mercredi 24 novembre 2010 - par François Asselineau

L’horrible vérité commence à se faire jour sur les dirigeants européens

C’est avec un vif intérêt que j’ai pris connaissance du dernier article du journaliste britannique Ambrose Evans-Pritchard - dans le journal Daily Telegraph du 16 novembre - sur la crise irlandaise et européenne.

Et c’est pourquoi je prends l’initiative de vous en recommander la lecture ci-infra.

D’abord parce que son auteur est l’un des meilleurs journalistes du Royaume-Uni, et sans doute l’un des meilleurs journalistes du monde. Il continue, contre vents et marées, à faire son métier de journaliste, dans le sens le plus noble du terme. C’est-à-dire un métier d’investigation qui se fait un point d’honneur à découvrir la vérité derrière les mensonges officiels de tous les pouvoirs, puis d’en informer fidèlement et sans détours ses concitoyens, fussent-ils « sujets britanniques » dans le cas d’espèce. Pour ceux qui ont déjà vu mes conférences, Ambrose Evans Pritchard est d’ailleurs le journaliste dont je cite l’article du 17 septembre 2000 puisqu’il fut l’un des seuls, sinon le seul, à faire état des documents « Confidentiel Défense » déclassifiés à l’été 2000 par l’administration Clinton. Le journaliste du Daily Telegraph est ainsi le seul journaliste à avoir révélé que ces documents prouvaient - de façon on ne peut plus officielle - que la totalité de la construction européenne a été pilotée en sous-main par les autorités de Washington et leurs relais, tout au long des années 1950 et 1960 (les années après 1970 étant encore couvertes par le Secret Défense).

Ensuite, l’article d’aujourd’hui m’a d’autant plus frappé qu’il m’a semblé, à plusieurs reprises, avoir été écrit par moi-même ou par l’un des adhérents de l’UPR ! Quoi que je n’aie jamais rencontré Ambrose Evans-Prichard et qu’il vive dans un pays et un milieu socioprofessionnel fort différents des miens, ce journaliste talentueux est arrivé, par son travail sans relâche et ses investigations sans complaisance, à des analyses et à des comparaisons qui sont au fond exactement les nôtres. C’est bien la preuve que l’honnêteté intellectuelle et la vérité ne connaissent pas de frontière. Et c’est aussi la preuve, très porteuse d’espoir, qu’à travers toute l’Europe des forces sont en train de se lever pour briser la dictature impitoyable qui s’est mise en place sous couvert de « construction européenne » et pour rendre aux différents peuples d’Europe leur grandeur et leur bonheur, qui ne peuvent bien entendu aller de pair qu’avec leur liberté.

Comme on va le lire, les mots employés par Evans-Pritchard sont d’ailleurs très forts puisqu’il n’hésite pas à qualifier l’Union européenne d’organisation « proto-fasciste ». Et il a raison de le faire. De même qu’il a parfaitement raison de démonter – dans le cadre étroit d’un article de journal s’entend – le mécanisme absurde de l’euro, qui ne peut conduire qu’à son éclatement et à la destruction de l’Union européenne. Ceux qui ont assisté aux conférences que je fais depuis trois ans, et notamment à ma conférence sur la sortie de l’euro que j’ai faite depuis plusieurs mois, retrouveront des points communs, nombreux et évidents, avec mes propres analyses.

Enfin, qu’il me soit permis ici de dresser un triste constat sur la disparition de la liberté de penser et de publier en France.

Le Daily Telegraph, qui est l’un des journaux les plus anciens et les plus sérieux du monde, a fait d’Ambrose Evans Pritchard l’un de ses journalistes vedettes et lui ouvre grand ses colonnes pour publier l’article qu’on va lire. Ce journal et ce journaliste représentent à mes yeux ce qu’a de plus grand le peuple britannique : à savoir un goût inné pour le débat démocratique vrai, envers et contre tout.

Quel serrement de cœur ne m’étreint-il pas quand je pense qu’un tel article, dans un média de tout premier plan et sous la plume d’un journaliste de grand renom, est en revanche tout simplement impossible en France ! Dans le meilleur des cas, les médias français consentent de mauvaise grâce (et avec des arrière pensées calculatrices) à accorder, à dose homéopathique, un « point de vue » mal argumenté et faussement iconoclaste à telle ou telle personnalité politique connue pour son extrémisme ou pour sa complaisance avec les partis en place.

Jamais nos grands médias n’accordent de place à des analyses (et à des grands journalistes) lucides, honnêtes, démocratiques et sereines, donc réellement convaincantes - comme celles d’Ambrose Evans-Pritchard. Le regretté Maurice Allais en savait quelque chose. J’en sais moi aussi quelque chose, et vous avec moi, puisque, nonobstant la mobilisation de tous, nous n’arrivons toujours pas à obtenir un temps d’antenne dans les émissions, pourtant prétendument iconoclastes, de MM. Taddeï ou Bourdin par exemple .

Que chacun et chacune d’entre vous médite bien cet état d’asservissement des médias français et le fasse savoir tout autour de lui (ou d’elle). Car c’est là, principalement, que réside désormais le dernier verrou qui maintient les Français dans l’état d’hébétement qui empêche leur libération. Il est de notre devoir, à tous, de diffuser nos analyses, et aussi celles qui vont dans le même sens, comme cet article ci-après que je vous suggère de diffuser largement.

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L’article d’Ambrose Evans Pritchard auquel je fais allusion s’intitule The horrible truth starts to dawn on Europe’s leaders et est disponible librement à la lecture en anglais sur le site Internet du Telegraph, à l’adresse http://blogs.telegraph.co.uk/finance/ambroseevans-pritchard/100008667/the-horrible-truth-starts-to-dawn-on-europes-leaders/

Pour ceux qui ne lisent pas l’anglais, je me suis essayé à une traduction que je vous propose de consulter sur notre site internet. Elle ne vaut que ce qu’elle vaut et je ne prétends pas être un interprète hors pair.

J’espère néanmoins que cette lecture vous fortifiera dans la conviction que l’UPR est le seul mouvement politique qui ait une claire conscience des très graves enjeux du moment et qui propose aux Français la voie de sortie la plus sereine et raisonnable qui soit.

Quant à ceux qui nous critiquent, ils feraient bien de faire leur examen de conscience et d’y réfléchir à deux fois. Car le temps risque de venir vite où une sortie, en bon ordre et sans drame, de l’euro et de la funeste utopie européiste leur apparaîtra comme un moindre mal. Espérons qu’il ne sera pas alors trop tard.

L’UPR est le seul mouvement à proposer cette sortie politique et en bon ordre. À défaut d’UPR, il se pourrait bien que tout se termine en cauchemar et dans la rue, comme semble le craindre lui-même le journaliste du Daily Telegraph.

François ASSELINEAU



88 réactions


  • Augustule pipo 24 novembre 2010 10:53

    Encore un très bon article de notre cet excellent journaliste qu’est Ambrose Evans Pritchard.

    Les vrais journalistes d’investigation (Éric Laurent ?) sont très rares en France et n’ont pas forcement les tribunes ouvertes.

    L’Europe est un corps mort qu’ils tentent de réanimer et de nous faire accepter par tous les moyens.
    Le pire c’est qu’ils justifient les lacunes de l’Europe par le fait qu’il faille plus d’Europe, ces gens sont fous et irresponsables.

    Je languis le jour (prochain) ou ta ça s’écroulera comme un château de carte et qu’on verra nos petits députes européens pleurer sur leur euro retraite qu’ils ne toucheront pas !

    Merci M. Asselineau pour la traduction de cet excellent article, j’avoue que je surveille votre parti politique avec attention et espère vous voir bientôt dans un grand média.


    • Albar Albar 24 novembre 2010 19:16

      «  Les vrais journalistes d’investigation (Éric Laurent ?) sont très rares en France et n’ont pas forcement les tribunes ouvertes. »
      Thierry Meyssan en fait parti, celui qui révéla au monde ce dont sont capables les néo cons américains, et leurs chiens zélés type Blair, Sarso, Merkel et des j’en passe.
      L’interet US et son hégémonisme mondial ne s"embarasse pas de scrupule aucun, plus encore quand des sionistes sont aux commandes.


  • MAIKEULKEUL 24 novembre 2010 11:26

    j’ai lu avec beaucoup d’intérêt l’article de référence : il est écrit par un britannique anti-européen convaincu, nostalgique de l’empire britannique, et de la livre.
    Il aurait été plus « vrai » s’il avait fait des comparaisons avec la livre en capilotade, et les dettes abyssales de son pays.
    Bien sûr qu’il faudrait que l’euro explose : il représente 35% des réserves mondiales et a un actif circulant supérieur au dollar. Mais quand le dollar explosera, nous serons bien heureux d’être protégés par l’euro.
    Faire un mélange entre les instances antidémocratiques détestables de l’Europe, et l’euro relève de la manipulation et de la masturbation intellectuelle. Les problèmes que nous rencontrons actuellement sont DIRECTEMENT LIES AUX BANQUES ET AUX BANKSTERS ;
    NATIONALISONS LES CIRCUITS BANCAIRES ET BEAUCOUP DE PROBLEMES SERONT RESOLUS ;
    Le reste n’est que littérature


    • La Botte secrète 24 novembre 2010 15:37

      C’est vrai que le fait que l’UE appui constamment tous les lobbies banquier est de la littérature... smiley

      Ce qui est de la littérature, c’est de prétendre réformer le système bancaire sans en avoir les outils politiques.
      En insinuant que l’Europe ainsi que l’€uro ne sont pas de près ou de loin responsables de la situation actuelle, vous vous condamnez à soutenir son action, qui ne peut qu’être fondamentalement favorable aux banquiers puisque celle-ci est dans la main des lobbies bancaire et de l’influence étrangère américaine.

      Amérique elle-même dans les mains de... je vous laisse deviner.

      Il faut faire les choses dans l’ordre Monsieur et ne pas se laisser intimider par la propagande européiste. Sans l’aide de l’UE aux Etats-Unis les désordres commerciaux et financiers de ces trente dernières années n’auraient pas eu lieu.

      Retrouvons notre souveraineté par les urnes et conformément au droit international en sortant de l’UE.
      Ensuite vous pourrez taper sur les banques. Mais pas avant. Vouloir le faire dans le mauvais sens c’est se condamner à l’échec où ne pas avoir compris quelle est la vraie nature de la construction européenne. L’article nous donne une réponse : c’est une horreur.


    • perlseb 24 novembre 2010 18:49

      Entièrement d’accord avec MAIKEULKEUL. L’euro est attaqué par les agences de notations anglo-saxonnes qui veulent faire diversion sur leurs monnaies de singe (dollar et livre), il ne faut pas s’étonner s’il y a des alarmistes chez les anglo-saxons vis-à-vis de l’euro. Bien sûr que ça se casse la gueule, bien sûr que l’Europe, comme la France sont des dictatures.

      Maintenant, si c’est la démocratie que vous souhaitez, autant croire au père Noël et il faudra que vous m’expliquiez à quelle époque un pays, sur cette Terre, a déjà connu la démocratie. La conclusion c’est que je préfère quand même des dictatures en paix que des dicatures qui se déchirent entre elles. Si les nationalismes sont à nouveau exacerbés, on risque d’avoir des dictatures à la Hitler dans certains pays d’Europe (sûrement pas en France mais des graves divergences entre pays proches créent les guerres). Il faut choisir entre le système le moins pire et ayons conscience que c’est très difficile.

      Donc oui, MAIKEULKEUL a raison, les banquiers nous volent : nationalisons les banques au lieu de les innonder de fric pour payer leurs comportements irresponsables. En fait, si j’étais banquier, avec le système tel qu’il est, je ferais volontairement faillite pour recevoir de l’argent de l’état pour ensuite spéculer sur sa dette (vu que les intérêts de la dette, c’est moi qui les touche) : système absurde où les banquiers ne perdent jamais.


    • Vianney 25 novembre 2010 01:55

      Il y a beaucoup de choses dans ton commentaire, permets-moi d’en faire une critique constructive.

      Tu écris qu’aucune réelle démocratie a existé par le passé ou existe actuellement. Bon, je n’ai pas lu de bouquins sur la théorie de la démocratie, je n’ai pas non plus les connaissances historiques de deux millénaires entiers pour acquiescer ta phrase. Cette question est une question de philosophes et d’historiens et un commentaire sur Agoravox n’est pas le meilleur endroit pour traiter ce problème.

