jeudi 31 octobre 2013 - par le moine du côté obscur

Le racisme

« Noir » de peau, je me suis intéressé très tôt à la question du racisme. Petit, j’ai regardé la série « racines » (http://fr.wikipedia.org/wiki/Racines_%28mini-s%C3%A9rie%29) qui traitait de l’histoire de la famille de cet africain subsaharien (Kunta Kinte) arraché à son Afrique natale. Bien sûr j’ai lu beaucoup de textes sur la traite négrière qui fut un drame épouvantable même si je le considère comme quelque chose de passé. J’avais une vision triviale du racisme. Les blancs n’aimaient pas les noirs en qui ils voyaient des sous-humains et c’était tout. Même si cela est vrai dans certains cas, j’ai par la suite compris que le racisme était sans aucun doute la chose la plus répandue au monde. Partout où j’ai été, j’ai vu le racisme même entre personnes de la même couleur de peau. J’ai vu même que pas mal d’ethnies se croyaient supérieures aux autres pour x ou y raison. Et je crains malheureusement que ce mal ne soit jamais éradiqué.

Personnellement si je ne crois pas en l’existence des races humaines, j’accepte l’idée qu’il y a plusieurs groupes distincts (tant physiologiquement que culturellement) et pour certaines raisons incompatibles. Des groupes qui ont parfois des croyances tellement éloignées qu’il serait suicidaire d’essayer de les faire cohabiter ensemble de force. Mais je ne nie pas qu’il y a des gens intelligents qui voient au de là des différences, ce que nous avons en commun. Mais combien sont-ils ? Le racisme est basé souvent sur des idées reçues, des préjugés, l’ignorance mais aussi sans aucun doute sur des mythes ou quelques fois des histoires du passé. Ainsi je trouve insupportable ce racisme « anti-blanc » bien réel de certains africains qui espèrent faire payer cette génération ci pour des crimes commis dans le passé. Je ne suis pas pour que les fautes des parents retombent sur leurs enfants, car avec un tel raisonnement ce serait la guerre sans fin. Et j’en ai assez que certains utilisent des souffrances réelles (traites négrières, souffrances de certains peuples pendant les guerres) pour réclamer des sous ou certains passe-droits. Le passé devrait rester le passé. Nous devrions en tirer des leçons mais ne pas créer d’autres frustrations qui pourraient être causes de violences et de chaos dans le futur. Si on devait revenir sur les crimes de chaque peuple dans le passé et bien on ne s’en sortirait pas. Traiter avec le présent est suffisamment compliqué comme cela. Mais j’ai l’impression que le racisme sert à certains leaders pour augmenter la cohésion d’une communauté dans des buts souvent ignobles.

Quand j’observe comment certaines communautés se comportent ça m’amuse et m’agace en même temps. J’observe cela chez certaines communautés religieuses notamment qui ont un mépris à peine voilée pour les « non croyants ». Ces communautés ont l’impression d’être bénies et au dessus des autres. Nous avons des musulmans tout heureux quand quelqu’un rejoint leur communauté, mais prêts à occire celui qui se retire de la « oumma » ou communauté des croyants. J’ai ainsi vu ma tante musulmane « fervente » vouloir occire sa fille qui est devenue chrétienne et a même épousé un pasteur (soit dit en passant ex-musulman lui aussi). Ainsi elle était prête à tuer l’enfant qu’elle a porté 9 mois durant, parce que celle-ci de par son choix de vie est devenue « abominable », à ses yeux. Un tel comportement je l’assimile à de la folie ! Mais il est assez courant, malheureusement ! Nous avons la violence de certains évangéliques qui considèrent les gens qui ne sont pas des leurs comme des « démons ». A-t-on besoin d’en arriver là pour « souder » ces communautés ? Manifestement oui. Ces communautés se basent sur une croyance qui si elle est remise en cause, ébranlerait la cohésion de celles-ci. Il faut donc imposer la croyance, par la force si nécessaire, notamment en conditionnant l’enfant en bas âge. Je le dis souvent, les religions en tant qu’organisations humaines sont des sectes qui ont réussi. Alors elles se doivent de mépriser les autres communautés qui sont une menace pour leur existence. Il ne faut pas que ces autres communautés puissent apparaître comme attrayantes aux yeux de leurs membres. Alors il faut déshumaniser au maximum les autres. Ainsi on voit certains intégristes musulmans ne pas hésiter à appeler à la mort de l’infidèle (cet être vil et repoussant dans leur imaginaire) ou à la conversion forcée. Comme si la conversion forcée était quelle chose de valide ! Moi par contre je suis attiré par ce qui est différent, car ça m’intrigue et j’ai la certitude que je peux apprendre de l’autre.

Qu’y a-t-il de plus ennuyeux de discuter avec des gens qui ont exactement les mêmes idées que vous ? Moi j’aurais l’impression de me parler à moi-même ! Mais il faut croire que beaucoup de gens se sentent plus en sécurité avec ceux qui leur ressemblent. Et moi si vous n’arrivez pas à me convaincre de la pertinence de vos idées, je ne vous écouterais pas ! Alors quand on me dit que tels groupes ou tels groupes, nous sont inférieurs j’aimerais que l’on m’apporte la preuve par 1+1 = 2. Des abrutis j’en ai vu dans toutes les ethnies, comme des gens intelligents. Je pense que si l’arc en ciel est beau à cause de toutes ces couleurs, l’humanité, elle, est belle à cause de sa diversité. Dans mon entendement, il faut apprendre à connaître l’autre pour le comprendre et même dans le meilleur des cas l’apprécier. Bien sûr il y a des pratiques qui me révulsent chez certains peuples mais qui suis-je pour avoir le droit finalement de les juger et de leur imposer mon point de vue ? Mais le monde est malheureusement rempli de groupes qui se croyant supérieurs essaient en permanence d’imposer leur point de vue. D’autres étant chez eux ne veulent pas se faire « envahir » par les étrangers. Le racisme des russes est sans doute à percevoir comme cela. Certains craignent de disparaître s’ils s’ouvrent au métissage, c’est clair. D’ailleurs ce qui m’a stupéfié la dernière fois que je suis allé en France, c’était le nombre de couples mixtes ayant donc des enfants métis. Donc je pense que dans quelques décennies le métis sera la « race » dominante en France. Sans doute est-ce cette réalité quasi-inéluctable qui effraie des personnes comme Le Pen dont je comprends paradoxalement certaines des positions. Mais je pense que le métissage est quelque chose d’inévitable.

Vu l’évolution de la technologie et l’augmentation des échanges c’est inéluctable. Alors certaines communautés deviendront plus violentes pour se protéger ou pour se propager (les deux cas de figure étant plus que probables). Et les communautés les plus faibles risquent de disparaître. Le visage du monde va changer, c’est une certitude mathématique. On risque de voir des cohabitions difficiles et plus de conflits. Je pense que l’avenir n’est probablement pas rose dans bien des cas et que le racisme de certains va augmenter et c’est déjà le cas. J’ai vécu au Maroc pratiquement 8 ans et j’y ai vu des marocains devenir plus racistes notamment envers les africains noirs. Dans certains cas ils avaient raison car mes frères africains noirs (de plus en plus nombreux là-bas) sont particulièrement emmerdants parfois. Ils n’arrivent pas à se faire à l’idée qu’ils ne sont pas chez eux et feraient mieux d’être discrets. J’ai vu beaucoup de couples mixtes et cela contrariait pas mal de marocains. De toute façon comme l’huile et l’eau, il y a des mélanges qui ne prennent pas. Si l’évolution des choses veut que le métissage soit l’avenir de l’humanité, ça se fera avec plus de violences et de rejets. Toute lumière est accompagnée inéluctablement de sa part de ténèbres. Maintenant il reste que le métis sera sans doute la race dominante, pratiquement une « nouvelle » humanité. Car le métis n’est pas seulement le mélange de « deux races » au « plan génétique », mais ça peut être aussi le mélange de « deux races » au plan culturel et je m’explique.

Je suis africain noir mais j’ai été élevé pratiquement comme un européen. J’ai fréquenté un lycée français et par bien des aspects, je ne raisonne pas comme un africain noir. J’ai beaucoup voyagé au point d’avoir passé plus d’un tiers de ma vie à l’étranger. J’ai donc baigné dans de nombreuses cultures et je suis moi-même un métis puisque venant de parents d’ethnies et de religions différentes. Peut-être est-ce pour cela que je suis prédisposé à être quelqu’un de plus ouvert. Mais je crois qu’il y a de plus en plus de personnes comme moi, plus vraiment attachés aux coutumes de leurs ancêtres et « ouverts sur le monde ». De toute façon je ne suis pas ce que je ne comprends pas et/ou je n’aime pas. Je peux respecter les croyances des gens y compris des miens, mais je ne me sens pas obliger de les suivre. Je n’hésite d’ailleurs pas à critiquer violemment les miens quand ils font des choses qui ne me plaisent pas. Oui je le vois il y a plus de personnes comme moi et je me dis qu’une nouvelle humanité émerge. Une humanité différente peut-être pas meilleure, mais sans doute pas pire (j’ose l’espérer) que celle du passé. Je pense de toute façon qu’un nouvel équilibre sera trouvé et j’ai hâte de voir ça. Mais comme pour un enfantement ce sera particulièrement douloureux. Si cela se fait naturellement ça pourra sans doute « aller » au cas contraire je vois des guerres meurtrières.

 



89 réactions


  • Nicolas_M bibou1324 31 octobre 2013 11:16

    Merveilleuse analyse de la situation et vision du monde. Merci pour cet article plein de bon sens, bon sens absent chez tant de monde.


    • Pierre Régnier Pierre Régnier 1er novembre 2013 09:55

      Oui, il faut dire un grand merci au moine  »du côté obscur" pour cet article lumineux.

      Concernant le métissage comme inévitable avenir de l’humanité je ne sais, hélas, retrouver l’adresse électronique d’un article de Pierre-André Taguieff, lui aussi très éclairant sur le sujet : métissage, oui mais pas n’importe lequel, un métissage choisi, pas imposé par sottise idéologique « de gauche » ou de droite bien-pensante.

      A propos de la tante »fervente" musulmane qui veut occire sa fille devenue chrétienne, je vois en ce moment beaucoup de cas semblables dans ce livre qui vient de paraître :

      Des musulmans qui deviennent chrétiens de Moh-Christophe Bilek (éditions Qabel, août 2013)




  • Bulgroz 31 octobre 2013 11:22

    C’est vrai, il y a beaucoup de chansons anti-blancs en France.

    Un exemple : Mr Amer : Flirt avec le meurtre

    J’aimerais voir brûler Panam
    Au napalm sous les flammes
    Façon Vietnam
    Tandis que ceux de ton espèce galopent
    24 heures par jour et 7 jours sur 7,
    J’ai envie de dégainer sur des
    F.A.C.E.S D.E. C.R.A.I.E.
    Sur ce putain de pays,
    Me retirer ma carte d’Identité
    Avec laquelle je me suis plusieurs fois torché.


    • posteriori 2 novembre 2013 00:02

      Oué copain, mais msieur hamer si on votait ce soir, il risque pas d’être élu, 8 disques vendus dont 5 au comité de censure du fn, sacré public !


  • Bulgroz 31 octobre 2013 11:24

    Une autre chanson pour la route.

    Smala : Le meurtre Légal

    Quand l’macro prend l’micro,
    C’est pour niquer la France.
    Guerre raciale, guerre fatale,
    Œil pour œil, dent pour dent
    Organisation radicale
    Par tous les moyens, il faut leur niquer leur mère.
    Gouers c’est toi qui perd,
    Flippe pour ta femme, tes enfants , pour la race,
    On s’est installé ici
    C’est vous qu’on va mettre dehors.
    Crois-moi enculer maintenant tu vas dérouiller
    Le borgne est un des premiers sur la liste
    Décrété mis à prix par les gangs terroristes
    Une menace ma menace plane sur ta putain de face
    Flippe pour ta femme pour tes enfants pour ta race

    Refrain :
    La justice a dû modifier le code pénal
    Une seule balle pour chaque trou d’balle
    La justice a dû modifier le code pénal
    Il est maintenant question de meurtre légal
    Une seule balle pour chaque trou d’balle
    Il est maintenant question de meurtre légal
    Une seule balle pour chaque trou d’balle


    • bourrico6 31 octobre 2013 11:27

      Pssst, tu peux garder ta culture pour toi s’il te plait ?


