traits se confondent en un seul. le gamin jouait à dessiner une serie convergente et en terminale math il comprenait le sens de son amusement enfantin.

      vous etes persuadé d’avoir réinventer l’eau chaude, et rien d’autre.


    • Ouam (Paria statutaire non vacciné) Ouam (Paria statutaire non vacciné) 6 novembre 2023 21:24

      @Olivier Dusong (Oliver Starc)
      "Le PE/MR ne se résume pas à de simples divisions infinies d’espace ou d’objets. Il examine comment un objet se déplace concrètement d’un point A à un point B en passant progressivement par chaque moitié restante de cette trajectoire. Ces moitiés ne sont pas des divisions arbitraires, ni des entités imaginaires créées de toutes pièces, mais des étapes réelles et physiques, tout aussi incontournables que les points de départ et d’arrivée.

      "

      Doonc si vous placez ceci sur un plan physique alors mon exemple avec le photon qui sera le plus petit élément mesurable que l’espace temps de votre oeuf est un bien meilleur exemple
      ET la limite physique est dans ce cas notre appréciation qui est juste ou fausse (tout se situes ici) est si ce photon est le dernier élément temporel mesurable
      Dans l’autre cas votre histoire de PE/MR

      n’a plus de sens car diviser un objet infi ne peut donner qu’un resultat infi comme vouloir diviser quelque chose par zero, c’est impossible
      Enfin c’est ce que j’en comprend dans le principe que vous évoquez ?

      Vous dites ensuite
      "Ces deux constats, en apparence simples, sont en réalité en totale contradiction. Appliquer la division infinie à des objets inanimés ne reflète en rien la complexité du PE/MR, car ce dernier est intrinsèquement lié à une dimension temporelle,"

      Donc sur une dimention FINIE ok sauf qu’il faut le prouver (hormis la subjectivité de l’observateur)
      si à l’inverse elle est infinie (et prouvez moi le contraire)
      cela n’a plus de sens (cad vous trouvez dans la division par zero ou l’infini kif kif) ce qui reviens à diviser un infini par deux, c’est donc impossible puisqu’il est infini, meme si ces objets vous semblent bouger ou pas car encore une fois pareil
      Comment démontrer un objet statique de maniere infinie, c’est impossible
      comme son inverse un objet mouvant idem (meme en enlevant les notions d’énergie le mouvant)
      Dans votre histoire d’oeuf seul la subjectivité peut etre présente car déja a quel moment dans vos multiples divisions est il d’apres vous brisé, car c’est d’apres vous qu’il est brisé pas avant et ceci dans une notion de temps mais si cette notion peut etre divisée infiniment il existera une notion infi d’etats ou cet oeuf vous paraitra cassé alors qu’’il est en fait dans un etat indéterminé car suivant la subjectifité de l’observateur a lui le determinera brisé alorsq que l’observateur b lui le verra pas encore brisé ...
      C’est une démarche de reflexion interessante en tout cas merci pour cela


    • Ouam (Paria statutaire non vacciné) Ouam (Paria statutaire non vacciné) 6 novembre 2023 21:27

      @Chapoutier
      "et bien si elles sont totalement arbitraires et ce qui est arbitraire par dessus tout est la façon de poser le probleme

      « 

      C’est ce que je pense aussi ainsi de savoir jusqu’ou le temps peut etre découpé, d’un coté le physique minimum (mon photon qui avance) et quidis qu’il n’existe toujours pas des notions de mouvement donc de temps divisables ouautre chose qui ne tendent pas vers l’infinu divisable, c’est comme si a l’inverse dans l’infiniment grand nous voulions diviser l’infiniment grand, le chhiffre ne peut qu’etre infiniment grand puisque le propore chiffre a diviser est de nature infinie donc non »bornée" 


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Olivier Dusong (Oliver Starc) 7 novembre 2023 02:19

      @chapoutier

      Dans le cas de la division d’un objet statique, il n’y a pas de dimension temporelle associée. Il est possible de diviser un gâteau à l’infini sans qu’il ne se déplace dans le temps. Donc il n’y a aucun paradoxe dans votre exemple. Vous avez juste décidé de diviser mentalement un objet à l’infini, on sait par ailleurs qu’à un moment donné il ne restera possiblement plus rien de votre division.


      Contrairement au PE/MR, votre division ne présente aucun paradoxe car le paradoxe naît de l’ordre temporel dans lequel les moitiés restantes sont traversées. La première moitié restante, la deuxième, 3, 4, 5, et ainsi de suite ne peuvent pas être parcourues dans n’importe quel ordre. C’est cela qui crée le paradoxe… selon cet ordre progressif et parce que c’est un événement temporel qui doit préalablement s’accomplir avant d’exister, c’est là que réside la vraie question. Comment atteindre ces moitiés restantes dans l’ordre chronologique.


      Vos exemples de divisions sont complètement arbitraires et négligent totalement l’aspect temporel. Ils ne sont en rien comparables au problème du PE/MR car ils ne font apparaître aucun paradoxe contrairement au PE/MR.


      En revanche, le PE/MR implique une progression temporelle. L’objet doit réellement traverser ces étapes temporelles, créant un paradoxe qui oppose deux réalités contradictoires :


      1. Le mobile atteint sa cible.

      2. Le mobile ne peut atteindre sa cible car il doit au préalable parcourir sa première moitié restante avant de l’atteindre.


      Tant que nous n’aurons pas expliqué le pourquoi de cette contradiction et comment le mobile atteint sa cible, nous n’aurons pas abordé ce problème complexe. Il ne s’agit pas de nier que le mobile atteint sa cible, mais de se poser la question de comment cela se fait. Diviser un objet statique intemporel ne présente aucun intérêt contrairement au PE/MR.


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Olivier Dusong (Oliver Starc) 7 novembre 2023 02:54

      @Ouam (Paria statutaire non vacciné)

      Effectivement… Toute la question est de savoir si le temps est pixelisé ou non.

      Mais ce n’est pas la seule explication possible... Je vous invite à relire les deux sous-titres de mon article :


      « L’univers aurait-il des dimensions parallèles qui pourraient expliquer le PE/MR ? »


      Et


      « Les PFT, pixels « temps » de notre conscience. »


      Car ce sont d’autres pistes que je pense intéressantes à explorer.


    • Ouam (Paria statutaire non vacciné) Ouam (Paria statutaire non vacciné) 7 novembre 2023 07:10

      @Olivier Dusong (Oliver Starc)
      Re bonjour
      La science ou l’esprit scientifique est celui de la contradiction etayée
      Suis donc dans mon role même si j’imagine qu’il n’arrange pas vos affaires ^^
       
      Vous reconnaissez enfin cette question qui est crutiale concernant tout le reste de votre échaffaudage théorique.
      « Effectivement… Toute la question est de savoir si le temps est pixelisé ou non. »
       
      Voila enfin, alors sur le pojbt de vue physique,, enfin de ce que nous en savons actuelllement , mon meilleur exemple possible que vous aviez balayé d’un revers de manche pourtant le plus mesurable etant le déplacement minimal d’un photon dans l’espace, ce qui permet par l’observation (meme si nous n(y arrivons pas ce joiur bnous y arriverons peut etre demain ?) est la base de temps la plus petite découpable (vu sa vitesse cad 300.000 kms grosso modo et la taille d’un photon / electron c’est kif kif)
      Sur ces deux bases ci, j’insiste sur le plan physique vous etes (peut etre mais ca sera remis en cause plus tard) sutr un « bornage possible d’une notion de temps mesurable possible donc de diviser quelque chose, qui est ici votre notion de temps, le hic c’est que oui je sais suis chiant (lol) rien ne garantis que dans cet univers du photon un autre infiniment plus petit sot encore présent , infiniment petit que nous n’avons pas découvert, et la vlan il faudrai a nouveau regarder le déplacement de cet infiniment petit non découvert pour a nouveau pouvoir redécouper cette tranche de temps et ensuite rien ne garantis qu’une fois que nous aurons découvert cet infiniment petit qu’un autre xieme élement infiniment petit existe , vous savez le microscope electronique n’est pas si vieux si l’on réfléchis bien ou d’autres procédés qui nous ont permis d’aborder cet infiniment petit que nous ne connnbaission pas il y a tres peu dans l’ecxhelle de vie de l’humanité, donc par expérience....restons humble.
       
       »« Les PFT, pixels « temps » de notre conscience. »

      « 
      Ici en revanche si vous vous referez a un champ connu cad l’humain et sa concience ? enfin si je saisis bien vos propos, oui c’est posible mais cela sera fait tres probablement sur une base érronnée etant celle des connaissances actuelle du dit humain et ses capactés d’observations
      pour la partie relecture ?

