jeudi 23 septembre 2010 - par Lisa SION 2

La plus grande Eifféolienne du monde

La plupart de ce qui se dessinait comme de la pure fiction dans un passé lointain, véhiculé dans les scénarios passionnants des films d’Hollywood et même avant, en illustré de bandes dessinées, ou dans les sélections du Readers Digest’s, s’installait tranquillement dans l’inconscient collectif humain. Nous avons en fait été formatés pour accepter résolument le progrès de l’avenir radieux du monde moderne, rutilant et protecteur, clinquant et moteur, et il n’est pas question de revenir là dessus. Ce lent travail de sape effectué sur toute une génération d’après guerre, rejeté vingt ans plus tard en soixante huit, mais largement répandu depuis, par quarante nouvelles années de séries télévisées, a atteint désormais son but.

Les voilà ces monstres battant l'air comme les moulins, qui s'installent dans notre environnement par milliers, avec le consentement résigné d'un peu moins de la moitié de la population, et malgré la résistance active mais sourde d'une infime minorité. Ces gigantesques pantins articulés qui font des signes de leurs bras de quarante cinq mètres de long, et que l'on voit à cinq ou dix kilomètres sur les collines, entrent dans notre paysage sans complexes. Autant il est facile pour les opposants de renverser les maïs transgéniques plantés hors la loi, puisque dans des zones non déclarées en préfectures, autant il est impossible d'arrêter les ailes de ces oiseaux géants. Mais dans tous les cas, il est à noter que tous ces progrès techniques font preuve d'une pression soutenue des autorités pour s'installer, même en vieille démocratie.

( Source de la photo représentant la Tour Eiffel )

La seule façon de ramener à la raison ces promoteurs et critiquer ces systèmes mécaniques démesurés est d'apporter sur un plateau des arguments tout à fait discutables.

Les éoliennes sont bruyantes.

Je me souviens avoir passé quelques nuits dans un gîte d'étape isolé de vingt places au pied des monts Tuchan, un endroit de rêve. Une ancienne bergerie à moutons, où l'on peut vivre nu sans aucun vis à vis, seule et posée sur un petit plateau de verdure joliment arboré, au bout d'un km de petite route montante. Bref, l'endroit idéal pour y faire un méchoui pendant deux jours et chanter à tue tête toute la nuit auprès du feu sans danger, et sans ne jamais déranger personne. Mais, à près de mille mètres à vol d'oiseau du sommet où fonctionnaient sept éoliennes, je me suis demandé le premier soir s'il n'y avait pas un cortège permanent d'avions à hélices tels les postaux, jusqu'à ce que je me rende compte que ce bruit provenait des sommets et étaient générés par ces énormes moulins.

Les endroits sont parfois les plus mal choisis.

Hormis le fait qu'ils soient bruyants, ces puissants monstres s'installent dans les endroits les plus jolis parce que sauvages et préservés, c'est à dire autour des dernières propriétés les plus reculées et les plus tranquilles. Cela implique des travaux de grande ampleur pour acheminer le courant au réseau général, afin d'alimenter par voies aériennes les plus grands centres de consommations, souvent les plus lointains de ces zones isolées. D'où cette question simple : Pourquoi ne pas rapprocher ces sources d'énergies des centres industriels, lesquels fonctionnent souvent en travail continu, les fameux 3/8, et qui ne souffrent pas d'être défigurés tellement ils le sont souvent déjà ?

Et toujours centralisateurs et délocalisés.

En donnant un trait particulier ou une couleur à chacune, et les installant en pleines zones des grands chantiers industriels de grandes surface, elles deviennent ces repères que n'ont qu'à suivre les chauffeurs livreurs pour atteindre leurs objectifs. Disposées de façon aérées par rapport aux corps de métiers, elles deviennent les principales distributrices des entreprises locales réduisant ainsi d'autant les pertes dues aux lignes hautes tension. Fonctionnant de jour comme de nuit, elles assurent l'éclairage de toute la ville dans les meilleures conditions atmosphériques. Doublées du système Voltalis, elles autorisent à optimiser la gestion de toutes les opérations gourmandes en cas de pointe de production, et de façon automatique.

Et pourquoi pas à taille humaine.

A l'échelle de nos services existants, c'est à dire à hauteur de matériels présents, les poteaux électriques, il y en a sept millions en France, et en doublant les mieux exposés d'un second éolien, l'on raccourcit ainsi le relais au réseau, l'on réduit les frais en cas d'accident et facilite les opérations de réparation. Deux croisillons intermédiaires assurent un maintien et un renfort supérieur en cas de pointe. Je suis même prêt à faire ce pari : Dans les meilleures conditions météorologiques, c'est à dire les jours de grands vents généralisés sur tout le pays, la production par ce système devrait permettre d'éteindre les centrales nucléaires auxquels ces poteaux sont sensés nous raccorder, mais seulement aux heures les plus calmes, c'est à dire de façon spontanée.