      Je suis moi aussi révolté par le pouvoir exceptionnel qu’on les banques dans nos « démocraties ». L’esclavage salarial actuel par la dette et la création monétaire privée est un fléau, on est d’accord. Nationaliser les banques me semble effectivement une proposition à considérer très au sérieux, qui résoudrait beaucoup de problèmes.

      Toutefois, dans une optique d’action politique à court terme, il faut replacer la tyrannie financière dans son contexte géopolitique. Nous avons face à nous un empire dont la main armée est le système bancaire, certes, mais aussi ses armées, ses réseaux d’influence, sa structure décisionnel. C’est ici que l’Union Européenne est à blâmer. Si les vautours du FMI mangent nos économies et nos acquis sociaux, c’est aussi parce que les décideurs politiques les laissent faire. D’où la question : qui décide ? qui fait les lois ? ... ? Ici, l’UE a une responsabilité écrasante. L’inventaire des CVs des commissaires européens est éclatante. François Asselineau le fait dans sa conférence « Qui gouverne la France ? » : http://www.u-p-r.fr/les-conferences-de-francois-asselineau/extraits-1-a-4/

      Tu écris préférer vivre dans une entité plurinationale (UE ? Europe ? Occident ?) plutôt que dans un espace national. Car une nation aura forcément des voisins, donc des ennemis, donc des conflits armés. Ici je ne suis franchement pas d’accord. La nation France a actuellement perdu sa souveraineté (monétaire notamment depuis 1973 etc). Cependant, si elle la retrouvait, elle pourrait mener une politique étrangère beaucoup plus progressiste qu’actuellement. L’actualité parle d’elle-même, nous vivons au sein d’un empire pluri-national qui nous mène déjà dans des conflits destructeurs (Afghanistan). Lors de la réunion du conseil de sécurité de l’ONU avant la guerre en Irak de 2003, Villepin et Chirac ont dû enfreindre une règle communautaire de l’UE (qui interdisait un veto si la majorité des états de l’UE n’était pas d’accord avec ce veto) pour s’opposer à la guerre américaine. Ici, c’est bien l’UE qui voulait nous obliger à participer à cette guerre basée sur un tissu de mensonges.

      Enfin, question : peut-on imposer des règles aux banques si il n’existe plus de frontières ? L’idée de la frontière, c’est de dire qu’ici, nous imposons ces règles.

      ++


    • perlseb 25 novembre 2010 11:20

      @ Vianney

      Pour la démocratie ; il suffit de partir de la définition : c’est le peuple (dêmos) qui a le pouvoir. Du temps des grecs, à qui l’on doit ce mot, les esclaves, femmes, métèques n’étaient pas considérés comme citoyens. Depuis, toutes les soit-disant démocraties sont représentatives : ce n’est pas le peuple qui a le pouvoir mais des représentants, ça change absolument tout : les oligarques n’ont plus qu’à acheter les représentants du peuple (corruption) et ils dirigent le peuple. Autrement dit, la démocratie représentative est une oligarchie : les hommes sont trop cupides et la concentration du pouvoir dans les mains de quelques représentants est une imbécilité flagrante connaissant l’homme (les décisions prises le sont contre notre intérêt : loi Giscard-Pompidou de 1973...).

      Maintenant, en supposant que certains prétendants à être représentants puissent être intègres et incorruptibles, je ne crois pas que le changement sera possible par des élections : il est trop facile de formater l’opinion majoritaire quand l’oligarchie dirige aussi les médias.

      Sinon je suis globalement d’accord avec vous. Vous expliquez qu’il faut sortir de l’Europe pour pouvoir prendre des décisions. Moi, je pencherais plutôt pour un mouvement populaire qui rapprocherait les peuples européens contre l’Europe-Argentine telle qu’on nous l’impose. Maintenant, si on regarde dans le détail, le peuple ne vaut pas bien plus que l’oligarchie dont il rêve de faire partie. Alors avant de penser à changer le système, le plus important serait que les gens comprennent que c’est l’individualisme qui nous a mené là où nous en sommes : mais là, je suis très pessimiste. Je vois plus loin que la période actuelle (dégonflage forcé des bulles de dettes) : si le travail utile disparait presque complètement, seule l’égalité instituée (à cause de l’absence de travail rémunérateur) permettra aux gens de vivre. Le capitalisme ne sera jamais adapté à la disparition du travail. Mais je crois que les gens préfèrent avoir un métier bidon qui leur donne le sentiment d’être utile (dans ces conditions, le futur, c’est Brazil) : à ce jeu-là, le travail inutile sera distribué uniquement aux esclaves les plus complaisants. On peut déjà observer cette évolution dans la dégradation rapide des relations professionnelles.


    • MAIKEULKEUL 25 novembre 2010 14:19

      @LA BOTTE SECRETE

      Je vous laisse imaginer la situation dans laquelle nous serions actuellement si l’euro n’existait pas et si le franc avait toujours cours. Les banksters, notamment US, s’en donneraient à coeur joie comme ils le font avec les obligations des grecs ou irlandais.
      Les américains ont vécu sur notre dos depuis 1945.
      Si le dollar est en capilotade, et si une solution existe de sortir des mains de ces gangsters, c’est l’existence de l’euro.
      Quant à votre vision des banques, il faut être naïf pour croire que la crise actuelle a été déclenchée par les salariés et les petits porteurs.
      IL FAUT NATIONALISER LES BANQUES, VIRER LES TRADERS ET CEUX QUI LEUR DONNENT LES ORDRES, INTERDIRE LA SPECULATION,

      et vous verrez que tout le reste N’EST QUE LITTERATURE


    • kéké02360 25 novembre 2010 20:08

      Mais kel kel connerie !!!!!!

      Ah sûr c’est de la littérature ton << analyse >> Maik !!!! 

      Que ce soit l’euro ou le dollar qui implose en premier c’est kif kif boursicot puisque l’un entraîne irrémédiablement l’autre dans sa chute !!!

      Le système ultra libéral est en phase terminal Maik et personne n’y peut rien !!

      Le nouvel ordre mondial ne sera certainement pas celui qu’on veut nous imposer smiley


  • Francis, agnotologue JL 24 novembre 2010 11:40

    L’article d’Ambrose Evans Pritchard est certes intéressant. Mais je ne comprends pas : pourquoi faudrait-il prendre bonne note des leçons d’un journaliste hors eurozone quant à ce que nous devrions faire en tant que membre de ladite eurozone ?


    • Augustule pipo 24 novembre 2010 11:55

      C’est toujours la même histoire :

      Seuls les juifs peuvent parler des juifs,
      Seuls les homo peuvent parler des homos,
      Seuls les musulmans peuvent parler des musulmans

      .....seuls les européens peuvent parler des européens


    • djanel Le viking- djanel Le viking- 24 novembre 2010 13:07

      Pauvre JL. Il faudrait apprendre à lire.

      .

      Quant à moi j’ai cru comprendre que Monsieur Asselineau voulait nous dire après avoir fait son éloge que le très subliminaire(moi aussi, j’ai du vocabulaire, subliminaire, subliminal : au seuil de la conscience)... que le très subliminaire anglais Evans Pritchard possédant une lucidité inestimable avait rédigé un article semblable ou proche quant à ses analyses aux siennes qu’il défend depuis belle lurette. 

      Il faut donc conclure que Monsieur Asselineau voit une confirmation de ses analyses dans l’article de Evans Pritchard.

      On se réconforte comme on peut mon pauvre JL et vous ne pouviez pas comprendre vous qui n’avez point eu la chance de lire sur AVox un commentaire confirmant que vos idées ne sont pas aussi absurdes.


    • Francis, agnotologue JL 24 novembre 2010 13:32

      pipo et djanel, seriez vous les petites mains de Mr Asselineau ?

      C’est à lui que je posais cette question. Par ailleurs, celui qui ne sait pas lire c’est djanel, puisque je n’ai pas critiqué l’article, au contraire. ma question est trop subtile pour que j’accepte que des imbéciles y répondent.

      C’est dit.

      Ceci étant, on assiste à un grand retour de DSK. La fille de Jacques Delors lui garde semble-t-il, la place au chaud. Je voudrais dire au sujet de la famille Delors, et plus généralement du clan qui grenouille autour, que ce clan, tel un animal blessé (dans son orgueil) est dangereux, et prêt à tout faire pour éviter que le scandale d’avoir mis la charrue avant les boeufs, l’euro avant l’harmonisation, n’éclate. Et ce clan est très riche, si vous voyez ce que je veux dire.

      Quant à djanel, s’il veut encore lâcher un étron sous ce fil, il est prié d’aller faire ses cochonneries ailleurs que sous mes posts.

      @ pipo : comparaison n’est pas raison. La vôtre est déraisonnable.


    • djanel Le viking- djanel Le viking- 24 novembre 2010 13:56

      Pauvre JL, vous écrivez comme un pied. En plus vous n’avez pas compris l’article d’asselineau. Les anglais sont dans l’Union. Votre expression hors eurozone n’a pas de signification. Ils ont eu raison de garder leur monnaie. Nous aurions dû faire la même chose.


    • Francis, agnotologue JL 24 novembre 2010 14:11

      djanel, tout le monde ici sait que vous êtes incapable d’écrire la moindre chose sans utiliser des artifices tels que « pauvre untel » ou autres saloperies du même genre. Vous ne trompez que vous même. 

      Vous illustrez merveuilleusement cet aphorisme d’Yvan Audouard : « Un con ne perd pas son temps, il perd celui des autres ».

      Je ne vous lis JAMAIS, excepté quand vous prétendez me donner des leçons.


    • djanel Le viking- djanel Le viking- 24 novembre 2010 15:13



      Merci d’avoir reconnu que je vous donnais des leçons. En voici une autre :

      le mot artifice peut signifier moyen habile conçu pour tromper. J’ai consulté plusieurs dico, ils disent tous à peu prés la même chose. Chavé pa qu’en disant pauvre JL, j’employais un moyen génial pour faire croire que vous n’étiez qu’un vulgaire sot.

      Une autre leçon.

      Dans votre citation, il y a une faute de logique. Un con ne perd pas son temps, il perd celui des autres. Pour perdre le temps des autres, il faudrait au moins déjà le posséder mais ce n’est pas possible. On ne peut donc pas écrire qu’on perd le temps des autres comme on perd son temps. Ce n’est pas logique ni conforme au bon sens. Pour éviter de dire une connerie, Yvan Audouard aurait dû écrire qu’un con ne perd jamais son temps mais en fait perdre aux autres.

      Pour l’insulte, vous avez encore de bonnes leçons à prendre.

      A votre service.


    • Francis, agnotologue JL 24 novembre 2010 15:26

      Allez, juste pour m’amuser : 

      La différence entre les deux formules est trop subtile et vous aura échappé : le con veut qu’on s’intérresse à lui, ce qui se traduit par votre formule que, du temps, il en ferait « perdre aux autres ». C’est par ce moyen, en s’appropriant un peu de leur temps, qu’il se croit, sinon supérieur, au moins leur égal.

      Quand Audiard dit que « le con perd le temps des autres », outre qu’il se sert d’une « licence poétique » (mais vous ignorez sans doute de quoi il s’agit) il veut, entre autres, dire que le temps qu’on consacre à expliquer quelque chose à un con est perdu par le fait que ce dernier n’en tire aucun profit.

      Vu ?


  • Daniel Roux Daniel Roux 24 novembre 2010 11:46

    Excellent article que j’approuve entièrement tant il rejoint ce que j’écris ici, régulièrement.

    "M. Delors avait raconté à ses collègues que n’importe quelle crise serait une « crise bénéfique », qu’elle permettrait à l’Union européenne de vaincre la résistance au fédéralisme fiscal et d’accumuler ainsi de nouveaux pouvoirs.« 

    Là était le pari de Delors. Construire un édifice en déséquilibre en misant sur la main invisible de la pesanteur pour le stabiliser. Delors n’a jamais joué au »badaboum", jeu instructif qui consiste à empiler des objets hétéroclites jusqu’à ce que l’édifice s’effondre à grand fracas.

    Et c’est exactement ce qui est en train de se passer sous nos yeux.

    Ce qui est particulièrement révoltant, est que ce sont les citoyens qui vont payer les pots cassés et que les responsables de cette catastrophe, non seulement reste au pouvoir mais en plus, vont continuer à nous donner des leçons.


