La fermeture de C8 doit nous révolter tous !
Doit-on se réjouir lorsque son adversaire est réduit au silence par le Système que l'on combat ? Le débat moral, trop enclin aux états d'âme et à la subjectivité, échouera à trancher la question. Reste alors l'analyse dépassionnée et utilitaire pour trouver un éclairage objectif. Car si l’indignation à géométrie variable est un premier réflexe naturel, la stratégie, maître mot du combat politique, exige de plus hautes considérations.
Après la validation par le Conseil d'État de la décision de l'Arcom quant au retrait de C8 de la TNT, beaucoup de voix se sont élevées à droite pour dénoncer une décision qui apparaît comme politique. MM. Ciotti, Collard et d'autres figures droitières ont apporté leur soutien à la chaîne en sursis et à son futur ex animateur Cyril Hanouna, criant non sans raison à la censure exercée par une autorité non élue. À gauche, cependant, silence de plomb. Une minorité d'excités se rengorge ouvertement, tandis que la majorité des personnalités publiques respectables éludent la question, trop peureux d'affronter la dissonance cognitive qu'elle cause pour ces zélateurs de la démocratie : l'on se contentera de jubiler en coulisses. C'est de bonne guerre. L'on devine que la droite n'aurait pas plus d'états d'âme si un média de gauche venait à être supprimé. Qui, au RN, pleurerait pour Médiapart ou Libération ?
À bien regarder le marigot politique français, nul ne défend réellement la liberté d'expression : chaque camp semble plutôt lutter pour son propre droit à s'exprimer, tout en cherchant à restreindre celui de ses adversaires. L'on se souvient, par exemple, du tollé provoqué à gauche par Éric Zemmour lorsqu'il a proposé d’abroger la loi Pleven (ce précieux verrou de la morale républicaine) sanctionnant "l’incitation à la haine". Puis ce fut le tour de la droite, naguère si amoureuse de l'audace du verbe, de se pâmer en vestale offensée lorsque des députés LFI ont suggéré d’abroger le délit d’apologie du terrorisme. Pourtant, ces infractions relèvent toutes deux du crime politique, du musellement du discours public, utilisées comme leviers répressifs avec une parfaite constance pour restreindre la liberté de parole de ceux qui dévient trop à gauche ou trop à droite de la très étroite fenêtre d'Overton. Un dissident authentique ne doit pas simplement chercher à élargir cette lucarne dans sa direction, mais à en scier tous les barreaux, y compris ceux qui restreignent son adversaire. Or, au lieu d'aspirer à briser la cage, les deux camps de "l'opposition" se contentent de vouloir en réajuster les verrous à leur convenance, rêvant de Thélème pour soi et de Bastille pour l'adversaire ; à la plus grande joie du Système qui bâillonne tour à tour l'un ou l'autre, s'assurant de leur servitude commune.
Il est plus que jamais temps de ressusciter ce que l'on nomme bien à tort le principe voltairien, ce fameux aphorisme prêté au philosophe des prétendues Lumières : "je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous puissiez le dire". Il convient toutefois de préciser que non seulement Voltaire n'a jamais prononcé ou écrit cette phrase – attribuée de façon apocryphe par l'auteure britannique Evelyn Hall –, mais qu'elle ne correspond même nullement à l'esprit qui animait réellement l'auteur de Zadig et de Candide, dont on oublie bien souvent l'élitisme, l'affairisme et la collusion avec les pouvoirs. Il est désormais établi que ce cher Arouet n'a pas hésité à user de ses relations haut placées pour faire censurer le journaliste Fréron, son rival littéraire, et qu'il a en outre tenté de faire arrêter Rousseau, son autre rival, allant jusqu'à servir de mouchard aux autorités françaises et genevoises. Voilà l'idole que vénère la République, la caution philosophique d'un régime qui bâillonne ses opposants… Il y a là une certaine logique, à vrai dire.
Mais si cette maxime n'est pas du patriarche de Ferney, elle n'en est pas moins juste, non pas tant par morale que par simple lucidité politique. Car qui sait si la censure qui s'abat aujourd'hui sur les mal-pensants d'un camp ne visera pas demain ceux de l'autre, et si celui qui jubile aujourd'hui des chaînes d'autrui ne se trouvera pas lui-même aux fers pour avoir offensé le même pouvoir ? Tex ou Guillaume Meurice, Cyril Hanouna ou le général Delawarde, Didier Raoult ou Étienne Chouard, tous les censurés méritent sinon notre soutien à leur personne et à leurs idées, du moins notre indignation et notre combat pour leur liberté de parole qui est aussi la nôtre. Un pouvoir qui censure ne protège jamais telle cause ou telle vérité, il ne se protège que lui-même.
La disparition forcée de C8 procède-t-elle d'une décision politique ? Posons la question de façon sérieuse, sans verser dans le complotisme facile. Lorsqu'en Russie et en Géorgie, les justices nationales respectives ont fermé certaines chaînes d'opposition, ou ordonné d'incarcérer leurs dirigeants pour avoir proféré des injures ou appelé à l'insurrection, la bonne société humaniste européenne s'en est indignée jusqu'au Parlement européen et à la CEDH. L'on y dénonçait alors une censure, une atteinte intolérable à la liberté d'expression, une dérive autoritaire etc. Selon ces mêmes apôtres de la démocratie, la décision française n'aurait, elle, rien de politique (dixit Macron). Elle relèverait exclusivement du droit, la chaîne ayant manqué à ses obligations contractuelles. Soit. Mais lorsque ces pays de l'Est condamnaient leurs chaînes d'opposition, ne le faisaient-ils pas aussi au nom de considérations juridiques et dans le cadre des lois en vigueur ? Aucun pouvoir ne censure ouvertement au seul motif que le contenu diffusé lui déplaît. Même au sein des régimes dits autoritaires, il existe un cadre légal servant de légitimateur. Croire que les pays dits "éclairés" sont exempts de censure politique et que celle-ci est le fait exclusif de contrées semi-barbares où des tsars, des sultans et des mikados feraient de leur bon plaisir une loi, voilà qui relève d'une naïveté doublée d'un solipsisme moral fleurant bon la mentalité Belle Époque (on ne le rappellera jamais assez : le droit-de-l'hommisme et l'universalisme humaniste sont des expressions douceâtres d'un Occident qui n'ose plus affirmer ouvertement son sentiment de supériorité).
Alors, oui, la suppression d'une chaîne d'opposition par un tribunal dont les magistrats sont recrutés quasi exclusivement dans la caste énarchique – à laquelle on n'accède pas sans un double sésame social et idéologique –, et cela, à la suite d'une décision émanant d'une autorité de régulation médiatique dont les membres sont désignés par le pouvoir en place, cela procède effectivement d'une décision politique, quel que soit le paravent juridique brandi pour lui conférer une légitimité.
Et bien que la chaîne C8 en général, et l'émission "Touche pas à mon poste" en particulier, brillent davantage par leur médiocrité que par leur apport intellectuel – en cela, elles ne diffèrent guère du reste du paysage audiovisuel français –, leur censure pour des motifs politiques constitue une atteinte au peuple et à sa liberté d'ouïr le contenu qui lui plaît. Tout citoyen soucieux de justice devrait s'en indigner, indépendamment des affinités politiques.
295 réactions
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leypanou 24 février 11:13
Excellent article auquel le tdc moinsseur, monté en grade en fdp moinsseur, a mis 1 étoile.
Le Conseil d’État (et le Conseil Constitutionnel) n’a trouvé rien à dire sur l’obligation de piqûre lors de la plandémie pour les professions en contact avec le public mais pas pour les policiers : voilà où en est notre démocratie.
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Institut Proudhon 24 février 13:39
Merci pour votre commentaire, @leypanou
« TDC », c’est quand-même fort :). Les gens ont évidemment le droit d’être en désaccord avec le contenu publié. Ce qui est un peu frustrant, en revanche, c’est que certains mettent des notes négatives sans donner d’argumentation derrière. Là encore, c’est leur droit. Mais c’est toujours mieux d’échanger les avis ouvertement plutôt que de se balancer des 1 ou 0 étoiles arbitraires. À la limite, remplacer le système des étoiles par un système de likes/dislikes comme sur Reddit aurait plus de sens et serait plus révélateur de l’effet réel provoqué par les articles sur le lectorat.
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tonimarus45 25 février 07:12
@leypanou-bonjour —Oui le deux poids deux mesure est devenu une regle.Ceci dit concernant c8(comme d’ailleurs « cnews ») il ne s’agit pas de droit a la « liberte d’expression », mais de droit a « la liberte D’UNE expression »« , celle qui consiste generalement a taper a bras raccourci sur la gauche, essentiellement le »fi« .Je comprends que certains de droite et d’extreme droite soit scandalises par la fermeture de cette chaine.Bien sur si il s’agit que d’hanouna, sanctionne plusieurs fois ,la solution aurait ete de l’interdire de tele et la chaine et surtout ces travailleurs auraient etes sauves.On a su le faire pour certains humoristes dont on avait fait semblant de ne pas comprendre le deuxieme et meme troisieme degre, pourquoi pas »hanouna" ???
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Yukimuras 26 février 15:52
@tonimarus45
« mais de droit a « la liberte D’UNE expression »« , celle qui consiste generalement a taper a bras raccourci sur la gauche, essentiellement le »fi« . »Lol, que font les médias gaucho a part dire toute la journée, ce sont les fassos, ce sont les réacs, ce sont les rassisstes d’ED pour tout et n’importe quoi ...