Don Quichotte, reviens !

Les concepteurs et conseilleurs de ces méga géants misent sur le long terme d'exploitation, et sur les chiffres favorables pour séduire les payeurs de ces projets. Mais les premiers bénéficiaires en sont les grands exploitants ayant suffisamment de terres pour les recevoir ainsi que les communautés de communes qui les acceptent sur leurs territoires. Évidemment, les opposants à ces principes n'arrivent qu'à repousser plus loin de leur environ-ronnement ces monstrueux robots gesticulants, mais se verront néanmoins facturés comme tout le monde le coût final en bout de chaine, sans les avantages aux premiers. D'où cette constatation : c'est ni plus ni moins le moyen de faire payer par les réfractaires un système qu'ils rejettent. L'éolien n'est donc pas plus démocratique que le nucléaire, lequel faut-il le rappeler, s'est installé avec l'aide de solides cordons de crs...

Le gigantisme ne paie pas.

« pour installer ces 3100 éoliennes, beaucoup de fer et béton pour construire ces éoliennes. 460 tonnes métrique d'acier par MW et 870 tonnes métrique de béton par MW. Donc ceci nous donne, 713,000 tonnes métrique d'acier et 1,348,500 tonnes métrique de béton pour la construction des éoliennes, sans compter les routes nécessaires pour l'entretien régulier des éoliennes et le déneigement de ces routes. Imaginez la quantité de pétrole brulé pour construire et entretenir tout ceci. » Le long terme non plus

En résumé, il n'est pas compliqué de comprendre ce qui anime l'esprit des conseilleurs de ce type de projets. En repoussant au loin les sources d'énergie dont chacun peut avoir besoin, il se conduit comme le sage qui fixe la lune au bout de son doigt. Non seulement l'on ne peut voir de si loin tous les intermédiaires qui enflent la facture finale, mais en plus, en regardant dans la direction du doigt, l'on ne perçoit pas comment de l'autre main ce conseilleur nous fait les poches. Tous les modes de projets liés à la production d'électricité sont de plus en plus démesurés au point qu'il en devient impossible de vérifier l'étendue des comptes d'activité et des sommes détournées. Et cela, au mépris constant des nouveaux concepts localisables sur un toit.

Par contre, il est très facile de vérifier comment chez soi, les nouvelles normes en matières d'éclairages ne tiennent pas toujours leurs promesses, puisqu'elles sont encore plus chère et polluantes que la lampe à filament. Leurs principe de base consiste à devenir rentable et économique après une longue période de chauffe, et tout court usage de ces lampes devient donc x fois plus consommateur, réduisant aussi la durée de vie de la lampe.

Entre les fluctuations du vent et des courbes d'exploitation des lampes, seul un bon ordre d'usage assure une véritable économie. Tout le reste est encore tout bénef pour les mégalopolitiques.

En 1700, Vauban recense 16 mille moulins industriels (dont 1000 pour la métallurgie) et 80,000 moulins de meunerie. http://forums.futura-sciences.com/environnement-developpement-durable-ecologie/420443-energie-eolienne.html



36 réactions


  • morice morice 23 septembre 2010 10:26

    n’importe quoi : le ramassis de tout ce que peuvent écrire les anti-éoliennes... C’est ça ou l’EPR : vous avez choisi là..



    • Lisa SION 2 Lisa SION 2 23 septembre 2010 10:52

      Vous n’avez même pas pris le temps de relever les arguments étayant ma critique.
      N’étant pas vous même un partisan du débat ou du dialogue mais du clivage absolu et radical, je ne développerai pas.


    • Halman Halman 23 septembre 2010 17:37

      Lisa dans le genre ramassis de partis pris vous nous avez fait un joyaux.

      Vous nous la faites dans le genre tout ce qui est nouveau et qui vient de l’industrie est une horreur.

      Désolé mais je préfère des champs d’éoliennes et de panneaux solaires que des centrales nucléaires.

      On verra votre réaction dans 50 ans quand les technologies et les mentalités auront évolués.

      Quand les nouvelles sources d’énergies feront partie de votre quotidien, vous ne les trouverez pas si moches, et elles seront surement considérablement moins bruyantes. Quand il sera devenu dans la norme des éoliennes et des cellules photovoltaïques sur chaque toit.

      Mais sachez quand même qu’on ne change pas les lois de la nature, les filets d’air sur les pales feront toujours du bruit pour l’éternité.