    • Pere Plexe Pere Plexe 31 octobre 2013 17:45

      Si au moins cela pouvez vous convaincre, vous et quelques autres, que le racisme est con...


    • appoline appoline 31 octobre 2013 20:22

      Ouaip, ça c’est du texte effectivement, vous comprenez maintenant pourquoi il est grandement le temps de mettre en place une catapulte près de la Méditerranée ; car la majorité des émigrés pensent cela, c’est inquiétant. Ici à La Rochelle, petite ville de province dans certains quartiers, ça pue la haine et il ne faut pas se leurrer, s’ils étaient en position de force, eux n’hésiteraient pas à flinguer tous azimuts. Nous avons été bien trop laxistes avec l’immigration, il devient urgent de remettre les choses en place


    • Abou Antoun Abou Antoun 31 octobre 2013 11:48

      Pourquoi éprouvez-vous le besoins de parler de vous-même ?
      On ne parle jamais que de soi-même, même si on habille parfois le discours pour lui donner un caractère ’universel’. L’auteur a le mérite d’être clair, son témoignage est très lucide et très intéressant. Le texte est plein de bon sens car l’auteur est un homme cultivé qui a voyagé. On ne peut que regretter que toutes les personnes d’origine étrangère vivant en France aujourd’hui n’ait pas un point de vue similaire, les tensions disparaîtraient vite.


    • Cécile Andrieux 31 octobre 2013 11:57

      <<Vous semblez vouloir analyser une attitude mais en parlant de vous, vous sous-entendez que votre interprétation dépend de votre situation personnelle, ce qui n’a aucun sens.>>

      Je ne suis pas calée en analyses philosophiques, et je pense que l’auteur ne souhaitais pas pousser sa réflexion dans la théorie philosophique justement (mais je me trompe peut-être !)

      Je trouve tout à fait logique de prétendre que notre interprétation personnelle soit directement liée à notre situation personnelle. Peut-être n’est-ce pas l’idéal pour philosopher, mais on ne peut se détacher de ce que l’on a vécu, de ce que l’on vit et de ce que l’on est pour analyser le monde. Je trouve ça tout bêtement impossible à réaliser réellement.

      L’auteur dit avant tout une chose très vraie : que ce n’est pas parce que l’autre vit une situation différente de la mienne, et à une interprétation des choses différente de la mienne, qu’il a forcément tort, et que je ne peux pas essayer de le comprendre. Et même, ce n’est pas parce que je ne comprend pas sa façon d’être et de penser, qu’il est dans le « faux » et que je ne dois pas l’accepter.

      Accepter l’autre et ses différences, non pas comme une menace, mais comme la découverte d’un monde différent du mien, c’est, pour moi, la base du vivre ensemble.


    • le moine du côté obscur 31 octobre 2013 12:20

      En général j’essaie de parler de ce que j’ai vu, de ce que je vois et de ce que je ressens. Je ne peux analyser le monde qu’à travers mon « prisme mental ». J’essaie de chaque jour en apprendre car je me considère comme un ignorant. Ma démarche essaie (mais je ne suis pas parfait et je fais des erreurs) d’être prudente. Et puis j’ai très peu de certitudes dans le fond et je me critique très sévèrement. Je reconnais les nombreuses erreurs que j’ai faites pour en tirer les leçons et m’améliorer. Je n’ai jamais prétendu être un philosophe, je ne suis qu’un « con d’humain imparfait » qui n’analyse le monde qu’avec son savoir et son ressenti. Mais je crois qu’il faut être honnête et reconnaître ses limites. Et parler de ce que l’on ne connait pas du tout, je trouve ça déplacé ! Que vous ne soyez pas d’accord avec moi, c’est naturel et même logique. Après tout nous sommes tous différents et tous uniques et c’est ce qui fait aussi le charme du monde. Vous imaginez un monde rempli de clones « parfaits » ce serait pour moi un cauchemar. Pire un tel monde n’aurait sans doute pas d’avenir car les mêmes idées seraient ressasser ad nauséam.


  • ecophonie ecophonie 31 octobre 2013 11:33

    La démarche est bonne et courageuse et vous gardera de toute instrumentalisation future mais attention à la haine de soi qui peut en découler en ne regardant que les contradictions de son propre « camps ».


    • le moine du côté obscur 31 octobre 2013 12:29

      Oh vous savez même les meilleures actions et les meilleures intentions peuvent susciter la haine ne serait ce que par jalousie. Mon pauvre père Dieu ait son âme, pourrait en témoigner lui qui fut trahi par des personnes qu’il a grandement aidées. Je pense que si on peut faire des actions en accord avec sa conscience il faut les faire sans même se soucier de ce que les autres vont dire. Moi tant que je suis en accord avec ma conscience, ça me va. J’essaie de respecter l’autre. Et tant que l’autre me respecte je n’ai aucune raison de ne pas l’apprécier. ça me rappelle une jeune fille avec qui je discutais. Elle a arrêté ces études au collège et n’a pas eu le BEP. Elle fut surprise que quelqu’un qui a mon niveau d’étude puisse la respecter. Je lui ai dit que chaque personne que je rencontre est soit intéressante, soit ne l’est pas et que ce n’était pas une question de niveau d’études. J’ai vu des personnes très intéressantes qui n’ont pas fait l’école mais qui ont une finesse d’esprit bâti sur des expériences personnelles. D’ailleurs les gens sont surpris que moi qui ai la trentaine j’aime discuter avec les personnes beaucoup plus âgées que moi. Mais je pense qu’il est normal pour un jeune de s’informer au près de personnes qui ont un vécu concret. Je ne veux pas dire que je ne discute pas avec plus jeune que moi, non. Comme je dis ça dépend si la personne est intéressante ou non, c’est mon seul critère. Et intéressante veut dire ouverte à de nouvelles idées, à de nouvelles expériences et promptes à se remettre en question si elle sait qu’elle a tort.


  • Bulgroz 31 octobre 2013 11:35

    Juin 2013 : Violente agression sur fond de « racisme anti-blanc » à LilleLe tribunal de Lille a condamné ce lundi un homme à 15 mois de prison dont 8 avec sursis. Avec un mineur, celui-ci a torturé, le 13 juin, un étudiant, dont la faute était d’être blanc
    Commence alors une véritable séance de torture. Les deux hommes de couleur noire le frappe à plusieurs reprises, le force à avaler des médicaments et le recouvre de liquide de nettoyage en criant : "Les blancs, ça pue." Son appartement est mis à sac et des inscriptions racistes sont taguées à la bombe : "Nike les blancs, Black Power revient."

    http://www.metronews.fr/lille/violente-agression-sur-fond-de-racisme-anti-blanc-a-lille/mmfs !TTux04dHaRig/


    • Xenozoid 31 octobre 2013 11:55

      bulgroz,tu es la caricature meme de ce quíl met en avant,une position de victime n’excuse pas la haine,c’est la peur qui control,et le pouvoir aime ca,tu es une victime de tes propre peurs et tu en redemande,pathethique


    • Bulgroz 31 octobre 2013 12:09

      Dans les textes récents de xénozoid, je trouve ceci :

      « peut etre que tu creve de voire que tu ná jamais vécu ? »

      On peut donc conclure que xénozoid est sous culturé, zou kulturhé (en wholof), zhou quulthurai (en mandingue), shou quulturé (en saafi) , c’est comme vous voulez.

      Je zappe ce genre d’individus.


    • bourrico6 31 octobre 2013 12:14

      Je zappe ce genre d’individus.

      Pour une fois, ce que l’individu en question dit est compréhensible et juste.
      Et ça te gène visiblement, on se demande pourquoi.

      Rapporter des faits divers, c’est bien, mais si y a rien derrière, c’est naze, et c’est la que tu te positionnes.


  • Xenozoid 31 octobre 2013 11:56

    et merci pour le texte ,moine


  • pens4sy pensesy 31 octobre 2013 12:13

    Merci a l’auteur pour ce texte.
    Merci aussi a l’anonyme Bulgroz pour son illustration personnelle qui colle parfaitement au sujet de cet article.


  • cathy30 cathy30 31 octobre 2013 13:32

    Donc l’auteur ne croit pas aux races, mais au mélange des races ? Va comprendre.


    • le moine du côté obscur 31 octobre 2013 14:26

      De ce que je sais il n’y a qu’une seule espèce humaine. Parce qu’à ma connaissance la race La notion de race se base elle sur la notion de « gènes communs et exclusifs à un groupe d’individus ». Or ça n’existe pas ! Maintenant il y a des différences physionomiques et culturelles, donc des groupes distincts. Ainsi on reconnait un chinois par ses traits morphologiques spécifiques. Pour moi le métis naît de l’union de deux personnes de groupes ethniques distincts. Même dans mon pays où nous sommes tous « noirs » de peau on parlait de « races ». Moi-même certains repèrent mon ethnie (du moins celle de mon père parce que selon moi j’appartiens aussi bien à l’ethnie de ma mère qu’à celle de mon père) à certains de mes traits morphologiques ! Pourtant pour un européen lambda je suis un noir rien de plus. Je parle donc de mélange d’ethnies différentes car si je considère qu’il y a une seule race humaine, il y a plusieurs peuples distincts avec leur identité propre. La hiérarchie des êtres humains que certains qui croient qu’il y a plusieurs races humaines veulent imposer, ne me concerne pas ni de près, ni de loin. Par facilité linguistique on parle de racisme et j’emploie sans aucun doute ce terme pour me faire comprendre.


    • le moine du côté obscur 31 octobre 2013 17:06

      Je dis les choses comme je le pense et comme je le sens sans à vrai dire me préoccuper de ce que les gens en pensent. J’essaie d’exprimer clairement ma pensée chose. Depuis quand un groupe d’êtres humains a des gênes exclusifs les classant dans une catégorie complètement « à part » ? Peut-être que quand on aura une analyse génétique parfaitement sûre on pourra analyser les gênes de chaque être humain pour voir. S’il plait à certains de penser cela, c’est leur droit, du moment qu’ils se sentent à l’aise avec ça... Je pense que c’est parce que certains pour des raisons culturelles veulent se croire meilleurs ou supérieurs à d’autres que l’on a des problèmes. Donc moi je ne parle pas de races mais d’ethnies donc de gens de même origine, mais comme j’ai dit c’est à chacun de voir !


    • le moine du côté obscur 31 octobre 2013 17:25

      Mais je pense ce que je pense, si vous voulez me comprendre tant mieux. Si vous ne voulez pas tant pis ! Dans le même groupe ethnique il y a des divergences, parce qu’en vérité chaque être humain est différent, comme chaque famille est différente etc... Autrement dit en termes de différence on peut aller très loin. Les musulmans ne raisonnent pas comme les chrétiens etc... Certains cherchent ce qui les rapprochent d’autres. Certains pensent que c’est la couleur de la peau, d’autres que c’est la religion etc... Moi ce qui me rapproche des gens ce sont les valeurs point final. Je ne raisonne plus depuis belle lurette au stade de la couleur de la peau, de l’ethnie et ce genre de choses qui sont pour moi des choses du passé. Mais je pense que les gens ont besoin de repères pour ne pas être perdu et je peux comprendre et accepter cela, Personne n’a mon parcours, mon esprit et ma sensibilité. Je suis donc unique comme chaque être humain. Et j’estime chacun doit choisir ce qui lui sied. Du moment qu’il le fait en son âme et conscience tant mieux. Du moment qu’il peut expliquer et justifier sa pensée, tant mieux.


    • COLLIN 1er novembre 2013 08:22

      Cher Moine,

      Sachez que votre peau n’est vraisemblablement pas « noire »,mais plutôt dans une nuance plus ou moins brune.

      L’appellation « noir » a été créée pour désigner les humains qui avaient la peau très « bronzée »,originaires d’Afrique généralement,et cette appellation a été bien utile pour soumettre ces populations en esclavage,en présumant qu’en les appelant « noirs »,cela permettrait de les « diaboliser »,préalable indispensable au processus de déshumanisation et de « chosification », moralisant les traitements cruels qu’ils auraient à subir,en tant qu’esclaves dans les plantations de canne à sucre,par exemple.

      Les « noirs » étaient alors considérés comme des animaux,des bêtes de somme dénuées d’âmes.

      En effet,le noir symbolisait,d’après la religion Catholique,le diable,et le blanc,la pureté.

