mardi 13 mai - par hugo BOTOPO

IA (Intelligence Artificielle) / Intelligence Humaine / Intelligence Biologique ou de la Nature ?

L' IA révèle d'énormes capacités tout en inquiétant sur ses dérives certaines : c'est une création de l'homme, porteuse de ses défauts, un prolongement de ses capacités ! En passe de supplanter l'Intelligence Humaine qui l'a créée ! Par contre, dans la Nature, une "Intelligence Biologique" ou "Intelligence Naturelle" est à l'oeuvre avec des "logiciels" variés et indépendants des logiciels numériques de l'informatque ! L'Intelligence Biologique, en phase d'exploration, devrait élargir notre champ d'appréhension de la notion d'INTELLIGENCE de la VIE !

L' Intelligence Humaine est la capacité de l'homme de sélectionner une décision ou une marche à suivre, d'obtenir des résultats rationnels à partir de raisonnements issus de comparaisons ou traitant des données (souvent numérisées) par des logiciels issus des mathématiques (arithmétique, algèbre, géométrie, trigonométrie, astronomie....), des lois de la physique, de la chimie et de la biologie, et/ou des sciences philosophiques (en particulier la logique et les sciences sociales). L'intelligence humaine de base est parfois impactée par des données fausses, volontaires ou involontaires, en particuier en ce qui concerne le comportement des humains et les données recueillies par leurs sens (ouïe, odorat, vue, toucher, goût) ou par des détecteurs/analyseurs numérisés.

Les grands progrès technologiques issus de la révolution industrielle avec l'utilisation massive d'énergies carbonnées (charbon, houille et lignite, pétrole, gaz) et avec le massif développement des mathématiques, des diverses sciences "dures" et des technologies, au cours des 3 derniers siècles, sont à la base de la "Civilisation Occidentale" avec ses grandes réussites économiques et ses retombées négatives sur le climat et sur la biodiversité ! Dans la recherche des performances, pour plus de précision ou de cadences de production, la numérisation des logiciels et des données par l'informatique, de plus en plus performante, conduit au développement de l'Intelligence Artificielle capable d'analyser les données, de définir les phases d'un "process" et de piloter une machine dite automatique avec une latitude d'indépendance dans certaines décisions. Cette intelligence de première phase reste encore accessble aux humains instruits, ouverts aux traitements de l'information.

Par contre, les évolutions actuelles vers "un super homme", vers des humanoïdes "serviles", capables de supplanter les humains dans la conception de leurs comportements, devrait les amener soit à "coloniser" l'homo sapiens, soit s'en débarrasser compte tenu des comportements actuels de "l'humanité" !

L'amélioration des comportements humains, sociaux, économiques et médicaux, dans un cadre humaniste apaisé, doit pouvoir se faire en s'inspirant des conditions de vie et de développement qui ont conduit de l'apparition des êtres monocellulaires (virus, archées, bactéries), aux émergences d'espèces nouvelles, de plus en plus complexes, dont l'homo sapiens après quelques milliards d'années d"évolutions ! Les découvertes biologiques récentes (de quelques années à un siècle) montrent comment la Nature ou la Biosphère, a utilisé son intelligence pour affronter les défis des maladies, des conditions de vie changeantes et de la coexistence sur une planète limitée, sans utiliser les hautes capacités de l'informatique !

Les conditions de vie et d'échanges avec les milieux extérieurs (atmosphère, eaux, sols minéraux et biologiques (humus, champignons, bactéries) concernant les arbres, les plantes, les insectes, les animaux terrestres et aquatiques, montrent une diversité de comportements rationels avec souvent des échanges d'infrmations vitales (même hors de la "parole"). Après les nombreuses analytiques observations des biologistes des 2 derniers siècles, les scientifiques actuels se penchent sur les interactions microbiennes, chimiques, génomiques et surtout de communication au sein de la même espèce ou d'espèces différentes ! Du point de vue scientifique la complexité de la Nature explose !

En remontant dans les niveaux de complexité scientifique, il en existe UN, indéchiffrable dans ses séquences, c'est celui du passage de l'ovule fécondé porteur d' ADN composé de suites de molécules de 4 acides aminés (regroupés par 2 types de paires : A+T (Adénine + Thymine) et C+G (Cytosine + Guanine)) avec des regroupements de paires en Génomes, pour aboutir, in fine, à un être très évolué composé de plusieurs dizaines de milliers de milliards de cellules, tel que l'homo sapiens !

 

PARTICULARISME INTEMPOREL

Cependant il existe une liaison invariante dans le temps, entre deux mondes du vivant, celui des micro-organismes et celui des espèces fortement évoluées, telle l'espèce humaine ! Ces deux mondes agissent en symbiose pour le meilleur du récepteur -l'homo sapiens- en s'opposant aux agressions externes. Cependant il arrive que les conditions de vie, conscientes et/ou inconscientes, du récepteur humain, dépassent le potentiel de correction et de rétablissement du "halo" protecteur des microorganismes ! D'où l'apparition de maladies internes à l'hôte récepteur et parfois au sein même de sa galaxie microbienne de protection !

Si le développement de l'oeuf fécondé en blastocyte, puis embryon et foetus, et enfin bébé expulsé de l'utérus, est actuellement considéré comme ayant lieu en milieu stérile (protégé du monde extérieur avec ses microorganismes), le développement du bébé en nourrisson, enfant, adolescent puis adulte, s'effectue dans un monde pollué et surtout riche en microorganismes ! Cet Axiome est remis progressivement en question depuis la fin du XXième siècle, avec la découverte du microbiote bactérien enfin reconnue et du virobiome viral en voie d'exploration ! De fait le microbiome (microbiote plus virobiome et quelques microorganismes) est devenu une composante majeure de l'être humain, -tel un organe essentiel-  son nuage protecteur indispensable ! Le microbiome contient un nombre d'individus de l'ordre de 5 à 10 fois le nombre total de cellules du corps humain ! Jusqu'à nos jours la gestion des diverses composantes du microbiome et de leurs différentes actions et interactions se faisait selon des procédures internes totalement ignorées des communauté scientifiques, selon les directives de l "l'Intelligence Biologique Interne".

Les interactions entre le corps humain classique délimité et protégé du milieu extérieur par la peau et les muqueuses, avec son nuage/halo protecteur, sont de fait des mécanismes indispensables au développement de la Vie pour le corps humain !

 

Composition et caractéristiques du Microbiome

Le microbiome contient :

- le microbiote  : des bactéries utiles et souvent indispensables pour la décomposition des intrants en petites molécules telles les acides aminés, les protéines, des sucres et des graisses à chaine moléculaire courte. Ces bactéries sont souvent aidées par des "sucs" biochimiques secrétés par les organes internes (insuline, bile...) ou par d'autres bactéries. Actuellement, en plus de certaines bactéries pathogènes, les divers produits externes (dont les médicaments et les antibiotiques, et des produits polluants (particules, additifs alimentaires, drogues diverses...), plus des microchampignons et spores, des parasites pluricellulaires) sont "intégrés" au microbiote. Les études sur le microbiote intestinal montrent qu'un microbiote réduit en nombre de bactéries et de familles de bactéries, est caractéristique d'une mauvaise santé (ou d'un traitement antibiotique à large spectre) : une greffe fécale (bactéries plus les virus) issues d'un donneur sain, peut agir positivement sur un symptome (maladie de Chrown) (sans chercher à savoir qui agit : les bactéries ou les virus) et/ou sur l'état général du patient ! Il y a parfois des surprises heureuses comme une réduction des symptomes de la maladie d'Azheimer !

Les bactéries du microbiote (et de ses composantes : intestinal, cutané, respiratoire, bucco-pharyngé, vaginal et auriculaire) sont relativement simples comparées aux cellules humaines : toutefois elles respirent, elles mangent, elles transforment l'énergie, elles s'autoréparent, elles fabriquent des acides aminés et des protéines, elles dupliquent les chromosones et les gènes, elles se reproduisent, elles éliminent les déchets, elles produisent des enzymes et autres molécules remarquables, elles savent communiquer et se regrouper face à un ennemi en formant des biofilms ou en se couplant à une paroi, etc.... ; etc....

- le virobiome : constitué de virus en nombre supérieur à celui des bactéries. Chaque bactérie est associée à un ou plusieurs virus capables de la détruire (le virus pénètre dans la bactérie, s'y multiplie et ressort en grand nombre après l'explosion de la bactérie) : le virus est soit un agent de régulation de la bonne population bactérienne, soit un destructeur de bactéries pathogènes ! Le virus est essentiellement composé d'ADN ou d'ARN entouré d'une membrane ou capside, d'un dispositif de détection/sélection de ses bactéries-hôtes et d' introduction dans cet hôte ! Les virus sont beaucoup plus petits que les bactéries (100 à 1000 fois moins). Le virobiome doit contenir des virus spécifiques à certaines bactéries pathogènes, même en absence de celles-ci et parfois les restes surnuméraires lors d'une attaque infectieuse précédente. ! C'est un effet "immunitaire" préventif ! Les recherches scientifiques et médicales sont encore trop peu nombreuses, même si la première greffe fécale humaine a été réalisée avec un filtrat "clair" ne contenant pas de bactéries fécales pour soigner efficacement la dysenterie bacillaire ou bactérienne en 1915 à l'hôpital des Enfants Malades, par Félix d'Hérelle de l'Institut Pasteur ! Le filtrat ne contenait que de l'eau et des virus tueurs de bactéries ! Le biologiste Félix-d'Hérelle consacra sa carrière à la recherche des différents virus destructeurs de bactéries, à savoir les bactériophages dits "phages" ! Ses succès remarquables ont été balayés par le développement des antibiotiques ! Il n'en reste pas moins que le virobiome contenant plusieurs miliers demilliards d'individus reste la grande source de bactériophages qui joue son rôle indispensable sans l'autorisation des grandes Agences de Santé et des big-Pharma !

Une caractéristique générale du microbiome est qu'il est toujours en contact avec le milieu extérieur  : la nourriture et tous les produits absorbés (dont les drogues et les médicaments par voie orale), l'air et ses pollutions chimiques, physiques et biologiques, le rayonnement solaire..... Le microbiome cutané, (jusqu'à un million de microbes par cm2 ), très exposé, peut contenir des virus et bactéries pathogènes qui pénétreront dans l'organisme par le sang d'une plaie ou d'une coupure (parfois lors d'une opération), en produisant des infections au niveau cellulaire de l'hôte, ce qui peut conduire dans certains cas à des amputations et à des infections nosocomiales mortelles ! Dans ce type d'infection interne, les virus du microbiome ne peuvent pas s'attaquer aux bactéries pathogènes. Sauf si certains virus du microbiome peuvent passer dans le sang ; ou si "on" injecte des virus "phages" spécifiques aux bactéries pour les tuer !

 

REMARQUE GÉNÉRALE sur les VIRUS

Si le mode de réplication des virus consiste à utiliser le mode de multiplication de cellules disposant d'un dispostif de réplication de l'ADN ou de l'ARN, comme pour les BACTÉRIES, les virus peuvent aussi "utiliser" des cellules isolées ou parties d'un être pluricellulaire disposant d'un mécanisme biologique de duplication des brins d'ADN ou d'ARN. Ceci est particuliérement vrai chez les êtres évolués où des virus peuvent infecter des cellules de base et s'y multiplier sans liaison ni interférence avec le microbiome général ! En général dans ce cas, la réplication/reproduction des virus s'accompagne d'une infection virale ! Et cette infection n'est pas combattue par le microbiome, ni par l'action de phages spécifiques des infections bactériennes ! Cette infection est alors combattue par des "antiviraux, ou par le système immunitaire du récepteur infecté, si ce dernier était en bonne santé avec un système immunitaire de qualité. Dans ce cas, il subsite cependant une inconnue sur la capacité de guérison. Remarque : les vaccins à longue durée de protection (plusieurs années) sont une mesure efficace de protection contre la contamination. Les vaccins à faible durée de protection (quelques mois comme pour le CoViD-19) ne sont que de bons boosters de l'immunité !

Dans l'état actuel de la science biologique, ce sont les LYMPHOCYTES T (CD4 et CD8) qui attaquent efficacement les virus et plus particulièrement le CD8, disponible en quantité réduite, qui permet même de s'attaquer au HIV ! Les tentatives de cultures de CD8, même à partir de cellules souches, restent infructueuses !

Les virus/phages se reproduisant dans des bactéries ou des cellules, sont classés en deux catégories : les "lytiques" rapidement produits et expulsés en grand nombre, et les "lysogéniques" restant "endormis" dans la cellule infectée pendant un temps inconnu variable avant de déclancher le mécanisme de reproduction ! Ces derniers dans l'état actuel, ne sont pas utilisables.

 

REMARQUES sur des INFECTIONS BACTÉRIENNES SÉVÉRES

Malgré les capacités du Microbiome et des antibiotiques modernes, certaines bactéries pathogèns et virulentes peuvent être mortelles (voir le Pape François) : ce sont des bactéries dites résistantes aux antibiotiques (souvent dites nosocomiales). Théoriquement il existe un virus/phage pour s'attaquer à ces bactéries : mais il n'est pas toujours disponible rapidement et de plus -sauf pour les virus du microbiome- ils sont ignorés ou combattus par les Autorités de Santé : quel GACHIS de vies humaines et d'amputations !

 

INELLIGENCE ARTIFICIELLE ET INTELLIGENCES de la VIE

L'Intelligence Artificielle repose sur la conception humaine de logiciels complexes classiques (100% logique mathématique) associés à des logiciels utilisant "des circuits neuronaux", c'est-à-dire prenant des décisions selon le niveaux de doutes révélés dans les analyses du phénomène à traiter. Pour minimiser les doutes, l'IA consulte d'énormes fichiers de données en un temps très court : ce que ne peut faire le cerveau humain à partir des "quelques données" en mémoire issues des observations des sens et des raisonnements.

L' IA peut améliorer les capacités intellectuelles de l'homo sapiens, mais au vu de l'historique des grandes civilisations disparues, et de notre civilisation en voie d'effondrement malgré le "boom technologique de la révolution industrielle", l'éclosion d'une nouvelle civilisation, celle d'un homme nouveau -qui devra se débarrasser de l'homme ancien , et comment ?- ne peut assurer que la nouvelle civilisation sera enfin "viable" et "immortelle" ? C'est un acte de FOI que rien ne justifie !

Par contre, analyser finement les comportements de toutes les composantes de la biosphère, au moins depuis quelques milliards d'années, -sans les interférences des humains- permet enfin de bien vivre en symbiose intelligente avec les composantes de la bioshère ! La connaissane approfondie des phénomènes vitaux nous a déjà permis d'améliorer notre connaissance de notre cadre de vie biologique fondamental : la poursuite de l'approfondissement devrait nous permettre de renouer, en pleine conscience humaine, avec les fondamentaux de notre vie en symbiose, -au minimum avec notre "microbiome protecteur et créateur"- !

Cependant, à voir le comportement de la race "homo sapiens sapiens" qui a perdu toute relation protectrice et survivaliste, -tout le "sapiens sapiens"- qui refuse toute loi de bonne conduite par rapport à la nourriture, aux pollutions, aux drogues chimiques et psychiques, et surtout par rapport au vivre ensemble dans la Paix, le Respect mutuel et l'Harmonie, et principalement dans l'Amour qui donne et protége !  Alors, devant l'impossibiité de cette tâche, faut-il abandonner la race humaine actuelle pour en créer une nouvelle -un homme nouveau issu de l'IA- ? : des scientifiques en rêvent et veulent le soustraire de la planète Terre ! Des politicards, imbus d'eux-mêmes, se veulent en être l'ébauche d'une version purement humaine !!!! En attendant l'effondrement de ces utopies vivons pleinement en symbiose avec notre biotope !