    • Silvio-Bernard 25 septembre 2010 11:15

      À LA PLAGIAIRE LISA SION
      certains voleurs ou escroc utilisent des nom d’emprunt pour disparaitre ; LISA SION invente le pseudo provocateur pour chercher la gloire en signant des emprunts et AGORA VOX dans son drainage de pseudo journalistes... depuis les fins fonds de je ne sais quelle patrie d’usurpateurs nous les offre comme des pièces de futurs auteurs ;

      serait-ce là une des missions de ce site de dévaloriser l’expression journalistique un peu à la manière de « la nouvelle star » pour le monde des vrais artistes ?
      ------------------------------------------------------

      j’ai apprécié la lecture de cet article mais seulement jusqu’à un certain point : J’EXPLIQUE : jusqu’à ce passage là tout en me disant « ah tiens ! une rédaction qui me plait »
      texte signé par L. SION sur agora vox

      ..« ... il se conduit comme le sage qui fixe la lune au bout de son doigt. Non seulement l’on ne peut voir de si loin tous les intermédiaires qui enflent la facture finale, mais en plus, en regardant dans la direction du doigt, l’on ne perçoit pas comment de l’autre main ce conseilleur nous fait les poches. »

      COMMENT APPELEZ VOUS UN INDÉLICAT QUI UTILISE LES PENSÉES D’UN AUTEUR, SANS LE CITER, EN CHANGEANT JUSTE UN DÉTAIL ET S’EN APPROPRIE LA PATERNITÉ ?
      Adages & pensée - Les neuf neufs ...

      ... De 2000 neuf (extrait)

      Aujourd’hui, quand un sage montre la Lune,
      les imbéciles regardent son doigt, et des petits malins leur font les poches .

      SOURCE : http://l.ame-de-fond.over-blog.com/...

      L’auteur vous serait reconnaissant de son vivant à être cité en respect des usages (Silvio Bernard) ; ceci est mon nom de plume et je me permets de douter du vôtre ; certaines actions nécessitent de faux nez et des noms d’emprunt ; en ce cas, votre manque d’imagination ne suffit pas à excuser votre manque d’éthique et d’honnêteté ; veuillez à l’avenir citer les noms des auteurs dont vous empruntez les pensée ; ce sera moins du vol et remettra votre créativité à son juste niveau .

      COMMENT ÊTRE SUR MAINTENANT QUE CE QUE VOUS SIGNEZ EST BIEN DE VOTRE ÉCRITURE ? PEUT-ÊTRE MÊME TOUT CE QUE VOUS ÉCRIVEZ POURRA ÊTRE MIS SYSTÉMATIQUEMENT EN DOUTE ... À COMMENCER PAR VOTRE EXISTENCE . UN PSEUDO PAREIL ME FAIT PLUTÔT PENSER À UN PERSONNAGE MULTIPLE, UNE DIASPORA, UNE ORGANISA-SION


    • Salsabil 25 septembre 2010 11:29

      Dites donc, Silvio-Bernard !

      Vous allez nous bassiner longtemps avec vos MAJUSCULES et votre gras qui nous agressent ?

      Vous avez demandé à Lao-Tseu, vous, si vous pouviez lui emprunter ses citations ?

      Non mais ! Faut vous dégonfler le melon là, un petit peu !


  • Francky la Hache Francky la Hache 23 septembre 2010 11:32

    En effet, une belle brochette d’ânerie.

    1) Les éoliennes ne sont pas très bruyantes, et lorsqu’il y a du vent,
    il est impossible d’entendre les éoliennes, le vent dans les arbres ou sur les toits
    masque à 100% celui des éoliennes. Même wikipédia est d’accord ...

    2) Les endroits choisis ?
    Il s’agit uniquement de copinage entre les propriétaires terriens et les instances
    politiques ; il y a du benef à faire, les voisins sont ensuite jaloux et invente ou exagère
    des prétexte de nuisance.
    Je suis outré par le principe d’installation, pas par l’installation elle-même.

    3) Les petites éoliennes sur les poteaux ne sont pas établies, pour une raison simple,
    elle seraient volées par ceux qui pourraient en mettre dans leur jardin/champs ...,
    ou saccagées par d’autres, jaloux.

    4) Pour Don Quichotte, ...
    mon avis est qu’EDF n’avait pas à ouvrir son capital au privé, mais c’est un autre débat.

    5) Le gigantisme ... pourquoi cette digression sur les nouvelles ampoules effectivement ridicules ? Et le lien avec la caractère variable de la production ? C’est un non sens.

    Oui, les nouvelles ampoules posent des difficultés nettes avec la pollution par leurs métaux.

    Oui, un parc éolien conséquent ne peut pas répondre à une offre d’énergie stable dans le temps.

    Oui, il faut beaucoup de matériaux pour construire une éolienne, mais combien de béton pour
    une centrale nucléaire ? (Et 1kg de béton, dégage combien de CO2 pour sa fabrication ????)

    Pour la conclusion, je crois que nous ne sommes d’accord que pour condamner les pratiques politiques.

    ------------

    Pour aller plus loin, y-a-t-il un moyen de stocker l’énergie de ces éoliennes, lors des pics,
    pour la distribuer lors des creux ?
    - les batteries sont une hérésie, ultra polluantes.