    • lebreton 24 novembre 2010 23:42

      Helas c’est bien dire la lacheté de Delors ,mais d’autres soit disant socialiste ,nous ont fait le coup ,ils s’engraissent ,mais bon ils passerons ,« l’arme à gauche » comme tout le monde et ça c’est la vrai justice ,quelle france de merde ,la honte personnifiée ,c’est ça la patrie des droits de l’homme ,la france des bangsters !!!!!!!!!!!!!!!!


  • HELIOS HELIOS 24 novembre 2010 12:47

    ...
    Le probleme journalistique que vous evoquez cache en fait une haine contre l’Europe...

    L’Europe nous l’avons déja !
    Nous pouvons circuler librement , payer avec une monnaie commune et nos valeurs avec leur nuances sont (relativement) respectées partout et nos lois locales sont compatibles.

    le reste depend essentiellement des etats nations que nopus voulons conserver,  comme l’Euro.

    Que des britanniques, comme ils le font depuis des siecles viennent semer la zizanie et faire eclater ce que nous avons tant de mal a construire est, cela se comprend bien. Mais qu’ils soient soutenu par des europeens et des français de l’interieur c’est consternant de duplicité et de non intelligence... une courte vue bien irresponsable.

    ALors, maintenant qu’il y ait des situations difficiles et des problemes a resoudre c’est aussi evident. Mais ces probleme proviennent justement des milieux anglosaxons comme justement les regles financieres qui font que les etats doivent emprunter a des banques privées, entre autre...

    L’euro n’est en aucun cas un probleme, c’est l’usage que veulent en faire les banques qui le rends difficile a gerer. Redonnnez aux banques centrales le pouvoir sur la monnaie qu’elle n’auraient jamais du perdre, et associez les dans leurs decisions et vous verrez que l’Euro se revelera une arme incontournable pour les pays continentaux, dans le respect des criteres financiers.

    De plus l’Euro est egalement l’arme des citoyens et c’est en cela que l’allemagne a raison face a ceux qui veulent le devaluer, soi disant pour vendre mieux a l’exterieur et garder l’emploi, alors qu’ils produisent deja en dehors de l’emprise de l’UE. L’euro fort est le dernier symbole de notre souveraineté et de notre dignité d’europeens. Il est criminel de vouloir le voir disparaitre.


    • djanel Le viking- djanel Le viking- 24 novembre 2010 13:48

      Hélios.



      Lorsque vous écrivez que des britanniques, comme ils le font depuis des siecles viennent semer la zizanie et faire eclater ce que nous avons tant de mal a construire est, cela se comprend bien.

      Vous n’avez strictement rien compris. D’abord ce sont les britanniques qui ont demandé avec insistance pour rentrer dans l’union et ceci depuis le début. De Gaulle tout le temps où il fut au pouvoir, il leur refusa cette entrée non pas parce qu’il craignait qu’ils détruisissent l’Europe mais parce qu’ils savaient qu’ils en prendraient le commandement avec leur allier d’outre atlantique.

      Voilà qui est fait et Sarkozy continue l’œuvre commencée par Pompidou qui consiste à détruire la France au profit des anglo-saxons (américain et anglais) n’est-il pas entrain de chercher à fusionner notre armée avec celle des Anglais qui sont inféodés aux amerloques.

      Nous n’allons plus avoir de défense nationale pour nous défendre ni contre les anglo-saxons ni contre aucune une autre nation sans l’approbation américaine par la voie anglaise. Chaque fois que nous chercherons à déployer notre armée, il nous faudra l’autorisation des anglais puisque le projet de Sarkozy est d’avoir une armée commune avec les anglais et les américains, c’est l’OTAN. Qui nous défendra contre l’OTAN ?

      Vous n’êtes qu’un demeuré Hélios, qu’un pauvre idéaliste. C’est à cause de gens comme vous que nous devons supporter un Sarkozy triomphant. Parce que vous n’êtes pas lucide, vous votez pour n’importe qui.

      Vous allez me dire que vous n’avez pas voté Sarko. Soit mais Ségolène ou DSK ou n’importe qui d’autres auront la même politique puisqu’ils s’alignent tous sur la construction européenne qui est la destruction de la France programmée.


      Bravo, pauvre nigaud. En plus vous écrivez comme un pied... que dis-je.... 2 pieds....


    • HELIOS HELIOS 24 novembre 2010 14:16

      Merci beaucoup pour les compliments, cela me touche...

      Au fait, le Royaume-Uni, comme il faut l’appeller, a effectivement demandé de rentrer dans la CEE a l’epoque où cela n’etait qu’une association économique. Mais ensuite, lorsqu’il a fallu commencer a s’unir un peu plus ils ont exigé de rester avec des regles bien particulieres qui font que les annexes des traités depuis Maastricht sont essentiellement dédiées a ce qu’ils n’ont pas en commun avec nous.

      Vous leur pretez des relations avec les Etats unis qu’ils n’ont pas reelement. Ils sont particulierement egoïstes et ce sont les effets de la langue commune qui les rapprochent plus qu’une convergeance de vues et d’objectifs : les anglo-saxons n’ont aucune morale autre que celle de leurs petits interets et c’est pour cela qu"ils polluent l’Europe avec ce qu’ils tentent de nous imposer en permanence.

      Je vous rejoins sur la position de Pompidou face a l’indépendance de l’interet de la France

      Pour le reste, ma façon d’ecrire, je vous prie de bien vouloir m’excuser pour les fautes d’orthographe, je ne dispose que de tres peu de temps pour participer et cela se traduit par la redaction directe de mes commentaires dans la boite en bas et l’usage du clavier Qwerty. Je favorise donc le message plutôt que la forme même a cloche pied.
       

      Enfin, ma maniere de voter ne vous regarde pas et mes positions refletent ce que je pense au moment où je les exprime. Cela veut dire que je n’obeis pas a un dogme de parti ou de leader, que je sais reflechir par moi-même, et je souhaiterai que certain le fasse aussi.


    • bartelby 24 novembre 2010 14:59

      Que des britanniques, comme ils le font depuis des siecles viennent semer la zizanie et faire eclater ce que nous avons tant de mal a construire est, cela se comprend bien.

      Savez-vous qui est à l’origine de la construction européenne ? Ce sont les américains !!!

      Cela a été prouvé par ce même Ambrose Evans Pritchard en publiant une note déclassifié :
      http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/europe/1356047/Euro-federalists-financed-by-US-spy-chiefs.html


    • HELIOS HELIOS 24 novembre 2010 16:41

      Il faut arreter de dire n’importe quoi !

      Ce n’est pas parcque quelques organislmes americains aient eu une strategie protectrice de LEURS propres interets TEMPORAIRES qu’il faut en deduire qu’une bonne idée et sa réalisation leur est due.

      Figurez vous que pour permettre de recuperer ce que leur avait couté la guerre et surtout pour empecher les pays d’Europe de tomber sous la coupe du communisme que les amerivcains ont« inventé » le plan Marshall destiner a participer au financement de la reconstruction economique europeenne. Dans ses dispositions le plan Marshall n’avait pas que des avantages (pour l’Europe en général, les hollandais en ont fait les frais).

      Une des indications pour son dimensionnement etait que l’Erope se « federalise » afin que les reglements economiques soient favorables a leurs investissements. les americains n’ont rien demandé a personne, ni aux anglais, ni aux autres d’ailleurs.

      Donc les europeens, pas si c... que cela on bien organisé des Pools industriels, comme la CECA puis ont mis d’autres moyens en commun pour s’organiser autour de la CEE qui allait englober tous les secteurs economiques marchands. Je vous rapplle qu’a l’epoque le royaume uni s’appuyait sur son Commonweath et n’entendait pas se joindre a nous, jusqu’a ce que les canadiens et les autraliens decident de cesser de payer.

      C’est en voyant le succes de l’europe continentale, de la reussite de l’allemagne et du retournement continental des pays du benelux qu’ils desirerent participer a la CEE de peur de devenir une ile peripherique sans aucun pouvoir de décision (de nuisance faudrait-il preciser) envers cette CEE en empechant toute extension du modele hors de la sphere economique... et nous en payons encore aujourd’hui le prix.

      L’Euro et bien d’autres dispositions sont aujourd’hui concurrentes du modele americain bien qu’ils puissent pontuellement et opportunement en profiter... mais cela n’en font pas les instigateurs.

      Si d’un point de vue humain il faut que la Grande Bretagne soit dans l’europe et les americains tres proches de nous, cela ne veut pas dire que nos interets economiques ou militaires convergent. Nous appartenons bien au même ensemble civilisationnels mais cela ne donne ni aux uns ni aux autres le droit de decision sur nos avenirs a tous, et cela ne legitime pas non plus toutes les avanies passées.

      je vous conseille de vous documenter sur les tenants et les aboutissants des informations que vous mettez en avant. celles ci, sortie de leurs contexte peuvent faire l’objet de supputations absolument irreelles mais manipulatrices. Arretez donc, votre « remede » est pire que le mal !


    • La Botte secrète 24 novembre 2010 17:11

      L’Europe nous l’avons déja !
      Nous pouvons circuler librement , payer avec une monnaie commune et nos valeurs avec leur nuances sont (relativement) respectées partout et nos lois locales sont compatibles.


      Youpi ! Houra ! Je peux aller en Belgique et payer en € alors qu’avant je payais en francs belges wahou ! C’est pas grave si entre temps à cause de cette même construction nous avons perdu la démocratie, du pouvoir d’achat, de la dignité, et que les européens sont impliqués dans deux guerres absurdes !
      C’est tellement plus important de passer la frontière sans avoir à craindre qu’un douanier ne retrouve votre cargaison provenant d’Amsterdam !

      Que des britanniques, comme ils le font depuis des siecles viennent semer la zizanie et faire eclater ce que nous avons tant de mal a construire est, cela se comprend bien. Mais qu’ils soient soutenu par des europeens et des français de l’interieur c’est consternant de duplicité et de non intelligence... une courte vue bien irresponsable.

      A vous lire, je pense apercevoir le cas typique du français soutenant la construction européenne car ce serait une idée franco-continental afin de faire contrepoids aux Etats-Unis et au monde anglo-saxon en général. Que ne sera votre surprise lorsque vous découvrrirez l’horrible vérité ! A savoir que l’UE est dirigée par les EU avec l’aide de leurs alliés, Allemagne et Grande-Bretagne. La France est la grande perdante de ce processus. Comme le prouve les faits de son déclassement et de sa continuelle avance vers le précipice.

      L’euro n’est en aucun cas un probleme, c’est l’usage que veulent en faire les banques qui le rends difficile a gerer. Redonnnez aux banques centrales le pouvoir sur la monnaie qu’elle n’auraient jamais du perdre, et associez les dans leurs decisions et vous verrez que l’Euro se revelera une arme incontournable pour les pays continentaux, dans le respect des criteres financiers.

      L’€uro est un problème car une même monnaie ne peut pas être utilisée pour des peuples différents dont le différentiel économique est catastrophique, et qui ne peuvent encaisser les chocs monétaires du fait du manque de mobilité à l’intérieur de la zone euro (aka les grecques ne vont pas travailler pour BMW en bavière). Cela est prouvé dans les faits par la vampirisation de l’économie européenne par l’Allemagne, le dépeçage des industries franco-italiennes et la faillite total de beaucoup de pays du Sud.

      Sinon, navré de vous décevoir, mais le peuple européen n’existera jamais. Votre projet est donc voué à l’échec. L’UE ne sont pas un EU-bis, on ne travaille pas sur la même matière ; même si on essaye de transformer cette matière et de basiquement transformer tous les européens en anglo-saxon.

      De plus l’Euro est egalement l’arme des citoyens et c’est en cela que l’allemagne a raison face a ceux qui veulent le devaluer, soi disant pour vendre mieux a l’exterieur et garder l’emploi, alors qu’ils produisent deja en dehors de l’emprise de l’UE. L’euro fort est le dernier symbole de notre souveraineté et de notre dignité d’europeens. Il est criminel de vouloir le voir disparaitre.

      Ce paragraphe-ci est tout simplement une répétition de la propagande européenne. Du grand n’importe quoi sentimental.
      « L’euro est l’arme des citoyens »
      Ce qu’il faut pas entendre comme absurdités de nos jours ! En quoi elle serait l’arme des citoyens, il n’en ont pas le contrôle, contrairement aux banques !
      Dont je me permets de vous dire que vous êtes l’idiot utile !