      Les esclavagistes Arabes,qui ont eux,très nettement précédé les « blancs »dans ces pratiques esclavagistes criminelles,se contentaient du terme « kafir » (« infidèle » en Arabe),faisant référence au fait que les « noirs » n’étaient pas dans la religion de l’Islam.

      J’ai beaucoup voyagé et très rarement rencontré des populations ayant réellement la peau noire.

      Les seuls que,personnellement,je connaisse,sont les habitants de la Western Province des Iles Salomon,dans l’ile de Gizo,et ils sont particulièrement beaux,avec un visage très particulier,une peau noire comme du charbon,ce sont les descendants des chasseurs de tête qui écumaient l’archipel il y a encore peu de temps,dans leurs pirogues de guerre,arborant fièrement ces superbes « nguzu-nguzu » traditionnels incrustés de nacre,en figures de proue...

      Les populations dites « noires » d’Afrique de l’est et australe que je connais (bien) y compris les Zoulous,ont tout au plus une peau plus ou moins brune.

      A force de conditionnements,les « noirs » s’enferment dans une logique d’infériorisation comparativement aux « blancs »,alors que si l’on y réfléchit cinq minutes,tout cela ne fait,bien sur,pas le moindre sens.
      Ce processus était particulièrement bien exploité par le pouvoir Afrikaner du régime de l’apartheid (white/colored/blacks).
      Et les effets de ce conditionnement,même si ils ont (enfin) tendance à disparaitre en South Africa,résistent encore malgré presque vingt années écoulées depuis la fin de ce régime suréaliste .
      C’est dire si ce conditionnement,a été,et est encore,efficace.

      Voila,je voulais simplement,cher Moine,vous faire part de ma réflexion sur ce sujet.


    • nemotyrannus nemotyrannus 3 novembre 2013 12:58

      Hm , non . 

      la notion de race ne se base pas forcément sur la génétique . Mais sur un caractère commun en effet.
      Et c’est pour ça qu’on l’utilise pas vraiment en dehors des côtés pratiques comme pour l’élevage.
      C’est une notion subjective.

      On peut très bien envisager une race des pieds qui pue tout autant qu’une race des roux.
      L’un fait appel à la génétique , l’autre pas.

      Il y aurait donc des variantes énormes du nombre de race selon que l’on choisisse tel ou tel critère pour la définir. 

      Pour la peau et sa couleur :
      3 si l’on considère noir-blanc-jaune
      Des centaines si on compte les dégradés.

      -Pareil pour la couleur des cheveux si il est choisi comme critère.
      -Pareil si on choisit la couleur des yeux comme critère.
      -Pareil si on définit une race par rapport à ses coutumes ce qui est aussi une possibilité.

      C’est pourquoi elle a une place dans le système de classement sans vraiment en avoir une smiley

    • Henri Diacono alias Henri François 4 novembre 2013 09:22

      Vous ne voulez ou alors vous feignez de ne pas comprendre Cathy 30 : la race et le racisme n’existent pas. Il n’y a que L’ESPÈCE HUMAINE au même titre qu’il n’y a que l’espèce animale et l’espèce végétale. Basta !
      Et comme chez les animaux il y a l’éléphant et le lion ou l’oiseau....dans l’espèce humaine il y a les cons, les moins cons et les autres. Quelle que soit la pigmentation de leur peau. Et à nouveau basta !
      Il ne peut y avoir métissage général (que vous appelez à tort mélange des races) bien que celui-ci a du déjà proliférer depuis que Lucy s’est mise debout quelque part en Afrique et a commencé de marcher sur deux pattes, pardon sur deux jambes.
      Et là je le répète, compte tenu de notre état d’individu unique, il nous reste à « sympathiser » ou non, à discuter ou se comprendre, ou non, à haïr aussi ... le con ou le moins con ou un autre, quelle que soit la pigmentation de sa peau.
      Vous devez savoir Cathy que la mienne est bien bronzée. Et qu’elle m’a valu bien des déboires mais aussi bien de merveilleuses amitiés.
      C’est clair non ?


    • le moine du côté obscur 31 octobre 2013 17:19

      Encore un apparemment qui ne comprend pas ma pensée, ça devient pénible mais bon. Je ne regarde pas la télé pour commencer à part quand il y a certains films de science-fiction qui m’intéressent voire des documentaires animaliers, autrement la télé me sert de somnifère très efficace. J’ai dit que je comprenais certains points de vue Le Pen et j’étais contre le métissage forcé. Ben oui que voulez-vous je sais que mélanger deux peuples différents ça peut-être dangereux, je l’ai vu plusieurs fois. Si ça se fait naturellement et spontanément c’est cool, mais je pense (il faut être humble et modeste et arrêter d’affirmer d’où le sans doute dans ma phrase que vous avez reprise) qu’en France ça n’a pas trop été le cas. Quand des personnes qui ont des habitudes culturelles proches sont ensemble ça peut aller (quoique même dans ce cas des troubles peuvent apparaître notamment en cas de crise économique et/ou de raréfaction des ressources), mais quand les cultures sont éloignées voire incompatibles, bonjour les dégâts. Et si vous aviez lu mon texte ou mes textes vous verrez que je critique « l’invasion » africaine en Europe voulu par certains milieux de gauche qui croient ou feignent de croire (mais peut-être qu’ils sont comme certains le pensent des agents infiltrés du grand capital pour détruire le salariat français) que la France peut absorber « toute la misère du monde » alors qu’avec un tel raisonnement on court vers une catastrophe et peut-être même une guerre civile. Car a-t-on demandé leur avis aux français ? Donc arrêtez un peu de me juger sans me connaître, c’est agaçant. Je ne peux pas tout dire dans un texte. Quant à votre Le Pen a toujours parlé des français, mais voui ! Parce que ça plairait à Le Pen que 90% de la population française soit arabe et africaine ! Soyez un peu honnête cher ami.

      "Je pense qu’il est grand temps d’arrêter de se pignoller avec le racisme. Les gens sont ce qu’ils sont, ils ne changeront pas. L’ avenement de la religion antiraciste n’a fait qu’exacerber le racisme à un point rarement atteint en France."
      Ai-je dit le contraire ? Mais il n’empêche que je crois que le métissage est inéluctable, il reste à savoir comment il se fera. Je ne cherche pas à changer les gens, qui le pourrait d’ailleurs si ce n’est eux-mêmes et des évènements incontrôlables ?


  • juluch juluch 31 octobre 2013 15:11

    Franchement.................un bon article que l’on aimerait voir plus souvent sur le site.


    merci à vous pour le partage. 
     smiley

  • non667 31 octobre 2013 15:39

    à moine .....
    bien gentil mais fâché avec la réalité et les chiffres !
    avec ou sans métissage la conséquence de la paix militaire et de l’ouverture des frontières sera la suprématie de la population chinoise et indoue et la disparition des blancs (race et culture )( sauf dans des réserves ! ) !


  • francesca2 francesca2 31 octobre 2013 16:25

    Personnellement si je ne crois pas en l’existence des races humaines, j’accepte l’idée qu’il y a plusieurs groupes distincts (tant physiologiquement que culturellement) et pour certaines raisons incompatibles.



    Mais enfin...c’est ça le racisme...

    • le moine du côté obscur 31 octobre 2013 17:30

      Na, ce n’est parce que je reconnais la différence que je « hiérarchise » les peuples. Pour moi nous sommes tous des êtres humains pour autant nous devons reconnaître que nous sommes différents. Peut-être aurais-je du intituler mon texte « la différence ». J’y ai pensé d’ailleurs parce que je sentais que l’on allait m’embêter avec ce terme de « racisme ». Le racisme part du postulair qu’il existe des races humaines or je rejette ce postulat. Même si je reconnais que nous sommes tous différents et que l’on peut nous identifier selon plusieurs facteurs. Après que chacun utilise les terme qui lui sied.


  • DanielD2 DanielD2 31 octobre 2013 16:29

    Vu que les villes avec beaucoup d’Africains sont merdiques ( Nord de Marseille, Seine Saint-Denis, cité à immigrés diverses ), je ne vois pas trop pourquoi on devrait se réjouir en effet, de voir des petits bouts de France se transformer en bled.

    Enfin, pas plus merdique que les ghettos Américains, où leurs équivalents partout en Europe. Même en Suède y’a des émeutes de noirs dans des quartiers pourries.

    Et ne me sortez pas que c’est à cause du racisme, parce que les Asiatiques n’ont pas ces problèmes et personnes ne parlent d’eux.

    Bref, si vous voulez qu’on vous aime, commencez par ne pas transformer les endroits ou vous vous installez en décharge et en point de vente de drogue.


    • appoline appoline 31 octobre 2013 20:30

      Comme je le dis souvent, ce n’est pas une histoire de couleur mais de comportement


    • DanielD2 DanielD2 1er novembre 2013 02:26

      Et moi je crois que si les pays Africains sont dans la merde, c’est à cause des africains. Regardez le Japon, une ile pourrie volcanique où les gens n’ont mangé longtemps que du riz et des algues, sans ressources naturelles, et qui s’est fait bombarder, atomisé et colonisé par les USA. Est-ce qu’ils sont là à rien foutre, à pleurnicher sur le racisme, la colonisation et dire que si ils ont des problèmes c’est la faute des méchants blancs ? Je crois pas, eux leur truc c’est plutôt déposer des brevets et fabriquer des consoles. 

      Maintenant amenez 100 000 Japonnais en France et installez les dans une ville. Et faites la même chose avec des Africains. Revenez 6 mois plus tard et vous aurez logiquement un petit bout de Japon et un petit bout d’Afrique. Je vous laisse imaginer quel est l’endroit qui sera productif et calme et l’endroit qui sera pauvre et violent. Qui peut nier ça ?

      Tout le reste, savoir si c’est la race, la culture, le comportement, etc, c’est du baratin. Si ils veulent absolument des immigrés, qu’ils en prennent d’endroits ou les gens sont calmes au moins. Faire venir des immigrés de pays a grosse criminalité et après s’étonner qu’ils remplissent les prisons, c’est comme faire venir un cannibale d’Amazonie et s’étonner quand il mangera son voisin.


    • Oceane 3 novembre 2013 18:49

       A l’auteur, 


      « par bien des aspects, je ne raisonne pas comme un africain noir »

      C’est quoi ce délire ?

      Pourquoi diable voulez-vous raisonner comme celui que vous nommez « Africain noir » puisque dans votre esprit vous n’êtes pas Noir mais Blanc ? Seriez-vous, malgré votre « ouverture d’esprit » atteint de négrophobie envers votre moitié africaine ? Ceci ne serait pas étonnant et vous ne seriez pas le premier ni le dernier, remarquez. Les sang-melés entretiennent, dans leur grande majorité, une relation ambiguë de sourde haine et de mépris envers leur partie noire, qu’ils ne reconnaissent que lorsqu’ils sont rejetés par leur autre moitié. Et quel meilleure public qu’un lectorat Blanc pour etre encensé par ceux dont on quémande la reconnaisse ? 
      De mon point de vue, ne pas raisonner « comme un Africain noir » revient à dire au Blanc : « regarde, malgré mon métissage, je ne pense pas comme ces sous-hommes, je leur suis supérieur »

      Cette citation de vous m’a remis en mémoire l’esprit d’un ouvrage, Négrologie, de Stephen Smith.

      « Maintenant amenez 100 000 Japonnais en France et installez les dans une ville. Et faites la même chose avec des Africains. Revenez 6 mois plus tard et vous aurez logiquement un petit bout de Japon et un petit bout d’Afrique. Je vous laisse imaginer quel est l’endroit qui sera productif et calme et l’endroit qui sera pauvre et violent. Qui peut nier ça ? »



      Si l’on remplaçait la population – à peu près équivalente – du Nigéria pétrolier par celle du Japon pauvre, ou celle de la République démocratique du Congo par celle de la France, il n’y aurait plus guère de souci à se faire pour l’avenir du ‘géant de l’Afrique noire’, ni de l’ex-Zaïre. De même, si six millions d’Israéliens pouvaient, par un échange standard démographique, prendre la place des Tchadiens à peine plus nombreux, le Tibesti fleurirait et une Mésopotamie africaine naîtrait sur les terres fertiles entre le Logone et le Chari. Qu’est-ce à dire ? Que les Africains sont des incapables pauvres d’esprit, des êtres inférieurs ? Sûrement pas. Seulement, leur civilisation matérielle, leur organisation sociale et leur culture politique constituent des freins au développement…” .