C’est la même limonade ... -
Jean-Luc Picard-Bachelerie 2 mars 11:15
@Yukimuras
Il vous a échappé qu’il n’y a plus aucun média de gauche sur les réseaux publics. France Inter, France info, la télé publique ne sont plus de gauche depuis longtemps. -
Yukimuras 5 mars 09:54
@Jean-Luc Picard-Bachelerie
Eh ben c’est la meilleure celle là. Je comprends alors l’extrême sensibilité des gauchistes et leurs reflexes pavloviens de crier aux fassos ect si France TV et Radio France ne sont plus gauchiste selon eux.
Qu’est ce qu’il vous faut de plus alors ? Vous êtes en guerre permanente contre 95% de la population alors si les médias gauchiste actuels se résument à l’Huma et Blast pour vous
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Buzzcocks 24 février 11:44
Ce qui est drole, c’est que 2 chaines ont été coupées mais les gens ne parlent que de C8, et se foutent de NRJ12.... on se demande bien pourquoi ? Peut être parce que ça les dérange effectivement qu’une usine à Hoax soit jartée.
Je n’ai pas la télé, mais j’étais en vacances à Noel chez mes parents, me suis donc intéressé aux pgms télés et sur C8, c’était 24h/24, des mauvais bétisiers achetés aux USA pour 2 balles....
Bref, zéro intérêt, ils prennent une fréquence de la TNT pour diffuser de la merde, ce qui ne doit pas être dans le cahier des charges quand ils ont postulé.
Ensuite, Hannounah a eu des mises en garde, des amendes, et il n’a rien compris visiblement. Donc soit il continue à se foutre de nos pipes, soit il prend le coup de massue.... Il a pris le coup de massue.
Sur youtube, j’ai vu un extrait d’Hanounah, une nana veut lui dire que le nouveau ministre de la santé américain est un total incompétent, le tachon lui coupe la parole, l’envoie péter car elle a osé critiquer un ministre de l’administration Trump. Avec en plus des intimidations du genre « Machine, tu te tais si tu veux continuer à bosser ici ».
Super la liberté d’expression... Le mec est odieux.
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leypanou 24 février 12:08
@Buzzcocks
si cette nana voulait dire cela, pourquoi est-elle allée sur CNews et non ailleurs où on ne dit que ce genre de chose ? -
Buzzcocks 24 février 12:32
@leypanou
https://www.youtube.com/watch?v=YWNWty8Hw7E
vers 12 minutes... le mec est juste un connard... la liberté d’expression chez l’autre tanche, c’est à géométrie très variable. -
leypanou 24 février 12:42
@Buzzcocks
je sais, une fois, il a traité Thomas Guénolet, un des chroniqueurs ex-LFI grosso modo ainsi « si je vous vire d’ici, vous ne retrouverez pas du boulot ailleurs » mais il me semble que Guénolet y est toujours chroniqueur. -
Institut Proudhon 24 février 13:49
Bonjour @Buzzcocks
En effet, vous avez raison pour NRJ12. Cette dernière retient cependant moins l’attention car c’est une simple chaîne de divertissement sans contenu politique. Ce qui heurte la conscience, c’est qu’une chaîne soit censurée pour le message politique qu’elle délivre.
Ensuite, l’objet de cet article n’est pas de soutenir TPMP et Hanouna personnellement, mais plutôt leur droit à s’exprimer. Je n’ai dû regarder cette émission que deux fois, et encore, impossible de tenir jusqu’au bout. C’est de la médiocrité intellectuelle en conserve. Cependant, le point positif, c’est qu’il accordait la parole à tout le monde : on a même vu Thaïs d’Escuffon et le gars qui avait giflé Macron. Ce n’est pas France Info qui donnerait le micro à ces personnes.
Ce qui corrobore le caractère politique de cette fermeture, c’est que TPMP existe depuis plusieurs années avec les mêmes problèmes récurrents (médiocrité intellectuelle, harcèlement moral de certains animateurs, humiliations), mais ils ne se sont attirés les foudres de l’ARCOM que depuis que cette émission s’est peu ou prou droitisée. C’est donc bien ce caractère politique qui déplaît aux censeurs.
Que l’on pose la question d’interdire ces chaînes pour outrage à l’intellect, cela se tient, mais que l’on censure des chaînes ou des émissions parce que leur message politique dérange le pouvoir, c’est cela qui doit nous révolter.
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Buzzcocks 24 février 16:21
@Institut Proudhon
Moi non plus, je ne passe pas sur France Info, et pas davantage sur les chaines de Bolloré...
Du coup, quelle autorité décide si Tais d’Escufon ou ma grand mère méritent de passer à la télé donner son avis sur tout. On a déjà Onfray, BHL pour donner leur avis sur tous les sujets dont ceux où ils ne connaissent rien.
On peut ajouter Yann Moix spécialiste en jeux vidéos et en léchage de vulves coréennes. Et on doit être bcp à se demander pourquoi cette tache passe à l’écran.On est à peu près 65 millions à ne pas passer à la télé sans qu’on ne trouve pas ça illégitime.
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Garibaldi2 24 février 16:40
@Institut Proudhon
Ce qui est étonnant (!) c’est que vous ne soyez pas choqué par le fait que l’Arcom a refusé un canal TNT à Le Media, alors que Bolloré possède (en gratuits) C8, Cnews, Cstar, Europe1, RFM.
En 2024, C8 accuse une perte de 736 millions d’euros. Bolloré ne compte pas le pognon pour soutenir l’extrême droite.
Hanouna cumule un record d’amendes diverses de7,6 millions d’euros pour ses exploits télévisuels. C’est un multirécidiviste.
L’Arcom ce ne sont pas des censeurs mais des régulateurs.
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pemile 24 février 17:10
@Garibaldi2 « L’Arcom ce ne sont pas des censeurs mais des régulateurs. »
L’usage gratuit de la fréquence pour la TNT, dont le bail arrive à échéance, était soumis à un cahier des charges, non respecté par C8, sont amusants à pleurer à la censure ! -
Institut Proudhon 24 février 17:51
Bonsoir @Garibaldi2
Bien sûr que c’est choquant. Cela n’a pas été évoqué dans cet article car l’objet était plutôt de commenter l’absence de réactions de gauche quant à cette décision. Mais le fait que les médias sont aux mains de quelques milliardaires sera abordé dans un prochain billet.
La place occupée par C8 va être attribuée à une autre chaîne détenue par le milliardaire tchèque Kretinsky, dont la fortune provient essentiellement des énergies fossiles polluantes et dont le passé sous le régime communiste n’est jamais évoqué par les médias français (et pour cause, il détient déjà Marianne et a volé à la rescousse de Libé, s’attachant ainsi leur conciliation). On passe donc d’un milliardaire à l’autre. Et on peut douter du fait que les programmes de cette nouvelle chaîne seront beaucoup plus intellectuellement enrichissants que ceux de C8.
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pemile 24 février 19:49
@Institut Proudhon
Que le bail de cession gratuite d’une fréquence TNT à C8 ne soit pas renouvelé n’a rien de choquant dès lors qu’ils n’ont pas respecté le contrat.
Pour la liberté d’expression, avec l’arrivée des IA génératives, vous ne prônez aucun contrôle ?
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Legestr glaz 24 février 20:06
@pemile
J’ai un article qui roupille en modération. Si vous saviez comme il vous ferait plaisir !
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Ouam (Paria statutaire non vacciné) 24 février 20:14
@pemile
Ca te va bien à toi de cuser de liberté d’expressionSibyle Veil (présidente de Radio France) :
« La liberté d’expression est le cheval de Troie du néo-impérialisme américain »
Ca indique bien ou en est ce pays avec ce sujet , comme pemile avec ses compteurs connectés et la publicité qu’il en a faite ici, ces compteurs utilisés par la Chine pour surveiller les opposants politiques et les Ouighours
Prase aussi que cette meme Chine tant pour la liberté d’expression , ou le Vénézulela ...aurai pu écrire
« La liberté d’expression est le cheval de Troie du néo-impérialisme américain
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pemile 24 février 21:42
@Legestr glaz « J’ai un article qui roupille en modération. Si vous saviez comme il vous ferait plaisir ! »
Une corrélation entre pics de pollution et arrêt de C8 ?
Un vaccin pour que les IA n’aient plus d’hallucination ?
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Legestr glaz 25 février 05:27
@pemile
Pour l’arrêt de C8, je n’ai aucun info. En revanche, en ce qui concerne les pics de pollution et les pics de mortalité, tout ceci est parfaitement bien identifié.
Vous n’avez pas l’air au courant pemile. Et lorsque l’on ne sait pas on raconte d’énormes bêtises, comme cette corrélation entre pic de pollution et arrêt de C8. Mais je ne suis pas du tout certain que votre spécialité soit les mises en perspective.
.... " La pollution atmosphérique a un impact important sur la santé humaine, des maladies respiratoires et pulmonaires graves aux crises cardiaques et au cancer.
Au cours des 3 années de pandémie de COVID-19, plusieurs pics de mortalité se sont produits, qui pourraient être liés à des événements de pollution aux particules fines (PM). Les effets possibles des PM (PM 10et PM 2,5, avec des diamètres inférieurs à 10 et 2,5 µm, respectivement) sur la mortalité due à la COVID-19 ont maintenant été établis.
Pour mieux comprendre cette relation au niveau européen pour la période 2020-2022, les données de 16 sites représentatifs en Europe (81 millions de personnes) avec des niveaux de PM 2,5(µg·m −3) allant de valeurs faibles à élevées ont été analysées à l’aide de méthodes statistiques. L’analyse confirme une relation temporelle entre les pics d’exposition aux PM 2,5et la mortalité due à la COVID-19.
