À propos...
À propos…
De Pervers et Narcisse.
Voilà que j’entame une entreprise ardue et hasardeuse : ma vision, et mon vécu, personnelle sur le harcèlement moral, et dans celle-ci que des faits que je n’ai jamais lus, ou peu, en tout cas jamais développés. Je vais tâcher de ne pas trahir l’intimité des uns ou des autres, et toute la hardiesse est là !
D’abord j’avais lu « Malaise dans le travail » de Marie-France Hirigoyen ; cela ne me concernait pas et je l’avais lu avec juste un petit bout de mon cerveau ; néanmoins cela m’avait mis la puce à l’oreille, peut-être y avait-il là quelque chose qui n’était pas seulement imputable à moi. Un an plus tard, j’ai lu son livre sur le harcèlement moral, et, après beaucoup de pages insignifiantes pour moi, tout à la fin elle fait le portrait robot du « pervers » et de sa « victime », c’était tellement juste que la chose fut posée ; j’étais loin d’être sortie de l’auberge mais mon premier réflexe fut de dire ça à tout le monde, puis, me ravisant, m’avisant de l’inanité de ce projet, je n’en dis rien. Ce que j’en ai lu depuis m’a toujours paru émanation d’un cerveau gauche déconnecté du réel et je n’arrive pas à comprendre la motivation des « chercheurs ».
Je n’arrive pas à comprendre non plus comment on peut baser ses études sur des « pervers »en HP, vu que la plupart d’entre eux n’ont aucune remise en question, qu’ils circulent dans une société dans laquelle ils se trouvent bien, avec une multitude de gens qui les trouvent formidables.
En introduction, je voudrais dire que les mots utilisés pour ce genre de relation, ne me conviennent pas du tout. Certes « narcissique » est incontournable mais il est là dans une dimension tellement unique et totale qu’il défie le narcissisme que l’on rencontre chaque jour chez bon nombre de nos contemporains. Mais soit, il est néanmoins juste ; « harcèlement » en revanche me gêne et je vais tout de suite expliquer pourquoi. Quant au concept de bourreau/victime, si j’en comprends bien la raison, je m’insurge contre cette définition qui se veut universelle et définitive, puisque, en matière de psyché, il y a forcément complémentarité, une relation se fait à deux, aussi, comment démêler le pile et la face d’une même pièce ?
C’est du bout des doigts que je vais employer « pervers », parce que je n’ai rien pour le remplacer, mais je ne parlerai pas de « harcèlement ».
Le « pervers » ne cherche pas une proie, il la rencontre inopinément ; cette proie est une personne qui, par son regard sur lui, par la réponse qu’elle donne au jeu qu’il veut mener, le déstabilise et le menace, et dont il se défend. Il le fait avec ses maigres moyens, mais ils ont beau être maigres, ils sont puissants. En face de lui, il a quelqu’un d’ignorant, innocent, naïf, qui ne connaît, donc ne repère pas la dangerosité de la situation ; il est menaçant à son corps défendant, en totale ignorance du danger qu’il représente. Et c’est mutuel ! C’est là que réside probablement tout le drame qui peut perdurer, que l’on appelle, plus ou moins justement, « emprise ». Il ne s’agit absolument pas de l’emprise d’un gourou sur un adepte d’une secte, parce que le regard sur l’autre, sur le « pervers » est toujours clairvoyant ; le « pervers » n’embarque pas l’autre comme un « passif » dans son univers, jusqu’à le perdre ; c’est une guerre qui se déclenche dans laquelle les armes du pervers sont écrasantes, tandis que la bonne foi, le bon sens de l’autre sont des coups d’épée dans l’eau qui le perdront.
À ce moment-là, il se passe quelque chose avec l’entourage du « couple » extrêmement important. Il y a plusieurs cas de figure, en général une hiérarchie, le « pervers » était situé au-dessus de l’autre, toujours. L’environnement humain, figurants ou spectateurs de l’histoire, donne toujours raison au « pervers ». Et c’est cette solitude, cette incompréhension, cette sidération même qui est le nœud du drame, je dirai, de l’exposé plutôt que victime. La folie qui menace et qui finit par emporter celui-ci,( c’est un neutre, pas un masculin parce que les deux sexes peuvent être exposés même si ce sont le plus souvent des femmes) tient à ce seul fait : ceux qui font partie de la scène sont partie prenante, et les extérieurs à elle, ne comprenant pas la gravité d’une situation que l’exposé n’arrive de toutes façons pas à décrire (comme si chaque essai de preuve ou d’exemple s’écrasait dans une vase de non-lieux) ont rarement d’aide à apporter, sauf un soutien affectif, en cas de harcèlement au travail. Aussi, le pouvoir laissé au « pervers » est le fait d’humains alentour, qui ne voient rien, et de toutes façons s’en foutent. La solitude gagne, de plus en plus douloureuse, et la folie, de fait, s’y greffe, puisque « l’exposé » n’a plus de repère, plus de sol sous ses pieds.