 

LES RETOMBÉES POSITIVES du MICROBIOME sur la MÉDECINE

Le monde médical en charge de la bonne santé des humains combat surtout les maladies et les suites d'accidents. Il est attiré par les développements technologiques des sciences biologiques (génome), chimiques (médicaments) et informatiques (traitement des données). Promouvoir une bonne santé avec des conseils, des nterdits (individuels ou professionnels) est abandonné aux pouvoirs (politiques, médiatiques, associatifs.....).

Cependant la bonne santé est du ressort naturel d'un bon microbiome qu'il convient de maintenir dans un état optimal : c'est l'affaire de TOUS, en particulier du monde médical, des scientifiques et biologiqes de la santé, et du monde poliique via les medias. Et surtout de chacun d'entre-nous, responsables de notre façon de vivre ! Cette prise de conscience permettrait de revoir le couplage actuel malades/médecins, et d'initier une vraie réforme de la galaxie médicale.

 



166 réactions


  • PaulAndréG (PàG) PaulAndréG (PàG) 13 mai 19:49

    .
    la parole est donnée au Docteur Legestr glaz
    https://www.agoravox.fr/auteur/legestr-glaz
     smiley


    • Legestr glaz Legestr glaz 19 mai 09:36

      @PaulAndréG (PàG)

      Les épidémies dévoilées : pollution, malnutrition et vérité scientifique

      En décembre 1952, Londres s’est réveillée prisonnière d’un brouillard toxique, un voile épais qui a étouffé la ville pendant cinq jours. Ce drame, connu comme le smog londonien, a coûté la vie à 12 000 personnes, fauchées par des détresses respiratoires, des bronchites aiguës et des crises cardiovasculaires. Aucun virus n’a été invoqué, car la cause était limpide : une pollution massive, amplifiée par une inversion thermique qui a piégé les particules fines et les gaz toxiques près du sol.

      Pourtant, aujourd’hui, face à des crises comme le COVID-19, la tuberculose, Ebola, le SIDA, la rougeole ou la polio, le monde s’obstine à pointer des virus et à promouvoir des vaccins comme solution universelle. Ce discours est un cautère sur une jambe de bois, un égarement qui ignore les véritables coupables : la pollution atmosphérique, la malnutrition et l’injustice sociale.

      Cet article vous emmène au cœur d’une vérité occultée, où les particules fines, les inversions thermiques, l’ozone et les carences alimentaires expliquent les épidémies, tandis que les virus ne sont que des leurres biologiques. En explorant des preuves historiques et scientifiques, nous révélons comment une science honnête peut sauver des vies et rendre justice aux oubliés.

      Le smog londonien de 1952 offre une leçon brutale. Une couche d’air chaud, formant une inversion thermique, a emprisonné l’air froid et pollué près du sol, concentrant les particules fines, ces minuscules poussières de moins de 2,5 micromètres appelées PM2,5, à des niveaux extrêmes, jusqu’à 4 500 microgrammes par mètre cube. Les émissions de charbon, issues des cheminées domestiques et des usines, ont transformé la ville en une chambre toxique. En quelques jours, 4 000 personnes sont mortes, suivies de 8 000 autres dans les mois suivants, leurs poumons asphyxiés par l’inflammation et leurs vaisseaux obstrués par des caillots. Les enfants, les personnes âgées et les pauvres, souvent affaiblis par la malnutrition d’après-guerre, étaient les plus vulnérables. Aucun virus n’a été nécessaire pour provoquer ce carnage, comme l’ont montré les rapports de l’époque. Ce drame révèle une vérité universelle : la pollution, lorsqu’elle est piégée par des conditions météorologiques, devient un tueur silencieux, un mécanisme que le discours dominant ignore au profit de narratifs virologiques.

      Les inversions thermiques, ces pièges atmosphériques, jouent un rôle clé dans les épidémies modernes, un détail que le discours officiel néglige. Quand une inversion basse, à moins de 500 mètres, se forme, elle concentre les PM2,5, transformant une pollution modérée en menace létale. À Santiago, au Chili, de telles inversions augmentent les concentrations de PM2,5 de 20 à 50 %, asphyxiant la population. À Hanoï, au Vietnam, elles portent les PM2,5 à 70-100 microgrammes par mètre cube, entraînant une hausse des hospitalisations pour détresses respiratoires. En Europe, lors des vagues de mortalité attribuées au COVID-19 entre 2020 et 2022, des pics de PM2,5, comme 40 microgrammes par mètre cube à Milan, ont précédé les décès, avec un décalage de quelques semaines. À Wuhan, en janvier 2020, une inversion thermique a concentré les PM2,5 à 50 microgrammes par mètre cube, coïncidant avec 4 000 morts. À Milan, des conditions similaires ont causé 16 000 décès en Lombardie. En revanche, la Bretagne, avec des niveaux de PM2,5 faibles, autour de 10 microgrammes par mètre cube, et sans inversions significatives, a échappé aux pics de mortalité. Ces contrastes géographiques montrent que la pollution, et non un virus, est le moteur des crises sanitaires.

      Mais comment la pollution cause-t-elle des syndromes aussi graves ? La réponse réside dans le stress oxydatif, un déséquilibre entre les radicaux libres, produits par les polluants comme les PM2,5 et l’ozone, et les défenses antioxydantes du corps, comme le zinc, le fer ou le glutathion. Les PM2,5, si petites qu’elles pénètrent profondément dans les alvéoles pulmonaires, déclenchent une cascade inflammatoire, libérant des molécules comme l’IL-6 ou le TNF-α. Cette inflammation endommage le glycocalyx, une couche protectrice des vaisseaux sanguins, favorisant des microthromboses, ces petits caillots qui obstruent la circulation. Elle augmente aussi la perméabilité des vaisseaux, laissant fuir du liquide dans les alvéoles, un phénomène appelé œdème alvéolaire. Cet œdème, lorsqu’il est partiel, se manifeste sur les tomodensitogrammes thoraciques par des lésions en verre dépoli, des zones floues et légèrement opaques qui rappellent une vitre embuée. Ces lésions, souvent bilatérales et situées près de la surface des poumons, sont un marqueur clé du COVID-19, mais elles ne sont pas exclusives à un virus. Le smog londonien de 1952, sans imagerie moderne, a révélé des œdèmes similaires dans les autopsies, prouvant que la pollution seule peut produire ces dommages. À Hanoï ou Milan, les PM2,5 sous inversions thermiques ont reproduit ces syndromes, sans qu’un agent infectieux soit nécessaire.

      Les lésions en verre dépoli, bien que présentées comme spécifiques au COVID-19 par le discours virologique, racontent une histoire différente lorsqu’on les examine de près. Sur une tomodensitométrie, ces opacités apparaissent comme des zones grises, où les alvéoles sont partiellement remplies de liquide ou de cellules inflammatoires, mais où les vaisseaux et les bronches restent visibles à travers. Elles traduisent une inflammation modérée, souvent associée à une baisse d’oxygène dans le sang et un essoufflement. Le discours dominant attribue ces lésions à un virus, le SARS-CoV-2, qui pénétrerait les cellules pulmonaires via un récepteur appelé ACE2, déclenchant une pneumonite virale. Mais cette explication repose sur des expériences artificielles, menées sur des lignées cellulaires modifiées et des pseudovirus, loin des conditions humaines. Pire, elle ignore que les PM2,5 provoquent les mêmes œdèmes et microthromboses par le stress oxydatif, comme l’ont montré des études à Milan ou Wuhan. Les particules fines, transportées par le sang, affectent les deux poumons, expliquant la bilatéralité des lésions sans besoin de dissémination virale. Leur accumulation près de la surface des poumons, où la ventilation est forte, correspond à la distribution périphérique observée. Le paradigme virologique, en s’appuyant sur des tests PCR biaisés qui amplifient des exosomes — ces vésicules produites sous stress — ne prouve pas que ces lésions sont virales.

      La malnutrition aggrave encore ce tableau, un fléau qui frappe les plus pauvres et amplifie les épidémies. Une carence en zinc affaiblit les enzymes antioxydantes, provoquant des symptômes comme l’anosmie, une perte d’odorat observée dans le COVID-19. Un manque de fer héminique cause une anémie, réduisant la capacité du corps à transporter l’oxygène, tandis qu’une insuffisance en protéines prive l’organisme de glutathion, un bouclier contre les radicaux libres. Ces carences, courantes dans les bidonvilles de Hanoï, les quartiers défavorisés de New York ou les zones post-guerre de Londres, transforment une exposition aux PM2,5 en catastrophe sanitaire. En 1952, les Londoniens malnutris ont payé le prix fort lors du smog, tout comme les populations pauvres de Wuhan ou Milan en 2020. La tuberculose, souvent attribuée à tort à un virus, illustre ce lien : c’est une maladie de la pauvreté, exacerbée par les PM2,5 et les carences, sans agent infectieux. Ebola, le SIDA, la rougeole ou la polio suivent le même schéma : leurs syndromes — fièvres, hémorragies, éruptions, paralysies — s’expliquent par des toxines et des carences, non par des virus.

      Mais alors, pourquoi parler de virus ? 


    • Legestr glaz Legestr glaz 19 mai 09:40

      @Legestr glaz

      Suite et fin !

      Mais alors, pourquoi parler de virus ?

      Le discours dominant, ancré dans un paradigme virologique, détecte des « virus » via des tests PCR, qui en réalité amplifient des exosomes, ces vésicules produites par les cellules sous stress oxydatif, que ce soit à cause des PM2,5, de l’ozone ou de la malnutrition. Le biologiste Stefan Lanka a démontré que ces particules, loin d’être des agents pathogènes, sont des réponses biologiques naturelles. Les expériences invoquant des virus, comme celles prétendant que le SARS-CoV-2 utilise une protéine Spike pour pénétrer via le récepteur ACE2, sont des constructions de laboratoire, réalisées sur des cellules modifiées et des génomes assemblés par bioinformatique. Ces hypothèses, empilées les unes sur les autres, ne tiennent pas face à la réalité : à Milan, les vaccins n’ont pas empêché les pics de mortalité liés aux PM2,5, tandis que la Bretagne, sans pollution majeure, n’a pas eu besoin de telles mesures. Ce paradigme virologique, soutenu par des intérêts pharmaceutiques, marginalise les pauvres en ignorant les causes réelles, comme avant le Clean Air Act de 1956, qui a purifié l’air de Londres après le smog.

      Plutôt que de s’enliser dans des vaccins coûteux et inefficaces, une approche intelligente s’impose : restaurer l’équilibre redox, ce rapport entre oxydants et antioxydants, pour protéger le corps. Une supplémentation en zinc, à raison de 15 à 30 milligrammes par jour, renforce les défenses antioxydantes, réduisant la mortalité dans des maladies comme la tuberculose. Le fer héminique, à 10-20 milligrammes par jour, combat l’anémie, tandis que des protéines, à 1 gramme par kilo de poids corporel, fournissent le glutathion nécessaire. La vitamine C, à 500 milligrammes par jour, neutralise les radicaux libres, limitant les dommages observés dans des syndromes comme Ebola. Ces interventions, coûtant quelques centimes par dose, sont accessibles aux populations pauvres, contrairement aux vaccins, qui ont englouti 10 milliards de dollars pour le COVID-19 sans résoudre le problème.

      Réduire la pollution est tout aussi crucial : limiter les PM2,5 à 25 microgrammes par mètre cube, comme le recommande l’Organisation mondiale de la santé, peut prévenir des drames. Une surveillance par satellite, comme le système Sentinel-5P, alerte sur les inversions thermiques, tandis que des masques lors des pics de pollution protègent les plus exposés, comme au Tessin ou à Hanoï.

      Améliorer les conditions socio-économiques complète cette stratégie. Fournir une eau propre, un assainissement et une alimentation riche en nutriments — viande, légumineuses — comble les carences qui fragilisent les populations. Investir dans des infrastructures pour réduire l’exposition aux polluants brise le cycle des épidémies. Ces solutions, universelles et abordables, contrastent avec le paradigme virologique, qui gaspille des ressources dans des tests biaisés et des vaccins inutiles. Les preuves sont accablantes : le smog londonien a tué 12 000 personnes sans virus, tout comme les crises de Wuhan et Milan ont coïncidé avec des pics de PM2,5. Les lésions en verre dépoli, bien que présentées comme un signe viral, s’expliquent par l’œdème et les microthromboses induits par les PM2,5, un phénomène universel que la malnutrition aggrave. 

      Cette vérité exige une révolution scientifique et sociale. Il faut tester les causes réelles : exposer des modèles biologiques aux PM2,5 sous inversions thermiques, avec des carences, pour reproduire les syndromes épidémiques, des lésions en verre dépoli aux détresses respiratoires. Les tests PCR, qui amplifient des artefacts, doivent céder la place à des analyses objectives, comme la mesure du glutathion ou des exosomes. La science doit abandonner les narratifs virologiques, hérités d’erreurs historiques, et recentrer ses priorités sur la pollution, la nutrition et la justice sociale. Le Clean Air Act de 1956 a transformé Londres ; aujourd’hui, un engagement global peut protéger les vulnérables, ceux que le discours dominant oublie. Le smog londonien nous rappelle une vérité simple : la pollution tue, la malnutrition fragilise, et les inversions thermiques amplifient le désastre. Les épidémies modernes ne sont pas différentes. En restaurant l’équilibre redox, en purifiant l’air et en luttant contre la pauvreté, nous pouvons rendre la santé accessible à tous. Le diable est dans les détails, mais la vérité est limpide : les épidémies ne sont pas virales, elles sont humaines. Rejoignons une science honnête pour un monde où la justice n’est pas un luxe, mais un droit.


    • pemile pemile 19 mai 09:58

      @Legestr glaz " Le discours dominant, ancré dans un paradigme virologique, détecte des « virus » via des tests PCR, qui en réalité amplifient des exosomes, ces vésicules produites par les cellules sous stress oxydatif, que ce soit à cause des PM2,5, de l’ozone ou de la malnutrition « 

      wiwi, et le séquençage de ces soi-disant »exosomes" varie suivant le virus impliqué ? smiley


    • Legestr glaz Legestr glaz 19 mai 10:29

      @pemile

      wiwi pemile ! Voici pour vous, mais n’abusez pas des bonnes choses, vous friseriez l’indigestion. Allez y pas à pas ! 

      « Exigences expérimentales minimales pour la définition des vésicules extracellulaires et de leurs fonctions : une déclaration de position de la Société internationale des vésicules extracellulaires »

      ... « Les vésicules sécrétées enfermées dans une membrane, appelées collectivement vésicules extracellulaires (VE), qui comprennent les exosomes, les ectosomes, les microvésicules, les microparticules, les corps apoptotiques et d’autres sous-ensembles de VE, constituant un domaine scientifique en pleine croissance en biologie et en médecine. Il est important de noter qu’il est actuellement techniquement difficile d’obtenir une fraction de VE totalement pure, exempte de composants non vésiculaires pour des études fonctionnelles, et il est donc nécessaire d’établir des lignes directrices pour les analyses de ces vésicules et la communication d’études scientifiques sur la biologie des VE. Ici, la Société internationale des vésicules extracellulaires (ISEV) fournit aux chercheurs un ensemble minimal de normes biochimiques, biophysiques et fonctionnelles qui devraient être utilisées pour attribuer une charge ou des fonctions biologiques spécifiques aux VE. »...

      https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/25536934/


    • pemile pemile 19 mai 12:43

      @Legestr glaz « mais n’abusez pas des bonnes choses »

      Pourquoi, lire tes âneries répétées en boucle est un plaisir de fin gourmet !

      Pour les VE, tu as bien évidement plein de publications à nous fournir qui prouvent qu’elles sont détectées par des PCR avec des amorces spécifiques aux virus ?


