Dernières balises avant mutation ?...
Nous vivons dans un monde pressé, ou une préoccupation semble chasser la précédente avant même qu'on ait pu digérer les enseignements qu'il faudrait en tirer et avant qu'une poussée de guerre en Ukraine ou une nouvelle « crise » économique, ne fasse sombrer dans l'oubli la crise sanitaire que nous venons de vivre avec le « SARS-Cov2 », il peut être salutaire de dresser le tableau de ce qui s'est probablement passé et des multiples anomalies graves dont il faudrait être conscient pour réagir à temps la fois prochaine.

Tout d'abord il ne s'agissait pas d'une épidémie naturelle, issue d'un nouvel envahissement de biotope qui aurait amené à la rencontre d'un nouveau virus avec notre espèce, une zoonose comme tant d'autres.
On a toutes les raisons de penser que ce virus a été manufacturé par les USA dans un pays tiers, la Chine. Plus précisément, sinon la cheville ouvrière, au moins un personnage public très visible dans la réponse sanitaire aux USA, Anthony Fauci (un personnage influent depuis les années 1980, puisque président de l'Institut des Allergies et des maladies infectieuses de 1984 à 2022) a délibérément contourné l'interdiction aux USA de faire des recherches sur les gains de fonctions chez les virus en délocalisant ces travaux dans le laboratoire P4 de Wuhan en Chine
Toutes les pistes convergent vers une fuite (probablement involontaire) de ce laboratoire en 2019.
C'est du moins ce que J. Sachs qui présidait la commission d'étude du « Lancet » sur l'origine du virus, a retenu comme l'hypothèse la plus probable et ce qu'a depuis implicitement confirmé le vice-président d'Eco-Health alliance dirigée par Peter Daszak qui faisait travailler son ONG avec le laboratoire de virologie de Wuhan.
C'est aussi l'hypothèse largement privilégiée par une étude commandée par le Sénat des USA.
On s'en doutait vu le caractère intensif et infructueux des recherches chinoises pour trouver une origine naturelle à cette épidémie qui les a durement frappés.
Que trois ans plus tard, rien n'indique une origine naturelle ne peut que conforter l'hypothèse d'une origine artificielle.
Il s'ensuit malheureusement beaucoup de choses qu'il convient d'inventorier et d'analyser car d'ores et déjà des manœuvres existent (OMS, « Davos ») pour préparer une réponse collective aux prochaines épidémies, ignorant superbement que la plus sévère de ces dernières décennies n'a pas une origine naturelle, tout sauf un détail.
Il n'est pas inutile de commencer par situer le rôle d'un acteur principal de la réponse à cette urgence sanitaire, à savoir « Big Pharma ».
Ce sont des très grandes entreprises dont le but premier est la recherche du plus grand profit (elles sont côtées en bourse) et le paravent à cette recherche, la R&D de nouveaux médicaments car ils doivent être couverts par un brevet, une exclusivité de fabrication, pour ne pas être génériquables sur une longue période et donc facturables à un prix largement imposé par le fabricant.
La maximisation de leurs profits passe de façon routinière (le passé en témoigne) par le dénigrement des molécules précédentes qui sont tombées dans le domaine public (le « bactrim » pour la crise du SIDA, comme l'hydroxychloroquine ou l'Ivermectine par ex pour cette dernière épidémie. Le nouveau produit doit être accueilli en « sauveur » pour justifier son prix.
Par exemple ils vont donner une publicité maximale à des études qu'ils ont financées prouvant le peu d'efficacité d'une molécule concurrente, et/ou l'efficacité de la nouvelle.
Qui a financé par ex cette mystérieuse étude qui en deux coups de cuiller à pot établissait qu'une molécule en vente libre quelques mois plus tôt en France et encore en libre accès un peu partout, était dangereuse, alors qu'on avait un demi siècle de recul pour savoir que non ?
Qui avait un intérêt à financer une telle étude (ficelée en un temps record) à ce moment là, pour aboutir à un résultat manifestement faux et avait les moyens de la faire publier dans le « Lancet » et passer l'examen avant publication sans soucis ?...
Qui a été à l'origine de la campagne de dénigrement de l'Ivermectine, la qualifiant de « produit à usage vétérinaire pour les chevaux » alors qu'elle est en usage depuis des décennies en médecine humaine (tropicale, déjà) ?
La première idée venant à l'esprit pourrait être la bonne.
Elle passe via leur puissance de feu financière qui finance directement ou indirectement la recherche publique/privé, les agences de « régulation » comme des organismes internationaux pertinents dans leur secteur, l'OMS par ex, les grands journaux médicaux, des grands médias également.