Je vous fais grâce des douleurs extrêmes que l’on peut vivre en pareille circonstance ; pour ma part six ans sans y avoir mis de mot, et six ans après avoir pu nommer « la chose ».
Le déchirure finale fut un éclatement physique et psychique, inscrit dans mon corps au point que quelques années plus tard un ostéopathe y a vu la marque qu’il a interprétée comme une crise d’épilepsie. La douleur éprouvée au moment de cette crise est indescriptible.
Les personnages.
Les deux cas que je connais d’assez près, hors le mien, concernent un maire vis à vis de sa secrétaire de mairie ; celle-ci ayant gardé l’appui dans sa famille, est passée de procès en procès, a eu quelques années de congés maladie et une psychothérapie payée. Malgré ces aides, elle a morflé, et s’est concocté un cancer quelques années plus tard.
Le deuxième, c’est un supérieur hiérarchique dans une structure de formation dépendant du rectorat ; le « pervers », après moult démarches et « preuves », a été muté. Dans ce cas, la psychothérapie a été aux frais de « l’exposée ». Mais elle a morflé, elle est morte quelques années plus tard d’un cancer.
Dans mon cas, c’est de mon propre chef que je suis allée voir une psychanalyste, malheureusement lacanienne, et si je reconnais n’avoir pas su « exposer mon cas », sa réponse fut fatale : « vous devriez essayer de gagner votre vie en faisant du rattrapage scolaire » ; ma tentative s’est arrêtée là, au bout de quelques séances.
Se démerder toute seule, ça me poursuit, mais je vous fais, là aussi, grâce de toute mon histoire.
Donc, les personnages :
Moi d’abord, et vite fait : une HPI/HPE, rebelle. Ceux qui, par hasard, me liraient et se trouveraient dans ce cas, savent que cela n’est pas une définition de vantardise arrogante, mais bien l’aveu d’une vie de merde remplie de souffrances, aussi s’il me parvenait de la part du moindre commentateur, des lazzis, des attaques comme j’ai l’habitude d’en recevoir, je ne serais plus capable de revenir.
Un HPI/HPE n’a pas d’ego, au sens commun du terme ; il ne ramène rien à soi mais s’oublie toujours pour l’Autre ( avec une majuscule car il ne s’agit pas toujours d’un individu) ; le « pervers » au contraire n’a que ça, « moi », il ramène tout, toujours à lui, de quoi que ce soit qu’il parle. Voilà donc, d’emblée, un couple parfait dans sa complémentarité ! Seulement, le pervers ne sait pas, n’analyse pas qu’il est ainsi, et si l’autre fait cette rencontre avant d’avoir pris conscience de sa spécificité, le jeu est pipé dès le départ.
Lui est un homme du pays, un éleveur qui n’a pas laissé l’once d’une spiritualité ou d’une intellectualité encombrer son esprit ; ce n’est pas pour cette raison qu’il manque d’intelligence, celle-ci étant attention, réception, mémoire, tout ce dont il a besoin pour traverser le monde en roi. Avec ce petit plus qu’il ne l’affiche pas, ne fanfaronne pas, parle fort quand il exerce son autorité, mais bas dans les lieux publics. Comme il sait à peine lire et écrire, - il a passé son enfance à avoir peur, ce qui n’aide pas la capacité d’apprendre, mais, en plus, il avait une institutrice particulièrement incompétente, c’est de notoriété publique- il sait demander de l’aide sans passer pour un con ; c’est un séducteur qui sait tourner les choses pour obtenir à peu près tout ce qu’il veut ou dont il a besoin. Il a une mémoire phénoménale, des situations, des lieux et des visages et se montre en cela épatant. Je suppose que les autres « pervers » possèdent et montrent ce type ( ou autres) de qualités car, s’ils ont eu droit à une instruction correcte, ils se trouvent toujours à un échelon de la hiérarchie où il y a des inférieurs. Lui était maître en son royaume, qu’il avait construit de ses mains. Quant à son histoire, je pense ne rien trahir en disant qu’il est le cadet de quatre fils d’un père dont la violence était légendaire. L’aîné s’en est sorti, si on peut appeler ça comme ça, en s’autorisant la haine du père, les deux suivant ont vécu leur mort intérieure comme ils ont pu, le premier assez mal en trouvant une femme que je qualifierais, pour faire court, de perverse narcissique, et a fini par se suicider ; le second en rétrécissant son espace à sa famille dont sa femme qui savait se défendre et lui lançait : « dis, tu ne vas pas faire avec moi comme ton père avec ta mère ! » à l’occasion ; il est resté très introverti et grincheux. Le cadet, en épousant le père, l’adulant et l’imitant pour se construire. Il est un enfant brisé, et a construit par dessus, par imitation, toute une série d’attitudes et de mots, pour paraître et être apprécié, à défaut d’être. C’est pourquoi il s’arrange pour ne pas fréquenter les mêmes gens très longtemps, ne pas leur laisser le temps de le démasquer ; quand il sent le moment venu, il devient détestable, et les gens s’en vont. Si je me suis incrustée, ce n’était pas pour lui mais pour son métier, ce mode de vie, les bêtes ; j’avais la vista, et l’habitude d’exceller dans ce qui me passionnait, je devenais menaçante oh combien, et m’évertuais à le rassurer : je ne voulais rien lui prendre, j’ai horreur du monde, des projecteurs et ne cherchais sûrement pas une reconnaissance là !! C’est pourquoi j’ai tout à fait pris conscience de ma participation active dans cette « relation ». Mais j’ai compris qu’il s’agit du même ordre de chose dans les autres cas.