    - le stockage par énergie potentielle est simple, zéro polluant.
    Un exemple de chantier, est un barrage hydraulique qui est ré-alimenté par l’aval
    lors des pics de production, l’énergie est donc restituée sans aucune pollution.
    C’est alors l’occasion de rappeler que l’hydroélectrique est encore moins cher que l’éolien.

    - il y en a d’autres, hydrogène ou air comprimé ...

    --------

    Mes craintes pour l’avenir ; les politiques étant des vendus au lobby du nuK,
    ils font le forcing sur les méfaits du CO2 via les GES. Foutaises. Tout ça, pour imposer
    à l’avenir des centrales nuK, que l’on présentera comme La solution. Une honte.
    De plus, le lobby agricole euro et US arrive à faire proposer des agrocarburants
    que l’on pourrait qualifier de nécrocarburants. Encore une honte. Certes, il ont un bilan
    CO2 faible, mais je m’en moque ne croyant pas au RCA. En revanche je préfère être
    attentif aux diverses pollutions lors de l’extraction (chimiques) et de la combustion.
    Carnage.


    • Lisa SION 2 Lisa SION 2 23 septembre 2010 12:02

      « Les éoliennes ne sont pas très bruyantes, » je n’ai pas écrit qu’elles étaient très bruyantes.

      « Les petites éoliennes sur les poteaux ne sont pas établies, pour une raison simple,
      elle seraient volées
       » dans le genre âneries, vous vous y connaissez.

      « les batteries sont une hérésie, ultra polluantes. » les poteaux électriques photovoltaïques développés sur le lien vers énerzine contiennent dans leur corps de quoi restituer l’éclairage led cinq nuits durant.

      «  Une honte. De plus, le lobby agricole euro et US arrive à faire proposer des agrocarburants
      que l’on pourrait qualifier de nécrocarburants.
       » les chaudières à granulés permettent de bruler n’importe quel végétal y compris le blé...

      « pourquoi cette digression sur les nouvelles ampoules effectivement ridicules et le lien avec la caractère variable de la production ? C’est un non sens. » ces ampoules ne conviennent nullement à de courts allumages puisqu’elles ne deviennent économiques qu’après quelques minutes de chauffe. Plus vous les utilisez de cette façon, et plus vous réduisez le bénéfice et la durée de vie de celle ci.

      Les craintes pour l’avenir, l’accumulation des mauvais choix coûteux dont profitent pleinement les actionnaires du système.


  • kemilein 23 septembre 2010 11:40

    mouerf
    de toutes façons tout est toujours au final « polluant »

    ceci dit moi je trouve qu’ esthétiquement certaine éole sont belles.

    après comme a son habitude l’homme de profit ce fou du bien commun, et on arrive à ce résultat aberrant d’avoir des éoles en des lieux inappropriés.

    il est bon de différencier la technique et technologie de l’utilisation qu’on en a.


    • Lisa SION 2 Lisa SION 2 23 septembre 2010 12:09

      Effectivement, l’art de séparer les sources d’énergies des lieux où l’on en a le plus besoin mène à ces tristes constats. Obtenir notre indépendance grâce à d’autres pays qui n’ont rien demandé et n’en profitent pas pour se développer, et ne pas se polluer son territoire en repoussant les déchets chez d’autres.


  • slipenfer 23 septembre 2010 11:56


    Nous sommes toujours sans pouvoir et considéré comme des enfants.
    D’autres décident pour nous ce qui est bon,ou mauvais.
    Les énergies libres sont en retard de 20 ans au moins et les nouvelles
    découvertes rangés dans les placards,ou présentés comme des gadgets
    curieux
    .L’imaginaire,source de création,d’innovation est dirigé ,contrôlé, canalisé
    par un système conformiste et rétrograde,qui agonise.
    Espérons que cette méduse échoué,séchera au plus vite. 
    sinon : Eoliennes à axe vertical pour applications diverses (mais je suis sur que l’on peut
    faire mieux)
    des idées de conférence sur la Z machine JPP .............    lien : expliquation


    • Lisa SION 2 Lisa SION 2 23 septembre 2010 12:18

      Quand on voit comment l’armée a été mise à contribution pour que s’installent les sites de production d’électricité et même d’eau, il n’est pas étonnant que les autre idées et techniques développées en privé ne font pas le poids et ne sont pas armés pour lutter contre le pouvoir « démocratique » en place.

      Dites vous qu’un jour, quelqu’un va inventer un mode de production d’énergie gratuite et localisable, si ce n’est déjà fait. Je ne donne pas cher de sa peau !


  • slipenfer 23 septembre 2010 12:54

    Ce qui est horrible dans l’Aude c’est qu’elles sont par petits groupes, 10, 15, 20 maximum et très souvent implantées dans des sites magnifiques qui auraient mérité d’être protégés et que des politiques peu scupuleux ont vendu pour une poignée de cacahuètes ...