    • Legestr glaz Legestr glaz 19 mai 14:06

      @pemile

      La virologie dévoilée : une pseudo-science d’hypothèses

      Imaginez un puzzle assemblé sur du sable mouvant, chaque pièce est posée en supposant que les autres tiennent, sans vérifier leur solidité. Ainsi fonctionne la virologie, une discipline qui construit l’idée des virus à partir d’hypothèses empilées, reposant sur des bases fragiles. Ce puzzle, présenté comme une vérité, attribue des maladies comme le COVID-19 ou le SIDA à des virus, mais il s’agit d’une vision de laboratoire, déconnectée de la réalité. Les vraies causes des épidémies — pollution, malnutrition, stress oxydatif — sont ignorées, tandis que les virus ne sont que des leurres biologiques.

      Tout commence dans un laboratoire, lorsqu’un échantillon est placé dans une culture cellulaire. Si les cellules meurent ou changent, un phénomène appelé « effet cytopathique », les virologues supposent qu’un virus en est la cause. Mais cette mort peut résulter de toxines, de stress chimique, ou des conditions artificielles de la culture. Sans un « contrôle négatif rigoureux  », c’est une pétition de principe, une affirmation qui se prend pour une preuve. Le biologiste Stefan Lanka a montré que cet effet cytopathique apparaît sans virus, exposant la faiblesse et la faillibilité de ce premier pas.

      Ensuite, les virologues extraient des fragments d’ARN ou d’ADN, attribués à un virus. Dans les années 1960 pour les coronavirus ou les années 1980 pour le VIH, ces fragments, collectés avec des outils rudimentaires, étaient assemblés à la main, alignés sur des génomes antérieurs, eux-mêmes hypothétiques. À l’époque, les exosomes, vésicules produites sous stress, comme lors d’une pollution ou d’une carence, n’étaient pas connus, rendant leur confusion avec des virus inévitable. Leur découverte dans les années 1980 aurait dû intriguer les virologues, mais ils agissent comme si ces vésicules n’existaient pas. Par un assemblage bioinformatique, ces fragments forment un génome viral, une fiction numérique : on suppose un virus, on construit son génome, puis ce génome prouve le virus.

      À partir de ce génome, des protéines comme la Spike ou celles du VIH sont déduites, synthétisées « in vitro », pour des expériences artificielles. La microscopie électronique montre des particules, indistinguables des exosomes, mais interprétées comme virales, une autre pétition de principe. Les tests PCR amplifient ces artefacts, non des pathogènes. Ce « bricolage », identique dans sa fonction aux « épicycles de Ptolémée », détourne l’attention du véritable sujet, c’est à dire des particules fines et extrafines de la pollution atmosphérique, de l’ozone, des inversions thermiques et de la malnutrition.


    • Legestr glaz Legestr glaz 19 mai 14:17

      @pemile

      Si vous ne croyez pas que les matières particulaires manométriques de la pollution atmosphérique provoquent des maladies, c’est votre problème. Mais il s’agit là d’un déni de la réalité scientifique ! 

      Il n’y a rien d’autre à dire pemile : vous croyez aux « virus », je crois que ce sont les nanoparticules inertes de la pollution atmosphérique, lors d’inversions thermiques ou d’orage, qui provoquent les épidémies de maladies respiratoires.

      Un conseil pemile : avant de vérifier que le virus a bien pris son billet d’avion pour venir depuis la Chine contaminer les Européens, vous devriez consulter les prévisions disponibles concernant la pollution atmosphérique et les phénomènes météorologiques prévisibles. Ceci est très riche d’enseignements puisqu’aujourd’hui nous pouvons prédire « quand » le virus va s’enregistrer pour son départ ! 


    • pemile pemile 19 mai 15:16

      @Legestr glaz " Si vous ne croyez pas que les matières particulaires manométriques de la pollution atmosphérique provoquent des maladies, c’est votre problème. "

      Tu cherches à démontrer que tu as de gros problème de lecture ?

      Bis repetita, rassure toi, j’adore tes logorrhées de conneries, si la pollution tue c’est bien une preuve que les virus n’existent pas !
      https://www.agoravox.fr/commentaire6831970


    • pemile pemile 19 mai 15:18

      @Legestr glaz " vous devriez consulter les prévisions disponibles concernant la pollution atmosphérique et les phénomènes météorologiques prévisibles."

      Tu as enfin installé quelques capteurs près de chez toi ?

      https://sensor.community/fr/


    • pemile pemile 19 mai 15:30

      @Legestr glaz " La microscopie électronique montre des particules, indistinguables des exosomes, mais interprétées comme virales, une autre pétition de principe "

      Quand ces soi-disant particules ont la capacité de se multiplier en utilisant les mécanismes internes de synthèses d’ARN/ADN des cellules on les appelle des virus mais si tu veux proposer une autre explication on t’écoute ?


    • Legestr glaz Legestr glaz 19 mai 15:45

      @pemile

      Copié-Collé : « Quand ces soi-disant particules ont la capacité de se multiplier en utilisant les mécanismes internes de synthèses d’ARN/ADN des cellules on les appelle des virus mais si tu veux proposer une autre explication on t’écoute ? »

      Comme la virologie nous y a habitué, ceci est de l’ordre de « l’hypothèse », jamais démontrée. Une fiction : la « réplication » qui utiliserait les mécanismes internes. Cela n’a jamais été observé : c’est une simple hypothèse comme la virologie aime bien nous en servir. Encore un « épicycle biologique » pour faire adhérer à la « théorie virale ». Le Père Noël passe aussi par la cheminée et les épicycles de Ptolémée expliquaient pourquoi le soleil tournait autour de la terre !

      Sinon sur la dangerosité de la pollution atmosphérique, vous séchez pemile ? Ces dangers n’existent pas ? La pollution ne rend pas malade ? Les nanoparticules inertes de la pollution ne descendent pas dans les alvéoles pulmonaires ? etc, etc ?


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 19 mai 16:01

      @pemile
       
      ’’ Quand ces soi-disant particules ont la capacité de se multiplier en utilisant les mécanismes internes de synthèses d’ARN/ADN des cellules on les appelle des virus mais si tu veux proposer une autre explication on t’écoute ?’’
      >
      La capacité à se multiplier est, par définition, le propre des êtres vivants. Or, par définition encore, ce qui est appelé virus n’est pas vivant (cours de Première)
       
      Il est dit mais jamais démontré, que des cellules vivantes particulières ont la capacité (ou le vilain défaut ?) de multiplier des hôtes malfaisants.
       
      Je cite : «  Le matériel génétique viral prend le contrôle de la cellule hôte et l’oblige à répliquer le virus. »

       
      L’oblige ? Fichtre ! Si cela était avéré, alors les vaccins à ARN messager seraient très dangereux en ce que rien ne pourrait stopper cette réplication auto-alimentée de poison.

    • Legestr glaz Legestr glaz 19 mai 17:55

      @Francis, agnotologue
       
      C’est une simple hypothèse émise pour valider la théorie virale.

      Comme je l’ai souligné au pseudonyme pemile, pas une seule étude au monde n’a jamais démontré cette « réplication ». Et pour cause : les « virus » n’ont jamais été observés, sauf, « par hypothèse », à l’aide du MET, mais il ne s’agissait toujours que d’une hypothèse parce que les exosomes se présentent très exactement de la même façon. La seule chose que nous connaissons des « virus » sont des hypothèses. Les fragments d’ARN ou d’ADN retrouvés sont du matériel « viral » « par hypothèse ». Et l’assemblage de ces fragments, par la bio informatique amène « la construction »in vitro« d’un génome, attribué »par hypothèse« à un virus. Et même la célèbre protéine »spike« est une hypothèse de laboratoire. 
      Voilà comme cela se passe. Le gène Spike, dans le SARS-CoV-1, a été découvert grâce à l’assemblage et au séquençage du génome viral, puis à une analyse bio-informatique qui a permis de localiser des régions génétiques spécifiques correspondantes à des protéines déjà connues dans des virus similaires. La protéine Spike a été déduite de ce gène, en se basant sur les connaissances existantes sur les coronavirus et leur structure.

      Et l’on voit le raisonnement circulaire se dégager. Les fragments »attribués par hypothèse« à du matériel viral servent à »construire in vitro« un génome »de novo« . A partir de ce génome, tout fraichement construit en laboratoire, les chercheurs localisent une région génétique (qu’ils viennent de construire) pour démontrer qu’elle correspond à des protéines connues et en déduisent la »protéine spike« . Son existence »in vitro" repose uniquement sur une fraction de séquence génomique qu’ils viennent de créer eux même.

      Tout est hypothèse et raisonnement circulaire en virologie. 


    • pemile pemile 19 mai 18:27

      @Francis, agnotologue « Il est dit mais jamais démontré, que des cellules vivantes particulières ont la capacité (ou le vilain défaut ?) de multiplier des hôtes malfaisants. »

      Oui, mais il est plus que démontré que les virus utilisent des cellules vivantes pour se dupliquer !


    • pemile pemile 19 mai 18:28

      @Legestr glaz « Comme je l’ai souligné au pseudonyme pemile, pas une seule étude au monde n’a jamais démontré cette « réplication » »

      Tu fatigues grave ! smiley


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 19 mai 19:21

      @Legestr glaz
       
       ’’C’est une simple hypothèse émise pour valider la théorie virale.

      Comme je l’ai souligné au pseudonyme pemile, pas une seule étude au monde n’a jamais démontré cette « réplication ».

      >

      Cependant cette théorie est présentée au lycée comme une science exacte. 

      C’est beaucoup plus grave que le créationnisme qui serait enseigné à l’école.

      Plus grave parce que les implications et les conséquences néfastes sur la recherche médicale et la santé des population sont énormes.


    • Legestr glaz Legestr glaz 19 mai 21:34

      @pemile

      Je vois que la pollution attaque déjà vos neurones. Et vous savez pourquoi ? Parce que vous ne savez pas qu’elle est une grande tueuse ! Et non, les « méchants virus » sont ridicules face à l’horreur des nanoparticules inertes de la pollution atmosphérique. 

      Toute une éducation à refaire pemile !


    • pemile pemile 19 mai 21:50

      @Legestr glaz « les « méchants virus » sont ridicules face à l’horreur des nanoparticules inertes de la pollution atmosphérique. »

      Bis repetita : Tu as enfin installé quelques capteurs près de chez toi ?

      https://sensor.community/fr/


    • Legestr glaz Legestr glaz 20 mai 07:04

      @pemile

      Vous faites une fixette sur les capteurs ? J’ai d’autres sources sur la pollution atmosphérique à ma disposition. Parce que vous n’avez toujours pas compris que la dégradation de l’air, c’est une chose, mais que son « maintien » à hauteur de nez humain, en est une autre. Le célèbre épisode du « smog londonien » c’était ça : une « inversion thermique » qui a maintenu les nanoparticules polluantes au niveau du sol. 

      Et alors pemile, toujours aux abonnés absents concernant les méfaits de la pollution atmosphérique sur la santé humaine ?
      ... La pollution de l’air tue, et est à l’origine de maladies cardiovasculaires, respiratoires et neurologiques.
      https://www.airparif.fr/effets-sur-la-sante

      Toujours aucune information en votre possession sur la dangerosité des nanoparticules inertes de la pollution atmosphérique qui descendent dans les alvéoles pulmonaires pour y commettre des dégâts ? Vous adoptez la position du négationniste concernant les dangers de la pollution atmosphérique sur la santé humaine ?

      Influence of surface and subsidence thermal inversion on PM2.5and black carbon concentration
      Influence de l’inversion thermique de surface et d’affaissement sur la concentration de PM 2,5et de carbone noir
      https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1352231014006682

      ... La présence d’une inversion thermique limite la dispersion verticale des polluants, entraînant une accumulation significative de ces derniers dans la couche atmosphérique inférieure.Cette accumulation est particulièrement prononcée dans les zones fortement urbanisées, où les émissions sont plus importantes.
      ... Les inversions thermiques peuvent transformer des niveaux d’émissions modérés en épisodes de pollution aiguë, avec des implications significatives pour la santé publique.
      ... Lorsque se forme une inversion thermique, une couche d’air chaud se place au-dessus d’une couche d’air plus froid et plus dense, proche du sol. Cette structure agit comme un « couvercle atmosphérique », empêchant l’air en dessous (et donc les polluants qu’il contient) de s’élever et de se disperser. Si l’inversion est basse, disons à 50–100 mètres du sol, l’espace disponible pour diluer les émissions est très restreint. Cela provoque une accumulation rapide et intense des polluants à hauteur d’homme. Si l’inversion est haute, par exemple à 300–500 mètres, les polluants disposent d’un volume d’air plus important pour se diluer, et les concentrations restent donc plus faibles au niveau du sol, même si les émissions restent constantes.
      ... La hauteur de l’inversion thermique est un facteur clé de la dangerosité des épisodes de pollution. Elle détermine directement la concentration de polluants auxquels les habitants sont exposés. C’est une variable physique indépendante des émissions qui multiplie l’effet toxique d’une pollution dite « modérée ».

      Et les pics épidémiques de maladies cardio-respiratoires interviennent précisément lors d’inversions thermiques. Pas de « clusters », pas de « contamination » de personne à personne, pas de « gouttelettes », pas de « propagation », pas « d’immunité collective », seulement des nanoparticules inertes de la pollution atmosphérique qui descendent dans les alvéoles pulmonaires et qui rendent malades les personnes incapables de se protéger (celles qui ont développé des maladies en lien avec l’endothélium vasculaire). Les personnes évoluant dans cet environnement pollué, respirent un air dont la qualité est provisoirement dégradé. C’est ce que l’on appelle la « contamination » ! Ce serait une farce si la santé humaine n’était pas concernée. Le terme le plus adéquat serait « aérotoxicité »provisoire.


  • PaulAndréG (PàG) PaulAndréG (PàG) 14 mai 07:18

    .
    « En général dans ce cas, la réplication/reproduction des virus s’accompagne d’une infection virale ! Et cette infection n’est pas combattue par le microbiome, ni par l’action de phages spécifiques des infections bactériennes ! Cette infection est alors combattue par des »antiviraux, ou par le système immunitaire du récepteur infecté, si ce dernier était en bonne santé avec un système immunitaire de qualité. Dans ce cas, il subsite cependant une inconnue sur la capacité de guérison. Remarque : les vaccins à longue durée de protection (plusieurs années) sont une mesure efficace de protection contre la contamination. Les vaccins à faible durée de protection (quelques mois comme pour le CoViD-19) ne sont que de bons boosters de l’immunité !"
    .
    Enfin un auteur sur Avox qui me conforte dans ma décision de suivre les conseils de la faculté en m’étant fait vacciner et re-vacciner contre la CoViD !


  • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 14 mai 09:30

    ’’les vaccins à longue durée de protection (plusieurs années) sont une mesure efficace de protection contre la contamination. Les vaccins à faible durée de protection (quelques mois comme pour le CoViD-19) ne sont que de bons boosters de l’immunité !’’

    >

    La formulation correcte serait : les vaccins à longue durée de protection (plusieurs années) seraient une mesure efficace de protection contre la contamination. Les vaccins à faible durée de protection (quelques mois comme pour le CoViD-19) ne peuvent être que de bons boosters de l’immunité !

     La seconde proposition n’est qu’un truisme sans aucune valeur informative d’autant que des boosters d’immunité existent depuis la nuit des temps qui n’induisent pas d’effets indésirables.

    Quant à la première proposition elle ne pourrait faire sens en virologie que si la théorie des virus qui se comportent comme des organismes vivants tout en n’en étant pas, était vérifiée.