Je sais beaucoup de choses sur cette famille, par l’aîné, qui était marqué du sceau du père, mais très fin, et qui lisait beaucoup. C’est par lui que je sais, quelque chose que je livre et qui est indiscret mais qui peut intéresser ceux qui sont impliqués, de quelque manière, dans ce sujet. On m’a dit : il a failli mourir juste après sa naissance ; vue la santé du bonhomme et aucune explication à ça, mon extrapolation fut immédiate : la mère a voulu le tuer. Il faut comprendre qu’il était le quatrième, et qu’elle subissait, oh combien, aussi la violence du bonhomme. Mais cela ne l’a pas empêchée de l’aimer ; et cela n’est que mon interprétation. J’en connais une autre qui a voulu se jeter dans le puits quand elle s’est sue enceinte pour la troisième fois, et ce bébé devint l’enfant qu’elle a le plus choyé !Il faut dire que celui-ci avait failli mourir dès la naissance et qu’il a fallu l’audace du médecin de service pour lui faire une transfusion par la fontanelle, ce qui était quasi une première à l’époque. J’ai pensé que ce n’était pas un hasard, à cause de l’embryon la mère voulait mourir, l’embryon à maturité a voulu mourir. Mais la mère l’a sauvé.
Ceci étant posé, avant de mettre un nom sur ce que je vivais, j’avais compris, et le lui avais dit, qu’il me faisait vivre ce que son père lui avait fait vivre. Dans la fratrie, il n’y a que l’aîné qui dénonçait le père ; les autres n’en parlaient jamais, et le cadet l’encensait.
Et quand je dis « mettre un nom », je n’arrive pas encore à le trouver. Il est peut-être des épreuves initiatiques qu’il nous est donné de vivre, faire perdre une course éperdue à la recherche d’une place normale, normalement confortable, acceptée dans une société donnée, mais peut-être et surtout, en ce qui me concerne, vivre ma passion. L’apothéose d’un échec fatal pour comprendre que la vie normale n’est pas faite pour soi. C’est en tout cas la leçon que j’en ai tirée après des années où je sentais la mort imminente puisque je ne savais plus vivre, des années où j’ai vaguement fonctionné en ayant perdu le goût de tout et, surtout, mon don avec les chevaux. Ils moururent les uns après les autres laissant un vide comme un abîme que je ne me sentais pas capable de remonter. Je crois qu’aujourd’hui j’accepte juste de vivre au fond, pensant que c’est quand même une vie, et comme le royaume des hommes ne me sied guère, je me complais à user mon énergie renaissante dans celui de la campagne, des chevaux, un qui me reste, et deux nouveaux, et dans le labeur. Mon objectif, mon but, est de retrouver ma parfaite osmose avec mes équins. Quand on a tout perdu, le peu qui reste est un trésor, et je ne dis pas cela la larme à l’œil, je suis sûre d’être dans le vrai.
Lui n’a plus de royaume, il n’est plus roi, il donne des coups de mains à des gens bien, donne des airs de fête pour ceux qui veulent, change de logis tous les six mois, erre. Je ne crois pas qu’il trouvera où se poser. Il a calmé une ère de paranoïa qui l’a fait tout vendre, jusqu’au moindre souvenir, et craint la vieillesse qui vient. Mais lui qui n’a jamais vu un médecin, n’a jamais pris le moindre cachet, se porte comme un charme, quasi la même puissance et la même énergie, on se demande ce qui le fera tomber. Peut-être ne plus trouver de miroir.
Il est des vies qui paraissent paranormales aux autres normaux, mais quand on plonge dans la psyché, tout est acceptable, nous ne sommes rien, quasi tous logés à la même enseigne. Nous avons un mince espace de libre-arbitre quelles que soient les données au départ. Certes, l’amour façonne des êtres sains, aptes à faire face sans tricherie, et son manque, des jongleurs qui semblent défier la vie. Oui, tout est acceptable car tout existe et il est inconcevable de ne pas admettre l’existant. J’ai passé des années à écouter, à entendre les autres, et j’ai vu peu de cas sans anomalies.
En ce qui concerne mon histoire, j’ai mis des années à l’écrire ; je l’ai envoyée à un éditeur. Un des lecteurs de la maison m’a répondu et m’a fait des critiques, fort justes. Je les ai prises au sérieux, et j’ai tout recommencé. Un ou deux ans plus tard, je lui ai renvoyé l’ouvrage, en le nommant, à cette maison d’édition. Il m’a été renvoyé par retour de courrier sans avoir été ouvert : il n’y travaillait plus.