       »Cela signifiait que le mouvement de l’œuf selon le PE/MR devait être éternel, sans début ni fin, se prolongeant indéfiniment à travers un continuum infini de moitiés restantes éternelles.

      Voila sur ca je suis d’accord c’est ce que j’indique aussi depuis le début tant qu’on ne sais pas cette fameuse notion de temps, et donc la diviser n’a finalement plus grand sens tant que ce parametre temps n’est pas établi

      et la clef du raisonnement et son erreur partyiellement reconnue est bien ici
      "En revanche, si je considérais que ma logique était correcte, alors il m’aurait fallu expliquer pourquoi mon observation ne reflétait pas nécessairement la réalité. Cela aurait pu être dû à une illusion, peut-être causée par des limitations de mes capacités sensorielles ou une mauvaise interprétation du monde qui m’entourait.« 

      Parce que elle ne la reflete pas, elle la reflete pour vous par exemple qui avez une capacité »mentale« de découpe du temps ou d’une image (donc d’un ensemble de groupes de photons) sur 1/25eme de seconde ou 1/18eme on ne va pas chipoter on s’en fous , pour vous l’onservazteur etre capable de juger et de voir meme le moment de ce qui vous semble etre la rupture de cet oeuf, et c’est bien sur un point de vue temporel oui une illusion car si nous pouvions »figer« le temps cet oeuf au moment ou il entre en contact avec le sol (une vue grossiere pour l’exprimer) ne se briserai jamais et dans ce cas vous ne pourriez pas diviser non plus un temps t qui est égal à un zero absolu
      Vous suivez le raisonnement j’esssaye de faire au plus compréhensinle possible
      Bref c’est tout ceci ces ensembles de choses qui m’embetent dans ces raisonnements

      Comme ici je ne saisis pas votre probleme
       »L’énigme sera résolue que lorsqu’il sera expliqué pourquoi le mobile semble bien arriver à destination malgré un "Parcours Éternel des Moitiés Restantes" obligé.

      Il n’y a pas ici de notions de moitiés restantes sauf partir dans des divisions infinies il y a un objet qui se déplace dans une notion d’energie et de vitesses induites avec des choses qui sont bornées la pierre mouvante et l’arbre statique
      ou dans votre échelle humaine ou physiques sur celle de la lumiere que je prend en référence de maniere quazi obligée car c’est elle qui transporte l’image de l’objet que vous observez ou ici il vous est possible de diviser le temps donc vos divisions

      l’enigme ici est peut etre qu’une granularité du temps est peut etre simplement la vision d’ une echelle humaine qui finalement est une idée d’humain et que celle infinie de l’univers (non je ne cause pas du big bang et ses 13 millards d’années car sinon c’est de la que partirais « t » et nous aurions déja une base de départ) avant il existais autre chose ou meme rien mais le temps enfin sa notion en principe etais la, comme il sera toujours la meme apres la destruction de notre dit univers (enfin en principe ou sinon faut m’expliquer pourquoi il se figerais)
      c’est ici ou cette histoire de division m’ennuie le plus car dès que l’on change d’echelle cette notion de temps et de division de celui ci ne tiens plus

      Pour le reste vous inquitez pas la peliciline à étée découverte par une grosse faignasse (comme quoi il est bon de faignanter) par hazard du a une chamignoniere en dessous du labo comme de multiples autres découvertes et pas des moindres.
      Donc continuez à chercher defois un coup de bol on peut trouver autre chose par le plus pur des hazards...(ou conjonctions de situations improbables) l’histoire en est remplie.

      "Pourrions-nous imaginer que l’espace et le temps pourraient être granulaires, composés de quanta, sortes de pixels ? Dans cette hypothèse, le parcours du mobile serait constitué d’un certain nombre de ces pixels, et le mouvement se ferait de pixel en pixel de façon saccadée. Une fois les pixels épuisés, notre mobile atteindrait aisément sa destination."
      Pour moi l’erreur se situes ici de vouloir diviser quelque chose ou materialiser quelque chose qui est indivisible et immatérialisable sauf dans l’univers connu soit phyque minimaliste soit de perception humaine que vous décrivais plus haut (le temps d’avancée d’un photon p ex)
      mais ou rien n’est démontré qu’apres celui ci il n’en existe pas un autre plus petit
      Vous dis la clef de l’énigme (ou une grande partie) est la.

      Bonne journée


    • chapoutier 7 novembre 2023 08:12

      @Olivier Dusong (Oliver Starc)

      Vous dites que : «  Dans le cas de la division d’un objet statique, » . Vous me permettrez de sursauter à cette brillante découverte à l’appui de vos déclarations qui est d’une rare bétise. Vous n’etes pas sans savoir, ou plutot vous semblez totalement ignorer un fait de base, à savoir que l’univers est mouvement et que l’immobilité n’existe pas, l’immobilité est égale à la mort de l’univers, à la fin de l’entropie. Notre galaxie se meut dans le cadre de l’expansion de l’univers, notre étoile tourne autour de notre centre galactique, la terre chute autour du soleil et les montagnes suivent le mouvement, alors un objet statique c’est quoi ? Mais y compris un objet prétendument statique est composé d’objets qui ne peuvent etre statiques tels les atomes et les électrons en interactions, donc votre objet statique est une foutaise totale.

      Et vous poursuivez brillamment :« il n’y a pas de dimension temporelle associée  ». avez-vous conscience de l’ineptie totale de votre propos, donc un gateau posé sur une table n’est pas soumis à l’entropie, ni aux microbes se multipliant sur et dans le gateau, celui-ci est devenu un objet hors du temps et de l’espace, eternel !

      Et en verve de bêtises abracabradantesque vous triomphez dans vos propos en prétendant que ; «  Il est possible de diviser un gâteau à l’infini sans qu’il ne se déplace dans le temps. » je me marre, donc l’oeuf qui tombe de la table se déplace dans le temps mais le gateau qui est resté sur la table reste sagement figé à l’instant « t » ;

      admettons que votre raisonnement soit juste, comment expliquerez-vous que le gateaux soit coupé en nombre infini de parts instatément ? Ou alors je divise une première fois le gateau à l’instant « t » et une seconde fois à l’instant « t +t’ », « t’ » étant linterval de temps necessaire pour couper le gateau, ensuite je coupe une moitié supplémentaire à l’instant « t+2t’ » et ainsi de suite jusqu’à un nombre ∞ de parts en une durée de temps ∞ puiqsque « t+∞t’ = ∞ », il ma faudra l’éternité au sens biblique du terme pour divisé votre gateau en une infinité de parts, à part cela le gateau est statique dans le temps et l’espace.

      Et vous continuez « Vous avez juste décidé de diviser mentalement un objet à l’infini » ce qui est exactement ce que vous avez fait arbitrairement, en divisant  « mentalement » le reste à parcourir de l’oeuf, mais j’y reviendrais.

      Et vous concluez magistralement par «  on sait par ailleurs qu’à un moment donné il ne restera possiblement plus rien de votre division ». et c’est là que vous pointez du doigt votre totale incompréhension des limites et des suites convergentes.

      Je vais vous aider à comprendre ; quelque soit la position x du point hypothétique de dimension zéro ( l’oeuf) par rapport au carrelage de votre cuisine, il existe un point x/2 et quelque soit la taille 1/n de la part de tarte il existe toujours une une part de la taille 1/2n et cela jusqu’à 1/∞.

      Cela est vrai en mathématique mais impossible dans le monde réel du moins tant que l’on ne pourra pas diviser indéfiniment un quark.

      Le probleme que vous rencontrer est juste un jeu sémantique dans lequel vous avez posé la mauvaise question puisque votre œuf ne pourra jamais s’écraser contre le carrelage, et la bonne formulation est : quelque soit la distance x ( entre œuf et carrelage) il existe toujours une distance x/2

      vous écrivez « Le mobile ne peut atteindre sa cible car il doit au préalable parcourir sa première moitié restante avant de l’atteindre. » alors que en réalité avant d’atteindre sa cible on peut calculer indéfiment des moitiés restantes quelque soit la distance restant à parcourir.


    • Hervé Hum Hervé Hum 7 novembre 2023 09:32

      @chapoutier

      J’ai donné l’exemple du gâteau non par rapport à sa recette ou sa décomposition dans l’espace-temps, c’est absurde, mais pour y appliquer la théorie de la PE/MR où je lui montre que si je divise mon gâteau (dimension ou taille fini) en parts égales, j’aurai toujours un nombre fini de parts, mais parce que j’aurai défini une unité de mesure fixe qui sera différente selon le nombre de parts et où je pourrai avoir une part restante qui soit une fraction d’une part, mais une part restante fini.