    • HELIOS HELIOS 24 novembre 2010 18:35

      je sais, je sais, je suis un nigaud, j’ecris comme un pied et vous me dites aussi « idiot utile »... on se demande bien a quoi dailleurs ?

      Ce ne serait-ce pas faire preuve de plus d’intelligence que d’imaginer que l’Europe peut grandir dans une association de nations plutôt que dans des rivalité destructrice ?
      Ne serait-ce pas mieux que des mesures sociales, economiques viennent adoucir la difficultes toujours presentes partout ?

      Et a propos de l’Euro, quelle difference y-a-til entre un panier de monnaies verrouilés non devaluables les unes par rapport aux autres telles que nous les avions en 2000 et l’euro d’aujourd’hui avec les mêmes pieces et monnaies ? la difference pour le citoyen d’Europe c’est l’appartennance, la cohesion et la remunerations des banques sur le change.

      S’il faut s’attaquer a quelque chose, c’est à la gouvernance de l’euro, pas a l’euro lui même... mais votre clan d’isolationistes (et surtout restaurateur de feodalité) regarde le doigt, pas la Lune, vous avez compris la metaphore !


  • Agor&Acri Agor&Acri 24 novembre 2010 13:24

    Bonjour François

    je me permets de vous appeler François,

    je profite de vous avoir sous la main smiley pour vous faire part de mon admiration et de mes plus vifs encouragements pour votre action politique et citoyenne.

    Je vous ai découvert grâce à un forum qui est devenu une de mes références

    LE SILENCE DES LOUPS (Décryptage d’un monde interdit aux moins de 16 dents)

    Et pas plus tard qu’avant-hier, un intervenant du forum faisait encore référence à l’un de vos textes :
    Voici un lien cliquable :
    fédérer les écoeurés du système ?

    Car la question centrale, pour ne pas être finalement qu’un émietteur de voix favorisant les grosses épiceries UMPS qui nous jouent la partition du bi-partisme bonnet -blanc et blanc-bonnet
    (tiens, 3 tirets consécutifs...sans doute ma volonté de souligner l’indispensable nécessité d’être un trait d’union entre des causes communes qui dépassent les clivages imposés par le système)
    la question centrale, disais-je, est d’arriver à créer une plateforme de rassemblement de type CNR, pour écarter des affaires de la République, par les urnes, les cénacles qui tirent les ficelles derrières l’UMPS.

    Vous concluez votre article avec cette phrase :
    "À défaut d’UPR, il se pourrait bien que tout se termine en cauchemar et dans la rue, comme semble le craindre lui-même le journaliste du Daily Telegraph".

    Cette conclusion entre pleinement en résonance avec une phrase d’Orwell (1984) :
    "On ne crée pas une dictature pour empêcher une révolution, on crée une révolution pour instaurer une dictature".


    • bartelby 24 novembre 2010 15:14

      Comment doit-on comprendre ce message ?

      Un journaliste anglais qui critique l’Euro (et l’Europe) c’est quand même quelque chose d’assez hallucinant hein Mr Asselineau !

      Puisque l’on est anglais on est forcément euroscéptique ? Dois-je en conclure que la baronne Asdton (première vice-présidente de la commission européenne) est une euro-scéptique ???

      Si vos amis sont simplement ceux qui vous disent ce que vous voulez entenre, vous allez vous retrouver avec un tas d’amis bizarre...

      Beau syllogisme : Ceux qui pensent comme moi sont des amis donc tous mes amis pensent comme moi !!!  smiley

      le mieux est peut-être que vous fuyez au royaume-uni.

      Ah bah voilà, quelle belle preuve de débat démocratique que de dire aux contestataires d’allez contester ailleurs !!!


  • iciailleurs 24 novembre 2010 15:55

    Suggérer donc, dans les milieux financiers la création d’une monnaie mondiale, qui mettrait fin aux variations de change. Vous verrez, ils n’aiment pas.

    Idem, pour l’interdiction de la spéculation sur les produits agricoles, ils n’aiment vraiment pas.

  • Georges Yang 24 novembre 2010 16:12

    Quel est le lien familial entre ce journaliste et l’anthropologue des Nuers ?


  • BA 24 novembre 2010 16:50

    Mercredi 24 novembre 2010, vers 16 heures 15 :

    Les graphiques à voir absolument :

    Italie : taux d’intérêt des obligations à 10 ans : 4,325 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GBTPGR10:IND


    Espagne : taux d’intérêt des obligations à 10 ans : 5,066 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GSPG10YR:IND

    Ce qui se passe en ce moment même en Espagne est très important.

    Les marchés internationaux n’ont plus aucune confiance dans la capacité de l’Espagne à rembourser ses dettes.


    Portugal : taux d’intérêt des obligations à 10 ans : 6,994 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GSPT10YR:IND

    Irlande : taux d’intérêt des obligations à 10 ans : 8,826 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GIGB10YR:IND

    Grèce : taux d’intérêt des obligations à 10 ans : 11,930 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GGGB10YR:IND


  • keiser keiser 24 novembre 2010 17:05

    Cela ne va pas plaire mais tant pis !...

    Après ce grand article empli d’éloges pour Ambrose Evans-Pritchard , par François ASSELINEAU .
    Je trouve que ces éloges ressemblent à une forme de « flambées de l’amour de transfert » mentionnée par Freud .
    Je lis donc ce fameux article qui me faisait saliver d’avance mais ... déception smiley .
    Le contenu me semble assez faible et disons plutôt orienté .
    En effet ... comment faire abstraction de cette vieille pensée britannique ou Anglo-Saxonne en perpétuelle opposition , avec disons , la « pensée latine » .
    Difficile de ne pas se rappeler le mot de Churchill à De gaulle où il disait toujours préférer l’avis américain à celui des français .
    N’oublions pas non plus le « Comonwealth of Nations » , dont les intérêts ne sont pas vraiment européens .
    Je ne sais pas , non plus , si l’on peut mélanger la crise Irlandaise avec celle des autres pays mentionnés dans l’article .
    Sans parler de ces fonds d’investissements américains qui prennent un malin plaisir à détruire les entreprises européennes en les délocalisant après rachat .
    Il me semble que prendre tel ou intel comme bouc-émissaire , est un peu réducteur .
    Sur certains points je suis un peu d’accord mais l’ensemble ne me semble pas faire partie d’une réelle objectivité en ne prenant pas tout les facteurs en jeu .

    En ce moment , j’ai la nette impression d’assister à la chronique de la mort annoncée de l’Europe .
    Comme si après avoir bien positionné ses pions , l’offensive finale était prête à se mettre en route .
    J’aimerais comprendre les réelles motivations de ces chroniques .


    • bartelby 24 novembre 2010 18:26

      En effet ... comment faire abstraction de cette vieille pensée britannique ou Anglo-Saxonne en perpétuelle opposition , avec disons , la « pensée latine » .

      Difficile de ne pas se rappeler le mot de Churchill à De gaulle où il disait toujours préférer l’avis américain à celui des français .

      Tout d’abord, l’Europe n’est pas latine mais germano-latine. Donc voir dans l’opposition UK-UE une opposition entre le monde latin et anglo-saxons est tous simplement faux.

      Ensuite, l’opposition UK + USA vs UE n’existe pas puisque c’est justement les USA qui sont à l’origine de la construcion européenne. Voici un article d’Historia qui le prouve :

      http://www.historia.fr/content/recherche/article?id=6744


    • keiser keiser 24 novembre 2010 20:10

      Mais oui bien sur !...
      Déjà , je n’ai jamais parlé d’europe latine , donc interprétation directe .
      Les américains ont favorisé l’europe quand il y avait encore des communistes à Moscou .
      J’aime le moinssage pasquaïen .
      Toujours un régal de constater le squattage des forces vives de la nation .
      Mort de rire .
      Mais je m’étais prévenu dès le départ .
      Je commence à comprendre la téchnique d’auto congratulations .
      Notre grand petit homme n’est il pas le descendant direct de l’ami corse .


    • kéké02360 24 novembre 2010 21:11

      << Mais je m’étais prévenu dès le départ >>

      maiéééés contiiiinuez donc ààà vous ou ou préveeeenir trèèèèès cheeeerrrr smiley


    • La Botte secrète 25 novembre 2010 11:20

      Si je vous comprends bien la pensée anglo-saxonne est contre la construction européenne alors que la latine y serait favorable ?

      Dans ces conditions, il va falloir m’expliquer pourquoi l’UE est une construction américaine. Que la plupart de ses dirigeants sont dans des think tank américains, ont été lobbyistes pour des entreprises américaines ou bien ont étudié aux EU.
      Il faudra aussi m’expliquer pourquoi la plupart des documents sont en anglais et en allemand, et non pas en français, espagnol ou italien.

      Votre raisonnement est simpliste et donc ma réponse absurde.


  • sophie 24 novembre 2010 17:59

    Bonsoir Mr Asselineau, je sais que vous ne répondrez pas mais j’ai plusieurs questions vu votre parcours, merci si vous y répondez :
    1) longuet paska etc , n’avez vous pas de remords ou de choses à réveler ?
    2) avez vous rencontré et/ou travailler avec la formidable personnalité d’Edgar Pisanni ?


    • Augustule Augustule 24 novembre 2010 18:42

      François Asselineau s’est déjà expliqué sur son parcours dans un autre article, que vous pouvez consulter ici :

      http://www.agoravox.fr/actualites/europe/article/ubu-roi-sarkozy-et-merkel-veulent-83199#forum2724438


    • bartelby 24 novembre 2010 18:39

      Bonjour kerjean,

      Je me présente, bartelby pittbull smiley

      Comme vous le dites, NDA est un american young leader ce qui signifie qu’il roule pour eux et à côté, il se dit souverainiste.

      Cela s’appelle un traître et mr Dupont-Aignan est éstimé par les membres de l’UPR comme il le mérite.


    • bartelby 24 novembre 2010 18:43

      Madame LePen et son parti ne parle pas de sortir de l’UE ou à la St Glinglin. Comme tous les autres partis, elle parle d’une autre Europe.


    • bartelby 24 novembre 2010 19:48

      Bah oui, ils paient beaucoup de monde  smiley


      Ensuite personne ne crit sur tous les toits qu’il est un american young leader. Lorsque cela vient sur la table ils ont tendances à tirer la tronche ou a envoyer une personne comme vous smiley par exemple, je ne savais pas que monsieur Juppé et Montebourg en étaient !!!


      Puis on ne pait pas les personnes qui sont déjà d’accord avec vous. C’est toujours l’enemi que t’achètes  smiley Voilà pourquoi on ne trouve des vrais pro-atlantistes.


      L’UPR n’a rien de trouble, il s’est formé pour faire sortir la France de l’UE. Cette unique objectif n’a pas changé depuis la rédaction de la charte fondatrice ( http://u-p-r.fr/wp-content/uploads/2010/10/charte_fondatrice_upr.pdf ).


      Enfin, l’UPR s’oppose à tous les parti qui ne proposent pas de sortir de l’UE. Cela comprend tous les partis européistes convaincus mais aussi tous les partis pseudo-souverainistes dont l’existence n’a pour but que de siphonner les euroscéptiques pour les mener nulle part.


      Donc effectivement, ces souverainistes de pacotille ont droit à un traitement tout particulier. smiley



  • Pie 3,14 24 novembre 2010 18:26

    La construction européenne a été soutenue par les USA dès ses débuts dans le contexte de la guerre froide et de la reconstruction. Ils y voyaient un moyen de renforcer le bloc de l’Ouest face au bloc soviétique. Ces choses sont connues et étudiées depuis longtemps.
    Ceux qui ont mis en place l’Europe voulaient aussi éradiquer les risques de conflits particulièrement entre la France et l’Allemagne ( 3 guerres en 70 ans tout de même...).

    Ces objectifs ont été atteints, personne ne peut le nier.

    L’auteur qui a travaillé avec une belle brochette de politiciens véreux vient nous expliquer que l’Europe c’est le mal .

    Une posture aussi caricaturale qui s’appuie, quelle surprise ! sur des sources anglaises ne peut que susciter un sourire navré.


    • bartelby 24 novembre 2010 19:03

      L’auteur qui a travaillé avec une belle brochette de politiciens véreux vient nous expliquer que l’Europe c’est le mal .