Pendant longtemps, j’ai pensé qu’être éditée était le summum, pour quelqu’un comme moi c’eut été une reconnaissance, une mise à niveau. Et puis, la vie se vivant, j’ai complètement changé, je n’en ai plus rien à faire mais ça ne m’empêchera pas d’écrire, j’ai mille choses qui me taraudent et qui sont mûres à être déposées.
Le monde des hommes n’est plus pour moi, dieu sait que j’en ai rêvé et que toutes mes actions étaient mues dans ce but !!
1072 réactions
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Aita Pea Pea
20 mars 2018 21:54
@alinea S’allonger sur l’herbe et regarder le ciel de Django : poésie de « nuages ».
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Aita Pea Pea
20 mars 2018 23:10
@alinea Merci .Un gars de par chez moi ...un concert de lui dans les années 80 ,sous les remparts de Montreuil-sur-Mer,une claque musicale...et du très bon shit ...lol
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Aita Pea Pea
20 mars 2018 23:39
@pemile Pas avec Magma Faudrait que je réécoute ce groupe aujourd’hui,a l’époque j’avais du mal ...bonne idée. Comme Zappa d’ailleurs.
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Aita Pea Pea
21 mars 2018 00:09
@arthes L’essentiel est que nous ayons toujours nôtre splendeur d’enterrement de première classe . HFT je le vois en octobre à Lille .places prises.
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Mélusine ou la Robe de Saphir.
21 mars 2018 16:11
Alinéa : CADEAU.....https://www.youtube.com/watch?v=1MjdrQPu6cg
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alinea
21 mars 2018 21:36
@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Le monde est beau. L’homme le voit. Il le montre. Il y met sa patte, c’est touchant.
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Mélusine ou la Robe de Saphir.
22 mars 2018 15:26
Si j’affirme mon EGO, c’est aussi parce que je n’aime pas beaucoup ces échanges sous l’anonymat qui permettent l’invasion trollesque et malveillante. Cela donne de la consistance à ma personne évitant ainsi les « échanges » zombies,...Mais malgré tout, étant donné la raison de ma bataille contre la PMA et la GPA, je dois rester anonyme.
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kalachnikov
22 mars 2018 15:32
@ Mélusine ou la Robe de Saphir.
Vous venez sauver le monde ? Avec vos petits bras, c’est bien téméraire. Et deux pichenettes d’un kalachnikov, vous voilà déjà à vous plaindre de vos hématomes. Qu’est-ce ue ça va être quand vous allez tomber sur des fauves ?
Retournez à votre tricot, mémère.
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Mélusine ou la Robe de Saphir.
22 mars 2018 15:37
@kalachnikov
J’ai travaillé aves une classe de djihadiste, tu vois, sortis de taules, le canif dans la poche doirte, le shit dans la gauche, et cerains avec des regards d’assasins prêts à sauter sur cette blonde qui en plus était avec un juif,... 5bon d’accord, le boss) veillait (de très lons). Alors tes kalach tu peux toujours y allez et avec la totale comme munition. Quel orgasme fatal,.... -
kalachnikov
22 mars 2018 15:39
@ Mélusine ou la Robe de Saphir.
Vous êtes bouchée ? Je veux pas, arrêtez de vous frotter comme ça contre moi, c’est indécent.
Ps 08 52 10 21 20
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Gollum
22 mars 2018 15:47
@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Mais malgré tout, étant donné la raison de ma bataille contre la PMA et la GPA, je dois rester anonyme.C’est sûr que vu l’importance colossale de votre personne vous risquez gros en effet.Par contre pour l’anonymat c’est raté. Narcissisme oblige. Signé : un pervers narcissique. -
Ouam
22 mars 2018 16:19
@Kalach :
« ...Vous êtes bouchée ? Je veux pas, arrêtez de vous frotter comme ça contre moi, c’est indécent.... »
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Mélusine ou la Robe de Saphir.
22 mars 2018 15:48
Bon le fautes : @kalachnikov
J’ai travaillé aves une classe de djihadistes, tu vois, sortis de taules, le canif dans la poche dorite, le shit dans la gauche, et certains avec des regards d’assasins prêts à sauter sur cette blonde qui en plus était avec un juif,... (bon d’accord, le boss) veillait (de très loins). Alors tes kalach tu peux toujours y allez et avec la totale comme munition. Quel orgasme fatal,....J’ai connu un type dans ton genre. Il ma même dit pour faire monter l’adrélanine testostéronique : j’aurais pu devenir Dutroux,... Il s’est peint en assasssin et couché sur une tombé. Notre rencontre fut un duel de choc. Quand j’ai entendu lparler de la mort de Marie, je me suis dites, cela ne te rappelle-t-il pas de « bons » souvenirs. Sauf que comme Marie, je n’étais pas suicidaire, le type, je l’ai mis K.O. Expérience tres enrichissante. Danser avec la mort,... Après on se dit : mais que la vie est belle,....-
kalachnikov
22 mars 2018 15:52
@ Mélusine ou la Robe de Saphir.
Vous êtes blonde, je ne suis pas étonné.