    Ils appellent cela valoriser un terrain


    • Lisa SION 2 Lisa SION 2 23 septembre 2010 14:15

      Il en est de même avec les voies ferrées LGV, les nouveaux tracés " 3800 km de LGV, impliquent une emprise au sol d’environ 380 km2. (environ 100 m de large en moyenne) Or c’est la surface de 25 communes françaises, en moyenne 14,88 km2 / commune, « + » 589KM carré pour installer ces 3100 éoliennes. " nul doute que les grands bâtisseurs, bétonneurs, exportateurs, et décideurs que sont Bouygues Bolloré, Lafarge, Areva et Suez, et autres grands amis du pouvoir vont s’en mettre encore plein les poches.


  • Salsabil 23 septembre 2010 14:12

    Salut Lisa,

    Je vais peut-être en faire bondir certains, mais je trouve ça plutôt jolie, moi, une éolienne. Ca a quelque chose de majestueux et d’élancé.

    Je suis par contre tout à fait d’accord pour dire qu’il ne faut pas les implanter n’importe où. Comme le dit Archi, celles le long de l’autoroute au sud de Paris ne me gêne pas du tout, sauf pour conduire car elles attirent mon regard...du coup c’est dangereux smiley smiley

    Mais, bref, voilà, le long de routes qui ont déjà en partie défiguré le paysage, loin des habitations à cause du bruit, ça ne me choque pas.

    Je ne connais pas le sujet d’un point de vue technique donc je ne peux me prononcer mais il me semble que cette énergie a beaucoup de détracteurs et pour des raisons autres que celles que tu soulignes. Ce ne serait pas si rentable que cela et plus polluant que ça en a l’air...

    Des connaisseurs peuvent-ils confirmer ou infirmer ?


    • Lisa SION 2 Lisa SION 2 23 septembre 2010 14:23

      Bonjour Salsa,

      effectivement ce n’est pas moche en soi, mais c’est quand même du vent, non ?
      Il y a eu tellement de discussion à ce sujet que je ne me suis permis d’en reparler qu’en apportant de nouveaux arguments discutables. Sinon, c’est pas la peine. Comme les architectes qui construisent des immeubles qu’ils n’habitent pas, les grands penseurs de ces géants ne les plantent pas devant chez eux, et eux même se chauffent et éclairent leur résidence principales autrement. Et c’est sans compter sur les îles des paradis fiscaux qui n’ont pas de nucléaire et pourtant où l’on trouve des quantités de villas de rêve...comment font ils ?


  • Clojea CLOJEA 23 septembre 2010 14:40

    Salut Lisa : C’est vrai que dans le paysage, je trouve pas ça génial. Pour le reste, je ne sais pas, mais je pense qu’on est loin d’avoir épuisé tous les systèmes qui peuvent produire de l’énergie, donc peut être y’en a-t-il de plus discret ?


    • Lisa SION 2 Lisa SION 2 23 septembre 2010 15:23

      Salut Clo, mais le problème c’est que ces systèmes bien plus discrets existent !
      Il s’agit de tuiles solaires qui peuvent chauffer le l’eau par solaire thermique, des sortes de tuiles en verre dont le fond est noir et absorbant les uvs, et même d’autres photovoltaïques posées sur un rail conducteur. Dans dix ans elles coûteront un euro la tuile et tous les toits s’en verront recouverts réduisant ainsi la part d’électricité utile que pour les industriels...

      D’où mon idée d’installer les éoliennes au cœur des zones moches.
      Ça me semble trop évident pour être enfin assimilé dans vingt ans...


  • Micromégas 23 septembre 2010 15:43

    La terre -et bientôt la mer- sont en train de se couvrir d’éoliennes et de champs de panneaux solaires. On n’y gagnera pas en pollution visuelle ! Voilà où nous conduira le concept de la « croissance verte » ! Tant qu’on ne sera pas décidé à diminuer la consommation et donc la production, on n’aura pas de vraie solution au problème des pollutions.


    • Lisa SION 2 Lisa SION 2 23 septembre 2010 17:25

      « La terre -et bientôt la mer- sont en train de se couvrir d’éoliennes » les hydroliennes ne représentent aucune pollution visuelle et ne prennent pas feu...

      « ...champs de panneaux solaires. On n’y gagnera pas en pollution visuelle.  » un jour sera mise en vente une tuile solaire et même thermique d’une couleur à laquelle on s’habituera exactement comme on s’est habitué à l’ardoise le zinc ou la chaume.

      « Tant qu’on ne sera pas décidé à diminuer la consommation » le système industriel s’applique à rendre les produits usables pour mieux renouveler leur achat...

      Le seul produit vraiment durable, c’est la bêtise humaine.


  • lechar 23 septembre 2010 16:26

    concernant le bruit ; près de chez moi il y a à peu près 30 à 40 éoliennes bien réparties, je suis allé me mettre en dessous de l’une d’elles pour voir : à coté, une ballade en forêt serait alors un vrai cauchemar...