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 14 mai 09:43

      @Francis, agnotologue
       
       sur la théorie des virus, ces micro-organismes morts vivants, l’auteur écrit :
       
       ’’Si le mode de réplication des virus consiste à utiliser le mode de multiplication de cellules disposant d’un dispostif de réplication de l’ADN ou de l’ARN, comme pour les BACTÉRIES, les virus peuvent aussi « utiliser » des cellules isolées ou parties d’un être pluricellulaire disposant d’un mécanisme biologique de duplication des brins d’ADN ou d’ARN. Ceci est particuliérement vrai chez les êtres évolués où des virus peuvent infecter des cellules de base et s’y multiplier sans liaison ni interférence avec le microbiome général ! ’’
      >
      Traduction sans fards : certaines cellules de notre organisme ont la (fâcheuse) particularité d’incorporer certaines choses appelées pour la circonstance virus, porteuses de brins d’ARN et ou d’ADN ne faisant pas partie du soi, de multiplier lesdites choses appelées virus, puis de rejeter tout ça dans l’organisme !!!


    • hugo BOTOPO 17 mai 16:20

      @Francis, agnotologue
      OUI à votre « traduction sans fards »,
      avec le détail que le rejet dans l’organisme s’effectue de deux façons :

      + la
      première résulte de « l’explosion » de la cellule gorgée de plusieurs dizaines de copies du virus initial,
      + la seconde résulte de l’expulsion individuelle de chaque virus copié, dès sa « finition », sans destruction/exlosion de la cellule « mère porteuse » !


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 17 mai 18:27

      @hugo BOTOPO
       
       merci de cette réponse.
      Question : ça a été observé, ou bien c’est seulement la théorie ?


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 18 mai 09:24

      @hugo BOTOPO 
       
      Dr. Stefan Lanka : “All claims about viruses as pathogens are false”
      Extraits :
       
      « Ma thèse n’est pas complexe : toutes les affirmations concernant les virus en tant qu’agents pathogènes sont fausses et reposent sur des interprétations facilement reconnaissables, compréhensibles et dont la fausseté est vérifiable.

       » Les véritables causes des maladies et des phénomènes attribués aux virus ont désormais une autre explication, beaucoup plus claire que les pseudo-explications actuelles.

      En effet, alors que les scientifiques en laboratoire pensent travailler avec des virus, ils ne travaillent en fait qu’avec certains composants de tissus ou de cellules mourants acquis dans des circonstances très particulières. Leur croyance fondamentale est que ces tissus et cellules meurent parce qu’ils sont infectés par un virus.

      En réalité, ces tissus et cellules de laboratoire meurent parce qu’ils sont affamés et empoisonnés par la méthodologie des tests en tant que telle. Les virologues croient principalement à l’existence des virus parce qu’ils administrent aux tissus et aux cellules du sang, de la salive ou d’autres fluides corporels supposés « infectés », et ce, il faut le souligner, en plus de l’arrêt de la solution nutritive et après le début de l’empoisonnement par des antibiotiques toxiques. La grande découverte, cependant, est que le tissu et ces cellules mourraient également, et ce de manière totalement autonome - même sans l’ajout des matériaux supposés « infectés ». »

       

      « La mort et la résurrection de la théorie du virus

      Jusqu’en 1952, les virologues pensaient qu’un virus était une protéine ou une enzyme toxique qui se propageait d’une manière ou d’une autre dans le corps humain ou animal. La médecine et la science réelle ont abandonné cette idée en 1951 parce que les prétendus virus n’ont pas pu être trouvés au microscope électronique et que des expériences de contrôle n’ont jamais été réalisées.

      Il a été progressivement reconnu que la mort des cellules d’animaux, d’organes et de tissus sains produisait des déchets que l’on qualifiait auparavant de « virus ». En d’autres termes, la virologie s’était réfutée elle-même et s’était dissoute en tant que science (6).

      Cependant, lorsque l’épouse de Crick, futur lauréat du prix Nobel, a dessiné une double hélice en 1953 et que celle-ci a été publiée dans la célèbre revue scientifique Nature, en tant que modèle prétendument développé scientifiquement du matériel génétique présumé, un battage médiatique entièrement nouveau et d’une grande portée est né : la génétique moléculaire. Désormais, la cause des maladies est recherchée dans les gènes. L’idée des virus - en fait déjà réfutée - a donc changé du jour au lendemain. Les gens ne pouvaient apparemment pas abandonner l’idée matérialiste d’un agent extérieur de la maladie. Un virus n’était plus une toxine, mais une structure génétique dangereuse, comprise comme une substance héréditaire, un dangereux génome viral.

      Ce sont principalement des chimistes jeunes et inexpérimentés qui ont fondé la nouvelle version de la virologie, la virologie génique. Ces chimistes n’avaient aucune idée de la biologie et de la médecine, mais ils avaient entre-temps obtenu des informations sur le génome viral. »

       

      La situation aujourd’hui

      Les virologues ne comprennent pas ! Selon les normes scientifiques les plus élémentaires, ils auraient dû au moins effectuer des tests de contrôle pour s’assurer que c’étaient bien des « virus » qui entraînaient la mort des cellules et des tissus. Afin d’établir efficacement la prétendue « multiplication » des virus dans les cellules, ils auraient dû effectuer des tests supplémentaires dans un groupe de contrôle en administrant des substances stériles provenant de personnes en bonne santé. Il s’agissait de vérifier que ce n’était pas la méthode elle-même qui produisait ou falsifiait les résultats.

      Ces expériences de contrôle n’ont pas encore été réalisées par la « science ». À la lumière du processus du virus de la rougeole, j’ai fait réaliser ces expériences de contrôle, dans un laboratoire indépendant, et j’ai constaté que les tissus et les cellules meurent aussi bien que s’ils étaient entrés en contact avec du matériel dit « infecté ». Cette constatation me semble importante, mais d’un autre côté, elle est aussi triviale, puisque c’est précisément la tâche des expériences de contrôle d’exclure la possibilité que la méthode ou la technique utilisée ne soit pas responsable du résultat plutôt que la réalité elle-même.

      Les expériences de contrôle sont donc de la plus haute importance et constituent même une condition essentielle pour qu’un résultat soit considéré comme « scientifique ». Comme nous le verrons, l’expert désigné par le tribunal dans le procès du virus de la rougeole - le Dr Podbielski, voir plus loin dans cet article - a constaté que certaines publications de base d’une importance fondamentale pour la virologie dans son ensemble (notamment l’article de John Franklin Enders de juin 1954 et six autres articles par la suite) ne contenaient aucune expérience de contrôle.

      On peut en conclure que depuis lors, et sans vraiment s’en rendre compte, les scientifiques agissent de manière extrêmement non scientifique. L’explication de cette action non scientifique, incompatible avec le raisonnement scientifique, est historique : en juin 1954, une hypothèse non scientifique et contradictoire a été publiée, concluant à la présence d’un virus à partir de la mort d’un tissu dans une éprouvette.

      Six mois plus tard, le 10 décembre 1954, le premier auteur de cette hypothèse reçoit le prix Nobel de médecine. Une hypothèse spéculative devenait ainsi, aux yeux de beaucoup, un fait scientifique pratiquement incontesté à ce jour (1). Depuis lors, la mort de tissus et de cellules dans une éprouvette est systématiquement, mais à tort, considérée comme une preuve de l’existence de virus. »

       

      (1) Le prix Nobel est la chose la plus embarrassante qui puisse arriver à un scientifique et à une société pour plusieurs raisons :
      1. Toutes les connaissances sont fondées sur « l’opinion dominante » de l’établissement d’enseignement universitaire du moment, y compris sa prétention à l’exclusivité.
      2. Les prix Nobel entravent le progrès des connaissances scientifiques parce que leurs conclusions ont tendance à être dogmatiques. Presque toutes les conclusions se sont révélées erronées après un court laps de temps ou après plusieurs années ou décennies.
      3. Un groupe très restreint et extrêmement élitiste, éloigné de la réalité, détermine ce qui relève de la science et ce qui n’en relève pas. Ces personnes prescrivent des méthodes « scientifiques » et, entre-temps, suppriment les connaissances contradictoires, excluant de la publication, par le biais de l’« examen par les pairs », c’est-à-dire le contrôle préalable des publications scientifiques selon leurs critères, les résultats indésirables qui réfutent leurs propres idées et dogmes.
      Voir le rapport sur le prix Nobel dans la revue WissenschafftPlus n° 1/2017, y compris une image qui va au cœur de la question et en dit plus que mille mots.

       Traduit avec DeepL.com (version gratuite)


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 18 mai 09:43

      @Francis, agnotologue
       
       

      « Les virus, une illusion conceptuelle

      C’est donc très simple : la mort des tissus et des cellules est considérée à tort comme l’isolement du virus. Ainsi, quoi que l’on puisse prétendre par ailleurs, le fait est qu’un virus n’a jamais été isolé au sens propre du terme, c’est-à-dire montré dans son ensemble ou caractérisé sur le plan biochimique.

      Les photographies au microscope électronique des prétendus virus, par exemple, ne montrent en réalité que des particules ordinaires de tissus et de cellules mourantes, généralement tout au plus sous forme de modèle. Cependant, comme les personnes concernées CROIENT que ces tissus et cellules mourants sont des virus, cette mort de cellules et de tissus sous la forme de toutes sortes de parties cellulaires est également appelée « multiplication » des virus.

      Les parties concernées le croient encore aujourd’hui, et ce d’autant plus que l’inventeur de cette méthode, en recevant le prix Nobel, est toujours considéré comme une autorité. La remise en cause de cette autorité n’est même pas envisagée.

      Il est d’ailleurs important de noter que ce même mélange, qui est donc composé de tissus et de cellules mourantes de singes, de fœtus de bovins et d’antibiotiques toxiques, n’est en rien différent de ce que l’on appelle un « vaccin vivant ». Il est utilisé sans être purgé de tout ce qui n’est pas un virus (de tout, donc, puisque les virus n’existent pas) comme injection prétendument curative, en supposant qu’il s’agit de virus « atténués ». Cependant, elle se compose principalement de protéines étrangères, d’acides nucléiques (ADN/ARN), d’antibiotiques cytotoxiques, de microbe

      Cependant, il se compose principalement de protéines étrangères, d’acides nucléiques (ADN/ARN), d’antibiotiques cytotoxiques, de microbes et de spores de toutes sortes.

      Ainsi, un vaccin n’est rien d’autre qu’un mélange de déchets cellulaires et de bactéries. En d’autres termes, des composants qu’un organisme normal excréterait immédiatement. Ce mélange est donc toxique. C’est ce que le corps sécrète comme déchets. Mais il est surtout injecté dans les muscles des enfants lors du processus de vaccination, dans une quantité qui, si elle était injectée dans la veine, conduirait immédiatement à une mort certaine.

      Seule une ignorance totale et une confiance aveugle dans les autorités publiques qui « testent » et approuvent les vaccins permettent de qualifier cela de « petite piqûre inoffensive ». Ces faits vérifiables démontrent le danger et la négligence des scientifiques et des politiciens qui prétendent que les vaccins sont sûrs, qu’ils n’ont que peu ou pas d’effets secondaires et qu’ils protègent contre les maladies. Rien de tout cela n’est vrai et ne peut être prouvé ; au contraire, si vous examinez la question d’un point de vue scientifique, vous ne trouverez aucun avantage aux vaccins et ne pourrez qu’admettre qu’il n’y a tout simplement aucune preuve de l’affirmation selon laquelle les vaccins vous protègent (2).

      « Si l’on ne tient pas compte de l’ensemble de la situation et si l’on ne vérifie pas à l’aveugle les résultats obtenus par les autorités chargées de tester et d’administrer les vaccins sur le site, on peut considérer que le vaccin n’est qu’un petit inconvénient pour la santé »

      Il convient d’ailleurs de souligner qu’il n’existe pas, dans l’ensemble de la littérature « scientifique », de virus réellement et complètement décrit. En effet, le processus de description se fait par consensus, les parties concernées se disputant traditionnellement sur ce qui appartient ou non au virus. Cela a pris des décennies avec le virus de la rougeole, par exemple. »

       


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 18 mai 09:46

      @Francis, agnotologue
       

      Une erreur d’aiguillage à l’échelle mondiale

      Dans le cas du soi-disant nouveau coronavirus chinois 2019 (désormais rebaptisé 2019-nCoV), ce processus de consensus n’a curieusement pris que quelques clics de souris. Cela n’a rien d’étonnant quand on sait que des constituants sont effectivement extraits de tissus morts et qu’ils se retrouvent ensuite dans une base de données. Mais ce sont ces composants, qui peuvent provenir de nombreux organismes différents, qui sont finalement assemblés en un modèle de virus artificiel.

      Le processus est le suivant : à partir d’une base de données contenant les structures moléculaires des composants de l’acide nucléique - il convient de souligner que ces composants proviennent déjà de tissus et de cellules morts qui ont été manipulés biochimiquement - un certain nombre de ces composants sont sélectionnés et utilisés pour construire un brin d’ADN beaucoup plus long, dit « complet », d’un nouveau virus.

      Il y a beaucoup à dire sur cette « technique », mais l’idée de base est que ces manipulations, appelées “alignements”, ne correspondent tout simplement à aucun matériel génétique « complet » ou connu d’un virus. Pourtant, dans la littérature, ce matériel est appelé « génome ». Par commodité, ils ignorent le fait qu’au cours de la construction d’un « brin d’ADN viral » - j’entends cela de manière totalement conceptuelle, d’ailleurs, dans les faits, rien n’est “construit” - certaines séquences considérées comme « inadaptées » sont lissées et des séquences manquantes (du moins : manquantes dans le modèle conceptuel que l’on maintient) sont ajoutées.

      C’est ainsi que l’on « invente » une séquence génétique d’ADN qui n’existe pas et qui n’a même jamais été découverte dans son ensemble. Ces « lissages » et ces ajouts forment, avec de courts morceaux qui correspondent au modèle conceptuel, un ensemble plus vaste qui est alors appelé « un brin d’ADN viral ». Encore une fois : en réalité, ce brin n’existe même pas. Il n’existe que dans l’esprit des « scientifiques ».

      Un exemple ? Si l’on étudie la composition conceptuelle du brin d’ADN du « virus » de la rougeole et qu’on la compare aux courts fragments de molécules des cellules réellement disponibles, plus de la moitié des particules de molécules qui devraient constituer ce virus manquent ! Certaines d’entre elles ont même été ajoutées artificiellement par voie biochimique, tandis que les autres sont tout simplement... inventées (3).

      Je n’invente rien. C’est la réalité, mais comme personne n’ose soupçonner qu’ils travaillent de manière aussi amateur, personne ne pense à vérifier correctement, et l’illusion persiste.

      Les scientifiques chinois qui affirment ainsi que la majorité des acides nucléiques à partir desquels le génome du nouveau China Corona Virus 2019 a été « séquencé » (4) proviennent en grande partie de l’ADN de serpents venimeux sont, comme nous tous, victimes d’une erreur d’aiguillage désormais mondiale. Plus les brins d’ADN « viraux » sont inventés de la manière décrite précédemment, plus un nouveau “virus” ressemble à tout ce qui a été « établi » auparavant.

      C’est ainsi que l’on « invente » une séquence génétique d’ADN qui n’existe pas et qui n’a même jamais été découverte dans son ensemble. Ces « lissages » et ces ajouts forment, avec de courts morceaux qui correspondent au modèle conceptuel, un ensemble plus vaste qui est alors appelé « un brin d’ADN viral ». Encore une fois : en réalité, ce brin n’existe même pas. Il n’existe que dans l’esprit des « scientifiques ».

      Un exemple ? Si l’on étudie la composition conceptuelle du brin d’ADN du « virus » de la rougeole et qu’on la compare aux courts fragments de molécules des cellules réellement disponibles, plus de la moitié des particules de molécules qui devraient constituer ce virus manquent ! Certaines d’entre elles ont même été ajoutées artificiellement par voie biochimique, tandis que les autres sont tout simplement... inventées (3).

      Je n’invente rien. C’est la réalité, mais comme personne n’ose soupçonner qu’ils travaillent de manière aussi amateur, personne ne pense à vérifier correctement, et l’illusion persiste.