      Certains externalisent leur violence et leurs armes, mais se permettent de la critiquer lorsque les conséquences de son externalisation et les armes qui l’accompagne se montrent au grand jour.
      Comme quoi, l’hypocrisie a encore de jours devant elle tant que des Moine du côté obscure existeront pour entériner l’esprit des Smith, des DanielD2 et autres


    • le moine du côté obscur 3 novembre 2013 20:15

      Océane

      Primo je suis 100% africain subsaharien, ma mère et mon père sont du même pays mais d’ethnies différentes. J’espère que je me fais BIEN COMPRENDRE ! Les africains « noirs » ont une culture et une manière de voir les choses. Où alors est-ce de la « négrophobie » de dire cela ? Ne pas raisonner COMPLETEMENT comme eux, ne veut pas dire les MEPRISER. J’ai été élevé comme un occidental sans pour autant que je sois complètement coupé de mes cultures (celles de mon père et ma mère) et mes racines. Lisez ce que je dis et comprenez ce que je dis, parce que j’en ai marre que l’on me prête des intentions que je n’ai pas.


  • Xenozoid 31 octobre 2013 16:30

    ce qui est incompatible c’est la vérité inculquer


  • volpa volpa 31 octobre 2013 17:38

    @par le moine du côté obscur

    Si tu le vis réellement comme çà, tu donnes envie d’être ton ami.

    Bel article et félicitations.


  • Xenozoid 31 octobre 2013 18:00

    quand tu as une reclame qui s’appelle koning aap, dans agoravox tu vois l
     esprit, surtout quan c’est promis pays des massai,reclame sur Agoravox, sur cet arcticle,google vous aime
    scandaleux


  • Xenozoid 31 octobre 2013 18:02

    ou chaos to zen,bien la pub
    les mecs sont bons
    appel moi parano


  • foufouille foufouille 31 octobre 2013 21:43

    j’ai jamais compris cette idée de racisme
    par contre j’aime peu les riches pour leur pouvoir de nuisance


  • antonio 1er novembre 2013 09:00

    Moi, qu’ils soient noirs, verts , rouges, je suis raciste anti-cons ; et vu leur nombre, il y a de quoi être occupé....mais je n’oublie pas qu’on est toujours le con de quelqu’un....


  • Massada Massada 1er novembre 2013 09:44

    Elle est belle, elle est la fierté de notre pays ! Miss Israel 2013

    Le racisme est bien l’infirmité la plus répugnante parmi les diverses laideurs de l’humanité. 




  • volt volt 1er novembre 2013 11:06

    en regardant parfois des gosses dans une cour de récré s’acharner sur un insecte, ou sur un bouc émissaire choisi, cette spontanéité, cette insistance... on se dit que l’humanité, de partout, porte en elle une vaste histoire de l’exclusion ; on observe même cela dans certains groupes animaux.

    il ne fait aucun doute que le racisme relève d’abord de la peur et de son concomittant qui est une sorte de réflexe grégaire.
    les psys reconnaissent que l’angoisse de l’abandon est bien plus forte que l’angoisse de castration et qu’alors nous approchons des zones où c’est carrément l’annihilation et le démembrement qui deviennent représentables.
    on remarque que l’exclusion raciste se base bien plus sur le « il n’est pas comme Nous », que sur le « il n’est pas comme Moi » - ça culmine en statistiques, même si ça couine au début en hormones.
    Hélas, quand le touche-pipi prétend à la documentation, il s’enturbanne, se ray-ban s’il le faut et vire au dogmatique.
    mais toujours ces gosses en récré, restons bien lucides.
    les psys, américanisés d’urgence, comme reich par exemple, qui se sont intéressés de trop près à tout cela en plein maccarthysme, ont étrangement crevé en prison sous les maternages intensifs de Hoover ; ils constataient que tout cela justement relevait beaucoup du malbaisage généralisé ou personnalisé, dirons-nous hâtivement & pour rester bien flou.
    il n’empêche qu’il faut enncore enregistrer les provocs en retour : le tchador en pleine ville occidentale est moins un retour aux racines de je dirais pas quoi, que plutôt de la provoc pure en vue d’aller chercher dans l’autre cet orifice qui réagira.
    & toujours cette immonde récré...
    religions, culcul et frousses de surfroissés.
    menacer ? toujours sous la menace.
    la menace ? toujours imaginaire.
    l’imaginaire ? toujours « où est maman ? qui t’aimes le plus ? » rivalités...
    on dirait que des adultes pris dans ce cercle ne sont que de savants mensonges.
    une solution ? ouai... qui suis-je pour oser ?
    mais déjà ce constat - central :
    plus ça chôme plus ça raciste, c’est sûr, ça a le temps, trop le temps, trop !
    face au manque de buts, la pulsion qui tourne court se saisira de tout.
    quand l’autre devient l’objet de trop d’attentions, c’est que je suis devenu un étranger à moi-même.
    merci pour ce texte, apparemment perso, mais qui ouvre les bonnes pistes.

  • Massada Massada 1er novembre 2013 11:17

    il n’empêche qu’il faut enncore enregistrer les provocs en retour : le tchador en pleine ville occidentale est moins un retour aux racines de je dirais pas quoi, que plutôt de la provoc pure en vue d’aller chercher dans l’autre cet orifice qui réagira.


    le tchador en ville n’est pas un problème de racisme mais de règles du vivre ensemble dans une société multi-culturelle.


  • eric 1er novembre 2013 12:17

    J’ai été confronte très tard au racisme parce que je suis blanc et que j’ai grandit avec pas mal de noirs autour de moi....
    Je dirai que c’est en Afrique du sud, pendant un voyage en stop a l’époque de l’apartheid, que dans certaines situations, j’ai vu dans les yeux de mes interlocuteurs que ma couleur posait question...
    Par la suite, en Russie, j’ai toujours été avec mes gosses le seul blanc dans une paroisse africaine.
    Les difficultés réelles en la matière me semble liée a 2 facteurs principaux et qui sont lies a l’identité plus qu’a la couleur, ou a la race.

    Les gens se rapprochent. Plus on est proche, plus les différences sont difficiles a objectiver, a comprendre et a admettre.

    Les guerres civiles,ethniques, racistes, ont toujours lieu entre des gens qui se ressemble presque plus qu’ils ne se distinguent vus de l’extérieur.
    Le Nazisme s’est attaque a un groupe de gens qui étaient vaguement d’origine juive, mais constituait le groupe le plus intensément intégré en Europe. Le moins différent.
    Il y a plus de rejet de beurs troisième ou quatrième génération, a peu prêt aussi français qu’on puisse l’être, que de leur grand mère sortie du bled, qui parlait a peine français, vivait cloitrée chez elle et vivait comme au pays autant que faire se peut. La jeune beurette qui exige le droit de se voiler a un comportement français. Au pays, sa grand mère ne serait jamais sortie dans la rue pour exiger un « droit ».

    Il y a deux façon de contrer ce phénomène : exiger la dissolution des identités dans un vague métissage melting pot vaguement égalitariste ou au contraire les renforcer même et peut être surtout quand elles sont en partie imaginaires.

    Quand on prétend que nous sommes tous pareil, les différences deviennent vite insupportables parce qu’elle démentent la vision du monde. Si on admet les différences alors conscient de sa propre identité, on peut faire l’effort d’admettre celle de l’autre.

    J’ai un ami qui vit avec une fille. Elle est aussi française que l’on peut l’être. mais elle est aussi chinoise du Cambodge. Il est assez facile d’oublier complétement que sur certains trucs, elle n’a pas nécessairement le même ressentit et d’éventuellement la blesser, la choquer, par inadvertance, par méconnaissance. En même temps, elle est consciente d’elle même, de son identité, de ses différences, de la difficultés pour un français de ne pas la prendre exactement comme une française comme les autres. C’est donc elle qui fait le gros du boulot du rapprochement. Il est possible aussi parce qu’elle a une identité forte.

    On peut difficilement communiquer avec l’autre si on ne sait pas qui on est soi même. Cette connaissance serait elle mythique.

    Obama est physiologiquement un métis. Il est culturellement un blanc. Élevè dans un milieux exclusivement blanc. Il est sur le plan de l’identité mythique qu’il s’est choisit dans le cadre d’une société américaine ségrégative, un noir. Il a fait carrière dans le social au prêt d’une église racialisante noire.

    Personne ne sait qu’Audrey Pulvar est noire. Tous le monde sait que c’est une bobo socialiste.

    En revanche, il est patent que les féministes les plus echevelees sévissent dans des milieux progressistes ou de considérables progrès ont déjà été réalisé dans la confusion des genres. Les relations hommes femmes apparaissent comme moins conflictuelles dans des milieux et des pays ou les différences sont mieux assumées.

    La caractéristique de tout humain, c’est qu’il se veut a la fois différent et semblable aux autres.

    Les problèmes commencent quand une idéologie prétend par trop appuyer sur un de ces deux aspects.
    Dans le contexte de rapprochement généralisé de tous les hommes, la couleur de peau ne semble pas être le détail le plus redoutable. L’auteur constate que le rejet peut être même interne a une famille noire pour des questions identitaires ( Islam et protestantisme).

    Nommer cela du racisme serait assez dans l’air du temps. La confusion des mots conduit a la confusion des genres, des idées, et est un facteur d’intolérance et de violence.

    Il faut arrêter de parler de racisme a tout bout de champ sémantique, admettre que si faire vivre ensemble des gens proches n’est déjà pas simple, le faire avec des gens differents est plus complique, et leur faire croire qu’ils sont semblable est a coup sur porteur de malentendus.

    Il existe pourtant une recette traditionnelle pour limiter les risques. Courtoisie, politesse, savoir vivre, attention a l’autre, prudence dans les relations humaine, non par peur a priori, mais par respect a priori.

    Le problème ? Ces ont des valeurs de droite.....


    • Pierre Régnier Pierre Régnier 1er novembre 2013 15:43

      Vous dites, eric,  »Il y a deux façons de contrer ce phénomène : exiger la dissolution des identités dans un vague métissage melting pot vaguement égalitariste ou au contraire les renforcer même et peut-être surtout quand elles sont en partie imaginaires".

      En France nous avons - nous avions - une troisième façon de contrer le racisme, et qui marchait assez bien il y a deux ou trois générations : refuser de le confondre avec une hiérarchisation des valeurs religieuses et appliquer, tout simplement, la laïcité républicaine.

      De nombreux immigrés africains noirs et maghrébins sont heureux d’en avoir été estimés dignes, il y a quarante ans, comme le commun des français de souche ancienne, et ils sont respectés par la grande majorité de ces français-là, qui se savent leurs égaux et rien de plus.

      En accordant aux immigrés récents un  »droit« de ne pas respecter cette laïcité »pour ne pas être stigmatisés" - comme disent leurs indignes représentants - les gouvernants sarkoziens, puis hollandiens, affichent en fait un vrai mépris pour ces nouveaux venus.

      Quoi qu’ils en disent dans leurs discours démagogiques, déformateurs, racoleurs, électoralistes, ces gouvernants les considèrent indignes de la laïcité, et plus généralement de toutes les valeurs républicaines : la démocratie, les Droits humains, l’égalité des femmes et des hommes, la liberté de conscience et d’expression...

      Le  »vivre ensemble avec nos ressemblances, quelles que soient nos différences" de Farida Belghoul est de beaucoup supérieur au « vivre ensemble » dans la haine prétendument justifiée des islamistes, des racistes anti-blancs et de la fausse Gauche qui se couche devant leurs exigences anti-démocratiques.