  • joletaxi 23 septembre 2010 16:59

    Sérieusement, je ne vois pas la raison de ce débat.


    En effet, soit les éoliennes(et au passage les panneaux solaires) sont une bonne solution pour faire face à une très éventuelle crise énergétique,en assurant une production pérenne et stable, à un prix soutenable,et dans ce cas, moche ou pas, leur implantation s’impose, comme l’autoroute, la ligne LGV, la centrale nucléaire, l’aciérie, la raffinerie... etc
    Soit,ces solutions sont techniquement, et économiquement non viables,et dans ce cas, c’est une aberration de continuer dans cette voie

    Deux choses me sidèrent dans cette dernière optique

    faire du courant en abondance à des prix tout à fait supportables par la population , on sait faire, on le fait depuis 50 ans,sans problème particulier
    Concernant le bilan de ces autres énergies, on pourrait arguer que s’agissant de techniques nouvelles, il nous faut ’faire l’expérience« en vraie grandeur pour déterminer le bien fondé du choix
    Or ,on a des exemples, dans le monde entier, et de partout nous reviennent les mêmes conclusions:cela ne marche pas.
    Et qui plus est, cela n’a pratiquement pas d’influence sur nos émissions de CO2,si tant est que cela fasse encore partie de la problématique.
    Je lisais dernièrement un rapport de RTE
    La pointe de production éolienne à eu lieu ... à 3 heures du matin.Avec le prix de rachat obligatoire que l’on sait, et la difficulté de gérer du courant excédentaire pour le gestionnaire de réseau, on comprend tout l’intérêt de ces »machins"
    Mais à quoi bon discuter ?Cela a déjà été débattu ici,maintes fois,et un certain Jacquain avait fourni toutes les explications techniques sur le sujet.
    Le fait est que cela va continuer, et que votre facture, notamment du fait de toute cette gabegie va exploser.
    Sinon, à part cela la vie est belle,enfin moi je trouve


    • Lisa SION 2 Lisa SION 2 23 septembre 2010 17:43

      Tout à fait, la vie est belle,

      enfin sauf pour les nigériens que l’on a viré, qui touchent pas un kopeck et avalent la poussière d’uranium pur. Ils ont les chinois et les musulmans qui viennent les exciter pour qu’ils enlèvent des français surplace, et nous imposer l’alerte rouge vigie pirate maximale à Paris...Mais, sinon, tout va bien.

      Un peu des sérieux, notre indépendance est entièrement établie sur un déni profond, il va peut-être falloir envisager de prendre tous les paramètres en considération un jour prochain, au risque de constater que quand toutes les éventualités sont prises en compte par tous les acteurs de la chaine, c’est la filière locale qui participe le plus à responsabiliser le consommateur.


  • Lisa SION 2 Lisa SION 2 23 septembre 2010 17:18

    @ oncle

    ne tabassez pas les architectes, ils répondent au programme que leur fournit leur client « je ne tabasse personne, mais fait remarquer que si trente ans après avoir fièrement construit mille logements il faut déjà en détruire deux cent, quelqu’un a vu trop grand. Souvenez vous du fada de Marseille.

     » Il faudrait une grande réflexion menée par des gens compétents en architecture et en urbanisme qui pondraient un "plan directeur« sans céder aux pressions .. J’en demande beaucoup là ... » d’un certain point de vue, si vous demandez à tout un chacun, il es d’accord à condition que ce soit chez l’autre. Le consensus est impossible, et le fait de savoir que pour quelques subsides l’on influe sur votre avis montre l’éthique du système...


    • joletaxi 23 septembre 2010 18:01

      le titre d’architecte est déjà suffisamment lourd à porter, n’accablez pas ce lecteur


    • jluc 23 septembre 2010 18:44

      les architectes n’ont jamais rêvé d’entasser les gens ! Je n’en connait qui ont entamé leurs études pour réaliser ce superbe rêve. Le Corbusier a imaginer a maison du fada « la Cité Radieuse » comme un village vertical avec rues intérieures, boutiques, école maternelle (sur le toit), etc. Le but était d’apporter une réponse nouvelle au problème du logement collectif... Une utopie qui n’a rien à voir avec des cages à lapin.

      Les gens qui décident ce qu’il faut construire ne sont ni architecte ni habitant ; grosso modo, ce sont ceux qui payent les travaux...