      A contrario, si j’applique la division infini de la part restante de la PE/MR, alors, j’obtiendrai un nombre infini de parts, mais a des échelles qui atteindront relativement vite la longueur limite de Planck et au delà de laquelle commence l’Univers imaginaire, qui ne connaît pas de limites propres.

      De fait, ce que montre la théorie d’Olivier Dusong, c’est la nécessité de définir une unité de mesure fondamentale pour séparer la réalité physique de l’imaginaire. Qui est toujours motivé par la notion de sens et c’est ce dernier point qu’il refuse de voir.

      En ceci, sa remarque avec sa PE/MR est très remarquable de simplicité et d’évidence, mais au lieu de le voir, il s’obstine à chercher ailleurs, là où seul subsiste son propre imaginaire, qui n’est pas limité par aucune loi physique ou théorique.

      Résultat, il s’enfonce sans vouloir le réaliser dans des raisonnement comme vous écrivez, aberrants ou aporie. C’est dommage !


    • chapoutier 7 novembre 2023 12:00

      @Hervé Hum

      « De fait, ce que montre la théorie d’Olivier Dusong, c’est la nécessité de définir une unité de mesure fondamentale pour séparer la réalité physique de l’imaginaire ».


      en fait l’auteur a imposé arbitrairement un comportement à son œuf qui s’apparente à une courbe asymptotique verticale. C’est l’auteur qui a défini les conditions de son expérience : « Cela impliquait qu’il avait nécessairement suivi une trajectoire, traversé la moitié de cette trajectoire, puis la moitié suivante, et ainsi de suite, à l’infini »


      l’auteur ne décrit pas la réalité de la trajectoire de l’oeuf qui se fout royalement de sa situation dans l’espace, c’est l’auteur qui impose à l’oeuf d’avoir encore et toujours une moitié à parcourir, l’auteur a ainsi joué à dieu et il a créé une bulle éternelle d’univers dans laquelle l’oeuf n’a pas le droit d’atteindre son but, et qui doit continuer à parcourir des moitiés de trajectoire vers une limite non définie ressemblant à l’horizon d’un trou noir. L’oeuf ne demande qu’à s’écraser mais il n’en a pas le droit, on lui impose un horizon infranchissable qu’il ne pourra jamais atteindre. « En toute logique, tant qu’une moitié restait à parcourir, le parcours demeurait inachevé » et en toute logique tant qu’une moitié de vie me reste à vivre je suis vivant !

      Voilà de quoi il retourne, jouer sur les mots ! Et cela n’est pas une « théorie » juste un passe temps.


    • Hervé Hum Hervé Hum 7 novembre 2023 13:46

      @chapoutier

      C’est ce que j’ai essayé de lui faire comprendre à ma façon, tout en ne rejetant pas la question qui reste pertinente en soi, mais dont les ressorts dépassent le cadre de la physique pour laquelle toutes nos observations fondées sur les particules et les ondes, impliques des unités de mesures définies auxquelles toutes les particules de matières obéissent et dont autant l’oeuf que la Terre sont constituées, alors que lui s’en affranchie et qui est vrai que dans son imaginaire qui ne connaît pas de limite physique.

      D’ailleurs, cette distinction entre l’imaginaire, la réalité et la relation entre les deux reste toujours mal appréhendé, tant par les scientifiques que les philosophes.

      Hier, quelqu’un m’as encore dit que la causalité avait une place de choix dans la réalité, alors même que c’est sa condition d’existence, alors même qu’il s’agit là d’une forme de tautologie et dont toute expérience scientifique, quel que soit son domaine s’appuie sur le principe de causalité pour tester la viabilité de toute théorie. sans la causalité, aucune théorie peut être réfuté.

      Bref, il ne faut surtout pas jeter la pierre à Olivier Dusong, les autres font pareils, seul le niveau change ! Et encore une fois, de mon point de vue, sa remarque est pertinente et même prouve la nécessité de définir des unités de mesures pour avoir une réalité physique quelconque, car sans cela, pas de causalité !

      Cela dit, vous confondez récurrence et itération, car une division infini de parts restante est avant toute chose une récursion, l’itération consistant à appliquer une récurrence à d’autres lieux, formes ou domaines. Par exemple, chercher une clé en boucle dans le même tiroir est une récurrence, la chercher ailleurs une itération dont la récurrence est chercher la clé. Le troisième principe physique découlant directement du principe de causalité, maître absolue de la réalité physique étant la fractalisation qui est quasiment encore ignoré, bien qu’il crève littéralement les yeux !


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Olivier Dusong (Oliver Starc) 7 novembre 2023 21:04

      @chapoutier

      « c’est l’auteur qui impose à l’oeuf d’avoir encore et toujours une moitié à parcourir, l’auteur a ainsi joué à dieu »


      • Vous pensez donc qu’il est plus logique que l’œuf accomplit son trajet sans passer par la moitié de sa trajectoire. Vous parlez de téléportation la ?



    • chapoutier 8 novembre 2023 05:51

      @Olivier Dusong (Oliver Starc)
      c’est tout ce que vous avez retenu ?
      alors je vous pose une simple question : admettons que l’oeuf soit à une distance du sol égale à la longueur de Planck, que faites vous ?

      mieux encore, l’oeuf est d=1/∞ comment faites vous dans ces deux cas.


    • Hervé Hum Hervé Hum 8 novembre 2023 11:36

      @chapoutier

      Olivier Dusong est dans le déni, tout le monde en est victime plus ou moins selon le domaine et je connais personne qui y échappe, moi le premier.

      Le dernier en date en ce qui me concerne sur un sujet technique est la confusion entre kwh et kw/h, survenu lors d’une discussion sans rapport au sujet du débat. C’était une diversion qui a réussie et ma fois, je ne le regrette pas, puisque j’ai pu apprendre quelque chose avec.

      Il m’as fallut du temps et ce n’est lorsque j’ai lu que les Kwh étaient des Joules et non de l’électricité que j’ai pu sortir du déni, Ici, il s’agit de convention d’écriture, mais pour ce qui concerne Olivier Dusong c’est un problème d’aporie du raisonnement et plus on s’est enfoncé dedans, plus c’est difficile d’en sortir car toute la construction qu’on a pu faire autour s’écroule.

      Mais encore une fois, l’éclair qu’il a eut est tout à fait pertinent et valide et est un élément de preuve de la nécessité des limites physiques, c’est le développement qu’il en fait qui est erroné.

      La chute de l’oeuf par rapport au sol est une trajectoire rectiligne et perpendiculaire au sol avec une accélération continue, tandis que la PE/MR est toujours une trajectoire rectiligne et perpendiculaire au sol, mais qui implique une accélération dans la première moitié et ensuite, une décélération continue et infini pour l’autre moitié de la chute, qui n’est dû qu’à la volonté de l’auteur.


    • chapoutier 8 novembre 2023 12:16

      @Hervé Hum

      À la lecture de votre commentaire j’ai décidé de lire le fameux article en diagonale mais à la phrase suivante j’ai laissé tomber : « Le PE/MR, au contraire, ne repose pas sur une fausse idée de division mentale. Chaque déplacement intègre en lui-même des passages sur ses moitiés restantes, ce qui n’a rien d’une division et est une réalité physique non négociable. »


      c’est au delà de mes capacités d’acceptation : l’univers n’est que mouvement à toutes les échelles des galaxies « gonflant » comme des baudruches dans le cadre de l’expansion de l’univers comme les quarks interagissant entre-eux.

      Il n’existe aucun point fixe quelque soit l’échelle, tous les points sont en mouvement, il ne peut y avoir de milieu « géometrique » ou autre ; cela n’existe pas.

      les points « a » et « b » distant l’un de l’autre de « d » à un moment donné auront tous deux parcourus des trajectoires distinctes en sens et en direction dans le laps de temps nécessaire pour franchir d/2 et fatalement la « notion » de « centre » à volé en éclat et n’existe plus.

      Il y aura un nouveau milieu entre les deux points en dehors de la trajectoire initiale.



      Décélération infinie ? Heu dites m’en plus.


    • Hervé Hum Hervé Hum 8 novembre 2023 13:27

      @chapoutier

      Décélération infinie ? Heu dites m’en plus.

      Il n« y a rien à en dire de plus, si ce n’est ce qu’implique le PE/MR d’Olivier Dusong, une première moitié qui accélère et l’autre moitié qui décélère et qui »traverse« le domaine physique pour entrer dans le champ de l’imaginaire.