La meilleure corrélation a été obtenue en considérant l’historique de l’exposition à la pollution PM2,5 pendant une période d’intégration de 2 mois couplée à un retard d’une semaine pour la mortalité COVID-19.Bien que la tendance de la mortalité COVID-19 par rapport aux niveaux de PM 2,5varie selon les endroits, la tendance mondiale était similaire, donnant une valeur moyenne estimée d’une augmentation de la mortalité de 40 ± 20 % par µg·m −3augmentation de PM 2,5. Plus le gradient positif (négatif) du pic de PM est fort, plus le gradient positif (négatif) de la mortalité COVID-19 est fort.
Ces résultats indiquent qu’une succession de pics de pollution PM pourrait être plus dangereuse qu’une exposition permanente à des niveaux de pollution modérés.
Enfin, les concentrations numériques de PM devraient être utilisées à l’avenir plutôt que les concentrations massiques de PM 2,5 (µg·m −3), en tenant compte de la composition des PM pour mieux évaluer l’effet des particules submicroniques sur la santé humaine, en particulier pour d’autres maladies respiratoires. Ces résultats doivent être pris en compte dans la gestion des futures pandémies. -
tonimarus45 25 février 07:19
@Garibaldi2— Et oui le deux poids deux mesures qui ne gene pas certains montant au creneai defenfendre c8 et pas « le media » .Va comprendre « charles »
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pemile 25 février 08:58
@Legestr glaz « Pour l’arrêt de C8, je n’ai aucun info »
Au boulot alors, la corrélation avec un pic de pollution doit être cherchée non ?
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Legestr glaz 25 février 10:04
@pemile
Au boulot ? Mais ça c’est votre imagination fertile. Assumez vos propos !
J’ai déjà du pain sur la planche avec les miens !
... « Lorsque l’on parle de « virus » en réalité on parle de « fragments d’ADN ou d’ARN ». Aucun « virus » n’a jamais été découvert d’une manière complète.... Aucun « virus » n’a jamais été découvert « directement » dans une sécrétion humaine. Il faut se rendre à l’évidence : les « virus » ,lorsqu’ils sont « découverts », le sont, « « exclusivement », sous forme de « fragments », que les virologues « attribuent par hypothèse » à du matériel viral, et tout ceci dans des « cultures in vitro », qui mélangent cellules animales, antibiotiques et agents chaotropiques. Ces »fragments« , assemblés par le biais d’outils bio-informatiques, deviennent des »génomes viraux« qui n’ont aucune réalité biologique. »...
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pemile 25 février 10:11
@Legestr glaz « Aucun « virus » n’a jamais été découvert d’une manière complète. »
wiwi, à cause des pics de pollutions dans les labos ?
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Legestr glaz 25 février 11:25
@pemile
Je vois que vos possibilités de compréhension sont limitées.En revanche, vous savez bien manier les petites images. Vous les coloriez vous même ?
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Legestr glaz 25 février 11:30
@pemile
Même si l’on n’y connait absolument rien en biochimie ou en biologie, il est quand même possible de comprendre les « biais méthodologiques » que rencontre, dans un silence étonnant, la virologie et que presque personne ne questionne. Curieusement.
La première chose à savoir est celle de comprendre que jamais, à ce jour, aucun virus complet, ou intégral, n’a été découvert dans une sécrétion humaine, où ailleurs. Cela n’existe pas. Il est aujourd’hui tout à fait impossible à la discipline appelée « virologie » de découvrir des virus complets. C’est le premier point à prendre en considération.
Mais si l’on ne trouve jamais de « virus complet » que trouve t-on alors ? Et la réponse est : les chercheurs retrouvent des « fragments » d’ADN ou d’ARN dans les cultures qu’ils mettent en place. En effet, la virologie dépend « entièrement » de cultures cellulaires « in vitro ».
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Legestr glaz 25 février 11:40
@Legestr glaz
Les « fragments » en question sont découverts dans des cultures réalisées en laboratoire. Pour faire simple, de quoi s’agit-il ?
Les virologues qui souhaitent découvrir des virus procèdent de la façon suivante, très généralement. Ils prélèvent un « échantillon de sécrétion chez un malade ». Cet échantillon est mis en « culture » afin de favoriser le développement de « potentiels virus » que contiendrait cet échantillon. C’est ce que les virologues appellent « isoler » et « purifier » les virus. Et la question qui se pose est bien celle de savoir ce que contient la « culture » en observation ? Et bien, la virologie procède ainsi.
Des cellules VERO sont introduites dans la culture. Il s’agit de cellules rénales de singe vert africain (Chlorocebus sabaeus). Ces cellules sont utilisées en biologie parce qu’elles présentent une anomalie génétique : elles sont incapables de produire de l’interféron de type I (IFN-I). Cette « caractéristique » est mise à profit par les virologues puisque l’IFN-1 absent ne permet plus à ces cellules d’actionner correctement leur défense immunitaire. Les « potentiels virus » pourront donc prospérer. A cette culture est encore ajouté un élément « nutritif ». Il s’agit, généralement, de « sérum foetal bovin ». Et, pour éviter que des « bactéries » ne viennent proliférer dans la culture, des « antibiotiques » y sont rajoutés, ainsi que des agents chaotropiques pour provoquer la dégradation des protéines.
Une fois que tout ceci est en place, la culture est mise en observation et on y recherche les « virus ». Et, ce que les virologues y trouvent, ce sont des « fragments d’ADN ou d’ARN ». Et ces « fragments » sont attribués, par « hypothèse » à du matériel viral. L’identification du « virus » proviendra de l’analyse et de l’assemblage de ces fragments à l’aide de techniques de « bio-informatiques ». Nous allons y revenir.
Mais, le point essentiel, celui sur lequel tout repose pour l’identification virale, c’est le fait d’attribuer les « fragments découverts » à du matériel viral. Parce que ceci est simplement « hypothétique ». En effet, ces « fragments » d’ADN ou d’ARN peuvent très bien provenir de la dégradation des cellules, humaines et « animales » , présentes dans la culture observée (lyse cellulaire par apoptose ou par nécrose).
Par « hypothèse », les virologues attribuent la destruction cellulaire à l’effet cytopathique (effet destructeur) des « virus ». Mais ils écartent le principe, absolument reconnu au plan biologique, que le « stress oxydatif », qui prend naissance dans la culture du fait de la présence d’antibiotiques et de la nature même de cette culture « in vitro », peut jouer ce rôle destructeur (cytopathique).
Parce que, en effet, les cellules en question ne baignent plus dans leur milieu naturel et ne perçoivent plus tous les signaux biologiques dont elles sont constamment arrosées et abreuvées. Elles sont absolument « sous stress » et celui ci provoque des réactions physiopathologiques en chaine, comme le relargage massif d’exosomes.
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Legestr glaz 25 février 11:41
@Legestr glaz
Il est parfaitement bien identifié que des cellules soumises à un stress oxydatif, libèrent des « exosomes ». Ceux-ci sont relâchés par les cellules aux fins de communication avec les cellules voisines. Les exosomes sont des « vésicules extracellulaires » de taille nanoscopiques de 30 à 100 nm de diamètre, libérées par presque tous les types de cellules. Ils jouent un rôle crucial dans la communication intercellulaire et le transport de matériel biologique (2). Et ces entités nanométriques ne peuvent pas être distinguées de manière fiables des « virus ». Ces exosomes, en effet, sont de taille identique à celle que l’on accorde aux virus et possèdent des structures similaires, ils sont enveloppés d’une bicouche lipidique et peuvent transporter des acides nucléiques et des protéines, rendant ce contenu impossible à distinguer par la microscopie électronique. Par conséquent, ce que le MET découvre pourrait être des exosomes et non des « virus » !
Je résume cette première partie. Lorsque l’on parle de « virus » en réalité on parle de « fragments d’ADN ou d’ARN ». Aucun « virus » n’a jamais été découvert d’une manière complète. Aucun « virus » n’a jamais été découvert « directement » dans une sécrétion humaine. Il faut se rendre à l’évidence : les « virus » ,lorsqu’ils sont « découverts », le sont, « « exclusivement », sous forme de « fragments », que les virologues « attribuent par hypothèse » à du matériel viral, et tout ceci dans des « cultures in vitro », qui mélangent cellules animales, antibiotiques et agents chaotropiques.
Toute la virologie est donc fondée sur la découverte de ces « fragments », hypothétiquement d’origine « virale ».
C’est à l’aide de la PCR que ces fragments sont identifiés dans la culture. Mais, pour que la PCR fonctionne et démarre, elle doit savoir ce qu’elle est supposée rechercher. La PCR réagit par conséquent à des « amorces » qui lui sont proposées par les virologues.
J’ouvre ici une parenthèse. Pour faire plus simple, je ne vais pas parler de la transformation de l’ARN en ADN par des enzymes rétrotranscriptases . Je dirai simplement que les PCR ne peuvent identifier que des ADN et qu’il convient, par conséquent, de traduire l’ARN en ADNc (ADN complémentaire) pour lancer la PCR. C’est ce qu’on appelle la RT-PCR (Reverse Transcription PCR). (3).
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Legestr glaz 25 février 11:42
@Legestr glaz
Je reviens maintenant sur « l’amorce » utilisée lors de la PCR. Celle-ci peut avoir 2 origines.
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Soit cette amorce est « choisie » par le virologue en charge de la recherche, en fonction d’une « séquence supposée représentative » du virus ciblé. Et, pour ce faire, le virologue n’a pas d’autre moyen que d’utiliser le « génome » d’un virus « précédemment découvert » et intégré à une base de données des « virus existants ». Comme GISAID (Global Initiative on Sharing Avian Influenza Data) ou GenBank (NCBI - National Center for Biotechnology Information), mais il y en a quelques autres,
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Soit il utilise des amorces « chimiques », qui sont conçues à l’aide d’algorithmes bio-informatiques, mais qui reposent elles aussi sur les fondements de génomes de virus de référence.