  • Theodore 23 septembre 2010 17:55

    En fait le vrai problème c’est les politiques et les industriels (combien de députés ou de sénateurs ingénieurs ?).
    On ne se pose pas la question du cycle de vie, je suis à peu près certain qu’une ampoule basse consommation aura au final consommé beaucoup plus d’énergie et de matière première (noble vue le condensateur, la bobine et l’électronique) qu’une ampoule normale (car produite en Indonésie, recyclée ou pas en Inde, etc), que le design de certain appareils ménager notamment frigos et congélateurs est dans souvent aberrant (on climatise une maison que machine à laver et frigo s’ingénient à chauffer) et on chauffe une maison dans laquelle on fait tourner des machines frigorifiques. ne parlons pas des blocages pour le moins suspects aux techniques vraiment efficaces (isolation externes , aérogels, films isolants) sachant par exemple que la pose d’un film plastique isolant et que la chasse au courants d’airs s’il n’atteignent pas l’efficacité d’un triple vitrage ont un retour sur investissement et une mise en œuvre largement plus rapide que les solutions « agrées » par l’Ademe ;
    Ne parlons pas d’aberrations comme la construction de tours vitrées (simple vitrage) sans fenêtres que l’on est obligé de climatiser et d’éclairer à outrance.


    • Lisa SION 2 Lisa SION 2 23 septembre 2010 18:19

      Tout à fait Théodore, mais la gabegie est généralisée depuis que les législateurs, ont eux même voté pour la prohibition contre un excellent produit naturel isolant, le chanvre industriel. Il constitue le meilleur rapport poids prix qualité et destruction recyclage. Depuis, l’on cherche désespérément le produit que l’on peut enfermer dans les maisons parfaitement isolées sans en mourir tellement cela implique de respirer en circuit fermé ce qui devient extrêmement dangereux avec tous les solvants.

      J’habite une maison pas très bien isolée du grenier, mais dont les murs font 80 cm d’épaisseur. Lors de la canicule de 2003, ayant pris soin de tout laisser fermé, j’ai du supporter une température intérieure de 24 ° au maximum après trente jours à 43 ° dehors. Aujourd’hui, des habitations construites en parpaings de chanvre résolvent tous les problèmes d’un coup. Hop terminé la longue chaine des dépendances généralisées.


    • joletaxi 23 septembre 2010 18:34

      C’est marrant comme les écolos vont de découvertes en découvertes.

      Perso, je construisais déjà des maisons aussi bien si pas mieux isolées que nos nouvelles boites à chaussures(pas à dire, les nouvelles maisons basse énergie, elles ont de la gueule ;bravo les architectes)... il y a 40 ans.
      Et pour une bonne raison.
      A cette époque, il y avait eu un vrai peakoil.Pas une truc imaginaire, où on nous parle de catas, de pénurie, avec des pétroliers de 300.000 tonnes qui attendent à l’ancre dans des fjords en Norvège pour décharger au meilleur prixNon,non, un truc sérieux. Il n’y avait plus de pétrole à la pompe, et les gens se déplaçaient avec des jerykans dans le coffre,quand ils devaient rouler.
      À la suite de quoi, on a construit des centrales nucléaires, et dans cette optique, il était prévu de se chauffer avec l’électricité(pas idiot finalement, on serait largement dans les clous de Kyoto et autres âneries)ce qui impliquait une isolation genre on chauffe avec une bougie,ce que l’on savait faire.
      Mieux que cela, à l’époque dans les gros batiments on plaçait déjà des systèmes d’optimisation des chaufferies munis d’un « pré-ordinateur » avec des économies allant jusqu’ à 40 %

      Alors toutes ces nouveautés, ces découvertes, je trouve cela plutôt rigolo




  • joletaxi 23 septembre 2010 17:59

    Ahhhh,la filière locale,le nouveau dada,le replis égocentrique.


    Il y a un point de la doctrine communiste que je trouve très pertinent :(le seul, je rectifie tout de suite)
    tous les évènements contemporains puissent leur source dans le passé.

    L’exemple que vous citez a toujours existé.
    On s’est battu pour les épices, pour les soies d’orient, pour l’or des Incas, pour le charbon, pour le pétrole, pour le cuivre, le fer etc...
    Mais depuis les temps les plus reculés ,on a toujours échangé.Je cherche vainement des références historiques sur le commerce entre Rome et la Chine(déjà,et en plus, le tarissement des mines d’or en Espagne a été à l’époque, une crise des subprime tout à fait dramatique)
    Et on l’a fait, parce que soit le produit n’existe pas dans la région, soit parce que ,pour toutes sortes de raisons, il est plus économiquement rentable de le faire venir.
    Et en ce qui concerne l’énergie,il est économiquement idiot de se passer des économies d’échelle.La france a la chance d’avoir un parc nucléaire performant,et un réseau bien étudié.En quelques années, on risque de « bazarder » tous ces acquis pour rencontrer les appréhensions existentielles des gâtés" de notre société. 