    • eric 2 novembre 2013 05:13

      La laïcité a la française est une escroquerie intellectuelle qui a eu son utilité mais est en train de s’effondrer sous le poids de sa contradiction originelle.
      Au moment de la DUDH, le fils du pasteur Rabault Saint Etienne, je crois, signale aux rédacteur qu’en parlant de liberté d’opinion,« même religieuse », on place l’intolérance au cœur de la déclaration.
      C’est exactement ce qui c’est passe. Toutes les grandes idéologies ont une part irrationnelle, parce que l’homme n’est pas exclusivement rationnel. En prétendant que ce qu’on appelle couramment le religieux, aurait une nature spécifique en tant qu’opinion, on fait deux poids deux mesures.
      Résultat ? Pendant toute ma scolarité dans le public, j’ai été en but a une propagande systématique de la religion assez obscurantiste qui y domine et qui est une sorte de vulgate socialisante, accompagnée d’un dénigrement des formes idéologiques a mes yeux plus progressistes et humanistes telle que le christianisme. Mes gosses, c’est encore pire, a la bouillie intellectuelle sus nommée,s’ajoute cet espèce de neopaganisme animiste qui porte le nom d’écologie et qui constitue une régression intellectuelle supplémentaire dans le monde des socialismes.
      Un exemple : le socialisme a la française sur de nombreux point, est bien l’héritier du cesaro papisme. Ainsi, il croit beaucoup a la justification par les œuvres et au rôle de l’état comme rédempteur de la société. « je suis bon parce que je m’occupe des pauvre et que je suis payes par l’état pour cela ». Vous imaginez ce que cela donne au moment ou le prof d’histoire explique la double prédestination chez Calvin...Comment ces gens peuvent ils comprendre que l’amour de l’autre est au moins aussi important que la démarche d’assistance a laquelle il conduit ? Pa possible. et on ne leru demande pas. Mais il n’ont pas a enseigner leur croyance inverse.
      Sarkozy n’est de toute évidence, ni un protestant hongrois, ni un juif grec, ni même un catho de Neuilly, mais bien un vrai laïque français. Hollande est bien un catho défroqué qui règle ses comptes avec sa famille et son enfance sur le dos d’une vraie laïcité.
      Notre école public n’est ni laïque, ni exclusivement anti cléricale, elles est juste hostile a toutes les croyances qui ne sont pas les siennes.
      Du reste, on le voit très bien dans le rapport Obin
      http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-rapport-obin-courageux-mais-peu-15843
      La principale menace pour la laïcité est constituée par les croyances de gauche. Le differencialisme, le communautarisme, en sont des aspects. Les phénomènes de rejet par d’autres « idéologies » ne sont que des réactions. Le parent musulmans bac moins 4 récemment immigre, ne voit pas moins que le parent Catho bac plus 4 a quoi veulent en venir les enseignants militants. Après, ils se divisent entre ceux qui voudraient préserver une vraie laïcité et ceux qui disent, si c’est comme cela, c’est la guerre avec les mêmes méthodes que les profs. Il est aussi puéril de ranger toute une civilisation ( musulmane) dans l« obscurantisme » que de refuser de tracer le signe plus dans une addition.
       Ceux que vous nommez vraie gauche, et qui sont en fait souvent de vrais laïques, ont a mon avis vocation a prendre leur distances avec ce qu’est devenu la gauche aujourd’hui : une religion assez primitive sectaire intolérante et peu laïque.


    • Pierre Régnier Pierre Régnier 2 novembre 2013 18:47

      eric

      On est d’accord sur ce que je nomme  »vraie gauche« . Elle a, comme vous dites, »à prendre ses distances avec ce qu’est devenue la gauche aujourd’hui : une religion assez primitive sectaire intolérante et peu laïque"

      Je suis en désaccord sur ce que vous dites de Sarkozy, selon vous « vrai laïque français ». Jusqu’à preuve du contraire c’est lui qui a ouvert la boîte de Pandore conduisant à la destruction systématique, dans les faits, de la laïcité par les islamistes.

      Mais, je le reconnais, j’attends avec impatience les historiens qui confirmeront ou infirmeront son rôle dans la terrible démission face à cette exigence des islamistes « pacifiques » lors de la création de l’UOIF : que le gouvernement retire sa demande de rejet public préalable, par ceux qui voulaient composer l’UOIF (Union des Organisations Islamiques de France) de la règle de la charia condamnant à mort le musulman qui quitte sa religion en le faisant savoir publiquement.

      Jusqu’à preuve du contraire c’est le ministre de l’Intérieur de l’époque, Nicolas Sarkozy, qui avait renoncé, et les islamistes « pacifiques » qui avaient obtenu cette lamentable démission.

      Par ailleurs c’est Sarkozy qui a, avant Hollande, assimilé dans des discours officiels l’islamophobie à de l’antisémistisme, et affirmé la compatibilité de l’islam avec la démocratie.

      Sarkozy a créé une commission visant à préparer les moyens concrets d’affaiblir la laïcité. Je crois qu’il faut au contraire la préciser pour la renforcer et, dans ce but j’avais tenté, avec le site Faire le jour il y a quelques années, une démarche très publique allant dans ce sens. La fatigue m’a amené à y mettre fin mais je la crois toujours indispensable.

      Je constate que, en fait, ce n’est pas vraiment « la laïcité à la française » que vous dénoncez comme « une escroquerie » mais la manière « de l’appliquer à la française », ce qui n’est pas du tout la même chose.

      La laïcité à la française est une imparfaite mais déjà très précieuse loi de la République.

      Je suis en désaccord sur votre condamnation de l’écologie mais, là encore, je crois que ce que vous voulez dénoncer ce sont les faux écologistes, les « écologistes de pouvoir », les « écologistes » qui font actuellement carrière au sein de la fausse Gauche se foutant éperdument de la véritable écologie, laquelle est absolument indispensable et urgente pour le monde que nous allons laisser à nos enfants.

      Quoi qu’il en soit, je trouve très intéressant votre long article de 2006 sur le rapport Obin, article que je n’avais pas lu lors de sa publication par Agoravox. Quand sera entreprise une reconstruction de l’Education Nationale il devra figurer, comme le rapport Obin lui-même, parmi les outils de ceux qui en seront chargés.

      Dans l’immédiat, sous la conduite des »faux laïcs vrais bouffeurs de curés" tels que Vincent Peillon, Najat vallaud-Belkacem, Christiane Taubira, Dounia Bouzar... et, bien sûr, François Hollande, c’est la destruction qui continue. Ne vous trompez pas de combat et d’adversaires.


    • eric 3 novembre 2013 00:19

      Trop tard pour poursuivre vraiment, mais
      Je me souviens, ma mere et tribalat s’etaient un peu frite avec Sarko sur ces questions. En meme temps, l’idee était d’enserrer l’Islam dans la republique, d’avoir des interlocuteurs a peu pret connus comme on l’avait fait en son temps avec judaïsme et protestantisme.

      En ce qui concerne l’EN, je ne suis pas sur qu’il soit encore temps de faire quelque chose. A l’époque de la laïcité, les protestant ont remis leurs écoles a l’Etat, considérant que des lors qu’il y avait une école laïque, on pouvait consacrer ses forces a d’autres questions sociales. Dorénavant, la réflexion va vers la réouverture d’écoles.


  • Morpheus Morpheus 1er novembre 2013 12:28

    Je n’aime pas le racisme. mais il y a une chose que je déteste encore plus que le racisme, c’est la prétendue « lutte contre le racisme » dont une certaine « gauche » se revendique depuis une trentaine d’années.

    Pourquoi ?

    Plusieurs raisons. Tout d’abord, le racisme est un épiphénomène. Je veux dire par là que, comme l’épi de blé, le racisme est au sommet d’une tige dont les racines sont à l’autre bout. Par conséquent, combattre le racisme nécessite une analyse radicale (au vrai sens du terme), et non une lutte contre le phénomène lui-même (qui est un symptôme).

    On ne nait pas raciste : on le devient. Le plus souvent, on devient raciste parce qu’on est éduqué dans une certaine culture qui, elle-même, développe une série d’idées toutes faites et d’apriori. Une des causes du racisme est donc le tissu socioculturel dans lequel on évolue. Mais une cause plus essentielle au racisme - en tout cas aux dérives les plus extrêmes du racisme - réside dans l’inégalité sociale et économique.

    Ce qui entraîne certains au racisme, c’est le fait que mis en situation précaire, ils ont besoin de trouver une cause à leur situation précaire, et de préférence une cause sur laquelle ils pensent pouvoir agir, car il n’y a rien de pire que le sentiment d’impuissance. Alors l’étranger, le juif, l’arabe, le noir, etc. - celui qui n’est pas comme nous - devient le bouc émissaire tout désigné.

    Et là, si l’on veut réellement et sincèrement lutter contre le racisme, on est dans la merde, parce que le racisme est multiforme ET qu’il est étroitement mêlé au tissu socioculturel. Lutter contre le racisme, c’est nécessairement dénoncer les éléments qui, dans notre propre culture (et quelle que soit notre culture, notre origine, notre couleur de peau, notre religion) mène à une impossibilité de vivre en paix avec les autres, voir sont de nature raciste, discriminatoire, haineuse de l’autre. Et bien souvent, le tissu socioculturel (la coutume) dans laquelle nous évoluons repose sur des préceptes religieux, et donc, il s’agit aussi de dénoncer des éléments de la religion.

    Mais ce n’est évidemment pas ce que font les associations et militants qui prétendent lutter contre le racisme (SOS racisme, Touche pas à mon pote, le MRAP, etc.). Au contraire. Ces associations sont dans une démarche de rapport de force qui entretiennent, voir renforce le racisme et ces dérives en stigmatisant les racistes avec la même haine et la même bêtise dont beaucoup de racistes font preuve. Ce n’est évidemment pas comme cela que l’on obtiendra des résultats. Tout ce que cela entraîne, c’est un renforcement du communautarisme, c’est-à-dire précisément un renforcement des identitaires et des éléments les plus porteurs de racisme dans le tissu socioculturel.

    Lutter contre le racisme, c’est un renoncement. Un renoncement à certaines « valeurs » (ou prétendues telles), à certaines croyances, à certaines idées. C’est renoncer, au moins en partie, à des éléments de notre propre culture et certaines de nos coutumes (tissu socioculturel) pour pouvoir fonder mes relation à l’autre sur ce qui nous rassemble, plutôt que focaliser sur ce qui nous divise.

    Cela implique donc aussi de pouvoir exprimer (au vrai sens du terme : sortir de soi) ce qui me déplait, autant dans ma propre culture et coutume que dans la culture et la coutume de l’autre, et savoir bien entendu entendre dans la bouche de l’autre ce qui lui déplait dans mes coutumes et ma culture. Cette expression mutuelle de ce qui ne plait pas (mais aussi, bien sûr, de ce qui plait), dans une telle démarche, est de nature à permettre un dialogue d’égal à égal, où l’idée n’est pas de juger, mais d’exprimer ce qui plait et ne plait pas. Ce faisant, il devient possible de développer une empathie vis-à-vis de l’autre.

    On est loin, très loin de cela, surtout en France (mais pas seulement).

    Cordialement,
    Morpheus


  • Altos85 1er novembre 2013 13:14

    Très franchement je pense qu’il y’a vraiment très très peu de Français qui soient des racistes « purs et durs ». Qu’ils rejettent des communautés pour la seule et unique raison qu’ils soient noirs ou arabes. Pour le simple critère ethnique.


    En France c’est plus complexe que ça. Beaucoup de gens n’acceptent pas leurs façons de vivre, leurs façons de se comporter, de s’habiller, de parler, et puis bien évidemment l’Islam.

    Et puis si les Français étaient aussi racistes et intolérants que ne le disent les immigrés et les gens de gauche, il n’y aurait pas tout ce qui arrive aujourd’hui (immigration de masse, délinquance de masse, prosélytisme islamique de masse).





    • Massada Massada 1er novembre 2013 14:21

      Mon épouse étant noire, mes enfants métis, nous n’avons jamais été confronté au racisme en France mais quelques fois en Espagne, Italie et surtout en Russie.

      Aux USA aussi l’on aime pas beaucoup les métissages aussi bien de la part des noirs que des blancs.
      En Israël aussi le racisme est bien présent mais les mentalité évoluent, surtout chez les jeunes.



  • soi même 1er novembre 2013 14:14

    C’est très beau texte de réflexion sur le racisme, si le racisme existe, c’est bien qu’il y a des races humaines différentes qui montrent qu’il y a bien des différences aussi bien physique qu’intellectuel.
    Le reconnaître n’est pas être raciste , c’est tenir compte d’une réalité bien réel.
    La différence entre une personne qui est raciste et une autre qui ne l’ai pas, c’est que la première à une surestimation d’appartenir à une communauté supérieur aux autres et établie une relation égoïste avec le génie de son peuple à l’inverse celui qui discerne dans la différenciation des races, des peuples des ethnies, des tribus ce qui est général et particulier qui est apporté à l’ensemble de la communauté humaine ne peut être prit pour une personne raciste, et pourtant il reconnaît bien la différentiation des races qui apportent tous un plus à la communauté humaine.