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Ouam
22 mars 2018 16:31
@kalachnikov
Pas en avance sur ce coup la ...
Rahan...4 en moins ...et... plus court...
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alinea
22 mars 2018 21:27
@Xenozoid
Les PN qui savent écrire,une vraie plaie ; il a pourri l’ambiance, n’empêche ! et tout le monde accourt ! -
kalachnikov
22 mars 2018 21:50
@ Xenozoid
V’la autre chose. Encore un film agoravoxien. Entre disciples de l’Etienne, quoi de plus logique ?
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alinea
22 mars 2018 21:52
@kalachnikov
Bon,trois cents commentaires, nous v’la partis dans les commentaires codés, shawford est chaud ; c’est qui les tiennes ? -
Shawford
22 mars 2018 22:10
@alinea
t’as l’œil la super mustang ! ^^
En l’occurrence ici, il est juste question d’une vraie tranche de vie du jour dans le sarladais qui répond pile poil à l’illustre personnage que cite Xeno.
...Et comme j’adore les synchronicités quand elles sont patantes à défaut d’être forcement signifiantes...
Ps : pour râ y’a que les vrai(e)s mélodistes d’AV qui peuvent capter, mais j’y ai suffisamment causé par ici pour que bon nombre sachent à qui je fais prosaïquement référence.
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kalachnikov
22 mars 2018 22:24
@ Xenozoid
Quoi, le benêt sympatoche, qui s’en méfierait ? C’est un rôle comme un autre, non ?
En attendant, il a attiré l’attention, c’est bien. Le voilà au centre de la pièce, sous le projecteur. J’espère qu’il est content.
Faut pas jouer au petit juge quand on a le cul rouge.
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alinea
22 mars 2018 21:49
@Xenozoid
Oui, c’est exactement ça ; une presse de caniveau qui pue le scandale à trois balles et qui attirent les commentaires haineux ; beurk. Et je dis ça, j’y suis allée deux fois, tout au début -
Shawford
22 mars 2018 22:16
@Xenozoid
Une pleine cargaison de dorades connes y fer livrée à la Haye si tu me dis quel autre pseudo tu supputes appartenir à Momoderatus ^^
steuplait, steuplait, steuplait
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Shawford
22 mars 2018 22:23
@Xenozoid
Dans tous les cas de figure je te ferai regurgiter ton super ducon, ducond !
...Que ce moi en U42 ou dans l’U007 de chez mon pote kalash !
(ps : si t’es si fort dans ton U0, vas y, snipe râ pour voir, si t’as des corones ^^ )
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Shawford
22 mars 2018 22:40
@Xenozoid
Si señor !
L’histoire de besoin ou pas je l’entends bien, œuf corse...
... mais c’est inefficient vis à vis de moi, jusqu’à preuve du contraire d’un seul autre cas en dehors de moi en capacité de te virer de son propre Univers...
...mais je vais pas te refaire le pitch pour la 1000eme fois, blaireau
^^ -
kalachnikov
22 mars 2018 22:43
@ Xenozoid
Qu’est-ce que ça peut faire les multi pseudos ? Ca signifie quoi cette exigence de franchise ?
Je te demande vu que tu ramènes toujours ça sur le tapis. Perso, je n’ai pas d’autre compte, je pense que j’aurais du mal à me cacher, mais je m’en moque comme d’une guigne que truc ait plein de comptes.
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kalachnikov
22 mars 2018 22:57
@ alinea
Tu causes à quelqu’un, toi ? Ou tu te figures causer à quelqu’un ?
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alinea
22 mars 2018 23:11
@kalachnikov
Je m’adresse à quelqu’un ; si ça tombe dans le vide, ce n’est pas de mon fait, pour moi, c’est important -
kalachnikov
22 mars 2018 23:16
@ alinea
T’es en demande. Il y a des types qui insconciemment et très rarement consciemment sont aux aguets.
On a eu une correspondance toi et moi genre deux âmes se trouvent puis qui a cessé. Combien de désillusionnements de ce genre ?
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alinea
22 mars 2018 23:55
@kalachnikov
carpe diem, aucune illusion ni désillusion ; des bons moments,un mot, une pensée qui ouvre l’esprit, et puis, son lot d’invectives, d’incompréhension... s’il n’y a pas d’équilibre, adieu va ; sinon... oui ! mais la vie est comme ça, en tout cas celle qui n’est pas dans l’action ; dans l’action, tout dépend de soi, alors c’est très bien, mais on peut avoir envie de discuter d’autres choses, et pour ma part, je n’y fais pas preuve de mauvaise humeur ou de défoulement ; quand j’en ai besoin, je le fais ailleurs ! -
kalachnikov
24 mars 2018 22:09
@ alinea
Ok. Je surinterprétai sans doute en me disant que lorsque tu me dis ’t’es vraiment devenu con’, etc, c’est la Femme blessée qui parlait.
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alinea
24 mars 2018 22:32
@kalachnikov
Non, c’est une déception à la quelle je ne crois pas ; tu as beau arborer ta foutraquerie comme un étendard, tu ne peux pas changer le fond. Et quand tu quittes la foutraquerie pour la certitude, tu n’es pas convainquant non plus.