      Sinon, nous ne seront pas d’accord sur un point, car vous n’avez aucune preuve d’une expansion qui serait infini, ici, vous retombez sans vous en rendre compte sur le principe de la PE/ME mais appliqué à une autre échelle. Plus subtile, certes, mais de mon point de vue tout aussi irrecevable d’un point de vue purement logique et qui découle, obéit au principe de causalité.

      Vous écrivez de manière affirmative »l n’existe aucun point fixe quelque soit l’échelle, tous les points sont en mouvement, il ne peut y avoir de milieu « géometrique » ou autre ; cela n’existe pas.

      "

      Moi, je soutiens le contraire et en me basant exclusivement sur le principe de causalité que je suit.

      Ce milieu géométrique étant tout simplement la géométrie d’Euclide où tout points de l’espace théorique est équidistant et équipotent avec son voisin. Si toutes les observations montrent un Univers en mouvement à toutes les échelles, c’est que comme le dit Einstein avec la théorie de la relativité, il y a distorsion de l’espace par le temps et qui donne alors l’émergence des particules de matières. Sans cette distorsion, cette différence de potentiel fondamental entre un état statique et dynamique, il est impossible qu’il y ait un mouvement quelconque, car le principe fondamental (donc, ses conditions d’existences) de tout mouvement, quel qu’il soit, est qu’il existe une différence de potentiel, sans cela, je vous défi de pouvoir percevoir et observer un quelconque mouvement et ce, quelle que soit l’échelle.

      La géométrie euclidienne est la seule de laquelle on peut décrire n’importe quelle géométrie dites non euclidienne ou de Hilbert et qui ne sont fondamentalement que des cas particuliers de la géométrie euclidienne, qui est le support de toutes géométrie quelle qu’elles soient.

      D’ailleurs, prenez n’importe quelle géométrie non euclidienne, vous remarquerez qu’elles sont toutes calculés par rapport à la géométrie euclidienne car on pose toujours pour cadre des coordonnées, où l’abscisse et l’ordonnée sont toujours perpendiculaires l’une de l’autre, donc, une géométrie euclidienne. Dans toute autre géométrie, l’abscisse et l’ordonnée ne sont jamais perpendiculaires. Amusez vous donc de prendre comme coordonnées un plan non euclidien et bon courage !!!

      De fait, vous pouvez naturellement définir n’importe quelle géométrie avec comme fond la géométrie euclidienne, prenez votre écran d’ordinateur, il vous en donne un exemple concret, mais si vous prenez une autre géométrie, alors, vous aurez ce qu’on appelle un miroir déformant.

      Mais cette géométrie de fond ne peut pas être perçu physiquement pour la simple raison que la physique consiste à passer de l’état statique à l’état dynamique. C’est exactement le même principe que pour arrêter un atome de tout mouvement !

      Bref, vous êtes encore loin de saisir les bases élémentaires de l’Univers et j’insiste bien qu’il s’agit là de base élémentaires, compréhensible par un enfant sous condition d’avoir le bon mode de pensé, fondé sur le principe de causalité non biaisé et complété, ce qui n’est toujours pas le cas malgré le niveau scientifique et qui explique la difficulté, voire l’impasse conceptuelle au niveau de la mq et qui relève du déni, le même que celui d’Olivier Dusong, mais à un autre niveau.

      Au niveau mq, il y a deux échelles qui s’intriquent l’une à l’autre, c’est l’échelle théorique où la causalité n’a pas de vitesse définie, elle est donc infini, mais pose uniquement un ordre de précession et sa géométrie est euclidienne, faisant que deux particules intriqués sont liées l’une à l’autre indépendamment de la vitesse de la lumière, Où c’est la loi de changement d’échelle découlant directement de la fractalisation de l’espace-temps qui veut qu’à chaque changement d’échelle, l’ordre premier, directeur de l’échelle précédente prend une forme discrète. Etc...


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Olivier Dusong (Oliver Starc) 8 novembre 2023 13:40

      @chapoutier


      Effectivement, la question de la distance minimale à laquelle un objet peut se trouver du sol est au cœur du débat du PE/MR.


      Si l’œuf était à une distance du sol égale à la longueur de Planck, cela signifierait qu’il est dans un état où notre compréhension de la physique actuelle atteint ses limites. Dans un tel cas, nous ne sommes pas du tout certains de la nature du parcours à cette échelle. Est-il continu ou pixelisé ? Là est vraiment toute l’interrogation que pose le PE/MR. Il faut rester humble et admettre que nous n’avons pas encore de réponse claire à cette question fondamentale. C’est pourquoi ces débats et ces réflexions sont si importants pour l’avancement de la science. Le PE/MR met clairement en lumière que nous n’avons pas encore de réponse définitive à la question de savoir si un parcours est continu ou pixelisé.


      Éclairer cette question est cruciale pour comprendre la nature du temps et de l’espace. Si en dessous des échelles de Planck, le temps reste continu, alors le PE/MR devrait s’exercer indéfiniment. Il sera nécessaire de démontrer que l’arrivée d’un mobile à sa destination est une réalité objective, ou bien si elle pourrait être une illusion due à notre incapacité à percevoir les dimensions supérieures de la 5D et de la 6D, c’est-à-dire de l’infini et de l’éternité.


      Il se peut fort bien que la réalité que l’on croit observer et les conclusions que l’on en tire soient tout aussi fausses que celles de nos ancêtres qui, en regardant l’horizon terrestre, pensaient que c’était la preuve que la Terre est plate. Je vous invite à relire les sous-titres de mon article pour approfondir cette réflexion.


      - « L’univers aurait-il des dimensions parallèles qui pourraient expliquer le PE/MR ? »


      - « Les PFT, pixels »temps« de notre conscience. »


      Ces deux sous-titres sont des propositions d’explications à votre question.


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Olivier Dusong (Oliver Starc) 8 novembre 2023 16:34

      @chapoutier, vous écrivez :


      « À la lecture de votre commentaire j’ai décidé de lire le fameux article en diagonale, mais à la phrase suivante j’ai laissé tomber : ’Le PE/MR, au contraire, ne repose pas sur une fausse idée de division mentale. Chaque déplacement intègre en lui-même des passages sur ses moitiés restantes, ce qui n’a rien d’une division et est une réalité physique non négociable. » C’est au-delà de mes capacités d’acceptation. »


        • Pourquoi donc ? Vous préférez penser qu’un parcours puisse se faire sans passer par sa moitié ? Je le répète, cela s’apparente à de la téléportation. Les moitiés restantes ne sont pas des divisions non plus. Elles existent, ce sont des points de passages obligatoires. Si elles n’en sont pas… alors cela équivaut à croire à de la téléportation. Je penses par ailleurs que le reste de votre commentaire montre une confusion :


      « L’univers n’est que mouvement à toutes les échelles, des galaxies ’gonflant’ comme des baudruches dans le cadre de l’expansion de l’univers comme les quarks interagissant entre eux. Il n’existe aucun point fixe, quelle que soit l’échelle, tous les points sont en mouvement. »


      - À quoi en concluez-vous,


      « il ne peut y avoir de milieu ’géométrique’ ou autre ; cela n’existe pas. »


        • S’il est vrai que rien n’est statique dans l’univers, j’avoue franchement ne pas saisir votre logique que cela prouverait qu’un mobile pourrait transcender les lois de la physique pour traverser son parcours sans passer par son milieu. Une fois de plus, ce que vous affirmez être la vérité s’apparente à de la téléportation et ne me parait pas logique ni fondée.


    • chapoutier 8 novembre 2023 16:48

      @Olivier Dusong (Oliver Starc)
      oui bien sur vous avez tout a fait raison.
      au fait etes vous courant que la ligne droite n’existe pas dans l’univers ?
      savez-vous que votre oeuf ne tombe en ligne non plus du fait de la force de coriolis ?
      désolé d’avoir commenté votre papier, vous ne m’y reprendrez pas.


    • Hervé Hum Hervé Hum 8 novembre 2023 18:53

      @chapoutier

      Olivier Dusong est la seule personne au monde qui voit deux réalités différentes en même temps. Un oeuf qui subit la force gravitationnelle, s’arrête en touchant le sol et se brise et un autre qui accélère sur la moitié de la distance qui le sépare du sol car subissant la gravité et l’autre moitié qui décélère de moitié de sa vitesse à chaque moitié du reste de la distance qui le sépare du sol.

      Aussi, cela le conduit à considérer « L’univers aurait-il des dimensions parallèles qui pourraient expliquer le PE/MR ? ».

      La réponse est oui.... La sienne !!!