      Les scientifiques chinois qui affirment ainsi que la majorité des acides nucléiques à partir desquels le génome du nouveau China Corona Virus 2019 a été « séquencé » (4) proviennent en grande partie de l’ADN de serpents venimeux sont, comme nous tous, victimes d’une erreur d’aiguillage désormais mondiale. Plus les brins d’ADN « viraux » sont inventés de la manière décrite précédemment, plus un nouveau “virus” ressemble à tout ce qui a été « établi » auparavant. »

       Traduit avec DeepL.com (version gratuite)

       


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 18 mai 09:50

      @Francis, agnotologue
       
       

      « L’invalidité des tests viraux

      « Les modèles nécessaires à la prétendue détection de « virus » ne proviennent pas de « virus », mais de tissus, de cellules et de sérum fœtal (sang sans composants solides) d’animaux, principalement des singes et des bovins. Ces animaux étant biochimiquement très proches de l’homme, leurs composants, interprétés à tort comme des composants de « virus », peuvent également être détectés chez l’homme à l’aide de la méthode de dépistage des « virus ». Certains « virus » et leurs vaccins - edoch : certainement pas le « virus » de la rougeole, voir ci-dessous - proviennent même de fœtus humains avortés !

      Il est également frappant de constater que les méthodes de test - telles que le test PCR - détectent des molécules présentes chez tous les humains. Avec toutes les méthodes de test pour les « virus », un certain nombre de personnes seront toujours « positives », et cela dépend uniquement de la sensibilité de la méthode de test, c’est-à-dire du nombre de cycles qu’elle subit.

      Mais l’illusion est plus grande. Les réactions allergiques particulièrement dangereuses que les vaccins basés sur ces mélanges toxiques provoquent parfois sont ensuite définies comme des « maladies auto-immunes ».

      Le sérum fœtal, extrait de manière extrêmement cruelle de fœtus non anesthésiés ( !) de mères non anesthésiées ( !), sans lequel les tissus et les cellules du laboratoire ne se développent pas ou pas assez vite, est particulièrement unique pour les personnes qui ne sont pas enceintes. Il contient toutes les bactéries connues et inconnues imaginables, leurs spores respectives (voir ci-dessous) et un grand nombre de protéines inconnues.

      Le tissu rénal est également très populaire - il provient principalement des reins de singes - car on en tire des composants dont on suppose simplement, sans preuve, qu’ils appartiennent à un certain modèle de virus qui, je ne cesse de le répéter, n’existe même pas dans la réalité. Dans toute la littérature « scientifique », aucun « virus » n’a jamais été identifié comme tel.

      Comme les vaccins sont également obtenus exclusivement à partir de ces substances, on comprend pourquoi les personnes vaccinées en particulier sont testées « positives » à tous les « virus » : ils proviennent du même mélange. Les méthodes de test détectent donc les composants des « virus » supposés, les protéines animales et les acides nucléiques, qui sont souvent identiques ou très similaires aux protéines et aux acides nucléiques humains.

      Les méthodes de dépistage des virus ne détectent donc rien de spécifique, en tout cas rien de « viral », et n’ont donc aucun pouvoir révélateur. Ce qu’ils accomplissent, lorsqu’ils sont diagnostiqués avec Ebola, le VIH, la grippe & Co. par exemple, c’est un choc psychologique paralysant, parfois mortel, qui, après avoir résolu ce conflit psychologique - « Je meurs » - déclenche des signaux de guérison qui sont alors également interprétés comme des symptômes de la maladie, qui sont alors traités avec des médicaments « antiviraux » qui sont parfois si toxiques que le traitement se termine par la mort. L’ironie l’emporte sur tout.

      Enfin, je voudrais souligner que toutes les procédures dites de test de virus ne disent jamais qualitativement « oui » ou “non”, mais sont conçues de telle sorte qu’elles ne sont jugées « positives » qu’à partir d’un certain seuil quantitatif de concentration. De cette manière, il est possible de tester certains, beaucoup, aucun ou tous les humains et les animaux positifs, en fonction de la manière dont la méthode de test a été mise au point. L’ampleur de cette tromperie devient évidente lorsque l’on réalise que des « symptômes » normaux (c’est-à-dire des signaux de guérison) sont soudainement interprétés comme des symptômes du SIDA, de l’ESB, de la grippe, du SRAS ou de la rougeole à partir du moment où le test est « positif ».

       Traduit avec DeepL.com (version gratuite)


    • pemile pemile 18 mai 10:17

      @Francis, agnotologue «  Question : ça a été observé »

      Oui


    • hugo BOTOPO 18 mai 10:41

      @Francis, agnotologue
      Ç’a été observé au microscope électronique depuis de nombreuses décennies !


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 18 mai 10:59

      @hugo BOTOPO
       
       C’est bien joli de dire qu’on a observé un virus au microscope. Mais comment sait-on que ce que l’on a observé est un virus ? Est-ce que vous ne voyez pas là comme une pétition de principe ?
       

      Principe du microscope électronique à balayage (MEB)

      « Ce microscope électronique utilise un faisceau d’électrons ponctuel pour « éclairer » l’échantillon. Les caractéristiques des électrons lui permettent d’obtenir des grossissements élevés allant jusqu’à 200’000x avec une netteté excellente.
      Comme pour le microscope électronique à transmission l’utilisation d’un faisceau d’électrons implique que la colonne et la chambre dans laquelle se trouve l’échantillon soient sous vide poussé pour que les électrons ne soient pas arrêtés-déviés par les molécules d’air.
      « Des lentilles électromagnétiques et des diaphragmes focalisent le faisceau sur la surface de l’échantillon. Pour améliorer la qualité des images d’échantillons biologiques leur surface est recouverte d’une fine couche métallique, habituellement de l’or. La pénétration des électrons dans la matière est très faible, surtout après métallisation. On obtient donc une image de la surface de l’échantillon.
      Certains échantillons biologiques relativement secs peuvent être observés directement après métallisation sans préparation particulière : graines, grains de pollen… Par contre
      des échantillons mous ou hydratés nécessitent une préparation : fixation chimique, lavages, déshydratation, séchage et métallisation. »

       


    • Legestr glaz Legestr glaz 19 mai 10:11

      @Francis, agnotologue

      La microscopie électronique est incapable de distinguer les « exosomes » de « virus-artefacts ». L’observation de « virus » par le MET est une simple « hypothèse ». Toujours le raisonnement circulaire : puisque l’on constate un effet cytophatique, c’est que c’est le fait de « virus » = hypothèse. Si on trouve des fragments d’ARN ou d’ADN : c’est du matériel viral = hypothèse. Si l’on observe des nanoparticules par le MET, puis que l’on cherche des « virus », alors ce que l’on observe ce sont des « virus » et non des exosomes = hypothèse.

      Un enchainement « d’hypothèses » qui procède de la pétition de principe, du raisonnement circulaire. 


    • Legestr glaz Legestr glaz 20 mai 07:08

      @pemile
      Et bien non, jamais ! Cela reste une « hypothèse » !


    • Legestr glaz Legestr glaz 20 mai 08:03

      @hugo BOTOPO

      C’est faux, absolument faux. La microscopie électronique est incapable de distinguer les exosomes de « pseudo-virus ». Les chercheurs émettent une hypothèse, seulement une hypothèse. Parce qu’à la vérité jamais aucun virus, strictement aucun, n’a pu être isolé. Tout ce dont dispose la virologie ce sont des fragments d’ARN ou d’ADN qu’ils assemblent. A un moment donné, il faut appeler un chat un chat ! Les « génomes viraux » sont des « constructions » par hypothèse, des « constructions intellectuelles » ! 

      La microscopie électronique seule ne permet pas de distinguer un exosome d’un virus enveloppé. La distinction repose sur des hypothèses a priori (présence supposée d’un virus), et des interprétations ( biaisées) sur la base d’un contexte expérimental.

      La prétendue « observation » directe de la réplication virale par microscopie électronique (ME) est une « interprétation visuelle », pas une preuve directe. Donc « une hypothèse » !

      ... Lorsqu’on lit que « la réplication virale a été observée en microscopie électronique », il s’agit d’une interprétation d’images fixes  : des particules en formation, des bourgeonnements, ou des « corps d’inclusion », « supposés » être des sites de réplication. Ces images sont « interprétées » comme des « sites de réplication », des « assemblages de virions », du « bourgeonnement viral ». Mais, en réalité, ce sont des événements cellulaires banals (formation d’exosomes, autophagie, stress cellulaire, apoptose) qui « miment ces observations ».

      ... « L’identification erronée de structures subcellulaires courantes comme étant des coronavirus dans les échantillons de tissus de patients et d’autopsies est un problème répandu depuis le début de la pandémie de COVID-19. Entre mars 2020 et octobre 2021, au moins 53 publications ont identifié à tort des structures de cellules hôtes comme étant des virus. »

      Et puis ceci qui est vraiment extraordinaire : «  L’observation de lésions ultra-structurales a souligné à quel point la COVID-19 est une maladie systémique pouvant se manifester dans tout l’organisme, affectant même des organes et des tissus non directement infectés par le SARS-CoV-2. » 

      La maladie covid19 était simplement une infection respiratoire provoquée, lors d’une inversion thermique, par les nanoparticules inertes de la pollution atmosphérique descendues dans les alvéoles pulmonaires. Et les « autopsies » des personnes qui en sont décédées prouvent parfaitement bien que cette maladie avait pour caractéristique principale « l’effondrement alvéolaire » en lien avec une faiblesse du glycocalyx endothélial. La « théorie virale » empêche de réfléchir d’une manière rationnelle. Ces maladies cardio-respiratoires sont en lien « direct » avec un dysfonctionnement endothélial, le glycocalyx, l’équilibre redox et le stress oxydatif. Chercher d’autres causes c’est se tromper de diagnostic. Le principe du rasoir d’Ockham s’applique.

      ... Une étude d’Ackerman et al., comparant les tissus pulmonaires de patients décédés de la COVID-19 à ceux décédés de la grippe, a démontré que davantage de microthrombi étaient observés dans les poumons infectés par le SRAS-CoV-2. Ces chercheurs ont également observé une angiogenèse intussusceptive à la fois au début et à long terme de l’infection pulmonaire par le SRAS-CoV-2, et la microscopie électronique a montré la formation de piliers intussusceptifs et de vaisseaux déformés avec des cellules endothéliales rompues dans le septum alvéolaire. Des revues récentes d’études cliniques et d’autopsies de 2020 indiquent que le dysfonctionnement endothélial au cours de l’infection par le SRAS-CoV-2, comme ceux observés par microscopie électronique, est essentiel pour déclencher les processus inflammatoires qui provoquent une COVID-19 plus grave."

      ... Des lésions endothéliales et des lésions rénales aiguës ont été décrites dans des échantillons de biopsie et d’autopsie rénales provenant de patients positifs au SARS-CoV-2. Les changements ultrastructuraux comprennent l’élargissement de l’espace sous-endothélial glomérulaire, la nécrose tubulaire aiguë et l’effacement diffus du processus du pied des podocytes. Dans les cas de lésions rénales plus graves, il y avait des signes de gonflement des cellules endothéliales et de thrombus de fibrine dans les artérioles hilaires glomérulaires. À ce jour, aucune particule de coronavirus n’a été trouvée dans le rein pour suggérer que la lésion rénale soit due à une infection directe. Les lésions rénales, comme les lésions d’autres tissus non respiratoires, peuvent être causées par des effets médiés par les cytokines et la réponse inflammatoire comme l’indiquent les niveaux élevés de cytokines sériques et de marqueurs inflammatoires chez les patients atteints de COVID-19 sévère. 


    • pemile pemile 20 mai 09:19

      @Legestr glaz « C’est faux, absolument faux. La microscopie électronique est incapable de distinguer les exosomes de « pseudo-virus ». »

      C’est pour quand ta publication qui démontre que les exosomes sont capables, comme les virus, d’utiliser une cellule pour se multiplier ?


    • Samy Levrai Samy Levrai 20 mai 09:25

      @pemile
      Alors le taré, on les voit les virus ? tu nous les montres dans les cellules ?


    • pemile pemile 20 mai 09:53

      @Samy Levrai « Alors le taré, on les voit les virus ? tu nous les montres dans les cellules ? »

      Déjà fait, réplication et effet cytopathique en vidéomicroscopie, sors de ta dissonance cognitive et cherche dans mon historique de février !


    • Samy Levrai Samy Levrai 20 mai 13:20

      @pemile
      Pathétique clown.


    • Legestr glaz Legestr glaz 20 mai 15:18

      @pemile

      Effets cytopathiques : par « hypothèse » sans aucun contrôle négatif. Une supercherie de plus à l’actif de la virologie !

      Les antibiotiques et les agents chaotropiques dans les cultures in vitro provoquent un énorme stress oxydatif, et les cellules en culture relarguent une grande quantité d’exosomes dans le milieu extra cellulaire : c’est l’effet cytopathique que les « virologues » prennent pour une agression virale ! 

      Avant 2010 la communauté scientifique ignorait que les véhicules extracellulaires et les exosomes transportaient des fragments d’ARN et d’ADN. Tous ces fragments étaient « attribués par hypothèse » à du matériel viral. C’est une réalité pemile ! 

      Avant cette découverte, les chercheurs utilisant des techniques de séquençage pouvaient détecter des fragments d’ARN ou d’ADN dans des échantillons biologiques et, en l’absence de connaissances sur les exsosomes, les attribuaient à des virus inconnus. Cette méconnaissance a conduit à des biais méthodologiques rédhibitoires, où des séquences endogènes transportées par des exosomes ont été interprétées comme des éléments viraux ! 

      Et comme la virologie utilise un raisonnement circulaire s’appuyant sur des génomes « construits » bien avant 2010, toute la belle histoire qui est racontée est une utopie !

      https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35087990/

      L’ensemble du corpus génomique viral utilisé comme référence dans l’étude du SARS-CoV-2 repose sur des données construites avant que la science ne comprenne que des cellules stressées libèrent de l’ARN via des exosomes.
      Cela affaiblit considérablement la robustesse épistémologique des inférences faites à partir de ces séquences.

      La virologie s’est plantée dans les grandes largeurs !

      La première publication présentant le génome du SARS-CoV-2 (Zhou et al., Nature, 2020) s’appuie explicitement sur des comparaisons avec des séquences « virales »préexistantes, notamment : SARS-CoV (2003) ; RaTG13 (découvert chez Rhinolophus affinis, publié en 2020 mais collecté en 2013) ; et d’autres séquences de coronavirus de chauves-souris assemblées via la métagénomique entre 2005 et 2015.

      Ces assemblages datent d’une époque où le rôle des exosomes dans le transport d’ARN/ADN n’était pas connu ou pris en compte.

      Mais la « virologie » fait « comme si » les exosomes n’existaient pas et ne transportaient ni ARN ni ADN. Elle n’est pas belle la vie en absurdistant ! 




  • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 14 mai 09:45

    dommage que cet article mélange des considérations aussi éloignées que la mal nommée intelligence artificielle et la théorie des méchants virus.


    • jjwaDal jjwaDal 14 mai 18:50

      @Francis, agnotologue
      Je me suis fait la même réflexion.


    • hugo BOTOPO 18 mai 11:25

      @Francis, agnotologue
      L’IA est censée « boosté » l’homme vers un être amélioré, supérieur, tout en retirant à la majoriré une amélioration sociale et démocratique. Quels avenirs pour les « améliorés » et les « laissés sur place » ? Cette IA est-elle vraiment bienfaitrice pour l’humanité ? Ou un moyen efficace de domination et de soumissions ?

      L’Intelligence de la Nature, du monde microscopique, a mis des milliards d’années à nous façonner tels que nous sommes et surtout à nous protéger de la biosphère qui nous entoure.
      L’homo sapiens veut dominer la Nature et la biosphère en développant un homme « amélioré » super intelligent pour dominer le monde des vivants, être Maître de la Vie !


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 18 mai 13:32

      @hugo BOTOPO
       
      Je suis bien d’accord.