La première « qualité » du con, c’est de prendre les autres pour des cons, c’est vraiment à ça qu’on les reconnaît. Chacun a droit d’être con, par moments.... -
kalachnikov
24 mars 2018 22:49
@ alinea
Je suis en désaccord sur le fait que notre éloignement mutuel serait lié à la question de la politique, et au cas Mélenchon. C’est venu après, ça. Notre éloignement n’a pas de véritable raison, en fait, de la même façon que le rapprochement qui le précédait n’en avait pas davantage.
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alinea
24 mars 2018 22:59
@kalachnikov
mais je suis tout à fait d’accord avec ça ! sauf qu’il y a eu une raison « matérielle »,mais je t’assure que je m’en fous ; les échanges internet sont les échanges internet.
Seulement, après ton retrait de ce site, à ton retour, tu n’étais plus le même ; je ne parle pas de moi, mais de toi !!
mais va ! c’est toujours un peu piquant le refus de communiquer(! !), mais tu as trahi une fois qu’il restait un peu d’humanité en toi, à propos d’Erevan !
je dis ce que j’ai à dire sous un post, mais je n’en fais pas une messe ! je te dis la même chose que j’ai dite à Shawford plus haut. -
Shawford
25 mars 2018 00:05
@alinea
?????
Heu si je peux me permettre, où/quoi ça plus haut ?
Tu ne t’es pas adressée à moi du fil, en tout cas directement.
(Ou alors s’il faut supposer que tu ais pu pensé t’adresser à moi sous un autre pseudo, je te rassure et en tout cas te le garantis, je ne figure ici que sous ce seul et unique pseudo [mais je ne peux en rien te blâmer, c’est la rançon de « ma » « gloire »]
) -
alinea
25 mars 2018 00:15
@Shawford
en tout cas,je ne peux pas accéder à l’article quand je clique sur ton post que je reçois par mail ! il n’a pas le même format que les autres !
C’est que je te vois partout ? Ptêt ben !! tu as été si envahissant, et te voilà tout sage.. humhum
sur ce... je te souhaite de beaux rêves -
Shawford
25 mars 2018 00:19
@alinea
C’est normal, comme je suis un envahisseur j’ai la capacité à brouiller les ondes ! 
https://www.youtube.com/watch?v=dKQZfjn4WD4
Bissoir midame Allahlinea
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Shawford
25 mars 2018 11:19
@Self con troll
Je suis avant tout flatté de par la variable extensive et inclusive que tout cela engendre, dont acte a fortiori quand le coup de boum boum mon cœur boomerang est si prolixe et inspiré !
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Philippe VERGNES
25 mars 2018 11:45
@ Self con troll,
« Au passage, je signale à PV qui dénonce la surpêche que ça a commencé au paléolithique par la quasi disparition des sirènes. »Oui... j’avais bien noté... c’est bien pour cela que je me suis rabattu sur les amazones montant à cru leur joli (jolly) destrier sur une plage ensoleillée un soir d’été, mais voilà... celle que j’imaginais a brisé mes rêves. Si j’en crois son nouvel avatar, elle ne chevauche pas le même genre de monture que celle à laquelle je pensais !
Ps :Pour la surpêche pas trop... plutôt la sur-pollution. C’est encore plus grave malheureusement ! -
Shawford
25 mars 2018 12:06
@Self con troll
Hé hé, ce qui fait la spécificité et le charme de cette façon de procéder, c’est que cela place tout le monde sans exclusive dans une marre aux connards, dès lors tout et je dis bien tout dépend alors seulement de comment ils secouent leurs bas d’airain !
Bon appétit - et bon courage pour tes invités
^^ -
kalachnikov
25 mars 2018 13:50
@ alinea
Please, arrête de tordre les réalités élémentaires : je t’assure que c’était moi aux deux moments. En revanche, je t’ai déplu à un moment. Faut voir avec tes projections et ne pas essayer de me faire passer pour un méchant, comme si adonne l’autre gogole.
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kalachnikov
25 mars 2018 13:51
’comme s’y adonne’ : p***, ça me reprend que j’annrive plus à jacasser. Faut dire que maman cartonne en ce moment et balance la purée à donf.
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alinea
25 mars 2018 13:58
@kalachnikov
« ce n’est pas toi » ; est une expression populaire que tu dois connaître ?
pas en tout cas comme je t’ai rencontré sur les premiers fils.
le premier m’intéressait ; le deuxième , non. Pas de blême, rassure-toi ! -
kalachnikov
25 mars 2018 14:03
@ alinea
Si tu veux. J’attends ton prochain article. Pas marre de tourner en rond autour du caillou ?
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kalachnikov
25 mars 2018 14:05
Prochain article du même genre que celui-ci, voulais-je signifier.
Du reste, généralement, je m’abstiens, ayant fait exception ici. Pas envie de faire le derviche.