      Belle attaque ad hominem en s’appuyant sur ses anciennes relations.

      Ensuite oui, L’Europe unie nie la réalité d’une Europe multi-culturelle et ce ne amener que de la souffrances à ses peuples.

      Economiquement, cela ne marche pas et on le voit chaque jour un peu plus avec la crise des dettes souveraines.

      Politiquement, cela marche encore moins à tel point qu’ils n’ont pu ratifier le TCE par referendum. De plus si vous regardez les conséquences d’un état pluri-éthnique nous pouvons regarder :

      - la Belgique
      - l’ex-Yougoslavie
      - l’ex-URSS
      - la palestine

      Dans tous ces exemples il n’y a que deux ou trois communautés. Que va donner l’Europe où l’on parle 23 langues.

       


    • Pie 3,14 24 novembre 2010 19:33

      L’Europe n’a jamais été conçue comme devant devenir un état souverain. En aucun cas elle nie la réalité multi-culturelle et elle n’a jamais prétendu se substituer aux états.

      Elle n’est pas responsable de la crise mondiale et l’effondrement de pays comme la Grèce ou l’Irlande est lié à des choix nationaux. Il est incroyable d’entendre un français affirmer que l’Europe économique « ne marche pas » alors que nous sommes probablement le pays qui a le plus profité de l’Europe économique.

      Quant à mes « attaques », je vous rappelle que Pasqua a été mis en cause dans 8 affaires, condamné déjà pour 2 d’entre elles, certaines sont encore en cours, relaxé complaisament dans d’autres, qu’il est un des fondateurs du SAC et qu’il a fait des haut-de-Seine un fief qualifié par son successeur « d’écuries d’Augias ».
      Longuet, après une jeunesse d’extrème-droite s’est contenté de 3 mises en examens terminées par des relaxes ( financement du PR, villa de St tropez et marchés publics de l’Ile de France).

      Libre à vous de considérer que ces politiciens sont des modèles d’intégrité, cela signifie seulement que vous n’êtes pas très regardant.


    • bartelby 24 novembre 2010 20:29

      Pour ce qui est de l’économie. La crise de la dette grec est belle et bien une crise de dette public. Cette dette s’est construite car ils ont pu emprunter aux taux européens. C’est cette décorrélation du taux d’emprunt et de l’état de l’économie réelle des pays. Pour que cela fonctionne, il faudrait avoir des économies bien moins hétérogènes pour que cela fonctionne.


      Ensuite pour ce qu’on doit à l’UE, si vous pensez aux diverses subventions je tiens à rappeler que la France est depuis le début l’un des contributeurs nets de cette institution.


      A titre d’exemple en 2008, la France donna 18 milliards à l’UE pour n’en recevoir que 12 sous forme de subventions divers et variées.


      De plus, globalement l’Europe n’est pas avantageuse économiquement pour ses membres. J’en veux pour preuve son taux de croissance, qui est la plus faible du monde depuis plus de quinze ans !!!


      Enfin, pour ce qui est des casseroles que traînent mr Pasqua et Longuet. Est-ce que dans l’une de ses affaires apparaît le nom de mr Asselineau ? Était-il un collaborateur de l’un de ces deux personnages aux moments des faits qui leurs sont reprochés ?


    • bartelby 24 novembre 2010 20:36

      mr Charette et mr Longuet sont-ils mr Asselineau ? Le connaissait-il au moment des faits qu’ils leurs sont reproché ?

      Attaquer le messager ne sert à rien

      Si NDA est sur cette liste c’est qu’il reçoit des sous de la part de la French american foundation.

      Pour ce qui est de la liste, je l’ai lu il y a longtempss mais je ne l’ai pas appris par coeur.


    • sperate 24 novembre 2010 21:58

      J’adore AgoraVox ..
      Tout le monde se prend pour le roi des intellos et y va de sa version sans oublier de rabaisser les autres au passage.

      Bonsoir.


    • aveclotanvatoutsenva 24 novembre 2010 22:22

      « sperate » le grand sage a parlé !
      Lui, il « rabaisse » tout le monde ; comme ça, y’a pas de jaloux…


    • aveclotanvatoutsenva 24 novembre 2010 23:34

      ==== à « kerjean » ===

      Asselineau n’est pas le biographe de Longuet ou de De Charette et on suppose qu’il a d’autres choses à penser (faire réellement sortir la France de l’UE) que la « jeunesse » de ministres avec qui il a travaillé.

      Quant à la différence entre Asselineau et Dupont Aignan, il suffit de lire la charte de l’UPR (http://u-p-r.fr/wp-content/uploads/2010/10/charte_fondatrice_upr.pdf) puis le « projet politique » de Dupont Aignan et particulièrement le volet N° 4 intitulé « Une France libre dans une Europe utile » (http://www.debout-la-republique.fr/Une-France-libre-dans-une-Europe.html) pour comprendre immédiatement que « NDA » se paie la tête des Français.

      Dupont Aignan se paie la tête des gens car son discours leur laisse croire qu’il est contre l’Europe alors qu’il écrit en fait « qu’il est temps de construire une Europe des Nations ».

      Dupont Aignan se paie la tête des Français quand il dit qu’il va :

      « Supprimer la Commission Européenne et encadrer strictement la Cour Européenne de Justice, pour redonner aux gouvernements élus le pouvoir de décision »

      (Il compte faire comment pour supprimer la Commission de Bruxelles, Nicolas ? Regarder Barroso dans les yeux et lui dire « dégage ! » et ensuite dire aux 26 autres pays de l’UE « Au fait, je vous informe que la France, toute seule, comme une grande, vient de supprimer la Commission de Bruxelles ! »)

      Idem pour ses foutaises de « délimitation des frontières de l’Europe », et autre « Europe à la carte ».

      Quant à sa soit-disant volonté de faire sortir la France de l’OTAN, c’est à mourir de rire quant on se souvient qu’il a appelé à voter, au second tour en 2007, pour un certain Nicolas Sarkozy dont un des objectifs principaux était précisément de replacer la France sous tutelle de l’OTAN…

      Par ailleurs, Dupont Aignan (en bon « Young Leader qu’il est…) se garde bien d’évoquer (et encore moins de dénoncer) le rôle crucial des USA dans la »Construction« européenne, ce qui est justement l’axe central du discours d’Asselineau.

      Enfin, si Asselineau critique plus précisément des gens comme Dupont Aignan, Le Pen, Chevènement, Besancenot ou Mélenchon, ce n’est pas parce qu’ils sont en »rupture" de l’UMPS, mais au contraire parce qu’ils en sont des sous-marins, et qu’ils trompent, pour mieux les égarer, les Français.


    • Liior 25 novembre 2010 00:13

      Une posture aussi caricaturale qui s’appuie, quelle surprise ! sur des sources anglaises ne peut que susciter un sourire navré


      Vous vous rendez-compte de ce que vous dites ? Vous pensez que les Journalistes anglais sont indignes d’être cités ? Il va falloir comprendre que Pujadas n’est pas la référence cher ami.

      Et quant au fond ? Que pensez-vous de l’Union Européenne ? Voulez-vous y rester, en sortir, la changer ? Parce que si c’est pour dire « Boouuh le salaud il a bossé avec Pasqua !! » .. On en avait pas forcément besoin.

      Constructif est un mot qui sert de moins en moins de nos jours.

      Cordialement,

    • La Botte secrète 25 novembre 2010 11:31

      "L’Europe n’a jamais été conçue comme devant devenir un état souverain. En aucun cas elle nie la réalité multi-culturelle et elle n’a jamais prétendu se substituer aux états."

      Mais vous pêchez vos infos au royaume des bisounours ou quoi ?
      Même au vingt heure de TF1, ils n’oseraient pas dire ça, ce serait trop gros, ça mettrait la puce à l’oreille aux gens !

      Laissez-vous effleurer par la réalité de temps en temps, c’est très agréable, vous verrez !


  • Morpheus Morpheus 24 novembre 2010 18:31

    Cher Monsieur Asselineau,

    Je vous remercie pour cette information et votre traduction de cet article intéressant et sans concession.

    Je partage avec vous cette analyse que nous sommes constamment trompé par les médias traditionnels, et pas seulement en France (même si le cas Français devient particulièrement inquiétant, et ce n’est certes pas feu Maurice Joly qui contredirait cette appréciation s’il voyait où en est la France aujourd’hui).

    Je partage également votre critique à l’égard de cette Union Européenne liberticide, prédatrice et félonne, qui spolie les droits et les libertés chèrement acquis par nos pères, grand-pères et ancêtres.

    Pensez-vous, comme moi, que la mise sous tutelle de la monnaie Européenne par une BCE entièrement privatisée (plus drastiquement encore, peut-être, que le dollar US par la FED) - et dont on ne sait exactement quels sont les organismes bancaires qui la contrôle - relève d’une haute trahison de la part des dirigeants des pays de la zone Euro ?

    Simple citoyen, je suis révolté par cette spoliation et la dictature bancaire internationale qui nous mène, par l’entremise de l’U.E., vers un Nouvel Ordre Mondial dont je ne veux pas !

    Pensez-vous, comme moi, que ce qu’écrivait Aldous Huxley en 1958 dans son essais « Retour au meilleur des mondes » - et que je cite si dessous - est devenu une triste et inacceptable réalité ?

    «  (...) par le moyen de méthodes toujours plus efficaces de manipulation mentale, les démocraties changeront de nature. Les vieilles formes pittoresques - élections, parlements, hautes cours de justice - demeureront, mais la substance sous-jacente sera une nouvelle forme de totalitarisme « non violent ». Toutes les appellations traditionnelles, tous les slogans consacrés, resteront exactement ce qu’ils étaient aux bons vieux temps. La démocratie et la liberté seront les thèmes de toutes les émissions (...) et de tous les éditoriaux, mais (...) l’oligarchie au pouvoir et son élite hautement qualifiée de soldats, de policiers, de fabricants de pensée, de manipulateurs mentaux, mènera tout et tout le monde comme bon lui semblera. »

    Très attaché aux valeurs démocratiques, je crains fort que nous ne vivions déjà - et depuis un temps certain ! - dans un substitut, un substrat de démocratie. Je crains que la solution ne puisse se trouver dans les urnes. Je crains que les dès soient depuis longtemps pipés et que l’on se joue de nous dans quelques cénacles autorisés et très fermés, tel les dîners du Siècle, le groupe Bilderberg, la Commission Trilatérale, le CFR ou la Société du Mont-Pélerin.

    Où est cette démocratie que l’on nous vente tellement depuis si longtemps ?


    • victor latent 24 novembre 2010 19:30

      J’ai exactement le même sentiment que vous. Que valent nos urnes face à cette machination colossale ?

      On m’a répondu d’avoir la foi : « Dans un pays en proie au chaos apparaissent des ministres loyaux ».

      Je veux encore croire au bulletin. Une dernière fois.


    • Morpheus Morpheus 25 novembre 2010 00:24

      Ce en quoi je veux croire, ce n’est pas en un sauveur, qu’il soit céleste ou terrestre. Ce en quoi je veux croire, c’est en un réveil des consciences et une prise de responsabilité individuelle d’un nombre grandissant de citoyens. La démocratie, c’est le pouvoir du peuple, par le peuple et pour le peuple. Et pour cela, c’est au peuple lui-même de prendre son destin en main, non en donnant son pouvoir à un homme ou une administration, mais par la démocratie directe.

      La véritable démocratie ne pourra être rencontrée qu’à ce prix. Le jour se rapproche où les hommes comprendrons que le sauveur, c’est en eux-même - et nulle part ailleurs - qu’ils pourront le trouver.


    • victor latent 25 novembre 2010 19:47

      "Ce en quoi je veux croire, c’est en un réveil des consciences et une prise de responsabilité individuelle d’un nombre grandissant de citoyens."

      A lire les différents messages, il me semble que c’est à quoi nous assistons. Certes le chemin est long, le mouvement est petit mais il grandit surement.

      Si la démocratie est le pouvoir du peuple, j’imagine mal des millions de Français à l’Elysée. Il est raisonnable qu’il soit représenté par un(e) élu(e). Un seul avion présidentiel à 190 millions d’Euros est suffisant.

      Ne me sentant pas « sauveur » ou « leader » dans l’âme, j’ai trouvé en Mr Asselineau le seul homme politique que je comprenne par ses exposés clairs et surtout cohérents. Le seul qui veuille bien expliquer le pourquoi de notre décadence.