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Olivier Dusong (Oliver Starc) 8 novembre 2023 22:23

      @Hervé Hum

      Il semble y avoir une certaine confusion ici. Le PE/MR ne parle absolument pas d’une décélération, la vitesse de l’œuf accélère avec la chute. Même si la vitesse était modifiée par un parachute, cela n’enlèverait pas le fait qu’il devrait passer par sa première moitié puis par ses moitiés restantes. Comme je l’ai expliqué à @chapoutier, nier le passage obligé des moitiés restantes reviendrait à prétendre que l’œuf effectue une téléportation.


      Si nous reprenons votre hypothèse (qui est également la mienne dans mon article) d’un parcours pixelisé en dessous des échelles de Planck, cela soulève un dilemme majeur. Supposons que les moitiés restantes soient divisées en parcelles de parcours si courtes qu’elles n’auraient plus de milieu, ce qui signifie qu’il n’y aurait plus de moitiés restantes. Il est tentant de croire que l’œuf atteindrait rapidement le sol une fois ces pixels de parcours épuisés.


      Cependant, cette simplification n’est pas si simple. Si un parcours devenait tellement petit qu’il n’avait plus de milieu, un mobile traversant ce parcours infinitésimal se retrouverait dans une situation où son point de départ et d’arrivée seraient simultanément au même endroit et au même moment, l’empêchant de se déplacer. Si une telle propriété de parcours existait, assembler un ensemble infini de ces pixels sans milieu aboutirait toujours à une addition de points d’espace nuls, et l’addition d’un nombre infini de ces points sans dimension résulterait toujours en un parcours nul.


      D’un autre côté, si l’addition de ces points sans milieu permettait de reproduire un parcours, cela signifierait que ces points ne sont pas totalement nuls et qu’ils doivent avoir un milieu à travers lequel le mobile doit passer pour les parcourir, réintroduisant ainsi le problème du PE/MR. Ainsi, il me semble que cette solution soit incomplète et qu’elle se perd dans ses propres contradictions pour le moment.


    • chapoutier 8 novembre 2023 22:31

      @Olivier Dusong (Oliver Starc)

      Si un parcours devenait tellement petit qu’il n’avait plus de milieu,

      un segment (votre parcours) aussi petit soit-il ,

      placé sur une droite, possedent deux extrémités et un milieu , « un parcours » a un début et une fin.
      vous réalisez que vous ne cessez de vous contredire ?


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Olivier Dusong (Oliver Starc) 8 novembre 2023 23:05

      @chapoutier

      Replaçez mes propos dans le contexte : Je parle ici des hypothétiques pixels d’espace parcouru qui ne posséderaient plus de milieux en dessous des échelles de Planck, comme proposé dans mon article. Il est sûr que si ces pixels pouvaient être prouvés, le PE/MR n’aurait plus de raison d’être.

      Il faut que vous compreniez que cela n’enlève rien au fait que le PE/MR ne nie pas que le parcours a un début et une fin, et donc nécessairement un milieu. C’est vous qui niez l’existence de ce milieu, puisque pour vous, un mobile ne passerait jamais par la moitié de son parcours. Votre théorie me semble non seulement infondée, car lorsque vous niez l’existence et la nécessité d’un mobile de passer par le milieu, vous prétendez à rien d’autre qu’à une téléportation. Pour moi, c’est vous qui tenez des propos incohérents, à moins que vous puissiez vous expliquer ce que vous refusez de faire. 😃😉


    • Ouam (Paria statutaire non vacciné) Ouam (Paria statutaire non vacciné) 8 novembre 2023 23:57

      @Olivier Dusong (Oliver Starc)
      Re
      C’est interessant cette discussion, rien que pour ca merci

      « C’est vous qui niez l’existence de ce milieu, puisque pour vous, un mobile ne passerait jamais par la moitié de son parcours. »

      Dans votre théorie pour ma part ce n’est pas le millieu de vos divisions que je nie

      Ou le bas blesse c’est sur son coté infini lorsque vous vous rapprocherez de petites valeurs dans l’exemple de votre oeuf ,
      d’ailleurs il vous le résume assez bien avec cette formule ci
      "l’oeuf est d=1/

      « 
       
      Pour la téléportation je pense qu’il plaisantes la
       
       » : Je parle ici des hypothétiques pixels d’espace parcouru qui ne posséderaient plus de milieux en dessous des échelles de Planck,« 
       
      Et pourquoi donc ? d’ou tenez vous ceci ? (sources , ref etc... demandées)
      Puis meme dans le cas de dissymétrie pourquoi le temps et des tran,ches divisables n’existeraient elles toujours pas ?
      C’est sur cette partie ou je »coince« , cad comment démontré une limite minimum sur une tranche »temps" n, sur de la matiere c’est possible (enfin dans la limite de nos connaissances actuelles) , sur du temps , ne vois pas ?

      J’ai un peu regardé la formule de Planck et ca m’a amusé elle aussi reprend la vitesse de la lumiere et se referes aussi à un photon (compton) la gravité ici ne nous interesse pas pour la constante temps (ou j’ai loupé un truc)
      Bref ...


    • Ouam (Paria statutaire non vacciné) Ouam (Paria statutaire non vacciné) 9 novembre 2023 01:21

      @Hervé Hum
      Non mais tout ca on s’en fous
      Ici c’est le domaine temps et son fractionnemlent possible ou pas
       
      Bref est il divisible de facon finie, ou infinie
       
      Et ce de quelle maniere on l’observe meme jusqu’a son arret abslu (de la part d’un observateur j’entend sinon il est inarrettable)
      ou dans ce ca il ne se passe rien (théorie pure d’un observateur allant a la vitesse de la lumiere observant la lumiere extérieure a coté de lui a travers un hublot p ex)
       
      bref dans tous les cas une echelle de celui ci existe t’il dans des parts divisables ?
      Pour etre divisables avec une fin il faut en connaitre l’echelle limite ou minimale, comme un grain de sable sur une immense plage pour illuster le truc, quel est son minimum possible, existe t’il.

      Ps pour vootre autre post 
      le Kwh c’est bien une unité d’energie de milliers (ici le kilo ou « k ») de watts (ou de joules convertis si vous préférez) consommés par HEURE
       
      Kw/h n’est pas Kilowatts divisé par heure (ca n’a aucun sens)
      le / veut dire « Par » c’est des anciennes notations que l’on trouve aussi de temps à autre sur des signalétiques de frigo etc ... bref la meme chose que kwh
       
      et pas W, kW(sans le h) ou cette fois c’est P = U * I
       
      Ici c’est la puissance instantanée consommée d’un appareil cad p exemple
      2300 Watts max possible avec un courant max de 10 Amp en 230 volts
      si vous allez au dessus (meme pendant 5 secondes ) et que votre disjoncteur est réglé à 10 Amp
      une fois cette puissance max atteinte le disjoncteur (ou le fusible calibré) vous coupera du générateur (cad ici le compteur de distribution electique qui alimente le tableau ou est votre disjponteur de 10 Amp p ex) 

      Vu à une echelle plus grande c’est la puissance max avant que le générateur ne s’éffondre, s’ecroule etc...exemple de l’alternateur maison portable jusqu’a une centrale nucleaire ou le maillage total d’un reseau (pour simplifier)
      Voila la plus de doutes dans votre esprit en principe.


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Olivier Dusong (Oliver Starc) 9 novembre 2023 06:25

      Commentaire 1 :


      « C’est intéressant, cette discussion. Rien que pour ça, merci. »


      • Oui, c’est intéressant. Merci à vous tous…


      Commentaire 2 :


      « « C’est vous qui niez l’existence de ce milieu, puisque pour vous, un mobile ne passerait jamais par la moitié de son parcours. » "Dans votre théorie, pour ma part, ce n’est pas le milieu de vos divisions que je nie. Où le bas blesse, c’est sur son côté infini lorsque vous vous rapprochez de petites valeurs, dans l’exemple de votre œuf. D’ailleurs, il le résume assez bien avec cette formule : ’l’œuf est d=1/∞’. »


      • Exactement, vous avez raison, c’est là où le bas blesse, puisque cela mène à une contradiction de deux réalités indéniables, et cela est complètement contre-intuitif.


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Olivier Dusong (Oliver Starc) 9 novembre 2023 06:29

      Commentaire 3 :


      « Pour la téléportation, je pense qu’il plaisante là ? »


      • Ce n’est de loin pas une plaisanterie. @chapoutier nie simplement qu’un mobile doit passer par la moitié d’une distance entre A et B, c’est sa façon de résoudre le “Parcours Éternel des Moitiés Restantes” (PE/MR) mais en disant cela il ne se rend pas compte que son hypothèse équivaut bien à de la téléportation puisque il nie qu’un mobile doit passé sur la moitié de son parcours. C’est pourtant bien ce qu’il suggère... Je sais, ce qu’il prétend n’est ni prouvé et encore moins logique.