    La véritable racine du racisme est à chercher dans la relation égoïsme que l’on étable avec le monde, c’est avant tous une attitude d’âme qui masque la véritable raison de son rapport égoïste au monde, qui est la convoitise et l’appropriation des richesses et des biens que posent d’autres peuples et aussi un confit spirituel de faire valoir sa conception du monde sur une autre.

    « La controverse de Valladolid est un débat qui opposa essentiellement le dominicain Bartolomé de Las Casas et le théologien Juan Ginés de Sepúlveda en deux séances d’un mois chacune (l’une en 1550 et l’autre en 1551) au collège San Gregorio de Valladolid, mais principalement par échanges épistolaires. Ce débat réunissait théologiens, juristes et administrateurs du royaume, afin que, selon le souhait de Charles Quint, il se traite et parle de la manière dont devaient se faire les conquêtes dans le Nouveau Monde, suspendues par lui, pour qu’elles se fassent avec justice et en sécurité de conscience 1.

    La question était de savoir si les Espagnols pouvaient coloniser le Nouveau Monde et dominer les indigènes, les Amérindiens, par droit de conquête, avec la justification morale pouvant permettre de mettre fin à des modes de vie observés dans les civilisations précolombiennes, notamment la pratique institutionnelle du sacrifice humain, ou si les sociétés amérindiennes étaient légitimes malgré de tels éléments et que seul le bon exemple devait être promu via une colonisation - émigration. » 

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Controverse_de_Valladolid

    La controverse de Valladolid en 1527 est en soit le permise théorique du fondement même du racisme idéologique qui sous couvert de question théologique va fait le lie de l’exploitation de l’homme par l’homme et servir de prétexte à toute conception raciste moderne.

    De cette controverse découle le bon droit que c’est accorder les Européens dans la traite des esclaves qui diffère de l’Antiquité sur se sujet.

    Dans l’antiquité l’esclave était la conséquence du fait que les prisonniers de guerres devenaient esclaves et l’autre cas de figure c’était pour une raison de dette qu’une famille pouvait se retrouver réduit à l’esclavage et générait de se fait une société esclavagiste qui n’a aucun rapport avec le racisme qui est avant tous une conception moderne de la vision du monde.

    Nous arrivons à une époque où il nous êtes demander de surmontés des démons qui ont empoisonner les hommes, qui fait que vous avez raison que les différentes races que constitues l’humanité non plus de réel importance pour notre avenir,

    En se sens l’ethnologie a été le premier pont qui par sa volonté de comprendre les autres conceptions du monde, œuvre à une véritable acceptation que la pluralité humaine devient une unité et que l’unité deviens une pluralité.

    Toute la question es que, cette pluralité humaine devient une unité et que l’unité deviens une pluralité va vers le haut où au contraire est tiré vers le bas ?

    C’est bien l’enjeu de notre époque dont est question aujourd’hui, à travers justement cette guerre économique qui peut aussi bien sortir ce qui à de pire comme du meilleur si les hommes ont la volonté de resté humain ?


  • Xenozoid 1er novembre 2013 16:00

    soleil . peut etre,,pour tous le monde,c’est quoi etre humain ?,apparement,vous avez tous , tous. une défi ni tion, differente de l’autre.peut etre c’est la tout le probleme,voila


  • 2000mg 2000mg 1er novembre 2013 16:20

    Merci pour cet article bien axé, intelligible. Les scénarios sont ouverts, beaucoup de spéculations. Pour moi le racisme d’avenir c’est celui de l’efficacité, noir ou blanc, nos capacités seront bientôt dépassées. 

    J’imagine bien les multinationales polariser les concentrations humaines. Pour le reste, sécessionnistes identitaires adeptes d’un mode de vie local avec des problèmes humains. 

    Mais bientôt, le capitalisme devrait ne plus avoir besoin des masses de consommateurs et produire juste pour le progrès technique des élites.

    • Xenozoid 1er novembre 2013 16:58

      en quoi ’l’humain est il mieux, lo0cal ou non, depusi que le pouvoire se fout de votre gueule a part donner libre court dans une frustration que vous aprouvez ?défenition de l’esclave, sans choix ?


  • BarbeTorte BarbeTorte 1er novembre 2013 21:57

    Merci pour cet article


  • christian pène 2 novembre 2013 18:36

    il ne saurait y avoir quelque racisme que ce soit puisque le terme a été banni du dictionnaire.....

    par ailleurs s’il y a du racisme , c’est que les immigrés abusent de notre hospitalité avec la complicité des gouvernants , et abusent de droits sociaux payés par les Français installés qui sont finalement moins bien lotis que les nouveaux arrivants.....

    je trouve que les français sont d’une extrême patience mais jusqu’au jour où exaspérés , il y aura des émeutes de rejet.....

    de toutes manières il n’y a pas que les Noirs qui générent le racisme , mais SURTOUT les arabo-musulmans qui veulent nous imposer leurs moeurs et leur religion y contribuent très largement : l’Islam est tout sauf une religion de tolérance , de paix et d’amour , ces derniers mots ne figurant pas dans les dictionnaires arabes.....

    je ne crois pas que les Noirs soient haineux , et rappelons quand même que ce sont des arabo-musulmans qui ont pratiqué l’esclavage et le poursuivent encore....

    simplement il faut dire que l’Afrique et le monde arabo-musulman ne produisent AUCUNE technologie nouvelle sauf en Extrême Orient où les musulmans sont tolérants.....

    je dis ceci : lors d’un concert à New York en 1969 il n’y avait dans l’assistance AUCUN NOIR ni AUCUN ARABE.....et il n’y a qu’UN chef d’orchestre arabe de notoriété mondiale , algérien qui a sans doute bénéficié des bienfaits de la colonisation.....

    Mais en dernier lieu , je dirai que la France a eu tort de coloniser , non pas en raison d’une brutalité régulièrement évoquée mais parce que elle s’y est ruinée , et en Algérie plus qu’ailleurs

    il faut voir ce qui reste de la colonisation .......des rivalités ethniques meurtrières , une instabilité gouvernementale omniprésente , des révolutions à gogo.......


  • Xenozoid 3 novembre 2013 13:08

    le rascism c’est normale,on aime bien traite l’autre d’wesclave,apres tout pourquoi pas, on ne tue pas des millions pour le« fun »,les cons


  • Xenozoid 3 novembre 2013 14:46

    le rascisme c
    ’’est quoi ?


  • Bilou32 Bilou32 3 novembre 2013 18:32

    Quoi qu’il en soit, il y a des jolies femmes dans toutes les « races », en tout cas, a mon goût... !

    A mon avis, ce n’est pas tellement les caractères ethniques qui divisent les humains, mais surtout les différences culturelles et essentiellement religieuses. Les asiatiques s’intègrent mieux car leurs religions sont beaucoup plus discrètes et tolérantes. Dans leurs pays d’origine, on peut facilement trouver des temples dans lesquels plusieurs religions sont représentées. Imaginez un peu la fusion des églises, temples, synagogues, et autres mosquées dans les mêmes édifices ! Si un jour nous y parvenons, le racisme n’existera plus...


    • Bilou32 Bilou32 4 novembre 2013 08:20

      Non, même pour çà je ne suis pas sectaire ! Il y a de très jolis petits seins, très féminins...  smiley

       

       


  • Oceane 3 novembre 2013 19:05

    Pourquoi tous les métis sont-ils persuadés que « le métissage est l’avenir de l’humanité » sans tenir compte de ceux majoritaires qui, des deux côtés n’en veulent pas ?

    Sortez donc de votre cauchemar métis.

    • Xenozoid 3 novembre 2013 19:11

      ah,bon ils sont tous commweca ?


    • le moine du côté obscur 3 novembre 2013 20:20

      « Tous les métis » ? Seriez vous dans l’esprit de tous les métis pour savoir ce que TOUS les métis pensent ? Un peu d’humilité SVP. Moi ce que je dis n’engage que moi et personne d’autres. Et je me considère comme métis bien que ma mère et mon père sont « NOIRS » ! Mais ils sont de deux peuples différents. Pour moi c’est ça un métis, après chacun a sa définition.


    • Xenozoid 3 novembre 2013 20:27

      moine ,les purs, ils aiment etre attaqué, sans quoi ils meurent, toute la notion de mieux est basé sur le principe d’étre meilleur,c tout


    • Xenozoid 3 novembre 2013 20:28

      des victimes


  • franc 3 novembre 2013 21:07

     Mr le moine vous raisonnez un peu trop individualiste comme d’ailleurs sont individualistes les français en général ,mais vous vous avez une certaine franchise pour reconnaitre votre subjectivisme ,mais cette franchise ne suffit pas pour dépasser la force de l’égo qui vous étreint et qui étreint tout individu qui manque d’humilité .,et s’ ouvrir à la vérité universelle ;

    et par cela vous entrez dans des contradictions que vous reconnaissez vous m^me mais n’arrivez pas à vous vous en dépêtrez ;comme par exemple ,le fait de ne pas vouloir reconnaitre qu’il existe des races humaines alors que vousreconnaissez qu’il existe des ethnies humaines ,c’est seulemnt un changement de mot mais le sens reste le m^me ;vous dites qu’il n’existe qu’un e race humaine ,ce qui n’est pas vrai selon la doxa générale et universelle ,puisque les plus grands textes politique ,philosophiques et religieux affirment l’existence des races (Déclaration des droits de l’homme ,les Nations-Unis ,les textes religieux ,bibles ,coran ,etc...),et les  dictionnaires et encyclopédies le consacre nt par les définitions qui disent non pas qu’il existe une race humaine unique mais une espèce humaine unique ,et l’espèce humaine se différenci en diverses races diffrérentes et en sous-races ethiques ;mais vous avez un problème avec le mot race parce que vous avez un problème particulier de racisme ;ce n’est pas en supprimant le mot race que vous supprimerez le racisme ;Si vous remplacez le mot race par le mot ethnie ,alors le racisme est remplcé par l’ethnicisme qui n’est pas moins mauvais et terrible dans la réalité ;,voir la guerre ethnique entre Hutus et Tutsie avec le génocide de ceux-ci par les autres .

    chaque peuple a ses défauts et se s qualités , etc e n’est pas un racisme de mauvais aloi que de critiquer ces défauts qui s e trouvent en chaque individu ,il faut avoir un certain degré d’intelligence et d’humilité ,et l’humilité est une forme d’intelligence supérieure ,que de reconnaitre se s défauts ,et reconnaitre que tout autre a le droit et m^me le devoir de critiquer ces défauts . 

    ce serait du nihilisme que tout se vaut ,qu’il n’a pas pas défauts ni de qualités , qu’il n’ ya ni bon ,ni mauivais ,ni bêtes ni maéchants ,ni juste ni injuste,ni vrai ni faux , en un mot ni bien ni mal ;le monde actuel est malade de ce relativisme et nihilisme postmoderne surtout en Europe.


    • le moine du côté obscur 3 novembre 2013 23:52

      D’un je ne suis pas français je suis africain subsaharien même si j’ai vécu un certain en France et j’y suis allé plusieurs fois.
      Personnellement je pense qu’il n’y a qu’une seule race humaine et des êtres humains différents. Si certains estiment qu’il y a des races ça les concerne pas moi. Je ne voulais pas intitulé le texte le racisme, mais bon c’est fait, je fais avec. Le texte est centré sur la différence. C’est pour cela qu’à un certain moment je parle de religion. Certains sont « liés » par la religion ou des idéologies, d’autres se trouvent liés avec des gens qui leur ressemblent, moi je me sens proche des gens qui ont les mêmes valeurs que moi. Pour moi la peau n’est qu’une « carapace », seuls les esprits m’intéressent. Ce que je critique c’est le rejet de la différence. Le mépris de l’être qui nous paraît différent soit parce qu’il a des traits physiques spécifiques soit parce qu’il ne croit pas en ce que nous croyons. D’ailleurs probable que j’écrive un autre texte pour recentrer le débat.