    • hugo BOTOPO 18 mai 14:42

      @Francis, agnotologue
      La mal nommée IA est conçue pour « faire mieux, plus vite, plus surement que les humains, selon des critères humains (dans un premier temps ; plus tard l’IA saura dépasser les critères de respect de l’intégrité physique ou intellectuelle des humains.
      La théorie des »méchants virus« , analogue à celle des  »méchants microbes« est dépassée par la RÉALITÉ des rôles bienfaiteurs des virus et bactéries dans le MICROBIOME régulateur et protecteur de la VIE ! Il y a opposition entre les »deux intelligences" de l’IA et du Microbiome !


  • Samy Levrai Samy Levrai 14 mai 16:15

    On aurait vu des virus ? On en aurait isolé ? quand ?


    • hugo BOTOPO 18 mai 10:58

      @Samy Levrai
      Des virus antibactériens ont été isolés dès 1915 par Félix d’Hérelle de l’Institut Pasteur, sans être visibles aux microscopes optiques de l’époque, et en ignorant la composition en différentes espèces !
      On a vu différentes espèces de virus avec le microscope électronique (première photo en 1940). Avec les progrès de ces appareils, on a pu voir, dès les années 50 des virus bâtonnets lisses, bâtonnets avec des poils et/ou des flagelles (queue), des lenticulaires (corona), des sphériques ou polyèdres avec des« pattes grappins » pour s’accrocher à son hôte.
      voir photos dans Wikipédia (rubriques virus, bactériophages/phages)


    • Samy Levrai Samy Levrai 19 mai 17:23

      @hugo BOTOPO
      Que dalle, jamais isolés et jamais observés au microscope même le plus sophistiqué, les bactéries sont observées ( pas toutes surement ) mais des virus personnes n’en a jamais vu et nous devons donc croire à leur existence...


    • pemile pemile 19 mai 18:34

      @Samy Levrai

      C’est pas trop douloureux de s’enterrer dans ces dénis ridicules ?


    • Legestr glaz Legestr glaz 20 mai 08:10

      @pemile

      Si vous avez des preuves de l’existence virale donnez les ! Répéter un mensonge 10.000 fois n’en fait pas une vérité ! 

      Tout ce dont dispose la virologie ce sont des « fragments » d’ARN et d’ADN, obtenu « in vitro », et « attribués par hypothèse » à du matériel viral, sans aucun contrôle négatif.

      Si vous avez d’autres informations, pemile, donnez les, sinon vous pouvez tourner la page de la désinformation ! Parce que c’est effectivement douloureux pour vous de tenir cette position sans aucune preuve à disposition ! 


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 20 mai 08:21

      @Legestr glaz
       
       douloureux pour pemile ? Mais non, c’est une enclume.
       
      C’est peut-être un bot ?


    • pemile pemile 20 mai 09:02

      @Legestr glaz " Répéter un mensonge 10.000 fois n’en fait pas une vérité ! Tout ce dont dispose la virologie ce sont des « fragments » d’ARN et d’ADN, obtenu « in vitro », et « attribués par hypothèse » à du matériel viral, sans aucun contrôle négatif. "

      L’absurde et la démence qui chaque jour se cognent contre le mur de la réalité ! smiley


    • Samy Levrai Samy Levrai 20 mai 09:17

      @pemile
      Mince, le taré, tu as encore oublié d’apporter des preuves...


    • Legestr glaz Legestr glaz 20 mai 13:29

      @Legestr glaz

      L’absurde et la démence, c’est bien le cas avec la « théorie virale ». Une théorie virale que vous prenez aujourd’hui pour une réalité : c’est complètement absurde ! 

      L’existence virale a été postulée bien avant la découverte des exosomes, de la microscopie électronique, des récepteurs de reconnaissance des motifs moléculaires, de la « netose » et du ’transfert d’ADN mitochondrial au noyau« . Une virologie »sérieuse« aurait dû s’emparer de ces nouvelles connaissances mais elle les a ignorées.

      Et la surveillance satellitaire de la pollution atmosphérique a, de son côté, totalement bouleversé la donne. Parce que cette surveillance satellitaire montre une corrélation parfaite entre les pics épidémiques et les pics de pollution atmosphérique sous inversion thermique. Elle permet de »prévoir« les inversions thermiques, leur durée, la hauteur du plafond et leurs zones d’expansion. Les maladies cardio-respiratoires, en automne-hiver, sont donc aujourd’hui parfaitement prévisibles.

      Les »virus« peuvent donc s’organiser bien en avance afin de bénéficier de bons tarifs pour leur trajet Chine-Europe. Ils savent qu’en se manifestant d’une manière concomitante à une qualité de l’air dégradé ils seront pris au sérieux. Surtout si la publicité qui les entoure est bien faite, pour un bon business. La surveillance satellitaire a donc du bon pemile !

      Le démence c’est de ne pas vouloir accepter la réalité observable.

      La »théorie virale« est l’exacte réplique de la »théorie géocentrique« dans les explications plus saugrenues les unes que les autres pour expliquer la théorie. La théorie géocentrique utilisait des »épicycles« , la théorie virale utilise des virus, des variants, des mutants. La théorie »aérotoxique« , quant à elle, explique toutes les phases de la maladie avec une incroyable rigueur et une magnifique simplicité. Quant à la virologie, elle a été très loin dans l’imagination avec les »malades asymptomatiques«  ! Les personnes étaient malades sans le savoir ! »L’épicycle biologique viral« ramené à sa plus simple expression : »être porteur sain" ! vraiment, la virologie n’a reculé devant aucune incohérence. 



    • Legestr glaz Legestr glaz 20 mai 18:26

      @pemile

      J’avais oublié de mentionner « le mur de la réalité ». Alors voici pemile ! 

      ... Depuis les années 1950, la virologie repose sur une méthodologie qui postule que les séquences d’ARN ou d’ADN retrouvées dans des milieux de culture cellulaire sont d’origine virale lorsqu’un effet cytopathique est observé.

      Cette approche est restée inchangée pendant des décennies, malgré des transformations majeures dans notre compréhension de la biologie cellulaire. Parmi ces transformations, la redéfinition des exosomes et des vésicules extracellulaires comme éléments fonctionnels du dialogue intercellulaire constitue une rupture fondamentale.

      Or, cette évolution n’a pas été intégrée à la méthodologie virologique, ce qui entraîne aujourd’hui un décalage critique entre les pratiques expérimentales et les connaissances actualisées sur la cellule.

      Les exosomes ont été identifiés dans les années 1980, mais ils étaient alors considérés comme des « déchets cellulaires ». Ce n’est qu’à partir de 2006-2007, notamment avec les travaux de Valadi et de ses collègues, que leur rôle actif dans le transport d’ARN messager et de microARN a été démontré. Cette découverte a mis en lumière un système sophistiqué de communication intercellulaire, capable de modifier le comportement d’autres cellules à distance. Pourtant, les protocoles de détection et d’assemblage de génomes dits viraux continuent d’utiliser des cultures cellulaires sans prise en compte des vésicules extracellulaires.

      La méthode standard consiste à cultiver des cellules en présence d’un échantillon clinique, à observer un effet cytopathique, puis à extraire l’ARN du surnageant pour séquençage et assemblage in silico.

      Ce dernier repose sur des logiciels qui assemblent des fragments courts en les alignant sur des modèles de génomes présupposés, eux-mêmes construits de manière similaire des années auparavant

      En d’autres termes, les nouveaux génomes dits viraux sont validés par leur ressemblance avec d’anciens assemblages eux-mêmes issus d’hypothèses non réévaluées. Cette circularité rend invisible le biais d’attribution initial.

      Cette situation est particulièrement problématique car les cellules stressées relâchent spontanément des exosomes contenant des fragments d’ARN et d’ADN de toutes tailles.

      Ces fragments peuvent correspondre à des régions codantes, non codantes, des ARN de stress ou des éléments rétrotransposables. Rien ne garantit qu’un tel contenu ne puisse être récupéré dans le surnageant et artificiellement interprété comme un agent pathogène. D’autant plus que les cultures sont souvent traitées avec du sérum fœtal bovin, des antibiotiques, et soumises à des conditions loin de l’homéostasie. Il est donc hautement plausible que les séquences dites virales soient en réalité des expressions endogènes de la cellule confrontée à une agression.

      Cette faille est d’autant plus grave que les génomes de référence des grands virus émergents (comme le SARS-CoV, MERS, Zika, Ebola ou SARS-CoV-2) ont tous été assemblés selon ce modèle expérimental, sans contrôle des exosomes. Par conséquent, toute validation par alignement avec ces génomes repose sur une base artefactuelle.

      Ce point n’est pas marginal : il concerne la totalité de la base génomique sur laquelle reposent les tests PCR, les séquençages de variants, la conception de vaccins à ARN et l’analyse phylogénétique des « pandémies ».

      L’absence de réévaluation critique de ces fondements révèle une forme d’aveuglement méthodologique. Elle montre que la virologie, en tant que discipline, ne s’est pas adaptée à la mise à jour de la biologie cellulaire contemporaine.

      Pire, elle continue d’interpréter tout signal génomique comme exogène, alors que la cellule possède sa propre dynamique de réponse informationnelle via les vésicules extracellulaires. Il y a là une dissonance cognitive profonde  : la cellule, redécouverte comme entité autonome et communicante, est simultanément traitée comme un récepteur passif d’invasions virales exogènes dans les modèles virologiques.

      Ce hiatus entre la biologie cellulaire moderne et la virologie ancienne appelle une réforme épistémologique. Il ne s’agit pas de nier l’existence de phénomènes infectieux ni de rejeter toute forme de transmission pathogène, mais de reconnaître que les techniques d’attribution des séquences doivent être entièrement repensées. Sans contrôle rigoureux de l’origine cellulaire des fragments génétiques, sans exclusion expérimentale du rôle des exosomes, toute affirmation d’un agent viral reste conjecturelle.

      La virologie contemporaine repose sur un socle expérimental conçu avant que l’on comprenne la cellule comme une entité émettrice d’information génétique extracellulaire.

      Elle continue d’attribuer à des virus hypothétiques ce qui relève de la réponse cellulaire à un stress. Cette confusion a des conséquences immenses, car elle façonne notre compréhension des maladies, des traitements, des politiques de santé publique, et même des mesures sociales. Il est temps de confronter ce socle à la réalité actuelle de la biologie. L’intégration des connaissances sur les exosomes n’est pas une option, mais une nécessité scientifique.

      https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/17486113/



    • pemile pemile 20 mai 19:06

      @Legestr glaz «  des virus hypothétique  »

      T’en as jamais marre de répéter en boucle, depuis des années, les mêmes logorrhées de conneries ridicules ?


    • Legestr glaz Legestr glaz 20 mai 23:48

      @pemile

      Conneries et logorhées pour les gens qui ne réfléchissent pas et réalité biologique pour ceux qui font l’effort de faire des mises en perspective. Choisis ton camp camarade pemile ! 

      Vous êtes rendu au bout du chemin de l’invraisemblance, va falloir faire demi-tour pemile !


    • pemile pemile 21 mai 08:34

      @Legestr glaz

      Il ne te reste que les inversions de réalité les plus ridicules !


    • Legestr glaz Legestr glaz 21 mai 12:52

      @pemile

      Et voilà pemile, zéro argument de votre côté hormis vos rodomontades habituelles !

      Tous les « virus », des artefacts biologiques, ont été « séquencés » avant même que la recherche scientifique établisse que les « exosomes » émis par les cellules sous stress, sont des transporteurs d’ARN et d’ADN.

      Et c’est bien cet ARN ou ADN que les virologues retrouvent et assemblent par la bio-informatique pour former « de novo » un « génome viral ». 

      Tous les nouveaux génomes « dits viraux » sont validés par leur ressemblance avec d’anciens assemblages eux-mêmes issus d’hypothèses non réévaluées. Cette circularité rend invisible le biais d’attribution initial.

      Cette situation est particulièrement problématique car les cellules stressées relâchent spontanément des exosomes contenant des fragments d’ARN et d’ADN de toutes tailles. Ces fragments peuvent correspondre à des régions codantes, non codantes, des ARN de stress ou des éléments rétrotransposables. Rien ne garantit qu’un tel contenu ne puisse être récupéré dans le surnageant et artificiellement interprété comme un agent pathogène. D’autant plus que les cultures sont souvent traitées avec du sérum fœtal bovin, des antibiotiques, et soumises à des conditions loin de l’homéostasie. Il est donc hautement plausible que les séquences dites virales soient en réalité des expressions endogènes de la cellule confrontée à une agression.

      Cette faille est d’autant plus grave que les génomes de référence des grands virus émergents (comme le SARS-CoV, MERS, Zika, Ebola ou SARS-CoV-2) ont tous été assemblés selon ce modèle expérimental, sans contrôle des exosomes. Par conséquent, toute validation par alignement avec ces génomes repose sur une base artefactuelle.


    • pemile pemile 21 mai 12:58

      @Legestr glaz « Et voilà pemile, zéro argument de votre côté »

      Tes mensonges t’obligent à répéter sans fin les mêmes arguments foireux, la réalité n’a normalement pas besoin d’être répétée sans fin ?

      Que penserais-tu d’un platiste qui viendrait chaque jour « argumenter » que la terre est plate et qui oserait ce genre de contre attaque face à quelqu’un qui lui a déjà donné 1000 preuves que la terre est ronde ?


    • Legestr glaz Legestr glaz 21 mai 14:21

      @pemile

       Hormis écrire que j’avance des « mensonges » vous n’avez rien d’autre en magasin. Pas le moindre argument en vue ! Vous êtes désolant. 

      La virologie est le déshonneur de la science. La virologie est une pétition de principe. Mais elle permet de générer beaucoup de fric à travers des « vaccins » parfaitement inutiles, des cautères sur une jambe de bois. Mais les laboratoires empochent la mise ! C’est un scandale absolu ! Je me demande si vous prenez votre petit billet au passage ?


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 21 mai 14:28

      @Legestr glaz
       
      ’’(@pemile) ... La virologie est une pétition de principe.... Je me demande si vous prenez votre petit billet au passage ? ’’
      >
       pemile comme un petit enfant à qui on révèle trop tôt que le Père Noël n’existe pas, est dans le déni, et comme un animal domestique qui ne s’émancipera jamais, n’en sortira pas.


    • Legestr glaz Legestr glaz 21 mai 16:50

      @Francis, agnotologue

      Bonjour Francis,

      Les « virus » sont une méprise historique. 

      Ce sont vraiment les nouvelles découvertes des 10- 20 dernières années qui ont permis de comprendre que la théorie virale était bancale ! 

      A aucun moment du « processus » de recherche, en effet, comme vous l’avez compris, il n’a été tenu compte que les exosomes, libérés sous « stress » par les cellules en culture, transportaient des cargaisons de fragments d’ARN et d’ADN. Et pour cause, jusqu’en 2007 le monde scientifique l’ignorait totalement !

      Mais ceci change absolument toute la donne. Ces fragments d’ARN ou d’ADN ont été attribués par « hypothèse » à l’action d’agents pathogènes, soit des « virus ». Personne ne pouvait seulement imaginer que ces fragments provenaient de la cargaison des exosomes. 

      Ainsi des « génomes fictifs » ont été construits par « hypothèse » en utilisant des fragments d’ARN ou d’ADN des cellules de la culture (autant des cellules animales qui y participaient, comme les cellules de singe vert VERO que des cellules de sérum foetal bovin, que des cellules humaines.

      Nous sommes à un moment de bascule. Sous peu, la théorie virale va s’effondrer et disparaitre corps et biens. Et, évidemment, l’explication des maladies se trouve ailleurs. Et c’est Antoine Béchamp, un visionnaire, qui indiquait : « le microbe n’est rien, le terrain est tout ». Cet éminent chercheur, discret, avait absolument tout compris. Et les maladies attribuées par hypothèse s’expliquent très bien pour des raisons autres que « virales ».