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alinea
25 mars 2018 14:10
@kalachnikov
La question n’est pas d’en avoir marre ou pas, le fait est.
je suis aussi scorpion, quand je nettoie je nettoie ; je prends le temps qu’il faut, mais quand c’est fini il n’y a plus la moindre scorie qui traîne.
pas l’usage du mouchoir sur les merdes dans ma poche. -
kalachnikov
25 mars 2018 14:35
@ alinea
Ah, c’est malin, l’autre perchée maintenant sait que je suis scorpion, ça va lui donner du grain à moudre pour continuer à tresser ma légende et déballer sans pudeur ses fantasmes.
P***, je me rêvais quand même une autre destinée que succédané de youporn pour fille frigide sur le retour.
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Shawford
25 mars 2018 18:55
@Xenozoid
Beh oui la question est toujours depuis 12 ans de s’en cacher ou pas (et ce du fait même que depuis 12 ans il y a absence de volonté et/ou impossibilité technique à annihiler cette possibilité des multi).
Or, est ce que je m’en cache ?
T’es terriblement lent à la détente, irrépressiblement obtu voir imparablement trivial.
Quand à oser parler elliptique qui serait de mon fait, c’est la meilleure ! ^^
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Shawford
25 mars 2018 19:05
@Xenozoid
OMG : soit !
Mais alors kesketufous encore là, toi ?
D’autant que Bruxelles, c’est quand même plus proche de La Haye que de chez moi. ^^
Alors ché pas, prend ton paquetage et va bouter AV hors du web, preux chevalier ! -
Shawford
25 mars 2018 19:25
@Xenozoid
Ben oui c’est clair pourtant :
- d’un côté t’as par exemple un Belin qui vient sniper avec un pseudo qui se veut incognito et qui fait tout pour essayer de le rester, puis qui vient comme si de rien n’était commenter avec un autre pseudo ou même en remettre une couche , par un autre biais.
- de l’autre ou en tout cas pour ma part, t’as l’utilisation de pseudos où je ne cache à personne que c’est bien moi Shawford qui suit derrière ou qui prend soin en tout cas de le révéler à ceux qui n’émargent pas à la première catégorie précitée.
Tu fais pas la différence ?
Tu veux pas faire la différence ?
Tu joues quand même les chevaliers blancs alors même que dans mon cas je pourrais parfaitement me contenter de mon pseudo Shawford dans des circonstances de la cause qui seraient autres ?C’est ta m... un tel confusionnisme me fait bien rire en tout cas
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JL
26 mars 2018 09:07
je remarque que arthes n’a pas utilisé le terme de rat : elle a utilisé une expression qui fait sens.
covadonga lui, a assimilé des personnes à des rats. ça ne vous rappelle rien ?
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Mélusine ou la Robe de Saphir.
24 mars 2018 14:56
Il serait intéressant d’écrire un article sur la différence entre l’intuition (au sens le plus noble) et simplement le flair (j’ai fait une excellente affaire,....). KABALEB dans ce sens me semble le mieux à même de répondre à cette question en croisant philosophie, et psychologie (Freud, Jung et Hermès)..
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JL
24 mars 2018 15:43
@JC_Lavau
gros QI, gros QE (E pour émotionnel).
Ces trucs-là ça devrait ça être comme les diseuses de bonne aventure : interdits ! En effet :
- Si le diagnostic (ou la prédiction) est bon la personne chope la grosse tête, et ça l’aide pas ;
- Si le diagnostic (ou la prédiction) est mauvais, la personne déprime.
Dans un cas comme dans l’autre le testeur ou la diseuse de bonne aventure aura renforcé son emprise sur les membres de la société. -
Philippe VERGNES
24 mars 2018 15:48
@ JC_Lavau,
RhoooOOO... pour maintenir un « pneu » le « suspens » : demander à alinea qui a utilisé la première ces différents sigles pour désigner en fait la même chose. (Je vous donne une info : les auteurs renommés pour décrire cette particularité de certains individus sont Jeanne Siaud-Facchin, Arielle Adda, Jean-Charles Terrassier, Christel Petitcollin, etc. mais mon préféré reste indiscutablement Kazimierz Dabrowski.) -
JC_Lavau
24 mars 2018 15:51
@JL. Toi tu serais bien capable de faire une B.A. avec le C.P. pour épater les V.P. dans la R.A.T.P.
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Shawford
24 mars 2018 15:56
@JL
Le « mal » du siècle voir de l’Univers tout entier, c’est selon -> ... tous les chemins mènent à/au Rome/moi !
^^^
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JL
24 mars 2018 17:44
@Shawford
j’avais bien compris.
@ JC_Lavau, les sigles ésotériques, c’est une chose. Les phrases sibyllines c’en est une autre. -
JC_Lavau
24 mars 2018 18:41
@JL. En p’tit scout :
B.A. = Bonne Action,C.P. = Chef de Patrouille,V.P. = Visages Pâles.RATP = RATP.A l’EducNat, il y a aussi profusion de sigles hermétiques. -
alinea
24 mars 2018 19:20
@JC_Lavau
Le synonyme de cela est : surdoué ! c’est littéralement con comme définition.