      Commentaire 4 :


      « « Je parle ici des hypothétiques pixels d’espace parcouru qui ne posséderaient plus de milieux en dessous des échelles de Planck. » - Et pourquoi donc ? D’où tenez-vous ceci ? (sources, références, etc., demandées.) Puis même dans le cas de dissymétrie, pourquoi le temps et des tranches divisables n’existeraient-elles toujours pas ? C’est sur cette partie où je coince, comment démontrer une limite minimum sur une tranche ’temps’, sur de la matière, c’est possible (enfin dans la limite de nos connaissances actuelles), sur du mouvement, je ne vois pas ?"


      • Vous avez raison, il n’y a aucune preuve que le parcours soit pixelisé en dessous des échelles de Planck. On ne sait juste qu’on ne sait rien à ce sujet... Mais j’ai proposé l’idée d’une pixelisation hypothétique du mouvement pour tenter de résoudre le ’Parcours Éternel des Moitiés Restantes’ (PE/MR)… Je n’ai donc aucun lien autre que mon article à vous donner puisque, au départ, cette hypothèse vient de moi. Il n’y a aucune preuve que le mouvement soit saccadé et avance de pixels en pixel en dessous des échelles de Planck… Planck parle bien de quantum (sorte de pixel), mais cela concerne l’énergie et absolument pas de mouvement. L’idée de pixelisation du mouvement est une piste intéressante, mais il faudrait la prouver.

    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Olivier Dusong (Oliver Starc) 9 novembre 2023 06:30

      Commentaire 5 :


      « J’ai un peu regardé la formule de Planck, et ça m’a amusé. Elle aussi reprend la vitesse de la lumière et se réfère aussi à un photon (Compton). La gravité ici ne nous intéresse pas pour la constante temps (ou j’ai loupé un truc). Bref... »


      • Vous avez parfaitement compris les limites de Planck ne concernent pas le mouvement mais la quantification de l’énergie au niveau subatomique… cela n’a absolument aucun rapport avec le mouvement et donc ne peut pas nous aider à comprendre le PE/MR." C’est comme si je vous parle de chat et qu’on vient parler de carottes Ce sont des domaines totalement autres, donc votre confusion est parfaitement justifiée.


      Merci pour votre commentaire… je trouve qu’il permet d’éclairer ces confusions, et vous les avez bien saisies.


    • Hervé Hum Hervé Hum 9 novembre 2023 09:16

      @Olivier Dusong (Oliver Starc)

      votre PE/MR ne peut s’appliquer que si après la première moitié, il y a décélération de la seconde moitié restante sans cela, elle n’a aucun sens, c’est une aberration de votre cogito.

      Car la distance qui sépare le point de départ du point de chute est fixe, elle n’est pas infini, or, votre PE/MR est le « parcours infini des moities restantes », je ne fais que respecter l’énoncé, quand vous, vous le violez.

      Donc, il ne peut y avoir de parcours infini que de deux manières et pas une de plus. Soit la chute se poursuit de manière infini comme dans l’espace intersidéral ou comme une multiplication ou addition, soit par fractionnement de la distance fini, par division (pour la soustraction, on pourra continuer que dans les valeurs négatives). Et si je divise l’espace, alors, je dois aussi diviser le temps restant pour conserver le parcours infini, sans cela c’est impossible. 

      Ensuite, la notion de petit ou grand est relatif au point de référence, disons comme vous l’écrivez le « mobile ». Autrement dit, physique et donc, observable, sans cela, parler de petit et grand n’a aucun sens car vous ne pouvez pas déterminer un ordre de grandeur c’est impossible et n’a aucun sens. Ici encore, ce que vous écrivez est une aberration du cogito, pas seulement le votre, mais d’une manière générale. 

      De fait, en dessous de l’échelle de Planck, le dilemme ne vaut que par rapport à cette même échelle pour un mobile de cette échelle, mais si vous changez l’échelle du mobile, disons que vous crée un mobile ayant une taille de 1 milliardième de celle de Planck,alors, vous pouvez poursuivre votre parcours dans ce milieu avec une nouvelle échelle, mais cela n’a aucun sens par rapport à l’échelle de Planck qui est la notre et qui est le point limite inférieur à partir de laquelle notre Univers prend sens et évolue dans le domaine du physique (le domaine théorique et imaginaire étant autre). C’est encore une fois une aberration du cogito.

      Une addition de points sans milieu, c’est un milieu où les points occupent tout le milieu, ils sont donc juxtaposé, contigu l’un à l’autre. Maintenant si vous me dites que ces points n’occupent pas un espace propre composant le milieu, alors, c’est qu’il n’y a ni point, ni milieu. Mais s’ils occupent un milieu propre, alors, ils occupent obligatoirement un espace-temps propre où se pose la question de sa taille et si elle est sans taille, alors, on revient à dire qu’il n’y a ni point, ni milieu. C’est tautologique !


    • Hervé Hum Hervé Hum 9 novembre 2023 09:34

      @Ouam (Paria statutaire non vacciné)

      Dites, vous vous foutez de ma gueule là !!!

      Car vous commencez par me dire qu’on s’en fout de ce qu j’écris sur la géométrie euclidienne comme état statique de l’Univers, pour ensuite venir me parler de wh que je prenais juste comme exemple d’un déni et qui n’a absolument rien à voir avec le sujet présent et vouloir me faire un petit cours dont j’en ait strictement rien à foutre.

      Quant à savoir si le temps est divisible à l’infini, la question est stupide, car en absolu, le temps est infini ou éternel comme l’est l’espace et leur valeur est soit 1, soit 0, autrement dit, soit un état de présence, soit d’absence. Mais l’un et l’autre prennent une valeur fini par intrication de ces deux états, qui sont une différence de potentiel et traduisent une vibration ou une forme de respiration.

      Etc...


    • pemile pemile 9 novembre 2023 10:54

      @Ouam "Kw/h n’est pas Kilowatts divisé par heure (ca n’a aucun sens)
      le / veut dire « Par » c’est des anciennes notations que l’on trouve aussi de temps à autre sur des signalétiques de frigo etc ... bref la meme chose que kwh"

      Incroyable ! Malgré des années d’explication tu n’as toujours pas compris que le kW/h est une notation valide pour exprimer une variation de puissance !!!

      Et donc la différence entre les watts par heure (W/h) et les watts-heures (Wh) malgré tes étiquettes foireuses de frigo ! smiley


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Olivier Dusong (Oliver Starc) 9 novembre 2023 22:41

      « Votre PE/MR ne peut s’appliquer que si, après la première moitié, il y a décélération de la seconde moitié restante. Sans cela, elle n’a aucun sens, c’est une aberration de votre cogito. »


      @Hervé Hum…Pourquoi une décélération serait-elle nécessaire ? L’œuf ne décélère pas. Que l’œuf décélère ou accélère, cela ne change strictement rien au fait qu’il soit passé par sa première moitié puis sur les moitiés restantes. La vitesse n’a strictement rien à voir avec le problème du PE/MR. À partir du moment où il y a mouvement, le problème de comment rejoindre le sol en passant par la première moitié puis les moitiés restantes reste absolument identique. Après, oui, ce qui est aberrant, c’est de ne pas savoir expliquer l’arrivée au sol sans passer par le reste des moitiés restantes. C’est aberrant, effectivement, et c’est là le paradoxe.


      Vous dites :


      "Car la distance qui sépare le point de départ du point de chute est fixe, elle n’est pas infinie, or, votre PE/MR est un parcours infini »


      MExactement, et c’est bien ce qui fait que le paradoxe en est un. Si le parcours était infini, il n’en serait pas un.


      Nous sommes ici devant un dilemme. Non seulement on sait que l’œuf ne dépassera pas la durée et le parcours de sa chute, ce qui nous donne un parcours bel et bien fini, mais non seulement pour que ce parcours puisse s’achever, l’œuf doit passer par la première moitié puis les moitiés suivantes dans un ordre chronologique. Et c’est là qu’en dépit de ce que nous observons, le mouvement devient éternel… mais ce qui est démentiel ici, c’est que ce parcours éternel s’exerce dans une chute qui ne dépasse pas une fraction de seconde et un parcours fini de 1.20m…



    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Olivier Dusong (Oliver Starc) 9 novembre 2023 22:43

      Vous pensez que c’est aberrant, et c’est effectivement le cas car en dépit du bon sens, l’œuf est au sol ! C’est effectivement aberrant car en toute logique, l’œuf ne devrait jamais arriver au sol, et pourtant, il y arrive. Pourquoi donc ? Là est la précieuse question qu’il ne faut pas saboter…


      Votre démarche de proposer une décélération de l’œuf pour rendre le PE/MR éternel, n’est absolument pas nécessaire. Le PE/MR est à la fois fini dans son espace parcouru et éternel dans ses moitiés restantes. Et il n’y a pas moyen de dire que l’une ou l’autre de ces deux réalités n’est pas parfaitement réelle car elles le sont probablement toutes les deux.