Dans un cas, comme dans l’autre, la PCR, pour permettre la découverte de « fragments » dans la culture observée, repose totalement sur des « identifications précédentes », lesquelles ont été obtenues selon le même processus. Et nous voyons ici apparaître le « raisonnement circulaire » endossé par la virologie. Cela relève de la « pétition de principe » (raisonnement faux prenant pour vraie la proposition à démontrer).(4)
Ainsi, par « hypothèse », les fragments sont supposés être d’origine virale . En conséquence, « l’amorce choisie » va rechercher dans la culture en observation une séquence déjà identifiée comme étant d’origine virale. C’est un raisonnement circulaire. C’est un véritable château de cartes. Parce que, quel que soit le génome choisi dans la banque de données, celui-ci aura été séquencé selon le même processus, en tenant pour vraie une proposition préalable. La virologie tourne en boucle et ne se remet pas en question.
Et toute la procédure qui interviendra « après » cette étape, pourra être très correctement menée, elle participera quand même au « sophisme scientifique ». Si la première proposition est fausse, tout le reste est faux. La première proposition, à savoir « le biais d’attribution » des fragments d’ADN ou d’ARN à du matériel viral, est une simple hypothèse que rien ne relie à une réalité biologique. Toute la chaine de raisonnement qui suit, même si elle est « correcte », doit être remise en question puisque la première proposition n’est absolument pas vérifiée.
Après la découverte des « fragments », à l’aide de la PCR , les dits « fragments » seront « assemblés » à l’aide de l’outil bio-informatique pour « reconstituer » un génome. Ce dernier est « totalement fictif », il n’aura jamais été observé, il « naîtra » d’un assemblage de « fragments ».
C’est une « construction hypothétique », c’est une chimère. Et ce sont ces « génomes », issus d’une « reconstitution de fragments », qui vont rejoindre les bases de données des virus. En présence de cette « méthode », nul doute que les « virus » présentent un air de famille. Les banques de données des virus sont donc alimentées au fur et à mesure du séquençage de génomes viraux « virtuels ».
Une solution serait, pour la virologie, afin de s’aligner sur la « rigueur scientifique », d’opérer des contrôles négatifs. Ainsi, il serait tout à fait possible de réaliser un « prélèvement » sur une personne « malade » et un autre sur un personne « saine » et de soumettre, à l’aveugle, ces deux prélèvements au même processus de culture. Si les résultats sont différents, c’est que ceci signale la présence d’un agent pathogène. Mais ce protocole n’est jamais suivi. La virologie s’exonère de ce type de contrôle négatif et se rend ainsi coupable d’approximations et de biais méthodologiques.
Cette manière de procéder dans le domaine de la virologie s’écarte de la « rigueur scientifique » attendue dans d’autres disciplines. L’absence de contrôle rigoureux, la dépendance aux cultures in vitro et aux outils informatiques, ainsi que « l’attribution hypothétique de fragments » à des entités virales, soulèvent un doute sérieux sur la validité de la discipline.
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Legestr glaz 25 février 11:43
@Legestr glaz
Ce qui apparait, c’est que la virologie s’appuie sur la grande complexité des méthodes mises en oeuvre dans la recherche virale pour s’exonérer d’explications « simples ». Il est toujours question, en virologie, de la découverte de nouveaux virus, de nouveaux variants, du séquençage de ceux-ci. Mais jamais, au grand jamais, les virologues n’expliquent qu’ils découvrent des « fragments » qu’ils assemblent à l’aide de matériel bio-informatique ! C’est ça le « secret de fabrique » !
Et, comme par ailleurs, tous les symptômes de maladies attribuées à des « virus » sont également présents dans d’autres maladies, les probabilités sont immenses que les infections attribuées à des virus aient une toute autre origine. Par exemple, les infections cardiorespiratoires, en automne-hiver , sont en corrélation parfaite avec les augmentations temporaires du taux de pollution atmosphérique. D’ailleurs, à ce sujet, la « saturation hospitalière » en automne-hiver, est parfaitement bien corrélée, elle aussi, aux augmentations des taux de pollution atmosphérique, en relation avec des inversions thermiques et des conditions anticycloniques hivernales (absence de vent, absence de pluie, froid au niveau du sol).
Les maladies qualifiées de « virales » sont le résultat de tests PCR, lesquels répondent à des « amorces ». Et ce sont bien ces « amorces » qui sont considérées comme appartenant à un génome viral. Toujours le raisonnement circulaire.
Et puis, cette idée que des « virus » auraient pu s’échapper d’un laboratoire classé P4 à Wuhan, en Chine, est de la plus grande invraisemblance. En effet, comment un « virus » dont le génome est la conclusion d’un assemblage hypothétique de fragments par l’ingénierie bio-informatique, pourrait-il avoir une existence réelle, une « réalité biologique » et « s’échapper » ? Ceci n’est absolument pas rationnel.
Et l’utilisation, à très grande échelle, de tests PCR, au moment de l’épisode du « covid 19 », a permis d’identifier des malades « sans symptôme », des malades « asymptomatiques », sur la seule et unique fois d’un test PCR ! Le docteur Knock de Jules Romains, rôdait vraisemblablement dans les parages.
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pemile 25 février 12:04
@Legestr glaz « Même si l’on n’y connait absolument rien en biochimie ou en biologie, il est quand même possible de comprendre les « biais méthodologiques » que rencontre, dans un silence étonnant, la virologie et que presque personne ne questionne. Curieusement. »
Curieusement, c’est de te voir revenir répéter en boucle tes biais cognitifs « dans un silence étonnant » sur AVox qui me confirme que ce site est vraiment en dérive totale !
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Legestr glaz 25 février 12:21
@pemile
Mais quelle argumentation pemile ! Je n’attendais rien d’autre de la part d’un esprit aussi avisé qui parle des personnes, oubliant les idées.
Si ce site est en dérive totale, c’est bien parce que de nombreux filtres y sont présents. Le « journalisme citoyen », aujourd’hui, doit se conformer à la doxa dominante, sinon ce n’est plus du journalisme mais du complotisme !
En tous les cas, encore une fois : merci pour votre aide si précieuse.
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pemile 25 février 12:34
@Legestr glaz « En tous les cas, encore une fois : merci pour votre aide si précieuse. »
Vu les conneries que tu persistes à répéter sur le séquençage, les amorces, la PCR, la culture de virus, etc, c’est de pisser dans un violon qui serait une « aide précieuse » ?
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Legestr glaz 25 février 13:42
@pemile
Vous avez envie de pisser dans un violon pemile ?
Moi pas. Mais si cette expérience vous tente, ne vous privez pas de vous faire plaisir. C’est un déviance sans conséquence, sauf pour les violons.
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pemile 25 février 15:48
@Legestr glaz « Vous avez envie de pisser dans un violon pemile ? »
Non, c’est juste un constat en lisant les conneries que tu persistes à répéter sur le séquençage, les amorces, la PCR, la culture de virus, etc, mais si ça t’est d’une « aide précieuse » et peut reprendre la partie de ping-pong sans violon !
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Legestr glaz 25 février 16:27
@pemile
Venez avec des arguments, sinon taisez-vous. C’est ce que vous avez de mieux à faire.
Du haut de votre grandeur vous évaluez ce que j’écris comme étant des conneries. Mais comme vous n’y comprenez rien, ce sont des conneries. C’est assez amusant. C’est d’ailleurs pour ça que je vous aime bien ! Vous avez la faculté de détendre l’atmosphère par vos énormités
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pemile 25 février 16:35
@Legestr glaz « Venez avec des arguments »
L’efficacité de la détection du Sars-Cov2 dans les eaux usées des égouts ?« Du haut de votre grandeur vous évaluez ce que j’écris comme étant des conneries. »
Aucun doute, et ton historique prouve que tu es acculé à les répéter sans fin en boucle !
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charlyposte 25 février 16:36
@pemile
Je recherche un violon avec un archer et des flèches...une idée ! -
Legestr glaz 25 février 18:33
@Eric F
Merci pour l’info, merci pour le vote, merci pour le possible débat. Mais, un article comme celui-ci, peut rester en permanence à +4. Nous verrons.
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Legestr glaz 25 février 18:44
@pemile
Nous pouvons en parler pemile de la détection du SARS-COV2 dans les eaux usées des égouts.
Je vous explique.Le « virus » est « détecté » dans ces eaux grâce à une PCR, laquelle répond à une « amorce », laquelle est élaborée à partir du génome construit à partir de fragments d’ADN ou d’ARN par des outils bio-informatiques.
Mais ce « génome » ne repose sur aucune réalité biologique. Le « segment » sélectionné pour faire réagir la PCR pas davantage. C’est pas plus compliqué que ça pemile ! L’escroquerie n’a pas lieu au moment de l’utilisation de la PCR mais en « amont » de celle-ci. La virologie repose sur un biais d’attribution.
... « Lorsque l’on parle de « virus » en réalité on parle de « fragments d’ADN ou d’ARN ». Aucun « virus » n’a jamais été découvert d’une manière complète. Aucun « virus » n’a jamais été découvert « directement » dans une sécrétion humaine. Il faut se rendre à l’évidence : les « virus » ,lorsqu’ils sont « découverts », le sont, « « exclusivement », sous forme de « fragments », que les virologues « attribuent par hypothèse » à du matériel viral, et tout ceci dans des « cultures in vitro », qui mélangent cellules animales, antibiotiques et agents chaotropiques.
Toute la virologie est donc fondée sur la découverte de ces « fragments », hypothétiquement d’origine « virale ».