      J’avoue que le visionnage de ses vidéos m’a casser le moral. « Ils » vont vite pour tout démolir et tout verrouiller. Si je savais déjà où j’ai mal, maintenant je sais aussi que toute la vaseline du monde ne suffira pas.

      Je suis partagé entre cet espoir qui peut se réalisé via les urnes ou une triste et irrémédiable décomposition de notre société.


  • galien 24 novembre 2010 21:47

    Je veux bien qu’on me vende l’Europe comme instrument de puissance, mais comment expliquer que tant de très haut fonctionnaires européens sont très très proches des américains quand à leur carrière.
    J’aimerais bien que l’on m’explique aussi en quoi l’euro fut bénéfique (merci de mentionner le salaire brut aussi pour faire une comparaison).


  • edgar edgar 24 novembre 2010 21:48

    Il y a plus détaillé sur le parcours de François Asselineau, pour rassurer Pie 3,14 : http://www.facebook.com/note.php?note_id=385563222037

    Après la dissolution de l’Assemblée Nationale en 1997, il rejoint l’Inspection des finances et se rapproche de Charles Pasqua lorsque celui-ci décide, en janvier 1999, de présenter une liste aux élections européennes de juin pour protester contre la ratification sans référendum du traité d’Amsterdam. Quelques mois plus tard, François Asselineau devient directeur chargé des affaires économiques et internationales au Conseil général des Hauts-de-Seine, présidé par Charles Pasqua, puis son directeur de cabinet de 2000 à 2004. Nicolas Sarkozy, qui devient Président du même Conseil général en avril 2004, l’écarte en le nommant Délégué général à l’intelligence économique à Bercy, poste où on lui fera rapidement comprendre que ses analyses ne sont pas les bienvenues.

    François Asselineau a donc rejoint Charles Pasqua au moment ou ce dernier était déjà en rupture de ban par rapport au système RPR et donnait l’impression qu’il allait sérieusement défendre la démocratie française contre l’Union européenne.

    Avant cela, il avait travaillé au cabinet de Gérard Longuet sur un poste technique qui n’implique pas de proximité profonde avec le ministre (sur les sujets diplomatiques par exemple, il y a de nombreux techniciens « de gauche » dans les cabinets ministériels actuels).

    Pie 3,14 écrit que l’Europe n’a jamais prétendu être un état. Cela seul suffit à dire la profondeur des illusions que nourrit Pie. C’est bien entendu pour ne pas avoir l’air d’un état que l’Union s’est dotée d’un drapeau, d’un hymne, d’une monnaie, d’une diplomatie, prépare un « parquet européen », s’est dotée d’une police des frontières et entend maintenant lever des impôts directs et emprunter sur les marchés financiers. Aucun rapport avec un état en effet !


    • bartelby 24 novembre 2010 22:32

      Belle argumentation,

      J’ai un petit faible pour le dernier paragraphe qui termine ce texte par une pointe d’ironie acidulé.

      c’est beau. smiley

      Merci Edgar smiley


    • bartelby 24 novembre 2010 23:17

      rebonjour revoilà le pittbull transformé roquet smiley

      L’UPR veut rassemblez les français qui veulent sortir de l’Europe. Malheureusement, votre « jeune meneur américain » n’en fait pas parti puisque comme il est dit plus haut, les américains veulent voir la France dans l’UE.


    • Pie 3,14 25 novembre 2010 09:25

      Cher Edgar,

      Asselineau est un anti-européen tendance« gaulliste de droite » pour simplifier. Il est pour une Europe des patries, il se méfie des américains et ce, encore plus depuis que la menace soviétique n’existe plus.
      En somme, rien de nouveau sous le soleil, n’essayez-pas de nous vendre de la vieille soupe pour une nouvelle recette.

      Le fait que l’UE ait un drapeau, un hymne ,une monnaie et un embryon de diplomatie ne fait pas d’elle l’équivalent d’un état souverain comme la Chine ou les USA.
      Les plus convaincus des européens misent sur un état fédéral ( les Etats-Unis d’Europe de Jean Monnet) et ils savent que ce n’est pas pour demain.
      Les moins convaincus désirent une simple zone de libre échange,c’est le cas de beaucoup d’anglais.
      Les anti-européens veulent un retour à l’Europe des états, celle d’avant-guerre. Ils reprochent à l’Europe son manque de démocratie et ses échecs.

      Mettre sur le dos de l’UE les échecs des états est une tendance bien française. Avant de crier au faschisme européen, demandez-vous comment un pays comme la France peut engager des troupes en Afghanistan sans même un débat parlementaire, pourquoi notre « hyper-président » peut gouverner sans rendre de comptes à personne ?

      Penser qu’un strict retour à la souveraineté des états et à la guerre économique entre voisins va nous sortir de la crise et faire progresser la démocratie signifie que vos « illusions » sont abyssales comparées aux miennes.




    • La Botte secrète 25 novembre 2010 12:00

      Edgar vous lamine mais vous vous enfoncez.

      "Pie 3,14 écrit que l’Europe n’a jamais prétendu être un état. Cela seul suffit à dire la profondeur des illusions que nourrit Pie. C’est bien entendu pour ne pas avoir l’air d’un état que l’Union s’est dotée d’un drapeau, d’un hymne, d’une monnaie, d’une diplomatie, prépare un « parquet européen », s’est dotée d’une police des frontières et entend maintenant lever des impôts directs et emprunter sur les marchés financiers. Aucun rapport avec un état en effet !« 

      Pie persiste et signe !

      Une entité avec un drapeau, un hymne, une armée, une constitution, un parlement, une groSSe commiSSion , une diplomatie, bientôt un impôt, un contrôle du budget de ses sous-entités , ce qu’on appelait des Etats et qui seront bientôt de simple sous-entités régionales dans lesquelles 80% des lois adoptés ne sont d’ores et déjà que des simples retranscriptions des désidératas de Bruxelles comme l’a avoué lui-même le président de l’assemblée nationale Bernard ACCOYER.
      Tout cela selon PIE ne fait pas un Etat. Qu’est ce qu’il lui faut ? Une jeunesse van Rompuyenne ?
      L’UE est un Etat, et un Etat »proto-fasciste", car totalement illégitime et anti-démocratique.
      Ca me fait beaucoup de points Godwin, mais ça me fait plaisir :)

      Je vous préviens que sur le plan argumentaire, la réponse d’Edgar risque de vous faire extrêmement mal. Mais comme je vois que vous êtes borné, ça ne doit pas vous effrayer des masses.


    • Pie 3,14 25 novembre 2010 12:34

      Car bien entendu, rejeter l’Europe en bloc c’est être nuancé et ne pas être « borné »...

      L’Europe politique, diplomatique et militaire n’existe pas. Les choix de politiques économiques et financières sont encore largement nationaux ( la crise vient cruellement de le rappeler à certains). L’Euro ne concerne qu’une partie des états européens ( pensez-vous que la monnaie anglaise s’en sort mieux ?).

      Croire qu’il suffira de supprimer l’UE pour retrouver la croissance relève de l’angélisme. Affirmer que les souverainetés nationales n’existent plus relève du fantasme ( au passage ,il faut arrêter avec cette histoire de 80% des lois, c’est un argument faux rabâché).

      Ce n’est pas en se recroquevillant sur notre pré-carré que nous sortirons de la crise. La période réclame au contraire solidarité et politiques communes. Libre à vous de trouver cela naïf, l’Histoire européenne du XXème siècle prouve pourtant le contraire.


    • La Botte secrète 25 novembre 2010 13:51

      Nous ne sommes pas bornés car nous partons des faits, et non pas de l’affect. Contrairement à vous qui avancez des contre-vérité éclatantes.


    • bartelby 25 novembre 2010 17:26

      À pi 3,1415926....


      Vous soulevez le problème de l’Afghanistan mais savez-vous que nous y avons des troupes de par notre appartenance à l’OTAN.


      Lorsque Chirac et Merkel (si ma mémoire est bonne) se sont opposés à la guerre en Irak, Ils l’ont fait en violant le traité de Maastricht qui leur imposait de suivre la majorité des états membres.


      « L’Europe politique, diplomatique et militaire n’existe pas »


      Ah bon, qu’est-ce que la commission et le parlement européen si ce n’est pas des institutions politiques européennes ? Et que dire du poste de mr Van Rumpuy ?


      Quel est la nature du travail de madame Ashton si elle n’est pas diplomatique ?


      Qu’est-ce que l’Eurocorps si ce n’est pas un corps militaire européens ?



      « Les choix de politiques économiques et financières sont encore largement nationaux »


      Si on prend le traité de Lisbonne, l’UE à la compétence exclusive sur :


      a) l’union douanière ;

      b) l’établissement des règles de concurrence nécessaires au fonctionnement du marché intérieur ;

      c) la politique monétaire pour les États membres dont la monnaie est l’euro ;

      d) la conservation des ressources biologiques de la mer dans le cadre de la politique commune de la

      pêche ;

      e) la politique commerciale commune.


      Et d’une compétence partagé, ( le pays membre peuvent légiférer sur ces question si l’UE n’a pas déjà statuer) sur :


      a) le marché intérieur ;

      b) la politique sociale, pour les aspects définis dans le présent traité ;

      c) la cohésion économique, sociale et territoriale ;

      d) l’agriculture et la pêche, à l’exclusion de la conservation des ressources biologiques de la mer ;

      e) l’environnement ;

      f) la protection des consommateurs ;

      g) les transports ;

      h) les réseaux transeuropéens ;

      i) l’énergie ;

      j) l’espace de liberté, de sécurité et de justice ;

      k) les enjeux communs de sécurité en matière de santé publique, pour les aspects définis dans le

      présent traité.


      Voilà pour la théorie, passons maintenant à la pratique. Prenons par exemple un débat qui a secoué la France récemment : la retraite smiley


      Et bien l’augmentation de l’âge de départ à la retraites ainsi que l’allongement de durée de cotisation en France en 2010 a été décidé par Bruxelles en 2002 lors du sommet de Barcelone. Voici un article du monde diplomatique d’époque qui le prouve :

      http://www.monde-diplomatique.fr/2002/04/CASSEN/16407


      « la crise vient cruellement de le rappeler à certains »


      Vous osez dire cela alors que la Grèce a été mise sous tutelle et qu’aujourd’hui l’Irlande en prend le chemin !!! Chapeau bas l’artiste !!!


      « L’Euro ne concerne qu’une partie des états européens ( pensez-vous que la monnaie anglaise s’en sort mieux ?). »


      Pourquoi ne parlez-vous pas de la monnaie suédoise ??? smiley


      « Affirmer que les souverainetés nationales n’existent plus relève du fantasme »


      Relisez la liste des compétences exclusive et partagées, après on en reparle.


      « Ce n’est pas en se recroquevillant sur notre pré-carré que nous sortirons de la crise. La période réclame au contraire solidarité et politiques communes. Libre à vous de trouver cela naïf, l’Histoire européenne du XXème siècle prouve pourtant le contraire. »


      Il n’est pas question de se recroqueviller mais de reprendre un semblant de souveraineté nationale afin que l’on puisse avoir un pilote dans l’avion.


      Enfin votre idée selon laquelle cette situation réclame de la solidarité n’est pas naïve, elle est tous simplement fausse. La solidarité européenne, loin d’avoir optimisé l’Europe, a grippé l’économie européenne avec un système communautaire autobloquant. J’en veux pour preuve le taux de croissance européen qui est le plus faible du monde depuis plus de quinze ans !!!



  • BA 24 novembre 2010 22:25

    Mercredi 24 novembre 2010 :

    Italie : taux d’intérêt des obligations à 10 ans : 4,343 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GBTPGR10:IND

    Espagne : taux d’intérêt des obligations à 10 ans : 5,064 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GSPG10YR:IND

    Ce qui se passe en ce moment même en Espagne est très important.

    Les marchés internationaux n’ont plus aucune confiance dans la capacité de l’Espagne à rembourser ses dettes.


    Portugal : taux d’intérêt des obligations à 10 ans : 7,016 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GSPT10YR:IND

    Irlande : taux d’intérêt des obligations à 10 ans : 8,864 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GIGB10YR:IND

    Grèce : taux d’intérêt des obligations à 10 ans : 11,921 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GGGB10YR:IND

     


    • bartelby 24 novembre 2010 22:35

      Libre à toi de garder la tête au fond du trou car malheureusement, tous ce que dit mr Asselineau est sourcé.