  • franc 3 novembre 2013 21:48

    Et e n’est pas avec un monde de plus en plus métissé que le mauvais racisme s’arrêtera ;au contraire il se pourrait que les non métissés noirs-noirs ou arabes-arabes aurait plus à craindre des métis qui seraient moins amorphes ,plus énergiques et plus intransigeants et plus méchants dans leurs réactions et leurs comportements ,j’ai moi m^me vu de mes yeux à l’oeuvre où un noir-noir était bousculé par des noirs-marrons métissés.

    alors viendra le jour où les noirs-noirs ou arabes-arabes regretteront les blancs-blancs ou les gaulois-gaulois et prieront pour qu’ils reviennent en masse ;

     

     

    D’ailleurs je ne pense pas qu’il soit bon que le monde soit entièrement métissé du moins de la mauvaise manière , uniforme,monocolore et grisâtre ;,que tous les humains aient la peau marron ,les cheveux marrons et les yeux marrons par exemple ,c’est là un très mauvais métissage ;L’humanité a un besoin fondamental de diversités qui sont une richesse et une force ;

    le bon métissag e doit garder et préserver les qualités de chacun des composants tout en supprimant ou neutralisant les défauts

     

    d’ailleurs pour qu’existe le métissage il faut des peuples fondamentaux non métissés comme la couleur métissée verte abesoin de couleurs fondamentales bleu et jaune ,le monde neserait pas beau s’il n’ ya que la couleur verte ,il lui faut aussi d ela couleur bleue et jaune ,comme il faut des couleurs noires et blanches pour avoir la couleur marron.le monde est plus beau en multicolore avec toutes les couleurs fondamentales et ses variantes métissées

     

     


    • Xenozoid 4 novembre 2013 00:22

      vous l’aver touver ou celui la ?
      il dit"d’ailleurs pour qu’existe le métissage il faut des peuples fondamentaux non métissés comme la couleur métissée verte abesoin de couleurs fondamentales bleu et jaune"
      vous en avez beaucoup en réserve ?,parce que si la connerie a des couleurs, ben celui la est transparant


    • le moine du côté obscur 4 novembre 2013 13:04

      Je pense que l’humanité doit grandir comprendre ce qui est important pour elle. Si certains n’ont rien d’autre à faire que de vouloir dominer et se croire supérieur alors nous sommes perdus. Si par contre la majorité comprend que seule la coopération intelligente et raisonnable nous sauvera alors nous avons peut-être une chance. Car survivre telle sera sans aucun doute le prochain défi de l’humanité. Moi je ne m’attarde plus sur les querelles de cours de récré qui nous perdent le temps. Savoir qui a la « plus grosse » franchement qu’est-ce qu’on en a à cirer ? Alors où nous devenons raisonnable ou nous disparaîtrons pour moi ce n’est pas plus compliqué que cela. Après on peut philosopher ad vitam aeternam, pour ce que ça va changer....


  • Hervé Hum Hervé Hum 4 novembre 2013 10:54

    Bonjour l’auteur,

    juste une remarque, s’il faut bien laisser le passé au passé, il ne faut pas pour autant oublier que le présent se fonde, se batit sur ce passé. En d’autres termes, ne pas vouloir porter le passé de ses parents implique aussi renoncer à hériter de ce même passé dans les avantages qu’il donne. Héritage direct de ce passé esclavagiste et colonialiste.

    Donc, pour que le passé reste au passé il faut que le présent fasse la part entre l’héritage dû et l’héritage indu. Que donc, les héritiers occidentaux de la génération présente, rendent cette part indu à ceux que ses parents ont spoliés dans le passé. C’est la condition de la paix entre les peuples et les générations.

     Quelles est donc cette part indu ? Ce qui permet à la société occidentale de continuer à exploiter à son profit les ressources d’autres peuples, particulièrement ceux d’Afrique. Soit, de ne plus penser la répartition et la possession des richesses en fonction de l’héritage passé, mais en fonction des besoins présents de chacun.

    Ceci appelle effectivement à l’émergence d’une nouvelle société humaine se fondant sur un nouveau paradigme socioéconomique dont le centre de gravité est l’abolition de la propriété privé et l’avènement de la responsabilité individuelle et collective (des peuples).


    • le moine du côté obscur 4 novembre 2013 12:59

      La seule chose que je peux demander aux générations actuelles de l’occident est de rompre avec les hérésies du passé. Je pense qu’il faut un changement de paradigme au plan mondial et entrer dans un « Nouvel Ordre Mondial ». Il est clair que nous ne pouvons pas continuer comme nous le faisons. Il nous faut changer mais pas n’importe comment ! Et si nous refusons et bien des catastrophes peut-être pires que la seconde guerre mondiale nous guettent. Il faut selon moi aux occidentaux devenir plus humbles et aux autres peuples rêvant de vivre à l’occidentale devenir plus raisonnables. Il faut aux peuples faire des efforts, mieux communiquer et mieux partager. Mais je pense que les « démons de l’humanité » sont toujours là et brouillent l’horizon. Je pense que nous sommes à la croisée des chemins comme je l’ai dit dans ce texte qui n’a pas été publié (http://www.agoravox.fr/ecrire/?exec=articles&id_article=142963). Il y a un nouveau monde à inventer ou à découvrir !


    • Pierre Régnier Pierre Régnier 4 novembre 2013 14:59

      Je regrette, le moine, que votre article n’ait pas été publié, mais vous y montrez un côté fataliste contre lequel vous devez lutter.


    • le moine du côté obscur 4 novembre 2013 20:31

      Si j’étais fataliste je me serais déjà réfugié sur une île déserte, armé jusqu’aux dents. j’ai encore de l’espoir qui pour moi rime avec vie. Cependant je ne peux nier que cet espoir est mince et que je doute que le genre humain puisse se réveiller ! Je sens qu’il y aura un changement mais de quelle nature, il sera ! A voir...


    • Hervé Hum Hervé Hum 4 novembre 2013 22:46

      Je vais vous dire Le moine du coté obscurs, pour s’en sortir sans un grand bain de sang, il faut accepter de ne plus penser propriété privé mais responsabilité individuelle et collective.

      Voyez, c’est en réalité très facile à réaliser, mais en vérité très, très difficile. C’est à dire que tous les moyens matériels et humains sont disponibles pour y parvenir déjà, mais c’est l’opposition d’une petite minorité et l’absence de conscience de la grande majorité qu’aujourd’hui c’est possible, qui font obstacle.

       


  • franc 4 novembre 2013 16:35

    Comme le dit Mr Régnier , votre côté fataliste(euphémisme) Mr le moine , conscient ou inconscient, vous empêche de lutter contre la force de l’égo individuel qui enchaine tout homme à son niveau naturel et habituel de la vérité restreintre individuelle ,emêchant de vous en sortir et de s’élever vers un niveau supérieur de la vérité universelle .Aussi vous radotez sur l’argument d e la différence qui est un argument fallacieux .

    en effet la différence en soi n’est pas un bien en soi ,ni un mal en soi ,elle peut être un bien ou un mal ,une qualité ou un défaut .je l’ai déjà dit et je le répète il existe un bien et un mal ,et nier qu’il yait de s défauts ou des qualités relève du nihilisme qui est le fléau de la pensée contemporaine postmoderne relevant d’un individualisme exacerbé relativiste et absolu, .Avoir une verrue sur le nez ,c’est peut être une différence mais c’est aussi un défaut qui est très moche qu’on peut d’ailleurs facilement corriger.Il en est aussi des défauts de l’âme,tels que la jalousie ,la mesquinerie ,l’orgueil ;La religion justement ,fondée sur la raison ,raison universelle ,absolue et transcendante ,permet de reconnaitre et discerner la différence entre le bien et le mal ,et de s’attacher à cette vérité ,et permet aussi de regarder la vérité en face et de ne pas mentir surtout à soi-m^me.

     

    oui, et c’est l’humilité ,cette qualité fondamentale et qui est l’intelligence de l’intelligence ,la marque de l’intelligence supérieure ,qui permet ce discernement entre le bien et le mal et d’aimer la vérité quand bien m^me lorsque cette vérité montre nos propres défauts ,car pour pouvoir corriger nos défauts il faut d’abord les reconnaitre et ainsi pouvoir progresser et s’élever vers le bien.L’humilité est la beauté de l’âme ,et à défaut de la beauté extérieure on peut cultiver la beauté intérieure .C’est pourquoi pour le christianisme ,la valeur suprême n’est pas la charité mais l’humilité .

     

    c’est ainsi qu’il ne faut pas avoir peur de reconnaitre nos défauts ,peur que les autres vous rejettent en m^me que que nos qualités au contraire ,si’l’nous reconnaisssons nos défauts nous montrons par là m^me l’excellence de l’intelligence et la beauté éminente de l’âme ,et donc notre valeur supérieure ,ce qui fait que les autres nous aimeront davantage et nous respecterons plus ,car il n’ ya rien que les hommes aiment le plus que le bien selon Platon .

     


  • franc 4 novembre 2013 17:44

    il ya trois strates dans la nature humaine ,la strate de l’individu(individuelle ),la strate du peuple ( populienne) et la strate de l’humanité,et les trois sortes de libertés qui leur correspondent ,la liberté individuelle ,la liberté populienne (du peuple) ,et la liberté d el’humanité .Il ne faut pas confondre ces trois libertés qui se situent à des niveaux différents bienq u’elles soient liées et relatives les uns aux autres sans être pour autant contradictoires en soi .

    la liberté individuelle n’est pas absolue ,elle dépend de la liberté du peuple qui est m^me dépend de la liberté de l’humanité ,et inversement la liberté de l’humanité ne peut s’opérer pleinement qu’avec la liberté des peuples laquelle ne s’accomplit concrètement que dans la liberté d el’individu ;et ces trois libertés ne s’opposent pas ,se situant à ds niveaux différents ,mais au contraire tout en se limitant l’une l’autre elles se complètent et se renforcent mutuellement ;la liberté de l’individu renforce la liberté du peuple qui renforce la liberté de l’humanité et vice versa.

     

    c’est pourquoi lorsque l’on veut juger correctement de manière fine et complète et non pas de manière grossière et restreinte ,il faut se placer et raisonner avec subtilité à travers ces trois niveaux et non pas seulement sur un seul niveau .L’on peut bien se plaindre d’une certaine limitation de la liberté individuelle ,néanmoins on l’acceptera si cela profite à la liberté du peuple ,et si l’on pleure légitimement à cette limitation provisoire d’une partie de la liberté individuelle sur le plan ou niveau de l’individu , l’on se réjouit du gain de la liberté et du progrès du peuple en conséquence sur le plan ou le niveau du peuple .De m^me une restriction du moins provisoire de la liberté des peuples peut être nécesssaire pour la liberté et le progrès de l’humanité qui profitera en retour à à la liberté des peuples laquelle agira concrètemement en faveur de s libertés individuelles dont la restriction n’aura été que transitoire

     la liberté comme l’égalité qui ne sont pas des valeurs absolu es dépend aussi et peut être limitée par des valeurs plus hautes qui elles sont relativement absolue ,telle que la vérité ,la justice et la beauté qui leu lui donne un sens concret et positif


  • Pierre Régnier Pierre Régnier 4 novembre 2013 19:21

    le moine , franc, Hervé Hum...

    Le vrai débat sur le racisme n’a, en fait, pas vraiment lieu ici parce que, il y a quelques années, des scientistes ont décidé que « les races n’existent pas » en se fondant sur les études très sérieuses de scientifiques qui ont constaté que "nous sommes tous parents tous différents".

    Pourtant, comme le dit franc un peu plus haut, on n’a pas fait disparaître le mot « race » dans de nombreux textes importants, dont certains textes officiellement et internationnalement reconnus comme primordiaux. C’est, je crois, parce que ce qui compte en la matière c’est le ressenti de toutes les populations de la terre depuis des millénaires beaucoup plus que la stricte définition scientifique actuelle.

    Paradoxalement d’ailleurs - ou logiquement comme un complexe effet secondaire ? - on a créé parallèlement de nombreuses nouvelles formes de « racisme » (racisme anti-jeune, anti-vieux, anti-blonds, anti-blondes encore plus...) et on a plus que jamais dénoncé le « racisme ».

    Si, le moine, comme vous le laissez entendre vous publiez un nouvel article sur le sujet j’aimerais bien qu’un vieux monsieur (93 ans bientôt) s’en mêle : Albert Memmi, inventeur du concept de judéité, qui permet d’éclaircir bien des sujets et, nous dit wikipedia, de celui d’hétérophobie ainsi définie : refus agressif d’autrui, concept qui recouvre notamment la xénophobie, l’islamophobie (c’est moi PR qui souligne), la christianophobie, la bouddhistophobie ou l’homophobie par exemple.