C’est à l’aide de la PCR que ces fragments sont identifiés dans la culture. Mais, pour que la PCR fonctionne et démarre, elle doit savoir ce qu’elle est supposée rechercher. La PCR réagit par conséquent à des « amorces » qui lui sont proposées par les virologues. »
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pemile 25 février 18:49
@Legestr glaz « Mais ce « génome » ne repose sur aucune réalité biologique »
Tu vas encore tenter de nier ce qu’est le séquençage et toute la médecine légale ??!!
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pemile 25 février 18:50
@Legestr glaz « Mais, un article comme celui-ci »
PS : par curiosité, quel est l’objet de cet article ? -
pemile 25 février 18:55
@Legestr glaz « La virologie repose sur un biais d’attribution. »
XXX repetita, tu vas enfin nous le prouver en te contaminant avec un échantillon sanguin détecté séropositif ?
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Legestr glaz 25 février 19:45
@pemile
Je vous explique ou pas ? Si je réalise un prélèvement de cellules buccales chez « pemile », je suis certain que c’est sur pemile que j’ai réalisé ce prélèvement.
En revanche, pemile, les « fragments » découverts dans la culture cherchant à isoler un virus, sont « par hypothèse » attribués à du « matériel viral », sans aucune preuve de cela. Ces fragments peuvent provenir de la lyse des cellules de la culture, autant des cellules humaines que des cellules animales.
Si vous ne saisissez pas la nuance, je ne peux rien pour vous ! Et donc, la médecine « légale » fonctionne de cette façon. Le fichier des empreintes génétiques FNAEG- est parfaitement tenu à jour et les personnes qui y sont enregistrées ont été parfaitement bien « identifiées en amont » !
Vous vous mélangez encore les pinceaux pemile. Mais je pense que vous allez y parvenir.
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Eric F 25 février 20:01
Des ’’séquences géniques’’ partielles permettent de caractériser un organisme vivant, c’est un peu comme les empreintes digitales, ou un certains nombre de points caractéristiques identifient une personne, sans avoir forcément la totalité de l’empreinte.
De manière générale, la caractérisation génétique est désormais extrêmement au point, par exemple on a pu identifier des liens familiaux entre des momies, où la matière organique humaine est ancienne et dégradée. Détecter une lignée de virus dans un bouillon de culture par des extraits de séquences géniques, c’est de même nature que détecter les autres constituants.
A propos de la méthode RT/PCR, elle peut être utilisée aussi sur les bactéries, et on peut valider la pertinence de cette méthode en comparaison à une culture de bactéries, dont l’inconvénient est d’être une procédure plus lourde et longue
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Francis, agnotologue 25 février 20:02
@Legestr glaz
’’ Mais, un article comme celui-ci, peut rester en permanence à +4. Nous verrons. ’’
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Dans ce cas, perdu pour perdu, peut-être que la solution serait de revoir ce qui bloque dans l’article et de le représenter.
Je pense que la position d’affirmer tout de go que les virus n’existent pas est une erreur. Il y a virus et virus, et c’est là-dessus qu’il convient de travailler et sur deux axes : la (prétendue) contagiosité et la (supposée) virulence. -
Legestr glaz 25 février 20:19
@Francis, agnotologue
Je pense que les « virus » sont des « chimères ». Il n’y a pas « virus » et « virus ». Ils sont tous, et tout le temps, séquencés de la même façon : à savoir à partir de fragments d’ADN ou d’ARN. Tous les génomes de virus sont des « assemblages » de fragments réalisés à l’aide d’outils bio-informatiques. La virologie fonctionne comme une « pétition de principe »(faute logique par laquelle on considère comme admis ce qui doit être démontré).
Je sais qu’il est très difficile d’en accepter l’idée. C’est pour cette raison que j’ai écrit cet article qui donne les clés de compréhension du processus de la recherche virale. Le problème se passe en « amont » lors d’un biais d’attribution. Il faut sortir de ce paradigme pour en épouser un autre, lequel permettra de mieux orienter les malades.
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pemile 25 février 20:40
@Legestr glaz « Je vous explique ou pas ? »
Que tu fais encore une confusion entre séquençage et mise en culture ??!!! -
pemile 25 février 20:49
@Legestr glaz " Si je réalise un prélèvement de cellules buccales chez « pemile », je suis certain que c’est sur pemile que j’ai réalisé ce prélèvement."
Et comment tu exploites ce prélèvement pour en séquencer l’ADN ?
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Legestr glaz 25 février 22:11
@Eric F
Pas du tout, c’est exactement l’inverse. Oui la caractérisation génétique est au point. Mais avec la recherche virale les choses ne se passent pas de la même façon que lors du séquençage génétique d’une personne (par exemple).
Le séquençage génétique est fait à partir d’un « prélèvement » dont on connait la source exacte. Si c’est l’une de vos cellules qui est examinée, Eric F, alors nous saurons que ce génome est le vôtre. Ensuite, pour toute recherche ultérieure, il sera facile de s’appuyer sur ce génome.
Pour les virus c’est le contraire qui se passe. Il faut en avoir « conscient ». Ce sont des « fragments » d’ADN ou d’ARN qui sont découverts dans la culture cellulaire observée. Et ces fragments « nul ne sait » d’où ils proviennent. Ils peuvent très bien, et c’est la probabilité la plus grande, provenir de la lyse des cellules en culture, depuis des exosomes par exemple.
Et comme les virologues ne possèdent « que » des fragments, ils font « l’hypothèse » que ceux-ci proviennent de « matériel viral ». Après cette hypothèse, ils testent des amorces correspondant à des segments génétiques de virus précédemment identifiés qui permettent de découvrir les fragments dans la culture. Ceci serait « correct » si les génomes de ces virus utilisés n’avaient pas été construits, eux aussi, par « hypothèse ». C’est l’inverse de l’exemple que vous donnez. Le génome est parfaitement identifié à partir de cellules dont on sait très exactement de qui elles viennent. Pour les virus, ceci n’est pas vrai parce que la base de données des génomes est une base construite artificiellement parce que ne correspondant à aucune réalité biologique, contrairement aux cellules qui auront pu être prélevées sur vous. C’est l’immense faille de la virologie qui utilise un « raisonnement circulaire » pour parvenir à ses fins.
Lors de l’identification génétique d’un criminel, on part effectivement d’un fragment que l’on cherche à faire correspondre à un « génome » précédemment identifié. Mais « identifié » de source sure ! Sans aucune contestation possible. Pour les « virus » il s’agit de faire l’inverse : partir de fragments pour reconstituer « artificiellement » un génome ! J’espère que vous mesurez la supercherie !
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Legestr glaz 25 février 22:42
@pemile
C’est extrêmement simple : les cellules de pemile contiennent l’ADN de pemile. Il suffit de le séquencer.
Jamais un « virus » n’a été séquencé tout simplement parce qu’il n’a jamais été retrouvé de virus complet. Tous les génomes de virus sont un assemblage de fragments reconstitués en génome par la bio-informatique, par hypothèse. La cellule de pemile contient un ADN « entier », pas des fragments épars. Et l’ADN de pemile est un ADN humain ! Il est donc aisé de sélectionner des « séquences spécifiques » à l’être humain pour les retrouver chez pemile. Chez les êtres humains la « séquence de référence » existe de manière certaine (à la suite de l’human génome project).
Tandis que les fragments retrouvés dans les cultures, personne ne peut dire s’ils proviennent de virus ou de la lyse des cellules en culture. Et comme jamais un génome complet de virus n’a été séquencé, parce que jamais un virus complet n’a été découvert, alors les génomes sont une construction par hypothèse. Le raisonnement circulaire est à son comble en virologie.
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pemile 25 février 23:31
@Legestr glaz « La cellule de pemile contient un ADN « entier », pas des fragments épars. »
Toi, par contre, on ne pourra jamais séquencer ton génome parce qu’il doit être aussi fragmenté que ton cerveau ?
Tu as du rater quelques cours sur le séquençage lors de tes longues études de biologie moléculaire non ?
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Legestr glaz 25 février 23:37
@pemile
Enfin le klaxon de pemile se met en marche ! Tututututu !
Sinon les arguments ? Parce qu’il ne s’agit pas de moi pemile, mais de fournir des arguments.
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pemile 25 février 23:38
@Legestr glaz « Ce sont des « fragments » d’ADN ou d’ARN qui sont découverts dans la culture cellulaire observée »
Oulalalalala !Dans les cultures c’est au contraire la réplication virale qui est observée !
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pemile 25 février 23:44
@Legestr glaz « Parce qu’il ne s’agit pas de moi pemile »
Oh que si, ton insistance délirante à vouloir nier l’existence des virus est tellement ridicule que ça en devient fascinant !!!!Et que tu n’es pas conscience que tout ton discours n’est basé que sur ta méconnaissance totale des bases de la biologie moléculaire, sans aucune cohérence, est juste pitoyable.
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pemile 25 février 23:47
@Legestr glaz
Et que tu utilises un article sur la fermeture de C8 pour toujours répéter en boucle les mêmes âneries fait vraiment penser à un asile psychiatrique !
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Legestr glaz 25 février 23:59
@pemile
Il faut relire pemile, relire encore. Si confusion il y a c’est de la part de pemile. Alors voilà, cadeau. Prenez en de la graine !... « Les virologues qui souhaitent découvrir des virus procèdent de la façon suivante, très généralement. Ils prélèvent un « échantillon de sécrétion chez un malade ». Cet échantillon est mis en « culture » afin de favoriser le développement de « potentiels virus » que contiendrait cet échantillon. C’est ce que les virologues appellent « isoler » et « purifier » les virus. Et la question qui se pose est bien celle de savoir ce que contient la « culture » en observation ? Et bien, la virologie procède ainsi.