Elle passe par une redéfinition des critères transformant les bien-portants en malades qui s'ignorent et les rendant éligibles à bénéficier de leurs produits. Une étude bien placée prouvant qu'un chiffre tensionnel, un taux de cholestérol ou de glycémie plus bas ne dispensent pas d'un bénéfice substantiel à consommer leur production par exemple est de l'ordre de la pratique commerciale courante.
L'astuce a été utilisée pour imputer à un manque de consommation de statines l'excès de mortalité en 2022 en UK par ex, en dépit du fait que les chiffres de vente n'ont pas diminué.
Elle passe par des campagnes d'influences aux plus hauts niveaux pour allonger la durée des brevets rendant leurs découvertes inaccessibles à la copie, donc à la démocratisation de leur utilisation, via les génériques.
La crise du SIDA a montré en pleine lumière à l'époque, que « Big Pharma » qui facturait la tri thérapie de l'ordre de 10 000$/an aux européens et américains était prêt à laisser crever le reste du monde qui ne pouvaient s'offrir leurs produits alors que l'Inde proposait les mêmes molécules en tri thérapie pour un coût annuel de 400$/an.
Il aura fallu un tollé planétaire essentiellement d'ONGs, pour qu'ils daignent accepter que leurs produits soient génériqués à la condition expresse de conserver leur marché et que ces produits soient uniquement destinés au reste du monde.
Elle passe par une propagande se moquant des faits établis pour maximiser le rôle bénéfique du nouveau produit et minorer ses potentiels effets indésirables.
Elle passe aussi par une influence tous azymuts pour faire en sorte de majorer la perception des risques encourus, ici face à un nouveau virus.
Ainsi Sharyl Atkisson rapporte que A. Fauci aura réussi la performance de donner au début de 2020, à quelques semaines d'intervalle d'abord au Covid-19 la létalité de la grippe, dans une revue scientifique (ce qui est le cas avec le recul pour les moins de 70 ans selon Ioannidis) pour déclarer un peu plus tard lors d'une audition devant des élus un chiffre dix fois supérieur.
Une létalité de dix fois la grippe avait en effet de quoi alarmer, ce qui fut fait dans un contexte où la diffusion planétaire à grande vitesse via le transport aérien garantissait que tout le monde allait courir après les solutions en même temps et se cramponner à la première lueur de réponse.
Il fallait obligatoirement faire face à un supposé fléau pour obtenir à la fois la mise sur le marché extrêmement rapidement d'un produit passant outre tous les obstacles à franchir pour les candidats vaccins antérieurs, de surcroît utilisant une technologie nouvelle pour laquelle nous n'avions virtuellement aucun recul.
Il ne fallait aussi pas de solution alternative avec des produits connus de longue date pour leur sûreté qui auraient possiblement interdit, à défaut gravement ralentit, la mise sur le marché d'un produit significativement innovant et aux inconnues multiples.
En effet pour obtenir la commercialisation de ces produits il y avait de nombreux obstacles à franchir.
Le premier était la violation flagrante du « Code de Nuremberg ». Il était impossible pour les volontaires à tester ces produits de donner un consentement libre et éclairé. Ces produits ne pouvaient être « sûrs » à administrer (connus de façon certaine pour être sans danger) car il était matériellement impossible, vu le peu de recul et la taille des échantillons observés sur une courte période, de savoir cela à moins de revenir du futur.
Par ailleurs il était hors de question pour ces entreprises de supporter le coût des dommages et intérêts potentiels à venir de l'injection de ces produits expérimentaux et donc la complicité des Etats était à nouveau exigée pour prendre à leur charge, donc la nôtre, les éventuels effets secondaires graves, voire les décès.
Mais surtout il fallait impérativement rester dans le flou et propager la croyance infondée que ces produits protégeaient contre une contamination, empêchaient la diffusion (ce que les études pré commercialisation ne montraient pas) et donc avaient un réel bénéfice en large diffusion auprès d'une grande partie de la population qui ne craignait pas plus de la Covid-19 que d'une grippe (les moins de 70 ans sans comorbiditées). En fait l'objectif de l'expérimentation à nos frais et à très grande échelle des injections à ARNm était secondairement d'établir justement leur efficacité et leur dangerosité, faute de l'avoir établie pendant les études pré commercialisation... Pas la première fois, au demeurant que l'humanité sert de cobaye de luxe à la grande industrie, celle des OGMs ayant déjà réussi ce tour de force, avant qu'on s'aperçoive que les bases fondant la transgenèse étaient largement fausses. Dans l'intervalle les industriels avaient obtenus aux USA l'absence d'étiquetage, garantissant l'impossibilité de comparer avec un échantillon témoin, pratique...