    Compte tenu de la persistante malhonnêteté de nombreux journalistes et politiciens sur l’islamophobie, ça m’étonnerait que Memmi - qu’on ne peut pas soupçonner de racisme ou de vouloir la « défaite de la pensée » (comme dirait Finkielkraut) - n’ait pas évolué, précisé, au moins pour lui-même, ses définitions.

    Je crois qu’il faut, pour avancer, nommer clairement deux catégories distinctes de mots, de concepts aux sens très différents (et même si ça a l’air de compliquer la réflexion sur le problème : je prétends que ça l’éclaire et le simplifie). En matière de religion il y a

    - d’une part la judéophobie, la christianophobie (la catholicophobie...), la musulmanophobie, la bouddhistophobie...

    - d’autre part la judaïsmophobie, la christianismophobie (la catholicismophobie...), l’islamophobie, la bouddhismophobie...

    La première liste désigne des conceptions et pratiques condamnables parce que ce sont des individus qui y sont détestés, voire haïs en raison de leur appartenance religieuse : les juifs (croyants ou pas d’ailleurs), les chrétiens (les catholiques...), les musulmans, les bouddhistes...

    La seconde liste désigne des conceptions tout à fait acceptables dans les pays comme le nôtre qui ahèrent aux Droits humains et à la liberté d’expression car ce sont les religions qui y sont critiquées (moquées, rejetées, voire détestées...)

    Ce n’est pas du tout la même chose qu’être, par exemple, judéophobe et judaïsmophobe, christianophobe et christianismophobe, musulmanophobe et islamophobe...

    Être judéophobe, christianophobe, musulmanophobe... est détestable. Être judaïsmophobe, christianismophobe, islamophobe... est un droit élémentaire.


    • le moine du côté obscur 4 novembre 2013 20:37

      J’ai posté un texte qui me semble être la suite logique de celui-là : http://www.agoravox.fr/ecrire/?exec=articles&id_article=143156


    • epicure 4 novembre 2013 21:54

      tiens c’est marrant, manque quand même la phobie des mécréants que l’on retrouve dans toutes les religions monothéistes.
      L’utilisation des dites Xphobies ne servent qu’à victimiser un groupe particulier, en oubliant les autres. De tous temps les monothéismes ont su cracher leur haine contre ce qui n’était pas de leur religion, et ça ne concernait pas uniquement les religions listées au dessus.
      Sinon tu as raison, il faut savoir distinguer ce qui relève de la haine uniquement identitaire (les individus juste pour leur appartenance supposée), du rejet des idées, dogmes et pratiques liés à une religion déterminée.
      Mais certains ne veulent pas faire la distinction, ça les arrange de faire la confusion, cela leur permet de défendre leurs dogmes et, leurs pratiques autoritaire , leur intolérance.


    • Hervé Hum Hervé Hum 4 novembre 2013 23:17

      Pierre Regnier, d’accord avec l’idée du texte, sauf sur un détail, quand vous écrivez

      La seconde liste désigne des conceptions tout à fait acceptables dans les pays comme le nôtre qui ahèrent aux Droits humains et à la liberté d’expression car ce sont les religions qui y sont critiquées (moquées, rejetées, voire détestées...)

      Non, ce ne sont pas les religions qui y sont critiqués, mais l’extrémisme des religieux de ces religions. Donc, une catégorie d’individus, non condamnables en raison de leur religion, mais en raison de leur intolérance religieuse alors même que leur religion ne l’exige pas d’eux.

      Car si c’est la religion qui est condamnable, alors les deux listes sont solubles entres elles. Cela parce que c’est la religion qui singularise la première liste par le droit de toute personne à la liberté religieuse. Alors que la 2ème liste la rejette si on s’en tient à ce que vous écrivez.


    • Pierre Régnier Pierre Régnier 5 novembre 2013 09:46

      Pas d’accord du tout, Hervé Hum (et, d’une certaine manière, epicure vous a déjà répondu ci-dessus).

      Exprimer la phobie, la crainte d’une religion et détailler les raisons de cette crainte ce n’est pas forcément et uniquement critiquer l’extrémisme de certains de leurs membres (et le fondamentalisme, l’intégrisme, le dogmatisme etc...). C’est critiquer ce qui, dans la théologie de cette religion, peut y conduire logiquement et empêcher durablement qu’on y porte remède.

      Moi, si je suis islamophobe c’est parce que, ayant lu deux fois le Coran en entier, m’y reportant chaque fois que nécessaire, ayant lu de nombreux hadiths mis en valeur par les islamistes eux-mêmes (comme aussi la vie du prophète lui-même, véritable contre-exemple en humanité), ayant lu des textes sur l’histoire qui fut celle de l’islam depuis 13 siècles, regardant l’histoire contemporaine de l’islam... je constate que l’application durable des préceptes islamiques conduit logiquement à une violence effective durable, qui ne fait que s’étendre de nos jours aux pays qui en étaient jusque-là protégés.

      J’ai constaté que, contrairement à ce que vous dites, le prophète Mohamed et les rédacteurs du Coran exigent bien des musulmans qu’ils partent à la conquête du monde jusqu’à ce que celui-ci soit totalement soumis à leur Dieu Allah (en réalité à leurs descendants qui s’en disent les représentants sur terre). Ils leurs demandent de le faire « pacifiquement » (en méprisant dans les faits les lois des pays à conquérir) et par la ruse, mais aussi par la violence barbare quand ça ne va pas assez vite de cette manière.

      Ceux que vous appelez les « extrémistes » que je vois à l’oeuvre dans l’islam, je n’ai pas de haine envers eux, même si je les combats très fermement par la parole. J’aurais plutôt tendance, sinon à les aimer « malgré tout » comme me le demande le Dieu des chrétiens pour tous mes ennemis, au moins à les plaindre.

      Mais la liberté d’analyser les religions et de porter jugement sur ses préceptes quand ils sont terribles ne m’empêche pas de voir aussi parfois, dans l’islam, des appels à la bonté, à la commisération et à l’aide au plus pauvre que soi. Ça ne m’empêche pas de constater que de très nombreux musulmans (principalement parmi ceux qui ne connaissent pas vraiment leur religion) sont personnellement pacifiques et très aimables. Et dans ce cas je le dis.

      Simplement nous avons le droit, et selon moi le devoir, de dire l’horreur théologique islamique et en conclure que nous devons nous en protéger pendant qu’il en est encore temps.

      Ça ne m’empêche pas de répéter haut et fort que le judaïsme et, surtout, le christianisme (dans toutes ses composantes) doivent aussi rejeter ce qui reste criminogène dans leur théologie, même si, contrairement à ce qu’il est dans la théologie de l’islam, ça ne l’est plus depuis longtemps que partiellement et indirectement.

      Si vous avez envie de creuser cet apect du sujet voyez ici :

       

      http://centpapiers.com/benoit-xvi-premier-responsable-de-la-violence-religieuse-1/


    • Hervé Hum Hervé Hum 5 novembre 2013 13:17

      Bonjour Pierre Regnier,

      Vous avez lu le Coran deux fois, moi je n’ai pour l’instant lu que les 5 premières sourates.

      Toutefois internet permet d’extraire les sourates qui vous intéressent sans avoir à lire tout le Coran.
      Le jihad se présente plus comme une obligation défensive qu’agressive. De fait, la conversion à l’Islam ne peut se faire par la violence, mais par l’adhésion comme toutes les grandes religions. La particularité de l’Islam est qu’elle défini la zone géographique où elle est née comme un lieu saint en lui même. En dehors de ce lieu ou zone sainte, le jihad ne s’applique pas de manière absolu, mais relative. C’est à dire où il consiste à défendre non plus un lieu saint, mais tout fidèle quand à sa propre liberté de croyant. En résumé, on trouve une sorte de zone d’exclusion ou d’exclusivité religieuse qui ne s’appliquent pas ailleurs.

      Quoiqu’il en soit, une religion dans ses textes sacrés fondamentaux n’est pas contestable par fraction, elle se prend en totalité ou se refuse en totalité.

      Mais attaquer la religion en elle même c’est attaquer l’individu qui y croit de facto. L’un est indissociable de l’autre.

      Ce qui implique donc de voir si dans les textes sacrés, il est écrit l’impériosité de convertir tout le monde de quelque manière que ce soit ou bien de tuer tous les mécréants. Cette exigence n’existe dans aucune religion. Le message universaliste de la religion chrétienne n’est pas un commandement à la conversion forcé. Ni même le jihad des musulmans. L’obligation leur est faites de garder les lieux saints à l’Islam par tous les moyens possibles, pas de convertir le monde entier de la même manière. Cette volonté universaliste de conversion n’est présente que chez les extrémistes se servant de la religion pour assouvir leur soif de pouvoir.

      Quel que soit le texte et son sens, le propre de l’extrémisme est de détourner le sens pour le faire correspondre avec ses propres ambitions personnelles.


  • franc 7 novembre 2013 15:50

    l’islam est intégriste par nature et par essence à cause de ses dogmes en particulier le dogme hanbalite du coran incréé et donc est une religion du livre qui est plutôt un idolâtrie du livre .

    l’Eglise Catholique condamne dans sa doctrine officielle les religions du livre ,tout livrisme ,bilisme ,coranisme etc... y compris évangélisme comme une perversion religieuse et une hérésie idolâtre ,rout comme comme d’ailleurs le fidéisme c’est à dire la foi sans les oeuvres et la raison .

    Ainsi ce n’est pas seulement l’islam qui est visé mais aussi le protestantisme et en particulier le néoprotestantisme qui se fourvoie dans le biblisme en se soustrayant d e la voix de la raison ;

     

    les cinq principales écoles de l’islam contemporain a adopté définitivement le dogme hanbalite du coran incréé .Mais l’islam n’a pas toujours été un e religion du livre ,entre le 8è et le 9 è siècle ,les mutazilites ,ces musulmans rationalistes avec les califes philosophes Al Mansour et Al Mamoun,ont élaboré un e théologie du coran créé formant ainsi l’Islam des lumières dans ce qu’on appelle le Siècle d’Or de Bagdad.Malheuresuement à la fin du 9è sicècel à la chute du motazilisme remplacé par le hanbalisme il a été proclamé la fin de l’Ijtihad ,l’ère de l’interprétation rationaliste du coran ,et depuis l’islam ne s’est jamais réveillé malgré quelques tentatives vite étouffées par le cléricalisme islamique .

    m^me le chiisme contemporain (khomeynisme )a été contaminé par le hanbalisme et a adompté le coran omarien trahissant ainsi le s Pères fondateurs du chiisme ,Ali ,Hussein ,qui l’a l’a rejeté et m^me combattu Omar ,(l’instituteur de ce coran dit omarien avec Othman)) avec ses partisans les armes à la main .Il faut dire que ce Omar 2è calife du sunnisme , est une brute épaisse qui au tout début combattait Mahomet et puis a trahi son camp quand le vent a tourné en sa défaveur pour rejoindre le camp du futur vainqueur .Puis il a éliminé Mahomet pour prendre sa place et fait la guerre à la famille de Mahomet et m^me tué la propre fille de celui-ci ,Fatima , qui s’était violemment révoltée . C’est aussi ce Omar qui a incendié la fameuse bibliothèque d’Alexandrie en déclarant :brûlez tous les livres qui sont en opposition avec le coran ,et mais aussi les autres qui ne s ’opposent pas au coran car dès lors ils sont inutiles ,c’est alors que m^me les livres de mathématiques d’Euclides ont été brûlés.

     

    l’islam hanbalite coraniste omarien contemporain produit l’islamisme par esssence et le djihadisme par nature selon son idéologie coraniste qui pr^che la guerre permanente pour imposer l’islam sur toute la terre .Cet islam coraniste omarien doit être combattu en tant que secte infâme et meurtière .


  • non667 27 décembre 2013 19:29


    l’avenir est écrit dans le graphique ci dessous !
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Population_mondiale

    la chine s’est bâti sur le nationalisme -communisme ( au contraire du mondialo-communisme qui a échoué ) et ne se métissera pas !
    sans guerre et sans frontières avec la contraception pour les autres (la chine arête la sienne ) le monde sera jaune
    l’inconnue c’est l’arme génético- virale que recherche d abord israël puis les usa , via monsanto pour décimer ,stériliser , des populations ciblées et en protéger d’autres « génétiquement » protégées !
    .....


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