Des cellules VERO sont introduites dans la culture. Il s’agit de cellules rénales de singe vert africain (Chlorocebus sabaeus). Ces cellules sont utilisées en biologie parce qu’elles présentent une anomalie génétique : elles sont incapables de produire de l’interféron de type I (IFN-I). Cette « caractéristique » est mise à profit par les virologues puisque l’IFN-1 absent ne permet plus à ces cellules d’actionner correctement leur défense immunitaire. Les « potentiels virus » pourront donc prospérer. A cette culture est encore ajouté un élément « nutritif ». Il s’agit, généralement, de « sérum foetal bovin ». Et, pour éviter que des « bactéries » ne viennent proliférer dans la culture, des « antibiotiques » y sont rajoutés, ainsi que des agents chaotropiques pour provoquer la dégradation des protéines.
Une fois que tout ceci est en place, la culture est mise en observation et on y recherche les « virus ». Et, ce que les virologues y trouvent, ce sont des « fragments d’ADN ou d’ARN ». Et ces « fragments » sont attribués, par « hypothèse » à du matériel viral. L’identification du « virus » proviendra de l’analyse et de l’assemblage de ces fragments à l’aide de techniques de « bio-informatiques ».
C’est à l’aide de la PCR que ces fragments sont identifiés dans la culture. Mais, pour que la PCR fonctionne et démarre, elle doit savoir ce qu’elle est supposée rechercher. La PCR réagit par conséquent à des « amorces » qui lui sont proposées par les virologues.
Et le séquençage, pemile, n’intervient qu’après la découverte des fragments d’ADN ou d’ARN. Et ces fragments »découverts« sont pulvérisés en fragments plus petits afin de permettre leur séquençage. Et ce sont des »logiciels d’assemblage« qui vont »construire« »fictivement« , un génome complet
Vous retrouvez votre chemin ? Vous remettez vos neurones dans le bon ordre ? Parce que confondre »culture in vitro« et »séquençage", c’est pas brillant !
A suivre.... -
Legestr glaz 26 février 00:02
@pemile
Tutututu. Pas très varié. Sinon des arguments ? Comment pouvez vous juger que ce que j’écris sont des âneries ? Vous en savez davantage ? Prouvez le donc ! Vous restez sec. Vous êtes décevant. -
pemile 26 février 00:10
@Legestr glaz « Il faut relire pemile »
En quoi relire les mêmes conneries grotesques répétées sans fin aurait une utilité ?
« Une fois que tout ceci est en place, la culture est mise en observation et on y recherche les « virus » »
Non, on peut surtout observer l’effet cytopathique et la plaque virale peut permettre d’identifier certains virus.
On peut même observer en direct, par vidéomicroscopie, la réplication du virus et l’effet cythopatique du virus
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pemile 26 février 00:14
@Legestr glaz « Comment pouvez vous juger que ce que j’écris sont des âneries ? »
Comment peux tu oublier que j’ai déjà démontré 10 fois, 100 fois, les conneries que tu racontais sur le séquençage, les amorces, les exosomes, les PCR ou les cultures virales ?
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Ouam (Paria statutaire non vacciné) 26 février 02:59
@pemile
Sinon cette comprehention de la définition correcte du sens de « négationnisme » ou tu affublas Legestr glaz
, c’est bon ou tu en es toujours dans ta version délirante de bas de plafond ...
Sinon depuis ton compatriote « Le Scouarnec »
l’affaire Bayrou semble etre mise sous le tapis (lol)
https://actu.fr/societe/les-institutions-ont-ete-defaillantes-au-proces-le-scouarnec-l-ordre-des-medecins-accuse-d-inactions_62291949.html
C’est pasdelol ^^ -
Ouam (Paria statutaire non vacciné) 26 février 03:12
@pemile
Y a pas toi t’es dans l’équipe qui gagne
https://www.leparisien.fr/faits-divers/engins-explosifs-contre-le-consulat-de-russie-a-marseille-deux-chercheurs-du-cnrs-ont-reconnu-les-faits-25-02-2025-DKNOXQ7Y4BBV7JBOKGSH42HX7I.phpJ’ai trop ri , et la c’est le « haut du panier » les couteaux les plus aiguisés du tirroir , ceci indique bien donc en comparaison l’échelle ou tu te situes
Ha ha ha
Et ton pote qui veut maintenant filer des cours d’’économie sur A Bleu
Hihihihi et qui essaye de faire passer tes boulletes pour de l’humour (énorme)
Ha ha ha, j’ai bien fais de passer voir ce qu’il se passe dans l’HP géant -
Ouam (Paria statutaire non vacciné) 26 février 03:29
@pemile
"Oh que si, ton insistance délirante à vouloir nier l’existence des virus est tellement ridicule que ça en devient fascinant !!!!"
Et donc alors contre le messant virus qui fais peur comme Maduro chez lui à ses opposants politiques ..
C’est quoi la bonne methode ?
Toi qui sais tout et qui est devenu fin chercheur en virologie ...
eduques donc le misérable vulgus pecus béotien que je suis ^^
De mettre un masque interdit ou on prends 135 balles si on en achetais un à l’époque
OU
Un peu plus tard ...de se prendre 135 balles dans la rue si on ne met pas de masques meme en plein air et en pleine rueC’esty vivi qui a mué et qui est devenu obaise à force de lire tes aneries ?
Tellement gros que cette fois 2 mois ou 3 j’dsais plus ....le masque le retiens ?
Avec le meme virus ...
tu sais celui relié a dcf77 qui est synchro avec Franckfort sur main
l’electronique de sychro qui déclenche vivvi le mechant virus a 18h00:01s
Tu pourrais m’expliquer son principe de fonctionnement ?
car j’ai toujours pas compris ou la ferrite et la self peut etre dans vivi ?
C’est bienb ce qu’on nous a refourgué comme narratif cad celui que tu gobais ici avec l’autre abruti de service qui s’est fais éjecter d’ici
Ainsi que le nombre de tours du fil de cuivre pour accorder la fréquence en resonnance sur 77khz du signal de sychro (et de sa capa)
vu la taille que ca peut prendre
Tu ne vas pas me dire que tu aurais participé à cette escroquerie sans nom toi aussi (ptdr)
Ah oui sources....ma petite collabochiotte
https://www.publicsenat.fr/actualites/non-classe/couvre-feu-a-18-heures-jusqu-a-quand-187689
Tu veut les autres sources pour les masques ? -
Ouam (Paria statutaire non vacciné) 26 février 04:05
@pemile
puisqu’on est dans les questions et que j’ai un veritable scientifique sous la main profitons en ....
Enfin celui qui se crois scientifique (lol)
il est tellement barjo et pas fini qu’il crois en plus ce qu’il rediges le fondu alors jouons son jeu idiot ....j’adoreBon alors gogolito en pole position à la secpa .....l’handicapé de la réflexion ...
Groscon (moi) va te demander ...
Comment est il possible de developper un vaccin (meme un proto efficace j’entend) contre ton messant virus
sachant que celui ci mutais bien plus vite que le temps de mettre au point le vaccin , de le distribuer et bien sur de piquouzer les épaules tendues des gogolitos qui gobaient avec frousse les narratifs de la pravda de big pharma répétées h24 partout et ou dire ’oui mais heu« et paf t’etais censuré à mort et partout sur les RS
Et la au passage la censure ne te genais pas vraiment tout l’inverse même
Non je te vois venir ne me causes pas de spectre large ...
Car plus il est large moins il cible et plus les risques sont importants pour le »piquouzé" et sa santé
Bref pour prevoir le bon vaccin du mechant virus si il mute tres vite ..
Soit il faut connaitre sa séquence tres à l’avance , et dans ce cas si on connais la sequence de sa mutation avant qu’elle ne se produise c’est donc que .....
Oui toi t’as pas compris normal t’es trop kh...
mais pas d’autres.... tous n’ont pas que 0.75 ....
1ere proba
Ou seconde
soit la mutation de la séquence est inconnue et si la mutation est importante
tu sors du champ du proto et son efficacité
c’est comme si tu pissais dans un stradivarius (ben ouais lachons nous ^^)
T’as bien une petite explication ?C’est magique ton bordel ?
C’est encore mieux que le bouchon qui reste accroché a la bouteille invention revoltionnaire ^^
c’est le grigri du professeur mgoulougmloudanlacase ce proto ou...
le retour de l’etre aimé parti(e) va revenir, qui resoud peut etre aussi tes problemes de neurone fatigué (au singulier il n’y en a qu’un et ecore ..)
et facultativement d’érection chronique de peine à jouir ?
commme dis ton amie escroclogiste Hidalgo ^^Font des couteaux avec le debouche fiole chez pfizer ca soigne les grosses chiasses aussi des gus qui jouent les va t’en guerre de leur canapé ^^
C’est bien toi le deumeuré qui a fini par reconnaitre quazi 4 ans apres
(dire a quel point t’es une lumiere qui percute vite lolllll )
que (acculé) le seul vaccin qui a marché c’est l’Omicron
C’est pas toi j’ai rêvé ?
donc pas tes merdes de protos dangeureuses pour les gamins et tres souvent inneficaces tant pour la transmission ou la c’est acté et démontré devant serment à la C.E , pareil pour soigner ou c’etais la roulette russe !donc expliques nous si tyu avais compris comment ce virus fonctionnais et mutais d’inciter les gens a se vacciner avec une daube pareille et a soutenir les mafieux , sauf si tu m’expliques aussi que Pfizer n’a pas été de multiples fois condamné pour escroqueries, influences etc
t’as bien une eplication pour tout cela ?