      Vous pensez que c’est impossible ! Et pourtant ce l’est…. Les moitiés restantes sont des étapes incontournables du mouvement. Vous ne pouvez simplement dire que c’est faux, car vous et moi savons bien que l’œuf ne peut traverser son parcours sans passer par la zone intermédiaire qui le sépare de son arrivée… prétendre le contraire équivaut à prétendre à de la téléportation.


      Il nous reste maintenant à expliquer pourquoi l’œuf est au sol, et c’est là le défi majeur.


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Olivier Dusong (Oliver Starc) 10 novembre 2023 07:30

      @Hervé Hum

      Avec le PE/MR, la folie réside dans le fait que le parcours est simultanément fini et infini, selon le point de mesure ou d’observation. C’est un peu comme dans la physique quantique, où l’acte d’observation peut influencer l’état d’une particule. Par exemple, dans l’expérience des fentes de Young, si les scientifiques n’essaient pas de déterminer par quelle fente un électron passe, il se comporte comme une onde. Mais en tentant d’observer le parcours, l’électron cesse d’être une onde et devient une masse. Cela suggère que l’observation modifie le comportement de la particule. De manière similaire, si nous déterminons le parcours d’un objet en le percevant à travers nos sens limités dans un univers à 4D, il semble fini. Cependant, si l’on considère les événements depuis la réalité des moitiés restantes et leur passage physique bien réel, le temps devient éternel, et le mouvement semble figé.


      Comme dans la physique quantique, le PE/MR représente un puissant paradoxe nécessitant une explication scientifique. Mon article explore l’idée de dimensions supérieures invisibles à nos perceptions sensorielles. Nos sens sont limités pour nous informer sur un univers à 4D mais incapable de percevoir la nature de l’éternité (6D) et de l’infini (5D), d’où les contradictions apparentes. Il est possible que nos questionnements actuels sur le PE/MR reflètent notre incompréhension d’une réalité inconnue au-delà de l’horizon du connu, tout comme un enfant qui apprend que la Terre est ronde se demande comment les gens de l’autre côté ne tombent pas. Il est possible que nos questionnements soient décalés par rapport à la réalité qui s’étend bien au-delà de nos perceptions sensorielles limitées à 4D.


    • Hervé Hum Hervé Hum 10 novembre 2023 08:47

      @Olivier Dusong (Oliver Starc)

      Je vous ai fourni toute la démonstration suffisante sur le fait que la seule chose d’aberrante est votre théorie.

      Il n’y a pas de parcours éternel sur une distance fini, vous effectuez seulement une division mentale infini mais dépourvu de sens physique, qui s’arrête au niveau de la longueur de Planck pour cette dernière à notre échelle. Mais généralement, nous nous limitons à une division qui fait sens selon nos besoins. Qui peuvent être le mètre, le cm, le mm, le micron et au delà pour des applications scientifiques spécifiques mais qui n’ont aucun intérêt et sens à l’usage courant pour vous ou moi.

      Au delà des limites physiques, commence le domaine infini de l’imaginaire et c’est là que vous vous égarez par rapport à la réalité physique avec votre PE/MR.

      Mais l’imaginaire est le propre de chaque être et est collectif par adhésion et non par contrainte.

      Bref, bonne continuation !


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Olivier Dusong (Oliver Starc) 10 novembre 2023 10:50

      @Hervé Hum

      En répétant que : « vous effectuez seulement une division mentale infinie mais dépourvue de sens physique, »vous proposez une solution apparemment résolutive du paradoxe. Sans moitiés restantes, le paradoxe disparaît, mais cette solution semble déraisonnable.


      Le trajet d’un mobile, du départ à l’arrivée, avec l’espace parcouru entre les deux, n’est pas imaginaire, ni une division. C’est un passage incontournable entre le départ et l’arrivée du mobile. Affirmer que ce passage est inexistant, comme vous le soulignez, équivaudrait à de la téléportation. Si le parcours est discontinu en dessous des échelles de Planck, cela soulève la question de la possibilité de la téléportation à cette échelle, une interrogation que seuls des futurs développements pourraient élucider.


      En attendant, il est judicieux de ne pas confondre des certitudes indémontrables avec la seule vérité et de rester ouvert aux spéculations. Si le passage obligé des moitiés restantes est erroné et que la téléportation est possible en dessous des échelles de Planck, cette thèse doit être démontrée empiriquement, sans quoi elle restera de la spéculation. La prétention à la téléportation nécessite des preuves tangibles.


    • Hervé Hum Hervé Hum 10 novembre 2023 15:13

      @Olivier Dusong (Oliver Starc)

      Vous me faites tenir des propos que je ne tiens pas, c’est absurde !

      j’écris « Il n’y a pas de parcours éternel sur une distance fini »

      ce qui revient à dire "Le trajet d’un mobile, du départ à l’arrivée, avec l’espace parcouru entre les deux, n’est pas imaginaire, ni une division (sauf si on le veut pour x raisons comme vous ici). C’est un passage incontournable entre le départ et l’arrivée du mobile.« 

      On ne peut pas accomplir une distance entre deux points sans parcourir l’espace entre les deux, c’est tautologique ! Et c’est le propre de la physique de faire en sorte de pouvoir mesurer cette distance, sans cela, il n’y aurait rien à mesurer, or, lorsque vous écrivez que la distance est de 1,2m, vous effectuez une mesure sur la base d’un référentiel pris sur la Terre, que vous pouvez subdiviser en cm, mm, micron. Jusqu’à la révolution française, il existait quantité de mesures différentes et qui ont été unifié avec le mètre, calculé par rapport à la Terre. Bref, on peut avoir autant d’unité de mesure que l’on veut, ce n’est pas la distance qui change, mais l’unité de mesure retenu. Mais si vous ne retenez pas de mesure, alors, vous ne pouvez plus communiquer sur une distance quelconque.

      Prenez votre exemple, sans la détermination d’une unité de mesure commune, ici le mètre, comment feriez vous pour dire très exactement la hauteur de chute ? Votre coude ? Mais il n’est pas exactement le même que le mien. Votre pied ? Pareil, etc.
       

      Et c’est vous et vous seul qui effectuez une division sans fin conformément à l’énoncé de votre PE/MR »parcours éternel des moitiés restantes« de telle sorte que selon votre théorie, on ne peut pas définir une mesure quelconque.

      Il n’y a pas de »téléportation« , on nage en plein délire, mais transmission d’information, ici, 1,2m de hauteur au sol, que je peux reproduire chez moi. Mais si vous me communiquez pas, »ou téléportez pas« l’information via une mesure commune, je ne pourrai pas savoir la hauteur exacte de chute !!

      Et bien, c’est la raison fondamentale pour laquelle il y a une longueur de Planck en physique, sans elle, il n’y aurait pas de cohérence ou isotropie de l’Univers à toutes les échelles. On aurait alors ce qu’on appelle une »soupe« .

      Je vous laisse à vos certitudes, comme je vous l’écris, l’imaginaire de chacun est libre, seule la réalité physique contraint l’imaginaire de chacun à ses lois, pour pouvoir communiquer, »téléporter" l’information sur la base d’une unité de mesure commune.


    • Olivier Dusong (Oliver Starc) Olivier Dusong (Oliver Starc) 10 novembre 2023 17:23

      @Hervé Hum

      « On ne peut pas accomplir une distance entre deux points sans parcourir l’espace entre les deux, c’est tautologique ! […] Il n’y a pas de »téléportation« , on nage en plein délire, »


      J’apprécie de vous l’entendre dire. Nous sommes donc d’accord pour dire que le mobile sera obligé de passer par sa moitié, et bien sûr cela n’a rien à voir avec quelques choses d’imaginaire ou qui s’apparenterait à une division arbitraire mental. Ces point sont physiques et nier le passage sur la zone médiane équivaut à prétendre à de la téléportation.


      Vous venez de valider le PE/MR.


    • Ouam (Paria statutaire non vacciné) Ouam (Paria statutaire non vacciné) 10 novembre 2023 17:38

      @pemile
      Incroyable ! Malgré des années d’explication tu n’as toujours pas compris que le kW/h est une notation valide pour exprimer une variation de puissance !!!

      ----
      Tu va donc me donner le lien qui l’explique que le kw/h une notation valide pour exprimer une variation de puissance !!!