Moi aussi j’ai horreur de tous ces sigles à la con, mais en ce cas précis, et à défaut d’autre choix, je les préfère ! -
JC_Lavau
24 mars 2018 20:25
@Alinea. Mais quand on écrit sur un lieu public, on a quelques devoirs envers les lecteurs.
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alinea
24 mars 2018 20:48
@JC_Lavau
C’est une faute grave que j’ai faite : je pensais que cette manière de dénommer ces gens-là était connue. C’est vrai qu’on voit plus de vidéos sur agoraTV sur ce sujet que d’articles ici...
toutes mes excuses -
JC_Lavau
24 mars 2018 21:24
@alinea. En psycho de bazar, surtout féminine, on abuse de l’opposition cerveau-gauche-cerveau-droit. Cet engouement m’évoque irrésistiblement le journal de Mickey, avec Loulou, Riri et Fifi toujours victorieux du naïf Onc’Donald.
Ceux qui sur agovox abusent du raisonnement par insultes, ce sont de vrais « cerveau-droit », n’est ce pas ? Donc ils incarnent le bien ?
Cette psycho de bazar plaît aux femmes, car elle permet de mener la guerre civile contre les esprits analytiques. Ce n’est pas une motivation saine. Bien qu’addicte de la violence verbale et des engueulades à tout propos et hors de propos, m’Amie est bien contente de faire appel à l’esprit analytique de votre serviteur pour démêler ses ennuis informatiques et lui mettre en route son décodeur TV. -
alinea
24 mars 2018 21:28
@JC_Lavau
Écoutez Lavau, je ne suis pas le genre de femmes que vous décrivez abondamment , alors épargnez-moi s’il vous plaît. -
alinea
24 mars 2018 21:51
@JC_Lavau
Les surdoués sont les seuls à pouvoir utiliser tous leurs cerveaux en équilibre harmonieux ! parce qu’il y a aussi le cerveau primitif, et le ventre !
je ne sais pas ce qui vous chiffonne !
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Jean Keim
25 mars 2018 11:09
Dans la plupart des commentaires y compris les miens sûrement, il y a des dialogues de sourds du genre : tu connais le principe machin et l’interlocuteur répond et toi tu connais le précepte chose (je ne prends pas d’exemple précis pour ne vexer personne et ainsi éviter éventuellement le stress de rechercher une réplique spirituelle), ou encore : je te conseille de lire le livre x et l’autre rétorque en conseillant également la lecture de l’incontournable ouvrage y qui se trouve normalement dans sa bibliothèque... mais pas toujours.
Chacun, moi y compris sûrement, vient avec ses idées, pour les plus ouverts il y a qq concessions sur la pertinence de ce que l’autre allègue, mais finalement le but est de montrer combien ou est cultivé, spirituel, évolué, on en profite pour glisser qq qualités qui sont intrinsèquement dans notre personnalité... et on repart avec ses idées à peine égratignées... mais que cache réellement toute cette agitation ?
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Shawford
25 mars 2018 11:14
@Jean Keim
une question de déliaison pour les uns, une question de confiture pour d’autres !
Péniblement votre !
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Philippe VERGNES
25 mars 2018 11:32
@ Jean Keim,
« ... mais que cache réellement toute cette agitation ? »Voilà bien un questionnement judicieux et pertinent, car cette « agitation » qui s’agite de plus en plus prend des proportions inquiétantes qui vont bien au-delà de ce que vous énoncez. Ce qui témoigne à mon sens d’une crise, au sens étymologique du terme, vraiment profonde.Crise vient du grec krisis qui signifie : 1.Action de décider, décision. 2. Ce qui est décidé, jugement, issue, dénouement, résultat. 3. Action de séparer, dissentiment, contestation.Et cette crise est une crise de civilisation qu’inconsciemment, pour partie, et/ou plus ou moins consciemment nous ressentons tous... chacun y apportant sa solution personnelle, soit dans un jeu de pouvoir, c’est-à-dire en cherchant à l’imposer, soit en coopération, c-à-d en cherchant à en discuter. Pour le coup et malheureusement, ces deux positions sont inconciliables, car l’une même à la dictature, l’autre à la démocratie. Or, comment, en ces temps de crise, réagir face à des dictateurs autrement que par des « actes » à hauteur de leur velléité offensive pour imposer leur pouvoir (leurs idées, leur solution, etc.) ? -
JL
25 mars 2018 12:12
@Jean Keim
singer les personnes authentiques discrédite toujours un peu ces personnes. Pas besoin ici d’aller chercher bien loin un bel exemple de singerie.
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kalachnikov
25 mars 2018 13:24
Dix keusses sur le tapis que ce constat désabusé ne vous empêchera pas de vous adonner again à la partouze.
Oh, et puis soyons large, dix keusses encore sur le tapis que la peinturlure Kultur vous permettra de bien tourner encore en rond, les derviches. Et patapon.
’Et je les vois remplir d’objets
Leurs maisons et leurs cerveaux vidés’Commençons par le début, les généalogistes, comment qu’il a été vidé le machin...
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