Ah non t’as piscine comme d’ab bien sur ^^
Tu qualifies plus L G de négationniste ? ^^ -
Legestr glaz 26 février 07:07
@pemile
Vous êtes un enfant pemile. Jamais un virus n’a été observé. "
Les images" obtenues par MET sont des reconstructions, basées sur un bombardement d’électrons sur des échantillons, traitées ensuite par des outils bio-informatifs, et non une « observation directe » d’un « virus vivant ». Ce que détecte le MET sont très probablement des exosomes, relargués par les cellules en culture.
... Dans la MET, un échantillon est exposé à un faisceau d’électrons plutôt qu’à de la lumière, car les électrons ont une longueur d’onde bien plus courte, permettant d’obtenir une résolution bien plus élevée.
... Ce processus implique le bombardement d’atomes d’un extrait biologique (comme un extrait de culture cellulaire), puis l’enregistrement de l’image qui en résulte à travers des interactions avec les électrons.
... Cette imagerie ne montre pas une « image vivante » ou dynamique d’un « virus » dans son état naturel, mais des traces physiques laissées par les particules lorsqu’elles sont bombardées et analysées par un détecteur d’électrons.
... Une fois les données collectées, elles sont traitées à l’aide d’outils informatiques « pour reconstruire des images ».
... Ce processus nécessite des « interprétations basées sur des hypothèses préexistantes », souvent en fonction de ce que les scientifiques attendent ou ont déjà observé en termes de formes et de structures connues des « virus ».
... Ces reconstructions bio-informatiques sont donc sujettes à des biais d’interprétation, en fonction des modèles théoriques sur lesquels elles sont basées.
Et l’enfant que vous êtes aura une belle image. Et les « antibiotiques », et les « agents chaotropiques », et l’isolement des cellules « hors de leur milieu d’origine »,« in vitro », sont autant de facteurs aux effets « cytopathiques ».
Mais ça, vous l’ignorez pemile, et, par conséquent, vous ne le comprenez pas.
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Legestr glaz 26 février 07:13
@pemile
Vous n’avez jamais posé le moindre argument sur la table pemile. Sans doute que vous n’y comprenez rien ! Parce que vos « interventions », en 2 lignes chrono, cela ne va pas pisser bien loin ! Et le tout agrémenté d’une belle image, comme vous les aimer. Et dans ce post ci, encore fois, votre « autosatisfaction ». Un vrai gamin dans une cour de récréation.
Votre nez s’allonge inconsidérablement pemile ! Je ne dispose pas d’émoticône « Pinocchio », sinon je vous l’aurais bien décerné. -
pemile 26 février 09:07
@Legestr glaz « Vous êtes un enfant pemile. Jamais un virus n’a été observé. »
Comme enfant j’adore jouer, quand accepteras-tu que l’on se rencontre pour observer in vivo les effets d’un virus sur ton organisme en parfaite santé ?
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pemile 26 février 09:20
@Legestr glaz « Les images » obtenues par MET sont des reconstructions, basées sur un bombardement d’électrons sur des échantillons, traitées ensuite par des outils bio-informatifs, et non une « observation directe » d’un « virus vivant ». «
wiwi, et ton »observation« du monde, n’est aussi qu’un traitement de signaux lumineux captés par tes yeux et traités ensuite par ton cerveau, et la chauve souris qui elle utilise l’écholocalisation se passe très bien de la lumière pour »voir« le monde !
» Ce que détecte le MET sont très probablement des exosomes, relargués par les cellules en culture. "
wiwi, à cause d’un pic de pollution en présence uniquement d’un virus ? -
pemile 26 février 09:23
@Legestr glaz
PS : et pour le séquençage, qui d’après toi est très fiable avec un très long génome humain et pas avec un très court génome viral parce qu’il faut le couper en morceaux, tu nous expliqueras la différence ?
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Legestr glaz 26 février 10:03
@pemile
Cela n’est aucune espèce d’importance pemile. Il faut comprendre ou se situe la « supercherie ».
Celle ci repose sur le « biais d’attribution ». Les « fragments » découverts dans les cultures cellulaires sont, « par hypothèse », attribués à du matériel viral. Il n’existe strictement aucune preuve de cela. Aucune !Par ailleurs, comme les « contrôles négatifs » sont totalement absents de la recherche virale, la virologie ne peut pas être en mesure de dire que ces fragments sont d’origine virale. C’est une vue de l’esprit. Il faudrait, pour la virologie, écarter l’hypothèse que ce n’est pas la « méthode » qui produit le « résultat » !
... « Une solution serait, pour la virologie, afin de s’aligner sur la « rigueur scientifique », d’opérer des contrôles négatifs. Ainsi, il serait tout à fait possible de réaliser un « prélèvement » sur une personne « malade » et un autre sur un personne « saine » et de soumettre, à l’aveugle, ces deux prélèvements au même processus de culture. Si les résultats sont différents, c’est que ceci signale la présence d’un agent pathogène. Mais ce protocole n’est jamais suivi. La virologie s’exonère de ce type de contrôle négatif et se rend ainsi coupable d’approximations et de biais méthodologiques.
Cette manière de procéder dans le domaine de la virologie s’écarte de la « rigueur scientifique » attendue dans d’autres disciplines. L’absence de contrôle rigoureux, la dépendance aux cultures in vitro et aux outils informatiques, ainsi que « l’attribution hypothétique de fragments » à des entités virales, soulèvent un doute sérieux sur la validité de la discipline. »... -
Legestr glaz 26 février 10:12
@pemile
Je ne sais pas si vous vous rendez compte du niveau désastreux de votre intervention ? Vous n’avez aucun argument et vous n’en avez jamais eu.
Et la virologie n’en a pas davantage. C’est pour cette raison qu’elle est critiquable.
Vous devriez nous expliquer, pemile, pourquoi les fragments d’ADN ou d’ARN découverts dans les cultures sont « attribués par hypothèse » à du matériel viral ? C’est la question « centrale ». Tout le reste n’est que discours. Concentrez vous !
La virologie procède du « sophisme scientifique ». La première prémisse est totalement fausse, mais la suite de la procédure peut être valide.Parce que, dans les cultures, les cellules qui y sont cultivées, contiennent de l’ADN et de l’ARN. C’est une réalité biologique ! Mais de ceci la virologie n’en a rien à faire. Elle s’exonère de « contrôles négatifs ». Elle s’exonère de la « rigueur scientifique ».
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pemile 26 février 11:57
@Legestr glaz "« Une solution serait, pour la virologie, afin de s’aligner sur la « rigueur scientifique », d’opérer des contrôles négatifs. Ainsi, il serait tout à fait possible de réaliser un « prélèvement » sur une personne « malade » et un autre sur un personne « saine » et de soumettre, à l’aveugle, ces deux prélèvements au même processus de culture. Si les résultats sont différents, c’est que ceci signale la présence d’un agent pathogène. Mais ce protocole n’est jamais suivi. La virologie s’exonère de ce type de contrôle négatif et se rend ainsi coupable d’approximations et de biais méthodologiques."
Oulalalalalalalala ! Sérieux ? Et tu veux ensuite pleurnicher quand on te dit que tu ne racontes que des conneries ridicules ???!!!
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pemile 26 février 11:58
@Legestr glaz « Je ne sais pas si vous vous rendez compte du niveau désastreux de votre intervention ? »
Non, avec toi, pisser dans un violon devient souvent hilarant !
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pemile 26 février 12:02
@Legestr glaz
PS : et ma simple question sur le séquençage génome humain vs génome viral, sous le tapis ? :))
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Legestr glaz 26 février 12:04
@pemile
C’est un peu court jeune homme !
Venez dans un échange avec des arguments. Le reste ne m’intéresse pas.
Il faudrait pour cela dépasser vos deux lignes traditionnelles.
PS : vous avez oublié de ponctuer votre confetti d’un émoticône. Je sens un certain relâchement !
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Legestr glaz 26 février 12:15
@pemile
On s’en moque du séquençage pemile. Vous ne l’avez pas compris ? Vous avez vos limites, et je le comprends. C’est en « amont » du séquençage qu’intervient la « supercherie » !
Le problème, en virologie, c’est le « biais d’attribution » ! L’escroquerie consiste à déterminer, par « hypothèse », que les fragments découverts sont d’origine virale. Encore faudrait-il le démontrer !
La virologie est donc un « sophisme scientifique ». Et vous pouvez remballer votre « séquençage » qui intervient en « aval » de l’opération frauduleuse !
... « Un sophisme est un raisonnement fallacieux, malgré une apparence de vérité, qui est délibérément conçu pour tromper ou faire illusion. »...La virologie est une pétition de principe ! Et un sophisme scientifique !
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pemile 26 février 13:44
@Legestr glaz « On s’en moque du séquençage pemile. Vous ne l’avez pas compris ? »
J’ai bien compris que ça te pose problème et que tu es quand même bien obligé de reconnaître la validité de la médecine légale !
Séquencer un très long génome humain c’est possible, séquencer un très court génome viral c’est impossible parce qu’il faut le découper en petit morceaux !
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pemile 26 février 13:46
@Legestr glaz « C’est un peu court jeune homme ! »
Je vais faire un effort !
Devant le niveau délirant de tes conneries que dire de mieux que :
Oulalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalala lalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalala lalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalalala ?
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Legestr glaz 26 février 14:46
@pemile
copié-collé : « J’ai bien compris que ça te pose problème et que tu es quand même bien obligé de reconnaître la validité de la médecine légale ! »
Et non, vous avez mal compris, très mal compris d’ailleurs !.Je ne vais pas répéter ce que j’ai déjà écrit sur la médecine légale, je vais copier-coller ! N’est-ce pas pemile. Vous tournez en boucle, comme la virologie !
... « Oui la caractérisation génétique est au point. Mais avec la recherche virale les choses ne se passent pas de la même façon que lors du séquençage génétique d’une personne (par exemple).