      J’y trouves dans wiki sur w/h
      https://duckduckgo.com/?t=ftsa&q=w%2Fh&ia=web

      W/h

      The kilowatt hour is a unit of energy equal to 3600 kilojoules. The kilowatt hour is commonly used as a billing unit for energy delivered to consumers by electric utilitie

      Tu comprends ce que tu lis ?
      Le kilowattheure est une unité d’énergie égale à 3600 kilojoules.
      Le kilowattheure est couramment utilisé comme unité de facturation pour l’énergie fournie aux consommateurs par les services publics d’électricité.

    • Ouam (Paria statutaire non vacciné) Ouam (Paria statutaire non vacciné) 10 novembre 2023 17:43

      @pemile
      Et donc la différence entre les watts par heure (W/h) et les watts-heures (Wh) malgré tes étiquettes foireuses de frigo ! 

      -----
      Ben non la vraiment toujours pas ?
       
      Donc 1000 watts par heure 1000w/h est different d’un kilowatt heure 1kWh

      D’apres toi bien sur
      J’attend ton lien qui va m’expliquer ca  smiley


    • pemile pemile 10 novembre 2023 18:01

      @Ouam « donc 1000 watts par heure 1000w/h est different d’un kilowatt heure 1kWh D’apres toi bien sur J’attend ton lien qui va m’expliquer ca »

      Et tu oses encore en rigoler alors que je j’ai déjà dû te filer le lien dix fois depuis ces années ???!!!

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Kilowatt-heure

      Encore une belle perle à collectionner pour démontrer ta bêtise crasse et ta mauvaise foi !


    • Ouam (Paria statutaire non vacciné) Ouam (Paria statutaire non vacciné) 10 novembre 2023 18:15

      es @Olivier Dusong (Oliver Starc)
      C’est ma foi asssez dorle et logique, c’est bien pour cela que ce n’est pas sur ceci que je remet en cause votre théorie ,
      mais sur la fin de la théorie cad à quel moment la moitié s’arrette la division
      une fois que l’objectif de votre oeuf atteint sur le sol pour illustrer la chose concretement, meme au niveau d’un photon pour effacer les considérations matérielles moléculaires ou du point de rupture de l’oeuf...
      Bref la question est ou est t et est il toujours ou pas divisable entre le contact de ce photon lors du contact du sol
      Si il est le plus petit élément fini (le photon) quel est l’espace possible entre le moment du point de contact de ce photon et l’atome rencontré, parce que pendant ce temps la si il ne l’est pas cela veut dire qu’il reste des tranches de temps divisible, je vais essayer de materialiser pour expliquer car c’est ce point la qi est déja le plus important pour pouvoir atérialiser un mouvement dans unespace temps donc une tranche de temps , c’est clar ou pas ce que j’explique ?
       
      Vous voyez ce qu’est un jeu de cale pour faire du calage en mécanique vous en avez une grosse jusqu’a une super fine, vous en saississez l’echelle
      Si dans nos echelles en reportant ca a celui de ma cale si voous utilisiez la taillle d’un pillier en beton ou meme plus gros pour mesurer un espace de la taille la plus petite possible de la cale décrite ci dessus, c’est forcémént impssible ou au mieux super erronné, le pllier en beton etant la taille minimum de notre connu actuel cad la taille du contact du photon , que se passse t’il si nousz nous appercevons que dans les échelles encore plus basses il existe des onjets de la taille de ma cale, et si encore plus tard ce que je considérais comme ma cale deviens encore à une echelle plus petite le meme ecart que j’illistrais précédement avec la plus fine cale et le poteau de pont en beton.

      Et apres un second probleme va aussi se poser
      Pour mesurer une tranche temps minimale possible la j’en etais à la taille minimale mais une seconde contrainte aura lieu , cad la vitesse maxi possible, qui est celle connue de la lumiere , bref du déplacement de mon photon dans sqon millieu théorique le plus rapide (important ca aussi)
      Si on découvre un objet qui se déplace deux fois plus vite que mon photon actuel p ex et qu’il est possible de déplacer ce dit photon ou son echelle equivzalent ce temps devra etre divisé à nouveau 2 fois pour contuner a avoir une tranche linéaire sinon vous saccadriez le temps si son échelle est en dessus
      Comme si par exemple vous filmiez un sujet humain en action non plus a 18 ou 24 ou 25 images secondes mais a 2 images secondes, entre ces 2 images secondes nous perdons des images qui ne serons pas sur le film donc des pertes d’information, vous comprenez ou la complexité est dans mon esprit pour admetre que le temps ne soit pas infini
      Idm si nous pouvions nous déplacer à la vitesse de la lumiere, dans un univers clos donc a cette vitesse de la limiere si nous projetions un faiceau limineux il se deplacerai dans cet environnement vu de l’"interieur a la vitesse de la lumiere, mais si un observateur externe pouvais l’observer il se passerai quoi
      Il verrai ce faisceau au double de cette lumiere et la la division de t se fixe a nouveau comment sur le double de cette vitesse
      Ou la vitesse semble immobile ou pas superieure pour etre plus précis a la vitesse extérieure max (300.000 km/sec) vu par l’observateur , ou l’espace temps est il déformé ? dans ce cas ou se situe à nouveau les échelles de divisions possibles des tranches temps
      Je sais j’suis un chieur (lol)


    • Ouam (Paria statutaire non vacciné) Ouam (Paria statutaire non vacciné) 10 novembre 2023 18:26

      @pemile
      Ok j’ai eté voir sur un générateur effectivement tu as raison c’est défini la
      ---

      Confusion entre watts-heures et watts par heure

      Alors que les watts-heures sont le produit de la puissance par le temps pendant lequel cette puissance est exercée (donc une énergie), les watts par heure (W/h) expriment une variation de la puissance au cours du temps5.

      Cette mesure est utilisée en pratique pour comparer la vitesse de mise en marche de générateurs pour atteindre leur puissance de travail.

      Considérons par exemple un générateur qui passe de 0 à 20 MW en 15 minutes (0,25 heure) :

      • il effectue une montée en puissance de 20 MW/0,25 h = 80 MW/h ;
      • si cette montée a été linéaire (puissance moyenne de 20 MW/2 = 10 MW), le générateur aura produit pendant ce temps une énergie de 10 MW × 0,25 h = 2,5 MWh.

      Aussi les centrales hydroélectriques ont-elles des montées en puissance nettement plus rapides que les centrales thermiques ; elles sont donc particulièrement utiles en cas de demande subite d’électricité.


    • Ouam (Paria statutaire non vacciné) Ouam (Paria statutaire non vacciné) 10 novembre 2023 18:35

      @pemile
      Non ce b’est pas ma betr=ise ou ma mauvaise foi ou dd go l’est aussi
      Que lis tu ici par exemple ?

      J’y trouves dans wiki sur w/h
      https://duckduckgo.com/?t=ftsa&q=w%2Fh&ia=web

      W/h

      The kilowatt hour is a unit of energy equal to 3600 kilojoules. The kilowatt hour is commonly used as a billing unit for energy delivered to consumers by electric utilitie

      Tu comprends ce que tu lis ?
      Le kilowattheure est une unité d’énergie égale à 3600 kilojoules.
      Le kilowattheure est couramment utilisé comme unité de facturation pour l’énergie fournie aux consommateurs par les services publics d’électricité.

      Mais je vais dans tous les cas bannir kw/h qui sont toujours utilisés meme par des grands constructeurs
       
      ca evitera toutes discussions et confusions possiibles


    • pemile pemile 10 novembre 2023 18:40

      @Ouam (Paria statutaire non vacciné) « Confusion entre watts-heures et watts par heure »

      Il ne t’aura fallu « que » 5 ans pour le reconnaître !! smiley


    • Ouam (Paria statutaire non vacciné) Ouam (Paria statutaire non vacciné) 10 novembre 2023 18:53

      @pemile
      La chose que je reconnais c’est pas ca
      c’est que ca crée de la confusion surtout et ta remarque me semble plus judicueiuse pour le francais

      Ou comme ceux qui veulent diviser des watts pas le temps

      Sinon va expliquer tout ca a ceux qui utilisent cette norme alacon comme duckdukgo juste au dessus encore p ex tu l’a sous tes yeux 
      y compris bcp de gros constructeurs, tu l’a vu toi meme puisque t’en causes
       
      bref
      Si c’est comme billion en francais en en anglais c’est le bazard
      C’est pour ca que j’evite le plus possible d’utiuliser billion depuis un moment

      Et meme dans l(’abosu si je racontais une connerie, vu le nombre des tiennes j’ai juste une reserve phénoménale avant d’atteindre ton crédit de conneries en billions (lol)


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