      Les infections cardio-respiratoires par la pollution atmosphérique lors des inversions, voire des « orages » ou l’ozone en été. Le SIDA, EBOLA, ou que sais-je, par la malnutrition, l’accès à une eau de qualité, les hypovitaminoses, un manque de protéines essentielles, de fer, de vitamine A, etc. Bref, pas de « virus » à l’horizon. En revanche, les bactéries et leurs toxines, comme les parasites et les particules fongiques, restent des dangers pour la santé humaine.


    • pemile pemile 21 mai 17:03

      @Legestr glaz « La virologie est le déshonneur de la science. »

      wiwi, et la terre est plate !


    • pemile pemile 21 mai 17:09

      @Francis, agnotologue « pemile comme un petit enfant à qui on révèle trop tôt que le Père Noël n’existe pas, est dans le déni »

      Tu n’as même pas conscience que cet énoncé est juste débile ?

      Ou tu essayes de dire que c’est comme petit enfant qu’on t’a dit que les virus n’existent pas et que ça explique ton grave déni actuel ?


    • pemile pemile 21 mai 17:12

      @Legestr glaz « Je me demande si vous prenez votre petit billet au passage ? »

      Et si j’encaissais un billet à chacune de tes conneries répétées en boucle sur AVox !


    • Legestr glaz Legestr glaz 21 mai 17:26

      @pemile
       changez de disque ou modifiez votre vocabulaire. Je préfère encore vos insultes à ce naufrage à travers les phrases pitoyables que vous dégainez : « conneries répétées en boucle ». Bigre, « des conneries » ? Dites tout de suite que vous ne comprenez pas, c’est bien l’image que vous donnez ! 

      Parlez nous de la cargaison d’ARN et d’ADN transportée par les exosomes ! Ce sont des « conneries » ça ? Vous voulez plus de liens que ceux que j’ai déjà fournis ? 
      Les exosomes et leur cargaison vous ont touché-coulé ! 


    • PaulAndréG (PàG) PaulAndréG (PàG) 21 mai 17:35

      @Legestr glaz
      .
      Legestr glaz devrait faire une compilation de ses dizaines de longs, très longs coms quotidiens sur la « méprise historique des »virus" smiley
      .
      Y a de quoi faire un bouquin smiley
      .


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 21 mai 19:32

      @pemile
       
       ’’ Ou tu essayes de dire que c’est comme petit enfant qu’on t’a dit que les virus n’existent pas et que ça explique ton grave déni actuel ? ’’

        >

       C’est stupide et affligeant d’illogique, car tout le monde de sait bien que c’est aux petits enfants qu’on explique qu’il faut accepter ma piqûre à cause des méchants microbe. Même que plus tard, ils seront majeurs et vaccinés.

      Vous êtes idiots ou vous faites semblant ?


    • Legestr glaz Legestr glaz 21 mai 19:42

      @PaulAndréG (PàG)

      Je comprends que vous, vacciné plusieurs fois, vous fassiez dans la dissonnance cognitive !

      Cette étude parue en mai 2007 : « Le transfert d’ARNm et de microARN par l’intermédiaire des exosomes est un nouveau mécanisme d’échange génétique entre les cellules » a été citée 14655 fois ! C’est énorme dans la littérature scientifique ! Ce qui veut dire qu’elle exprimait quelque chose de « très important » ! Et que disait-elle ? Et bien que les exosomes étaient des entités libérées par la cellule aux fins de signalisation et d’apport de matériel cellulaire aux cellules voisines. C’était une « nouveauté » absolue ! Cela n’avait pas été « envisagé ».
      Et ces« exosomes », de taille manométrique, transportent, derrière un bicouche lipidique, de l’ARN, de l’ADN, des lipides et des protéines. 

      Les « hypothèses » formulées par la « virologie », avant cette découverte fondamentale, qui identifiait des effets cytopathiques, qui découvrait des fragments d’ARN et d’ADN, qu’elle « attribuait par hypothèse » à des virus et à du matériel viral, était loin de s’imaginer que des exosomes existaient et transportaient de l’ARN et de l’ADN. 

      Mais la « virologie » n’a pas bougé le petit doigt à la suite de cette découverte. D’autres chercheurs, en revanche, ont travaillé le sujet. L’International Society for Extracellular Vesicles (ISEV) est le nom de l’association scientifique majeure qui s’est formée autour de l’étude des vésicules extracellulaires en 2011 afin de « promouvoir » la recherche, la standardisation, la communication et la collaboration dans le domaine des vésicules extracellulaires, incluant les exosomes et les microvésicules. 

      La virologie repose sur un paradigme hérité du XXe siècle : entités infectieuses avec un génome encapsidé, qui répliquent grâce à la cellule hôte. Introduire l’idée que des particules non virales peuvent transmettre de l’information génétique déstabilise cette vision. Cela remettrait en cause la frontière nette entre ce qui est « viral » et ce qui ne l’est pas.
      Accepter que des vésicules extracellulaires (produites par la cellule, non infectieuses au sens classique) puissent imiter ou remplacer certaines fonctions virales (comme la transmission d’ARN, la modulation immunitaire) créerait une zone grise que la virologie souhaite « éviter ».
      La similarité morphologique entre exosomes et virus (taille, densité, structures de surface) devrait inciter à la prudence. Pourtant, aucun contrôles n’est fait pour exclure les exosomes lors de l’identification de « particules virales », notamment dans des expériences de microscopie électronique ou d’isolement.

      La virologie a attribué des fragments d’ARN et d’ADN à des « virus » hypothétiques, alors que ces fragments venaient des cellules en culture, elles même. 

      Alors que l’étude fondatrice de Valadi et al. sur le transport d’ARN et d’ADN par des exosomes a attiré l’attention d’une large partie de la communauté scientifique, la virologie, elle, n’a quasiment pas réagi à la révolution portée par cette étude de Valadi et al. Elle continue royalement à ignorer ou à marginaliser la possibilité que des mécanismes endogènes, non infectieux, de transfert d’ARN puissent jouer un rôle central dans des processus que l’on attribue traditionnellement aux virus. De puissants intérêts sont probablement en jeu, comme la « vaccination » par exemple.

      https://www.nature.com/articles/ncb1596


    • PaulAndréG (PàG) PaulAndréG (PàG) 21 mai 19:58

      @Legestr glaz
      .

      « Legestr glaz 21 mai 19:42
      Je comprends que vous, vacciné plusieurs fois, vous fassiez dans la dissonnance cognitive ! »

      .
      toutes mes excuses aux accrochés à Avox, j’aurais pas du rallumer la mèche et relancer le Docteur qui en pince pour les virusses et conteste les virus smiley


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 21 mai 20:03

      @Legestr glaz
       
       En bon scientifique qui admet cette hypothèse des exosomes pris à tort pour des virus causes de la maladie, ne peut pas s’empêcher de poser la question :
      Puisque la maladie est un mécanisme de défense ; les exosomes exogènes, ceux des voisins de table ou de comptoir, ne pourraient ils pas contribuer peu ou prou au déclenchement de la maladie ?
       
       Cette seconde hypothèse ne pourrait-elle pas expliquer pourquoi le Pr Raoult a trouvé autant de variants !
      J’ai dit une bêtise ?


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 21 mai 20:19

      @Legestr glaz
       
       ’’La virologie a attribué des fragments d’ARN et d’ADN à des « virus » hypothétiques, alors que ces fragments venaient des cellules en culture, elles même. ’’
      >
       Ces ADN et ARN sont-ils ceux de la cellule émettrice, autrement dit, de l’organisme émetteur réputé malade ? Ou pas ? Et dans ce second cas, d’où proviennent-ils ?
       
      PS. Oui, je sais, je ne suis pas instruit dans ce domaine, mais puisque ce débat est interdit aux spécialistes par le fait qu’ils y risqueraient leur notoriété et leur boulot, il faut bien que quelqu’un s’y colle, et de préférence des gens qui ne sont pars irrémédiablement contaminés par la doxa.


    • Legestr glaz Legestr glaz 21 mai 20:40

      @PaulAndréG (PàG)
       copié-collé : « toutes mes excuses aux accrochés à Avox, j’aurais pas du rallumer la mèche et relancer le Docteur qui en pince pour les virusses et conteste les virus »

      Je dois dire que je ne comprends pas ???

      Pour la route Paul André ! la cellule elle-même produit des exosomes qui induisent des changements phénotypiques dans d’autres cellules, comme on l’attribue habituellement aux virus. 
      Cela remet en cause la vision exclusive du virus comme porteur externe d’information pathogène  : des cellules pourraient produire des ARN « modulants » sans infection au sens classique. Cela floute la frontière entre « endogène » et « exogène », une frontière que la virologie s’efforce de maintenir pour justifier la notion de « réplication virale autonome ».
      Les ARN exosomaux sont porteurs d’information biologique active, capables d’induire une réponse adaptative dans d’autres cellules. Cette découverte bouleverse la vision cellulaire classique et aurait dû provoquer un débat majeur dans la virologie. Mais non, même pas !



    • Legestr glaz Legestr glaz 21 mai 21:19

      @Francis, agnotologue

      C’est assez facile à comprendre.

      Les exosomes sont synthétisés (conçus) dans la cellule elle-même. Ils jouent un rôle fondamental dans la circulation du renseignement entre cellules. Ces exosomes peuvent apporter du « matériel » cellulaire à leurs voisines. Ils transportent ainsi des fragments d’ARN, d’ADN, des protéines et des lipides. Il existe une « collaboration » de tous les instants entre les cellules qui se soutiennent les unes les autres au profit de l’organisme tout entier.

      Alors oui, ces fragments d’ADN et d’ARN sont bien ceux de la cellule émettrice. Ils transmettent ainsi des « informations » aux cellules voisines. Par exemple, l’ARNm exosomal peut être traduit en protéine fonctionnelle dans la cellule réceptrice. Par exemple les ARNm exosomaux peuvent induire une résistance au stress oxydatif.

      Mais nul besoin d’être malade pour que la cellule largue des exosomes dans l’espace extra cellulaire. C’est un processus de communication et d’échange de matériel cellulaire permanent, en fonction des besoins physiologiques. 

      Toutes ces fonctions et tous ces rôles font aujourd’hui l’objet de nombreuses études.

      La virologie moderne repose historiquement sur le paradigme du virus comme entité exogène infectieuseCe modèle laisse peu de place à l’idée d’un transfert naturel d’ARN entre cellules via des exosomes.
      Les exosomes ressemblent morphologiquement à des virus enveloppé(même taille, bicouche lipidique, contenu en ARN/ADN, glycoprotéines membranaires).

      La virologie a confondu exosomes et « virus », puisque « l’idée du départ », fondatrice de la virologie, c’est que s’il y avait un effet cytopathique, c’est qu’un agent « pathogène » en était responsable. Toute la virologie découle de cette simple hypothèse. Le découverte des exosomes, de leur structure, de leurs fonctions, modifient radicalement la donne. Mais la « virologie » ne veut pas le savoir ! 


    • pemile pemile 21 mai 21:59

      @Legestr glaz «  Les exosomes et leur cargaison vous ont touché-coulé ! »

      Pov clown, bis repetita, trouve moi des exosomes capables d’utiliser des cellules pour se multiplier et trouve moi des exosomes qui réagissent aux amorces de PCR ciblant des virus ! smiley


    • pemile pemile 21 mai 22:02

      @Francis, agnotologue « Vous êtes idiots ou vous faites semblant ? »

      Ni l’un, ni l’autre, ton énoncé sur le père noël est bien une débilité totale !
      https://www.agoravox.fr/commentaire6833014


    • Legestr glaz Legestr glaz 21 mai 22:43

      @Francis, agnotologue

      copié-collé : «  les exosomes exogènes, ceux des voisins de table ou de comptoir, ne pourraient ils pas contribuer peu ou prou au déclenchement de la maladie ? Cette seconde hypothèse ne pourrait-elle pas expliquer pourquoi le Pr Raoult a trouvé autant de variants ! J’ai dit une bêtise ?

      Oui. Les exosomes sont synthétisés par les cellules.

      Les exosomes des voisins de table ne font pas partie du »soi« mais du »non soi« . Toute molécule du non soi, introduite dans l’organisme, provoque une réaction immunitaire, plus ou moins forte ou violente. C’est le cas lors d’une greffe par exemple. Les phénomènes de »rejet« sont le résultat de la discrimination du soi et du non soi. Mais ce n’est pas le sujet.

      Parce que les exosomes du voisin ne peuvent pas atteindre notre propre organisme. Nous n’émettons pas les exosomes dans la nature, à l’extérieur de nous. Ces exosomes naviguent dans l’espace extra cellulaire, au plus profond de nous. Ils restent en nous. Les nanoparticules »pathogènes« (qui rendent malade) nous arrivent très majoritairement par les voies respiratoires. C’est l’entrée de l’organisme humain la plus »vulnérable« . Les autres »entrées« sont bien mieux protégées. 

      Les »variants« proviennent en réalité de l’assemblage de fragments par la bio informatique. Ces fragments contiennent les »bases« nucléotides : ACGT pour l’ADN et ACGU pour l’ARN. Ces bases se succèdent dans un certain ordre. Et l’ordre dans lequel se succède ces 4 bases constitue le génome. Le génome c’est donc l’ensemble complet des séquences nucléotidiques (ADN ou ARN) qui composent le matériel génétique d’un organisme. La »lecture« du génome c’est donc la lecture d’un alphabet composé de 4 lettres seulement. 

      Et lors d’une culture pour la recherche virale, les chercheurs découvrent des milliers, voire des millions de fragments. Et ces fragments, évidemment, sont composés des 4 nucléotides qui se succèdent dans un certain ordre. Mais seuls, »certains« de ces fragments vont être »utilisés« pour »construire« le génome. Pour le SARS-COV2, par exemple, 56 millions de fragments ont été découverts. Seuls, 0,1% de ces fragments ont été utilisés pour former le génome du SARS-COV2 soit une succession d’environ 30.000 nucléotides.
      Dans la pratique quelques milliers de fragments »bien choisis« suffisent pour produire un »consensus«  représentant l’ensemble du génome viral. Mais ces fragments sont sélectionnés par algorithme, filtrage et »subjectivité scientifique« . 

      Il faut bien comprendre que ces génomes ne sont rien d’autre que des constructions bio informatiques »intellectuelles« , parce que les chercheurs ont une »idée préconçue« , à partir d’un génome existant, obtenu antérieurement de la même façon (raisonnement circulaire). Les variants peuvent donc naitre facilement de cette »subjectivité" du virologue. 


    • Legestr glaz Legestr glaz 21 mai 22:48

      @pemile

      Mais mon « pov clown », les exosomes sont émis par les cellules, ils ne se « répliquent pas ».« Pov clown » ! 
      Quant aux « amorces », « pov clown », elles sont déterminées en fonction du génome « construit » de novo. Même un « pov clown » peut comprendre ça ! 

      La PCR est une excellente technique, mais elle ne trouve que ce qu’on lui demande de trouver. L’amorce est la « clé » de compréhension, même pour les « pov clown ». 


    • pemile pemile 21 mai 23:12

      @Legestr glaz « les exosomes sont émis par les cellules, ils ne se « répliquent pas » »

      Donc rien à voir avec les virus, qui eux se répliquent, pov clown ?

      « Quant aux « amorces », « pov clown », elles sont déterminées en fonction du génome « construit » de novo. »

      Ben non, elles le sont après séquençages

      « La PCR est une excellente technique, mais elle ne trouve que ce qu’on lui demande de trouver. »

      Eh oui, et si la séquence de virus recherchée n’est pas présente, tu as ton contrôle négatif !