    • Lisa SION 2 Lisa SION 2 23 septembre 2010 18:35

      " On s’est battu pour les épices, pour les soies d’orient, pour l’or des Incas, pour le charbon, pour le pétrole, pour le cuivre, le fer etc... " observez le phénomène actuel, trois conflits auxquels l’actualité a mobilisé notre attention, sont les farcs, le talibans et le désert algérien. C’est justement de là que sont produits la cocaïne, l’opium et le cannabis. Je ne vais rien vous apprendre, mais les plantes dont sont extraites ces substances poussent très bien chez nous, avec moins de principes actifs, mais néanmoins très bien.

      La filière locale est celle qui va permettre aux africains à ne pas accepter qu’on leur vende un jour leur soleil en boite...


  • Silvio-Bernard 24 septembre 2010 01:06

    j’ai apprécié la lecture de cet article mais seulement jusqu’à un certain point : J’EXPLIQUE :

    COMMENT APPELEZ VOUS UN INDÉLICAT QUI UTILISE LES PENSÉES D’UN AUTEUR, SANS LE CITER, EN CHANGEANT JUSTE UN DÉTAIL ET S’EN APPROPRIE LA PATERNITÉ ?

    http://l.ame-de-fond.over-blog.com/article-28431744.html

    ... De 2000 neuf



    Aujourd’hui, quand un sage montre la Lune,
    les imbéciles regardent son doigt, et des petits malins leur font les poches .

    L’auteur vous serait reconnaissant de son vivant à être cité en respect des usages (Silvio Bernard) ; ceci est mon nom de plume et je me permets de douter du vôtre ; certaines actions nécessitent de faux nez et des noms d’emprunt ; en ce cas, votre manque d’imagination ne suffit pas à excuser votre manque d’éthique et d’honnêteté ; veuillez à l’avenir citer les noms des auteurs dont vous empruntez les pensée ; ce sera moins du vol et remettra votre créativité à son juste niveau .

    COMMENT ÊTRE SUR MAINTENANT QUE CE QUE VOUS SIGNEZ EST BIEN DE VOTRE ÉCRITURE ?


    • Lisa SION 2 Lisa SION 2 24 septembre 2010 02:42

      Monsieur Silvio-Bernard,

      j’ai le grand regret de vous annoncer que j’ai trouvé votre page de pensées assez riche, mais que je n’en ai pris connaissance que ce soir et pas avant, mon historique faisant foi. Vous devriez vous douter que vous n’êtes pas seul à évoluer vers la démystification des idées reçues, et vers la recherche de nouvelles définitions de futurs proverbes à la sauce actuelle. Plutôt que vous dire que nous arrivons au même moment vous et moi aux mêmes conclusions, usant de pratiquement les mêmes mots pour décrire une situation semblable, et admettre ainsi que nous faisons tous deux, avec quelques autres d’ailleurs, une chaine de maillons de lucioles éclairant la sphère internautique et inspirant le respect de ceux qui nous suivent, vous avez préféré revendiquer la paternité d’une phrase et m’accuser de vol manifeste...

      Vous vous êtes même inscrit sur ce site ce jour, juste pour pouvoir venir me traiter de plagiat en trois exemplaires. Puis-je vous conseiller de remonter le fil de mes écrits à partir de cette adresse : http://www.agoravox.fr/auteur/lisa-sion-2?debut_bestof=2340#pagination_bestof au risque de découvrir que j’ai déjà exprimé cette pensée commune à une date antérieure à l’ouverture de votre site. Je ne revendique d’ailleurs aucune paternité d’aucune idée née dans mon esprit que par le truchement des milliers de lectures antérieures dont je ne fais qu’une synthèse succincte à ma sauce actuelle.

      Relisez d’ailleurs bien mon article de ce jour, cela vous permettra de constater à quel point mon esprit est malgré tout assez fécond au point de ne pas avoir systématiquement besoin de l’avis des autres pour émettre des idées qui elles mêmes, sont le propre de la raison pour laquelle j’écris. Si vous êtes capable de le constater, soyez assez sympa de nettoyer vous même mon article en partant, merci. L’auteur.


    • Gasty Gasty 25 septembre 2010 10:57

      Les idées font leurs chemins et on devrait pouvoir s’en réjouir lorsqu’elle vont dans le bon sens.

      L’idée révolutionnaire appartient-elle à une seule personne ?...Ce qui serait ridicule, une révolution implique une adhésion à l’idée même et à sa diffusion maximum !


  • vinvin 24 septembre 2010 12:50

    Non, mais ses cons d’ écologistes ne vont pas nous foutre une éolienne au sommet de la tour « éfield » j’ espère ?....


    Car meme si cette tour fait un peu « quincailleries », elle reste une oeuvre d’ art symbole de la France et de Paris.

    Je suis persuadé que meme son constructeur n’ a jamais eu Hallyday, qu’ un certain Johnny ferait des concerts au pied de son oeuvre.

    Et un concert comme ça ce n’ est pas Ségolène, mais c’ est quand-meme Royal !

    Je le sais, j’ y étais !



    Non, il faut garder cette Tour Niquel-Chrome.




    VINVIN.

Réagir