  • Yohan Yohan 24 novembre 2010 22:59

    Intéressant... mais quelles qu’aient été les combines initiales, l’EU a eu bcp d’occasions de montrer un visage attractif, sauf que son autisme et son arrogance vis à vis des peuples nous laisse plutôt l’image d’un « machin » à pondre des interdits


  • edgar edgar 25 novembre 2010 00:23

    Kerjean, on évoque ici un papier d’un journaliste britannique qui partage nombre d’opinions que défend non seulement François Asselineau mais également les adhérents de l’UPR.

    C’est vous qui ramenez votre fraise sur dupont, en le mélangeant avec chevènement ou d’autres. Chevènement ne propose même pas de sortir de l’euro et était prêt à rallier ségolène royal, laquelle souhaite que le parlement européen s’autoproclame assemblée constituante.

    C’est le problème avec tous ces souverainistes de posture : ils sont prêts à toutes les concessions pour sauvegarder des apparences d’indépendance. Je veux bien reconnaître que NDA fait des efforts plus que d’autres pour être cohérent. il reste qu’il ne souhaite sortir de l’euro que pour revenir dans une « monnaie commune », et qu’il n’est toujours pas clair sur le degré de rupture qu’il souhaite avec l’Union européenne. Par ailleurs, il a visiblement renoncé à l’idée d’un rassemblement droite/gauche, en s’alliant notamment avec le CNI (des européistes en plus) aux dernières régionales.

    Alors que je peux témoigner du fait que l’UPR est réellement un parti où droite et gauche cohabitent en vue d’un seul objectif : sortir de l’UE.

    Voilà. 

     


  • monpetitavis 25 novembre 2010 00:59

    Bon article du daily telegraph et je remercie l’auteur de l’avoir traduit pour diffusion en Français. Seulement je ne comprends pas très bien l’intérêt stratégique de se réclamer être le seul représentant du courant eurosceptique alors qu’on représente juste un club de pensée qui ne s’est jamais présenté à une élection. Avoir raison ne suffit pas à accéder au pouvoir. Pour cela il faut, excuser du peu, se présenter à des élections (du moins tant qu’on est en démocratie).

    Par conséquent, je pense sincèrement, que vous seriez plus efficace en amenant les différents mouvement eurosceptiques à vos conclusions (principe de club de réflexion) plutôt que de se réclamer être le seul vrai patriote et que le monde entier sont des traitres.


    • La Botte secrète 25 novembre 2010 12:11

      Les élections sont un objectif vers lequel nous tendons. Cependant nous n’existons que depuis 2007. Chaque chose en son temps.

      Quant aux autres mouvements pseudo-souverainistes, ils sont parfaitement au courant de nos analyses, mais reste pro-européens pour des raisons obscures.

      De plus l’UPR est le seul qui se donne le moyen de dépasser le clivage droite gauche DANS LES FAITS. Et non pas dans les discours. La composition du parti dispose en effet de personnes de sensibilités très à gauche jusqu’à des personnes très à droite. La ligne de rassemblement est le principe de souveraineté et donc la sortie de l’UE.

      Enfin, l’UPR n’est pas un club de réflexion mais un parti politique en forte croissance.

      Sinon, je tiens à vous répondre sur le fond. Souvent je lis des choses qui laissent à penser que nos politiciens sont des incapables qui devraient être formés par des « clubs de réflexions », certains ouvrages et la science de blogueurs du dimanche. J’ai lu des militants FN s’enthousiasmer du fait que Marine LE PEN lisait Maurice Allais ou bien parlait de la loi de 1973... comme si ces militants étaient plus cultivés que les cadres dirigeants du FN tous réunis.
      Arrêtez de prendre les hommes politiques pour des imbéciles. Ce sont des traîtres, des corrompus, en aucun cas des imbéciles (du moins pas ceux qui tirent les ficelles).


  • persothink 25 novembre 2010 01:11

    L’auteur du Daily Telegraph a parfaitement raison. L’UE est effectivement le fait d’un « proto-fascisme ». Sarko et Lagarde ont d’ailleurs été poussés et installés grâce aux stratagèmes de « services » américains.

    Nous avons suivi les publications d’un site suisse qui ne cesse de décortiquer les arcanes de l’Union européenne. Celle -ci exerce un chantage constant sur la petite Confédération helvétique dont le peuple et les 23 Etats ne veulent plus entendre parler de la carte forcée ni du chantage qui s’exerce sur elle constamment pour qu’elle adhère au bateau ivre de l’Europe-imposée-aux-peuples. . La Suisse a procédé par accords bilatéraux avec l’UE depuis des années. La Suisse est une excellente cliente de la France. Et réciproquement. Berne accorde près d’un milliard d’euros chaque année pour ...ne pas devoir adhérer à l’UE. Comme ils ont raison ! Et ils ont des « droits populaires » permettant au peuple d’opposer un veto à toute décision de son gouvernement fédéral. Suivez ce site, cela en vaut la peine :

    http://www.cartonrougeducitoyen.ch/index.php/component/content/article/1-nouvelles-quotidiennes/1168-initiative-contre-le-chantage-de-lunion-europeenne


  • edgar edgar 25 novembre 2010 01:20

    Monpetitavis l’UPR se présentera à des élections, en tout cas nous faisons ce qu’il faut pour. Et l’UPR ne s’oppose pas à ce que d’autres se rallient à ses conclusions !


  • Sachant Sachant 25 novembre 2010 01:35

    L’horrible vérité COMMENCE à se faire jour ?

    Ca, c’était bon pour les abrutis dans mon genre qui se sont exprimés, par idéologie bisounours
    En faveur du traité de Maastricht

    Depuis, à moins d’être né après la bulle spéculative dite, à l’époque, des « nouvelles technologies »
    Dite aujourd’hui « numérique »
    (Car elle était « numérique », la bulle spéculative, Arf !)

    Bref, l’horrible vérité
    A moins d’être nés de la dernière crise
    A moins de vouloir une accroche qui pète sur agoravox

    Pour finir, l’horrible vérité en question a été clairement exprimée
    Par Charles GAVE (Economiste et fier de l’être) en 2003
    Par le sulfureux Jean Marie le PEN (politicien de droite et fier de l’être) dans les années 80
    Par la sulfureuse Arlette LAGUILLER (politicienne de gauche et fier de l’être) depuis toujours

    Chacune et chacun ayant identifié « son » ennemi qui en profite
    Et à juste titre

    Bon, voir que des jeunots rejoignent la frange, ca fait plaisir

    Mais fais nous pas croire que t’as tout inventé bonhomme
    (
    On ne dit pas « fais nous pas croire » mais « ne nous faites pas croire que... »
    Ca, c’est de l’anticipation ou j’y connais rien en anticipation
    )


    • kéké02360 25 novembre 2010 20:24

      Tiens pour travailler ton élocution !!!!! répète 10 fois sans te tromper :

      Un chasseur Sachant chasser doit savoir chasser sans son chien  smiley


  • Blé 25 novembre 2010 06:14

    La privatisation de l’ état par l’oligarchie qui nous gouverne se concrétise. Pour les curieux voir ce qui se prépare avec les frères de Sarko : Guillaume, François et Olivier.

    Il n’y a pas que chez Woerth où règne le conflit d’intérêt, Sarko et ses frères le conflit d’intérêt n’est pas mal non plus.


    • bartelby 25 novembre 2010 17:44

      Afin de vous faire plaisir Kerjean.

      Mon affirmation de perception d’argent des american young leader est une conviction personnelle faute de preuve.

      Je me permet de reclasser mon propos dans la catégorie conviction personnelle smiley


  • dup 25 novembre 2010 09:40

    Comment voulez vous faire l’union « au delà des clivages »

    mais l’union avec QUI ? Le systeme profite à ceux qui vous citez , l’union est donc impossible . Monsieur Asselineau est seul a avoir les yeux ouverts . Ensuite soyez pas malhônete . Il s’agit pas de chemises noires ,mais donner à la France la souveraineté. Les chemises noires c’est des gens comme le mec de bruxelle qui se coiffe avec une fourchette et qui s’assoeille sur les réferendums . Ou vous êtes de mauvaise foi ou mal informé . avec le recul ça donne ceci :


  • edgar edgar 25 novembre 2010 09:53

    Kerjean, vous êtes juste ridicule. Si vous aviez vraiment combattu des chemises noires vous ne confondriez pas. Si vous voulez juste épater vos amis en expliquant que vous avez combattu les chemises noires d’Asselineau, évitez de les envoyer vers Agoravox, vous deviendriez pitoyable à leurs yeux. Faites du sport si vous voulez épater les foules, ou écrivez un truc intelligent.

    Sur le fond, vous inventez une mouvance anti-européiste dans laquelle vous intégrez Chevènement, prêt à travailler pour Royal qui veut une fédération européenne, et François Asselineau qui veut sortir de l’Union. Le seul intérêt pour vous c’est que vous voudriez voir NDA (votre Duce ? Vous voyez que ces comparaisons sont ridicules) prendre la tête de cette union. Les membres de l’UPR qui ont compris à quel point l’UE est nuisible ne sont pas prêts à se rallier à quelqu’un qui propose un euro monnaie commune pour prolonger l’existence de ce carcan néfaste. C’est si compliqué à comprendre que cela vous semble brutal et émanant de chemises noires ?

     


  • edgar edgar 25 novembre 2010 10:10

    Pie, j’avais raté votre message. Je n’ai jamais parlé de « faschisme européen », d’abord parce que j’écris en français habituellement.

    ensuite la France est en Afghanistan parce qu’elle est dans l’OTAN et que, notamment, le rapprochement UE/Otan est un axe politique fort en ce moment (un conseiller de Barroso a récemment proposé une adhésion pure et simple de l’UE à l’OTAN).

    Vous citez une paille, vous pourriez aussi évoquer la poutre qui a consisté à faire avaler le traité de Lisbonne aux français qui l’avaient rejeté. Visiblement, ça ça ne vous pose pas de problème de démocratie.

    La France n’est pas parfaite et la démocratie comporte des risques d’erreur ou de mauvaise politique. Il n’empêche que c’est un système qui a l’immense mérite de la clarté et de la responsabilisation. La démocratie est bien plus vivante au niveau national qu’à l’échelle du conglomérat européen. Demandez aux suisses, les plus démocrates des européens, s’ils ont envie de rejoindre la bureaucrature européenne !
    Et les erreurs de pilotage commises à l’échelon USA+UE (à l’OMC par exemple) se paieront bien plus cher que celles qu’auraient pu commettre, seul, chacun des membres de 27 ;


    • Pie 3,14 25 novembre 2010 14:18

      Edgar,

      Tout les pays de l’Otan n’ont pas envoyé de troupes en Afghanistan. La décision relève des états et l’UE n’a rien à voir dans cette affaire.

      Le traité de Lisbonne, resté en travers de la gorge des anti-européens permet simplement d’éviter le blocage complet des institutions généré par l’élargissement de l’UE.

      En affirmant que la démocratie est bien plus vivante au niveau national, vous confirmez simplement que l’UE ne l’a pas confisquée. Cependant, je ne suis pas certain que la France, avec son parlement godillot et son exécutif omnipotent en soit le meilleur exemple.

      La Suisse illustre une démocratie locale, celle qui est justement soutenue par l’UE. Subsidiarité, décentralisation, soutien aux régions sont au coeur du projet européen, voilà pourquoi les centristes y sont favorables.

      L’UE est pleine de défauts et de contradictions mais je ne fais pas partie de ceux qui pensent qu’il faut jeter le bébé avec l’eau du bain.

      Vous n’avez jamais parlé de fascisme, ce sont vos supporters qui usent et abusent de l’expression sur ce fil au point de me conduire à mélanger les auteurs.
      Puisque vos arguments tendent à faiblir, vous pouvez corriger mes messages en relevant les fautes de frappe, c’est toujours utile. 


    • bartelby 25 novembre 2010 18:04

      « Le traité de Lisbonne, resté en travers de la gorge des anti-européens permet simplement d’éviter le blocage complet des institutions généré par l’élargissement de l’UE. »


      Il n’est pas question de cela, lorsque la France a rejeté démocratiquement le TCE en 2005, elle a rejeté tous les traités précédents.