    • pemile pemile 21 mai 23:19

      @Legestr glaz «  Il faut bien comprendre que ces génomes ne sont rien d’autre que des constructions bio informatiques »intellectuelles«  »

      Et pour nier l’existence des virus tu es obligé de nier la validité des techniques de séquençages ! smiley


    • Legestr glaz Legestr glaz 21 mai 23:58

      @pemile

      Mais qu’il est lourd ! Le séquençage de « quoi » pemile ? Qu’est-ce qui est « séquencé » ? Les fragments découverts ou pas ? Lorsqu’on parle de séquençage d’un virus, d’un génome, ou même d’un organisme, on isole de l’ARN ou de l’ADN sous forme de fragments, et on séquence ces fragments individuellement.
      Le séquençage ne « voit » jamais un génome complet d’un seul coup. Jamais ! Il voit des morceaux, qu’il faut recomposerCette recomposition implique des choix, des hypothèses, assistés par des algorithmes.

      Quand on dit « on a séquencé le virus X », on veut dire, en réalité : « on a obtenu un grand nombre de fragments, qu’on a analysés et assemblés de manière à produire une hypothèse cohérente de séquence génomique ».

      Mais qu’il est lourd ! D’où viennent ces fragments ? Allez pemile : papier, crayon et au rapport !


    • Legestr glaz Legestr glaz 22 mai 00:02

      @pemile

      Mais quel merveilleux raisonnement circulaire : on dirait un virologue ! 

      Et puis ceci : « Eh oui, et si la séquence de virus recherchée n’est pas présente, tu as ton contrôle négatif ! ». Du grand guignol. Vous êtes au bout de votre vie !


    • Legestr glaz Legestr glaz 22 mai 07:19

      @pemile

      « L’évitement » ou le « bottage en touche » est une attitude « pemilienne » typique.

      Il est question des exosomes et de leur cargaison d’ARN et d’ADN, et pemile s’interroge sur les PCR et le séquençage ? Un tour de prestidigitation pour ne pas aborder le sujet « central ». Et le voici ce sujet central : 

       D’où viennent les fragments d’ARN et d’ADN que les chercheurs collectent pour les analyser ? Parce que, par « hypothèse », ces fragments sont attribués à du matériel « viral ». Mais est-ce le cas « vraiment » pemile ? Vous voyez, ici, il n’est pas question de PCR, de séquençage, ou de microscopie électronique ! 

       D’où viennent les fragments d’ARN et d’ADN que les chercheurs « isolent » et sur lesquels ils mènent « ensuite » leurs recherches (oui : séquençage, MET, PCR, comparaison avec d’autres « virus », protéine de référence, etc) ?

      « L’hypothèse » de la virologie c’est que si les cellules se désintègrent dans la culture qu’ils observent, c’est parce que des « virus » produisent cet effet cytopathique. Et les fragments d’ARN et d’ADN que l’on y retrouve proviennent du « matériel viral ». Il suffit donc « d’examiner » et « d’assembler » ce matériel viral pour « retrouver » le génome du « virus ». 

      Mais depuis 2007 la recherche scientifique « sait » que les cellules sous « stress » émettent dans leur environnement des exosomes et d’autant en quantité que le stress est important. Et dans une culture cellulaire « in vitro », le stress est particulièrement important avec la présence d’antibiotiques et d’agents chaotropiques. Par ailleurs, les cellules survivent écartées de leur milieu naturel de vie. Elles ne reçoivent plus leurs informations habituelles, ce qui provoque du « stress » pour elles.

      Ainsi, sous « stress », les cellules libèrent de grandes quantités d’exosomes lesquels transportent de l’ARN et de l’ADN. Il est donc « normal » de retrouver, dans la culture observée, ces fragments d’ARN et d’ADN, provenant des cellules sous stress. C’est le contraire qui serait « anormal » ! Mais les virologues, qui découvrent ces « fragments », les attribuent, sans sourciller, à du matériel viral. Et, ensuite, ils analysent ces fragments, procédant à leur séquençage et assemblent ces séquences pour former un génome « tout neuf », un « génome théorique », qui aura les caractéristiques des génomes déjà connus en terme de nombre de nucléotides. Par « hypothèse » ! 

      Je le répète : avant l’année 2007, le monde scientifique ignorait que les exosomes transportaient de l’ARN et de l’ADN en provenance des cellules. Les exosomes, jusqu’à cette date, étaient, certes connus, mais considérés comme des « débris cellulaires ». Ils revêtent, en réalité, un rôle « fondamental » dans le fonctionnement de l’organisme humain. Mais la « virologie » passe « sciemment » à côté du sujet. Comme le fait pemile. C’est le silence radio absolu sur les exosomes et leur cargaison d’ARN et d’ADN. Pour les virologues, cet ARN et cet ADN provient des « virus », pas des exosomes ! Parce que, si ces ARN et ADN proviennent des exosomes, c’est toute une autre histoire qu’ils racontent !


    • PaulAndréG (PàG) PaulAndréG (PàG) 22 mai 07:46

      @Legestr glaz

      .

      Legestr glaz cherche un vaccin contre le Whispovirus  smiley
      .
      Infection par le virus du syndrome des points blancs chez les crustacés

      .
      https://www.blv.admin.ch/blv/fr/home/tiere/tierseuchen/uebersicht-seuchen/alle-tierseuchen/virus-weisspuenktchenkrankheit-krebstiere.html
      .
      Le syndrome des points blancs affecte de nombreuses espèces de crevettes, de décapodes marcheurs (dont les écrevisses et les homards) et d’autres crustacés aquatiques.
      Les crevettes de la famille des pénéidés sont les plus touchées par le syndrome des points blancs. Elles présentent des points blancs dans l’exosquelette et peuvent prendre une coloration rougeâtre à rose. Les animaux infectés deviennent léthargiques, anorexiques et surprennent par un comportement de nage anormal. D’autres crustacés présentent des symptômes plus légers.
      .
      Contamination et propagation : L’agent infectieux est un virus du genre Whispovirus. smiley


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 22 mai 08:04

      @Legestr glaz
       
       ’’C’est le silence radio absolu sur les exosomes et leur cargaison d’ARN et d’ADN. Pour les virologues, cet ARN et cet ADN provient des « virus », pas des exosomes ! Parce que, si ces ARN et ADN proviennent des exosomes, c’est toute une autre histoire qu’ils racontent ! ’’
      >
       En effet, c’est toute la théorie des vaccins contre les virus qui s’écroule.
      Et avec la déconfiture des vaccins à ARNm, ce sont les juteux marchés industriels qui font pschitt et des actions Big Pharma qui ne valent plus rien.
       
       On comprend l’acharnement à défendre cette théorie au prix d’un obscurantisme scientifique assumé et imposé à grand renfort de publicité et de Com dont les budgets pour les big pharma représentent plusieurs fois celui de la recherche réduit lui, à la part congrue.


    • Legestr glaz Legestr glaz 22 mai 08:29

      @PaulAndréG (PàG)

       Vous devriez faire l’effort de lire ce que vous mettez en ligne.

      Avez vous été jusqu’au point de lire la fiche thématique pour savoir « comment » le virus était détecté ? Je vous laisse regarder ?

      Pour votre gouverne : 
      ... Le virus du syndrome des points blancs (WSSV) est actuellement un fléau majeur pour l’élevage mondial de crevettes. Nous avons déterminé la séquence complète du génome circulaire à ADN double brin du WSSV, qui contient 292 967 nucléotides englobant 184 cadres de lecture ouverts (ORF) majeurs. Seuls 6 % des ORF du WSSV ont des homologues présumés dans les bases de données, représentant principalement des gènes codant des enzymes pour le métabolisme des nucléotides, la réplication de l’ADN et la modification des protéines. Les ORF restants sont pour la plupart non attribués, à l’exception de cinq, qui codent des protéines structurales du virion. Les caractéristiques uniques du WSSV sont la présence d’un très long ORF de 18 234 nucléotides, de fonction inconnue, d’un ORF de type collagène et de neuf régions, dispersées le long du génome, chacune contenant un nombre variable de répétitions en tandem de 250 pb. Les informations collectives sur le WSSV et l’analyse phylogénétique de l’ADN polymérase virale suggèrent que le WSSV diffère profondément de tous les virus actuellement connus et qu’il est un représentant d’une nouvelle famille de virus.

      Vous aurez noté, j’espère, le fameux « raisonnement circulaire » ! 

      https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/11448154/


    • Legestr glaz Legestr glaz 22 mai 08:39

      @PaulAndréG (PàG)

      On identifie un génome comme viral en partie parce qu’il « ressemble » à d’autres génomes eux-mêmes présumés viraux.

      Mais ces autres génomes, ont eux-mêmes été reconstruits à partir d’échantillons complexes, jamais isolés physiquement sous forme de virions purifiés avec confirmation structurelle et infectieuse.

      Cela crée une chaîne de dépendance circulaire, ou plus précisément : un « réseau de validations croisées »entre des génomes jamais isolés physiquement mais déduits bio-informatiquement les uns à partir des autres.

      ... « Nous savons qu’un virus cause la maladie, car nous avons détecté son génome. Nous savons que ce génome est viral, car il est présent chez les malades. Donc ce virus cause la maladie. »

      Ce raisonnement manque de rupture logique indépendante— c’est une boucle fermée où la conclusion est déjà contenue dans les prémisses.


    • Legestr glaz Legestr glaz 22 mai 09:32

      @Francis, agnotologue

      Il faut simplement revenir aux travaux d’Antoine Bechamp. « Le terrain est tout ».

      En mettant en scène des « virus », la médecine s’exonère de rechercher les « véritables causes des maladies ».

      De nombreux chercheurs mettent en cause le rôle « fondamental » de l’endothélium vasculaire (et de son glycocalyx), le plus « grand organe du corps ». 

      La dégradation progressive de l’endothélium est le point de départ de pratiquement toutes les maladies civilisationnelles. Et cette dégradation est aussi à l’origine des maladies cardiorespiratoires en lien avec la pollution atmosphérique. Les alvéoles pulmonaires ne sont plus suffisamment protégées.

      En effet, l’endothélium vasculaire ( et son glycocalyx) joue des rôles biologiques fondamentaux. Loin d’être un simple « revêtement », il est une interface intelligente entre le sang et les tissus, qui régule : la perméabilité, l’inflammation, la coagulation, le tonus vasculaire, la communication cellulaire, la barrière contre les agents toxiques (dont les polluants atmosphériques).



    • pemile pemile 22 mai 09:59

      @Legestr glaz

      wiwi, tu tournes en rond car on en a déjà plus que discuté, quand il s’agit de médecine légale là tu es contraint d’en reconnaitre la validité pov’ clown !


    • pemile pemile 22 mai 10:06

      @Legestr glaz « Il est question des exosomes et de leur cargaison d’ARN et d’ADN, et pemile s’interroge sur les PCR et le séquençage ? »

      Ben oui, et de culture de virus, car c’est bien le fond de tes biais avec les exosomes pour vouloir nier l’existence des virus.

      X repetita, les « cargaisons » d’ARN et d’ADN des exosomes ont elles la capacité d’utiliser une cellule pour se multiplier et réagissent aux amorces de PCR ciblant des virus ?


    • pemile pemile 22 mai 10:10

      @Legestr glaz « On identifie un génome comme viral en partie parce qu’il « ressemble » à d’autres génomes eux-mêmes présumés viraux. »

      Et on construit l’arbre phylogénétique comme pour l’homme, on sait que nous partageons avec elle 70% de patrimoine génétique commun, et que toi tu dois avoir 99% des gènes de l’autruche ?


    • Legestr glaz Legestr glaz 22 mai 10:17

      @pemile

      Copié-collé : « X repetita, les « cargaisons » d’ARN et d’ADN des exosomes ont elles la capacité d’utiliser une cellule pour se multiplier et réagissent aux amorces de PCR ciblant des virus ? ».

      Le monsieur pemile doit être un peu dur de la feuille. Il est question de recueillir des fragments d’ARN ou d’ADN depuis le surnageant, lorsqu’il ne s’agit pas d’aller les chercher d’une manière intracellulaire. Il n’y a pas de PCR ici, pas à ce stade. Et la multiplication à l’intérieur de la cellule est une « hypothèse », comme la multiplication des pains par Jésus. On peut y croire. 

      La question centrale, pemile, est : d’où viennent les fragments d’ARN et d’ADN recueillis dans la culture et qui vont déterminer « tout le reste » ? Parce que les exosomes transportent des cargaisons d’ARN et d’ADN. 

      Alors « d’où » viennent ces fragments pemile ? Des exosomes ou de « virus » ? Pour les exosomes, nous sommes certains qu’ils proviennent des cellules en culture. Pour les « virus » c’est une simple hypothèse. Et oui !


    • pemile pemile 22 mai 10:29

      @pemile « avec elle »

      on sait que nous partageons avec les mouches 70% de patrimoine génétique commun


    • pemile pemile 22 mai 10:31

      @Legestr glaz «  Et la multiplication à l’intérieur de la cellule est une « hypothèse », comme la multiplication des pains par Jésus. »

      wiwi, et la terre est plate ! smiley


    • pemile pemile 22 mai 10:32

      @Legestr glaz « Alors « d’où » viennent ces fragments pemile ? Des exosomes ou de « virus » ? »

      Il suffit de les séquencer pour la savoir pov clown !


    • Legestr glaz Legestr glaz 22 mai 10:36

      @pemile

      Imaginons, pemile, un puzzle de 10 000 pièces représentant l’Angélus de Millet, très célèbre tableau.

      Ces pièces sont mélangées, jetées en l’air, puis on en ramasse 500 au hasard. En tentant de reconstituer une image avec ces pièces partielles, on pourra toujours obtenir quelque chose, mais ce ne sera ni fidèle, ni nécessairement représentatif de l’image d’origine. Cela pourra même produire une image cohérente mais artificielle, créée par l’interprétation humaine.

      C’est exactement ce qui se passe dans la génomique dite « virale » : on collecte des fragments d’ARN ou d’ADN issus d’un milieu biologique (culture cellulaire, fluide biologique, etc.) contenant une grande diversité de séquences nucléotidiques. Ces fragments proviennent de nombreuses sources : cellules lysées, noyaux détruits, ARN cellulaires normaux, exosomes (qui transportent naturellement de l’ARN et de l’ADN), et autres débris génétiques. Aucune origine virale démontrée de ces fragments n’est identifiée. Seule une hypothèse préalable guide leur interprétation comme étant « viraux ».

      Des algorithmes bioinformatiques assemblent ces fragments en une séquence continue artificielle, appelée « génome viral » alors qu’il ne s’agit en réalité que d’un produit d’assemblage hypothétique, souvent constitué à partir d’éléments d’origine indéterminée ou composite.

      Il est donc légitime de dire que les fragments qui participent à l’élaboration des « génomes viraux » pourraient en réalité inclure, ou même être dominés par des fragments d’origine exosomale ou cellulaire. Mais cette possibilité est écartée ou ignorée dans l’interprétation dominante.

      L’existence d’un agent viral autonome, possédant un génome propre et fonctionnel, est ainsi déduite a posteriori de cet assemblage, mais jamais observée directement.

      Il s’agit là d’un raisonnement circulaire, dans lequel l’existence du virus est impliquée dès le départ, puis confirmée par un processus qui n’en remet jamais l’hypothèse en question.



    • Legestr glaz Legestr glaz 22 mai 10:37

      @pemile

      « pov clown » n’a pas compris qu’avant de séquencer, il faut « découvrir » les fragments en question.

      « pov clown » comprend ?


    • pemile pemile 22 mai 10:45

      @Legestr glaz

      wiwi, pov’ clown, pour nier l’existence des virus te voila à nouveau obligé de nier la validité du séquençage en médecine légale !
      Looooooooooooooooooooo ! smiley


    • pemile pemile 22 mai 10:48

      @Legestr glaz « avant de séquencer, il faut « découvrir » les fragments en question. »

      Et pour la détection du Sars dans les eaux usés du réseau d’égouts on peut difficilement imaginer une « soupe » d’échantillons aussi « riche » ?


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