En condensé on ne connaissait objectivement pas les bénéfices à en attendre et bien moins encore les effets secondaires néfastes.
Il n'y avait plus donc qu'à parachever le tout en rendant « obligatoire » (ce qui transformait de facto les Etats en commerciaux de « Big Pharma ») pour une large fraction de la population l'injection de ces produits , ce qui là aussi garantissait l'absence d'échantillon témoin, démarche qui ne saurait être attribuée à l'incompétence, vu que tout le monde sait bien que quand on mène une expérmentation il faut une base de comparaison.
Après tout on l'exige de tout nouveau médicament avant commercialisation.
Mais cela défiait surtout la logique élémentaire qui conseille de réserver un traitement dont on soupçonne un bénéfice et dont on ignore les effets secondaires à moyen terme pour une minorité de la population, en l'excluant au nom du principe de précaution pour ceux ne craignant pas grand chose (jeunes en particulier).
La violation du Code de Nuremberg ne laissait place à aucun doute et personne n'a épinglé le manque dramatique de science, de logique, de bon sens dans la gestion de cette crise. La complicité aura été quasi totale entre « Big Pharma », les agences de « régulation » les grands médias et les politiques.
Et dès le départ on pouvait supposer que pas plus qu'on ne se souciait vraiment du risque collectif pris, pas plus on n'envisageait de suivre de près cette expérimentation à très grande échelle qui misait sur le « tout vaccinal » pour une catégorie de virus réputés pourtant pour se recombiner, « muter », bien plus vite que notre capacité à fabriquer des vaccins.
Non seulement on a vacciné en pleine épidémie, mais on a vacciné massivement contre un variant qui n'existait plus nulle part, un peu comme si on obligeait la population à se vacciner durant 2022 pour la grippe de l'hiver 2019/2020. Refuser, faisait passer les réticents pour des irresponsables, mettant en danger la vie d'autrui, un délire pur, démenti très vite par la réalité, sans incidence notable sur la trajectoire de l'expérimentation.
Tous les grands médias ont traqué férocement toute information susceptible de jeter le doute sur les croyances, les mensonges évidents émanant des plus hautes sphères de santé publique, politiques, de régulation.
Il apparaitra probablement avec le temps que l'opinion de quelques acteurs clés, répétées en boucle par toutes les officines de propagande (GAVI, Trusted News Inititative, AP, Reuters, censure éhontée sur les réseaux sociaux, Youtube et j'en passe, OMS, Anthony Fauci, etc...) aura suffit pour générer un effet de contagion (sinon mimétisme) chez la plupart des gouvernements qui ne sont préparés à rien, vu qu'ils gèrent au jour le jour toute crise pourtant visible à des kilomètres bien avant leur éclatement.
A. Fauci en particulier ne pouvait ignorer l'origine de cette épidémie et pour se couvrir au maximum avait impérativement besoin d'une réponse très rapide.
Il a donc oeuvré pour faire sauter tous les obstacles à la commercialisation de produits qui favorisaient ses interlocuteurs privilégiés.
La plupart des gouvernements qui n'avaient pas même lu un plan pandémie à l'envers ont donc imité, sachant que si la réponse était inadéquate ils pourraient invoquer le fait « qu'on ne pouvait pas savoir, la preuve les autres aussi l'ont fait »).
Ce qui surprend le plus (quoi que...) est l'absence manifeste de volonté des pouvoirs publics, un peu partout de suivre médicalement les conséquences de ce qui est sans doute possible une expérience hasardeuse.
On dénombre au compte goutte les autopsies de personnes en bonne santé apparente, qui sont décédées brutalement dans les trois semaines suivant une injection à ARNm, alors qu'on a des vagues de surmortalité un peu partout dans les pays industrialisés qui pourraient n'être que l'avant-garde d'effets différés du virus comme des vaccins à ARNm.
Vu que ces produits n'ont pas été imposés sur la base de leur sûreté connue, le minimum serait de chercher à l'établir a postériori. Cependant il faudrait suivre médicalement une énormité de personnes, ce qui est totalement exclu par les coupes sombres dans le secteur de la santé et le fait évident que cet objectif logique et sain pourrait délivrer une réponse cinglante qui renverrait l'affaire du sang contaminé au statut d'aimable plaisanterie.
On soupçonne que le Covid-19 comme les vaccins (y compris à ARNm) blesserait le cœur en déclenchant des coagulations dans la zone cardiaque qui selon leur importance laisseraient des tissus cicatriciels ici, des symptômes perceptibles (myocardite, péricardite, là), pouvant dépendre de la cinétique de passage dans le sang selon le point d'injection et d'autres facteurs sans doute.