      Ensuite que notre président balaye ce rejet démocratique de l’Europe. Il se permet de passer outre en ratifiant le traité de Lisbonne, traité considéré par chacun comme quasi-identique au TCE.


      Pour moi, cela n’est ni plus ni moins qu’un coup d’état bureaucratique. Voilà pourquoi monsieur Ambrose Evans Prtichard parle d’état proto-fasciste.


      Ensuite vous pouvez ce que vous voulez mais cette institution est devenu illégitime en France le soir du NON


      « En affirmant que la démocratie est bien plus vivante au niveau national, vous confirmez simplement que l’UE ne l’a pas confisquée »


      Beau syllogisme, l’existence d’une démocratie vivante au niveau national dans son esprit ne veut pas dire que cette démocratie existe dans l’UE dans l’espace (la Suisse est pays qui n’est pas dans l’UE) et dans le temps (la France d’hier n’était pas dans l’UE)


      « La Suisse illustre une démocratie locale, celle qui est justement soutenue par l’UE. Subsidiarité, décentralisation, soutien aux régions sont au coeur du projet européen, voilà pourquoi les centristes y sont favorables. »


      Vous avez raison, tout se décide localement dans l’UE, il n’y a qu’à voir les retraites smiley



  • Liior 25 novembre 2010 14:13

    Enfin, il est temps de faire taire les voix peu expérimentées qui emboîtent le pas à la guerre « Gauche/Droite », comme quoi un homme de droite (que serait Asselineau) ne peut répondre aux besoins sociaux des gauchistes mais ne répondrait effectivement qu’aux droitards nationaux.


    L’UPR rassemble des gens comme on l’a déjà dit beaucoup de fois, de toutes les positions. Je suis un citoyen « de gauche » (même si dans le cadre de l’Union Européenne cela ne veut strictement rien dire). Comment en suis-je arrivé à l’Union Populaire Républicaine ?

    Premièrement par l’étude de la monnaie et pourquoi la dette Française est aussi grande. Il se trouve que la Banque Centrale Française ne peut plus remettre de crédit à l’état et ce à taux 0. Cela n’est pas la faute de l’Europe, mais de Pompidou et Giscard qui ont fait passer ce décret en 1973 (Article 25 de la réforme des statuts de la banque centrale du 3 janvier 1973). Or il se trouve que la grande majorité de ce que nous devons (notre dette) est composée d’intérêts. Je me suis donc dit qu’il fallait changer cela. Malheureusement, même si aujourd’hui, nous voulions changer cela, nous ne le pourrions pas puisque Maastricht a consacré ce principe dans son article 104 au niveau Européen en 1992, et Lisbonne l’a repris dans son article 123.

    A partir de là, une solution s’offre à moi : Je m’engage dans l’étude de la manière de revenir en arrière : Il faudrait proposer au niveau européen que la BCE puisse prêter aux états à taux 0, comme avant 1973. Impossible : L’Allemagne ne le laissera jamais faire, ainsi que d’autres pays au sein de la zone euro qui ont sur cette question une attitude plus que dogmatique.

    Ensuite j’en suis venu à la question du protectionnisme. Comment faire en sorte qu’il y ait un protectionnisme raisonné qui ne ruine pas nos économies ? En France, la droite et la gauche, ayant été alternativement au pouvoir, n’ont pas la main sur nos négociations de l’OMC, puisque c’est le comité 133 (qui tire son nom de l’article 133 des traités) ainsi que le commissaire européen dédié qui se chargent de ces questions pour l’entiereté de l’Union Européenne.

    Je me dis donc : Il faut un protectionnisme au niveau Européen. Encore une fois, nombreux sont les états membres qui ne sont pas d’accord. Il faut de plus compter sur l’article 110 du traité de Rome, qui explique que non seulement on ne doit pas faire de protectionnisme, mais qu’en plus de cela, le statut quo n’est pas possible : Il demande à ce que les frontières aux échanges internationaux soient systématiquement démentellées.

    Cela commence à faire beaucoup pour le gauchiste que je suis. Je tombe ensuite sur le bouquin « L’Europe Sociale n’aura pas lieu » (http://www.lalettrevolee.net/article-32054718.html) et je le dévore une ou deux fois. Je constate que j’étais encore loin de la réalité, puisque nombreux sont les obstacles qui existent avant d’arriver à quoique ce soit qui s’apparente à du Social en terre Européenne :)

    La question la plus cruciale à expliquer aux Français concerne la souveraineté : En France, on est souvent « pas d’accord » entre nous.La gauche contre la droite, les ouvriers contre le MEDEF, etc etc.

    Et bien imaginons qu’un jour, pour une certaine mesure (n’importe laquelle, appelons la « toto »), la France entière (100% des Français) soit d’accord. Les ouvriers sont d’accord pour la mesure TOTO, le MEDEF est d’accord pour la mesure TOTO, les droitards sont d’accord pour TOTO et les gauchistes AUSSI sont d’accord pour TOTO. Et bien la magie de l’Union Européenne, c’est que cette mesure TOTO n’est pas du tout sure, loin de là, d’être mise en place, malgré que 100% des Français soient d’accord.

    En effet, soit la mesure est conforme au droit communautaire, et donc on peut la faire passer, soit elle ne l’est pas, et on ne peut pas la mettre en oeuvre. Si jamais elle ne l’est pas, conforme au droit européen, on peut peut-être demander à la commission de l’autoriser, et notre commissaire pourrait jouer de son influence : Faux, notre commissaire ne représente que 4% de la commission. Alors peut-être que les parlementaires Français à Strasbourg pourraient nous défendre ? Et bien non, ils ne représentent que 9% du parlement. Même si ils sont tous d’accord entre eux, il leur restera 91% du parlement européen à convaincre, autant dire mission impossible.

    Et donc on se retrouverait avec une mesure TOTO, dont 100% des Français veulent, mais qui ne serait pas applicable .. 

    Le seul et unique moyen de récupérer la maitrise de notre dette, de récupérer la maitrise de notre protection commerciale à l’OMC, de récupérer notre entière marge de manoeuvre sur les problèmes du monde ... C’est de sortir de l’Union Européenne.

    Encore une fois, je ne suis pas simplement un réactionnaire xénophobe qui n’aime pas l’Europe, mais bien un citoyen conscient, qui a compris en regardant les traités et en apprenant bien ses leçons d’économie, que la France n’a plus le pouvoir de maitriser son destin au sein du village mondial.

    Il faut étudier beaucoup, s’investir énormément au dela des simples sujets développés au JT de 20h pour commencer à entrevoir l’horreur des institutions européennes. Certes, les institutions Françaises ne sont pas parfaites, mais celles de l’Union Européenne sont vraiment calamiteuses.

    Bien cordialement à tous.

    • kéké02360 25 novembre 2010 20:40

      De plus en plus de monde partage ce projet urgent de sortir de l’europe et çà commence à les faire flipper les protos fachistes européens :->


  • edgar edgar 25 novembre 2010 21:43

    Pie, la démocratie est restée vivante en France pour les compétences, de moins en moins nombreuses, qui demeurent au niveau national.
    C’est ce que vous appelez la conception européenne de la démocratie locale : le national peut discuter du sexe des anges, l’Union se charge de fier le taux d’intérêt, les plafonds budgétaires etc. Les suisses refusent absolument cet encadrement, au cas où vous ne l’auriez pas remarqué, c’est donc radicalement incompatible avec ce que vous affirmez : la subsidiarité notamment n’a jamais été concrètement définie. Pour ce qui est de l’UE en Afghanistan, il y a au moins EUPOL (300 hommes, gérés à l’européenne, donc inefficacement : http://www.courrierinternational.com/breve/2010/11/15/eupol-afghanistan-une-mission-peu-efficace).

    Pour les retraites, le cadre des réformes a été défini par l’UE dès 2002 http://www.lalettrevolee.net/article-pourquoi-les-syndicats-ont-fait-passer-la-reforme-des-retraites-61063181.html et http://www.lalettrevolee.net/article-retraites-non-a-la-reforme-sarkozy-jospin-58793212.html

     


  • Christoff_M Christoff_M 25 novembre 2010 23:45

    pourquoi ne pas se référer à Denis Robert quand on analyse les dessous des circuits de l’argent et d’une Europe qui n’est qu’une vaste baudruche sans contenu, servant de plaque tournante à de nombreux réseaux ou systèmes pilotés dans l’ombre hors Europe...

    L’asservissement des Etats par une crise provoquée et une main mise de certains organismes mondiaux comme le FMI, on sait pour qui il travaille..., permet l’ingérance et le controle de l’économie de certains états qui se comportent ensuite comme des soumis corvéables à Merci...

    Après avoir servi de terrain de jeux aux escrocs et banquiers véreux de la planète mondialiste...

    On fait la même chose dans les magasins en distribuant des cartes avec des taux énormes aux plus modestes, obligés de payer des intérêts disproportionnés pour engraisser toujours les mêmes, la smala politique et financiers au pouvoir, et autres grandes pointures du CAC chez nous...

    Les vendeurs d’automobiles vivent de ventes de pièces, d’entretien et de crédits fournis habilement avec le véhicule dont la plupart des pièces sont fabriquées bien loin, la sous traitance mondiale permettant encore une bascule aux acteurs de la mondialisation !!
    Le consommateur est berné de tous les coté et paye des intermédiaires qui s’engraissent joyeusement...

    La fameuse crise mise en place par nos amis mondialistes permet de mettre les états à genoux et d’instaurer privatisations, restriction à tout va, licenciement des fonctionnaires, chomage massif, donc masse de gens aux abois pret à accepter n’importe quoi pour survivre !!

    A votre avis qui se frotte encore les mains, le crédit étant devenu obligatoire partout pour ceux qui sont justes ou qui essaye de se maintenir dans un certain confort... les loyers élevés de centre ville permettent d’éloigner les masses laborieuses et de leur faire consommer des transports ou les forcent à acheter des voitures et à habiter plus loin !!!

    nos amis banquiers et de l’industrie sont ravis encore une fois tout cela leur fait rentrer de l’argent sans se forcer, et tout le monde continue dans l’endettement, jusqu’à faillite et faire appel au FMI avec le généreux DSK qui vous prêtera à 10% !!!

    Et tous les rapaces de la finance des mondialistes se précipiteront pour spéculer sur la dette d’un état déja tres malade, combien de fois cela est arrivé dans des états africains dirigés par des hommes de paille à la solde des européens ou des américains !!!

    Quand est ce qu’on se décidera à ouvrir les yeux sur les réseaux et les trafics des margoulins de la finance mondiale, qui gagne plus d’argent lorsque vous ou votre état va mal avec des « produits sophistiqués » inventés par des grands cerveaux qui ruinent les états pour le bonus deux ou trois escrocs jamais inquiétés, quand ils ne deviennent pas écrivains, conseillers, voir professeurs et pourquoi pas scénaristes de grandes productions hollywoodiennes pour certains !!


    • Christoff_M Christoff_M 26 novembre 2010 00:05

      Madame Lagarde comme monsieur Woerth font partie du « système » ...

      on attend toujours la lutte active de cette grande et charmante dame contre les organismes de crédits aux taux abusifs, qui ne sont autres que des filiales de nos grands établissements bancaires qui eux présentent l’accueil et la façade rassurante de la finance mondiale...


  • BA 26 novembre 2010 22:55

    Vendredi 26 novembre 2010 :

    Italie, Espagne, Portugal, Irlande, Grèce : plus les jours passent, plus ces cinq Etats empruntent à des taux d’intérêt exorbitants.

    Les marchés internationaux n’ont plus aucune confiance dans la capacité de ces cinq Etats à rembourser leurs dettes.

    Les taux d’intérêt de ces cinq Etats explosent.

    Italie : taux d’intérêt des obligations à 10 ans : 4,417 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GBTPGR10:IND

    Espagne : taux d’intérêt des obligations à 10 ans : 5,178 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GSPG10YR:IND

    Ce qui se passe en ce moment même en Espagne est très important.

    Les marchés internationaux n’ont plus aucune confiance dans la capacité de l’Espagne à rembourser ses dettes.


    Portugal : taux d’intérêt des obligations à 10 ans : 6,987 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GSPT10YR:IND

    Irlande : taux d’intérêt des obligations à 10 ans : 9,196 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GIGB10YR:IND

    Grèce : taux d’intérêt des obligations à 10 ans : 11,773 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GGGB10YR:IND


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