Le séquençage génétique est fait à partir d’un « prélèvement » dont on connait la source exacte. Si c’est l’une de vos cellules qui est examinée, pemile, alors nous saurons que ce génome est le vôtre. Ensuite, pour toute recherche ultérieure, il sera facile de s’appuyer sur ce génome.
Pour les virus c’est le contraire qui se passe. Il faut en avoir « conscience ». Ce sont des « fragments » d’ADN ou d’ARN qui sont découverts dans la culture cellulaire observée. Et ces fragments « nul ne sait » d’où ils proviennent. Ils peuvent très bien, et c’est la probabilité la plus grande, provenir de la lyse des cellules en culture, depuis des exosomes par exemple.
Et comme les virologues ne possèdent « que » des fragments, ils font « l’hypothèse » que ceux-ci proviennent de « matériel viral ». Après cette hypothèse, ils testent des amorces correspondant à des segments génétiques de virus précédemment identifiés qui permettent de découvrir les fragments dans la culture. Ceci serait « correct » si les génomes de ces virus utilisés n’avaient pas été construits, eux aussi, par « hypothèse ». C’est une »pétition de principe« !
C’est l’inverse de l’exemple que vous donnez, celui de la médecine légale. Le génome est parfaitement identifié à partir de cellules dont on sait très exactement de qui elles viennent. Pour les virus, ceci n’est pas vrai parce que la base de données des génomes est une base construite artificiellement parce que ne correspondant à aucune réalité biologique, contrairement aux cellules qui auront pu être prélevées sur vous. C’est l’immense faille de la virologie qui utilise un « raisonnement circulaire » pour parvenir à ses fins.
Lors de l’identification génétique d’un criminel, on part effectivement d’un fragment que l’on cherche à faire correspondre à un « génome » précédemment identifié. Mais « identifié » de source sure ! Sans aucune contestation possible.
Pour les « virus » il s’agit de faire l’inverse : partir de »fragments" pour reconstituer « artificiellement » un génome ! J’espère que vous mesurez la supercherie !
C’est sans doute trop compliqué pour vous. Le bac à sable vous attend.
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pemile 26 février 15:43
@Legestr glaz « Vous tournez en boucle, comme la virologie ! »
Non, le seul qui tourne en boucle c’est toi et ton historique le prouve !
" Pour les virus c’est le contraire qui se passe. Il faut en avoir « conscience ». Ce sont des « fragments » d’ADN ou d’ARN qui sont découverts dans la culture cellulaire observée. «
Et tu persistes à faire cette confusion entre séquençage et culture, en culture le virus est entier, »vivant" et se réplique !
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pemile 26 février 15:50
@Legestr glaz
PS : et pour le séquençage du long génome humain, tu veux persister à prétendre qu’on est pas obligé de le découper en petit morceaux puis de les réassembler ?
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Legestr glaz 26 février 16:22
@pemile
Je ne vais pas faire votre éducation. Je dis que les fragments découverts dans les cultures cellulaires lors de la recherche virale sont « attribués par hypothèse » à du matériel viral sans aucune justification. Parce que rien ne dit que ce n’est pas la « méthode » qui produit le « résultat » ! Rien !
La seule et unique manière, pour la virologie, de se dédouaner, serait de procéder à des « contrôles négatifs » en « amont » de la PCR. Jamais ceci n’a été réalisé en virologie. C’est juste un véritable scandale. Et oui, la rigueur scientifique n’est pas l’apanage de la virologie.
... « Les échantillons témoins sont nécessaires pour assurer le bon fonctionnement de vos expériences. Les témoins sont toujours effectués en parallèle de l’expérience réelle.
... Un témoin négatif contient tous les réactifs utilisés dans l’expérience, à l’exception du matériel observé ou détecté. Les témoins négatifs servent à vérifier la présence de liaisons non spécifiques et de résultats faussement positifs. Ils permettent de valider les résultats positifs. Sans témoin négatif, on ne peut pas être sûr que les résultats sont vraiment positifs. »
Ne cherchez donc pas à fuir le sujet !
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Legestr glaz 26 février 16:33
@pemile
Mais qu’est-ce que vous racontez ? La recherche virale commence « toujours » par un culture « in vitro ». C’est dans cette culture que l’on recherche des fragments d’ADN ou d’ARN. A ce moment là il n’y a pas de « séquençage ». Et vous parlez de « confusion » ? Allez faire une petite sieste cela vous fera du bien. Après vous aurez le droit de rejoindre le bac à sable.
Parce que, écrire ceci : « Et tu persistes à faire cette confusion entre séquençage et culture, en culture le virus est entier, »vivant » et se réplique !« C’est bien de dévoiler que l’on n’y connait rien sur le sujet. Non pemile, jamais, au grand jamais, un virus n’a été découvert »entier« . Seuls des fragments d’ADN ou d’ARN permettent de »reconstituer un génome« . Et c’est bien sur quoi j’attire l’attention.
... »en culture le virus est entier, »vivant« et se réplique » ! Sacré pemile ! Et le Père Noël, il passe par la cheminée ? Et non pemile, jamais de « virus entier » n’a été découvert et jamais personne n’a observé une quelconque « réplication virale ». Tout tient sur des « hypothèses », sur des « supputations », sur des « théories », sur le « biais d’attribution » !
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pemile 26 février 17:19
@Legestr glaz " Mais qu’est-ce que vous racontez ? La recherche virale commence « toujours » par un culture « in vitro ». «
Non» C’est dans cette culture que l’on recherche des fragments d’ADN ou d’ARN. «
X repetita, dans une culture le virus est entier, »vivant" et se réplique, tu vas répéter les mêmes conneries ridicules encore longtemps ?
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pemile 26 février 17:28
@Legestr glaz « La seule et unique manière, pour la virologie, de se dédouaner, serait de procéder à des « contrôles négatifs » en « amont » de la PCR. Jamais ceci n’a été réalisé en virologie. »
Toi, tu as vraiment décider de passer pour un abruti fini !!! -
Legestr glaz 26 février 18:29
@pemile
Vous n’avez aucune crédibilité après votre intervention sur les « virus complets » en culture. C’est du BFMTV ou du France intox ?
Le ridicule ne tue pas, heureusement. Regardez vous dans un miroir pour apercevoir l’abruti complet. Le mensonge du « virus complet en culture » a bien assez duré !
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Legestr glaz 26 février 18:43
@pemile
Qui a prétendu une chose pareille ? Vous êtes dans la confusion la plus totale.
Ce n’est pas du tout la même chose que d’identifier des « fragments » dans une culture in vitro que de procéder à la « fragmentation », volontairement, d’un génome en des milliers de morceaux afin de procéder à leur séquençage.
Dans ce dernier cas, les chercheurs partent d’un matériel génétique « absolument identifié », dans le cas des « virus » jamais de la vie. L’origine des fragments est absolument inconnue. C’est par « hypothèse » que ces fragments d’ADN ou d’ARN sont attribués à du matériel viral.Parce que jamais un virus complet n’a été découvert. Les génomes de tous les virus sont des assemblages de fragments, hypothétiquement attribués à du matériel viral. Les génomes des virus sont des chimères obtenus à l’aide d’algorithmes par le biais de la bio-informatique.
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PaulAndréG (PàG) 26 février 18:45
@Legestr glaz
!
l’auteur peut remercier chaleureusement @Legestr glaz pour ses 31 commentaires pertinents et argumentés sur « la fermeture de C8 » sujet de l’article !
.
un exemple pour certains qui s’incrustent pour troller hors-sujet sous d’autres articles -
PaulAndréG (PàG) 26 février 18:57
@PaulAndréG (PàG)
@Legestr glaz
l’auteur peut remercier chaleureusement @Legestr glaz pour ses 31 commentaires pertinents et argumentés sur « la fermeture de C8 » sujet de l’article !
un exemple pour certains qui s’incrustent pour troller hors-sujet sous d’autres articles.
mon diagnostique : c’est probablement plus parasitaire que viral -
Astrolabe 26 février 19:13
@PaulAndréG (PàG)
Certes mais il y a quand même la pépite « Jamais un virus n’a été observé » de Legestr glaz ! -
Legestr glaz 26 février 20:11
@PaulAndréG (PàG)
Merveilleuse conclusion.
C’est vrai que la fermeture de C8 est un sujet important qui fait polémique. En revanche, un sujet sur la rigueur scientifique en virologie cela n’intéresse personne, surtout pas la modération. C’est bien trop « plan-plan » et tellement banal.Mon article est pourtant parfaitement correct et bien documenté. Mais il interroge la réalité scientifique. A ne jamais faire. En conséquence, je fais comme je peux pour parler d’un sujet interdit. Il ne faudrait pas que ce que je dénonce parvienne aux oreilles de trop de monde. Il ne faudrait pas trop réfléchir à ce sujet.
Merci pour la relance ! -
Legestr glaz 26 février 20:14
@Astrolabe
C’est la réalité scientifique Astrolabe !
Seuls des « fragments » attribués à du matériel viral sont identifiés. Jamais de virus complet n’a été découvert.
Que voulez vous que je vous dise d’autre ? Si vous ne le savez pas, je vous l’apprends !
Je vous engage à faire vos propres recherches.
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pemile 26 février 20:19
@Legestr glaz « Mon article est pourtant parfaitement correct et bien documenté. »
Quelle plaie que je ne puisse voter pour qu’il soit publié !
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pemile 26 février 20:20
@Legestr glaz « Seuls des « fragments » attribués à du matériel viral sont identifiés. Jamais de virus complet n’a été découvert. »
Pour le prouver in vivo en te contaminant avec le sang d’un séropositif t’as toujours piscine ?