Or toute atteinte de ce type peut aboutir à une mauvaise contraction de certaines zones, aboutir à une forme d'arythmie cardiaque qui peut mener à l'infarctus, lui même pouvant mener au décès.
Sur une population complètement vaccinée et susceptible d'être entièrement contaminée à terme par un variant du virus originel, il serait très difficile d'imputer un facteur causal à un surcroît de pathologies cardiaques, à condition bien sûr d'observer et de chercher.
Mais si on ne cherche pas, ce qui est la voie suivie et qui sera sans doute maintenue, on risque simplement d'avoir une surmortalité pour des raisons cardiovasculaires ( sans doute pas que ça) peu compréhensibles, d'apparition diffuse et étalée dans le temps (selon les dommages initiaux au cœur par ex, l'âge initial des personnes, etc...).
On attendrait un tollé de cette expérimentation en double aveugle (en amont ignorance des bénéfices et effets indésirables, en aval refus et incapacité de mettre sous surveillance une très vaste population pour découvrir éventuellement quelque chose qui accuserait virtuellement tout ceux ayant une parcelle de pouvoir dans la genèse et gestion du problème).
Mais le refus d'informer qui est acté de la part de tous les grands acteurs des médias (incluant les contrôleurs de faits, qui ne contrôlent que ce qui les arrangent) s'y oppose farouchement.
Ils ont agressé socialement des chercheurs et médecins qui faisaient de la science en énonçant des théories parfaitement logiques et recevables qui s'opposait à un consensus en carton pâte sans aucune valeur.
Ils ont trainé l'image publique de la vaccination (poutant un outil essentiel dans la gestion de nombreuses maladies infectieuses) dans la boue.
Qui aurait imaginé que les Etats allaient violer délibérément le Code de Nuremberg avec la complicité totale de tous les grands médias et l'appui d'un si grand nombre de cautions dans le corps médical ?
Qui aurait imaginé que les Etats allaient couvrir financièrement les effets indésirables d'une expérimentation en vraie grandeur sur leurs peuples en réduisant les frais de commercialisation pour « Big Pharma ». ?
Qui aurait imaginé que les Etats allaient se transformer en commerciaux de luxe en imposant de fait ces injections, ce qui faisait exploser les ventes immanquablement ?
Et pourtant nous avons vécu cela.
Il est impossible que l'incompétence puisse expliquer cet « alignement des planètes » faisant exploser les chiffres d'affaires de quelques grandes entreprises.
Sommes-nous capables d'en tirer des leçons en voyant que même nos plus hautes instances (Conseil constitutionnel, Conseil d'Etat) ont pleinement appprouvés la violation du Code de Nuremberg sur la base de croyances que nous savons maintenant complètement infondées ?
Individuellement, peut-être, collectivement j'en doute. Autour de moi, personne ne semble comprendre qu'on a complètement changé de monde et que ce précédent aura une suite. Au demeurant c'était déjà une suite des OGMs et plus généralement de l'expérimentation que mène l'industrie chimique depuis les années 1950, en diffusant à grande échelle dans l'environnement des produits dont on découvre longtemps après l'amortissement des frais de R&D qu'ils n'auraient jamais dû être mis sur le marché...
On a eu la démonstration de ce dont le mensonge institutionnel, relayé par tous les grands médias appuyés sur une censure farouche de toute opinion différente pouvait faire ? Où est l'écho de cette prise de conscience ?
On a eu aussi la démonstration d'une Science sous influence confinant à la religion, où un « haut clergé » décidait des dogmes à diffuser et combattait farouchement tout ceux voulant faire de la science (du débat donc) et cherchant la vérité des faits dans une nappe de croyances et d'idéologie.
On a prêté massivement à la science des propos qu'elle n'a jamais tenu ou même ne pouvait tenir, peu de souligner la gravité du phénomène.
Comment ne voyons nous pas le danger extrême de ce qui vient de se produire sous nos yeux ?
Quelles sont les prochaines étapes ?
Il est urgent de s'informer et de dénoncer autour de nous la propagande (il n'y a pas d'autre mot) qui nous a envoyé dans les décors avec l'assentiment actif ou passif d'une large fraction de la population.
Quelques voies s'élèvent pour exiger un suivi sans complaisance des effets secondaires de cette expérimentation vaccinale, un retour à la controverse scientifique, un arrêt de la censure à caractère clairement politique.
Seront-elles entendues sans appui massif d'une fraction critique de la population ?
On peut en douter.